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S@ti - Produits

SEPP, 23, rue GaliléeF - 75116 ParisTél. +33 (0)1 44 92 50 50 - fax +33 (0)1 44 92 50 51

Directeur de la publication : Jacques DarmonSecrétaire de rédaction : Véronica Velez

Collaborations : Pascal Jacquin (formation et produits),Frédéric Guérin (saisie), Catherine Legrand (corrections).Diffusion promotion : Brigitte ArnoudPublicité : Carmen Costa i Montal assistée de Joelle DaemenPAO, gravure : Planète Graphique Studio, 75017 ParisImpression : Imprimerie de Champagne, 52200 LangresRoutage : Presto© SEPP, Paris. Reproduction interdite. Toutefois, des photocopies peuvent être réaliséesavec l’autorisation de l’éditeur.

Dépôt légal : Juin 2005ISSN : 1774-3966

N° 10 • PRINTEMPS 2005 3

Sommaire éditoL’électricien doit être l’artisan de sa communication Nous devons cette réflexion à André Tassano,président de l’Adipec (Association de défensedes intérêts des professionnels de l’électricitéet de la climatisation) qui réunit23 installateurs électriciens marseillais detoutes spécialités (1). Plutôt entreprenant,chacun d’eux est très réaliste vis-à-vis de sonenvironnement professionnel et de sesmarchés… tout en restant farouchementgarant de l’esprit artisanal et toujourssoucieux de ne pas se transformer encentrale d’achat. Pour preuve de ladynamique de ce groupement créé en 1998 :« À chacune de nos réunions, nous enregistronsplus de 70 % de participation », se féliciteAndré Tassano. Il faut dire que, au cours desdébats, sympathiquement animés, « onéchange concrètement » car, considèrechacun, « les meilleures créations viennentde bonnes récréations ».En collaboration avec les membres del’Association, l’ElectricienPlus relatera, autravers d’un ou plusieurs témoignages demembres, les préoccupationsprofessionnelles actuelles vis-à-vis desproduits, des normes, des fournisseurs, desmarchés, des clients… Marcel Carré (EntrepriseTegec) ouvre les débats (voir p. 17).

(1) Voir l’édition du Printemps de l’ElectricienPlus p. 12. En plus des 23 installateurs, on compte 4 “sponsors” : Schneider Electric, Arnould Planet Wattohm,Atlantic et Philips Eclairage.

Les fournisseurs me proposent

Sécurité

l’

Solutions

Mon métier

Mon client m’a demandéMon client m’a demandé5 LE CHAUFFAGE PAR RAYONNEMENT

Comment choisir sol ou plafond ?

8 DU CÔTÉ DES ASSOCIATIONS

Mon métier9 L’INTERPHONIE

Je développe la génération “2 fils”

Solutions16 CLIMATISATION MOBILE

20 bougies et 6 conseils

17 TÉMOIGNAGE Un “Adipec” en pétard

Sécurité18 PISCINES

1er janvier 2006, la sécurité n’attend pas !

s@ti - ProduitsUne sélection des produits de l’électricien plus

5 Le chauffage par rayonnement

14 Les portiers

20 La sécurité des piscines

21-22 La fiche S@ti

Les fournisseurs me proposentPROMODUL 2ème de couverture / COOPER - SOCODA p.4 /TYLO - EFISOL p.7 / CDVI p.10 / DISTRILAMPES p.8 /URMET p.9 / ARNOULD p.13,15 / THORN p.17 / MG - FIRS-TINOV p.19 / BATIMAT 4ème de couverture / ENCART A-LIGNEEN JETÉ LIBRE - début de revue.

Cahier central, le TECHNOinfo+La domotique (re)communique - 16 pages

23 Abonnement gratuit Couverture : photo HORA

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4 N° 11 • ÉTÉ 2005

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Le mode de chauffage électrique par rayonnement intégréau bâti (sol ou plafond) séduit de plus en plus les consom-mateurs. Après le renouveau du plancher chauffant électrique, le plafond gagne chaque année de nouvellesparts de marché. Une raison fort simple a cela, le confortque procurent ces deux procédés de chauffage.

U NE SELECTION DE PRODUITS L’ELECTRICIENPLUS - Le chauffage par le sol Produits1

N° 11 • ÉTÉ 2005 5

LE CHAUFFAGE PAR RAYONNEMENT

Mon client m’ademandé

autres parois plus froides quià leur tour transmettent leurchaleur à l’ambiance, créant des condi-tions de confort optimum pour l’occupant.L’homogénéité des températures des parois est déter-minante dans la notion de confort. C’est elle qui per-met avec la température de l’air de trouver le pointd’équilibre thermique indispensable au bien-être. C’est pourquoi le rayonnement est la meilleure réponse àapporter aux besoins physiologiques de l’Homme.Alors Plafond Rayonnant ou Plancher Rayonnant ?Le choix de l’un ou l’autre de ces procédés dépendra bienévidemment du type de la destination de l’ouvrage, deson mode constructif, voire de la nature même du chan-tier : neuf ou rénovation.Le Plancher Rayonnant Electrique (PRE) est composéessentiellement d'un élément chauffant électrique incor-poré dans une chape flottante armée ou posé sur celle-ci, inférieure ou égale à 5 cm d'épaisseur, désolidariséethermiquement et mécaniquement du bâti et reposant sur

Comment choisir sol ou plafond ?

Pour ne pas prendre trop de poids

Le système “Eléavivre”, commercialisé par Acome, répondaux contraintes rencontrées en rénovation pour la pose

en inter-étages ou en mezzanines. Sa faibleépaisseur (22 mm hors revêtement sol) et sonfaible poids (2,5 kg/m2) permettent ainsi la miseen œuvre de planchers chauffants, quelle quesoit la configuration du projet. Caractéristique :puissan-ce nomi-nale parunité delogueur, 7,5 W/mlà 36°C.

Ailette mécanique brevetée Le système de chauffage électrique bassetempérature “Infracable” de Deleage (grou-pe Danfoss) se singularise par des conduc-teurs gainés mécaniquement protégés parune ailette en acier galvanisé (système bre-veté). Elle en facilite la pose dans le sol etassure une diffusion optimale de la chaleur.Caractéristiques principales : puissances de150 à 2 400 W ; longueur de 10 à 148 m ;prix public habituellement constaté entre 45et 50 €/m2 HT ; consommation habituelle-ment constatée entre 4 et 5 €/m2 TTC pourune température ambiante del’ordre de 20 °C.

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L’un comme l’autre sont des chauffages dits “bassetempérature” ce qui signifie que votre sol ou votreplafond sont à des températures qui n’excédent

pas 28° C en plancher et 32° C en plafond ce qui rend pra-tiquement indécelable la source de chaleur, car ils utilisentl’effet du rayonnement et non celui de la convection, ce quid’emblée leurs donnent quelques avantages.Deux phénomènes sont à l’origine de la sensation de chaleur. D’une part la convection, où l’air au contactd’une source de chaleur s’échauffe, se dilate et s’élève. L’airfroid venant remplacer l’air chaud crée le courant de convection. De ce fait, la sensation de confort varie enfonction de la position de l’occupant par rapport à l’émet-teur. D’autre part, le rayonnement. C’est un principe natu-rel qui intervient dès qu’une différence de températureexiste entre deux corps. Le corps le plus chaud échangealors sa chaleur au profit de l’autre. C’est ce qui se passeentre le soleil et la terre. C’est ce phénomène que l’onretrouve dans une pièce chauffée par rayonnement où, unesource de chaleur située au sol ou en plafond réchauffe les

Chez le même constructeurle système “Eléatram”, plancher élec-trique mis en œuvre sous dalle bétonou chape fluide. 14 puissancesdisponibles, de 150 W à 3000 W.

Basse temperature pour haut niveau de confortTresco propose son “Cablossol D+2”, câblebiconducteur fixé régulièrement sur un rouleau de grillage plastique, muni à l’unede ses extrémités d’une liaison froide de2,50 m pour le raccordement à l’installa-tion électrique. Il est utilisé pour le chauffa-ge par le sol des logements.Caractéristiques techniques : longueur : de 10 à 144 m ; puissance : 17 W/m (de 160 à 2 300 W selon longueur).

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Déjà, dans son éditionde l’automne 2003,l’ElectricienPlus, ens’interrogeant : « com-ment assurer le bien-être dans la mai-son ? », indiquait quel’installateur électri-cien dispose d’unemultitude de solutionspermettant d’améliorerle confort des occu-pants, tout en limitantles consommationsd’énergie. Parmi cessolutions, étaient ci-tées les « planchers ouplafonds chauffants ».Nous les développonsaujourd’hui…

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6 N° 11 • ÉTÉ 2005

LE CHAUFFAGE PAR RAYONNEMENT

En couronne ou en trame ? Nexans propose une offre de câbleschauffants “TXLP/2R”, soit conditionnés

en couronne (grande malléabilité ; le câble resteen place une fois courbé), soit en trame préfor-mée correspondant à une implantation de 85 W/m2.Conseil : si la surface de la pièce à chauffer estparfaitement rectangulaire, choisir la trame ; si el-le est irrégulière, choisir la couronne.

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Utilisez lafiche s@ti pages 21/222

Quel que soit le procédé envisagé, on veillera :- à travailler à partir d’un bilan thermique précis permettant un juste dimension-

nement de l’installation.- à l’amélioration, en rénovation, de l’isolation thermique si nécessaire afin de ne

pas avoir de mauvaises surprises en terme d’exploitation.- à ne mettre en œuvre que des produits satisfaisants aux normes réglementaires

en vigueur (Avis Techniques du CSTB, Marquage CSTBat, Test de conformité enmatière électrique, phonique et thermique).

- à respecter le plan de calepinage et suivre les notices techniques des fabricants.- à toujours associer le procédé à une régulation-programmation adaptée.

Principes généraux à respecter

En plus de l’invisibilité, les plafonds et planchersrayonnants apportent une souplesse dans la ges-tion du chauffage, et ont une grande capacité àprendre en compte les apports gratuits. Ils libèrentl’espace au sol et aux murs, leur fonctionnement esttotalement silencieux et l’absence de brassage d’airn’entraîne aucune salissure. Ils procurent un grandconfort thermique grâce à une bonne homogénéitéde la température de l’air et des parois. Ils partici-pent au traitement acoustique entre niveaux et per-mettent de réduire les transferts de chaleur entreétages. Ils ne nécessitent pas de contrat de mainte-nance spécifique.

Avantages génériques

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Chez le même constructeur,Le PRE “Millimat” proposé en 4,6 à 15,8 mde longueur de trame et en 9 puissances(de 150 à 1 000 W). Puissance linéique : 8,5 W/ml ; puissance surfacique maximale : 85 W/m2.

Le PRE directLe câble “Diratherm”, commercialisé par Noirot(groupe Muller), assure, grâce à son revêtement aluminiumde blindage doublé d’un fil de continuité en cuivre étamé,une protection électrique et mécanique performante. Cecâble à puissance constante ne se raccorde que d’un seulcôté à l’aide d’une liaison froide de 2,5 m de long.Caractéristiques : élément chauffant avec revêtement métal-lique enrobé dans un isolant en polyéthylène haute densité.

Chez le même constructeur,le PRE autorégulant constitué par le câble à puissan-ce variable “Régulatherm” dont la puissance dimi-nue quand la température du milieu dans le-quel il se trouve augmente.

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7Pour pièces exigues

Le PREKS, pro-posé parThermor(groupeAtlantic),

existe en 2 largeurs. De 155 W à 2 600 W de puissance, ce systèmese compose d’un câble chauffantblindé et est livré prétramé surtreillis plastique. Garanti 10 ans,son prix est compris entre 124 €et 572 €.

U N E S E LECT ION DE PRO D U ITS L’E LECTR ICI E N PLU S-Le chauf fage au sol Retrouvez les nouveaux produi ts

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les pièces carrelées, offrant une douceur de contact ausol incomparable. Dans le cas d’une solution en pla-fond, c’est la nature du bâtiment qui déterminera lechoix du procédé.Le Plafond Rayonnant Modulaire, ou PRM, est un procédéde chauffage électrique intégré en plafond suspendu danslequel sont positionnés des modules rayonnants équipésde leur raccordement électrique et des modules neutres demême résistance thermique. L’ensemble constituant le pla-fond. L’élément chauffant est une résistance électrique enfeuille mince, équipée d'un raccordement électrique nor-malisé. Cet élément, collé en usine sur un réflecteur de flux,transmet par conduction sa chaleur à la sous-face décora-tive qui rayonne vers les parois du local.Dès lors que le bâtiment est ou sera équipé d’un plafondsuspendu (plafond que l’on trouve le plus souvent en sec-teur tertiaire) la mise en œuvre de ce procédé de chauffa-ge pourra être envisagée.Le Plafond Rayonnant Plâtre (PRP) est un système dechauffage électrique utilisant la technique bien connue duplafond en plaques de parement plâtre. Le PRP se diffé-rencie de ce plafond traditionnel par l’utilisation deplaques de parement plâtre spécifiques à cet usage au-des-sus desquelles sont positionnés des panneaux chauffantsalimentés par une ligne spécialisée et des panneauxneutres. Le tout repose sur une ossature métallique por-teuse traditionnelle invisible une fois le plafond terminé cequi en fait un procédé idéal dans le résidentiel. Si le PRPsemble mieux adapté à la rénovation que le PRE dans lamesure où nous sommes en présence d’une solution sèchequi se met plus facilement et plus rapidement en œuvre,c’est avant tout le mode constructif qui orientera le choixfinal.Enfin, il existe pour un confort toutes saisons, des solu-tions Planchers ou Plafonds Rayonnants Réversibles.Alimentés par une pompe à chaleur réversible, ces sys-tèmes utilisent l’eau ou l’air en circuit fermé pour assurerà la fois la fonction chauffage et la fonction rafraîchisse-ment. La régulation de la température est assurée par unsystème qui prend en compte la température extérieure, latempérature intérieure, le taux d'humidité de l'air ambiantet la température du fluide caloporteur circulant dans leplafond ou dans le plancher. • Pascal Jacquin

un isolant thermique servant à orienter le flux de chaleurvers le local à chauffer.Pour garantir une mise en œuvre à la fois plus simple, plusrapide et plus sûre on sélectionnera des produits indus-triels livrés sur chantier sous forme de trames. Une régula-tion pièce par pièce viendra compléter le dispositif.Ce procédé de chauffage est à privilégier en secteur rési-dentiel (maison individuelle ou collectif) ou en petit tertiaire. S’il semble plus approprié dans le cas d’une réa-lisation neuve compte tenu des contraintes liées à la réser-vation nécessaire au sol il n’est pas pour autant exclut del’envisager en rénovation. Il fera merveille dans toutes

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Produits

Pour la renovationLe système de chauffage électrique par le sol proposé parRaychem (1) réunit une double offre : le “T2 Reflecta”, ruban autorégu-lant associé à une plaque isolante rainurée de 13 mm d’épaisseur,régule automatiquement sa production de chaleur en fonction desautres sources de chaleur de l’habitat ; recouverte d’aluminium, laplaque “T2 Reflecta” permet de rédui-re d’environ 20 % les pertes de cha-leur et garantit une distribution uni-forme sur toute la surface chauffée.

Prix d’une installation : entre 197 €HT pour 3 m2 ; 12 ans de garantie.

(1) Marque “chauffage par le sol” du groupe TycoThermal Controls, spécialiste des solutions detraçage pour l’industrie et la construction.

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U N E S E LECT ION DE PRO D U ITS L’E LECTR ICI E N PLU S

Le chauf fage au p lafond

Cachez ces ossaturesComplétant sa gamme de PRM (Plafond rayonnant modulaire) de lasérie “HORAcoustic” à parement plâtre autoporteur, la société Hora lance lacommercialisation de l’“HORAline”, PRL à ossatures invisibles. Le module rayonnant est constitué d’un isolant minéral de 50 mm d’épais-seur et revêtu d’un voile de verre ; d’un film chauffant de 60 à 75 W (60 x 60 cm) ; d’un parement autoporteur, de couleur blanche, en plaquede plâtre lisse ou perforée sur toute la surface.

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LE CHAUFFAGE PAR RAYONNEMENT

Des modules qui en disent longCommercialisés par Frico, les modules rayonnants pour fauxplafonds “Sertifibre”, “Sertiroc”, “Sertisol”, “Sertiplâtre”, “Sertimétal”et “Sertibois”, de 44, 60 et 75 W, ont des émetteurs de chauffage parinfrarouge long. Le rayonnement thermique est émis suite à l’échauf-fement à une température inférieure à 50 °C d’un parement décoratif.Destinés au chauffage des bureaux, écoles, crèches, salles polyva-lentes, commerces, salles de spectacles, munis d’un plafond suspendumodulaire, et associés à une bonne régulation ainsi qu’à une GTB, ilssont économiques à l’exploitation.

On est au plafondKnauf, le 1er transformateur de polyester expansé au monde et le 2e producteur européen de plaques de plâtre, commercialise“Knauf Sigma”, gamme constituée de plaques, pour plafond chauffantpar rayonnement, de 2 400 x 1 200 mm (épaisseur 12,5 mm).Résistances thermiques : entre étages courants, 1 m2, K/W minimum,épaisseur de 50 à 60 mm ; sous combles (ou sous toiture) : 2 m2,K/W couches croisées : une 1re épaisseur de 50 mm sans pare-vapeurafin d’éviter tout contact avec le film, le complément avec pare-vapeur(ce dernier sera M1 en ERP). Les laines soufflées sont exclues.L’utilisation d’éléments isolants prédimensionnés intégrant déjà l’élé-ment chauffant facilite la mise en œuvre. Enfin, les 4 bords amincisdes plaques assurent une parfaite planéité du plafond fini.

Quand le PRM se met en 6Avec sa gamme “Dytop” de PRM (Plafond rayonnant modulai-re), Airelec (groupe Muller) propose 6 types de parements différentspour des modules de 60 x 120 cm et 60 x 60 cm : “Stratus”, en lainede roche de 220 kg/ ? ; “Dymod”, en vermiculité inaltérable à bordsfeuilletés ; “Dymétal”, en métal à bords feuillurés résistant aux chocs; “Dyclass”, en laine minérale ; “Dyroc”, en laine de roche de trèsforte densité ; Dyroc couleur”, 6 couleurs de voile disponibles enoption. Puissances : 75 et 150 W.

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Profession DU CÔTÉ DES ASSOCIATIONS

8 N° 11 • ÉTÉ 2005

Dans sa dernière étude portant sur le logement etpubliée en janvier 2004, l’INSEE a évalué à 30,3 mil-lions le nombre de logements en France, dont 25,4 mil-lions de résidences principales. Autant dispose-t-ond’informations fiables et avérées sur les 360 000 nou-veaux logements construits chaque année, autant lesbases de connaissances sur les logements existantssont disparates.

Dès septembreC’est pourquoi, dans le cadre de la politique nationale deréhabilitation de l’habitat existant, l’association Qualitelmènera, à partir du deuxième semestre 2005, deuxactions coordonnées : d’une part, un bilan techniquepatrimonial définissant l’état de la construction entermes de sécurité, d’intégrité de l’enveloppe, de carac-téristiques énergétiques… (dans la perspective de l’appli-cation de la directive européenne et du diagnostic deperformance énergétique). Il s’agit d’un état des lieuxpréalable à l’élaboration d’une stratégie patrimoniale.Réalisé par des professionnels selon des critères prééta-blis, ce bilan se distinguera des diagnostics immobiliersréglementaires et du diagnostic de maîtrise d’œuvre ;d’autre part, un certification après travaux se fondant surle respect d’un ensemble de points-clés : managementd’opérations, niveaux minima de performances… Cettecertification, au sens du Code de la consommation (loidu 3 juin 1994), comportera une déclinaison environne-mentale s’appuyant sur le concept de la certificationHabitat & Environnement et de la démarche HQE (hautequalité environnementale). •

Logement existantQualitel en exploreles caractéristiques Multiplication des labels de qualité, libéralisation de la com-

mande publique, publication de la norme NF X50-091 rela-tive aux organismes de qualification… Autant d’évolutionsobligeant l’association Qualibat à engager, selon ses ani-mateurs, une réforme visant à lui donner les moyens deremplir encore mieux, dans ce nouveau contexte, sa missiond’organisme de référence au service de tous les acteurs dela construction. Cette réforme, qui a été présentée auxmembres des instances de l’organisme et à ses partenaires,le 18 mai dernier à Paris lors des Assises Qualibat, compor-te 3 grands axes. Tout d’abord, réorganisation territorialedans le respect des exigences d’indépendance de la norme.

Modifications des procéduresD’ici fin 2007, les 88 secrétariats administratifs actuelsseront progressivement regroupés en 44 agences, avec deséquipes dédiées à Qualibat et placées sous la responsabili-té de délégués régionaux ; ensuite, valorisation du certifi-cat de qualification à travers l’accréditation de l’organismepar le COFRAC (Comité Français d’Accréditation). Cet objec-tif amènera Qualibat à modifier ses procédures sur deuxpoints : le délai de validité de la qualification (qui seraréduit à 4 ans) et les mentions à faire figurer sur le certifi-cat (la date de fin de validité de la qualification sera rajou-tée) ; enfin création d’une “identification” pour faciliter l’ac-cès à la qualification aux petites entreprises, en les aidantà entrer progressivement dans la démarche. Cette identifi-cation validera leur existence légale, attestera de la régula-rité de leur situation sociale et précisera leur couvertured’assurance au regard du métier déclaré. Attribuée pour unepériode de 4 ans, non renouvelable, elle donnera lieu àl’établissement d’une Carte d’Identification Bâtiment (CIB),actualisée chaque année. •

QualibatRéforme engagée

Au moment où vousest livrée cette éditionde l’ElectricienPlus,Michel Dubesy, délé-gué général de l’as-sociation Promodul,présente l’élargisse-ment du périmètre decompétence de l’as-sociation afin de par-ticiper aux grands dé-fis de la maîtrise de lademande d’énergie etdu confort thermique(voir www.electricien-plus.info, actu du 17 juin 2005).

Dernièreminute

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N° 11 • ÉTÉ 2005 11

Mon métier

Une part importante du marché de l’interphonieéchappe aux électriciens, la course aux produits entrée de gamme n’ayant pas apporté un déve-

loppement réel de ce marché. Elle a surtout renforcé laconviction des utilisateurs que l’interphonie soit ne de-vait pas être trop sophistiquée (sous peine de tomberfacilement en panne), soit qu’elle nécessitait un déve-loppement technique sophistiqué donc cher.Ni les installateurs ni les distributeurs, et encore moinsles fabricants ne peuvent se satisfaire de cette situation.Par exemple, Urmet Captiv notait que « les ventes en kitsaudio et vidéo des interphones avaient explosé ces der-nières années, à tel point que 2 kits sur 3 sont achetés horscanal professionnel ».Les produits les plus sophistiqués en GSB sont bien en-tendu imbattables au niveau prix. Ils se vendent, parexemple, au tiers du prix des produits d’entrée de gam-me chez Aiphone. Pourtant, le client verra très vite la dif-férence entre ces produits en terme de qualité desconnexions audio ou vidéo, la résistance, etc., et le pro-fessionnel y trouvera le sérieux d’un montage permettantun gain de temps à l’installation. Alors, qu’est-ce qui peutconduire un client à faire le pas vers son électricien, enmatière d’interphonie ?

L’interphonie aujourd’hui ?Lors de son apparition sur le marché, l’interphonie se ré-sumait à l’installation de systèmes audio dans les seulesvillas suffisamment grandes pour en justifier le besoin(et le prix) ! Puis est venu le temps du développementmassif de l’interphonie des logements collectifs.

Cette évolution de la demande a aus-si montré une évolution des besoins.De simple contrôle d’accès au départ,basé sur un portier, l’interphonie aévolué en intégrant plus de communication, notammenten remplaçant l’audio par la vidéo. Bien que cette der-nière évolution soit encore en cours de déploiement etqu’il reste beaucoup de logements non équipés, on voitapparaître une nouvelle étape avec des connexions in-tégrant d’autres systèmes de communication et de sé-curité (Internet, vidéosurveillance, alarme...). « C’est unvaste marché qui s’annonce et les installateurs doivent s’ypréparer » considère la profession.Or, jusqu’à présent, les installations d’interphonie étaientune question de spécialistes en téléphonie, voire d’an-tennistes. Cela était dû à l’environnement technique dece produit. On peut résumer les fonctions d’un inter-phone dans la réalisation de trois principales étapes :appel du résident, conversation et communication entreles personnes, puis ouverture de la porte. Les deux pre-mières ont fait l’objet des principales évolutions dansles solutions actuellement proposées. Tout d’abord, l’ap-pel du résident ou la reconnaissance. Cette étape estassurée par des portiers. On compte aujourd’hui plu-sieurs fonctionnalités dépassant le seul déclenchementde l’ouverture : défilement des noms, esthétique destouches, esthétique du boîtier, fabrication contre le van-dalisme, systèmes variés de gâches (clés électroniques,badges…), etc. L’un des leaders en la matière, la socié-té Digicode, a investi de façon importante en rechercheet développement pour concevoir des boîtiers plus

INTERPHONIE

En 30 ans, les accès à la téléphonie et à l’audiovisuel ausein des habitations se sont spectaculairement diversifiés,entraînant la multiplication des infrastructures. Au final,l’électricien se trouve confronté à une multitude de câblespaires ou coaxiaux qui ne peuvent s’interconnecter, limitantde fait les possibilités d’évolution et d’intégration des différents services : vidéosurveillance, alarmes, contrôlesd’automatismes à distance... Cette situation a notammenteu des répercussions négatives pour le développement del’interphonie ou du contrôle d’accès. Or de nouvellesapproches techniques permettent de contourner ce type deproblème, et offrir des solutions plus ouvertes en terme de service pour le client, et plus économiques en termed’installation pour le professionnel.

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Mon métier INTERPHONIE

s’agit de remplacer le câblage par un programme établis-sant les connexions entre le portier et les postes résidents.Les signaux provenant des touches du clavier, autant quede la conversation audio et vidéo, sont numérisés et trans-mis vers le poste intérieur, puis retransformés en signalanalogique afin d’être lisibles par les fonctions du posteintérieur (sonnerie, haut-parleur, écran vidéo...).Lors des premières mises sur le marché de telles solutions,la numérisation demandait de passer par une program-mation assez lourde, nécessitant l’apprentissage d’un lo-giciel spécifique constructeur. Or des systèmes mis sur lemarché, ne demandent aucune programmation car les in-formations entre le portier et les postes sont préprogram-més et déterminés par un simple switch. Cela conduit àprogrammer d’abord les plaques de rue suivant la positiondu switch (1re, 2e, 3e plaque...), suivant le nombre d’entrées.Puis, toujours sur la plaque de rue, on peut donner un nu-méro à chaque poste de chaque logement. Les systèmes actuellement sur le marché proposent unnombre important de connexions, allant jusqu’à une tren-taine de postes par adresse, sur le portier. Enfin, on nom-mera chaque poste intérieur en fonction du numéro déjàdéfini sur la plaque, toujours à l’aide d’un switch propreau poste.Les avantages de tels systèmes sont multiples, notammenten terme d’installation, par la possibilité de réaliser le mon-tage en atelier, ou la capacité de se raccorder sur des ins-tallations existantes. Les constructeurs considèrent que 50% du temps d’installation peut ainsi être économisé. Maisl’intérêt peut-être le plus important est la possibilité d’avoirun système “ouvert” grâce à sa numérisation. En effet, ildevient plus facile de connecter à ce type de système deséquipements actionnant d’autres automatismes, tels quedes systèmes de vidéosurveillance, d’alarmes, de régula-tion chauffage...Cette évolution n’est pas négligeable lorsque l’on songeque la moyenne des installations existantes ont au moinsune bonne vingtaine d’années, et que les souhaits des usa-gers en résidentiel comme en collectif est d’ouvrir leur mai-son à plus d’uniformisation et de simplification des systèmes.De quoi imaginer les possibilités d’un nouveau marché. •

Pascal Jacquin

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Les prestataires de services (entretien, relevé de compteurs, distribution de courrier, etc.) sont amenés àaccéder régulièrement dans les immeubles. Ils doivent donc y pénétrer tout en préservant, dans le mêmetemps, le niveau de sécurité des résidents. La Poste a donc mis en place, avec des constructeurs un sys-tème de clé électronique sous forme de badge sans contact, avec serrure adaptée : ce badge rechar-geable transporte un droit d'accès limité dans le temps (date précise et plage horaire réduite). Il necontient pas de listes d'immeubles ; un dispositif de chargement chez l'opérateur permet le recharge-ment des badges sans contact de ses agents avec un droit d'accès actualisé ; en cas de perte ou de vold'un badge, la faible durée de validité le rend très rapidement inutilisable ; Située à l'entrée des immeubles, la serrure électronique se compose d'un lecteur extérieur et d'un boîtierde contrôle. Elle est chargée de vérifier que : le prestataire est autorisé à pénétrer dans l'immeuble aumoment de la présentation du badge sans contact ;les droits présents sur le badge sans contact autorisent le prestataire à pénétrer dans l'immeuble au moment de sa présentation ;les droits entre la date de présentation du badge sans contact et la date du début des droits stockés sur le badge est inférieur à 84 heures (celaafin d'éviter que les badges soient chargés pour de longues périodes, ce qui présenterait un risque important en cas de perte du badge).

Le cas particulier des systèmes VIGIK

Poste résident

Numérisation dusignal analogique

Signal numérique transforméen signal analogique

Le marché du contrôle d’accès compte trois segments répondant à des logiques etsystèmes de contrôle différents :- contrôle et autorisation d’accès par interphonie dans le résidentiel ;- contrôle et autorisation d’accès dans le tertiaire en dehors des affaires concernant la défense et les parkings ;- protection par verrouillage électronique.Le premier segment de marché (logements individuels, collectifs, privés et sociaux)est un marché mature qui a progressé de + 5 % entre 2003 et 2004.

ergonomiques en mettant notamment en évidence que levieillissement de la population va demander des efforts enmatière de signalétique.Mais l’évolution la plus importante est celle qui concernel’étape de communication entre les personnes. Cela de-mandait en général un minimum de 5 fils en portier audio.Si l’on installait une fonction vidéo, il fallait ajouter un co-axial, et, de plus, dans le cas d’un logement collectif, toutajout de poste en parallèle, ou d’un nouvel accès (porte...)nécessitait, entre autres, une nouvelle connexion à partirdu boîtier avec un câblage spécifique. En terme d’installa-tion, ce type de produit conduisait donc vers une certaineexpertise, ne serait-ce que pour préparer le chantier et dé-terminer le câblage, puisque cela nécessitait de l’alimen-tation pour vérifier les adressages. L’évolution techniqueoffre de nouveaux horizons.

L’introduction du numériqueComme dans bien d’autres secteurs, l’introduction du nu-mérique va générer une réelle évolution des pratiques. Il

Paire de fils non polarosés

Un triple marché

Doc

Cof

frel

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Série initiaLe confort selon Arnould

Et la lumière est toutsauf ordinaire.

Nouvelles fonctions Initia :offrez plus de confortà vos clients.

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LECTEURS

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Le lecteur d’empreintes “Fingerprint” peut être intégrédans l’ensemble des systèmes de communication deposte du constructeur : “Vario”, platines modulaires; “Steel”, platines aluminium, inox ou laiton. Son lec-teur thermique, constituant “l’œil” du système, per-met l’enregistrement du doigt placé sur sa surface,ainsi que sa lecture, à partir du moment où il a étéenregistré. Le contrôleur central peut être relié à 8 lec-teurs d’empreintes. Les données, concernant un maxi-mum de 100 utilisateurs (qui peuvent être divisés en5 groupes), ne sont entrées qu’une seule fois et peu-vent être gérées de manière centralisée.

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Mon métier

Contrôle d’accès “lecture/écriture” utilisant la technologie 2 fils (Urmet Captiv)

Les “Centrales CV” of-frent la possibilité degérer un accès avec unecapacité de 1000 badgeset/ou télécommandesrésidents (CV1S) et jus-qu’à 2 ou 4 accès avecservices Vigik et 5 000badges et/ou télécom-mandes résidents. Les

accès piétons, hall, as-censeur, escalier… peu-vent être contrôlés entechnologie de proximitépar les clés “Mémoprox”ou par la télécommande“Mémobip” assurant é-galement l’accès véhi-cules à distance parcommande radio.

Système de sécurité d’entrée audio-vidéo d’immeuble(Aiphone)Le “GF Système Plus”,système de sécuritéd’entrée audio-vidéo,dont le poste d’entrée secaractérise par un designsemi-affleurant en vued’un montage possiblesur la plupart des sur-faces de murs, utilise,

pour l’audio, un câblageen bus 2 fils, tandis quele système vidéo utiliseun câblage 4 fils. Cesdeux systèmes permet-tent de configurer lesplatines par PC à l’aided’un logiciel.

Portier vidéo digital domotique (Fermax)Le moniteur “Online”,avec connexion bidirec-tionnelle au téléphone,dispose de fonctionsavancées pour détecterles incidences, ainsi quepour la gestion et lecontrôle du logement.

Toutes ces fonctions peu-vent être activées depuisl’écran tactile du vidéo-portier ou depuis votretéléphone portable. D’unformat extraplat, ils sontfabriqués en plastiqueABS de haute résistance.

Reconnaissance d’empreintesdigitales par contrôleur externe (Siedle)

Produits1 JE DÉVELOPPE LA GÉNÉRATION 2 FILS

L’électrien plus a sélectionné...

INTERPHONIE

C’est un lieu commun que de rappeler la nécessité devivre en sécurité. Cette notion devient primordiale dans lavie quotidienne et le contrôle d’accès n’est plusseulement une exigence du secteur tertiaire. Il s’étenddésormais au marché résidentiel. Les professionnels sontdonc à la recherche de solutions performantespermettant une pose facile et rapide, dans toutes lesconfigurations d’installation, même les plus complexes.En voici quelques exemples.

Chez le même constructeurLe système vidéo portier couleur “2 Go”, sur 2 fils non polarisés,adapté au collectif. En rendant le câblage plusfacile, ce système simplifie l’installation. De plus, la programmation ne nécessite aucunoutil particulier.

Le vidéoportier numérique“Utopia”Equipé d’un écran couleur 4" d’une diagonale de10 cm, et signé d’un grand nom du design indus-triel, Michele De Lucci, ce portier vidéo vient enrichir une offre déjà fournie conçue pour le résidentiel et le tertiaire haut de gamme. Une version mains libres avec pose affleurante ousemi-encastrée sera disponible dès l’automne2005. Des versions audio simples avec combinéou mains libres seront également commerciali-sées à la fin de l’année 2005.

LECTEURS

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Le système “DGM4” gère jusqu’à20 000 badges “résidents” avec3 plages horaires, début et finde validité, jours, mois, portesautorisées et indices de perte. Il

gère également 80 badges “pas-se” avec fin de validité, capacité12 codes sites différents, soit unmême badge passe capabled’ouvrir jusqu’à 240 portes (12

codes sites, 5 centrales,4 portes). Il est possible demettre en réseau jusqu’à 5 cen-trales permettant de gérer 20portes.

Utilisez la fiche S@ti p.21/22 ou rendez-vous sur www.electricienplus.info

Jeu de l’oie (Niko )En 2003, le constructeur belgeNiko, dont le design et lafonctionnalité singularisentses trois principales gammesd’appareillage d’installation(da Vinci ; Ciris ; Axend), lan-çait la gamme architecturale“Gooze” de contrôle d’accès.« Nous avons voulu conce-voir une ligne de produitscomplète et reconnaissables’intégrant harmonieusementdans tous les styles d’habita-tions, classiques ou contem-porains », explique leconstructeur. Fabriquée enaluminium anodisé et brossé,se détachant sur une structurenoire mate, le montage desappareils de cette gamme estentièrement modulaire, per-mettant toutes possibilités decombinaisons.Au total, la gamme “Gooze”compte 8 familles de produits :“Classic One”, la version en-castrable ; “Slim One”, colon-ne rigide et étroite se fixantsur le sol ; “Some One”, boî-te aux lettres indépendante ;“Fence One”, colonne d’accèsprête à être intégrée dans unportail ou une porte d’entrée ;“Nice One”, vidéophone étu-dié d’origine pour un encas-trement mural ; “U See One”,module permettant de visuali-ser l’image sur un PC ; “ModTV”, module permettant dediffuser l’image sur un télévi-seur : l’interface “Smart One”.Par ailleurs, sont proposés plu-sieurs autres modules : sonne-rie télécom, caméra, digicode,clef à contact, lecteur debadges, éclairage boîte auxlettres.2

Contrôle d’accès de 4 portes (CDVI)

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Et la lumière est toutsauf ordinaire.

Connexions automatiquesInitia : gagnez du temps sur la pose des prises et des commandes.

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Série initiaSérie initiaLa performance selon Arnould

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Solutions

20 bougies et6 conseils d’expert

CLIMATISATION MOBILE

“bouche” du climatiseur, l’autre situé à l’extérieur (le com-presseur) évacue la chaleur.La puissance frigorifique. Pour rafraîchir l’atmosphère, leclimatiseur doit produire du froid. Cette capacité de réfri-gération est exprimée en Watts. Il faut donc déterminer lapuissance nécessaire à la climatisation de la pièce en éta-blissant un bilan thermique, qui permet de déterminer lapuissance frigorigène. Le bilan thermique doit prendre encompte : le volume de la (ou des) pièce(s) à climatiser ;l’exposition au soleil de la pièce à climatiser ; le nombrede personnes fréquentant la pièce ; l’éclairage ; lesmachines présentes dans la pièce… Par exemple, pour unsalon de 20 m2, on choisira un climatiseur dont la puis-sance se situe entre 1900 et 2000 W. Mais s’il s’agit d’unbureau de 20 m2 avec 3 personnes travaillant sur desordinateurs, il faut opter pour un climatiseur d’une puis-sance de 2200/2300 W. La capacité de déshumidification.La puissance de déshumidification s’exprime en litre/jour.Plus ce ratio est élevé, plus le climatiseur est en mesured’absorber l’humidité de l’air. Par exemple, le monoblocT90 Eco a la capacité de recueillir jusqu’à 30 litres par 24heures et le split “S1000” jusqu’à 35 litres par 24heures.Le niveau sonore. Le niveau sonore, exprimé endécibels (dB), est, dans le cas d’un climatiseur, étroite-ment lié à sa technologie et à sa puissance frigorigène.Celui-ci est indiqué sur l’étiquette de l’appareil. À titreindicatif, 20 dB correspondent à des chuchotements, 40dB à un lieu calme et 60 dB à une conversation norma-le. La réversibilité. Les climatiseurs dits “réversibles” pos-sèdent une fonction chauffante permettant de produirede la chaleur en hiver. Utile en l’absence ou en complé-ment du chauffage.Le respect de l’environnement. De’Longhi est le seul pro-ducteur mondial à proposer des climatiseurs fonctionnantavec un gaz réfrigérant 100% naturel et non toxique (niCFC, HCFC ou HFC synthétique) : le R290, dérivé du pro-pane. Celui-ci est sans effet nocif sur la couche d’ozoneou sur l’effet de serre. •

Pour un meilleur confort, le climatiseur agit sur quatre facteurs déterminants :• la température : pour la réduire, il faut retirer de la chaleur et la transférer vers

l’extérieur. La température idéale doit être comprise entre 20 et 24°C, l’écart entrel’intérieur et l’extérieur ne devant pas excéder les 7°C ;

• l’humidité : l’air naturel contient toujours une certaine quantité d’eau, sous formede vapeur. La sensation de chaleur est plus forte avec un taux d’humidité élevé.L’humidité relative indique le rapport entre la quantité d’eau contenue dans un kgd’air et la quantité maximale que ce dernier peut contenir. L’idéal est que celle-cisoit comprise entre 45 et 65 % ;

• la pureté : l’air contient des matériaux comme des fibres, des produits vé-gétaux, des bactéries, des vapeurs. Ces substances superflues peuvent êtrefiltrées afin d’obtenir un air plus pur ;

• la vitesse de l’air : une bonne distribution et circulation de l’air sont essentielles pour atteindre les conditions du bien-être.

Quatre facteurs déterminants

Tout climatiseur agit sur quatre facteurs physiques :température, humidité, pureté, vitesse de l’air (voirencadré). Aussi, importe-t-il de le choisir avec pré-

caution et de façon adaptée à l’usage qui lui est réservé.Monoblocs et splits. Rappelons qu’il existe deux grandescatégories de climatiseurs. D’une part, les monoblocs qui,comme leur nom l’indique, ne sont constitués que d’unepartie, avec un tuyau à l’arrière de l’appareil permettantd’évacuer la chaleur à l’extérieur (par une fenêtre parexemple). D’autre part, les splits, qui sont composés de2 éléments : l’un placé à l’intérieur de l’habitation est la

La climatisation individuelle n’est plusun luxe ! Elle répond aux attentes deconfort exprimées par un plus grandnombre d’usagers. Toutefois, le choixd’un climatiseur mobile ne doit pas sefaire à la légère. Le constructeur italienDe’Longhi, qui fête son 20e anniversai-re cette année, apporte 6 conseils.

De’Longhi fête cette annéeles 20 ans de son désor-m a i s l é g e n d a i r e“Pinguino” : c’est en ef-fet en 1985 que l’entrepri-se italienne lance le pre-mier climatiseur mobile dumonde. Le constructeuritalien, qui a renforcé saprésence en France en yinstallant une filiale en1992, est désormais lamarque de climatiseursmobiles la plus vendue enFrance (hors MDD).

© Photo De’longhi

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Les délais de livraisonc’est n’importe quoi

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Témoignage

Marcel Carré ne s’en cache pas. « Je suis un carac-tériel, surtout face aux grossistes qui ne maîtri-sent pas les fabricants notamment au niveau

des délais de livraison. » C’est n’importe quoi, regrettel’installateur, en constatant que, de plus en plus, on tendvers trois semaines de délai. « C’est même encore pire ence qui concerne les luminaires. »

Et pourtant, souligne Marcel Carré, riche d’un carnetde commandes déjà “surbooké” pour 2006, « commenous vivons toujours au fil de l’eau, la disponibilitédu matériel nous est essentielle ». Et d’ajouter : « Cepoint est important si nous voulons aller au cartondans une période aussi difficile que celle que nousvivons. » •

Gamme de luminaires professionnels pour tous vos besoins en éclairage

Catalogue sur www.thorn.fret chez votre distributeur Point Phare

...

Elles sont 23 entreprises à constituer, à Marseille, le groupement Adipec (voirédito p. 3). Au total, 23 chefs d’entreprises, dont le président André Tassano quine cache pas son agacement vis-à-vis des différents problèmes professionnelsqui ponctuent l’exercice de leur métier d’installateurs électriciens. Dans chacu-ne de ses parutions, l’ElectricienPlus a décidé de leur donner la parole. MarcelCarré, dirigeant de l’entreprise Tegec, ouvre le ban.

UN “ADIPEC” EN PÉTARD

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Sécurité PISCINES

Aujourd'hui, 90 % des propriétaires de piscinesconnaissent leur obligation de sécurisationmais, pourtant, la moitié d’entre eux ne sont

pas encore équipés d’un système de sécurité normali-sé. Parmi ceux-ci : 40 % n’ont pas encore équipé leurbassin d’aucun système de sécurité et 10 % déclarentposséder un système mais sans pouvoir le définir.

Quatre systèmes normalisés

Pour sécuriser la piscine, rappelle Joëlle Pulinx, FPP(Fédération des professionnels de la piscine)(2), les pro-priétaires ont le choix entre 4 systèmes normalisés dontles exigences sont définies par le décret d’application du7 juin 2004 :- les barrières de protection (norme NF P 90-306 de mai2004) doivent être réalisées, construites ou installées demanière à empêcher le passage d’enfants de moins decinq ans sans l’aide d’un adulte. Elles doivent résister àtoute action, notamment en ce qui concerne le systèmede verrouillage de l’accès, sans provoquer de blessure ;- les alarmes périmétriques ou d’immersion (norme NF P90-307) doivent être réalisées, construites ou installéesde manière à ce que toutes les commandes d’activationet de désactivation ne puissent être utilisées par desenfants de moins de cinq ans. Les systèmes de détectiondoivent pouvoir détecter tout franchissement par unenfant de moins de cinq ans et déclencher un dispositifd’alerte constitué d’une sirène. Ils ne doivent pas se

Tous les propriétaires de piscines privées enplein air enterrées ou partiellemententerrées sont concernés par la loi portantsur la sécurité des piscines (1). Votée le 3 janvier 2003, elle impose de sécuriserpiscines familiales et piscines collectivesprivées (hôtels, campings, gîtes ruraux,résidences de vacances…) d’un dispositif deprotection normalisé. Messieurs lesélectriciens, ce nouveau (et vaste) marché

vous concerne, principalement au niveau des alarmes périphériques etd’immersion. Un conseil ! N’attendez pas la fin de l’année pourpromouvoir ces systèmes de sécurité car il sera très difficile alors pour lesfabricants et distributeurs de répondre à toutes les demandes arrivant enmême temps. Les stocks sont actuellement disponibles mais la fin del’année risque d’être beaucoup plus difficile.

1er janvier 2006la sécurité n’attend pas !

Rappel du calendrierDepuis le 1er janvier2004, la constructiond’une nouvelle piscineimplique sa mise enconformité au plus tardà la fin des travaux dela piscine. Depuis le 1er mai 2004, toutes lespiscines privatives desmaisons en locationdoivent être sécurisées.Enfin, les piscinesterminées avant le 1er janvier 2004 doiventêtre sécurisées avant le1er janvier 2006

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94 % des piscines quecompte l’hexagone se si-tuent en extérieur. La taillemoyenne d’une piscine fran-çaise est de 8,3 x 4,3 m pourles piscines rectangulaires,et les bassins ronds ont,quant à eux, un diamètremoyen de 5 mètres.

Naissance d’un nouveau métierAujourd'hui, la sécurité piscine répond à un cadre régle-mentaire très strict (loi, décret, normes). « Seuls des pro-fessionnels formés à ces normes sont capables d’auditer,conseiller et préconiser le matériel adéquat, et d’assurerune installation conforme aux normes », explique NicolasTillie. Ainsi, professionnels de la piscine et profession-nels de la sécurité piscine deviennent très complémen-taires : on assiste là à la naissance d’un nouveau métieret non pas à l’émergence d’une mode “sécurité piscine”.Le piscinier doit intégrer la notion de sécurité correspon-dant à la loi et informer le client au final. « Proposer un ma-tériel normalisé ne suffit pas, contrairement aux idéesreçues. Faut-il encore veiller à ce qu’il soit installéconformément aux prescriptions des normes », conclutle dirigeant de Abeol.

déclencher de façon intempestive ;- les couvertures (norme NF P 90-308) (3) doivent être réa-lisées, construites ou installées de façon à empêcher l’im-mersion d’enfants de moins de cinq ans, à résister aufranchissement d’une personne adulte et à ne pas pro-voquer de blessure ;- les abris doivent être réalisés, construits ou installés demanière à ne pas provoquer de blessure et rester telsquel, lorsque le bassin de la piscine est fermé. Il doit êtreinaccessible aux enfants de moins de cinq ans. •

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SécuritéPISCINES

Outre le fait de participer à la créationd’ambiances alliant esthétique etconvivialité, la mise en lumière des

abords de piscines privées de plein air amé-liore la sécurité autour du bassin, en plus deprocurer une sensation de confort. « Il contri-bue à la prévention des accidents par lesconditions de bonne visibilité procurées »,souligne le Syndicat de l’Eclairage. Et de rappeler, dans une fiche d’in-formation de quatre pages suffisam-ment renseignée, que cet éclairage comprend :- d’une part, celui du volume d’eau. La piscine, se comportantcomme un miroir, il convient de veiller à ce que la position etl’orientation des appareils (étanches à l’immersion prolongée IPX8et alimentés en très basse tension de sécurité) soient définies defaçon à ne provoquer aucune gêne visuelle. Par ailleurs, les instal-lations doivent être conformes aux installations électriques à bassetension définies par la NF C 15-100 ;- d’autre part, celui des abords. Cet éclairage facilite la circulationdans les allées (les encastrés de sol sont recommandés), anime lecoin repas en terrasse et met en valeur la piscine ainsi que l’archi-tecture paysagère (les bornes numineuses sont privilégiées). À noter que l’ensemble des luminaires doit répondre aux exigencesde la norme NF EN 60-598. •

POUR VOUS PROCURER CETTE FICHE D’INFORMATIONSyndicat de l’Éclairage. Fax (33) 1 45 05 72 73

Dans la même collection : l’éclairage de jardin, terrasses et balcons.

Faites aussi plongerdans la lumière

La société PSA (groupeZodiac), spécialiséedans le chauffage et

la déshumidification despiscines, lance la nouvellegamme de pompes à cha-leur “Edenpac” permettantd’obtenir une températurede l’eau de 28 °C. Deux caractéristiques la singularisent :- d’une part, elle est équipée d’un nouveau condensateur hauteperformance associant la polyamide et le titane. Cette technologie,unique au monde, assure une résistance à la corrosion quels quesoient l’origine et le traitement de l’eau ;- d’autre part, associé à ce nouveau condensateur, le fluide frigori-gène “R4 10A”, qui n’a aucun effet nocif sur la couche d’ozone, per-met d’obtenir un coefficient de performance (puissancefournie/puissance absorbée) de 5… d’où une moindre consomma-tion d’énergie pour chauffer la piscine. •

Téléchargez la fiche sur www.syndicat-eclairage.com

Faites aussi penserà la pompe à chaleur

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Sécurité PISCINES - LA SÉLECTION DE L’ELECTRICIEN PLUS

Delta Dore, en synergie avec l’expertise de sa filiale Talco,commercialise deux “Kits piscine” (modèles “40” et “20”). Il s’agit de systèmes de surveillance de la périphérie dubassin par rayons infrarouges et sirène d’alarme.

Classé dans la catégorie des alarmes, le systè-me “Corail Protect” est basé sur le principe dela détection précoce ; c’est-à-dire la détectiond’un enfant avant que celui-ci ne tombe dansl’eau. Basé sur la technologie infrarouge, ilforme un véritable mur invisible et immatérielautour du bassin, tout passage au travers de ce

“Wind Control”Limiter les déclenchementsintempestifs liésau vent

« La technologie “Wind Control” vise àconsidérablement réduire les risques dedéclenchements intempestifs liés au vent »,explique Laurent D’hoorne, responsable dela communication de MG International.Bâtie sur la base technologique existante,cette innovation est à la fois le fruitd’études menées en bassins et le résultatd’une écoute attentive des professionnelset des utilisateurs. « Le millier de testseffectué en conditions réelles permet d’an-noncer une réduction importante desdéclenchements intempestifs, de l’ordre de80 % (2) », poursuit Laurent d’hoorne. Ce résultat très encourageant a donc enga-gé le constructeur à doter ses détecteursde la gamme 2005 de la technologie “WindControl” et de poursuivre ses recherches etses tests. •

(1) D’abord, les “Aqua Premium”, produits d’appel de lagamme. Ensuite, les Aqua Sensor comptant quatredétecteurs d’immersion (Sensor Premium, Sensor Solar,Sensor Elite et Sensor Espio), ainsi que le dispositifd’informations déportées “Senior Domo”.

(2) Tests comparatifs effectués simultanément en condi-tions réelles, avec les technologies 2004 et “WindControl” 2005.

Implantée à La Ciotat (13)depuis 2002, la société MGInternationals’est spéciali-sée dans laconception et la fabricationde systèmesd’alarme. (1)

Cette année, la gamme s’estdotée d’une innovation : le système “Wind Control”.

“Corail Protect”Système d’aide à la vigilance

“Kits piscine”Surveillance périphérique

Remise en marcheautomatiquePendant la baignade, les faisceaux infrarougessont toujours présents, mais l’alarme ne sedéclenche pas lorsqu’on passe devant. Aprèsutilisation de la piscine, la surveillance doitêtre mise en marche. Les kits piscine “40” et“20” sont dotés d’une fonction de remise enmarche automatique selon le principe suivant: remise en marche automatique après unetemporisation réglable de 30 min à 3 h 30.Cette temporisation se réinitialise à chaquefranchissement entre 2 balises. Pendant labaignade, chaque fois qu’un faisceau estcoupé, le compte à rebours repart à zéro.Enfin, 60 secondes avant la réactivation auto-matique, une alerte sonore prévient de lanécessité de couper un faisceau pour remettrele compte à rebours à zéro. Plus de crainted’oubli de remise en marche du système. •

Le 1er octobre 2004, Sorhea,spécialiste de la protectionpérimétrique par barrièreinfrarouge, barrièrehyperfréquence ouprotection sur clôture dessites sensibles, créait lafiliale Vita Protect pourcommercialiser le systèmeCorail Protect (1), systèmed’aide à la vigilance pourpiscines.

mur étant immédiatementdétecté. Ce système d’aide àla vigilance, relié à une cen-trale et à une sirène d’alar-me, alerte dès qu’un enfanttente de s’approcher de lapiscine.

Ses caractéristiques• Conforme à la norme AFNOR NF P 90-307sous attestation d’évaluation n° LM 04 00 30 Aétablie le 20 septembre 2004 par le CNPP(Centre national de prévention et de protection).• Sirène incorporée alertant avant la chutedans l’eau (2 tonalités de 100 dB sur alarmesurveillance et 80 dB sur défaut).• Fonctionnement 24 h/24.• Système dispensant le propriétaire de lapiscine d’installer des barrières physiques, pré-judiciables à l’esthétique du jardin.• Ce produit s’adapte à toutes les configura-tions de piscines. •(1) Nouvelle appellation du produit “Pisciniris II”.

Balise infrarouge doublefaisceau : 15 x 65 cm

Ces “Kits piscine” sont des détecteurs àinfrarouge actif : l’émetteur envoie aurécepteur, à intervalles très réguliers, unrayon lumineux directif (infrarouge), invi-sible à l’œil humain, tandis que le récepteuragit comme un “œil” électronique analysantl’amplitude du signal en provenance del’émetteur. Adaptables à toutes les formesde piscines, ils présentent les caractéris-tiques suivantes : portée maximum par touttemps, 30 m ; insensibles à tous les mou-vements tant que l’on ne coupe pas le oules faisceaux, chaque barrière étant compo-sée de deux faisceaux, chaque balise étant,par ailleurs, munie de 2 cellules émettriceset de 2 cellules réceptrices ; insensibles à lapluie ; insensibles aux rayonnements élec-tromagnétiques ; chauffage thermostaté surtoutes les colonnes pour dégivrage automa-tique des fenêtres des capots.

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SécuritéPISCINES - LA SÉLECTION DE L’ELECTRICIEN PLUS

Votre serviceSA ❒ Direction généraleSB ❒ Études, R&DSC ❒ Commercial, marketingSD ❒ ProductionSE ❒ MaintenanceSF ❒ AutomatismeSG ❒ Travaux neufsSH ❒ AchatsSI ❒ DocumentationSJ ❒ Enseignement, formationSX ❒ Autre : ..............................................Votre fonctionF1 ❒ PDG, DG, gérant, directeur d’établissementF2 ❒ Directeur / chef de serviceF3 ❒ Ingénieur, cadreF4 ❒ Technicien, employéF5 ❒ Enseignant, formateurEffectif salarié de l’entrepriseE1 ❒ 1 à 10E2 ❒ 11 à 50E3 ❒ 51 à 300E4 ❒ 301 à 1000E5 ❒ 1001 à 5000E6 ❒ plus de 5000

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Utilisateurs21 ❒ Industrie22 ❒ Tertiaire23 ❒ Transport, infrastructures24 ❒ Administration, collectivités locales25 ❒ Autres utilisateursInstallation / maintenance31 ❒ Électricité industrie32 ❒ Électricité tertiaire33 ❒ Électricité habitat34 ❒ Artisan électricienPrescripteurs41 ❒ BE, ingénierie, conseil42 ❒ Bureau contrôle technique43 ❒ Architecte50 ❒ Production, distributeur électricien60 ❒ Distrib. matériel électrique80 ❒ Enseignement, formation85 ❒ Recherche90 ❒ Autre : ..................................................

“Bi-Protect”Deux principes de sécuritéFirstinnov’, entreprise indépendante de R & D installée à Montesson (78),développe des systèmes électroniques de transfert de données et decontrôle à distance sans contact, pour les marchés de l’automobile(systèmes de détection de sous-gonflage des pneus) et de la domotique…dont des alarmes périmétriques pour la prévention des noyades dans lespiscines. Présentons le système d’alarme “Bi-Protect”.

Au-delà de la norme NF P 90-307, la marque NF atteste de façon impartiale la qualité, la per-formance et la sécurité des produits. Elle garantit non seulement la conformité aux normes envigueur, mais aussi répond à des critères de qualité supplémentaires : garantie d’un contrôlede qualité rigoureux vérifié par des organismes indépendants (LNE et CNPP) ; assurance qua-lité ISO 9001 du site de production ; contrôle unitaire et traçabilité complète du produit ; auditsen usine ; essais sur prélèvement annuel.

Certifié NF Pour une sécurité maximale, le sys-tème “Bi-Protect” associe deux prin-cipes de sécurité : la détection de l’ac-cès à la piscine grâce aux rayonsinfrarouges ; la détection de chutedes enfants qui ne savent pas nager,grâce à un capteur-bracelet qui sefixe autour du poignet de l’enfant.

Le système “Bi-Protect” associe deux principes de sécurité :- la détection de l’accès à la piscine grâce aux rayons infrarouges ;- la détection de chute d’enfants qui ne savent pas nager,grâce à un capteur-bracelet qui se fixe autour du poignet.“Ce système d’alarme prévient de la noyade avant mêmequ’elle ne se produise puisqu’il permet de détecter l’en-fant avant sa chute dans le bassin”, considère Firstinnov,en ajoutant que ce système a également pour but d’édu-quer les enfants en leur interdisant les abords de la

piscine par son effet dissuasif (sirène).Ce système, équipé de fonctions diagnostiques despannes et d’une aide à l’installation, est robuste contretoutes les intempéries. En appuyant sur un bouton, lesfaisceaux infrarouges se désactivent temporairementpour permettre la baignade aux adultes, la procédure dedésactivation étant toutefois sécurisée. Il est par ailleurspossible d’ajouter une télécommande pour le contrôle àdistance du système et des sirènes supplémentairessans fil. •

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Si les détecteurs d’immersion classiques

analysent le train de vagues ou “ondes gra-

vitationnelles” engendrées par la chute d’un

enfant dans l’eau, “Kallista” analyse les

bruits générés dans le bassin, notamment

ceux de cette même chute. « Les baleines,

les dauphins mais aussi les sous-marins se

servent depuis toujours du son comme

moyen de discernement », rappelle Nicolas

Tillie, dirigeant d’Abeol. Le premier avantage

de cette technique est lié à la vitesse très

élevée de propagation du son dans l’eau :

1 460 m/s. « “Kallista” offre donc un temps de

réaction très court comparé aux autres détec-

teurs d’immersion », souligne-t-il. Basé sur la

technologie du sonar passif, ce système éli-

mine, grâce à son mode d’analyse, les

inconvénients des détecteurs d’immersion

classiques (déclenchements intempestifs ou

absence de détection de chute dus à la bais-

se de la sensibilité en présence de vent).

« Le traitement du signal intégré n’est en rien

perturbé par le vent, la pluie ou les systèmes

de filtration. »

Deux versionsEn forme de dôme, avec un tube destiné à

maintenir le capteur sonar sous l’eau, la ver-

sion “Kallista A-P” s’installe sur la margelle

d’une piscine existante. Elle intègre une sirè-

ne et fonctionne sur piles.

En option, “Kallista A-P” communique par

liaison radio avec une centrale déportée.

Cette centrale déportée indique, en plus des

informations habituelles (état du détecteur,

des piles, qualité de liaison radio…), la tem-

pérature de l’eau de la piscine.

La version “Kallista U” se visse dans une

pièce à sceller dans tout type de piscine. Avec

cette version dédiée aux nouvelles installa-

tions, la piscine est protégée mais le détecteur

est invisible. Un coffret de traitement déporté

est relié par câble au détecteur. Ce coffret s’ali-

mente sous 220 V avec batteries de secours

et communique par liaison radio avec la cen-

trale de commande générale qui peut être dis-

posée en intérieur ou en extérieur. •

L’ELECTRICIENService lecteurs

23, rue Galilée

F-75116 Paris Cedex

No 11 ÉTÉ 2005

Affranchirau tarif

en vigeur

“Kallista”Comme les dauphinsCréée en février 2003, la société Abeol, implantée à Méry (83), spécialisée dans la sécurité des loisirs, comptetrois divisions : “Abeol Concept”, qui conçoit les produits(alarmes, couverture, barrières) et conseille les pisciniers et professionnels ; “Abeol Réseau”, 1er réseau français desécurité piscine ; “Abeol Contrôle”, audits de vérification.Dans le domaine des piscines, l’entreprise propose uneoffre globale dont, outre la barrière infrarouge “Oxana”,complétée par le système “Vadina” (mi-barrière en verre,mi-alarme), le détecteur sonar d’immersion “Kallista”.

L’alarme KALLISTA analysegrâce au sonar les bruits

générés sous l’eau

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Le développement durable est désormais une réalité au cœur de la construction. Ce défi culturel, technologiqueet économique s’impose pour laisser aux futures générations des bâtiments qui préservent la santé, le confortet le bien-être des hommes. BATIR AUTREMENT® est devenu un impératif : de la conception architecturale à lamise en œuvre, la mobilisation est générale.

BATIMAT 2005, l’observatoire de toutes les tendances, présentera aux Prescripteurs, Maîtres d’ouvrage,Entrepreneurs et Négociants les nouvelles opportunités d’innovations, de formations et de création de valeurspour l’ensemble des acteurs de la filière.

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