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VIDÉO 2
LES DONNÉES connues du virus avant le 1 mars 2020
Les experts ont donc en main ces informations
pour élaborer leurs théories (ref : vidéo 1) LES VÉRITÉS DES VIROLOGUES ET ÉPIDÉMIOLOGUES
Un virus contagieux, n’est pas très mortel!
Réponses aux questions suivantes :
Qu'est-ce que le coronavirus ? Quelles sont les populations à risque ? Combien de
personnes seront touchées? Quelle est sa virulence? Sa contagiosité?
Comment se transmet-il ?
1-Qu’est-ce qu’un virus? Un virus contagieux, n’est pas très mortel!
Il est soit contagieux, soit mortel, mais pas les deux en même temps.
« Plus le virus est contagieux, moins il est virulent (dangereux)
Plus le virus est virulent, moins il est contagieux » POURQUOI?
Observer ce tableau. (SOURCE : INSTITUT PASTEUR)
Il n’existe aucune maladie, aucun virus qui est à la fois contagieuse et létale. C’est logique, le patient meurt avant de contaminer une autre personne
Le 29 janvier 2020, selon les données connues à ce moment provenant de la Chine,
l’Institut Pasteur situe le coronavirus dans la zone de la grippe saisonnière.
Le VIH est 3 fois plus contagieux et 80% plus mortel que le Coronavirus !!!!
Avez-vous observez une hécatombe? Pourquoi l’OMS n’est pas intervenu?
IL Y A UNE EXCEPTION !! LA GRIPPE ESPAGNOLE …
Si vous observez bien le tableau ci-haut, le Covid-19 est très très près
de la grippe espagnole.
On peut se demander si l’histoire était en train de se reproduire.
La grippe espagnole a été contagieuse et létale? Selon les lois virologiques, c’est
impossible. Cette maladie aurait dû être soit contagieuse, soit létale.
POURQUOI? La recherche de la vérité est de tenter de répondre à cette question.
RÉPONSE :
Dans un premier temps : avant la fin de la guerre : première vague.
Nous savons qu’il faut aussi tenir compte de l’état du milieu : en 1918
-Le système hospitalier a été complètement détruit par la guerre.
-Il y avait énormément de comorbidité à cause de l’épuisement général de la
société.
1-On sait aujourd’hui que dans les pneumonies avancées, le virus est accompagné d’une
infection bactérienne. C’est pourquoi les antibiotiques fonctionnent très bien. En 1918,
on ne donnait pas d’antibiotiques.
2-On sait aujourd’hui que le fait de donner du paracétamol (acétaminophène) peut être
mortel. Cela avait comme effet de baisser la température et de laisser place à la
multiplication des virus jusqu’à causer la mort. D’autres études disent aussi que les
doses données ont été toxiques.
ATTENTION au paracétamol en cas de coronavirus ! Le coup de gueule d'un médecin
français https://www.youtube.com/watch?v=coXOV2ML_VI&fbclid=IwAR3M3XlWbLEJ2UiYa
Qc5Ks8Ufv71i2K6GU5tDalU-E2s8-GJ63cOf_A3Ra8
Dans un deuxième temps : juste après la guerre : la deuxième vague de mort.
1-Le fait qu’il y a eu de grands rassemblements pour fêter la fin de la guerre, quand
tous étaient exténués après 4 ans de guerre, affaiblis par les conditions de vie, le
virus a pu rapidement se répandre et rendre presque tout le monde malade.
SOURCE : Netflix, documentaire : L’épidémie de la grippe espagnole.
2-Ensuite, le déplacement des populations était plus grand, car les soldats rentraient
chez eux.
Comme tout virus, pendant sa période d’incubation, le virus se propage. Plus la période
d’incubation est longue, plus il est possible de le transmettre avant même que l’on voie le
premier symptôme. Exemple : la rougeole… très très contagieuse, voir tableau ci-haut Il peut s’écouler de 7 à 14 jours entre l’exposition au virus de la rougeole et le début des symptômes. C’est ce qu’on appelle la période d’incubation. Une personne commence à être contagieuse 4 jours avant l’apparition des rougeurs, et elle peut demeurer contagieuse jusqu’à 4 jours après leur apparition. La rougeole dure de 1 à 2 semaines.
Avant même que l’on observe les premiers symptômes assez important pour qu’une
personne consulte un médecin, elle a « contaminé » tous les gens qu’elle a rencontrés
pendant ces journées d’incubation.
Le 26 février, « Le temps d'incubation de l’organisme est long » Le temps d'incubation du
coronavirus peut aller jusqu'à 14 jours » d’où vient la règle de quarantaine
(quatorzaine).
« Habituellement, une personne infectée par le coronavirus contamine en moyenne 2 à 3
personnes. Mais ces "super-propagateurs" pourraient ainsi toucher plus d'une dizaine de
personnes autour d'eux. À quoi cela est-il dû ? À un système immunitaire différent ? À
une contamination par une plus grande quantité de virus ? Il n'existe, pour l'heure,
aucune explication scientifique. »
En date, du 29 janvier 2020, tout ce qui écrit, ci haut, est connu par les épidémiologistes
et infectiologues. Il est vraisemblablement impossible que ce scénario de la grippe
espagnole se reproduise.
Selon les données connues, seul l’état de nos hôpitaux peut augmenter le nombre de
morts.
QUELLES VARIABLES l’OMS prétend-elle connaitre afin de prédire
une hécatombe au même niveau que la grippe espagnole?
***Est-ce la raison pour laquelle Didier Raoult a quitté le comité scientifique de la
France, le 26 mars 2020?
2-Les virus vivent environ 70 jours. Et l’épidémie s’éteint par elle-même sans qu’on
sache vraiment pourquoi.
Le professeur Isaac Ben Israël, chef du programme d’Études sécuritaires à l’Université de
Tel Aviv et président du Conseil national pour la recherche et le développement, est
intervenu sur la Douzième chaîne pour présenter une vision marginale de la gestion
mondiale de la crise du COVID-19.
Il a parlé d’une recherche qu’il a menée avec un autre collègue professeur. Il affirme que
le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline
progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours. Selon lui, cela serait vrai
dans n’importe quelle partie du monde – que les pays interrompent leurs activités
économiques ou pas.
Didier Raoult, imminent infectiologue français, confirme cette vision. Pour lui,
il n’y a jamais eu dans l’histoire de deuxième vague…sauf de petits sursauts,
ici et là. Cependant, on n’a jamais confiné une population comme on l’a fait, une
variable qui peut changer l’histoire.
Le professeur Yonathan Freund, urgentiste à la Pitié-Salpêtrière, s'est distingué
par ses prises de position disruptives depuis le début de l'épidémie.
« Je pense qu'il n'y aura pas de deuxième vague cet été ni à la rentrée »
Science $ Vie #1232 avril 2020
Coronavirus: ce que l'histoire nous enseigne Dans la panoplie de mesures actuelles pour lutter contre le Covid-19, rien ou presque n'est inventé, rapporte Nicolas-Jean Brehon. Déjà, lors de la peste noire de 1348, la solution était d'éviter la contagion en s'éloignant des sources de contamination. Tout au long de l'histoire et des épidémies, l'humain a appris à se protéger. Et à chaque crise, l'État a joué sa crédibilité.
3-Qu'est-ce que le coronavirus ? Sept principaux coronavirus sont généralement cités comme pouvant contaminer
l'humain 6. Un huitième a été identifié : le B8147 (le premier coronavirus humain
identifié), mais cette souche semble ne plus circuler.
Quatre coronavirus en circulation sont considérés comme sans
gravité : 229E, NL63, OC43 et HKU1. Ils seraient la cause de 15 à 30 % des rhumes
courants.
Plus récemment ont été identifiés trois types de coronavirus responsables de
graves pneumopathies :
le SARS-CoV, agent pathogène du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en 2002-
2004
le MERS-CoV, celui du syndrome respiratoire du Moyen-Orient à partir
de 2012
le SARS-CoV-2, celui de la maladie à coronavirus 2019 (Covid-19) apparue
en Chine en 2019 et responsable d'une sévère pandémie en 2020
Le coronavirus est un "gros" virus, désigné par le terme SARS-CoV-2, pour
“coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2. À la différence d’une
bactérie, un virus ne peut vivre et se répliquer que dans une cellule, il ne peut
pas exister de manière autonome. Si certains virus sont inoffensifs, d’autres,
comme le virus à l’origine du SRAS chinois en 2003, s’y développent de
manière particulièrement délétère pour cette cellule. Le “SARS-CoV-2”, à qui
l’on doit nos angoisses actuelles, lui ressemble à 80 % à 88%) . Science $ Vie #1232 avril 2020
ETUDE MARS 2016 Incidence et étiologies virales des maladies respiratoires aiguës
(IRA) aux États-Unis: une étude basée sur la population
Sur 6492 personnes, 321 ont signalé une IRA dans les 7 jours (4,9% au total, 5,7% à
Rochester, 4,4% à Marshfield); des écouvillons ont été prélevés sur 208
sujets. L'incidence cumulative de l'IRA pour toute la période de 3 mois était de 52% à
Rochester [intervalle de confiance (IC) à 95% 42–63] et de 35% à Marshfield (IC à 95%
28–42). Un virus spécifique a été identifié dans 39% des échantillons: coronavirus
humain (13% des échantillons), rhinovirus (12%), RSV (7%), virus grippal (4%),
métapneumovirus humain (4%) et adénovirus (1 %). Seulement 39/200 (20%) ont eu une
visite de soins de santé (2/9 personnes avec la grippe). L'incidence de l'IRA était
d'environ 5% par semaine pendant l'hiver.
(3mars) Le coronavirus est-il virulent? NON. Il est bien plus contagieux que le SRAS
chinois en 2003, il a cependant une létalité (mortalité) (de 2 à 3%) très inférieure à
celle du virus du SRAS de 2003 qui atteignait les 10%.
Le 11 février, l’OMS, savait que le coronavirus était contagieux mais
peu létal (mortel)….
Pourquoi les experts de la santé publique du Québec ont-ils conclu aux mêmes scénarios catastrophes que l’OMS?
POUR ALLER PLUS LOIN
4-(16 mars) Didier Raoult : Quelles sont les données pratiques des infections
respiratoires en 2019? Il y a eu 2,6 millions de morts dans le monde par infection
respiratoire aiguë. À votre avis, quelle influence aura là-dedans le coronavirus ? Avant de
modifier sensiblement ces statistiques, il va falloir qu'il tue beaucoup... Et qui sait s'il ne
s’arrêtera pas du jour au lendemain sans qu'on sache pourquoi comme le SRAS, ou si l'on
en aura fini avec lui en mars, comme habituellement avec la grippe.
Faut-il avoir peur du COVID-19 ? Or 1 %, c’est peu et c’est beaucoup à la fois. C’est
considérablement moins que les deux derniers coronavirus qui ont fait le saut chez
l’humains, soit le SRAS (10 % de mortalité) et le MERS (35 %), ce qui est toujours ça de
pris. Mais c’est aussi 10 à 20 fois plus que la grippe — et ce, pour un virus qui se
transmet encore mieux que l’influenza. Alors sans être aussi effrayant que d’autres
épidémies dans le passé, ce COVID-19 semble bien mériter le «traitement particulier»
que les autorités de santé publique lui accordent. Ce qui n’empêche pas, par ailleurs, que
certains médias en «beurrent» un peu épais, mais c’est une autre question…
5-Les maladies chroniques responsables d'à peu près 80% des décès annuels dues à la
morbidité seraient très largement évitables si nous nous donnions les moyens de protéger
la population en les éduquant sur ce qui augmente le système immunitaire (une
multitude d’études affirment que le stress, l’alimentation et l’exercice ont un impact
sur le système immunitaire)
Science $ Vie #1232 avril 2020
https://www.facebook.com/DecouverteRC/videos/3313657301988744
https://www.facebook.com/rtbfinfo/videos/271742194001903