Sauver des vies, révolutionner le secteur : l’histoire des étiquettes dans le domaine des soins de santé

Chez Computype, nous savons à quel point ces décisions peuvent être cruciales. Depuis 40 ans, nous veillons à ce que les technologies et les solutions d’étiquetage que nous proposons aux acteurs du monde de la santé répondent à toutes leurs exigences.

De la recherche en médicaments au dépistage en passant par la collecte de sang, nous avons

fabriqué des milliards d’étiquettes et de codes-barres qui ont aidé à prendre de grandes décisions.

Et une chose est sûre : nos solutions continueront d’évoluer au même rythme que les services de santé.

Guider les grandes décisionsDans le monde de la santé, le quotidien est truffé de décisions importantes, qui peuvent concerner l’efficacité d’un nouveau médicament ou l’exactitude d’un diagnostic de cancer, ou encore la possibilité d’une greffe. Les grandes décisions – parfois une question de vie ou de mort – reposent sur des données provenant de laboratoires de recherche, d’essais cliniques et de banques du sang.

Comment s’effectue le suivi de toutes ces informations et comment sont-elles accessibles pour guider ces décisions importantes ? Eh bien, grâce au code-barre !

1973Les acteurs clés du secteur définissent une norme unique d’identification des produits pour différents secteurs tels que les services de santé, l’agroalimentaire et le transport. L’UPC, qui est encore utilisé de nos jours, a été le premier code-barres GS1. 2000

L’une des premières tentatives d’intégrer les codes-barres et l’étiquetage automatique des plaques microtitres à une cellule de traitement de plaques réussit.

Petit historique des codes-barres et des étiquettes dans les services de santé

C’est peut-être surprenant, mais on n’a pas toujours utilisé les codes-barres et les étiquettes pour le suivi des prélèvements ou pour automatiser les processus dans le secteur des soins de santé. Penchons-nous sur l’évolution du secteur et de ses méthodes de suivi privilégiées.

1977Les banques du sang sont parmi les premières dans le secteur de la santé à apposer des codes-barres sur les produits de collecte pour répondre à un besoin de réduire les erreurs et de respecter les dates de péremption.

1983Des normes sont définies pour standardiser l’étiquetage de tous les produits livrés aux hôpitaux (« Health Industry Bar Code » ou HIBC).

1989Les banques du sang du monde entier commencent à faire du Code 128 leur symbologie standard au lieu du Codabar. Elles sont ainsi plus flexibles, peuvent enregistrer davantage de données et diminuent les risques.

2006La Société internationale de transfusion sanguine (SITS) crée un groupe de travail pour étudier le potentiel de la RFID dans le domaine de la transfusion sanguine.1990s

Les entreprises de diagnostic commencent à utiliser des étiquettes à code-barres résistant à la coloration en conjonction avec de nouvelles technologies de coloration automatique de lames en histologie.

2004Aux États-Unis, la FDA décide que tous les médicaments à usage humain doivent être munis d’un code-barres à 10 chiffres pour garantir qu’un code national des médicaments (« National

Drug Code » ou NDC) figure soit sur l’emballage, soit sur l’étiquette. L’une des premières étiquettes à code-barres RFID est utilisée pour le suivi de la qualité et de la quantité des réactifs coûteux utilisés dans les équipements d’analyses.

1999Les premiers hôpitaux commencent à utiliser les codes-barres pour améliorer l’administration des médicaments.

2016Le suivi automatique et l’utilisation des milliards de composés et de produits biologiques utilisés pour la recherche de médicaments et stockés dans des échantillothèques du monde entier se font désormais par le biais de codes-barres linéaires et 2D.

2013La FDA américaine annonce son règlement sur l’identification unique des appareils (« Unique Device Identifier » ou UDI), qui prévoit que tous les appareils médicaux doivent désormais être munis d’un identifiant unique de produit.

Les codes-barres dans les services de santé

Ils ont beau être parfois petits, les codes-barres n’en jouent pas moins un rôle de taille pour la précision de la recherche, des analyses et du suivi.

• Aposés sur des poches sanguines, les lots d’identification de dons et les étiquettes ISBT permettent d’assurer le suivi d’informations importantes sur la date de collecte, le groupe sanguin du donneur, la numération cellulaire et les résultats d’analyses en laboratoire. Cela signifie que lorsqu’un patient a besoin d’une unité de sang, il a la garantie d’avoir une transfusion de sang compatible et sans risque.

• Lorsqu’un laboratoire de pathologie utilise des codes-barres, ceux-ci restent apposés à la biopsie du moment du prélèvement à celui de l’observation au microscope. Ce suivi garantit une chaîne de contrôle correcte et un diagnostic précis. Vous ne voudriez pas recevoir le mauvais diagnostic parce que des prélèvements ont été intervertis !

• La recherche de médicaments fait appel aux codes-barres pour le suivi des composés et des produits biologiques. Les composés détenus par une entreprise pharmaceutique ou de biotechnologie peuvent avoir une valeur unitaire allant de 8 à 8 000 €, cette valeur étant encore plus importante si les composés sont combinés. La plupart des échantillothèques stockent plus d’un million de prélèvements. Il est donc essentiel que chacun d’entre eux ait une identité unique pour garantir le bon déroulement des recherches et une gestion rationnelle des ressources financières.

Depuis que nous proposons des solutions d’identification, de suivi et de gestion au secteur des services de santé, nous avons optimisé la solution éprouvée que sont les codes-barres :

• Nous avons conçu des étiquettes pour lames de microscope et pour tubes à essai équipées d’une couche de protection stratifiée ainsi que de languettes transparentes qui se collent sur la partie imprimée afin que le code-barres ne soit jamais directement exposé aux produits chimiques agressifs et aux températures extrêmes.

• Nous avons conçu une étiquette en forme de balle de fusil pour tubes coniques pour garantir la bonne lecture des codes-barres.

• Lorsqu’il est nécessaire d’utiliser des codes-barres préimprimés, nous nous assurons que chaque code est unique, que chacun d’entre eux a été préscanné et qu’il n’y a pas de doublons.

Les codes-barres peuvent avoir différentes tailles et formes et peuvent même être colorés !

Tout est une question de barres et d’espaces !

• Clés de contrôle – elles sont placées dans le code-barres à un emplacement prédéterminé (généralement à la fin). Elles sont mathématiquement liées au reste des caractères et permettent de confirmer que les données correctes ont été décodées.

• Caractère de début et de fin – ces groupes de barres et d’espaces indiquent au lecteur où le code commence et se termine et quelle est la symbologie qui doit être scannée.

Codes linéaires : Le bon vieux code-barres

• Les applications des banques du sang nécessitent des codes parfaitement imprimés, puisque les doublons ou les codes-barres illisibles peuvent être une question de vie ou de mort.

• Pour la recherche de médicaments ou les essais cliniques, par exemple, les codes-barres linéaires peuvent être essentiels pour assurer le bon fonctionnement de la chaîne de contrôle et le respect de la confidentialité des données du patient.

Le Code 39 a été le premier code alphanumérique mis au point. En 1981, il est devenu la première norme du ministère de la Justice américain ainsi que la symbologie standard de l’ensemble du gouvernement. Il s’agit également du code recommandé par l’Automotive Industry Action Group et par le Health Industry Business Communications Council.

Code 39

• Un code discret doit être lu comme un code continu du point de vue du lecteur. La différence est que les caractères des codes discrets sont « indépendants » et exigent un espace pour séparer chaque paire de caractères adjacents. Cela signifie qu’ils prennent un peu plus de place qu’un code continu.

• Alphanumérique – utilise les chiffres de 0 à 9, les majuscules de A à Z et sept caractères spéciaux

• Deux largeurs d’éléments – large et étroite• Longueur variable• La concaténation est possible.

Alias : code 3 parmi 9

Le Code 39 est parfait également connu sous le nom de « code 3 parmi 9 » et est très répandu dans les applications industrielles, médicales et

électroniques, les télécommunications, les conteneurs de transport maritime, le commerce et les applications du secteur public.

Le Code 128 est une symbologie dense qui peut être utilisée pour les codes-barres alphanumériques ou purement numériques. On le préfère souvent au Code 39 en raison de sa densité et parce que le jeu de caractères disponibles est bien plus important. Pour résumer, le Code 128 peut contenir beaucoup plus d’informations.

• Code continu sans espace entre les caractères• Alphanumérique, peut utiliser l’ensemble des 128

caractères ASCII• Longueur variable• Quatre largeurs d’éléments• Code très dense• La concaténation est possible.

Code 128

Parfait pour les produits sanguins

Une version personnalisée du Code 128 permet aux produits sanguins du monde entier d’être assortis d’un

numéro d’identification de don unique.

Les codes-barres peuvent avoir deux types d’orientation :

Barrière à piquets – les barres du code sont verticales, comme pour une barrière.

Échelle – vous l’avez deviné : lorsque les barres sont horizontales, on parle de format échelle. Dans le domaine des services de santé, vous trouverez à la fois des codes-barres de type barrière et de type échelle :

• BarrièreCodes-barres pour plaques microtitresCodes-barres pour lames de microscope

• ÉchelleSur le côté des fioles et tubes à essai

Barrière ou échelle ?

20617725

20617722

Les codes-barres bidimensionnels

• Les codes 2D sont de plus en plus répandus dans les applications du secteur des services de santé, où ils sont appliqués sur le dessous de petits contenants avec un code-barres linéaire ou des informations lisibles par l’œil humain sur le côté.

• Ces codes-barres sont particulièrement utiles si la fiole / le tube à essai doit être lu(e) par un processus automatisé.

• Le secteur de la médecine transfusionnelle s’intéresse actuellement à l’utilisation des codes 2D pour l’étiquetage des produits sanguins.

La miniaturisation permet de réaliser le même nombre d’analyses et de fonctions, mais avec moins de ressources. Des quantités réduites sont rangées dans des contenants de plus petite taille, qui ont besoin à leur tour d’étiquettes plus petites... Un scénario idéal pour les codes-barres 2D !

Les codes 2D peuvent stocker plus d’informations en utilisant moins de place.

Dans le secteur des services de santé, le temps, c’est de l’argent. Pour réduire les coûts, il faut soit accélérer les processus, soit réduire le gaspillage, soit externaliser certaines tâches pour optimiser la productivité.

Le code Datamatrix est un code 2D capable de stocker des quantités impressionnantes de données dans un espace compact. Il a été spécialement conçu pour être lu par les lecteurs à balayage visuel quelle que soit la direction ou l’angle.

Il existe deux types de code Datamatrix :

ECC-000 à ECC-140 – avec un nombre impair de modules sur chaque côté du carré.ECC-200 – avec un nombre pair de modules sur chaque côté du carré. Ce code a une capacité maximum de données de 3 116 chiffres ou 2 335 caractères alphanumériques dans un symbole de 144 modules sur 144.

Chaque symbole est composé des éléments suivants :

• Une « zone de silence » tout autour• Une bordure composée de deux côtés continus et deux côtés

intermittents• Des cellules de données à l’intérieur du damier qui sont soit

foncées, soit claires

Datamatrix : petit, mais costaud

Étiquettes en couleur : Nous adorons certes les codes-barres noir et blanc, mais nous aimons y

ajouter une touche de couleur de temps en temps.Nos clients de toutes les disciplines de la santé ont mis au point différentes manières intelligentes d’utiliser la couleur pour en faciliter l’utilisation et pour gagner en précision :

• Identification de l’entreprise, logo et image de marque, différenciation du produit

• Avertissements et mise en avant d’informations, telles que la conformité SGH

• Coordination et codage des couleurs d’autres contenants ou instructions pour les kits de prélèvement

• Étiquettes ECL pour séparer les informations sur l’étiquette à l’aide de caractères en couleur ou de languettes de couleur

• Code couleur pour les fioles ou les tubes à essai pour indiquer à l’utilisateur quand l’utiliser ou pour quel processus/prélèvement/réactif l’utiliser

Les codes-barres :

les étiquettes sensibles à la pressionLa bonne vieille étiquette adhésive reste

la méthode la plus répandue d’apposer des code-barres dans le secteur des

services de santé. Conçues pour résister à différents environnements et produits chimiques, les étiquettes font bien leur

travail. Elles sont généralement utilisées pour le suivi des plaques microtitres, des fioles et tubes à essai en plastique et des

produits sanguins.

L’un ou l’autre ! En fonction de l’application du client, de l’environnement de travail, des processus et du matériau auquel le code-barres doit être apposé, on a différentes possibilités.

adhésifsou permanents ?

Efficaces, mais ne durent pas éternellement :

Info utile : Les contenants munis d’une

étiquette sensible à la pression peuvent changer de poids au fil du temps, ce qui n’est pas le cas avec un marquage permanent. C’est particulièrement pratique lorsqu’on stocke des composés

chimiques ou des produits biologiques pendant des années !

Solutions permanentes :

La céramiqueUn code-barres est cuit sur le

contenant à haute température, si bien qu’il se fond dans la

matière. Cette méthode est généralement utilisée pour les

contenants en verre nécessitant un code-barres permanent sur

le long terme.

Direct ImagingL’image ou le code-barres est imprimé directement

sur l’objet à l’aide d’encres et de procédés de séchage spéciaux.

Gravure au laserUn code-barres est gravé sur le matériau en utilisant

la chaleur du laser et le processus d’évaporation.

Imagerie laserDes matériaux spéciaux

sont marqués à l’aide d’un rayon laser.

Retrait d’encre au laserLes couches supérieures sont

retirées au laser pour faire apparaître différentes couleurs entre la couche supérieure et

le support. Cette technique est souvent utilisée pour le marquage

permanent de l’aluminium, du métal et des films.

Bouchons/inserts moulés sur mesure

Des bouchons et des inserts avec un code-barres peuvent être

conçus pour être utilisés avec du matériel de laboratoire existant.

La sélection naturelleDans le secteur des services de santé, les prélèvements et leur code-barres sont parfois soumis à des processus incroyables où ils sont exposés à des produits chimiques agressifs et à températures extrêmes pendant des périodes prolongées. Heureusement, les codes-barres et la manière dont ils sont apposés ont évolué. Ils sont désormais plus solides et durables que jamais !

Températures – qu’ils soient exposés à ces températures pour des périodes brèves durant le traitement ou des périodes longues dans le cadre du stockage, les code-barres n’ont ni chaud ni froid aux yeux !

122°C Autoclave

40°C Incubateur

4°C Réfrigérateur

-20°C Congélateur

-80°C Surgélateur

-120°C Phase vapeur

-196°C Azote liquide • En matière de traitement et d’exposition, la plupart des laboratoires considèrent l’eau comme un produit chimique.

• Certains échantillons biologiques sont stockés à -80 °C pendant des années !

• L’azote liquide bout (se liquéfie) à -195,79 °C et provoque la congélation rapide des tissus dès qu’il entre en contact avec ces derniers.

Produits chimiques : qu’ils soient immergés pendant des heures ou qu’on passe un produit chimique au chiffon dessus, les codes-barres doivent résister à des mélanges assez puissants.

Me

Is

Co

Méthanol CH3OH

Alcool isopropylique

Coloration

Dm

Ac

Xy

DMSO C2H6OS

Acétone C3H6O

Xylène C8H10

Le saviez-vous ?

La RFID transforme le suivi dans le secteur des services de santé

Adieu les codes-barres ? Pas si vite...La plupart des experts sont unanimes : le code-barres a encore un rôle clé à jouer en matière d’identification et de suivi. En fait, la RFID et les codes-barres commencent à être utilisés de manière complémentaire.

En combinant les codes-barres et la RFID, on a l’avantage d’avoir deux supports de données. Si l’un d’entre eux est illisible, pour une raison ou pour une autre, l’autre intervient comme « filet de sécurité ».

En 2006, la Société internationale de transfusion sanguine (SITS) a créé un groupe de travail sur la radio-identification (RFID) pour étudier le potentiel de cette technologie pour le domaine de la transfusion sanguine. L’équipe a souligné deux avantages clés de la RFID :

• Les tags RFID sont lisibles sans visibilité directe. En combinant habilement les tags et les lecteurs, il est possible de lire un carton entier de contenants à identifiant unique sans même ouvrir la boîte.

• Les puces RFID peuvent indiquer en temps réel la nature exacte des produits sanguins. Il reste bien sûr nécessaire de les réétiqueter avant la distribution.

Le premier projet américain d’envergure d’étude de la RFID dans le contexte des banques du sang a été lancé par l’Établissement du sang du Wisconsin en 2009 grâce à une subvention du National Institutes of Health.

Un consortium de différents hôpitaux et établissements du sang en collaboration avec le laboratoire RFID de l’Université du Wisconsin-Madison a utilisé des étiquettes intelligentes fournies par Computype pour examiner la facilité d’utilisation, la robustesse et le niveau de sécurité de la RFID dans la chaîne d’approvisionnement en sang.

Après que l’ISBT a choisi la HF (haute fréquence, soit 13,56 MHz) comme norme pour la RFID et qu’il a été démontré à la FDA que celle-ci n’avait aucun impact négatif sur les produits sanguins, deux des premiers systèmes complets ont été mis au point pour la chaîne d’approvisionnement en sang. Des essais en conditions réelles de la RFID dans des banques du sang et des hôpitaux ont suivi et la FDA a délivré sa première homologation 510(K) en 2013 pour le système de RFID conçu par ce groupe pour les banques du sang.

En contribuant à la standardisation internationale de l’ISBT 128, nous ouvrons la voie vers la nouvelle ère d’identification automatique dans les services de santé : la RFID.

• Utilisation et qualité des réactifs

• Emplacement des instruments de chirurgie

• Gestion des lits vacants dans les hôpitaux

• Administration des traitements aux patients

• Statut et processus de stérilisation

• Statut au regard de la maintenance et emplacement des équipements de laboratoire

• Processus de préassemblage et d’expédition

La RFID permet toutes sortes de suivi dans les services de soin :

L’identification automatique continue d’évoluer dans le domaine des services de santé et Computype aussi. Si le passage à la RFID ne se fera pas du jour au lendemain, il est clair que cette technologie suscite un intérêt croissant parmi les acteurs clés des sciences de la vie, du

secteur des analyses et des banques du sang. Computype est bien placée pour retrouver son rôle pionnier pour les aider à tirer le maximum de l’identification automatique.

Les services de santé et le secteur médical se sont développés rapidement, mais sont également confrontés à une mutation tout aussi fulgurante. La miniaturisation, l’automatisation et l’externalisation ont pris de force ce secteur et ouvrent la voie vers des processus plus efficaces, plus intelligents et plus rapides.

#Tendances

La miniaturisation :Les laboratoires peuvent désormais effectuer des analyses et exécuter des processus à partir de plus petites quantités de prélèvements, ce qui permet un gain de place et d’argent. Cela permet de réduire la taille des contenants, qui doivent eux aussi être étiquetés. Les codes-barres 2D sont particulièrement adaptés à ce phénomène de miniaturisation. Alors qu’une analyse exigeait peut-être un litre de substance il y a cinq ans, 10 ml suffisent aujourd’hui.

Dans un contexte où la nécessité d’utiliser des quantités plus petites s’accroît, les étiquettes à code-barres et l’automatisation se doivent de soutenir ces évolutions.

Cette tendance à la miniaturisation a donné lieu à l’avènement des laboratoires sur puce, des nanotechnologies, de la microfluidique et de l’automatisation des laboratoires. Les équipements automatisés se sont eux aussi adaptés à ces analyses miniatures et à ses volumes réduits.

L’automatisation :Flexibilité, précision et contrôles plus stricts : tels sont les atouts de l’automatisation en laboratoire

• L’automatisation complète en laboratoire renvoie à l’automatisation de l’ensemble d’un processus lorsque des équipements automatisés peuvent être utilisés.

• L’automatisation d’un poste de travail renvoie à l’automatisation d’une fonction, d’une tâche ou d’un poste de travail.

L’automatisation réduit les risques d’erreurs humaines tout en garantissant la cohérence et en permettant la reproduction des tâches si nécessaire.

Des banques du sang aux pharmacothèques en passant par les laboratoires de pathologie et la collecte de plasma, l’automatisation garantit des résultats rapides et fiables.

La plupart des systèmes automatisés sont basés sur (vous l’aurez deviné !) les code-barres. Bien souvent, ce sont les codes

L’externalisation :Lorsqu’on ne peut justifier l’automatisation ou l’achat d’équipements ou qu’un prestataire externe peut effectuer plus efficacement certaines tâches que les processus internes, les entreprises envisagent souvent l’externalisation. Beaucoup de tâches peuvent être sous-traitées, de la gestion des prélèvements à la logistique et le préassemblage des essais cliniques en passant par l’apposition de codes-barres. Les entreprises du secteur des services de santé se font confiance mutuellement pour assurer le bon fonctionnement de leurs processus.

L’externalisation de tâches ou de processus peut avoir divers atouts :

• Plus de flexibilité• Partage d’équipements• Savoir-faire supplémentaire• Plus de capacités• Gain de temps• Time savings

Les plaques microtitres avaient

autrefois toujours 32 puits. Désormais, il n’est

pas rare de voir des plaques avec 96, 380,

voire 1 536 puits.

linéaires ou 2D qui permettent aux systèmes de bien fonctionner, de réduire les périodes d’inactivité, d’améliorer le niveau de précision du traitement des prélèvements et d’éviter les erreurs.

Les systèmes seront de plus en plus intégrés et mondialement connectés, la recherche progressera et les objets seront de plus en plus « intelligents » – il sera dont possible de gagner en efficacité et en précision.

Un avenir radieux

La recherche prédit que les services de soin vont continuer de se développer et nous sommes persuadés que les codes-barres et les technologies d’identification automatiques resteront d’actualité. Cela étant dit, le secteur en lui-même ainsi que ses méthodes d’identification et de suivi continueront à évoluer.

• Les technologies Direct Mark réduiront les risques de problèmes d’étiquetage, tels que les étiquettes qui se décollent sur les bords.

• Les codes-barres deviendront encore plus petits !

• La RFID fournira des informations en temps réel sur l’emplacement des prélèvements en cours d’analyse, ce qui réduira les risques de pertes.

• L’automatisation des analyses se déplacera peut-être des grands laboratoires centralisés au chevet de patient.

• Les méthodes de diagnostic au chevet du patient (laboratoire sur puce) accélèreront le processus de diagnostic et personnaliseront le traitement.

• L’automatisation entraînera une réduction des tailles et une condensation et permettra une précision telle que la taille des échantillons pourra être largement réduite.

• En matière de gestion des composés, la RFID permettra aux échantillothèques de savoir exactement quels échantillons sont disponibles et de connaître plus rapidement leur emplacement, sans impact ou avec peu d’impact sur les températures de stockage.

• Le partage des technologies internationales accélèrera la mise au point de médicaments et améliorera la précision des analyses diagnostiques.

• La médecine personnalisée permettra d’établir un diagnostic personnalisé et de traiter chaque patient en tant qu’individu.

La découverte est au cœur de notre métier : découvrir vos processus actuels, vos objectifs futurs, les lacunes de vos workflows et vos potentiels d’optimisation. Sans ce processus de découverte, nous ne serions qu’un simple fournisseur d’étiquettes. Cependant, nos méthodes de travail sont tout autres ! Chaque créneau du monde de la santé est différent et fait face à ses propres défis. C’est pourquoi tous nos codes-barres, étiquettes, systèmes automatisés et solutions d’externalisation sont modifiés en fonction de vos processus et de votre environnement.

Pour en savoir plus, contactez-nous à l’adresse contactus@comptuype.com ou consultez le site www.computype.com

À la découverte des découvreursL’automatisation, les services d’externalisation, les codes-barres à l’impression irréprochable et les systèmes RFID sont le cœur de notre métier. Nous serions ravis de pouvoir vous en présenter les avantages pour votre structure.

Notes

Consultez notre site Web www.computype.com