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ב״הRéalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 / Ashkelon - https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ * Depuis ce Chabbath, nous dirons un chapitre de Pirke-Avoth chaque Chabbath après Minha. * Tous les soirs dès la sortie de la nuit, nous comptons le Omer. * On ne se coupe pas les cheveux et on ne se rase pas. * On n’écoute pas de musique. * Ce Chabat est Chabat Mevarehim. Roch Hodech IYAR : Dimanche SOIR 19 et Lundi 20 Avril. * En DEHORS d’Israël nous lirons la Parachat CHEMINI. Murmure !!! Le Rav Moche Feller, Chaliah du Rabbi dans le Minnesota raconte: « J’ai une fois écrit un article en Anglais dans lequel j’ai mentionné le fait que l’on peut permettre à un homme évanoui de retrouver ses esprits en lui criant a l’oreille son nom Juif. J’ai ensuite transmis le texte au Rabbi afin qu’il formule ses remarques; la réponse du Rabbi fut la suivante: « Il faut remplacer le verbe « crier » par « murmurer ». En effet, on ranime un Juif à la conscience en lui manifestant son amour, non pas en poussant un cri !! » Toute vérité finit par se savoir !!! Encore !!! Un élève de la Yechiva Tomhe-Tmimim à Loubavitch fut convoqué au service militaire et on lui donna le choix entre deux bureaux de recrutements. Ne sachant que faire, le jeune homme demanda une audience auprès du Rabbi Rachab. Il expliqua au Rabbi les avantages et les inconvénients de chacun des deux bureaux et le Rabbi lui indiqua vers lequel il devait se diriger. Lorsqu’il quitta le bureau, le jeune homme se souvint d’un détail important et était persuadé que si le Rabbi avait eu connaissance de cet élément, la réponse aurait peut être été différente; il demanda donc au secrétaire (Rav Nahman) de le laisser rentrer une seconde fois chez le Rabbi. Le secrétaire refusa catégoriquement mais il accepta par contre de poser lui- même la question au Rabbi. « Pourquoi me pose-t-on encore une fois cette question ? Lorsque je donne une réponse, c’est la bonne, il n’y a donc nullement lieu de m’interroger encore une fois. Chabat Tazria/Metsora (en ISRAËL) 29 Nissan / 18 Avril 2015 Rappel Entrée: Sortie: New-York: 7:19pm 8:22pm Paris: 20:26 21:38 Tel-Aviv: 18:41 19:50 1

Tazria 2015

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Page 1: Tazria 2015

ב״ה

Réalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 / Ashkelon - https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

* Depuis ce Chabbath, nous dirons un chapitre de Pirke-Avoth chaque Chabbath après Minha. * Tous les soirs dès la sortie de la nuit, nous comptons le Omer. * On ne se coupe pas les cheveux et on ne se rase pas. * On n’écoute pas de musique. * Ce Chabat est Chabat Mevarehim. •Roch Hodech IYAR : •Dimanche SOIR 19 et Lundi 20 Avril. * En DEHORS d’Israël nous lirons la Parachat CHEMINI.

Murmure !!! Le Rav Moche Feller, Chaliah du Rabbi dans le Minnesota raconte: « J’ai une fois écrit un article en Anglais dans lequel j’ai mentionné le fait que l’on peut permettre à un homme évanoui de retrouver ses esprits en lui criant a l’oreille son nom Juif. J’ai ensuite transmis le texte au Rabbi afin qu’il formule ses remarques; la réponse du Rabbi fut la suivante: « Il faut remplacer le verbe « crier » par « murmurer ». En effet, on ranime un Juif à la conscience en lui manifestant son amour, non pas en poussant un cri !! »

Toute vérité finit par se savoir !!!

Encore !!! Un élève de la Yechiva Tomhe-Tmimim à Loubavitch fut convoqué au service militaire et on lui donna le choix entre deux bureaux de recrutements. Ne sachant que faire, le jeune homme demanda une audience auprès du Rabbi Rachab. Il expliqua au Rabbi les avantages et les inconvénients de chacun des deux bureaux et le Rabbi lui indiqua vers lequel il devait se diriger. Lorsqu’il quitta le bureau, le jeune homme se souvint d’un détail important et était persuadé que si le Rabbi avait eu connaissance de cet élément, la réponse aurait peut être été différente; il demanda donc au secrétaire (Rav Nahman) de le laisser rentrer une seconde fois chez le Rabbi. Le secrétaire refusa catégoriquement mais il accepta par contre de poser lui-même la question au Rabbi. « Pourquoi me pose-t-on encore une fois cette question ? Lorsque je donne une réponse, c’est la bonne, il n’y a donc nullement lieu de m’interroger encore une fois.

Chabat Tazria/Metsora (en ISRAËL) 29 Nissan / 18 Avril 2015

Rappel

Entrée: Sortie: New-York: 7:19pm 8:22pm Paris: 20:26 21:38 Tel-Aviv: 18:41 19:50

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Résumé Tazria / Metsora

* Dans cette Paracha, nous apprenons les lois réglant l’impureté de la femme qui vient d’accoucher selon que ce soit un garçon ou une fille. * Nous voyons ensuite les différentes formes d’impureté et tout le processus de purification. * Certaines taches apparaissent sur les vêtements, d’autres sur les murs de la maison ou même sur la peau, la barbe ou les cheveux. * Cette épidémie est provoquée par la faute du Lachon-Hara.

Pirke-Avoth

Michna 1 Perek 1

« Que ta maison soit ouverte aux Hahamim » Pour avancer dans le chemin de la Thora, il ne suffit pas d’étudier soi-même la Thora, il est primordial d’accorder aussi du respect aux sages. Un homme peut passer beaucoup de temps a étudier la Thora (au Beth Hamidrach, a la Shoul), mais cela ne peut en aucun cas remplacer une étude faite a la maison. D’une part les murs de la maison doivent eux aussi respirer la Thora et la Kedoucha, afin que nos enfants et nous-mêmes évoluions dans une atmosphère de pureté, mais aussi pour que nos enfants nous voient et soient témoins de notre étude. Cela aura certainement un effet fort et positif sur toutes les personnes de la famille. Rav Azimov enseignait toujours a ses élèves de laisser trainer des livres de Thora sur la table après avoir étudié le soir (la nuit); car les enfants doivent savoir que leur père étudié le soir !!! (il ne s’agit pas ici d’hypocrisie, mais simplement de souligner l’effet que cela aura sur l’enfant de se réveiller et de trouver des livres témoignant de l’étude de la veille !) Un grand Rav disait aussi: « Un homme peut passer dix heures a la Yechiva tous les jours a étudier sérieusement, si le soir, quand il rentre a la maison, il lit les journaux devant ses enfants, l’exemple qu’il montrera aura plus d’effet sur ses enfants que les dix heures passées à étudier la Thora a la Yechiva !!! Un homme qui étudiait la plus grande partie de sa journée avait un ami pratiquant mais pas plus que cela. Quand leurs enfants respectifs grandirent, le fils de l’érudit régressa énormément dans sa pratique du Judaïsme, alors que le fils de son ami désira au contraire devenir un érudit ! N’y comprenant rien, l’érudit alla interroger son maitre. « Rien d’étonnant a cela, ton ami n’étudie pas énormément, par contre il témoigne d’un respect sans borne pour les sages; alors que toi, tu étudie a longueur de journée, mais tu n’as de cesse de faire des reproches a tous les Rav que tu rencontre !!! L’enfant ne retient pas uniquement ce qu’on lui dit, mais surtout ce qu’il voit !!! »

Commentaires Paracha

« Et le huitième jour il fera la Brith-Mila » Le Talmud Yerouchalmi apprend de la que la Mitsva de Brith-Mila incombe au père. Le Talmud Bavli, lui, apprend cela d’un autre verset: « Et Avraham circoncit son fils Ytshak » Il existe une Mahlokete quand a la Mitsva de la Brith-Mila; est ce une Mitsva incombant au père, ou bien est ce une Mitsva incombant au fils mais, vu son jeune age, il lui est impossible de la réaliser, c’est donc le père qui est responsable de la lui faire ??? Cela nous conduit a une autre Mahlokete: Si le père n’a pas circoncit son fils jusqu’à ce que celui-ci atteigne un age adulte, est ce au père ou au fils qu’incombe la Mitsva dorénavant? D’après l’avis que la Mitsva incombe au fils, des lors qu’il lui est possible de réaliser cet acte, il doit le faire (et le père est libéré de cette responsabilité); mais d’après l’autre opinion (selon laquelle cette Mitsva incombe initialement au père, c’est donc a lui seul qu’incombe cette Mitsva !) Puisque le Yerouchalmi apprend la Mitsva du verset: « Et le huitième jour il fera la Brith-Mila », il ressort que la Mitsva incombe au fils car le verset ne fait pas mention du père (ce n’est que du fait de l’impossibilité au bébé de se faire la Brith-Mila a 8 jours que le père le fait pour lui). Le Bavli, lui, apprend cela du verset : « Et Avraham circoncit son fils Ytshak », c’est que la Mitsva incombe de prime abord au père.

Metsora Pourquoi la Paracha se nomme Metsora (le lépreux) alors que cette Paracha traite justement de la purification du lépreux et non de son état d’impureté (cela est explique dans la Paracha précédente). Le Rambam explique que cette étrange maladie était due au pêché du Lachon-Hara; afin qu’il fasse Techouva et qu’il améliore son comportement. Nous voyons donc que cette maladie n’a pas pour seul but de punir mais aussi d’aider la personne dans sa vie; s’habituer a de bonnes Midot. La Maladie est donc une préparation a son retour vers une vie propre et saine. C’est pourquoi la Paracha porte ce nom, car la purification dont il est question fait suite au processus démarré avec la maladie elle-même.

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Le Mohel sortit dans la rue, espérant trouver un Juif qui accepterait

de remplir cette fonction, qui est d’habitude considérée comme un grand honneur. La rue était déserte ! Finalement il aperçut un vieux mendiant et l’aborda, plein d’espoir : - Je n’ai pas le temps, dit le mendiant avec un geste d’impatience ! Ce soir, c’est Yom Kippour et, en allant en ville, de porte en porte, je peux espérer récolter au moins un rouble en dons charitables. Le Mohel n’eut d’autre choix que de lui promettre de lui payer un rouble s’il acceptait de servir comme “Sandak”.

A ce prix, le mendiant n’hésita pas et la circoncision put s’effectuer

sans incident. Le Mohel put alors reprendre la route en sens inverse pour rejoindre la ville avant la fête.

Après s’être trempé au Mikvé (bain rituel) et avoir prié “Min’ha”, le

Mohel rentra chez lui pour le dernier repas avant le jeûne. A sa grande surprise, il trouva le mendiant qui l’attendait devant sa porte. Il lui donna le rouble qu’il lui avait promis mais le mendiant exigea également un verre de vin au miel. Le Mohel était maintenant vraiment très fatigué et peu enclin à recevoir un invité, mais il fit néanmoins entrer l’étranger à qui il servit un verre. Cela ne satisfaisait toujours pas le mendiant qui insista pour que le Mohel se serve également un verre de vin au miel afin qu’ils puissent se souhaiter mutuellement une bonne et douce année, selon la formule consacrée. Le Mohel n’eut d’autre choix que de se plier encore à cette exigence.

- Dites-moi, demanda le vieil homme, décidément infatigable, y a-t-il

encore du vin dans ce tonneau ? - Très peu, répondit le Mohel en étouffant un bâillement. - Il y aura toujours du vin au miel dans ce tonneau, dit le mendiant d’un ton sentencieux, jusqu’à ce que soit prononcée la dernière bénédiction lors du repas de noces de votre fils qui dort dans ce berceau ! - La bénédiction s’est accomplie intégralement, conclut l’aubergiste. Pour moi il est évident que ce vieil homme n’était autre qu’Eliahou Hanavi, le prophète Elie. Grâce à lui, ce tonneau a toujours été rempli de vin au miel, ce qui m’a permis de m’enrichir et d’acquérir cette auberge. J’avais complètement oublié cet épisode… Jusqu’à aujourd’hui, quand le tonneau est soudain tombé et s’est cassé justement quand nous récitions les bénédictions du repas de noces de mon fils.

Et c’est pourquoi je peux vous affirmer, à mon grand regret, qu’il n’y

aura plus jamais un aussi bon vin au miel…

Le récit de la semaine

Le bon vin au miel !!! Durant une joyeuse réunion, alors que les ‘Hassidim buvaient du vin

au miel, Reb Moché raconta l’histoire suivante : “ Il y a très longtemps, alors que je faisais étape à Vienne, j’envoyai un de mes domestiques m’acheter une bouteille de vin au miel dans une taverne juive des environs. Quand il me la rapporta, je goûtai à ce vin qui était le plus délicieux que j’ai jamais bu. D’ailleurs il était si bon que j’envoyai immédiatement mon serviteur m’en acheter dix autres bouteilles que je pourrais rapporter chez moi et apprécier encore durant quelques années. Mais il revint les mains vides. Je pensai qu’il n’avait pas eu assez d’argent et pensai lui en confier davantage mais il secoua la tête : “ Non, dit-il, ce n’est pas le problème. C’est tout simplement qu’il n’existe plus de ce délicieux vin au miel ! ” Etonné, je décidai d’aller voir par moi-même. Quand j’entrai dans l’auberge, je vis qu’il s’y déroulait justement un repas de fête, en fait c’était un repas de mariage. Je m’approchai discrètement de l’aubergiste et lui demandai s’il pouvait me procurer de ce merveilleux vin. “ Non, répondit-il, il n’y en a plus et, en toute franchise il n’y en aura jamais plus ! ”

Et il me raconta son histoire :

“ De longues années auparavant, il avait été “Mohel” (circonciseur). Il s’était fixé comme règle de ne jamais refuser d’accomplir une telle “Mitsva” sur un enfant juif, quelles que soient les circonstances. Une année, la veille de Yom Kippour, un fermier juif avait frappé à sa porte : il venait de loin lui annoncer que son fils venait d’atteindre l’âge de huit jours et qu’il fallait donc le circoncire le jour-même selon la loi juive. C’était la veille de Yom Kippour et ni le père ni le “Mohel” n’avaient assez d’argent pour louer un chariot : ils étaient donc obligés de s’y rendre à pied. Le paysan, plus aguerri, marchait si vite que bientôt le Mohel le perdit de vue et fut obligé de trouver son chemin tout seul. Des heures plus tard, il arriva enfin au village, demanda aux habitants où vivait cette famille qui venait d’avoir un bébé et trouva la maman très faible, allongée avec son bébé. Le père avait disparu, pensant sans doute qu’il n’était pas indispensable pour la “Brit Mila” de son propre fils. Le problème était sérieux : qui pourrait faire office de “Sandak”, celui qui tient sur ses genoux le bébé durant la circoncision ? Le temps pressait et, sans un “Sandak”, la procédure s’avérait très dangereuse. 3

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*Cette bénédiction est la 18e Brakha du Chmone-Esre. * Dans cette bénédiction, nous déclarons qu’il n’y a que Hachem envers qui il convient de rendre grâce. * En effet, tout celui qui prend le temps d’analyser les choses s’aperçoit que tout ne dépend que d’Hachem et que notre rôle n’est que symbolique. * Ce n’est que le Yetser-Hara qui nous donne l’impression que nous jouons un rôle déterminant aussi bien au niveau professionnel, médical ou autre. * Le fait de remercier Hachem est l’expression de cette foi (que tout vient de Lui). * Nos maitres nous enseignent que le fait de remercier est source de bénédiction. D’autre part, faire le Bircat-Hamazone est une Segoula pour la richesse (c’est le même principe; celui qui remercie d’avoir eu de quoi se nourrir aura encore l’occasion de le faire). * Ressentir de l’orgueil lorsque l’on réussit quelque chose signifie (en finesse) que l’on s’attribue cette réussite et que l’on considère que l’on est le principal facteur de cette réussite. Cela revient a rejeter l’idée [précédemment énoncée (Que tout vient d’Hachem). * « L’homme qui pense pouvoir se passer d’Hachem, Hachem l’abandonne ». Non pas que cela soit une punition, mais plutôt la conséquence directe et logique de notre pensée. Si on pense qu’Hachem ne sert « a rien », Hachem n’a aucune raison de nous aider (puisque cela ne sert a rien !!!). * Il est important de s’habituer a dire régulièrement « Barouh Hachem » (grâce a D…) ou « Beezrat Hachem » (avec l’aide d’Hachem).

Iguerot Kodesh 71 Par la grâce de D…. Dimanche 13 Nissan 5703, A notre ami, remarquable jeune homme, le Rav Menahem Gringlass Je vous salue et vous bénis, Je fais réponse à vos lettres. A) Pour ce qui concerne Beth Rivka, je sais à quel point votre temps est pris par toutes vos occupations communautaires, dont l'importance est indéniable et dont vous ne pouvez vous défaire un seul instant, ce qu'à D.ieu ne plaise. Il faut, néanmoins, considérer qu'à cette époque-ci et en cet endroit, la création d'une école de filles basée sur la sainteté est une opération de sauvetage des filles juives, dont l'éducation, en outre, conditionne largement celle de leurs frères et l'ambiance familiale, de même que la purification de l'atmosphère juive, dans sa globalité. Si l'on prend tous ces éléments en compte, je me demande si cette création peut vraiment être repoussée. Qui mieux que vous a conscience que vous figurez parmi les seuls que nous savons, dans votre pays, capables d'assumer une telle mission? Tant qu'il ne vous a pas été possible de créer une école pour les filles, vous pourriez au moins organiser des Messibot Chabbat pour elles, ce qui est plus facile. L'expérience a montré que celles qui participent à de telles Messibot influencent ensuite leurs amies à fréquenter le Beth Rivka et, de manière générale, à améliorer leur comportement. B) Pour ce qui est du jeune homme de Vancouver, je ne parviens pas à m'expliquer votre refus. Je ne suis pas sur place, mais je vous exprime, néanmoins, sur ce point, mon désaccord total. Pour autant, je n'ai jamais cherché à imposer mon avis et je ne changerai pas d'attitude, en l'occurrence. Mais, en tout état de cause, vous devez répondre à ce Rav, qui a adressé une lettre polie et argumentée. Vous devez justifier pourquoi vous avez refusé cette proposition que d'autres auraient accepté. Vous devez lui accorder l'honneur auquel il a droit(3). C) Votre instruction concernant les publications a été suivie et les cinquante Shekels que vous avez adressés ont été repartis comme vous nous l'avez demandé. D) Pour ce qui est de l'écriture du Séfer Torah(4), nous sommes parvenus, D… merci, à la Parchat Haazinou. Celui qui désire en acquérir une lettre doit donc le faire au plus vite. Or, parmi vos amis de la Yechiva, certains ne l'ont pas encore fait! (3) Celui de recevoir une réponse, dès lors qu'il a formulé une demande. (4) Demandé par le précédent Rabbi pour aller à la rencontre du Machia'h. Voir lettre n°29.

Selon le livre « Nos prières »

de Reb Nissan Mindel

Ce feuillet est dédié à l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

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