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François-Léon BOVESSE Tout va mal. La mac/une administrative grippe m.me lc1 machine sociale et comme /.i m.ichinc po
tique. Quc1nJ on les tient entre quatre-:-yeux, les ·rigt•anls 1•ux-m1'mcs, les ministres. les grands parmentiûn·s t•n sont réduits à plcJida les circonstan
es atténuantes: " je voudrai:; bien vous }' voir: 011s al'ons hfrité d'une situation impossible: tout a, ce sont les conséquences de la guerre "·
, o·c1ccord "• rt!pond le bon pub/te. mais 1•ous tes Ili pour tout remel/re en urdrc: s1 1·ous n'en es pas cap.ihlcs, passe: la main à d'autres. " Et. de plus en plus, 1'1mpresston s'imrosr que le
ersonne/ politique t'I te penonne/ admmistraliJ, lt• ersonnel polttique surtout. !'SI us11, 1•iJé. bon pour s lnv..ilides. " Tous ces dirigeants des anciennes quipes, qu'ils soient libéraux, catlwliques ou soialistes, qu'on les colle donc dans des conseils d'ad-1n1s1ratw11. qu'on les installe dans des séquestres, u 'on leur con.fie la défenst• 1uJirw1rc dr /'Etat. uisquc c'<'M /'habitude, m.:iis qu't•n n'en entende lus parler! .. Ce sentiment r~gnait déià plus ou moin~ con1uséent au lt'nJemain de l'armistiu. On St' félicil ;
lors, t'n lkl~ique t"omme en franrt'. dt• 1•oir beauottp dt• wunes députés pénétrt•r dans l'enceint<'
rleme11/airt•, porttls par /'ent/11111siasme patriotique 11 par Ir 1·11·11 dt•s combalfant. L'I cc fut en France Clwmhrt' hlt'u hori:on, en Bt'lgiqu,· l.i Chambre tuelle. l.a Chambre bleu hori:on a donné beau
oup de Jérqtions à nos i•oisins: la nûtre Que ·re de /c1 nôtre? Sous n'en a1•ons /Jmais eu de plus t'diucrt', dt• plus ba1·arde. de plus /iassement po
iticienm•. Mais alors, ct's 1e11nes députi's. ces mandataires
es gt!nèrations no111•elles, ces voix dt• la victoire .l •
Ah' "t1ilà î'e<t que lt• m11tier de déput:J. le 1111;-
/ter d'homme politique est un métier comme un autn•. n"t•n déplaise à aux qui se figurent que /'inrt's/iturc du suffrage u ~i•erst'/ suffit à donner à n'importe qui le droit et le pou1'0ir de décider n"tmpurlt' quoi. L'ancien pnsonne/ t si usé, vidé, pourri de scepticisme et de bien-1frre. Tous ces grands a1•occ1/s qui, ayant acquis if droit de mettre sur leur carte ae visite: , ancien ministre "• ont satisfait /t'ur ambifion. m• songent plus qu'à plaider quelqttes grandes causes. au be:;oin pour les prqfiteurs de f!Ut'rrt', .i hen marier le11rs 1•nfan1>, et à ;ouïr de la 1ù•. .Ums ils ont quc/qu,· expém·nce: ils sa1•fnt ,·ommt'nt on mamrurre /1•s couloirs: ils connaissent la stratégie des .isst•m/Jlées: ils s.ivenf traiter une afjairc, écrire une lt'ltre, att besoin faire un rarporl dans lequel il y a l'air d't11•oir quelque chust•. !.es 1e11nt"s n ·0111 que des 1•elléités et des appétits. En orrii•ant ii la Chambre. lis a1•aie11/ au moins de la lion11e volonté et Je l'enthousiasme, ils parlaienl J /llrl et à lrawrs. mais cl'/lt• intt•mpérance oratoire a1·ait du moins le mérite de traduire de belles ,•,pérc1nct•s. On pouratt en dédttire qu ïls avaient du tempéram ni. Seultrn1·nt, /1• milieu a agit. lis se sont ùdaptés: ils se sont mal adapti!s. Ils portent maintt•· nant lt• virus parlementairt• dath ks i•eines et ils 11'0111 pas cu le temps, scmblt•-t-il. d'acquérir 1'im-1111111i1<1 que confère ult long stl;our dans le milieu infecté.
li jdu/ dire à leur dt'chargt! que, dans son désir d'une prompte ranade, le ptl>/ic a beaucoup trop uttcndu d'eux. On réc/dm.iit l'homme Je génie. L'homme •fc génie n·a ;amais co11ru les rues. Pour s"1•n procurer un il ne suffit p..is de mettre une annonce ,fans le Soir, ou mêm1• dans le Pourquoi Pas? Et puis, dans noire bon pays. dès qu'un ;eu11e se mt'I e11 .îl'anf. la galeri1· goguenarde s'empresse de trou1•a qu'il exagère: aussi la grande habileté pour
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Bo: e'se, noire hén» du 1our, 1•s1 ri Ct' /<une 'a~t'. ut espurr des di rme" 1ours :
C 1st le brn1anun de 111 Lhambre. RegJrde:-le, ttl qut Ochs 1 a Ttfréstnté à la pre
llU re page: 11 a l'air d'un gossr. i.e 11sage plein les /OU < rondt s, 11•5 yeux canJ:dt s. Quand on 1 a au danCJng c'e Jr~s prémux d'a101r 1 arr d'un gosse: quand on s:tgc dans une comm1sswn parlemenwre. c'es/ plut11 gfnanl. et nou~ a1·ons connu de< citoyens, aroca"•. parl< mtmt.iires, hommes J'a1-taires. q1ri s'afjublaicnt rrem11tur menl dt• lune/le:. p<1Ur tllOÏT la grC!ll/é qu'<>n e;uge, rar {'fl1/Ugé, de re ux qui dmgen/ les affaires huma nt s. Boi•e;s, n porte p.is de 111 nettes. mais ri <ail gurdcr dans taut,•s le> c•rconstarz es 11nc gra1·1t11 de bon ton, que 1, mpère d'a11/eur> 11n, nat11rel/e bonf1r1nu 11'0//on11,· très propre ii crhr aull1ur d'un dtlrut1'. mi'mt• ,,une. ctftc s) mp.ith1t• Je couluir qui ,·st n.:c''"a"'' ~ la ré11ssit1• r.irlt men/aire.
Il pl.rit. // pai/t' bltfl, ùl'tC Jc.IC1l1té. at't'C /1111g11e, mai> il n, parle ras trop. (Jn dir011 q11 '11rsl1 uil par /'ex,•mple de q11dq111•.,.11n., J,• ses ;eunes en/ligues. 11 frit.· Ct'' ~ucci~ 1ac1h•s q111 aeau:nf arr»i b11·n les députés mui.J, que lt•s orJ/e11r, concurrents.
A·t-11 de~ idét·~?
ses t!h'rleurs /'uni porlt à la Chùmbrc. C<'ia dunne tuut de mém<. encor,· au1ourd'hu1, unt• crrt.11nt automê. Cela donne aussi ccrta111cs idées clcure,, simples et saines .
Croye:-1·ou, : Et l'an Rcmoorld: Et Hathiw : Ce son/ ou~si d ~
mandat.iire, des comba.tanl>. L'un est le represent.inl du bulche1·1sme des lranchee, sous sa /orme la rlu, l>a.sse. !e porte-parole de ces /JS, de mau1·a1s humeur, qui sont rentrés au rays a1•ec la cun1•1ctwn trè> >impie que. pu1>qu'1ls s't't.ncnt l>.ittus, "' rays ltur de1·ai1. pour le moi11,, une renie leur 1·ie durant, un 11/re de baron tl un lof!, ment aux frais de l'Etat. L 'aulre, ,;près quelque> 1111, ra·cntwn~ ht urcuses, .i
1•1clué Ire;, r11pUiement 1 rs l'1ntanationa1•,me i:amanophzle .. \·est-« pas cda l'esprit wml>attant sou~ S<l forme p11rit'mentaire .'
El bien non. Le mèntt' dt Buvess<', c't•st prècisément J'a1•uir represenlt1 1 ,srrrt wml>attJnt dans ce qu'il a de plus sain. Bc11·esse n'a pt•ut-èfrt• pas t•ncore de., uit'es lri:s arrêti<'s sur la réforme d<' /' l:'t<J t, fr n•nforcemeni du principe d'auto111é. le 1uste équilibrt• des poui•oirs dL' l'Etat el du nintrôh' parlt•mcntaire. P.:ut-ëtre ne i•oil-11 pas plus clair dans les quesliun> dt• change que nos économistes /(•s plus J1stingués. Pwt-ëtre n 'a-t-11 sur les arrnne~ de fa roliti./ut' anglaise qut• des lueur~ asse: 1•a.1?ues: mai' dis que le sentiment 011 l'intérêt ratriotique sont en 1eu, il 1•011 clair. il 1•a dïnstincl du bun ct"lè: et. s'if y a péril, il marche au canim . On l'a 1•u dans toutes On ne Niit tror. li .erait d.ir" /ous 1,, ca> Jort lts discus-ions importanh•s. qu'il s'agisse des ques,xcusa/Jle de ne pas les ai•ou encor, mrs,·s au ntl.
/eunt· Cl! ocat 'n IPl4, li partit au,sitôt p i:r la tians lin!!uistiqu,s ou de> qut''!l•m~ dt' poUtique gu, rre. C'est un coméatt.int, lu: au Sl: li J 1, droit t tran~.re: ri _ne .fi~ass_e pa,, il n rntnE?ue pas, il nt
de porter à sa boutonniêrt le petit arc-< n-crel glo- i '1 herche pas :i plaire .i tt'/ ou tel p.;tron p.irlemen-
à 1,. 1 1 aire. neux q111 etranger signa e de orn Il' Belge a l'ai- . , _
m:ratton de' foules. li) a de g<n qui i•ous d•ront C ,,, un bon :ss_gne. ,\ous ne lui 1rrons ras la qu en fiill d /ranch <S, li a surtout connu celles de ma!liJ1>< _blagur J rns:nuer que le pays comrtc ur Calazs, oi; 11 r mpl· sali le unchon, dt ubstllut de lui. ou meme que k par." libéral met son c<poir en l'aud1f<ur nul1t:ure: mais quoi c'était peut-être rour sa/< une lloquence: ces lll>lnU~twns-là .'On/ /es meili;n a1·ocat la mcrllrnre façon de erur. F.t pui , quand lrnr, moy<n> de couler un ~··but.in/ parlemenla:r~. on intcrro!!e un combattant sur un autre corn/lattant Conknlons-nous Je d1rc qu au tours dt• u•tte Mg1<n'a-t-!l ra< tou1011rs un f't'/I/' ounre supérrt•ur: I.e l~ture, ri n'a donné ni dtceptwr.. m faux esrorr· iùit.i"le ~rr. .ft combattant n con<r • -1/ pas à 1 c e~t t•.:cort• un. bon signe.. . dt'm r la qu<11ité de combattant à tous ceux qm nt• 1\ou,. ne remuns aucun mcom•enrent à cc qu~· ce ont pas au morn' mort,: Touiours est-il que Roi•e<>e /<Une rarlementwre fims,c par dercmr un i·1cux
a rait la guerre. Ai•ant de dM•• nir su/>strtut de /'audr· parh·mentcure. leur m11ita1re de la basr l>rlge de Calais, 11 a1•ait été Slmple sergent au 14 de l rgnc, 1 t 11 ,!l'ait fair cc/Ir campgnt J,. 1<1u, qui fui 1l'a11tant pfu, ,/,,,,. que nuus c1io11< alors aussi mal rn·111.1rés que possible l'I que tous frs soldat< 111/cllige11ts h• sav,1ie11t. Que ii's rhineurs n'oubl1cnt pas que Hur'"'•' nt tf1e1•a/ier ~t· l'Ordre dt' Léorold Ol't'C {'aimes du 25 aoù1 1914.
LES TROIS Mot:STIQlPAIRES.
Aprt's /'armistice, il fut nommi' cht1rg11 dt' cuurs à /'Ecale m1/i/ain'. et se fit 111scnre au barreau de .Yamur où il ét<lll rentré portant le glorieux uniforme de la 1·ictoire. C'est sur un pCll•ois de lauriers que
'LUX!' .... .1 SAVO~ E~ PAILLETTES l\' c rélréd l pa-. le-. hüucs
V
P::urquol Pas 1 25
1 - Xon. \lais voilà : Je conS<>iller Winkrlmans appartient
1 à e<>tu ~p~e de ma~Ε!ra1 qui ne Mmande qu'• •• aub-
1
on!onntr. On ".'en 1rou,ai1 pa.s autl'l'loia, rn Belgiqu . - \f MIC êfec chère !
L'AFF'AIRE-Eh ! oui, c'i·ot l'.\lfa1re, l"affoirc a1cc un gr.inti ,\ L'n ucat. ce~ JOUfkl, qui \l'llill( d .. , .cuu Je Jt'J' uner cl11·1 lk11L.n, ÙJ1 allall, fa1sa11t Je grur11ls i:esl<'S •I rf('ê
nt ~ 1011> k• o:t:hus du l'a fais : • 1. e5l une llOU\élle arr •• ,. . r~ i" ,
1J e•l vi~i qu'un autre a\ocal, 1. j1·11ne Il' Rcnn Rolin. ur ne pu I< 11on111o;:r, rip.,.1a1l ~1cc non n101n$ de 11!
!noence, ciue e«> li odalious crllr·• le pa1 quct el le pré· dent des ossiS<'s ;0111 tout ce c1u'il y n de J•lu• nalurd
de plus Jég1lime. li n'cl111l t•a• J,,, .. J'iurnqUl'r Io rai· n dlotal. ce tunilafl'Uf Je Io nou1rll" '·'!I"' clrt n ... ,,, rit omm<, c.. d1recV:ur de 1"/'1prit cfri11u.-. i\'ouùlions pa' e c'e!I A une 'iolrn~ pJ3idoi1ie co111r~ les Coppée qu'il 11 u nai~sanle cèlebrilé. t\'rxagérons rien. Les Jeure• puliliùrs par ~l. Cop111'e n'ont tout de mèm•
as le caracti'1< d'un 1e111ahle Jo>SÎtr 1etrr1 el """" a1ons u..tqu• pc·me l llOUS l1~urcr Il. le l'r<k·ur~ur gt11f18l ~·ria. \IU. Corml ri li 111k•lma11s ,,.,us la frj:urt 11<' ~in sires nspirattur$, tt r~mu ... c:ina la n111t pour f(H11('1oter 11 rie de ce pau1r~ Coppi>I' \lrlnnr tJ,. leur noirreur. ll'nu
p3rt. il "'' h1drnt que la tll\ulgatoon de ptnllquu ju· iciaires. &'5urcm~ut U h,us.'<, a produ 1 ola"'• ~ jtU· lie un ell 1 d~aslrtu,. l.u 1u•11c,. J, li;e en a rit! liou!-1~. comme 1~cmmrn1 la jushce lrança~e f'&r l'mron· \llble acqmllem~nt de c; rmOJne lltrlon, l'asse •llC'ol'1' ur la ~'lire de Y. ' n11s. ,font l'op1mon ~ur l'ana11'1'
or•rfe <Liii ronnue. lfJis relle du con'4'11lte \\ mk•hnans ! 0111 rle mèm• .. tout 1!.1 m~m~ lpn • 1• 11 ne peul 1~ ttre q~lion de l'm1parl1Jhl~ r H "·ni lie. I.e préi•Vnl de< as<i.<M. une foi, d1••1~11~. fa11 f-.11 1 on il• iuer 'in.<lrurtion. d11--0n: il a le df101 • •lans J'ml• r(I de b anirt-Woon tle la 1fnlé. d·· (.1•rr tour c,• 11u'il r•e111
our <claner <3 reJig,.m. [l'orroril \faos il n'a pu l• roit rlc te11<l ~ •le! 1ra11 1ena•1l• ~ l'acru•c. Tout ce que les j1111;IN' J,~ 1•111~ •ulo11l• nnurronl ,Ji..,. ur la Mfrn-.• ile li. Il rnl<•hnan• s'< "'l'~chrru pas i'
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li e eonseillier< Winkelmnos •Qui e>I <e qu• cc 1 1Ju '" c11n ·illl't li 111kelman., qui
1erll IOU( à coup ile prendre 11lace au p"•mi1•r J>lan J-0 J'3C• alil••? - ln « thourhou u dr S1'nJi9, r(·p~rnJ .. on. - Illon• '""'" ! Il le l•~•I<' romm" un domrsloque. - R:ai'-4\n 11.to plu~. SC'n~us ('"'f IUIP rnrtt~ IK"N11rrna1ill'. l'i
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- l'n con..-<ill<r ~ la (.our d'o('1•tl n'est 1•:1.> un aubur· nné.
- C'e<1 et> qu'on dit au Palai• ... F.n loul ca~. sa Jeure. ~Il• qu'1lle a ~~ puLli~. est
pitoyable.
Lin politique na Pnlais
F.t, oatun 1 on ·ni. Id v >111 ~ e 'tn • D'abord, (3 1.olitique hMraJt>-Calbol.que. 11. S<n ais .-!t h~erol : 1 s calhohqlJ(; sont enchant('S de lrounr celle occasion dt •lau!K-r 11ir une pe1>on11ahté dont l'au!onlê tta ! 1usq J'ic1
uni1cr.orllcment rerloutet. el ula fait que les hW au1 1 s olus c droiLc.de-J'honimard; o "'<? mcl~nl à rt 0< h r.
Puis, c:""l b politique .i. ~ Mnd,s. On 1011 •'e<qu1urr, JrrJÏ~rc J'arfaire. 3U Join dans Jes nv~. I<.' \IOUl Cllnfüt le IJ>nhcm r<>nlre Lé Rai·~ •I du ~ou~•memerrl dt la p l
onlrr 1.- gouwrnemen1 de la cuerre. Il.ln• I• prncbo t:OppM. n\•sl ce p3•. ol • a un a.-ru<~ prinripal. le baron i'l>Jlpt,'. el un accusé suhsidiaire. Il. de flro•·q11••\lllt.
Et puis. nalurellemenl. on parle au!~i de la quereJ: .. oies ba~qu.., ..
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an• ... E1 idem ment. Je \OI n'a pu Hre com1111, que par un rmployé Ju grclle "'' du par qurt, qui il-s a ropi•~• pvec 1·Nerit~ et les a même un peu falsiliét'S. orin tic lt·S CQl'P<r,
1•uis es1 allé les ,·endre au baron ? (;n pre1enu """' mil· l1onnarre. c'E'SI au>S• !<>niant pour un emploi~ rlu pnrquél que pour un a1oca1. Les doruments ~• 1ro111a •ni rnlrrmh olans le bureau dt Il . Cornil. 5on 11r<11r a rl~ Mrt no11rrt • l'aiM d'u~ rau•s• dtf. Il est qu<>stion dt remplacrr le~ «mires au Palais de justice.
Témoins de mnt<que S1 rairai.-. ;. pl. ide 1ou1 d mto un Ju - tout ~ut
•rriter ! - la déli n~ a, par3il-1l. J'rntcr11 on il<' citer If, ~riand el le gc·néral JolTre. Pourq1101 pas ion dtr Lllnck•n? Si ~lui-là 1·oulait parler, c'tsl t• qui 11trail mlén~~ant !
1-:t pourquoi pas le baron Rohn Jacquemyn•, i qui au.ui, ht--00, oo • >ail la 1 de.s ou•·erluN'll dt pais en 1917 7
Pr<opos du Pnkis - Ctllc alfatre Coppée c·e-st, pour les awcal:!, uo bitn
de lam•ll~ ... - Comment cela? - Il.une ! lJ• Braun p~re el fil.;, lJ• flcnkin père et
lits. Il" D~ Cr.-..,onrûht3 pt!re el fols ! Il n'y 1 qu~ 11• f.1louar>I nui.mans qui n'a11 pa• d~ 111•. Or. SI la Ml•n"' CùlllÏntM' â tnlrain~r l°afl•ire Jans J~ maq•m de J.1 rroceolure. crs ucolknls pér .... de famille pourront a'ad· JUÎndre ôgalemenl leur< pPlil<-liJ,
Siègerrn~t~il?
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1 ~ un mnl;!'i~1ra1 n'tmportP tp1rll.? 11rr11,,..."itinn nui:rtnue ~011r que celw-ci se crut oblige moraltmntt de M ,.
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aux bruits et ma uvaia bruits
1)n s~il qu'il l n d•s grn• 11u1 ont le plus gr3nd inlt'rtl j<trr la z,za111e enlre Li l·rw'e rt Li lldg1 •• .\~•. d •
' , ,ut-on .•e mH1er. , n pranc11>1, •lt! IH uii. qui oourcnl ms r.t~,e •ur leurs r.1[•po1·t•. If. l'oinrnrc a I•• cnrn<l<'rt "C rt pninlu; IL fa.<par 01 nrg11<·11lcu1 tl 11J!rrpl1hl1•, ri ·' lJ n11 r<•n1l pas loujour!" tr1!! • om111nJ1 1 .i relahon.., ptr .. onn ~llrs Ntli'<' lrs ,f,•ux mir111l11~. 11 •'Al 1•;11fn1ll'nwnl (Jr l qu<• Je, r~1•11orl ! 11101111111·111 dt 1lwl r11r. ~lai< il ne ·agit p:'I.;. pour rc.- cl~1J\ 1uin; l1t-·~. dP 1111 rnln .. pluJ~ ir 6 •urr 11 lk 111oni!I" tn~mhlr. fü ~·m l 1011< 11011' lort ~ou· i~ux d~ ~r.rn·l ! rnt,.rfl~ •111'1!< 0111 ,, Jll.fc111he ..t 111 nr ,r i•puknl pa, pour ovoir le plamr d. !<' d1~p1Jh'r. ,\ us.11. p que ron "1·3cont~ •ur 1:-s 1h1cri:cnr •• 1. 1111'.';1 dC>O deux ouvcrncmrnl• "" '"• t d1• la '"I" nse A loir.- b la 1101. llrmnndc rst-1! g n rnkrnrnt 111o ;pnt1rc. l.a H l~ique, omme la Fra 1re, ne pou1n11 foire •1u'une 1eul~ r~ponH: li~ •IUI 8 dè f, Jlt'. .lfai• p<1111•1uoi us 1uaU1." brml• t! • ts !Jux l.n1il1
~m'C11t-1!s 1•tr1orlujUt'm ni, " ~t n'r•t paru qur M. fo,. •ar la l d.-1i m\Sl~Ns. p~rl · i tort tl .1 traHrs û dl'!l 1011r-1alt 1<'5 allblats ri ;1 11 dar« urs ~e H.' \ u I• 'R '1 t1 OU\~ Kl)tD a\ n 1 tp x ' l nu dt b cul 11 roiu_rt• • re •U'f"~l• cil ~ ,ln Llans 1 Ile afl llt"e J, S ft rara!JORS, ,·ons-nous int r l, oui ou non. 6 111 • h r 11'accord D\~ 1 fnan«!? 0 1, 11' ~'"" 1• • I' NOlltlè n'rn doute, pas .. ~mt' li. J •p3r lui n m • Alo~. n'rst-11 pas irai, la sur<mc malice E•ra1l d ne r~ !ure 1 mJhn 1
,\l'TOl!l•Bll.l~TE'. - 1 lus d re$!0rl.s <M!d grAce au\ ea1 es labril1~nk11 • ka'o s • 11 mon.iu n'Ol•r" n• il el 1·rh onx og 11 •: Tr •1 111r<1 ,L ZU'aah, :;o, rue Je Ma-tir B ' lies.
Le franc baisse
l i J 1 r • !J1t J, f1N"t!\ tltclar lioM au fla1fy Ttlc· qrap/1: n:itr~ 11011!1<1'~ < l u1w (•Oht111u~ 1nJ~1•cnd11nt~. 111 frnnç;H.sc. UI :rn~IUI l .. J \ .:11m Ill h bC: dlo UUU! l''.'-l
dith'è l"'r uotr.· s11u. 1 on gc<>gr;.phiqw ; • llr ,1 pour ùc\ uir dt· m.1111tt:nu· l't:~tcr-~l' lOJ 1hale, tic., l'lt'. Un cmw.-i l 11• lh··nte. i\tilr1.• J •• "u.11· 111l1t.tfl \1 \ J tlu r, 'lt.' ujoutr th•s \.\lïahon .. "'"t'l 1111p1~\111 11 .1 •11·1 br• t'IU 11·1lud~·ur tlu
ll HTy Tr.l<yra1•h 'l''' J, lu11l""'r11111/11 FJ l"'"'"l'I<! ol.1it ile ma111tum l",ntmlo •nl11' la 1'1onœ et l'\11Hl"1;11·e. l.1 1 .. 11 pr111.-1pal ! Il '• fv1 t, 116lt'C g1 nnJ llclgc. uutrc mode Ir d~ !!fige.
Il,: sun cite!, )1. 1 heunis a lait.. ou 6UJ• t d J.1 ~1lualiun lronorn1quc, ks d lnrahon< 1 s phas op111nlàles.
Tout c•ln ~I fort 1 ""· )l11s I~ lrJ r ùa t .. l'ourquo1 b:u~~t-i. .
Lt! fo:la1 MiollO de Y. Theuuis i-0nt fort •rncèrcs; à !•Clll'! le coup de puuce n111U>teritl. .\otre "tuahun hou~ m1quc <:~ t tdlhh :mc nl bonne; nvu.ll accro1s.sc,ns 110~ C\• portat1011i. li ùz11 Jonc >imJ'lemcnt J'une cr•~ de ronllanc.?.
ll aJ.> l'ourquoi donc le public .., mHic-1-11 7 r arte que uotre ~1tuat10n tiltneure 0°1'61 pas !Ohdc;
parce qu'a fore< d., 'oulo1r tour à tour m~nas•r IJ France et l'.\n;l<'tcl'I\', nous "''mmr; 1a~uemrnt ~u·r«tti pu les deu\ pu1»~n~ d'u~c~r une <Ort.e de ptlll chantage; ratte que uotre •Îtuallon intèr1cu:e rc-te s nsuheremenl rroul!fo. I• i:ou1emrment n'a!·an t 1ai11a.s ~u touloar, m con~ k< n.mingan~. Dl contre les 3Cll\l!l('$. oi contre ~ pro!iteurt, na contre I•-" e1trdllÏ·~ de gaucht, nt con· tte riro. n1 contre per>onnc. Il a durl. !•uref, c est pr1!que un programme de ~ou1·ememen1 en tcn.ps norm~I : ma1> nou< 1~ ~mmes plus rn temJ>o nc>nnal. Mamtenanl, 11 IJut a~1r ... t:elle l.a;,,, du lranc. on ne b combat guère qu'à couvs d-e communiquts, ntah tllt! n·~·n c~l pils mo111, rala•trophi·l""· Si elle s'accentue, 1~ prix Je la "•' Dug· 11.entcra u'aulanl, et. par con;cqu"nt, 11 !au.Ira b1tn aus· mrnk:r le.::.; tr;1iLt~rn<"nls des fonctionnalrc:-<. qui crhcri t de faim. cl a qui on ne peul tout ile llH1m• pa.s donner 6 rnan-1:' r d•s ,J,.corations. Et aloi'> 1 Alors, il faudra L11 n rierourir .. Si c'e>l pour en arrin'I' J;"1 !
Confusion
LES PORTO JOn :x $onl les t11rillciir1
S'adresser D~plrt l'~hcr, !?, rue Godechatle~. Btu\c-llc!
Ct L umi ,., iJ •>le nou~ ~1ai1 dit: , • Poo ~ 1•eu, l:i lunuhe ;c la.11. L'ordre renall Ju d!!;-1
ordre . . \ la rcaction q111 a ,u1\'i la 11cto1re, '3 ~u1 EJer1 il 11-0UH 1 l'•cllon. La dcmoctalic mo11d1•le se iessa~t. \'o~cz I' \u~lct>ITT"C ! La France n su.He. Les tl.xLona 1• feront à gauc !Je: le Ll-x nah<onal ~n r1nHr~·\ et olon . •
l"«t il ,. a qumz~ jùur< que ctl ami ,oc.all!tc 001 • lrna1t œ J 0<cours. Mai!, depuis, il i· a eu. tn France, Ir' tlect1on- 6 na1or1al!"S. qui ra~<;ent pour un 'l mptom .. t>tr~memtnl 1mportanL Or. elk• coDSJcrtnl IP 11111u quo. Il t<I donc r·robable qu'au\ éle<'l!OM U:mlntÎH->, mftnC 11 •~ groupe<> de i;nuche <ont un peu renforcœ, le bl~" nal1onal n\.n (tardera pa.; m~ir.< le f!<}U\'oir. Et alors .•. \lor<. ce ~ra de plus en plus frtnce contre \nglcltn-e. !.a confusion gen~rale au!!mentcra rt notre h•rnr •tra obhg•' Je faire n'~lct· une fois de plus sa lial:i.n«-.. .
\ \; llEl:rlY GRlf.f. (Rts1aurant-lhnci11g)' Sam...J1 !I f1·vmr IU2\. l'astueux •oiree de g~la
- l \E \UT \l' Tf: l/f'lF. DF. Llll'QSOR -( fJ•"I/"< /~()m . J.-C. - RoulS•S Il - .\/\' /Jyru1flirJ
La 1•111• ri,he <I la pins parfaite rr<ons1i1ution tlu 1 ~:mplt! il' \mnwn, ile '~ Dî~u\ et <ll~ ""l'..i lrl) .. h'rtS !
[)i11rr,, pm lir dt di.r-nt'u/ l tt'tH"C.-i - f'ndcaur - ~rtrprisu I< 111ut '"'"' un st!lh pur/uit .Ir /'a11cfr11 Thi'brt 1rfgyplr.
Au prngrJmmc : ~Ille /\rman11ine. l\einc d'~;~n11.e t•t i111. m l\IAlll\ ?...
r1·nU•' de soir··e nlil gotoin'. -- Prii'rC M rl'l••t1i1 ~a tahlr. lh1rc1u~: Quai au Bois-à-Brûler, :;, - Tèléphone 227.22
Dans le monde diplomatique
Il. ile \h1~<f1•', amù:io.-,l~ur d, f1 .mec 6 lktl1n, &I' lrOU\.t COii\ ie, queJqu•; jt>UI', nJlf"li Ja ll~mÎnalÏ6n de M. ~trcsl'mnnn au po.te ~e thanceher, il un 1llner 0Hac1d ou 11 Noil a si' I! tM • Je ~lme Siri'}, mJrin.
CHAJ\lPAGl\E CAZANOVE Grand vin Monarque 1914 ........................................... Ag•nl Gtnhal: UON DE BUEGER
39. Rat Th. Roou.,1//, BRUXELLES
Il affectait, dan.s I~ aller.:., et le lan;;age, cette dhin-1ullu~ un peu po.,ulac1ere C<? bon-g•n.on111sme fahg~nl el lr111al par lnq~d- - N1.!r\:nce parler - ~!or \\ 11· m.lrl a1ma11 à .;e d1-l111~<r.
Il cra1gna1t qu !que p u, pour oc p3' J1re beaucoup, de trou• r d;M lia \01l111< uue 0 g• crMlp~ dans (a ranwue <1 qui aurazt lr•du11, par uo 1 nga~ ou un •1 en« • • alem nt o!lensan~, 1 1.11 d Ame de nombre de ,.,. compatn !l'i!. On raconte q ,·;1 êta11 1t1dul~nt à tout n Hat n ajo •,
1 r n q a d 111 '.'lll"S dt• c:omm 11 l'el.111 à lur-mcmc; 11 ,a a11 1olorti ro s.~ 1Um<
pari e J, sa JeUnt&~ d connal'->J11ces dan• < • ~l!~1rc- H l~ur l 1mpro\1•;111, re d 11<:>n, el li. de 1 011 loe-.orn, J"" .ituall n- lucr.1111,s. t ~ am<1 qu'il a•a1t
eu t ttr 1w1 d.J ~uote. cc.r.r1~ à l'un de -·· f1delt- le •om de rtchcrchcr, da1.s lta
1 n'en lut rren. r
r t d l'art f 11 , cria 00 compt - 1k pl 1-i r- de - - '"'"' •, lrs err urs qw au-1 dit fort hl , ur tûUt ~fa, r•1rnt ( U '" -'li~ r. le \ nfi t<'Ur tt Il f )~ à tant J>O Ir
c; nt Ju m•>ntanl de ! erreur J, ou1rrte. \nus 3\011$ U ·
conte atllr f ••. ici, comrnenl 1 1itu1 d1 1 d or 11 sire rréoccupa· MauloourT s'd.;11t 1m, c..,, . a •E"> dtb l<. à !J lfOUf"J luUJOU~
Lo! chormo> fun ol>j l de fil) le l'Sl 1'1d..!111~<aLle, rn~i! bren rcel, el 11 (311 ho1111•~ a•i l·~n i::o1lt Je ion pot'S•S><·ur. t:n choll e.ct'jlliu11nrl de luotrcs, J, l>r•)lll•'> •fart d dt !k!rruz-.ne d< SI) 1~ <M A la porté<: de lou.1, chu BOIX· J.10) ERSOE:I, !>~. b<:>ul•1arJ Bo1anique.
Guillaume-Néron
BRJ~IO! T \ 1lJt\1 Porte l.o 1ise) n _, 1 1 r 1: r
B 11 t r J L1 .n t:oom
Tout pour l'au to
CenlJ ait ... • ·· 06 .tc.11.1 ru oc t.ss.i11rt~ au• !. Ane. Elllbl. ll<lltt tl /;,. l ', JU, rur J' /'agr, n,uzclfc .
Sur Van Hemelrijk
Il N fort connu Jau. 1 rr {'ll•lt 011 l on f•it b lot.>, ri lu l'ulau1 tl 1.s "' rnrt l la at d" \zur. nolJ1111111·11t. n'ont plu• Je «<«·L· pour Io . r: prenait .OUINll, ù P.irr • le rap1 1~ po rr \laru1lle: là, d•ux autos l"all•nda1< 111 p.>ur k condu ro o f.ar.n,. ou O 111~ : l"uoc pour supplèet l'au· ~ en eu de panne.
indocile d , mus1.1 n, •1•i'1I d •:lll d1r1,,r: 11 a1a11 pri< 1Sô1n. a1ar.t la ref•dtlion. de u nn ltrt' d.s laui"" • 1!.111• I• s pJrl1< s d~; e•••:ul.1nl3 tl de 1., report r ou cra~ un Llo;i1 1!;1n> ~a partie dirc<tn<•. Je oor-W qur, lor' Je IJ ré~ll· !1un. Il !'OITll!Pa1! fe,; dit~· laul-' au pa~~~e 3HC une outllri tè qui 1mpr~>t0nna1t •·iwffil'nl 1~ haullmi& ou l.• prcmiu 1 iolon • l le ;arrait t•>ul M ""te« un ma lin u 11ui on nt la fait pns "· Il rarait que 1.1, 1t'r firat .. ur• ri•>< romptabi-111., de Van llemrlrvk r.!!'1>.<aient cle la ""'·rue foçon : il• aioutJi•nt rl•; ra11k• 'clan< 1 .... livn ... . n. f'f clifiai<nl d •'as· «11r:tirn1 ain~i dt"; appoinf~m~nls ~•"rM'iu1.
On rlronrt 1>nror..:a .. t:M":t1k'()11p de dm ... .9 qu~ nou~ n, ·~pHrroll$ pa> : il PSI t•rt.1in nue. qn~rnl M & • plant~ un tfrapf"au n tte lro1~ r,·n t.o. m1lhon .... il rfoit ,·~·"' pu.~>-. ~"''"r 1111 t•rll'P r.ir te dra~u n el~ planté, bien J~ fpi· $0-lé• extraadzr i • ..
Les mou
• Cn ERRfOR ,, \p#rillf S<! d,;;usle dJ.D> lvus k1 ,.r.,,
f' ! a1ait, à ce d<Jeuner, d, ux dcpuks el d ut ~nc1 n• m1n:-lrts - cl l"on ) l31>lll des Dlola !oui en rarl:tn l d• politique 1nltrnat onale
• <•n aurait lùr t de croire. du l'un d anc1• , mÏll1$ln's. •lue Ja-par st' !31-•r 1 .... -<1/lcr p3r I' \ kt<rr ; 11 e!I bc~u:oup mom- h) pnoh-~ IJU'on 0(' Je CIOI! grnenilfmrDl •
);ur quoi l'un dt> député<, q 11 lu I•aul de liod., uo!l· dut :
c Ja,par le m3u1a1, >UJtl • P ???
• lin-i d<>rc. \(ni(' J~ 1 •Ir r ,t \(a ""' , r mm, cle noire nmba--3,ffur JU\ t' 11--T 1 L' u 1dus< J~ il 110 r 1e br.i- à rumL ,, ,J ur cl"\ Il 111ag11r 1
- r,11fa1tcm 'Dl. SJ J •1 "' l ,, J qu•ll1tr ! »
L \·P 1 ~'if:.<;;t; ft .JI Lll HOTEL CO.\T/\E.\TH. - le moil/. ur
Outrances
B<'aucoup d'Jncicns combaltanl-. en Oelgic1ll", ne sont pas con tent.; dt l°Etal-dd;h~ qu i a ,u1\I la gu• m• - et ils onl. pourrait-on dire. plu, Je raison.; t11cv1e que lœ C111lo Je >en moolr....- mal conlo.>nls, pu1iqu 0 1b 0111 11s. l)Ué leur peau pour qu"il en r~t aulrem<!nl Il en va clr m~mt en france. Et ks combaltanl! français, pu plus qu~ I• eomhall&Dta belges, Dt l'e11•·01en1 4m aiu wtor1t.la
Pourquoi Pae ? 29
constitu~e.... Ctux du llidi y mettent ~ulement une .•. exul·ërance qui 1·pouvante ou qu.i amu,.., 5UÏ\'ant lt tempéra· mtnl d•i lttt.,,r.
1lu\fons, 1•ar t\tmpl~. le joum3l le li4tri. de ~i~ (li> .Jeceml1re 1!123). d<>nt 13 d.-i•e ~t: Guerrr d la !JUerrt! - car l~'ouroup d'ancien• combn11ont> .ont dt"rnW! (et r••t lichtr~ bi•n l1'11r .. oit !) drs pacilist~~ ~perdus. (,.. l.ibbé n'aunt p8' las d1ccoor. hrbdomada~• d;i li. Poincarr. [t 11 lt hu dit fQUI net :
.... qu'y "t 11 de plu• c!'·rciquo qM Je. dtpLul!ment• do~l. uul' de 'l Po1nC"ar6! Tf'l un boorr'f'llLu •Dt.nt glorifiM aet ~lC·
••• Q.D petit cc:>up d•Eut, pont ffiur le • pronunC"ia.miPnto • deo '1octton• prcdiainrt 1 Qw oe1a Io d1ct.teur! M ller•nd. qul 00111 r~u\. r•rvenir IOD dttroun d"t:v~.1 gnula, OtJ Po1t>OQNH
La df'!US: e<implicu, dh~, M! cfupoleat i. Pou\: oir c· ttt l qui ~ d#barruHn do raaoire Deus 0001'9 exb.tent en Fran e, IOUI la. troisitme R.;puhhqne : Lli tour à :'\trM ~h!:C'nt.nd tt. la COûr • "lm& Poin...,~ 1 U•n• l~ dclU oour1, oa intnau., Q.u,i emport"ra I~ pou"·o'r dt1 dt~ux
Feront U. u..o tr.ité do pllX ! do Hconcili.1t on, en er 1 de dar·~tt!
Et. ;'11lrt«ant au< mhr• lrant31lll'.< A q•n l'on rromtt d..,; r~romro•n<e$ <Î tllr• font de• rnrants. • rommr on
- Gennania - Pen<l1111t la g11crre fa as traMillé pour il!.f AllilR, n'e..t-il ]Jll8 juAif que pe1ulant la pni.x ltt trnrnilles p1111r moi...
tUDN, l' • abt•mio.ibto B"-'<hn • , .• r1,.•p.\nd1t 14 ''trve t.01titn11.ru .. • &a piN df't !t~f'• dt m• hre cil IOD\ ,,.., .• dfWI m]Jiera de mnu q ~1 d4!Tr'IUC1':. ln faare ronpr de boc.t<t11 et. t"Kulu de rtmoN1'
\uu~ \O)·ez J,. ton! \ou:;, ttrprt\ndn·z. dè~ tur~. ~ans sur· 1•riS<", q•ir 11. l'u;nrarol r<t • Ir 111'<roph~rr lor1oin n, ~· " rnminèl amt.iucu\ • tt que l'on rcpr<>che au maré'<bol •• t><b k• « rclld< unsu1ool,nl• qll<! Jtlt~nt .. quatortr dc.11<'<! ••
le Pr•"'lllrnt O.. la Ri'pubhqur lu• mi·m• n ·y roui'<' p34. v r1·olar1<-ur du li~rrl"" demau<l~ « ce qui S<J mijote en
îrance • - et il se réP"nd :
p1o<·eil~ pour les a111mau• g1as dt'S <onuco~ 11gn<OI<.\ •, i '•tcrie ~
.\Urn f,.oç:au.a, '"°' la.rmts ooL roagi ~e roban qw orne b boQ,toriniirft d<' llQ~ d1ngraal• !
:O.os comliottJ111~ bdge< ks plus anll-gu•'rre - m~nw 1rava1ll/of par \'an R~ruoort~l - >Olll tout de nll'·me mo1n~ .• \lrridiona1l\ .
[t 11 ~ a tout 1 u J',n ld1r1t ~ 1 han ~as klg .. et eus mtIDf:; !
Quel r•t le rh• ~., Ioule frmm~ chic ? Con.luire sa P4 lile S HP. Cilroln.
30 Pourquoi Fas?
PORTO OE LA CHAMBRE
OES LORDS ADAM'S PORT c~ RUE
PRIX t 8, 9, t1, 14 fr11no.a
Les dettes d~ guerre ... dea ttAts-Uni~
Qu. d on md sur le . • Io qut. 1 >n iJ. ~ •>ellts de i;11trre, l<S l m•'.l"icains parl~nt b1n haut Je l•ur honué-1.!I~ oomm rc JI'. ~ •JuanJ C>o a fall tl('! Jdtc;, û1s nt-1 ~ on lts paie ! »
l>z 1 on en croit l"hrsl ire. 11.s ne sont p:t! rrêc isêœ nt de c•t a'lll quand 11 sagit de lei.li"! d.ttC! il <Ut. ln m~ nenlurts de 11,,un1a1 hais, l'3uléur •Ill t/arwgc tir l 19aro, er•nt li prquM.
On &:111 1 ~n n <;J Bcaumarch~is reudll à la r u &mëru: n I ~; ;. Il ne s.: c.o:-• nl3 pas de p r goonf1'DCll1 nt franç rs soutenir 1 « rn•ur. nls I• tl
reronnollrt 1 rnilq1.:11dancc Jc;s l::tal.'l-l1• •. Il fréta des n · \ln'5 11u•, mal~ré la sun 1i1Jnce 1l. la llc!te on~l~1!e, M· Larqu~rent rn \merrq e Je la poudre. do,; canons ri d • clfici rs lrança1·. Il arma un . nd n:n1re ~ ~~rr , l 10- ltodnqu<. qui, a la 11 !ail na1ak d• la Grt'na <<'mhallll glonru-eruer1t et '"lori U$('"1<nl l,! nO\,rcs an~l:w~. f:n t: hant:è dr.- ftirm s d des 11111nil1on ..... qu'il tntH I fourn· 1 '-11\ \mtr1C"am•, Bf'aumarrh J( d'f\3.tl r H•Ir dt.i. rnarcb n • • • d tabac tl du coton. Il ne reçut J m ir en V! C n~ le réfl1•rcta11. ma· n'en• ,.,;, 01 arJ? ni. n1 tab3c ni c l n. f 1 lm, en 1 ; ;n 1 i;c-~r - se 1da à foir<' rem llrr• h Re 1m. I"\ ha1> :?.511.000 ll\Te·. en ll'llrt'5 ,J~ change lm"-'s â 110 •n•. >tir ~ronklin . 1' t 111 lo>ut juste la mo1llé de la dell<' r>«1urnarrha1S0 qui ~ta 1 pGur-1.mt un halJ lt homme. r 1 la poire : L•s 1 llU.S d< ch 'I~' ~ur Fm k m ful'l'cl t<> t c<' qu0
1 rc ut 1amz s. d'.\m riq . Qualrt ! •, le Concrh I·• rél;I r 1 • <Gmpl••. li 1S 1, .. compl ~ 1-t~li'S, on n'rn 1 •1~11 rion. I.e 110 !ut q•1'rn 1 ~35 <tue la fon ill~ lla::mar lin!.! ft'Ç11t ~n(l.llOO lrnnt~. h 1i1rr .-le !ra usa lion •ur une r~•nce qui. en 1 ; •1;;, ai 1 te fil~ par le d l~é du 1 n.re- il 2 2·0 000 rra., !
\o d mandon• à eux de n • 1 t Jr• qui «0nt 1 rs • dans cc f:' nre de prol>I me· Qu lie 1 ln • .,mme 1J l<', l.L ~ilim•nirn t , Ir• hhil1ru M Benumnr• ha~< ~urao• l'i olù loucher •D t ~:;~ et qu Il•"' ~J <-011''1'1 ou'1f- J nt pu leg• 1mrllY'nl rlclaml'r tn l'an 1lé 111' r.e rn~ 1 ••• 1'11n li• compte cle3 intcrNs ro p<>Sé• tt ., l'on caku'· l"int. · ~•mp1c à 5 p. •
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La puissance du Fhmingant
On »Il qu.P la duechou de 1'.h~<Lnio d',\111rrs rsl 10· rani•. L'un a pour lui son 1.o1le11t d'a!Jorol, J•Ul6 Io maj<>nte Ju cor0t1I communal 11'\111crs, le go111crncur, la do'· 1111t•tion ~nnanrnle, l" erhstc<, 1,.. m3lrurs, la ,,u. nr'<c, et. ju'lju·a ces de·n·er- r. mp-. le mimstrl'. l'octre Jlllll pour lui li. Franck, dit le « ~alto Jet nahonal •, cl li. \"an Cau11riacrl. ùr, il par:i!t que c·~ deui b~•bM c1111jugum 1·001 l'emporll'r. U. mim<!r, ' r~ll d1sll')f~ 6 céJer. fi ne ICU! (&1re &UI nam1'1,!:ants nulle pt llC, m~mr l•t:ère. Xou• nt 1oulon' pa- rro·re qur. mme Qn oou~ l'assul't'. une troi<ieme b3rbe, celle de li. \ riant, •O 1 do
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A la mémoire de Steinlen
On sati que notre connb .:n h·an 1.amloerll· !ut un 1le<1 plus l(rando admirateurs et ij,,, p U< f1tlcles 01;115 ile :-1t•1 I• lPrt, qua \lent rie mourir. (Dcpui.;; 1111'11 (':il 111orl, "tl s\~l apcn;u que c't·t.•H un i:ranil. un l11•s gra111I n111•1<' f!Jl. IJ p~st·tl<' lt:~ mt1llcur(!'5 o•unt:~ du 111atlrt'. 13ul ru illu~lr;i .. lion!' qu'en orig111au~. Au~--l, gr:\rC'! il hu, pou ri a~t"'fm l'rod1:-iiurmtnt on:;onrser, il Jlr11\.elli .,, lUh' f'.\.(lOS1tion Steinlen q111 fora $<'Usation.
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h>f.Îlanb quelq"l'i gaillard; ~UI, pl ud llllllClll embu«1u1'1i d:ir•-. I.e~ srn1ct.b J:-r.roko.. tft l'Et:it, !Ont pnntnus, â fon~ de ru~<' .ole ~lraltg1e pohU<;Je à -e faire nom111rr lluzdle rcgnnute - proie'>- urs dr l'lr.slltut dr Gemblou1.
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Plagiat
C tUlll au l• mps 06 \'1ndtntldt ~!ail miniE!re dt la Ju.s11ce. Ln b,au 1our, 11 u l11rt uce tou1 net dans Ullt' prison 11 tn rrroge I~ dtlcnus :
c Qudle pone a' ,z.,ous • subir? - 011 ans de rêdu.ion •• - Du ans / Po~ quoi? - l'our plagiai - l'our r .. ag al7 7 7 - Oui, (a1an C".'p1ê des bilku dr mille INncs . • • \'oi 3, au moms, un pla~1al dont o, h•lh n'a JJmaÏ>
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L la• 'l'"' 1 ui., J~ 5Tl flEll.\KER n'ont c~é d'aug. nicul r peu Jiii Je> '" Jc1111èll:S auu es •~l on ne peut plu., •1,1111l1r111L Le mfrl!e ~t, tn clld, le n1cil eur l•·nûeur d1J moudt-.
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l.<lle to. 81<W.., OI •• C ,du)•, 8\311 rté ch<r· gée ('Of Ja U \frtnde lJ rt d u!IC Dll!>SIU pour ) 1113 '011-
mtte de 1 ord e, à P•ri•. t:: le ë! Il ltt5 1111elê·~,o ·, eœ1n Cudult u hS Ir~~ c.tlld1dt, un• d ~ mtb d, ~11•lal qui oun 111 au1 an.,cs. A "' la R \ 1rn le Il rc <ra1,n1 11 'le uo p u pour lie J emNrru du •01 i:c el J, ... 1mpu·
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o ~UMI( d ), r J a b !;• r Ju ~O J, f 1\111-elJt dl! • "' pn:n ez un l1aN'e, non r~ un .. auto po" quoi rl b , 1 IJu aul • a•a1tl!1·1l• ma~•o1 1tr1.• t1on dan·
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Soigne la nme rn ~·111e !
En ·ampngnr, quelle panaJP ! Lc..s iarJins, Je, 11~11c>. l<i! rh mps Seroni ra;"" comj>ld ment ! .
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Ce il»sa'tr~. bt>aucoup l'imputent A J'nb.•· oce d• collrcl.eu1 <. liai; .. •ur l'rg ut tl le, couJ,uu
Jama•- an ne d •cuir !
Il manqoe A P,1ri• un c~nal. lldler~nd, d"'°le - paunt homme 1 -11.lno r~1l, i• crc • !'On ro1aumt,
Pour a•o1r uo • cbrnal • !
Dep s rl•'i' ~mp• d" lomla ne, Le !am u' iou \C rtdome Lo l'::ncd•, car 1 " "' • dame ! -
E;t l'cnm m1 d' lilm !
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D.10!' un dt n,... t,1is,C'mtnls fi'c,fot'31Î<in '"' plu!i tt-pu ~. de la .ap1lal~ l'•r le g1 a11J 110111hrc 11"1·ln , •111<. M· pu" '''"' ile 11m:;1-cm11 """· 11 foui Oil à n:col 11uhlll11 •I llut ~!œ ~· n11fiq1 "' s11pèric.•1rrrs. ks ~lt1rs 8IOÎ< n naturellcimhl uuhst la n •g• ccu1ran1 la cour pour laar un bonhomme. •
La l~·o::nc lerminf!t. il .-ag1«ai1 dt d~lanrr un no111 au • hl u •· L-. frouts tlaK'nt rlnmui1 5"ntu1 dt1n111 cr probleme • rfl;ou•lre. comm• 5'1i ~ lut ai: de la quadr;i. lurr du rad~ ou de to•1tl' .ulre •1u •lion au:<<1 ~pmcus • quan•I l"un d..s dè• s ...- dtla ha •uLrrp11ctmrn1 du group;! tl rt• int. a11 boui <k' quelques mmulcs, planter sra\tlll(OI. "" pied Ju Lonhornmc, UllC panrorte porlan• <tllt in~.,. p!r<'n: / .. , cnncrl' tnconnu.
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JUPtt 1i nou1 él1u:u au ri ttrlutru 'IU< notre bon onrl•, nr>aJ ltOU.r ol• 11rn • , 6 / n ,f 'd 1 ,, r lrt eu 9ar'1~ t<lntrt us 111 lru 1 n • o ' ~ t rnr , JHlfrc qur c<I r nt 1tr11rai1 d nr 1 1 u <ln o 1/c I t l 1 {au 111rl !lu progrJmmc. '• I• 1 r I u • ml ,. 11 • J, <lur11r lt rlcrf ûatn-rr 1rnmorlrl. tu J>Q_ I' pr.Jl'1'lr111rru urie '01rc~t fort n9,.'a/,l•. ~au( Ili fm, Ir t /1a11 ps l l 1 ar rl lu f '''" /.,,fr,111-
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MAJsON FoNCu .,. 1831
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PRIX D'EMISSION 11. 7 5 :franc s par titre payable comme suit:
Fr. :3 .:5 - soit 20 p. c. a "''T~I taon, 1111 3 au 14 décembre 1923 inclus; Fr . l.40.- · la rq~-irt1tion, qu ,:e lt:rn I•·-< 26 et 27 décembre 1923.
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La souscription sera ouverte du 3 au 14 décembre 1923 inclus A ont 1-, l.LOC:I"
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