Sommairep°2_Le coin des poètes

par Marilou, Sophie, Annick, Jacqueline et Michel

p°4_Souvenirs par le Service Jeunesse_Jeunes et Citoyens... par Camille

p°6_Mémoires d’immigrés par Elisabeth_Solidarité : les volontaires d’Unis Cité

p°7_Histoire par Carmen et Cathyp°8_Tout nos Voeux par Olivier et Carmen

Regards CroisésLe journal des Seniors de Sallaumines

Hors sériejanvier 2012

L’Equipe de rédaction

Edito

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2011 a vu paraître 5 numé-ros de votre journal Re-gards Croisés, soit plus de3.500 exemplaires tirés.Ce travail est le fruit de nosrédacteurs, poètes ou en-core interviewers.Grâce à eux vous pouvezprofiter de vos rubriquespréférées, le coin despoètes, Rétro, les couleurs

du temps, doigts de fées…. Ce journal partid’une idée originale selon laquelle nos aînés al-laient prendre la plume pour écrire ce qui leurplairait dans un journal que l’on “pique” ou quel’on se “fait passer” est aujourd’hui un succès.Une de nos rédactrices nous faisait part der-nièrement de la joie qu’elle avait à être recon-nue aujourd’hui sur le marché. Des personnesappellent au standard municipal pour obtenir

un numéro. Des docteurs réclament des exem-plaires supplémentaires pour mettre dans leursalle d’attente. Des responsables d’associationsviennent chercher le nouveau numéro par di-zaines pour leurs adhérents… Bref, autant designes qui ne trompent pas ; Regards Croisésplait ! En cette période de vœux, l’équipe de ré-daction a décidé de sortir un numéro hors série,au travers duquel ils pourront vous souhaitertout ce qu’il y a de meilleur pour 2012.

Je me joins à eux pour vous souhaiter une nou-velle année pleine de promesses et d’espérance.Que la joie, la santé et l’amour soient au ren-dez-vous, pour vous, vos proches et tous ceuxqui vous sont chers.

Au revoir 2011, bonjour 2012, vive Regards Croi-sés et vive Sallaumines !!!

Bonne lecture à tous.

Christian Pedowski, Maire de Sallaumines

À l’occasion des vœux du Maire à la population, l’équipe de Regards Croisés a souhaité sortir cenuméro Hors série afin de vous souhaiter ses vœux pour 2012 à travers, leurs joies, leurs espé-rances, leurs doutes…C’est également le moment choisi pour faire la part belle aux jeunes citoyens qui ont décidé departiciper à la rédaction de notre journal.Ainsi, dans la rubrique “Jeunes et Citoyens” vous découvrirez la lettre-fiction de Camille quevous connaissez pour ses compositions dans la rubrique “Le coin des poètes”.Du haut de ses 16 ans, elle nous fait partager ses émotions :

“Monsieur Le Président,Je suis une adolescente et jusqu'à il y a peu de temps je pensais comme beaucoup de jeunes demon âge que j’avais beaucoup de chance d’être née en France…” suite page 5

L’équipe de Regards Croisés

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Le coin des poètesLes amoursIl y a d'abord l'amour maternelC'est celui que l'on garde toute une vieMême si celle-ci n'est pas toujours belleMais c'est l’amour dont on a toujours envieEt puis, il y a l’amour copainQui s'en vient, s'en va un beau matinSur les bancs de l'école ou du lycéeEt qui repart vers un autre destinEn laissant quelques larmes dans un coinEt enfin vient l'amour passionPour lequel, on perdrait presque la raison ;L'amour fou ! Et on se dit que c'est pour la vieOn se marie pour le meilleur et pour le pireOn oublie le pire pour le meilleurMais c'est parfois, hélas, le pire qui est vainqueurEt il y a l'amour tendresseEt avec lui vient la sagesseIl nous reste cela, quand l'amour passionn'est plus qu'un souvenir à l'horizonl'amour tendresse est encore làAvec ses regards, ses sourires et ses bras,Il n'y a plus besoin de parlerUn simple regard suffit pour s'aimerLes jeunes diront de nous que c'est un amour de vieuxMais, je crois que c'est le plus merveilleux Marilou

Sophie

Les enfants abandonnés

Rose de juillet tu es la plus belle fleurQue ton cœur transpercé de soleil, se balance légèrementAux va et vient du vent,Caresse tes pétales fraîches et magnifiques

La nuit a disparu,Voici le gai soleil de juilletLà où tu es née jolie RosaTu portes le nom de la roseQui doucement de son parfumViendra nous embaumer

Rosa

Annick

Les enfants abandonnésSont à la recherche de leurs racines pour survivreCar la vie est remplie d'obstaclesEt celui qui n'est pas épaulé est désarméIls ont besoin de soutien et de protectionPour faire face aux problèmesIls veulent prouver qu'ils existent aussiEt être reconnus à leur juste valeurAlors ils ne baissent pas les brasCar ils sont prêts à approfondir la vieEt être heureux malgré tout !

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La poésie mes amis,C'est la recherche d'une inspirationqui rejoindra nos aspirations …- C'est un accent mis,Sur les sentiments ressentis :Sur le vif des couleurs,Ou le gris des malheurs,- C'est un moyen de revanche aussiPour qui n'a pas gagné... toutes les parties...- De l'âge tendre à l'âge mûr,La poésie, c'est la concrétisationDe tout ce que l'espritRecherche : Le beau, le bon, le vrai, le purPar le verbe, par l'écritet par tous les moyens d'expression.- Paraissant parfois utopiquesL'expression poétiqueEst pourtant un des moyens de cernerLa plus grande réalité,Donc : « Longue vie à la poésie »... !

Expression poétique inter-générations

Michel Dincq

Pluie légère et fineTu nous chagrinesMais ton clapotisFlip – flap – flopSon qui nous enveloppeNous plait et nous séduitParfois, l’esprit songeurDe rêve et de bonheurToi ? Chanteur américainTu lui dois ce refrainEn septembre, sous la pluieEt de tes pas cadencésTu sais si bien danserPluie, tu sais aussi sauverLes plantes asséchéesEmplir les lacs, les ruisseauxCombler ceux qui manquent d’eauLa pluie c’est la vieAvec ses joies et ses soucisFlip – flap – flopArrête toi au top

La pluie

Jacqueline

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SouvenirsDepuis plusieurs années, lesjeunes du Club Ados parti-cipent aux commémorationsdu 11 novembre de diffé-rentes façons:En nettoyant le monumenten mémoire des disparusdes deux guerres, 14/18 et39/45, en collaboration avecM. Delacourt, Président desanciens combattants.

En sécurisant le trajet ducortège qui démarre dustade Vaillant Couturier endirection des monumentsdu rond point Stalingrad etde la Mairie.

Ces actions ont plusieurs objectifs, tout d'abord un devoir de mémoire envers les femmeset hommes qui ont donné leurs vies pour notre liberté, mais aussi pour que ces jeunesadolescents, accompagnés d'animateurs bénévoles, puissent devenir des acteurs de notreville et des citoyens à part entière afin de casser les préjugés envers les jeunes en géné-ral. « Jeunes, Citoyens et responsables » tel est le slogan qu'ont choisi ces adolescents etjeunes adultes pour accompagner toutes les manifestations organisées par la ville, sousl'impulsion de Monsieur Christian Pedowski, Maire de Sallaumines.

Le Service Jeunesse

Commémoration du 11 novembre

Jeunes et Citoyens...Lettre à notre futur Président de la République,Monsieur Le Président,

Je suis une adolescente et jusqu'à il y a peu de temps je pensaiscomme beaucoup de jeunes de mon âge que j’avais beaucoup dechance d’être née en France, dans ce pays d’accueil et de liberté.

Bien entendu je ne suis pas naïve et en voyant ce que nous déversentles médias chaque jour je sais la misère, la violence, la peur qui han-tent la vie de nombreuses familles.

Pourtant, du haut de mes seize ans, j’étais fière aussi d’être dans unpays qui cherche a protéger l’environnement, fière des hommes qui y vivent et qui luttentgrâce aux nombreuses associations mises en place pour aider les plus démunis, pour proté-ger les plus faibles, pour chercher des remèdes contre les terribles maladies, fière aussi detoute cette solidarité dont on nous parle à la télé.

Il y a quelques jours nous étions un petit groupe de jeunes de mon âge à visiter Paris, voyageculturel dans cette ville lumière où grâce à mon argent de poche je comptais m’offrirquelques cadeaux de Noël. Durant ces quelques jours, prenant le même chemin pour re-joindre ces somptueux magasins, mon regard fut attiré par une jeune femme, couchée surles marches d’une église avec ses deux enfants je n’ai pu me retenir et suis allée les voir de

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plus près, voici Monsieur ce que j’ai vu :Un bol par terre et une couverture déchirée en trois les couvre en partie.

Vous imaginez bien, Monsieur, que par ce temps, ils ne peuvent être bien.

La pauvre femme ne regarde plus les passants, elle n’ose plus être confrontée aux regardsimpitoyables, ceux qui lui font totalement perdre espoir, tandis que son petit garçon joueavec des cailloux imaginant le jour, de folles courses de voitures et rêvant le soir, de connaî-tre un repas chaud. La petite fille, elle, âgée de trois ans à peine, ne pleure pas.

Elle a sa poupée, ou devrais-je dire sa chaussette pour se consoler. Elle voit les autres pe-tites filles de son âge marcher aux cotés de leurs parents, dans leurs beaux souliers vernis.Et j’imagine qu’elle les envie d’avoir de belles robes de princesse. Sa maman lui raconte,pour s’endormir, l’histoire de Cendrillon, et la petite rêve alors qu’un jour, son prince char-mant viendra.

Elle voudrait être chanteuse, mais le froid lui permet à peine de parler. Avez-vous des en-fants Monsieur ? Connaissez-vous cette étincelle de vie qui brille dans les yeux de ces pe-tits êtres fragiles ? Cette mère ne la connait pas.

Elle voit ses petits grelotter, les mains bleutées, tremblantes. Elle ne dort pas la nuit, depeur qu’il ne leur arrive un malheur de plus.Mais elle s’en veut terriblement d’être là, sans ressources et sans foyer. Elle reste là, nebouge pas de ces marches froides, à penser qu’elle est une mauvaise mère.

Alors, elle pleure, en silence, pour ne pas déranger les touristes qui viennent profiter desfêtes de Noël. Le dimanche, la famille change de trottoir, elle gène les chrétiens qui veulentassister à la messe. Elle fait barrage à la croyance. Mais tous trois espèrent qu’au retentis-sement de la cloche, Dieu aura donné de la bonté dans l’âme de quelques personnes pouravoir un peu d’argent. Quelques pièces qu’ils pourront dépenser dans du pain dont l’odeurtiède de la boulangerie embaume leur estomac affamé.

Où est alors la solidarité de notre pays ? Ne serait-elle présente que pour les médias ?

Monsieur, je ne supporte plus de voir ce qu’il advient de notre société, de celle que vous,adulte d’aujourd’hui avait faite pour nous ! Je n’ai ni les moyens, ni le pouvoir de faire quecela change c’est pourquoi je m’adresse à vous.

On parle souvent de cette jeunesse désinvolte, irrespectueuse et violente, pensez vous quenotre génération soit moins bonne que la votre ! Messieurs les adultes, je ne suis plus si fièred’appartenir à ce qu’on appelle le genre humain car mes yeux se glacent de larmes en cettepériode de fête en voyant que certains n’existent plus à nos yeux. Je n’ai pas trouvé de ca-deaux pour Noël car j’ai trouvé sous ces lumières féériques une obscurité glaciale mais jefais un vœu.

De tout mon cœur je prie chacun de ceux qui ont quelque pouvoir d’ouvrir les yeux sur lesvraies valeurs de notre si courte vie, que 2012 apporte plus d’amour que de pouvoir, plus desolidarité que d’égoïsme pour qu’un jour mes enfants et les enfants de vos enfants puissentêtre fiers de notre société.

Je vous prie à présent, d’agréer Monsieur, mes salutations les plus distinguées.

Camille

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La France est un magnifique pays et nous l'aimons, maisparlons un peu des autres pays d'Europe Centrale, dontla plupart des habitants de notre région sont originaires,comme la Hongrie dont mes parents sont issus.Moi, étant née à Sallaumines, j'y suis retournée à l'âge de11 ans avec ma petite sœur de 10 ans, pendant les va-cances d'été en 1937, dans la maison de mes grands-pa-rents, que je n'ai plus jamais revus depuis.Là-bas un de mes oncles m'avait emmenée en bateaud'Estergam (où il y a une magnifique basilique) sur lebord du Danube. Vingt minutes après nous étions au vil-lage natal de ma mère, à Szob. La capitale de la Hongrieest une belle et grande ville en 2 parties : Le Vieux Buda(OBuda) sur la colline qui surplombe le Danube. La villelégèrement plus jeune est Pest, centre actif et commer-cial. À elle deux elles forment Budapest où se trouventles bains turcs toujours actifs, trace de l'occupation Ot-tomane pendant 150 ans.Cette occupation faisant suite à la longue occupation destribus Magyares et des hordes d'Attila qui menait cesHuns et avait fait de la Hongrie (à ce moment là, la Pan-

nonie) ses quartiers d'hiver. De toutes ces occupations sont issus les nombreux mélanges dansla cuisine qui est savoureuse, la musique Tzigane et l'amour de l'élevage de chevaux.Il y a deux Puztas, grandes plaines herbeuses où se pratique le dressage des chevaux par les Csi-kos, cowboys en costume folklorique, très forts dans l'élevage des races de chevaux d'attelage.La mer à l'intérieur est le lac Balaton (plus grand lac d'Europe Centrale) dont certaines bergessont couvertes de vignobles (le Tokay). Les plaines quant à elles sont le domaine des oies élevéespour leur foie gras, exporté dans le monde entier.Tous ces éléments rappellent le chaleureux accueil des Hongrois, vis à vis des autres Européens.

Mémoires d’immigrés

Elisabeth

La Hongrie

Depuis la fin de l’année2011, 12 volontaires de l’as-sociation Unis-Cité sontvenus prêter main forte aupôle gérontologique deSallaumines.

Huit volontaires partici-pent au projet “Famille enharmonie” et 4 se char-gent de l’action “une vi-site, un sourire”.

Toute l’équipe de l’associa-tion Unis Cité et celle dupôle gérontologique muni-cipal vous souhaitent uneexcellente année 2012.

SolidaritéLes volontaires d’Unis Cité

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HistoireBorne impériale sur la Nationale 43

Quand la nationale 43était Route Impériale.

À Sallaumines sur laroute nationale N°43 setrouve une borne kilo-métrique d'un type par-ticulier qui neressemble en rien auxbornes kilométriquesque nous voyons surnos routes nationales.

En 1880, sur la RouteImpériale, pendant lerègne de Napoléon 3,bien plus tard appeléeroute Nationale 43, setrouve une borne kilo-métrique.

Si celle-ci pouvait parler,elle nous raconteraitbien des histoires, desfaits de l’époque jusqu’ànos jours, les guerresqui se sont succédées…

C'est un bloc monoli-thique finement taillédans une pierre calcairedure, de forme d'un pa-rallélépipède au sommetarrondi.Le dessus noirci par letemps est lustré, voirpoli, par le frottementdes gens qui se sontassis dessus.Ce lustrage lui donne un aspect dont lacouleur rappelle le marbre “lunel” des car-rières de la vallée heureuse à Rinxent (Bou-lonnais).

Sa conservation est assez médiocre, ayantsouffert lors des combats pour la prise deSallaumines, qui se sont déroulés entre le1er juin 1917 et le 12 octobre 1918.

C'est la seule borne kilométrique qui aitéchappé à la destruction totale du village.Elle a aussi souffert des graffitis que cer-tains mal intentionnés avaient la mauvaiseidée de peindre.

Sa dimension est de 45 cm au dessus du soldans lequel elle paraît bien ancrée.Il semblerait même que la borne s'enfonce

dans le sol car au bas de la face Nord, l'ins-cription (3 km) devait, à l'origine, être plushaute au dessus du sol.Il est intéressant de noter que cette borneimpériale fut laissée en place parce qu'elleétait à son kilométrage normal par rapportaux autres bornes kilométriques.

Notons que c'est le seul témoin restant surcette route appelée route royale en 1753 etroute impériale en 1861 et route de Douaien 1888, dates trouvées sur le registred’état civil de Sallaumines.

Nous ne dévoilerons pas ici son emplace-ment précis.

Arriverez-vous à la trouver ? Cela vaut lecoup de se donner du temps pour décou-vrir ce patrimoine Sallauminois.

Carmen et Cathy

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Tous nos voeux

L’équipe de RédactionJacqueline - 82 ans, Jeannine - 86 ans, Olivier - 37 ans, Rolande et Alfred - 66 ans,Saâdi - 48 ans, Monique - 62 ans, Pascale - 48 ans, Carmen - 75 ans,Sophie - 79 ans, Monique F. - 57 ans, Marilou - 69 ans, Ginette - 80 ans.

Vous souhaitez témoigner ou faire part d’une passion, d’une expérience...Contactez le comité de rédaction au : 03.21.70.70.49

Olivier, pour l’équipe

Carmen

Toute l’équipe de Regards Croi-sés se joint à moi pour vous sou-haiter une bonne année 2012.

Mais qu’est-ce qu’une bonneannée ?Pour certains, le souhait de pros-périté sera formulé, pour d’au-tres celui de santé, pour touscelui de joie…

Nos vœux se rapprochent sou-vent de nos désirs, de nos at-tentes, de nos ambitions. Ainsi lapersonne sans emploi, n’aurapeut-être pas le même souhait que celle qui en a un. Les priorités seront certainement diffé-rentes. Il en est évidemment de même pour les personnes souffrantes et celles en bonne santé.

Un vœu commun est certainement celui du bonheur. Mais qu’est-ce que le bonheur ?Là encore les attentes peuvent être bien différentes…

Alors, je vous souhaiterai, au nom de l’équipe du journal, une année 2012, remplie de petitsbonheurs. De ceux qui ne coûtent rien, mais n’ont pas de prix : des rencontres, des visages il-luminés par la compassion, un coin de nature à découvrir, une personne à consoler, une his-toire pour rigoler… Bref tout ce qui ne s’achète pas, mais qui donnera un but et de la joie àvotre année.A tous meilleurs vœux pour cette année 2012, pleine de promesses, je l’espère.

A tous les lecteurs de Regards Croisés mes souhaits sincères.Ce n’est pas une simple formule mais cela sort du fond de mon cœurpour que cette nouvelle année soit plus belle que l’ancienne.

Pour 2012, je vous propose cette recette à déguster sans modération :1 kg de joie2 kgs d’Amour5 kgs de bonheur1 pincée de sourire2 cuillérées de chance

Mélanger le tout avec douceur et goûtez y, nous vous le souhaitons !

Au revoir Juju...Le 26 décembre 2011, Julien Mahieu nous quittait.

Toute l'équipe de Regards Croisés adresse à son épouse, Monique, ses plus vives condoléances.