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, Laure BERGE

M- Laure Bergé, que ses parents destinaienJ à de modestes emplois. débuta dans la carrière du charu en se f,;1sant entendre. à 14 ans, au 1ubé d'une petite église de campagne. Sa 110ix fit sensation. Mais Satan veillait. Pour prendre une ame, le dé­mon de la musique sortit, ce 1our-là. des ténèbres dont s'entourait le bénitier. Cette ;eune artiste, pénétrée de musique sacrée, le Diable fil en sorte qu'elle s'éprit de m11s1q11e profane et qu'elle rêvât du Théâtre. de ses pompes et de ses œuvres. Un coup de tëti• la conduisit, à 19 ans, à Bayonne: elle y débul<J duns fous/, rôle de Siebel, aff11blée d'une loque trop petitt'. d'un maillot trop juste. de souliers à talons Louis XV, el tremblant d'un trac fou.

Elle s • t'n lira pourtant !li bien que le dl recteur lui fil chanta • l.a ra1·orite '" lui octroyant, pour ce,

nes - ou les mondaines tout court de l'ancien ou du nouveau continent - qui subsidient mime des scènes officielles, pour le plaisir de s'exhiber - et donJ le TouJ-Potin enregistre avec intérêt les exen­tricités rArt s'inscnvant avec un grand A sur le pavillon qui couPre la marchandise

Celles-là ont ignoré les débuts difficiles, les voca­tions impérieuses poursui1•ies à tra11ers les mille souffrances dt' la vie quotidienne, le calvaire des tournées, /'humidité des chambres dites garnies, les directeurs TTUJrchands de 1•iande h11maine, les nau­~t!es des buffets de gare. les cachets de misère, les costumes misérables - celles-là n'auront 1amais à la bouche un pli amer. ne sauront jamais le prix dou­loureux de la i·ie d'artiste •

? ? ? an cacht•t royal de cinquante francs! Et, ce soir lu, ce fut dramatique: le costume que C'est après des années quelquefois cruelles -

la paul're pclilt• étoile ai•ail loué pour le prix de l'mgt de lui/es 1•ail/an1es que Laure Bergé s'est fait un francs et qui la serrait affreusement _ se mit à nom. à force de volonté et de talent perdre en sc~ne toutes les perlPS qui le garnis~aient. C'est d Bordeaux. à Alger et à Lyon que sa voix Et peu s'en fall 11t que" La Favorite ., éperdue, de- éclatante lui /il conna'lre les premiers succès de vant une sallt• ltouleuse. ne glissâl sur ce semis da scène. succès que consacra dé/inili11ement une tour. bijoux, 1usque dans le trou du souffleur née en Amérique du Sud.

Inutile Jt• dtre que la reprêsenlation s'en ressen- Engagée par Maurice Kufferath et Corneil dt tit... Thoran, elle débuta. en 1919, d la Monnaie dam

C'est qu'il y a deux catégorie d' artistes "· dt!li- Hl!rodiade aux côlés d' Ansseau et remporta ur. milèes non p.ir lt• Ji!t'nre de pièces interprétées (il triomphe. n'y a p.is de '!t'llrt' proprement inférieur: les 1empc- nepuis lors, elle fut tour à tour une Sapho dou. raments Jout's peui•ent se donner carrière dans loureusement !'raie. une Tosca 1alouse el i•iolente tous), mais p.Jr la f.içon dontles «artistes compren- une Aida à la voix puissante ou nostalgique. nen/ le 'Ilot artislt'. Il y .z it's chanieuses pour qui le Peu d·artistes du chant sont mieux servis par Il. théâtre t'sl un IM)'t'n et qui bâtissent leur réputation physionomie et la plastique que nel'estl.aure Bergé sur une ralame adroitement obtenrte, il y a Trs mar- lnccssu patu1t dea: l'allure est étrangement majes chandes 1•end11nt du rhunt entre autres choses t11eusc et imposante: 'e profil a la p11reté d'un anli ainsi q11'ellt•s uuraienl l'endu des pommes sur I<• que: crinière courte el drue, épaules magnifiques et carreau des lral/,•s ' il y 11 les l'agues demi-mondai- commt• on dit en argot de coulisses. un " coffre •

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888 Pourquoi Pae ï

,,~ni l'ampleur cxrlique l'exlraorJina1re i·olume de la 1·oix. ,h'cc >CS attitudes digne> de la meilleure tra­g<'d1c. elle }ùit J'une c.ire un manteau royal, d'un u titi .. unt' /Wre, d'un parapluie un glafre! Ses ma111s sunt spirituelles, le:. bms sunt faits à la scien­ce Ju 11i·stc cl les pied:; sont pusê~ tels ceux d'une dans.·use .• -11011/e: un balancement de tout le corps, - disant le Jond de race basquaise: telle est la rnm;,1 Juna Laure Bergt;.

A notrt' époque, uù la 1emmt' ltnd à se modeler sur un patron " en série '" celle solide fille du ,\liJi froquc une Thiroigne Je lU~mCJurt ~garée dans un dancing.

Le m.isque est tourmenté, changeant au gré des insprr<1tiuns tumultueuses tuut dt• :.uile cabrées en enthousiasmes l'ibrants, en admirations exultantes et aussi cn colères sonores . .

Sous le }ront droit et 1•0/ontaire, marqué de ces ridc> hori:un~ale~ qui disent la réflexion et l'effort, deu:i. y.:ux extraordinaires portent très haut. par­dessus les mesquineries de /<1 1•it• quotidienne et de la vie tht'atralt• en pilfficuher, un n·g.ird fier commt une lame d't'pél: ou sombre comme un soir de ven­detla .

. ,i Bruxdlcs, Laure Bergé .i connu tous les succês qu'une <1rt1ste peut désirer: la manière dont elle chante Alceste, Fidélio et, dernièrtment, Armide, la clasSt' pJrmi lt-s meilleures tragfdrennes lyriques; sa personnalité indiscutable lui rermet d'échapper au danger d'étre comparée à telle ou telle autre inter­prète - du reste, peut-on comp.irer des artistes entre eux .l

Avertit• de toutes choses d'art, s'étant créé une culture en littérature et en pânturt'. elle met à l'étu­de de ses rolt s un soin ialoux, amplifiant ses per­sonnagt•s au roint parjois dt• cc les faire sortir du cadre "·

La saison dernière, elle nous donn.i une Carmen qui certes comptera parmi les plus curieuses: en s'inspirant de lu littérature espa.~no/e et de l'œuvre de Zulaoga, elle fit de la cig'1rièn• une silho11ette moub/ia/>h•; sui1•ant le texte de Mérimée à la lettre, die fut l'amante atrocement cynique, l'aventun'ère siniStrt'. racoleuse de désertt'urs. la gitane fatale

Cette bel/,• audace ne fut pas comprise par tout le monde: certains furent choqués: ne détruisait-on pas dt'i'ant eux, d'une llWln rmrie, les plus chères

'Lu XI "'- I S,A VON EN PAILLETTES l'\e rétrécit pa;. le1:> laines

V

traditions reçues~ Cert.iins, Jonc, drrent qut• c' étai.t dt'pla1sant " et " impossible • : cal.lins nrenl; la

sali<' }ut houleuse - et l.i 1eunesse trépgn.i J'en­thousiasme, acclamant ctlte incarnation qui nous élorgnait, d'un geste brusque. de r.i Carmen de fê tes d'amateurs. aux allures 1•uluptueuses, au so1mre étudie, aux œillades savantes , aux châles compli­qut's aussi éloign.ie de la 1·énté et J,• I' t'SpTlt de l œu1u, assurJit-elle. qu'il est possible de l'être mais si " 1olie ,, et si cc plaisante '"

Est-il de plus belle) querelles que celles que sou/l­vent ces efforts inspm's par la seule préoccupùlion de r Art et cette soirée discutée, m restera-1-elle ras dans l'histoire de la Monnaie, parmi les plus digne de m~mo1re ,l

LES TROIS MouSTlQUAIRES.

Septembre à la Mer 11 ~ b 11 11 1.f .1 ,.. • ~ _ qua

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BRADERIE

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rn.Pnl. On 1.lf'1l.1 .1 \011~ l'•'[HJU1ln• El rda vous iudigua. _nfrn, .parut 11u \Jl'll\ lturd1111111nr. de gtJrd1en mal grocitu\ i.;-l-1·1s 111· 1u11s, l·~all'IUl'Ul mnl gradeur. \'ou~ lui dit." : Je 6ui• ('.111w111u 1 •· t:11 homme simple r~pondil: J" .m'1•11 fo1.11i ! "· JI 1guorni1 '''Ire gloire pat;'-<~. Ah !

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Q 01 qu'il en ~11. \1. Jl, r•tol lu1-mi!n~ nunt pro< qu'en 110:1 pornt.o "" ntrcl• d• son pt grommc <!tait liqu1tl.1hun 11~ li1 l\uhr. on 1~· \Oil JI•.,'=. lr, t l1ie11 ~n 111101

tl,.,.larnhon de li ·11i,1rni• JIOUl3JI ~;·ner à t• 1•<>Wl I~ l' <:dent 1lu con.- 11 fr 1 ç '·

Ce q111 e-t ~rai, ncus a•tur~ t~n de lionne JOure•, c' qm•. prWccup~ par-Jc«u., lout d~ r.illttr los An~llll m1t• 'olution pr ""'lllJlilt• à ""'' parl~uwnt, \1. llcmOI trnrl les Mlë<.'u1$ IK-1::. s un peu pu-dc.<5<JU • la JltD

tt Qllè ceux-ci ont d1mn~ J'am;ir<"S,ion qu'ils .ais• c

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tuel t•I le re.o d~ tito 5 l!P. titrorn.

1110.-.os Dl: LA MEvSE

LA POTINIERE DA VE..SOR1'. llOTl.l..REST,< t 'R.< 'VT

Cures d"alr et de l.,onson brut 14

La grève du Borinage

rn.sE'i \IOL~EL.

R; " 1 \t,

Tite-Live

11,.., s n- »lnl nou~ rH? '.J\Oll~

b1 n br, '· 1b

En ftl•~ ri en l>0ultille~. ·1 dc1•hone : Urux..lks ISG.08

J , rc r

8!H F our.:iuoi F as ?

* Que tous ceux qui ~ont nh d'un p~re juif ou d'une rrère jul\e S-Orltnt d'ici~ •

Lt Chri•t de;ccnd de '3 cro.x et, 5apprO(hant de H •ar. 11 lui murm~re douc~ment A l'oreille:

u Yiens, ~amuel : il e<t t ml"' qu~ 11ous portion~ au~,j :,.

IA'3 EtahhsS<'n: nts do d gustation a S \\]E\L\~ 1>. en lldgique, sont lréqu~nth par tout lin connn1s•eur rn \Înl de Porto.

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- llo1 -r, Ju1 c1pœc-1-il. JC SJb 1~ dircrt~ur de l•gcnoe ae n...: n m<-nts \. L On m'a r.- 1 1011!. d,. i i.

< ût"; d1!f~1 ·nts, 1tos rensc1gnrrnrnt~ "" \'Oil'. Comme je n'en po l'as J ai c-0n•1Mre que le moi en le pJL, xp~ihl et .... 1 de 1< Il' \Ous en d rnJnd• r. !'on inlt'rlo "t.ur le lai~ hro•I• r ~udqu!'S in,tants sur

C< thème, pu1-, bnJ.>c; er-e"t, lui Jcrnande : - ComL n to ha-\OU.S, Mcœieur, par rerueign~·

ment fourni ? Cent fœits l répond l'autre 8pn's •1utlqœ hésita­

i· n. - J::h h1 n ! ie \Ous 1..-.. Joonern1 c~- rtn~i;.-nern~n ,

sur moi liai• 1ous nlltr mP rtlll"llr• d'noord Il 11101liè

de \ tr i: m, so11 d~ux foii; cinq~nte r 11nrs : moi non plu , \1 ur. J•' Dt' trau: lie 11:i;o pour rien .

Et, ce 1•1111-l.'i, la C<•ll\e~31lon n'a' a 1 as plus I• in ..

C1garell: far k\1or titra n• 1 à 1.00 les ~O; n• ~ à 1. 111 lta ::n

t l u; s outrts num ros; la rnrnolle J œ JOUr.

Ille a a a

!:I ~.~ .. ,5ï.., plus aisée,

plus aainc. plus ~ccr.~ . • c.

w-mr a Rt:l'lliiT ....,

L'indiscret bombardement

l.enconlr~. en 1il1<da1urt, uu ~ffi.ie1 1l'J1 hll•'rÎ< a1an1 lait la );llPrr<', ' ' l<'<JU<I nou.; a1ons 1~11lé d'mtrrn,"ma­b " ba-.u.s, .. ~ s con J.,hll~ po -1blM, a Trou trt,. th• r, p.ir < t t l Io plu\ lell\, Jlos oOU\cnirs Je J,1 gut'rro, uatJr m nl, l Jjour; si pa•,ionnant• dan! la Loudic d" ~ m q r~r.

1t 1 nJ (' ·•, 1mpr• .. ~1vr. u.um nt curt'.use: f « \ngl. ;,, n Il' ' 1 11ollc hrn1n!Jk t&no;('ur, ét.1~nl

fll general (t > ·f. bien ent<ndu, JIOur 1'.irhllcrie de ma­rmc) d,• li h\111 arhllcu1>. Ils rt'ptrn1 nt mal, ou m~mc ,r, ne repo1a· nt pas 1111 tout cl rm01u1en1 lt>urs obus .111 pt· Ill l nbe • Or. d 1 t moi· n e de .... ~i.reux pr1-

n' l t ' .1s nt pour 1 rne.'1l1 co n~ ~ tfu thrrHtnchc Jt. IA::i fro11ço1' t •

.. tf s pomt ,1 r"i'lllll!OU, dœ i.:C

de$ cw1• • r<> ; r.oos bJ·

•ions des tirs cl,, barragt, tout oe qui regarde, en on m~t le m&lier lie l'orlllleur, On •Y altcnda1t, do J'outre côl Mai• ces pruneaux qui tomLaKnl au rnomtnt ou on etait k molli' pn-panl, dans un corn p•rdu, dall5 u p.HurP.. ot11r dt1j lUi'"in1'!(1 tk" t•n1plJc1•111f'nt.s rlt' tO\lt r po<. c 11 111justr, inq111/.lanl a11 po»1J.lc. On n°<l<lll plu " l'a. e nulle part. t; tlll1t, au pomt de nie mc.r.il. pl dlicac.· que nolle tir ratitnnd '. .. .

C1g;m:lli>S F.xc kior lltra n• l à 1 01) lt. ~O; n• 2 n 1.10 lt. ~\)

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Les animaux à leur place

Suile du pd11 ~u au11uel, dwd~an~11, u~< 1 leurs o pris goat :

Animaur à /tur place ln J.loi• ~au 1lau, un ,alon de coilfuro; l nc pute à l'oreille; [ne rl1e\re ch,, un • ntreprtneur; ln poulain ch• 1 un prol••:t,;eur ile f-oxe; ln 1110~ 1lar11 un hurcau tWgrophique; l' n H'tlu dans une kij:e d'art ,te; l'n • 1apau•I 1lans untardin d'enfants; l' n pou dan• ln rue llb<'S ; [n boa C~Z U!l IOUIT<Ut; rn ti<·rpent rrachcnr ch z un marct nd de poraplu1 ln 01a11~-0111.rnz a la ~·'Cl~te de; \~llons; ln rh t n dall1S 1..N b ~ue ; l:r • ir.r.!e dans la Nlonne du Coniires; ln pot"~1ln \niant 1IDn~ une r<c:arlr11lo d"owinns: l. ~ poule d'~au au Crrc/e d• l'.lt on (dédit! 3u

t ur Dn cpondt) : Lint' c-l'tn~sue chtr. un pharm3cien; l ne rhaU1e-sour1<- ch • t., co1ff, ur. ri!(' i.e1rht- • n bou<h ; ln n11lan en Jt.1h~, Vn r•rroqul'l nu haut <l'un m:tt; ln pic da~s 1 • \ œ • • : l ne 1 h:-n1ll • 11 1i.s une 1 lln. n ; t'.11 IOUSEI Il l 11Jc; ln Illon dans une chnn.."-On ; Ln t h1 D sur un r • 1 : l n ho11rilj..1n tl.m~ 1u1r tour 11'c_li~: l ne mou he u Lou1 du n 111 t; l 111.n d de 1 Ji,, ép ules; 1 u t.,.1rbeau 1lrins Uf)tl ~~lice: l 1ie bal ine Jan• un cors('! ; Q · ranlc cl: \aux daz:-< un po!.

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» Lor&que fut >enu le jour d~ c. Ile rencontre officwlle, le 11<>U\erucur ..e !11 pr<~enttt le mooar que noir tl, cor­d1.1lcmenl, lui di' :

• - l:;lc'-\1 "' , 1,r it. mon run.i ? On n:. d11 que \OllS snet le lrar.ç. . :- •o 16 ucz 11uclquc chooe a me J,._ manôer, parlei nn5 cr rnP.

» lie \ICU\ Ht-.:f't.. n ""'nt.-ndit natu "• mrnt ritn ,à c.t~ spl'<'Ch : mai<. c~mpnmant qu'il lalla11 parler, il se camp;i rr:ineruen1 ri. cutluialcment, proftra-: - !:ne houri.-eo~ a1 ec u11e banane !

Et d'un~. I.e rnên.• jour, au touper, dan• un rc•taurant prbs ile l!'lre du ~on!, un 1:3rçon malicieux rlpHe une com-

an<k rcç~ A une table \01sme de Io nOlre :

• - \ la ~nt;, ,\ndré ! A la 1 cnn•, t:1,.nne ! Tou t pour 101, F r.i~ço;, ! \"2<-lu finir, Ca.;1m1r ! Et 14 tiœur, IIOU\erncur ! ~an- rancune auc ·- ! Et ,-i,e les pommtt de ltrre !

- rour J.ladame, c'~l UIW" glace tl llonsieur, C0 t'•t un~ . t ! t » L·bomme qui n"ua11 jarwu- ri lu lit tomber en ~iu­

copr • Qui donc a\ait prep:irt r~ coup ? Il rei;arda, l'un 8p~< l'autrr, J,, loll(JiOnnarrt, pré•Pflt<. l'as Ull ne bou~,a. Ids d,. p.,tach "qui ont la't UllC r.ai: ure 5èrit>use. SANDEMAN n'a que dea Vina de choix

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Or, je u'rü qu'uu•• di.•.Me en plaine. que jfll ruaio rh .. r~ d'ftil. lieurs, k1 ~t1t5 propr1tt:ure~ qui roto Jouu t le d'!'Oit dn chaue a,·ant •ppri.s à doublu O!J tripler lrun H\f:'tlm, et lrs fM· u 1<>r1, <101 compttnt k.! digAts à ra D d un franc la l•ttt. uve •himtt, 1na.u:re:uit. et rne C"hndiant. culle naian

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trois T1tillrs p+rdrix. J ·A.i n plutielln hhTc-s, qai ptt1téme.:.;it m·ont montré ce q .o iou\ le m<>cde <A<h•, d IOC< filH ~•n ln 00:.. Qn<lques !a1.1ans, que J'•va11 dU.aog<"1, H aor:it. l<"'h tn protestant. de le-...:-s cris nuqo~s, commo dn ~o:-111 qoe l'ein provoq_ufo, i.la m"oat, t:n me t.ouruant lt ... dos, la.usé lrur • carw dt TU t• • et. :&ODL aHés r"Jo1ndre I~ hhrts au boa.

.ilon, re::tré chu moi, four~•. d«oun~•'. dogoûtani de crctr.n, diE~ua.nt d plwe c:. d#goCtë de tocn, J• me au~ tlem.'lnrl~ comh1~n lt baron d' \ côt.a 1~1~ lui, ~n pemu1 do port d"armn. r.est q'C•, mOJirAD.Ant ~ francs <"Omme moi, 11 a b ~~lOn d• t .,.H b perdnx, comme moi; m.&1S j} aura la lhAncc de r .. trouvt-r, le 13 ttptembr•, lei lienn que J• ne nrra.1 pfu1 i au ltr oc+ brie-, les eoqs lai .. ~' qui Mron\ nctr~ d.ans se. botS, d, quLD.œ JOUS plus ta.rd, il poorra roeore 11rer: ln poules a.eronL là 1

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I - u::.I l - • ? 897

NOTES DE ROUTE Si ,, 111oi. d'aoat rt ''' premiers iours dt upltmbrr

'à!aunt pal fli 1i mlan11trur po•r findu1trit Mtr/iht, 1Jtl'1, mol•>t, ,.,fr.1ari '' auto•, dtpuis /iJ plu• modtilc or,/ 1u1qu'11 1" 11/u1 in10/n1tc lfol/s.flo11a sr 1cr<11'1ll bnus­uUi tur lr.f ro11/1·a tir .\o,-mantfir tt dr Brclnr1nr. l.a quel· ion d11 ''""''.!' t>I /''"'' btti11ro11p 1/iins (af//111 n1·e du 1run•ir1must1·~ /t1tmtrn 111 / 1·nruc ru gtnaal rl dmts fitr f'Ol"lfr ,{,. fo / lllllft', UWtt /i'>ttr nollt, J:t/flt."I, i{ t/ li

'm1IHI nllrnit1: fil <nrdioliti4 ,fat(lll'Î( d'uru 1101,ulalu1n 10/irir, 11nt1 urfr ri d'/w.mrur ln:n,·l'olr: la srnsatfon J*y llr, 1inrm rhr: ''''· 011 111r1Înt rht.:. 1/r~ amll td1 71ro­liu. /.rt tOU/•t .fr fu11/ rlr fMtdirr r/uqur11t qur/qur{oiJ a11t /, ralmr 1lr 111 /•tlilt 1 il/r: mail <• 1on1 dr1 ci>upl toil'I. /Ullr et qu'il {a11t pnn /arrr •stimrr la foyauti

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/1lrnt r•/ii i1· ti /,1 mrr d'a:11r rlri l'oi/rs .tr [iançü; Carnac, /ab it1~ de lumulus tt de 111t11/;fr1. 111onitruruJtS moû­IC<nJ de granit d< ce sol •tlrifr: 81 r11. 1<r t•irillt tl rude {orl•rr u, rlo111 /(port dr guciu p1ul abritrr, o lui 1e11/, toutr1 le //otf•J r111l1tairr1 du monJr: lloban1nar:.01ec1u banc/,, de 11trdi111rr<1 qui 1'ruaim•nt 1ur lu qwais, 1o1ttt1 no1rr1 parmi lt< rougrs ptrht1cr• qui ont l'air dt lorçot1 qui lcrtra le dramr de la Carmm dr fa /'ntu" cl t6U

de rrlle clc la m1111u{a<1urr rie 111!.au ?1; Quiberon, un di­moncltt '°"· arrc us rnotrloll emplis tir rafr111l01 ri brail­lant tl1tr111( la mrr, lu~ 1faro1r lu1ttu lrur1 /rmmtt, artc 11 r {11fïr/itn~ ml'Jn°11ft n/1 rtn~ Tt ioy1 ur 1/r: t·Ü'rr1 mtlant /, 11rt blrds tondç cllr.t bl1111r· b mrtrts poi11t1a clrs /tmmts 1(14 (H '~'J1/r ...

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1a9r1 d 11nruu rt lt m1111ho ,/t' 111 MUlt qtlf i-o11.r rouln Jct11<. c'ctt • patant ! lt puu, Ir pa11Ïtr, f•l roui fiche dfl <nl<>flon1 l1irr, trnc:. •iw r6ti cl, l.ancnfr, f111 <TU qu'Oll tnml1ai1 11 /''' du haut ,full• [ 1/.lisr: •Î c'itait à rr{aiff. Il' mr 9101ull,.rai~ .~ur mes fulltu. P1>urtllnt, Ou<tr tait 1 /~"'. aire lui. pa< dl dnn9rr .. Jfm•. 10111 de mtme ...

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ile problème des oranges li.· r·; nombreux 1 .. , t ·ur~ nous ont e~plique, souvent

l\ec b.::aucoup 1l'humour, le petll problème bruxellois ti•<S orangt~ q•Jr' notis an'ln:"" tfonnè dans notre dernier nu ... mHo. 11, •ont 1rop. lmpo--ilol<' de reproduire toutes les !rltn.,,. Co11ten~11s-noùs d·unprimer œ~ trois specimeos.

D'abord, la ~.,f1ition loult: nu~. ~l l'on p~ut ainc::i dire:

Chrr c .Pourquoi PM! •. Pouf ne pas !:1.1.!Jtio cooiiaut-ia perti. .. teie du.rèlè l'iDjU&tico

J!) [likke )fie A l'ê~ !'d de 100 brave petit men, expliquons.-ltJi uen \'lle le c fr n.e toml.H! trop cow-t • pa:r .euil~ de l"ing&.

nicu1e c:omb1n~ du paunoe 'chand d'ora.oi;t!s. l• En liquiJn1t. !~ fot do trcute or.1nges, par denx pour un

(Ane, l'opér.>tioo do vrr.te se reJlroduit. cininze foi!ll; ~ F.n liquida.nt le io\, d~ tl'-enté- orang~, par uoia pour un

fr.ir.c, i·°"'r11.tfon d~ ,~emo !" reproduit dix fois; Or, f'D llquidar.t le l4t de soixante oranc_tt p;sr c1oq p0ur

dtux fnncs, œtt~ op~ratlc•n de '"ente ne ae nprodult qoe doue foi ..

Il y a Jr,m:, er,tre Io 1° (\·«'nté de deul: orange-a pœr UD

franC!) et la iren!.· J" 20J:t::snte or~rr~e& pour dPux frana, une 1 fiérence, d l'!"Ols ttrutis .~ l'n.\'lllll.itgol dl! D1kkf' )11c.

C. &011l lo dçr~aret c troi. oranies pour un franc 't dont l prc-duil. • ù howtC'a • lt" roffr~ rort. de !a rw d1t la Rasiènt.

E. O. Tin.

???

1'11 '· 1oici Uni' m~sl\C loi~n liruxrlloi;e, adressée à Dlk~ ""' dle-m~mo:

Chère [l1kkc )fi~,

• Pourquot Pas' • noua raconte que ta a..11 donn~ d~ " Jd,tb • a ton tils Pa:tJo 1..1 e.!:·m.111!'-' pl\..'lf;l:.e.

l d1 m.1ude Il -tet 1-~tcurs de t'r'-pl1quer pouup1oi ~u n'Au· nu pas d~ l.o !aire; c\i~t:. J~n qui ,'\ ét.6 ('O dtHnut. Pict.jo no l '3 11u .c 1lngn6 • un fr,,

't1o1n fils JUii r. ~t pn.t llD lic.n mllthêmAHcicn, mais c•ee:t d~jà un rad• comnu•rç .. ot

IJ A ja:, ~ nmJre, p.u IOD (~ro 6ilÎXAnt4!1 OrADjtt'd. à raison dt 1ru1 po a deux fraot.:!1

L1 n'al'n. t p&.s 1on~U qol', pou.r ::Lrri\W à .so.n compt~, il d~· \1Ut n·ndra l'fo~t oro.n;;œ à deu.x pour un franc, et. eon frère tront(l ornngo 0\ Lrl'li.I (\OUr DO fra21c, ço qui fait \·10gt franC5 en tout

.h·u1t d'~Ut"r J"llCt au c rnù'('ie cou[>E'Ïe •, U attraiti dù vcn dr,,• dix ortng~ • df!'UX pour un frnnC', et: qui aurait (1\.it cinq h111.rn .. -

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l'ik.ke ~fie, il ('.$1. prolJ.Jble que toi non pins ta n'u paa cal· cul hito -..t. 'lu" tOUI\"~ <'~Ji n.11Hcat10M to lai,.,.t'ront. chna l'alti· tude irouh.·uif.ut fllt'JHl.MJltc que tu u prlAO t·n m1~ h~nt, ~ti· ~ .... •t:.. •1Qt>;l• n1 tt s nion .nu d;i111 dei chœes pour Jc.&qut:llr" J& fJf' LI.ou r.1• 8-\'0ll' • d' fl':ur~ ., cc ••

Cb.1.1\>Qnnier ~ t rn:i:itre cl.tz- ~ci

~nltmfnl, ~t.itkf'. 1.ai~se-moi te dire c:Pei, qui te comble.ra d•Ai!6 eit qai tei fera regagner large.me-nt. ton franc ttop cotan. • quand tu ach~teras ~ncore dea ora.ng1!$, (lrt"nds-tm 100 aa lie a. de 60; ton fila Jan t ·a pronY$ quie aon ftèr& Pi et Je t &t upah\e, à lui seul. d'en v('ndro la. muiué à. la Porta dt' Ra'• e:L celui qui a découvert la ch060 ut apabJe d•r:n fair• "u moiD1 an ta.nt...

Reçoi•, Dikko Mie, le bonjour symp•t.hique do Ion ami. SUJke I.echarlitr,

Marchand de c.uico1I01 c o • ror 11t roip H11ote.:

?1?

Enfin, oett& c.xplicalioo militaire et non moins élégante :

Cher • Pourquoi PM? >,

Volre c pelit. probl~.m~ bnaelloi.s a a auffi~ammtnL cnciru-6 mes mlninges pour qne )6 •ous H>wntlte le résultat de mel lfntn rMlcxionJ.

Permettci:·moi de do.nnf'r tort à Dikke :\lie .. J~ n·~~cwe nt ta brute.lit$ ni son &\·iri1té. c No bit('& au:x t.nfaJ'.lts nullt pPine ... • Et. puii, qu'elle '!lurnHlla <:e courf!ur do Jan, qui va jouf"r • radire coupeit • alors que 501) fr~re t ra,·1ille !

Sa comprébemlon merc:tntile do la ,·ente à dea prix diff rent~ d'orange.$ do la DJtm& UÎJ".t>é ne vaut gul!re mumx d·~ Jeun quo ao:n :.J--.t-èmo éducatif

Pirt.;e s'est perdn dans t'e.:!i 6nes.'i<'& et il a vendu 1l' lou\. A un pri."t qu'il jugeait. mo~en. n n'o oubli6 qu'un point : c·~ queo, apr~s avoir rtnou\·d6 dix foi1 ton optt;1,tioo, il avu• '"'endu toutet ~ oranR;es IL r.ii:o0n d·' t roi1 pour o.n. fnnc et qt.t Cflltti qui rMt."\Îent de\"'4Ï(:nt être ,·tndoi"a deu.x pour un trnn~ De cette maniera. il c unit. tombé juste •.

Croyn, che.r • Pourquoi Pa~! • 1 au:< ayw1mc" de œec u n. tinte.ni. diat in gués.

Baron J. de Buffta, lieutenant. au 2c rt!~. dl'.'a guide.a.

Pln>irn~ lecteurs - d~ Bru~elle•, \lolin{'!<, Gnnd, .\lo•t. Liég• - nou• ont <'gaiement l'nvo~·é de• expl Î(3· rions de nature à apai<•r nikke Mie.

l.e$ manu1crits et Ir. dt.mn,r ne srrr• • pa.< rmdu•

LES COSTUMES covt fA.ln . S\/R Wtwllt 165-19'-245·275~

"New England •·lft•:olo h<ttit • IU•l•"'*°·llllllll

sont mervclllcux 111

Pourquoi F as ? ggg

pour étre lues psr les lecteurs du P. P. ? qui voyagent en side·car

Quet.! •a1 JOUt femme. itatrcuscmuu dtcollc.tcc. mont• ur b plate forme ll'an tram, tl at moin3 lntérn.1.1nt de la (,;ardcr ~ac de rcguJcr tr-1 b(•mmtt qaJ la rci:;;arJcot.

~ ,1 \ujourJ'hul, 11 robe d'l\OClt o'ul bien souuat qu'un

O)t4 dt pan.crur 11u' ..:arrltru polltiquu et fi.nandba. C'est o u.11 qu'elle ut une robe , rn;te\lc,

??? Pourquoi dit An un 'mburu de \olturc-.1 quand Il )' a buu

eup de u.llurt• et un embarras d'argcol 4.1u1od il n·) 1 fl.11 uaceup J'ugtnt?

'?7 Pçior an (bel d'ol(b~Uc, rrodamu ta ~ÛH: des llHL!Îc.itc.a

l Jéttrte:r un r:1r1trc, ''est 111.rttrt I• rro'"hc tn 1-11r

?? 1 f .t uuct dt la longhltf. de cutalna jeia.ruu' qaotidJcnt.

b.;uJdoaAts ru le lecteur an n~mLH, rl1idc. c!aM ut axiome c prtlSc 'iu·(mcU•it \elontlctt 1.4.on B1orarJj : c Il ne au st l.fldlc dt lalrc un al~nnc lfUC: d'en pttdrc un ~

?1? li \ a del HrhlJtU qui, pour t'tlt\t.f, JODt rrih à toutts

H bÂacUH, ? 11

Il y a du gens qui n>o'mqurnt * ce point dç tau. dt mtsurc l Je dJ1c;ritlfu1 •1uc, tlUIDlJ 111 .. ouricnt, il& 1onrltnt lux Cdat•

??? Cc •atftJ bonrn1u, rar rrinçlrc. te tn(&tcnt toDjourt conue

tl h:mmu; th. •( tUCllUH mlmt Cout contre.

??? L 'llmltlf, totrc· u11 hom111c et a.ne femme: c.'t'I la nue: pro•

rlttl de l'amour. ?? 7

la carpe :te m1ngc aa bic a et la i;1h!c rt1bc •a:x 'trt. ???

FaJ.re: J1mlac.cr, JU!r l •l't'Uca1lon de droit~ problb1llh, b tntt tlct alhunctlu phwrhurlquc;. c·a: ljUC ~t. Thcuals

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l ne larme qal 1ombc C'll •• b1cnrau 4• )<••· 11?

Plcbu à ta ll;:lnt. c"C$1 joacr •• boachoo IYC< let potsSO'lll ..

??? J•a1 connu uo trà je.une homme 'lai, &)1nt froUJf ane vieiUe

fr1nm('. mari: hait toujours '"urbé • son bru, 1Dn que l'oa u(Jl 6 un marl1~c d'indtn:ation,

??? Jednc homme. qun.nd \bUJ lret au bal. •t voire \lanse:aue ut

Joli,, rarla lui de :-a bc.aatè: 11 tllc Ut Jftldc, parlt'.t·IUI de 1a hhlcur des autru.

??? l.a l\OUh .cotutnt mtJn.s Je rlsq!'u qu tu 1uttt1 hc-.mma

• tromper 1.or ftmmc : •n sait, ta tl!ct, q•t ptcbt d"1>out Cil • mo~tit rardetncé:.

??? Qatllc: dusse blu:trt que la l~n~cie françaltc: : qund ID at

rc•t p:u. tcntar q_tï::lqa'an, ou Jit qu'on J'a daaa le oul

??? I 1 mer. c•nt If rànltat comt1ct du !fourcu.

)"l'I

Cert«, J.t rrab4.'. 1 •e~ mi:nk~. la prune: ut cstim1ble, la rètnt cl;mJc r~I un fruit s:nourcu'.\: mals. m;slJtrt tout. Je doaa• la Jlo.mme A la pc:che.

??? 1.t dOlr d'une \lt C(ln(ormc A ltt aGhUt, C'nt le ttatimcot

??? J.onquc la mtr c.u d'huile, ,·u1 ua Joli frmp1 poa.r tts Slt•

~IOtl,

?? ? Comment 1t pourrait il t.urc qu'un di& oun pcibUqac, traa;a.

mis par la tflé~rarhle Pzts 41, ac soit ru dccoa~u? . 1 11

'.'ions l\otu cvn.au a.n m.cdc"'in qui l\alt •01 tdle peur des :irmn • fcG. qu'il a·ou.it mt.mc: pas ae mettre ca face dU m11lade qu1 &\ait la l.tnguc cb.ukte:.

??? I.e l'arkmtot? .. t:n j:trdln .tm> tlfn~hlUt f

c-=

Laroche (Lux.)

6rand Hôtel des Ardennes ~ • •.i. COl.RTOIS-TACHl..W

Rubrique uniquement alimentée par les papas et /es mamans, lecteurs du Pourquoi Pas ?

1..e pe'll Luc1n1 (ti nu ~o i ·111 1mL ~. mùman ou~re dnaul 1111 une t.oll d1 • lt(l(olal<\, la lui rnonlre el lui dcman1le :

- Q"' 1 honb<on HU\ 111? Lucien in>pecle I•"! rhorolBI<. pui~: - J'r.n '''Il' un coll6 rn<f"mb'e . .

??? 'uzanu(." o :, atl!.. C'~l Le JOUr 8001\ UlrC de <a 118 «ance: fotlkr avec

p~lJ~UK'6, C U~Ul:l ,

- Oh ! pal' , 1li1 ""' ~ a 1 f·~ de la 1ourn~c. romm~ 1e <UÎ< co111 'c d'Nrc 1 t<> le 1our .W mon nni11\tr<a1re ~

7??

f reJdy (i DM • t à 1 bic D\ c ;. s gtdnrl1.

On mang des œ ifs dur • - Fredd). qu'au nd<-tu pour r:: ng r les œuh ? - 1.cs 8•p!'r.'

PaP.• int rro.,. -1'.lu'c•l-<'c - ~·d.

7?? ne: r, quand l ~ra5 , and?

- .liai I• g c e, lu f>OUrr 1< ;·r lu~ ? - Par qu. 1 - Par l'en· 1.

Petit Paul r .. lnl un 1 • l : - ..\for!, J aimr m1 1 1klrnir 1'.-1 ncmi ..

? 1?

L 1iotte ( i allti) dcmnm! à a 11.av : - wm111t•1t c l~e 'I"' j •1115 ' nue au mon•lc ? - Je l'ai troll\ c dan' un rhou, JC tr l'ai d,•jà 11it, - Et rcr .. onn~ flf m';w, Il \ uc l1\ nt loi ? - ~on, (' tY•nOI'.

- \lor.> rommcnl Sa\nis 111 'l''C j" 1u'"l'i" lai~ f.nlollc?

? ? ?

f;ub cl >o >i.l:Ul 1:a1~01Cl \0,1l gotl"'r. l 1 1(011\tl JIOllle j dvrm une la•1 .. lt h1 p ile r. w. un gjtt.m ,.. C' â ~·n frere.

\lar:nr t m 1 le~ ,1 nls J. '"' IJ1 te ri •ltl: - Je \1118 m n.er ce \113 r· grc>S; toi, tu cr.:;.qucrns

c~ grntil pel.lt ... ,,,

Tolo eH assis par terre tt pl•·ure à chaud<'& 13rmrs. Toul a c-0up. il s' 3l'rète : - '1aman, dit-il, pounpini rlorK: que i•· plrnrai• ? - t;\·st p;1rce que j<' n'a• pa$ \nulu tu lai..,er ~rtir

l'or ,.~ grand vent. - Ah ! oui. ùst Hai ! Et Toto ~~ remel à pl1•11rH.

???

[.., paU\re Toto. (5 an•) lai<-e brœ"l"' ment, pendo1 t I~ di!I r, ê<happer un -ou ~c 11111. cun~h rnant l"Ul le mond~. amene tm subit ':'iÎ u t.

f:t. t ndi' 1111'11 1ou~11, la \011 de •a p•hle eœur T1 llne •• fait ,nr.n ~111~n1lre:

- Il n'y a pc:<o!'~e qui 11 dit: • Dieu \OUS Wni~e

?? ?

Lud<l\ic (ï an•) 11 nt d obtenir un prix d'ttnlure d monlr~ à •on pèr.• ~· .-ompo-111011, •ur laquelle l• rr r~-~ur a mi.s ' ; • p.all< • cfo n1-011 he •.

- Ce,;t drôle. di>. 1•ara. quand on a J,. jW'lllM maint, on ~cnt l?TO''. et ql13nd vn a dt gro<.< s mauu, on kri 10111 pclit .

lion oncle Enule drmande û un j un ~~olirr s'il tra. 'aille b1r n ·'n cl:>~:

- Oh ! oui, r<pond celui-<i: ~ <uis lo111nun k 1ltu­"tiême dats. ma dil'~'-' !

- .\h ! reprrn•I m~11 ond.-, c'cl'I ln s hien ça • f.1 ton ramaradc \ .. tra,•i'le-1-il ln~n !

- llh ! non. "pond le barnl11n : 11 l'f>I lonjoul'I Mani dl'rnin ..

\h 1 1ht mon ondr f:ruik, il ne !.til gohe Je rro-trn!~ El c'est sur ('()ml11c11 1nlhe• ? ...

Sur ri"llX •'I~'" ! . [,il l'/o<'.olit•r. ???

\11)11 ond1• Em1J1~ dt:maudt! j un jt'l111~ •·le\,.,, : - f' ....... ~lu fort l'n ma1h• ru ta111Jt:~ ·! - ùh ! 1>t1t, Je ''"' 1our.u1s pnm1l'r ru n r' .

ti•)Ue5 ! - f:h bien ! >1 lu es ("'! rn matl11!mah1u~!. rourn"°

l\l m~ dir~ combien font :! foi• 2 ? - Ob ! i• a·~n 1SUis pas rncor'' IL.

Souscription Gaillon

J«iu;,rt Joa blks priEcf•JtZ::k• oru, \'mcont ~J .J JI , Ji~t ruani..

fr 1,.?15.-3 -

fac'';! Fernud, cap~brne • t.hJtor1 lfaonre, h~t('na.n'L

il,,., F..rne::t, l1eutl'~nt .••••.••••••..••••• 'enneirnch, •.:Jo1Urd, t1t1lUDAot. ~L.."'Dt, Albert, h tenant t'Uktt.e-, Rtn~. lie! tt--»u~ •

· todaen, . .\lph 1 rap1tam~ tomm•ndAn\ •. atntchullt-, F- K, Il& no ;:al, lieule-1 nt. ruttna.nl ~I 1.&m1Jottt, 4<e ffft on, dt:pi;L JO n. 1 , 1 .\th

d'E~tr~mf'.

do

.il' 1t :u.t ~~rcurn tlu lt'('I rfo lignr \\" ri 1&r1.'I, Ji ul.t'n11.11t l , l 1t mf Cfan1I~ ~ 1CU Qh

Ol'\.f"fJh ( "u-tte. heut('u~nt Jo r' \'CO au ~ , l1.1U('Uf1' à

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20-3-3.­s-

P"d ........ ....... ........ ----6~

Total ... Ir. 1.32-1-

c Le• ~bonurm~nt-< nu' jn111·11nux Cl publit11tlon, bel~e•. rrn11~~;, cl nui:lni, 'ont r~~'" 1i 1' \ r.r."\ CE DECIIl:: :-:rn, b. rue du Per,11, nruxtllc~. •

L.& 1·u;, P~l~SA~T ANTISEPTIQ~E - mCROBICJD&

,.,".~.."u1 SANS ODEUR c•u~~o~u• Pr4YeDUI c:oo\rt' ln m1l1dlH et •pld••l" Veodo tOUI Je (0Dlr6le do rou•tra.tmeat.

Lu plH bautff rttompru u au Rspot Uioat lDCf'r-natlooaJe._

••0•.re11C-t1 I • ttvl , r••lw tNre.

Dnr.OAkt ritn1lt1'ntmMl1 #1 -... .... 1pkl.U4

!JU.

• Devoin de Vacaccea •

)t. n cb • c. P ..i 1 • ;u •. ('e qu1 m" fr:.p~. ce qui ma I~ pu. fuppé pendant. a.1 1

\'ac~.n~. pE"al se resumer en d x fK1 •• 11 L"el.pentnœ, Jareme-r.t. acqu p:ir cmq ana~ 1lo gutrrf',

a•e1t dasip& ct•m..tno une fumt<" :\os (ontempq uns acmôlaicnt uoir toDJpm a\'itO qurJqc" d·'6 'Jlto que lo fran. do la v1 tOll~ d· n:t ct11~ la rttou,,,trurt1on. l :Jt. au m 'li IUI f'OUal. d~ 'ut- d r .. 11•iC. iuld1t.~~ucl c.·i. nmr~ • d La pl Kraur'e O.a 1

lahu~ .\1.i.i.t k• ~·J1lHn1 menh ont é\"'olue f:U quell)utt "" 111:unu. j'ai \'U tâ.nt de Brlgt"S E't l:lnt d Fr.int;:tis n: tombor clin• la r(.\-u,<:nf'I anglo H.uningo '-'"lc1li g.-rm m'iuo J'a,·a1.t lflll' Je n'ai ml-ml'! pa. .. l:i 11hifosq1hu 11 n·,,, ~· 0 p.u rrapp~ ~\prèt tout, c'eRt pt'llt ctte filfli qui ut'- l'(•11Îpr1 ndie rit-n i 1.s f'O litique: de Cf'b, je ne m'C::tonntmi4 p:i'li d•t tOül;

2" ,fo ru'êtonnf> d, ... ne trom;pr, NI ~ctn ·11, 1.,• hon •N" q1u• da111 J1•ux jo:1tniu1x Lel:,:("j!i : 1h1:~ :,. plua pi·Mirnurtr, IA c 011 xl'ltft Petrus •, tt dans 11· plUA Joi.Atmf'nf fromh ur, que j• 111 nomm~ ras parce tfUe (P.1 )fou&tÎqn t':4 !1'emp1"<'Ut'rilfrnl dt1 nP pM p.aJf'r h rérhme-

A VOU!I trè.c amicall'm"ilt. Chsr1t~ rr:alpont. prnff'U.C-UJ" à h l'ïtaih/.i l'ft-! ~drnr J,

liniw·:irlf~ 111• f.it_(gfl ? ? ?

l-1> dl·pul.- Jlorc;<~ aime A rime• 6Ur le, actualit"s; "" lrou\Jnl en Br. lagnr au mnmmt oii il N'Çut noire ltllrl'­r1rrula11 e l"m\ tlanl à nou- dir> re qui l'o\ ail I~ plus frappé pcndanl ' - \atant•-. il 001 ~ r~pord do Jos•elin. par ci-1 impromptu :

Grand Pa:doo de .J lm, S "'p!embre 111'24

.\o i:<and pardon d• JOH<l'11, Pué d" hn· flllAnt mJ tère 1 ~;: 1on lon b, et Ion Ion I• "''J Pour ~ 'C"f'Dg~r d ;J t r ~ n. )[•rn S.U!! Hno. d::t>n: .\f t 'l airtt,

(Ü Ion lon b, •~ Ion Ion I>~') ~i \"Oil! n'avrz connu \~alf,rf', .,\u m(\;ns. j~ ('f'l"'rut.·c J,.. •

Cordt.JI 11"r.•

Sur Firmin Van den Bosch '.\I, .irur IM lf., r

Dam votre- c kt·t ... h , t ~'8 .,u t... ur l u1Uln \·an df'n Rœch. il y a qctlques 11 f'rr:Dl3 :1 ou hrunee :

l• Firmin \an d· n 9,~cJ1 n\: t pu ft~ve .J~ 1 {'nlVl'!falt' de Louvain. mais de l'Cnl,·t'ttité da f:.icJ C ux qw, romnu1' m.01, l'ot1l connu l.l, ont ~ardé le l!Com:rnir Je '° t nbulf'nle-e impt-r hn n<:cit; ~ Quand \ 'n d~n Bo:st.h "~ 'al.Si..\ tn1hri •:itlcr rfans le& rn1·

a.? i .~tralure, tn lSOl'l, il éhit 1oumaH110 dqinta 11lus1euu. ann6cs n fot, 11.\'ec R~nkin ('{ Ca11.on d~ \\Ï.1rt. à • J/.\t"rn1r AOclal 't

1·t. y rmblb not.amm~hl des artidcs ~r Il c Droite noire •, ml il prenait. \Yot>"'U.' à partie; auui, 11u111<l Yan Jrn Bosch de\'htt. m:hti,,tr.il, Je .i:rand cb('f 1'é('nJ t il anc s 1t1 f uion : c Rnftn' 1'fnf:\ht. t<'mhl~ s.o1t de la mahon 1 •;

3- 11 Eperdum~nt l'i p .. U::SfonnP111('nt. l"'lgL" 11, \·an dt!n J\o.acl• t c'"'°t nn pl'.'int 'fU"· dttJ,H i~nctt, ('0NM!1lln de ("(111fiirnrn du "°' d'F4·•·n)t~. il a in,,piré i (('! i·d ur10 • net1t.lhC•D fin to t

point. Jf'mbbl.1~ à la C.Oni-t.kt.Zon be-tg.. n appelle ct!a fair~ ...,.,.. do dôc:a.lcolll.Laie oat.ioœlo !

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'1 lt '1111 1,lft• de.., Fio anci', n 'tt pas t:iu1orh~ lr{i. "~<m..,cri l ' '"•u rs l>elt.J•'' •• tt"-rr dt' cfUl' h1c ulté.

PR I X D'f:M ISS ION ""750 :fran.cs :français par titr

pay a bles intégralement à l a souscription l ' IL ponr lts llltt.s s )H~· riL' r~ tn 1rr ~11 1t If' que ' J U\ ~ ' ' :\ litre r 1h~ ' t+le.

l.es ,·~rxrocn1.& pourrGt' • r.... H u ., , .., 1 'fÙ .. .. v . 11

... n f1X1"r Dt'l" !~ bara • ('bart:'éo!.;. de ft\....,, r P 'OOU ... nttL r .. lA 1 Uere-nh 1t'S de rè-s.? .. cul ne se" • 1J lllJt r-:s J 1nl •\~ r •r. ut u

La souscription est ouverte du 16 au 30 septembre 1924 incl aux heures d 'ouverture des guichets :

\ la .,OCIETC: (;(;:'IEB\LE OE UE L!.IQl f. . .\! nt (Ile d '> Pr . J. a BRUXELLES ;

1 lloul ~ • n rd \n,ptt•·h. :l; llouh" ord L~Ollold li. rnl;

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