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• ARTICLE EN P. 12.

La coupe officielle du gâteau de la nouvelle Force opéra-tionnelle interarmées (Est) a été faite par l’adjudant-chef

Mario Ouellet, adjudant-chef du SQFT/FOI (Est), lebrigadier-général Christian Barabé, commandant du

SQFT/FOI (Est), le brigadier-général André Préfontaine,commandant adjoint du SQFT/FOI (Est), et le colonelDaniel Genest, commandant des QG SQFT/FOI (Est).

Photo : cplc Y. Proteau, Imagerie Grn SJ

La Force opérationnelleinterarmées (Est) est née

• ARTICLE EN PAGE 3• MOT DU GÉNÉRAL COMMANDANT EN PAGE 4

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Par le lieutenant de vaisseauMarie-Claude GagnéOAP de la FO 2-04

À quelques jours du début d’un exercicede maintien des compétences survenantaprès plus de 14 mois d’entraînementrigoureux afin d’entreprendre une péri-ode de disponibilité opérationnelle élevéed’une durée de six mois, près de 200 mem-bres du Royal 22e Régiment (R22eR) se sontréunis le samedi 4 février à Saint-Gédéon

au Lac-Saint-Jean, dans la ville natale dulieutenant-général (à la retraite) ChristianCouture, afin de dire au revoir, de façonmémorable, à l’un des leurs.

Décédé à la suite d’un accident demotoneige le samedi 28 janvier, le lgén(à la retraite) Couture a été escorté jusqu’àsa mise en terre par les fiers soldats du2e Bataillon du R22eR accompagnés de leurMusique ainsi que de leurs couleurs régi-mentaires. Un grand nombre d’entre euxavait d’ailleurs eu l’honneur de servir sous

les ordres de ce militaire au cours de sacarrière de plus de 35 ans.

Plusieurs hauts dirigeants des Forcescanadiennes se sont aussi déplacés afin derendre hommage à leur ancien collèguede travail, à leur ami, notamment le généralRick Hillier, chef d’état-major de la Défense,le vice-amiral Ron Buck, vice-chef de l’état-major de la Défense, ainsi que le lieutenant-général Marc Caron, chef d’état-major del’Armée de terre, pour n’en nommer que

quelques-uns. Ces personnalités impor-tantes de notre organisation se sont fon-dues aux centaines de gens ayant fait par-tie de son entourage qui se sont aussidéplacés afin de dire adieu à cet hommed’action.

L’émoi et la fierté émanaient de tout lecortège funèbre et après un tel spectacle,nul ne pourrait douter qu’une fois admisdans l’organisation du R22eR vous serezéternellement traité avec respect et dignité.

Malgré le tempo, un adieugrandiose pour le lgén Couture

Le cercueil est porté à l’église par des membres du Royal 22e Régiment.

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Le chef d’état-major de la Défense, le général Rick Hillier, remet à l’épouse du défunt, Mme JacintheDoré, un drapeau et le couvre-chef du lgén Couture.

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La Force opérationnelle interarmées(Est) est officiellement activée

Par Isabelle CroteauJournal Servir

Le monde a bien changé, surtout depuisles événements du 11 septembre 2001, etles Forces canadiennes se doivent derelever les défis qui se posent en matièrede sécurité. Les besoins au Canadacomme à l’étranger ont augmenté. Lesmissions sont de plus en plus complexeset plus dangereuses d’où la nécessité,entre autres, de mener des opérationsintégrées. C’est dans cette transforma-tion, qui changera à jamais le visage desForces canadiennes, que les militairespourront augmenter leur efficacité, leurfaculté d’adaptation et leur souplesse.

«Cette façon de faire, qui est la nôtre, esten train d’être regardée attentivement parles Américains pour essayer de copier etde comprendre ce qu’on est en train defaire. Nous avons utilisé leurs propresmots, leurs propres concepts et nous avonslivré la marchandise alors qu’eux en sontencore dans le développement du conceptlui-même, compte tenu de la grandeur deleur pays et de l’am-pleur de la tâche. Ausein du SQFT, de laFOI (Est), noussommes au cœur dela transformationdes Forces canadiennes et dans bien dessecteurs, nous sommes même à l’avancetant du point de vue opérationnel que dupoint de vue institutionnel», nous expliquele bgén Barabé.

LA CÉRÉMONIE DE TRANSFORMATIONDES FORCES CANADIENNES

La veille, le général Rick Hillier, chef d’état-major de la Défense, présidait à Ottawaune cérémonie au cours de laquelle étaientformés les quatre nouveaux commande-

ments opérationnels : le CommandementCanada, le Commandement de la Forceexpéditionnaire du Canada, le Comman-dement - Forces d’opérations spéciales duCanada, et le Commandement du soutienopérationnel du Canada. Le commande-ment de toutes les opérations des FC, quirelevait auparavant du sous-chef d’état-major de la Défense (SCEMD), est désor-mais confié à ces nouveaux commande-ments depuis le 1er février dernier, date dela dissolution du groupe du SCEMD.

Cette cérémonie souligne un momentimportant dans l’histoire des Forces cana-diennes. C’est un moment où le théâtreopérationnel du Canada devient la prio-rité première de manière à mieux protégerles Canadiens sur leur propre territoire,tout en permettant au Canada de renforcerle rôle qu’il exerce sur la scène mondi-ale. Dans un contexte de sécurité de plusen plus imprévisible, cette approche unifiéeet intégrée face aux opérations permettraaux Forces canadiennes de rehausser leur

capacité de réagir rapidement en situationde crise, au Canada ou ailleurs dans lemonde.

Quel sera la grande différence main-tenant que le Canada est un théâtre opéra-tionnel? Par le passé, pendant la crise duverglas par exemple, les Forces canadiennesont été capables de répondre en situationde crise et elles seraient encore capablesde le faire, mais nous l’avons fait sur le dosdes gens, sur le dos de nos troupes etde nos états-majors. Un jour, ce genre

d’approche peut mener à l’échec. Avecla transformation, nous passons d’un modede gestion de crise à un mode de contin-gence de façon que si quelque chose arrive,nous pourrons agir de façon concertéeet beaucoup plus efficace avec nospartenaires.

TROIS ENGAGEMENTS PROFONDSLors de la cérémonie de transformation

des Forces canadiennes à Ottawa, troisengagements profonds ont été pris par legén Hillier. Le bgén Barabé les a reprispuisqu’ils s’appliquent tout aussi bien àla FOI (Est) :

«Tout d’abord, offrir aux Canadiens lescapacités opérationnelles dont ils aurontbesoin le moment venu afin de donner uneréponse plus efficace et rapide. Ensuite,établir des relations interagences beau-coup plus poussées et beaucoup plus orga-nisées qu’elles ne l’étaient par le passé.Nous voulons devenir un partenaire dechoix. Nous ne voulons pas devenir unpremier répondant, mais bien un troisième

répondant de premier ordre et un parte-naire privilégié au sein de toutes les agencesprovinciales et fédérales au Canada.Finalement, nous voulons offrir à nosCanadiens la possibilité de passer à unecapacité de contingence plutôt qu’à unecapacité de réponse en temps de crise.Aujourd’hui, cette cérémonie n’est passeulement un symbole, mais bien une étapeimportante dans le changement des FC.Nous assumons une deuxième entité. Noussommes à la fois le quartier général duSQFT et celui de la QG FOI (Est), deuxentités auxquelles nous continuons derépondre, avec deux chaînes de comman-dement bien spécifiques, pour deux rôlesà la fois différents et complémentaires»,poursuit le bgén Barabé.

Ce n’est que le début de la Transformation;des étapes ont été accomplies, d’autressont en cours, beaucoup d’autres sont àvenir, mais une chose est certaine, il resteencore beaucoup de travail à faire, un véri-table travail d’équipe, et c’est un beau défipour les Forces canadiennes.

Signature des parchemins officialisant la formation du Quartier général de la Force opérationnelleinterarmées (Est) par le brigadier-général Christian Barabé, commandant du SQFT/FOI (Est), et sa prisede commandement par le colonel Daniel Genest (assis).

Les nouveaux commandements opérationnelsdes Forces canadiennes- Le Commandement Canada (COM Canada), sous les ordres du vice-amiral J.Y. Forcier, estresponsable de toutes les opérations menées au pays et sur le continent.

- Le Commandement de la Force expéditionnaire du Canada (COMFEC), commandé par lemajor-général Michel Gauthier, est responsable de toutes les opérations internationales.

- Le Commandement - Forces d’opérations spéciales du Canada (COMFOSCAN), dirigé parle colonel David Barr, est responsable de toutes les opérations menées par les forces spéciales.

- Le Commandement du soutien opérationnel du Canada (COMSOCAN), sous la directiondu brigadier-général Daniel Benjamin, est chargé d’assurer le soutien des commandementsopérationnels, c’est-à-dire d’offrir des services de logistique, de génie, de santé, de communi-cations et de police militaire, sans en exclure d’autres.

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Forces canadiennes et de la Gendarmerie Royale

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Depuis le 1er juillet 2005, les Forces canadiennes sontpleinement engagées dans leur transformation, uneannonce qui semblait lointaine au départ. Mais leschoses changent vite et changent pour le mieux.Le 1er février dernier à la Garnison Montréal, lebrigadier-général Christian Barabé, commandantdu Secteur du Québec de la Force terrestre (SQFT),faisait l’annonce officielle de la Force opérationnelle

interarmées (Est) devenant par le fait même le com-mandant de cette nouvelle organisation. Il a égale-

ment procédé à la signature du parchemin souli-gnant l’activation du Quartier général de la Forceopérationnelle interarmées (Est) et de sa prise decommandement par le colonel Daniel Genest,

maintenant commandant des quartiers générauxdu SQFT et de la FOI (Est).

(...) nous passons d’un mode de gestion de criseà un mode de contingence de façon que si quelquechose arrive, nous pourrons agir de façon concertéeet beaucoup plus efficace avec nos partenaires.

Àtous les soldats, aviateurs, marinset employés civils travaillant au

Québec, bonjour.Au cours des derniers mois, vous avez

probablement entendu parlé de la trans-formation dans laquelle les Forces cana-diennes sont pleinement engagées depuisjuillet 2005. Pour plusieurs, ce processusest encore vague et incompris, et c’est nor-mal : bien que les chaînes de commande-ment au Québec aient eu l’occasion de dis-cuter de la question à maintes reprises,peu d’informations ont circulé dans l’ensem-ble de la communauté de la Défense de laprovince.

À titre de commandant responsablede mener à bien la transformation auQuébec, je mets donc cartes sur table aujour-d’hui afin que tous puissent compren-dre le pourquoi et le comment de cettetransformation qui, en bout de ligne, apour but de rendre les Forces canadiennes(FC) plus souples, plus efficaces et pluspertinentes.FAIRE FACE À LA RÉALITÉ

Depuis 2001, les attaques terroristes sesont multipliées : New-York, Madrid,Londres, Le Caire, Bali, etc. Ces tragédiesnous ont démontré que même nous,Canadiennes et Canadiens, ne sommespas à l’abri de la menace terroriste ainsiqu’aux retombées de l’existence d’Étatsen déroute ou défaillants sur notre vie.L’ombre de la Guerre froide ne plane plussur nous ; la menace aujourd’hui est com-plètement différente, à la fois plus perni-cieuse et mobile. Devant cette réalité, nousdevons donc nous adapter afin de conti-nuer de protéger notre pays, ses citoyenset ses intérêts avec une efficacité renou-

velée; et c’est ce que va nous permettre latransformation.UNE NOUVELLE VISION DES FC

Soyons clairs, la transformation ne cherchepas à réinventer ou à rééquiper entière-ment les FC. Elle voit plutôt à mieux inté-grer les capacités maritimes, terrestres etaériennes de façon à ce que les trois envi-ronnements planifient et exécutent ensem-ble des opérations au pays.

De fait, nous travaillons présentementà nous doter d’une structure opérationnelleplus souple et plus pertinente afin de réa-gir promptement lors de crise ou de catas-trophe sur le territoire canadien. Le Canadaa donc été divisé en six forces opérationnellesinterarmées régionales appelées FOI aux-quels toutes les unités et formations desFC ont été rattachées selon leur lieu géo-graphique. Au sommet, un commande-ment central, Commandement Canada,s’assure de planifier et de coordonnerles opérations domestiques.LA TRANSFORMATION AU QUÉBEC

Depuis le 1er février, dans le cadre desopérations menées sur le territoire cana-dien, les unités et formations résidentesau Québec deviennent officiellement descomposantes de la FOI (Est). Au jour lejour, nos relations de commandement etde contrôle changeront peu ou pas du tout :chaque formation et unité terrestre, mari-time et aérienne continuera à assurer lesuccès de sa mission actuelle et à se rap-porter à sa chaîne de commandementrespective (État-major de l’Armée de terre,État-major de la Force aérienne ou État-major de la Force maritime).

Toutefois, en temps de crise ou d’ur-gence sur le sol québécois et sous l’ordrede Commandement Canada, nous pour-ront être appelés à mettre sur pied uneForce opérationnelle domestique (FO DOM)afin de soutenir les agences de sécuritépublique provinciales et fédérales dansleur mandat. Cette FO DOM offrira unecapacité d’intervention solide et efficaceen cas de catastrophes naturelles ou decrises majeures (inondations, tempêtes deneige ou de verglas, événements d’enver-gure internationale, etc.). Elle sera consti-tuée d’un ou plusieurs éléments de l’Armée,

de l’Aviation et de la Marine, auxquels onajoutera des éléments et des capacités addi-tionnels selon les besoins; l’officier com-mandant assumera le commandement detoutes ces composantes, qu’elles soientterrestres, aériennes ou maritimes. Voilà,en bref, la base de la transformation auQuébec.PRÊTS À AGIR CHEZ NOUS

Grâce à cette nouvelle structure, nousallons non seulement être mieux outilléspour mener des opérations domestiques,mais nous pouvons également mieuxpartager l’information entre l’Armée, laForce aérienne et la Marine. De plus,puisque la protection du territoire cana-dien et québécois passe assurément parune meilleure connectivité entre toutes lesagences fédérales et provinciales en matièrede sécurité nationale (Sécurité publiqueet protection Canada, Gendarmerie Royaledu Canada, Sûreté du Québec, etc.), nousallons aussi resserrer les liens qui nousunissent.UN TRAVAIL D’ÉQUIPE

Une telle transformation au Québecne peut toutefois se faire sans l’appui devous tous, soldats, marins, aviateurs etemployés civils. Vous avez l’expérience,le leadership, la flexibilité et la créativitérequis pour mener à bien cette entreprisecommune. N’oublions pas nos famillesqui, par leur excellent et inconditionnelsoutien, sont également un joueur clé dansla transformation des FC. Nos proches,nous ne le soulignons jamais assez, sontaprès tout des membres à part entière del’équipe de la Défense.

D’autres informations vous seront com-muniquées au cours des prochainessemaines. Surveillez vos journaux interneset surtout, n’hésitez pas à interroger votrechaîne de commandement si vous avezdes questions ou des inquiétudes à pro-pos de la transformation.

À tous, merci de votre temps.

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SERVICES POUR LA COMMUNAUTÉ MILITAIRECentre de la famille Valcartier (CFV)(418) 844-6060 Groupe de soutien aux déploiements1-877-844-5607 Centre de la petite enfance - Sentinelle des Petits(418) 844-3700Centre des sports(418) 844-5000, poste 5226Loisirs communautaires(418) 844-5000, poste 5085Régime d’assurance-revenu militaire (RARM)(418) 844-0111Mess Officiers Valcartier(418) 844-5000, poste 6395Mes Adj/Sgt Valcartier(418) 844-5000, poste 6393Mess Cplc Valcartier(418) 844-5000, poste 7693Club Kaeble Valcartier (Sdt/Cpl)(418) 844-5000, poste 6396Mess Officiers Citadelle(418) 694-2800, poste 2846Mess Adj/Sgt Citadelle(418) 694-2800, poste 2869Mess Cplc Citadelle(418) 694-2800, poste 2858Club Patenaude (Mess Sdt/Cpl Citadelle)(418) 692-3391CANEX(418) 844-5000, poste 5321Agence de logements des FC (ALFC)(418) 844-5000, poste 6804Ligne d’information sur les missions1-800-866-4546

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Brigadier-général Christian Barabé

Les versions française et anglaise sontdisponibles sur le blogue du Gcmdt àl’adresse http://contactcommandant.type-pad.com (login : question? / mot de passe :reponse!)

French and English versions are availableon the General’s blog at http://contact-commandant.typepad.com (login : ques-tion? / mot de passe : reponse!)

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NOUVELLESEEXXPPRREESSSSCette rubrique vous présente différentes nouvelles concernant la Défensenationale qui sont, à notre avis, d’intérêt pour nos lecteurs.

UN NOUVEAU MINISTRE À LA DÉFENSE NATIONALE

Le nouveau premierministre du Canada,Stephen Harper, adévoilé le 6 février lacomposition de sonpremier Cabinet, quicompte 27 membres.Le premier ministre aaccordé sa confianceà Gordon O’Connorpour occuper l’impor-tante position de ministre de la Défensenationale. Élu à la Chambre des communespour la première fois en 2004, M. O’Connora été réélu en janvier 2006. Jusqu’à toutrécemment, il était porte-parole de sonparti, le Parti conservateur, pour la Défensenationale, et il a siégé sur le Comité per-manent de la défense nationale et desanciens combattants. Père de deux enfants,le nouveau ministre a commencé sa car-rière militaire en s’enrôlant dans l’arméeblindée et a obtenu le rang de brigadier-général. Après avoir pris sa retraite de l’ar-mée, il a travaillé pour une grande entre-prise de gestion des installations dont ilest devenu vice-président. Il est aussidevenu vice-président des opérations d’uncentre d’essai pour véhicules.

UN COMMODORE CANADIEN DANS UN POSTE DE COMMANDEMENTSUPÉRIEUR AU SEIN DE L’OTAN

Le commodore Denis Rouleau a pris lecommandement, fin janvier, du 1er Groupede la Force navale permanente de l’OTAN(SNMG 1) lors d’une cérémonie de passa-tion de commandement qui s’est tenue àKiel, en Allemagne. Au cours de la prochaineannée, le commodore Rouleau et son état-major maritime multinational de 21 per-sonnes commanderont un escadron del’OTAN composé de destroyers et de fré-gates des pays de l’alliance. Durant cettepériode, les destroyers canadiens NCSMAthabaskan et Iroquois serviront à tour derôle de navire amiral au sein de l’élémentpermanent de la composante maritime dela 7e Force de réaction de l’OTAN (NRF 7).

Le SNMG 1 est une flotte navale perma-nente composée de destroyers, de frégateset parfois de pétroliers ravitailleurs d’escadre

appartenant à la Marine de plusieurs pays.Il mène des exercices et des opérations engroupe dans l’Atlantique du Nord, dansla mer du Nord et dans la mer Méditerranéeafin d’éprouver les procédures et tactiquesmaritimes actuelles de l’OTAN. La NRFest une force à haut niveau de préparationcomposée d’éléments des forces terrestres,aériennes, navales et spéciales que l’OTANpeut déployer à court préavis là où onen a besoin.

INCIDENT AVEC UN SEA KING DU NCSM ATHABASKAN

L’hélicoptère Sea King du NCSMAthabaskan, avec cinq membres d’équipageà son bord, s’est écrasé à environ 50 kilo-mètres de la côte Est du Danemark le2 février. Les cinq membres d’équipage,rescapés par le navire, sont sains et saufs.

L’accident s’est produit au cours d’ex-ercices d’atterrissage de nuit, à l’arrièredu navire. L’hélicoptère, dont l’emplace-ment est marqué par une bouée, se trou-ve à 16 mètres sous l’eau. On ne savait tou-jours pas au moment d’aller sous pressesi l’accident est attribuable à un brismécanique ou à une erreur de pilotage aumoment de l’atterrissage.

Le NCSM Athabaskan, sous le comman-dement du capitaine de vaisseau DaveGardam, est en déploiement au sein duSNMG 1, un escadron composé de destroy-ers et de frégates de pays de l’OTAN.

UN NOUVEL AMIRAL POUR LA MARINE

Le vice-amiral Drew Robertson a prisdernièrement le commandement de laMarine canadienne. Le chef d’état-majorde la Force maritime sortant, le vice-amiral MacLean, prend sa retraite après35 ans de bons et loyaux services dans lesForces canadiennes.

Le vice-amiral Robertson a servi pen-dant plus de 32 ans dans les FC et a occupéplusieurs postes importants dont, entreautres, celui de commandant des NCSMAnnapolis et Athabaskan. De plus, il a assuméle commandement du 1er Groupe opéra-tionnel du Canada pendant un déploiementde six mois dans le cadre de l’opérationAPOLLO en Asie du Sud-Ouest en 2001.

Date limite1er mars 2006

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Fondé par le 12e Régiment blindé du Canada

Le journal Adsum est une publication non offi-cielle publiée un mercredi sur deux avec la per-mission du Commandant du 5e Groupe de sou-tien de secteur. Les opinions et les points de vueexprimés dans ce journal ne sont pas néces-sairement ceux du MDN, des FC et de l’ASPFC /Personnel des FNP.Le journal Adsum informe la communauté militaire de la garnison et de la grande région deQuébec depuis 1972. Notre publication constituel’un des principaux outils de communicationinterne de l’Armée au Québec. C’est un moyenprivilégié pour le Secteur du Québec de la Forceterrestre (SQFT) de communiquer avec son per-sonnel et les familles. Les succès, les intérêts etles préoccupations de la grande équipe du SQFT,voilà la matière avec laquelle est bâti l’Adsum.

Tirage : 5500 copies

ÉditeurCol Gerry Champagne, cmdt 5 GSSRédactrice en chefCaroline Charest, poste 5672charest.c@forces.gc.caJournalisteYan Bélanger, poste 6656belanger.y3@forces.gc.caConseiller militaireCapt Jocelyn Laroche, poste 7641laroche.jgj@forces.gc.caConseillère en publicitéGinette Demers, poste 6081journalvalcartier@dnd.caResponsable petites annonces et comptabilitéNancy Goguin poste 5598goguin.n@forces.gc.caInfographeHélène Carrier, poste 6656ImprimerieLes Presses du Fleuve

Toute correspondance doit être adressée à larédactrice en chef. Les demandes de publicationdoivent être acheminées par courrier électroniqueà +adsum@forces.gc.ca. Soumettre les textes enformat Word et les photos en jpg. La rédactrice enchef se réserve le droit de rejeter ou de modifiertout matériel rédactionnel ou publicitaire. Lesauteurs des textes ne seront pas nécessairementavisés des modifications apportées à leurs textes.

Les articles publiés dans ce journal sont la propriété de l’Adsum et ne pourront être publiés,utilisés ou reproduits sans l’autorisation de larédactrice en chef ou de l’auteur.

Le journal Adsum est une entité des Programmesde soutien du personnel (PSP) et est financé engrande partie par les fonds non publics. Lesrevenus générés par les annonces publicitairescontribuent en majeure partie au financement dujournal. Nous vous remercions d’encourager nosannonceurs.

Abonnement: 25,00 $ par année (22 éditions), taxes en sus

ISSN 0705-0992

ADRESSE :JOURNAL ADSUM

GARNISON VALCARTIER, BÂT. 200C.P. 1000, SUCC. FORCESCOURCELETTE (QUÉBEC)

G0A 4Z0

TÉLÉPHONE :(418) 844-5000, POSTE 5598

TÉLÉCOPIEUR : (418) 844-6934

COURRIER ÉLECTRONIQUE :+adsum@forces.gc.ca

34e année, No 17, mercredi 15 février 2006

PROCHAINE PARUTION : MERCREDI 1ER MARS

DATE DE TOMBÉE : LUNDI 20 FÉVRIER

Par Carollynne SmithConseillère en environnement,service de Conservation des ressources

Il ne faut pas se le cacher, nos hivers québé-cois sont souvent difficiles! Pour survivreaux rigueurs de cette saison, nous devonsnous adapter. Lorsqu’il fait très froid, ilpeut être tentant de faire tourner le moteurde notre véhicule au ralenti pendant plusieursminutes pour le réchauffer.

Contrairement à la croyance populaire,la marche au ralenti n’est pas une façonefficace de réchauffer son véhicule, mêmeen hiver. La marche au ralenti ne réchauffeque le moteur, et non les coussinets de roue,la direction, la suspension, la boîte devitesses et les pneus. Ces composantsdoivent également être réchauffés, et laseule façon d’y parvenir est de conduirele véhicule. Peu importe la saison, il estplus économique de couper le moteur devotre véhicule lors d’arrêts temporairesque de le laisser tourner au ralenti.

Il y a d’ailleurs plusieurs avantages àne pas laisser votre véhicule tourner auralenti, en été comme en hiver :

Tourner au ralentic’est tourner en rond!

- Vous économiserez de l’argent, caren laissant votre véhicule tourner au ralen-ti pendant 10 minutes par jour, vous con-sommez plus de 100 litres de carburantpar année.

- Vous respirerez mieux puisque vousn’aurez pas à respirer les gaz d’échappe-ment d’un véhicule qui ne va nulle part.

- Vous contribuerez à améliorer la qual-ité de l’air en combattant le smog et leschangements climatiques. D’ailleurs, nousdevons tous utiliser l’énergie de façon plusjudicieuse.AU MINISTÈRE DE LA DÉFENSENATIONALE

Le manuel du transport de la Défensenationale (A-LM-158-005/AG-001, et lesrèglements applicables aux conducteursde la Défense nationale, C-02-040-010/MB-001) sert de document législateur etstipule que :

- Le moteur des Matériaux mobiles desoutien (MMS), vides de passagers oudédiés au transport de matériel attendantd’être chargés/déchargés, y compris durantles périodes de repos, ne doit pas tournerau ralenti pendant plus de cinq minutes,le temps d’une courte période de réchauf-fement ou de refroidissement. Le moteurdu matériel motorisé doit également être

éteint lorsqu’il n’est pas utilisé pour exé-cuter les tâches qui lui sont propres.

La Ville de Montréal a récemment modi-fié un règlement pour interdire cette pra-tique sur tout son territoire, et ce, pour laplupart des véhicules. Donc, si vous faitestourner votre véhicule inutilement plusde trois minutes, vous pourriez vous voirimposer une amende frôlant les 400$.PETITS TRUCS

Avec la plupart des moteurs d’aujour-d’hui, il suffit de trois minutes au maxi-mum de marche au ralenti en hiver avantde conduire votre véhicule. Bien sûr, sivotre véhicule est couvert de givre ou deverglas, la période sera plus longue. Quanddevez-vous couper le moteur? Croyez-leou non, vous consommerez moins de car-burant en arrêtant et redémarrant le moteurqu’en le laissant tourner au ralenti pen-dant 10 secondes.

Comme règle générale, coupez le moteursi vous devez vous arrêter pendant aumoins 10 secondes - sauf lorsque vousêtes dans la circulation.

Pour plus d’information, vous pouvezvisiter le site Internet du ministère desRessources naturelles du Canada à l’adressesuivante:http://oee.nrcan.gc.ca/ralenti/accueil.cfmLE LIQUIDATEUR

Par internetmboilard@notarius.net

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ou non à son entourage.

Si le liquidateur a besoin de conseils, il nedevrait pas hésiter à consulter un profes-

sionnel à chaque étape de la succession carcertaines décisions peuvent entraînées des

conséquences fiscales et civiles lourdes.

En effet, le liquidateur peut être tenuresponsable des dommages causés aux héri-tiers si ces derniers font la preuve qu’il y aeu négligence dans l’accomplissement de

ses fonctions.

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LE PORTRAIT DU MOIS

Un homme au service des jeunes

Par Francis LegaultJournal Servir

Pendant quatre ans, il a été membre du conseil d’administration(CA) du Centre de la petite enfance O Mille Ballons de la GarnisonSaint-Jean. Récemment, afin de souligner son départ, cet instruc-teur au 2e Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (2 GPRC),qui compte près de neuf ans de service dans les Forces canadiennes,a reçu un certificat pour le remercier des services qu’il a rendus ausein du CA du CPE. Mais qui est donc le sergent Jean-FrançoisGauthier? Nous l’avons rencontré récemment. Voici le portrait d’unhomme qui s’est démarqué par sa contribution à la communautémilitaire.

D’août 2001 à septembre 2005, le sgtGauthier a siégé au conseil d’administra-tion du CPE O Mille Ballons de la GarnisonSaint-Jean. Il s’occupait des budgets et tra-vaillait sur les enjeux auxquels ce CPEdevait faire face. Il avoue qu’il aurait voulucontinuer jusqu’au moment où sa fille, quifréquente actuellement une garderie enmilieu familial, serait entrée à l’écoleprimaire, mais les contraintes imposéespar son travail chez les Rangers l’ont incitéà quitter le CPE par manque de temps.«Les enfants, c’est ce qu’il y a de plus impor-tant, dit-il. C’est notre avenir.» C’est d’ailleursgrâce à ses trois enfants si le sgt Gauthiers’est investi autant au sein du CPE de lagarnison. Il désirait redonner quelquechose à la communauté militaire et aussiimiter ses propres parents qui siégeaientà divers comités durant sa jeunesse.CPE ET RANGERS: UN PROLONGE-MENT

Son travail au CPE lui permettait, selonle sgt Gauthier, de se rapprocher de la réa-lité. Il faut dire que comme membre du2 GPRC, il travaille souvent dans le Norddu Québec, en particulier au Nunavik etsur la Basse-Côte-Nord. Il est donc fréquem-ment loin de chez lui, vivant entre autresau sein d’une population inuite qui pos-sède une culture très différente de la sienne.

Il trouve cependant que son travail d’ad-ministrateur au CPE et celui d’instructeurchez les Rangers comportent certainessimilitudes. Il retrouve ces ressemblances

en particulier chez les Rangers juniors, cemouvement de jeunes des régions côtièresqui s’apparente à celui des cadets, maisqui est davantage axé sur la transmissiondes traditions et de la culture. Dans lesdeux cas, ces organisations tentent d’ou-vrir les jeunes au monde, de leur montrerqu’il existe autre chose que leur micro-environnement. De plus, ce sont des comitésde parents qui organisent les activités ausein de ces deux groupes. «C’est un pro-longement», dit-il, en parlant du lien entreson travail au CPE et les Rangers juniors.«Au CPE, je côtoyais des jeunes âgés decinq ans; chez les Rangers juniors, ils ontde 12 à 18 ans.» Il note au passage que,dans les deux cas, il est difficile de trou-ver des bénévoles qui veulent bien accorderquelques heures de leur temps pour lesjeunes.

Malgré ces ressemblances, le sgt Gauthieradmet que son travail au CA du CPE OMille Ballons était très différent de celuiqu’exige son métier d’instructeur. Alorsqu’au Centre de la petite enfance il appor-tait son expérience afin d’améliorer le sys-tème, ce qui est valorisant en soi, il vit unevéritable passion au 2 GPRC. «C’est undépaysement total», raconte-t-il. «Pourêtre un instructeur des Rangers, il fautavoir le désir de relever des défis.»SES MEILLEURS SOUVENIRS: DORMIRSOUS LA TENTE

Après quatre ans au service du CPE dela Garnison Saint-Jean et près de neuf ans

au 2 GPRC, le sgt Gauthier conserve dessouvenirs impérissables de ses expériences.De façon surprenante, ses plus beauxmoments au sein des deux organisationsont un lien avec le camping.

En 2000, il avait traversé en canot, sur larivière aux Feuilles, la région du Nunaviken compagnie d’une centaine de cadets etde membres des Rangers juniors.L’expédition avait duré 24 jours et avaitété un moment fort pour tous ces jeunes.Quant au CPE O Mille Ballons, il est de tra-dition d’organiser une «nuit des finissants»,c’est-à-dire une nuit de camping pour tousces jeunes qui vont quitter la garderie pourentrer à l’école primaire. Le sgt Gauthierse souvient que les jeunes du CPE étaient

tout excités en voyant les membres du con-seil d’administration préparer les tentesen vue de cette nuit qui allait s’avérer inou-bliable pour eux. Il considère la réactiondes jeunes comme une récompense à sesefforts.

Maintenant qu’il a quitté le CA du CPE,le sgt Gauthier peut davantage se concen-trer sur son travail d’instructeur chez lesRangers, lui qui est l’un des plus anciensau sein de son unité. Peu importe ce qu’ilfera plus tard, il est certain qu’il sera tou-jours reconnu comme quelqu’un qui abeaucoup fait pour les jeunes, autant pourceux de la communauté militaire de Saint-Jean que pour ceux du Nunavik et de laBasse-Côte-Nord.

Le sergent Jean-François Gauthier est instructeurau 2e Groupe de patrouilles des Rangerscanadiens

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Que veulent nos jeunes familles?

Une étude régionale tente d’y répondre

Exactement 579 familles de la région ayantau moins un enfant âgé entre 0-5 ans ontété invitées à se prononcer sur leur satis-faction et l’importance qu’elles accordentà une liste de 49 énoncés de besoins. Parmil’échantillonnage, plusieurs familles dusecteur des logements familiaux de la gar-nison (Courcelette) ont répondu à l’étudequi a été confiée, en novembre 2004, àl’équipe des organisateurs communau-taires du CSSS Québec-Nord (Centre desanté et de services sociaux) - Secteur Haute-Sainte-Charles/Jacques-Cartier.

L’analyse des résultats a permis d’iden-tifier trois besoins critiques, c’est-à-diredes besoins que les familles ayant desenfants de 0-5 ans considèrent importants,mais pour lesquels elles estiment avoir

une faible satisfaction. Ces besoins sontl’accès à des parcs de loisirs adaptés auxenfants 0-5 ans, l’accès à des loisirs munic-ipaux pour les 3-5 ans et un transport adap-té et sécuritaire pour les enfants.

La Table de concertation 0-5 ans de laJacques-Cartier travaille déjà à détermi-ner les cibles d’intervention nécessaireet à la mise en œuvre d’un plan d’actionpour répondre à ces besoins qui ont étéexprimés par les familles du territoire.Deux comités ont ainsi été formés. Le pre-mier travaillera sur l’accessibilité et ledéveloppement des loisirs pour les enfants3-5 ans et ainsi que l’accès aux parcs pourles enfants 0-5 ans. Quant au deuxièmecomité, celui-ci se penchera sur un autrebesoin exprimé par les parents, soit de pou-

Par Yan BélangerJournal Adsum

La Table de concertation 0-5 ans de la Jacques-Cartier a rendu public la semainedernière les résultats d’une récente étude portant sur les besoins des jeunesfamilles du territoire de la Haute-Saint-Charles/Jacques-Cartier. Trois besoinscritiques identifiés font consensus parmi tous les répondants et sont jugés prio-ritaires par les intervenants communautaires.

voir obtenir par téléphone de l’informationsur les ressources disponibles pour eux.

Nathalie Boudreault, coordonnatrice desservices à la petite enfance au Centre de lafamille Valcartier, siège sur la Table de con-certation. Elle était très heureuse de cons-tater qu’avant même que les résultats del’étude soient connus, les Loisirs commu-nautaires de la garnison avaient déjà décidéde réaménager les différents parcs dusecteur des logements familiaux.

La Table de concertation 0-5 ans de laJacques-Cartier a pour mandat de main-tenir et développer des actions concertéesvisant à répondre aux différents besoinsdes familles et de leurs enfants du terri-toire de la Haute-Saint-Charles/Jacques-Cartier. Elle a pour but d’améliorer les con-ditions de vie des familles vivant en contextede vulnérabilité. Existant depuis cinq ans,la Table regroupe une vingtaine de parte-naires issus du milieu social, communau-taire, public, privé et autochtone.

Maintenant ou plus tard?Nous devrions être prêts à offrir les pro-

grammes et les services découlant de lanouvelle Charte des anciens combattantsdès avril 2006. La question que les mem-bres des Forces canadiennes en voie d’êtrelibérés se posent le plus souvent est desavoir s’ils doivent présenter leur demanded’indemnité d’invalidité à AnciensCombattants Canada maintenant ou s’ils

ne devraient pas attendre plus tard. Ladécision vous appartient et elle dépendde votre situation personnelle et de vospréférences. Qu’importe ce que vousdéciderez, n’oubliez pas les points suivants.

Les demandes d’indemnité d’invaliditéreçues après l’entrée en vigueur de la nou-velle Charte (prévue être le 1er avril 2006)

Le Centred’assistance informatiqueoffre des heures étendues

de soutien techniqueDepuis le 16 janvier et ce, jusqu’au3 mars prochain, le Service des trans-missions du 5e Groupe de soutiende secteur met à l’essai sur laGarnison Valcartier un projet pilotede prolongation des heures de sou-tien informatique auprès de sa clien-tèle.

Durant cette période, le soutieninformatique de première ligne,accessible depuis le 7777 - option 1,sera offert, excluant l’heure du dîner,de 6 h 30 à 18 h 30, au lieu des heureshabituelles de 7 h 30 à 16 h 30.

«Cette initiative vise à répondreaux besoins opérationnels de labrigade, d’indiquer le capitaineDaniel McKinney, commandant dela troupe des transmissions. Plusieursofficiers et sous-officiers d’état-majortravaillent de longues heures, accen-tuées en raison des montées en puis-sance actuelles. Nous voulons déter-miner si la demande est suffisantepour justifier, en tout temps, un serv-ice prolongé de soutien informa-tique.»

Après la période d’essai, des recom-mandations seront formulées unefois que les résultats du projet piloteauront été analysés. Si la demandele justifie et que les ressourceshumaines et financières sontdisponibles, les autorités du Servicedes transmissions n’excluent pas lapossibilité d’étendre les heures deservice du Centre d’assistance informatique de façon permanente.

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seront pour la plupart traitées comme sivous demandiez un montant forfaitaire enguise d’indemnité.

Par contre, certaines demandes seronttraitées selon le système actuel (soit la Loisur les pensions), dont les suivantes :

- les demandes d’indemnité addition-nelle concernant une affection pour la-quelle le client reçoit déjà une pension;

- les demandes refusées dans le passé,mais présentées à nouveau en raison derenseignements additionnels obtenus con-cernant l’affection ayant fait l’objet de lademande initiale.

Si vous préférez recevoir une pensionmensuelle plutôt qu’un montant forfaitaire,assurez-vous de nous envoyer votredemande pour que nous puissions larecevoir (ou pour qu’elle porte le sceau dela poste en faisant foi) avant l’entrée envigueur de la nouvelle Charte des ancienscombattants, qui pourrait se produire dèsle 1er avril 2006.

Vous avez besoin d’aide ou de conseils?Composez le 1 866 522-2022, quelqu’un estlà pour vous!

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Vous avez pris la résolutionde cesser de fumer ou encorevous souhaitez tout simple-ment vous débarrasser decette mauvaise habitude?Pour vous aider à atteindre

votre objectif, l’équipe d’Énergiser les Forceslance son quatrième défi de désaccoutumanceau tabac.

«Relevez le défi «Le 1er mars, j’arrête!» etlibérez-vous de l’emprise du tabac une foispour toutes», affirme Donald Déry, chef duprogramme de réduction de l’utilisation dutabac d’Énergiser les Forces. «Le défi consisteà cesser de fumer pendant au moins quatressemaines, soit du 1er mars au 1er avril.»

«Le dernier sondage d’information sur lasanté et les habitudes de vie des FC indiqueque 75% des militaires ne fument pas. La baissedu nombre de fumeurs au cours des quatredernières années surpasse la baisse constatéechez la population canadienne en général. Enoutre, la plupart des fumeurs (91%) souhai-tent cesser de fumer ou réduire la quantitéde tabac qu’ils consomment. Ils sont au courantdes conséquences néfastes de la consomma-tion de tabac, et un petit incitatif pourrait lesencourager à arrêter», explique M. Déry.

La campagne s’adresse aux membres de laForce régulière et de la Première Réserve, auCadre des instructeurs de cadets, aux Rangerscanadiens, aux employés du MDN, auxemployés des fonds non publics et aux mem-bres de la Réserve supplémentaire qui fumentrégulièrement.

Le défi présente une date précise aux per-sonnes qui souhaitent cesser de fumer, maisqui n’ont pas encore choisi de date pour le faire.Le programme prévoit également la partici-pation de parrains (des non-fumeurs) quiont la responsabilité d’encourager et de conseiller les fumeurs qui participent au

programme. Les participants et les parrainsqui ont la chance de gagner des prix d’unevaleur totale de 16 000 $ offerts par CANEX etles Services financiers du RARM, partenairesdu défi.

«Les maladies et la perte de productivitéliées au tabagisme coûtent chaque année plusde 36,5 millions de dollars aux FC, et ce, pourla Force régulière seulement», indique M. Déry.«Il s’agit de pertes qui n’ont pas de raisond’être.»

M. Déry croit que le programme répondraaux besoins des personnes qui ont décidé decesser de fumer ainsi qu’à ceux qui ont arrêtédepuis moins de six mois. Les chances de réus-sir augmentent avec chaque tentative. Enmoyenne, il faut essayer six ou sept fois avantde pouvoir se libérer de l’emprise du tabacpour la vie. L’appui des pairs, de la famille etdes collègues de travail est un facteur impor-tant du défi. Les parrains sont chargés d’aiderles fumeurs à éviter les produits du tabac pen-dant la durée du défi et après.

«Si une personne peut cesser de fumer pen-dant un mois, c’est un bon début», ajouteM. Déry. «Si elle peut cesser pendant un an,il y a de fortes chances qu’elle cesse pour lavie.»

Les militaires admissibles qui veulent ces-ser de fumer peuvent avoir accès à des médica-ments et à des programmes de consultationpour cesser de fumer adaptés à leurs besoinsspécifiques, comme le programme «Écrasez-la».

Cette année, nous sommes fiers d’annoncerque les participants au défi «Le 1er mars, j’ar-rête!» auront accès à un service de conseils télé-phoniques en tout temps, grâce à Téléassistancepour fumeurs.

«Personne ne laisse entendre que cesser defumer est facile, mais les bienfaits en valent lapeine», conclut M. Déry.

Pour s’inscrire, il suffit de remplir le for-mulaire se trouvant à l’adresse suivante :www.aspfc.com/health (au plus tard le28 février) ou de communiquer avec le directeur,Promotion de la Santé de toute base, escadreou unité des FC.

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Zoom

Le caporal Belzil est fouillé par le soldat Létourneau de la compagnie C, lors d’un raid dans unvillage suspect.

L’adjudant De Chantal de la compagnie Cobserve l’arrestation d’un belligérant par lecaporal Patry et le caporal-chef Langlois.

Des membres de la compagnie A dont le capo-ral-chef Barriault, le soldat Leclerc, le sergentIsabelle, le sous-lieutenant Alamy et son signaleur, le soldat Loiselle, attendent de passerà l’action.

Le soldat Hervieux, le caporal-chef Noël et le caporal-chef Lévesque de la compagnie C mettent enpratique leurs techniques de contrôle de foule.

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Photos : cpl S. Leblanc, 1 R22eR

sur le 1er BataillonRoyal 22e Régiment

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6La compagnie C fait du rappel

Le cplc Chabot se retireaprès 21 ans de servicePar le sergent Luc FortierJournaliste, Nouvelles de l’Armée

Le caporal-chef Roger Chabot se retire aprèsavoir complété une carrière bien remplie. Ayantdébuté comme fantassin avec le 3e BataillonRoyal 22e Régiment, il a ensuite été muté àPetawawa où il a servi presque 9 ans avec le 1er Commando. Il a ensuite changé de régimentpour servir avec le 1er PPCLI à Calgary. Muté àSaint-Jean comme instructeur, il change demétier après deux ans pour devenir technicienen imagerie. Muté à Cold Lake en Alberta poursa première affecation comme photographe, ilest muté encore une fois en août 2005 àValcartier pour y occuper un poste de caméra-man au sein des Nouvelles de l’Armée.Finalement, le 3 février, il a reçu sa dernièreaffectation après 21 ans de bons et loyaux ser-vices, mais cette fois-ci pour la vie civile.Sur la photo ci-dessus, Le caporal-chef RogerChabot, caméraman pour les Nouvelles del’Armée à Valcartier, reçoit sa plaque de 21 ansde service et l’épinglette de bronze de la part ducapitaine Jocelyn Laroche, OAP 5 GSS. Il estaccompagné par l’adjudant-maître SteveManny, SMR de la Garnison Valcartier.

Par le lieutenant A. PicardCommandant, peloton 8

C’est afin d’améliorer davantage laflexibilité opérationnelle de la FO 2-06 quela compagnie C a reçu le mandat dedévelopper sa capacité à effectuer desopérations héliportées et surtout, de les

faire en rappel. Bien que les périodes creusespendant le déploiement à Wainwright ontété rares, la compagnie a tout même réus-si à débuter son entraînement en rappelgraduellement.

En effet, les guerriers de la C ont effec-tué plusieurs sauts de la tour, du patin et

Photo : sgt JLM. Fortier, Nouvelles de l’Armée

par la suite, ont même réussi à sauter del’hélicoptère. Au retour de Wainwright,un cours de maître rappel a été donné afinde qualifier principalement les 14 capo-raux-chefs de la compagnie. Il a alors étépossible pour les pelotons et le PC de com-pagnie de conduire simultanément, aubesoin, des opérations en rappel et en VBL.Pendant le cours, plusieurs soldats de laFO ont servi de «cobaye» pour nos maîtresrappel en développement. Heureusement,aucun n’incident majeur n’a été rapporté,à part une blessure mineure à une cheville.

Finalement, la compagnie C a eu la chancede s’entraîner en rappel à nouveau le 30 jan-vier dans les secteurs d’entraînement àValcartier. Comme la plupart des guerri-ers de la C avaient déjà eu l’occasion defaire du rappel à partir d’un hélicoptère àWainwright et quelques fois à Valcartier,il fallait donner un peu de fil à retordreautant aux pilotes qu’aux membres quifaisaient du rappel. C’est par une journéefroide et venteuse que les membres ontpris pied sur le patin au-dessus d’un ter-rain boisé. Ils étaient prêts à passer à laprochaine étape : faire du rappel d’héli-coptère pour atterrir sur le toit d’un bâti-ment. Ces sauts en rappel beaucoup pluscomplexes ont permis de confirmer autantles compétences de la troupe que celles denos caporaux-chefs nouvellement quali-fiés «maîtres rappel». Il faut dire que leprofessionnalisme des membres du 430 aété très apprécié et que cet entraînementtrès important n’aurait pu être effectuésans leur entière collaboration.V i s i t e z n o s p r o p r i é t é s s u r w w w . p r o p r i o v i r t u e l . c o m

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3Équipage du navire Ville de Québec au Carnaval

Retour en puissancepour la batterie X Par le bombardier Daniel HudonBatterie X, 5e Régiment d’artillerie légère du Canada

Dès notre première journée de travail,après le congé des Fêtes, une marche enraquette de 6,5 kilomètres était au pro-gramme et celle-ci a fait sortir le «méchant».Plusieurs d’entre nous ont vite comprisque la neige tombée durant les vacancesn’était pas seulement belle à regarder. Elleétait également très dure à fouler et l’écume qui nous sortait de la bouche nousdonnait l’air d’un troupeau de wapitisépuisés par une longue migration.

Le début de l’année 2006 s’annoncechargé pour notre batterie, et il faudra seretrousser les manches et travailler fortafin d’accomplir les tâches qui s’en vien-nent. Quelques exercices sont égalementprévus pour les deux prochains mois. Àcela s’ajoute la préparation pour les jeuxd’hiver de la 5e Brigade qui auront lieu audébut de mars.

Le 5e Régiment d’artillerie légère duCanada s’est entraîné dans le cadre de l’ex-ercice RAFALE BLANCHE du 23 au 28janvier dans la région de la Beauce, et notre

batterie y participait en fournissant la forceennemie. Disons simplement qu’elle a sudonner du fil à retordre à nos compatriotesdes autres batteries. Qui penserait à regarderdans la toile au-dessus d’un G-Wagon...Pendant ce temps, les personnes ne par-ticipant pas à cet exercice devaient se pré-parer pour un exercice de batterie qui s’esttenu du 31 janvier au 2 février à Valcartier.Il s’agissait d’un exercice hivernal avec lestoboggans pour pratiquer des patrouillesde reconnaissance ainsi que des attaquesde section et de peloton au champ de tirTrois-Rivières.

La semaine suivante, nous étions surl’exercice GUERRIER CONFIRMÉ de laFO 2-06 dans le secteur de la Beauce. Cecinous a permis de renouer avec nos con-frères et consœurs des unités de la FO avecqui nous avons travaillé à Wainwrightl’automne dernier.

Un début d’année qui démarre sur leschapeaux de roues dirait-on, mais con-solons-nous, un petit répit avec nos gaminsdurant la semaine de relâche nous reposeraavant de poursuivre l’année 2006.

Du personnel du 430 visite la maison Paul-TriquetL’adjudant Lyne Deshaies est l’un des membres du 430e Escadron tactique d’hélicoptères qui sesont rendus à la maison Paul-Triquet le 17 janvier pour échanger avec les bénéficiaires. Cesderniers apprécient beaucoup les visiteurs et cette année, ils en ont profité pour jouer au bingo.

Par le capitaine de corvette Luc CharronOfficier aux affaires publiques au QG de la Réserve navale

Cinq marins du Navire canadien de SaMajesté (NCSM) Ville de Québec, basé àHalifax, étaient de passage à Québec lasemaine dernière dans le but d’entretenirleurs liens avec la population de leur villeéponyme et pour se préparer à la tradi-tionnelle course de canots du Carnaval.

Une session d’entraînement de l’équipage,en compagnie de Bonhomme Carnaval, aeu lieu le mercredi 1er février au bassinLouise du Vieux-Port de Québec.

Depuis la dernière visite du navire àQuébec à l’automne 2004, le NCSM Villede Québec a participé à de nombreux exer-cices et opérations partout dans le monde.Lors du Carnaval, le navire sera en mer,mais déploie cette équipe à Québec afinde continuer à tricoter serré sa relationavec les citoyens et pour participer à lacourse de canots.

Le NCSM Ville de Québec est une frégatecanadienne de classe HALIFAX, qui a étéconçue à Lévis. Moderne et bien équipé,ce navire est conçu pour la polyvalence etpeut agir seul ou intégré à une force plusimportante. La frégate allie les capacitésde lutte anti-sous-marine et les systèmesde lutte contre les menaces en surface et

dans les airs; elle est la pierre angulaire dela flotte.Équipage NCSM Ville de Québec- Matelot-chef Carl Bossé- Caporal Yoland Deschênes - Enseigne de vaisseau de 1re classe PatrickLarose- Matelot de 3e classe Guillaume Mercier - Matelot-chef Jason Roberts- Christian Dufour (barreur et entraîneur)

À propos du NCSMVille de Québec,saviez-vous que...- une grande partie de l’équipage dunavire est constituée de francophonesdont plusieurs proviennent d’ici?

- les insigne et devise du NCSM Ville deQuébec sont les mêmes que pour la villedu même nom?

- d’après les livres de la ville, le pro-longement de la rue du Trésor se retrou-ve sur une coursive à bord du NCSMVille de Québec?

- en mer, les officiers du NCSM Ville deQuébec portent la ceinture fléchée duCarnaval avec la tenue de soirée?

- bonhomme Carnaval a déjà été nomméCapitaine honoraire du navire?

- le carré des officiers du navire porte lenom Château Frontenac?

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Beaucoup de gens s’intéressent au coach-ing pour diverses raisons. Il existe diver-ses formes de coaching dont le coachingde pairs, le coaching de vie ou encore lecoaching de conflits. Mais une chosedemeure certaine, les gens vont vers lecoaching pour changer quelque chose. Cequelque chose veut parfois dire s’amélior-er sur un certain plan ou encore appren-dre sur ce qui importe pour soi.

Le côté merveilleux du coaching est qu’ilconstitue un genre de relation idéale.Imaginez une relation qui est centréeuniquement sur vous, sur ce que vousvoulez dans la vie et sur ce qui vous aideraà atteindre cet idéal. La relation de coach-ing est ainsi faite. Elle est unique. Danscette relation, vous trouverez quelqu’un– votre coach – qui vous aidera à trouvervotre chemin pour atteindre vos buts. AuCentre de résolution des conflits (CRC)de votre région, vous pourrez rencontrerun coach qui vous aidera à résoudre unconflit qui accapare votre énergie et votretemps.

qui saura maximiser l’usage de l’écouteactive –cette façon d’écouter qui assureque l’on a été entendu– maximiser autantla communication et les habiletés intu-itives qui aident les personnes à se rendreau bout d’elles-mêmes et de s’en trouversatisfaites.

Attendez-vous enfin à rencontrerquelqu’un qui vous écoutera sans vousjuger, qui saura accueillir vos émotions etce, sans jamais vous analyser. En théorie,on dit que le coaching est le travail effec-tué par un coach envers un coaché afinque ce dernier atteigne les objectifs qu’ils’est fixés, en suscitant chez celui-ci laréflexion et en regardant les options, lespossibilités qui s’offrent à lui. Les straté-gies et actions mises en œuvre font tou-jours foi de l’engagement mutuel vécu lorsdu coaching.

Quatre prémisses servent d’assises aucoaching :1. Les gens «coachés» ont les réponses oupeuvent eux-mêmes les trouver.2. Le conflit est l’élément de base ser-vant à se rencontrer.3. C’est le client qui décide de l’agendades rencontres.4. La relation qui se construit a toutes lesqualités d’une alliance.

Les motifs justifiant ces prémisses sontsimples. D’abord, le «coaché » doit savoir

qu’il ne vient pas rencontrer son coachpour recevoir des réponses toutes faitesmais plutôt pour les trouver avec l’aidedu coach. En cherchant ces réponses, lecoaché se rendra compte de ses capacitéset de ses limites, mais surtout il découvri-ra ses peurs et ce qui le motive à vouloirrésoudre le conflit par le coaching.

Considérant que la relation est centréeuniquement sur les besoins du «coaché»,celle-ci ne vise qu’à faciliter l’obtentiondes résultats recherchés par le client. C’estdire que l’expertise du coach se limiteau processus et très peu ou pas du tout–selon la problématique– au contenu liéau conflit. L’alliance provisoire qui s’ébauchedès la première rencontre entre le coachéet le coach rappelle à ces derniers que laresponsabilité de la démarche de coach-ing est mutuelle.

Le but fondamental du coaching n’estpas seulement la recherche d’une résolu-tion du conflit. Le but est aussi celui d’ap-prendre à mieux agir face au conflit. Lorsdes rencontres de coaching, sachez que lecoach obtiendra toujours votre permis-sion avant d’aborder plus à fond un sujetqui n’est pas à l’agenda mais qui, de sonavis, doit être abordé. Surtout si ce sujetest délicat et nécessite un certain doigté.

Vous pouvez visiter le CRC Valcartieret région à l’Académie (bât. 534) au bureau141 ou encore téléphoner au poste 5416.

Invitons nos jeunes au travailAnne-Marie Cadot, une élève de secondaire 3 de la Polyvalente d’Ancienne-Lorette, a participéà une journée d’orientation de carrière le 26 janvier au Peloton de police militaire sur laGarnison Valcartier. Mlle Cadot a pu visiter la section des patrouilles, les enquêtes, la sécuritéet le 5e Peloton de police militaire afin de se familiariser avec le travail de répartiteur, depatrouilleur et leurs différents outils de travail. Cette activité a été rendue possible grâce au programme «Invitons nos jeunes au travail».

Le colonel (à la retraite) Gérard Dufresne honoréPar le lieutenant-colonel Alain BoisvertOfficier de liaison, Conseil de liaison des Forcescanadiennes

Au mois de décembre 2005, s’écrivait unepage d’histoire pour un homme de 87 ans,le colonel (à la retraite) Gérard Dufresne.La Société d’histoire militaire mauricienne,par le biais de son président et écrivain,le capitaine (à la retraite) Guy Arcand,lançait la biographie du coloré person-nage à la carrière fructueuse. La biogra-phie retrace la carrière active de M. Dufresne ainsi que sa vie sociale etfamiliale. On le dit reconnu par ses pairscomme une personne affable, généreuse,impliquée et dotée d’un humour prover-bial. «Malgré mon âge avancé, je ne suispas un être taciturne», de confier le colonelDufresne en début d’ouvrage.

Né à East Angus en 1918, le colonelDufresne débute sa carrière militaire avecle Corps de cadet 694 du CollègeImmaculée-Conception en 1933. Diplôméde l’Institut de technologie de Shawinigan,il joint la Force de réserve au Régiment deJoliette puis la Force régulière. En 1944, ilest muté en Angleterre comme comman-dant de compagnie, puis au début de 1945,il est affecté en Hollande au Régiment desFusiliers Mont-Royal. À la fin des hosti-lités, il est muté en Allemagne. À sa démo-bilisation en 1946, il débute une carrièreen affaires, dans le domaine de l’assurance.Il siège sur plusieurs conseils d’admi-nistration et est maire de Shawinigan de1963 à 1966. Il commande la compagnieC du Régiment de Joliette à Shawinigan,puis le 62e Régiment d’artillerie de cam-pagne de Shawinigan. Il travaille commeaviseur d’artillerie au quartier général dutemps. En janvier 1966, pour son dévoue-

ment remarquable, son sens aigu desresponsabilités et la très haute estime qu’ila su mériter, le lieutenant-colonel GérardDufresne est nommé Colonel honorairedu 62e Régiment d’artillerie de campagnede Shawinigan, poste qu’il a occupé jusqu’endécembre 2005. Il est le Colonel honoraireayant occupé ce poste le plus longtemps,soit pendant 39 ans. Il a reçu au cours desa carrière militaire plusieurs décorations.En 2004, il recevait sa 4e agrafe de CD pourses 52 ans de vie militaire. C’est grâce à sacontribution et à sa détermination que le62e Régiment d’artillerie de campagne deShawinigan a eu un manège en 1953 et en1999. Une demande a été adressée à la Villede Shawinigan afin qu’il soit nommé GrandShawiniganais.

Vous pouvez vous procurer une copiede ce livre, en faisant parvenir votredemande à l’adresse électronique suivante:lcol.alain.boisvert@sympatico.ca. Le coûtest de 18 $, ce qui comprend les frais deposte et de manutention.

PPAR ALBERT TRANQUILLE

Médiateur sénior, CRC Saint-Jean

arler pour s’entendre

Le colonel Gérard Dufresne en compagnie del’auteur, Guy Arcand (à gauche), et du lieutenant-colonel Kenneth Haeck, commandant du62e Régiment d’artillerie de campagne deShawinigan (à droite).

Le coaching

En plus de vous informer, le journal Adsum cherche constamment à vous présenterdes gens de notre communauté, dont l’expérience, les actes, les occupations oula philosophie de la vie peuvent nous toucher, nous inspirer. Notre journaliste estconstamment à la recherche de personnes qui :- ont lancé leur entreprise pendant ou après leur service militaire; - viennent d’une famille dont l’un ou plusieurs des membres sont également

militaires;- sont des mordus de l’armée et veulent communiquer leur passion à nos

lecteurs;- en tant que réservistes, conjuguent travail civil et travail militaire et en retirent

une grande satisfaction;- pratiquent une activité avec passion, que ce soit un passe-temps, un art ou un

sport;- ont vécu une expérience hors de l’ordinaire, ont accompli un exploit ou ont

assisté à un événement exceptionnel.

Si vous êtes une des ces personnes ou en connaissez une dans votre entourage,faites-nous signe ! Communiquez avec Yan Bélanger au (418) 844-5000,poste 6656.

Portraits de gens d’ici

Vous vous demandez ce qu’on entendpar le coaching lorsque celui-ci s’effectueen milieu de travail et vise un conflit?

Imaginez seulement quelqu’un qui sauravous écouter, non seulement les mots quevous direz, mais aussi ce qui se trouve der-rière les mots. Imaginez quelqu’un quisera avec vous, à votre rythme et qui aurapour seule intention de bien écouter ceque vous lui direz. Imaginez quelqu’unqui se fera positivement curieux avec vouset qui cherchera à mieux connaître vosaspirations, vos rêves, vos préoccupationset ce qui vous anime. Enfin, imaginezquelqu’un qui, par ses questions et sonengagement, saura vous faire progresservers une capacité accrue à résoudre lesconflits.

Il faudra donc vous attendre à entendrede ce coach absolument toute la vérité survotre conflit, sur vos moyens actuels etsur votre potentiel à venir à bout de la sit-uation conflictuelle.

Vous devez vous attendre à vous engagerpleinement envers un processus et uncoach afin de vous pourvoir des meilleursmoyens de réussir. De plus, du CRC devotre région, vous devrez vous attendrede travailler avec un professionnel entraîné

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Par le lieutenant Guilbauld-McHargCommandant peloton 4, compagnie B,1er Bataillon Royal 22e Régiment

RAFALE BLANCHE, le plus connu desexercices hivernaux, a amené les troupesà un frisquet déploiement dans les secteursmontagneux et nordiques de la base. Aumenu, embuscades, attaques de cachesd’armes et de points vitaux, escortes deconvois, point de contrôle de circulationet patrouilles de secteur au cours desquellesnos troupes ont affronté une force enne-mie composée d’éléments de la Réserve.

La température clémente ayant joué unrôle important sur le moral général de latroupe, l’organisation du camp aura cepen-dant été un élément majeur pour le con-fort de nos soldats. En effet, toutes les com-modités y étaient, des repas chauds jusqu’àla télévision câblée dans les aires de repos.

D’un point de vue plus opérationnel,les relations internationales glissantes desdernières années ont poussé le bataillon

à adopter une approche plus définie pourl’exercice. Habitués aux exercices RAFALESBLANCHES des années antérieures où ilne s’agissait que d’infanterie convention-nelle, voilà qu’entre en ligne de comptecette année le concept des opérations àtrois volets. En effet, il ne s’agit plus seule-ment d’ennemis en uniforme, mais d’en-nemis prenant plusieurs formes (terro-ristes, partisans, etc.). Cela n’aide vraimentpas le travail du soldat.

L’arrivée du nouveau concept de soldatstratégique change l’entraînement et plusparticulièrement le rôle du soldat au seind’une section d’infanterie. Les règles d’en-gagement sont revues et l’approche agres-sive doit laisser une place prépondéranteà une approche plus posée. L’intention ducommandant étant de reproduire un envi-ronnement de déploiement, tous les con-cepts opérationnels relatifs aux théâtresopérationnels ont été introduits et appliquéssur le terrain. Du renseignement à la coor-

dination civilo-militaire, l’exercice a forcétous les attachés à pratiquer leurs procé-dures de routines mais également d’ur-gence et de contingence.

De retour dans les lignes de bataillon,les rapports post-exercices de RAFALEBLANCHE 2006 démontrent un fait pré-cis. Cette édition aura été sans contredit

un avant-goût sérieux des futurs exerci-ces auxquels la prochaine force opéra-tionnelle doit se préparer. Dans le cas desmembres attachés au 1 R22eR, ils doiventêtre prêts pour un exercice d’envergure àWainwright au printemps puis, possible-ment, un déploiement fixé pour la fin de2006.

Un exercice hivernal au goût d’une «montée en puissance»...Par le lieutenant VD BertrandCmdtA, peloton de reconnaissance, 1er BataillonRoyal 22e Régiment

Au 1er Bataillon du Royal 22e Régiment,l’exercice RAFALE BLANCHE 2006 adébuté par un mouvement routier traver-sant les accès routiers entourant la GarnisonValcartier. Les troupes ont été conduitesjusqu’au camp Ours Polaire, dans lessecteurs d’entraînement. Alors que lesderniers exercices hivernaux étaient axéssur la guerre conventionnelle, celui-là serapprochait des opérations menées aucours des dernières années. En effet, lecommandant du bataillon a décidé d’ins-taller son unité sur un camp semblable àceux retrouvés en mission opérationnelle.Cette approche a eu l’avantage d’aug-menter le réalisme de l’exercice.

Tout au long de l’exercice, les élémentsdu bataillon ont été utilisés au maximum.Nos soldats ont pu goûter à la majoritédes types d’opérations de guerre et autresque la guerre : des opérations convention-nelles, telles les attaques délibérées etles patrouilles de combat, et des opéra-tions de maintien de la paix, tels des escortesde convoi et des cordons et fouilles. Utilisantle nouveau scénario tactique de l’arméeen trame de fond, les membres du 1 R22eRont eu un avant-goût de ce qui les attendaitau cours des prochains mois, pour la mon-tée en puissance. Ils n’ont maintenantaucun doute que travail et défis seront aurendez-vous.

Cet exercice a également permis de remet-tre en marche des entités trop longtempsinutilisées tel le peloton de reconnaissancedu bataillon. Celui-ci a évolué en tantqu’entité pour la première fois depuisplusieurs mois et a largement eu la possi-bilité de prouver sa valeur au reste de l’unité. Le travail du peloton a grande-ment contribué au succès des opérationset il a facilité celui des compagnies qui ontété guidées vers l’ennemi par nos

patrouilleurs. Parmi les opérations effec-tuées par le peloton, on compte les postesd’observation, les patrouilles de recon-naissance ainsi que la préparation d’at-taques de sous-unités.

Les compagnies d’infanterie, quant àelles, ont été appelées à effectuer un grandnombre d’opérations, permettant à cessous-unités, récemment formées, dedévelopper la cohésion entre leurs mem-bres et de mettre sur pied de bonnes instruc-tions permanentes d’opération. Ellesopéraient des postes de contrôle de véhicule,effectuaient des patrouilles de surveillanceet des opérations d’affrontement de foule,et maintenaient une équipe de réactionrapide pour la défense du camp. Les nuits,loin d’être calmes, étaient agrémentéesd’opérations de cordon et fouille (dontune héliportée) et d’attaques rapides; toutesétaient liées aux types d’opérations menéesen théâtre opérationnel au cours des

dernières décennies par les Forces cana-diennes.

Le personnel de soutien, fidèle à sonhabitude, a solidement appuyé nos troupescombattantes pour leur permettre de con-duire des opérations continues, à unecadence très élevée. Nous n’avons vécuaucun délai dans le soutien risquant deralentir le rythme opérationnel. La com-pagnie des services s’est assurée, tout au

long de cette semaine, de fournir aux sol-dats l’équipement le plus fonctionnel pos-sible, et ce, en tout temps.

L’état-major n’a pas été en reste, ne pro-fitant d’aucun répit de tout l’exercice, uneopération n’attendant pas l’autre et cer-taines devant être menées simultanément.Pendant que les planificateurs vivaientune journée à l’avance sur le reste du batail-lon, les opérations courantes suivaientl’action en temps réel afin de souteniradéquatement le plan.

Dans un but d’entraînement et de for-mation, un peloton de réservistes s’estjoint à l’unité pour l’exercice afin d’assur-er la défense et la sécurité du camp. Sonrôle a donc été de contrôler la circula-tion à l’entrée du camp et de veiller à lasécurité du périmètre. Celui-ci a rapide-ment prouvé qu’il pouvait s’acquitter d’unetelle tâche et a acquis des méthodes de tra-vail qui lui permettront de se développertout au long de la montée en puissance.

En bout de ligne, cet exercice aura étélargement profitable pour tout le batail-lon. Le personnel ayant eu la chance derenouer avec des techniques et connais-sances inutilisées depuis déjà un certaintemps, l’état-major a maintenant de bonsindices sur l’orientation qu’il doit donnerà la montée en puissance afin que l’unitésoit «plus que prête» pour un éventueldéploiement.

Un soldat de la compagnie B à la recherche d’information cruciale.

Le camp Ours Polaire, établi dans les secteurs d’entraînement de Valcartier dans le cadre de l’exerci-ce RAFALE BLANCHE 06. Du 23 au 28 janvier, 450 membres du 1 R22eR y ont été accommodés.

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6Courrier carrière Auto

PAR JEAN-FRANÇOIS ROSS • Chroniqueur automobileMieux vautPRÉVENIR!Vo t re Se r v i ce des i ncend ies

MISE ENGARDE

Modifications apportées surdes systèmes électriques

Souvent, plusieurs personnes apportentdes modifications sur des appareils élec-triques, sans se soucier des conséquencesque cela peut engendrer. Lorsque nousutilisons ou achetons des appareils élec-triques, il faut vérifier que l’appareil a étéhomologué par un organisme reconnu,soit CSA, soit ULC, et suivre les recom-mandations inscrites sur l’appareil.

Voici une situation qui aurait pu avoirdes conséquences graves. Lors d’un exer-cice, un système d’éclairage avait été instal-lé dans une tente par des professionnels.Les occupants de la tente ont recouvertle système d’éclairage de papier d’alu-minium pour des raisons d’opération. Àla suite de cette modification, le plastiqueprotecteur a complètement fondu, ce quiaurait pu provoquer un début d’incendie.Cette fois-là, il n’y a pas eu de plus amplesdommages, mais nous pouvons imaginerles conséquences que cela aurait pu provo-quer, telles des pertes matérielles ou desblessures.

Seule une personne qualifiée peut mo-difier un appareil électrique ou tout autresystème électrique. De plus, il faut tou-jours suivre les recommandations qui sontinscrites sur l’appareil ou sur la boîte.

CHOISIRplutôt quesubirL’importance du processusd’orientationFaire un retour aux études ou réorientervotre carrière faisaient partie de vos réso-lutions pour l’année 2006? Si oui, le tempsest venu de passer à l’action et de débuterun processus d’orientation. En effet, ladate limite d’inscription pour la sessiond’automne 2006 est le 1er mars prochain.

Certains d’entre vous croient qu’untel processus est compliqué et même mys-térieux. Voici quelques informations quivous éclaireront sur le sujet.

Le conseiller d’orientation vous aide àdresser un portrait de votre profil d’in-térêts, de vos besoins, de vos acquis sco-laires et de vos attentes face à une futureprofession. Avec vous, il explore les diversprogrammes d’études et les perspectivesd’emploi. Cette démarche vous aide àprendre en considération tous les élémentsimportants avant de faire un choix.

Vous voulez débuter par vous-mêmeune réflexion? Pourquoi ne pas dresserune liste de ce que vous aimeriez retrou-ver à l’intérieur de votre emploi idéal?Déjà avec ces informations en main, vousaurez une longueur d’avance.

Il est également possible de venir con-sulter la documentation sur les nombreuxprogrammes d’études et les institutionsd’enseignement à votre Centre de docu-mentation, à Valcartier ou à Sainte-Foy.Cette recherche vous permet par vous-même de valider certains renseignementsou de faire des découvertes intéressantes.

C’est avec plaisir que l’équipe du pro-gramme FORT (formation et orientationpour un retour au travail) vous accompa-gnera et surtout vous permettra deCHOISIR plutôt que... subir. ContactezYves Doucet, conseiller en orientation, partéléphone au (418) 844-6060 ou par cour-riel à l’adresse suivante : cfvs@videotron.net.Bonne démarche!

Toyota Highlander V6 Hybrid Limited 2006

Pour ceux qui veulent avoirla conscience tranquille!

FICHE TECHNIQUEMarque TOYOTAModèle HIGHLANDER V6 HYBRID LIMITED

2006 (modèle d’essai)Autre(s) modèle(s) HIGHLANDER V6 HYBRID,

HIGHLANDER V6 Catégorie Véhicule utilitaire sportPrix 53 145 $ (modèle d’essai)Garanties 5 ans/100 000 km -

8 ans/160 000 km (système hybride)Moteur V6 de 3,3 litresPuissance ch (kW) 208 (155) à 5 600 tr / minCouple lb-pi (N.m) 212 (287) à 4 400 tr / min Moteurs électriques 167 ch (123 kW) à 4 500 tr / min

(moteur avant)68 ch (50 kW) à 4 610 - 5 120 tr / min (moteur arrière)

Puissance combinée 268 chevaux (200 kW) Transmission Transmission à variation continue(CVT)Autre(s) transmission(s) AucuneTraction 4 RM sur demandeSystème anti-patinage OuiSystème de stabilité OuiSuspension Avant : Indépendante,

jambes de force Macpherson Arrière : Indépendante, jambes de force Macpherson

Direction À crémaillère, assistance variable à commande électrique

Freins Avant : disque ventilé (ABS) et (EBD)Arrière : disque (ABS) et (EBD)

Coussins gonflables Frontaux, latéraux et rideaux gonflables

Empattement 271,5 centimètresPoids 1785 kgCapacité de remorquage 1587 kgCapacité du coffre 1124 litres (derrière la 2e rangée)Capacité du réservoir 65,0 litresConsommation Ville : 7,5 L/100 km ou 38 mi/gal*

Route : 8,1 L/100 km ou 35 mi/gal*Émission de CO2 : 3744 kg/an*

*Selon Ressources naturelles CanadaAutres modèles concurrents- Ford Escape Hybrid - Lexus RX 400h

Par Jean-François RossChroniqueur automobile

Un véhicule utilitaire sport (VUS)économique en carburant et qui inspireun très haut niveau de fiabilité, est-ce pos-sible? Eh bien oui, Toyota, comme la com-pagnie Ford l’avait fait sur son modèleEscape en 2005, a appliqué la technologiehybride sur le Toyota Highlander 2006.Le groupe motopropulseur hybride estbasé sur une technologie similaire utiliséesur le modèle de la Toyota Prius. Dans lecas du Toyota Highlander hybride, levéhicule est muni de deux moteurs élec-triques, le tout jumelé à un moteur à essence.

Au point de vue de la performance, leToyota Highlander Hybrid Limited 2006est comparable à son semblable, le ToyotaHighlander qui est muni du même moteurV6 de 3,3 litres de 208 chevaux à 5600tours/minute et de 212 livres-pieds decouple à 4400 tours/minute. Grâce à laprésence d’un moteur électrique à l’avantde 167 chevaux et d’un moteur électriquearrière de 68 chevaux, il est possibled’obtenir en conduite urbaine une con-sommation d’essence de 7,5 L/100 km oude 38 mpg. Cela est plus qu’acceptablelorsqu’on considère que les véhicules uti-

litaires sport n’ont jamais eu une très bonnecote en matière de consommation de car-burant. Il est à noter que la puissance com-binée du système hybride et du moteurV6 à essence développe 268 chevaux, cequi offre de bonnes accélérations à bordde ce VUS de format intermédiaire.

Considérant la présence d’une trans-mission à variation continue qui réduit laconsommation de carburant, d’une tech-nologie hybride presque sans reproche etd’une excellente finition intérieure, leToyota Highlander offre cependant une

direction qui manque un peu de fermeté,plus une ligne extérieure très conserva-trice. Toyota aurait pu adopter sa tech-nologie hybride pour la jumeler avec unmoteur quatre cylindres afin d’optimiserla consommation de carburant ; les con-sommateurs de notre continent, plus spé-cialement nos voisins du Sud, n’aimentpas les compromis qui sacrifient la per-formance. Ceux qui voudront rouler écoloet avoir bonne conscience devront débours-er 44 205 $ pour le modèle de base et 53145 $ pour le modèle Limited. Commevous pouvez le constater, il faut payer pluscher pour être respectueux de notre envi-ronnement.

Pour Contre- Bonne performance - Lignes conservatrices- Transmission CVT - Prix élevé (hybrid limited)- Consommation à la baisse - Direction floue- Technologie hybride avancée - Remplacement des piles - Douceur de roulement (système hybride)- Réduction des émissions polluantes - (coût élevé à long terme)- Finition excellente

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7Le passe-temps du caporal SimonPearson : vidéaste-amateur

Insérer des imagesdans un masque de diapositivesVous pouvez ajouter un graphique ouun autre objet dans le masque des dia-positives (par exemple, un logo). Gardezà l’esprit que les objets que vous ajoutezau masque des diapositives apparaîtrontsur toutes les images de votre présen-tation.Procédez comme suit :1. Passez dans la vue Normal. 2. Dans le menu Affichage, sélection-nez Masque, puis cliquez sur Masquedes diapositives. L’affichage changepour afficher le masque des diaposi-tives.

3. Sélectionnez Image dans le menuInsertion et cliquez sur l’option souhaitée.4. Recherchez l’objet que vous voulezajouter au masque des diapositives.5. Sélectionnez l’objet souhaité et cliquezensuite sur Insérer.

L’image est à présent insérée dans lemasque des diapositives et vous pou-vez la placez où vous le souhaitez. Gardezà l’esprit que vous devez placer l’objetà un endroit où il ne gênera pas les autresinformations que vous ajoutez à chaqueimage.

Pour obtenir des informations sup-plémentaires, veuillez consulter la pagede Gestion de l’information sur votreIntranet (Armée en direct) sous larubrique «Trucs et astuces de la semaine».

Diplômé en technique policière, le capo-ral Simon Pearson, 26 ans, travaille à tempsplein depuis deux ans au quartier-maîtredes transmissions du Centre d’instructiondu Secteur du Québec de la Force terrestresur la Garnison Valcartier. Il s’est enrôlécomme milicien dans les Forces cana-diennes en 1996 pour y trouver et y releverdes défis, travailler en équipe, garder laforme, mais aussi pour renouer conti-nuellement avec son enfance. «Tout-petit,j’aimais jouer à la guerre», lance-t-il sourireaux lèvres.

Son intérêt pour l’animation «stop-motion» remonte à cinq ans. «Mon pères’était acheté une caméra qu’on emprun-tait, mon frère et moi et quelques amis.On se réunissait ensemble pour partagerdes idées de sketch. On a quelques réali-sations à notre actif, peu connues du public cependant. On a présenté pendanttrois ans à la Galerie Rouje, sise sur Saint-Joseph à Québec, quelques-uns de nosfilms lors de soirées organisées par l’or-ganisme Kino, un regroupement d’artistesdu cinéma et de la vidéo. On a gagné enpopularité. Les gens nous appelaient LesBiscornus. Ce nom nous est resté. On a faitaussi Monsieur Frites, une courte anima-tion qui a été présentée à l’émission N’ajustezpas votre sécheuse diffusée à Télé-Québec»,se rappelle le caporal Pearson.

Prenant de l’expérience, ayant raffinéleur technique et maîtrisant de plus enplus l’art des effets visuels par ordinateur,son frère et lui voulaient se donner un plusgrand défi. Ils se sont donc lancés, il y adeux ans, dans le tournage d’une «méga-production» –toujours sans titre– quidevrait, une fois complétée, faire troisépisodes de dix minutes chacun. «GI Joea sorti récemment une nouvelle série defigurines. On a décidé de parodier cetunivers. Ça fait dans les clichés bien évidem-ment.»

Trois soirs par semaine, Simon retrou-ve son frère qui a aménagé dans sonappartement un petit studio de tournage.Pour cette réalisation, ils se sont entourésdu caporal-chef Denis Bisson, l’auteur dela b.d. Chwinn publiée dans l’Adsum, quis’occupe de confectionner les maquettesqui servent de décors.

Votre journal a eu la primeur de voirune première séquence du film. Le résul-tat est plutôt impressionnant. Le «casting»

TRUCS & ASTUCES i n format iquesUne chronique de l'équipe de la Gestion de l'information

Par Yan BélangerJournal Adsum

Originaire de la rive-sud de Québec, le caporal Simon Pearson, réservisteau Régiment de la Chaudière, s’adonne depuis cinq ans à un passe-temps hors du commun. Vidéaste-amateur, il imagine des scénarioset donne vie à des figurines dans des sketches «stop motion» –de l’animation image par image– parodiant souvent l’univers des dessinsanimés ou des grands films.

Image de l’une des séquences du film.

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Le caporal Simon Pearson devant une desmaquettes d’un film en cours de tournage quiparodie l’univers des GI Joe.

comptera, une fois le tournage terminé,pas moins de 200 figurines et une dizainede décors différents. «J’ai déjà acheté pour150 $ de végétation chez Dollorama, indiqueSimon. C’est très exigeant. La techniquedu stop-motion consiste à capter chaquemouvement des personnages sur unemaquette placée devant un écran bleu. Onpeut par la suite générer et superposer desimages d’animation et des effets spéciauxpar ordinateur. Douze images sont néces-saires pour chaque seconde d’animation.Cela demande de la dextérité, de la pré-cision, de la minutie et beaucoup beau-coup de patience.»

L’HISTOIREDans le film, les Cobras de la série de GI

Joe font place aux Serpents, un groupe ter-roriste qui se manifeste alors. La forma-tion d’une élite antiterroriste, formée des

GI Joe le général (toujours sans nom), lesergent Dur-à-cuire, les caporaux Pointde mire et Rescapé et de la lieutenantTigresse, pour n’en nommer que quelques-uns, alors aux prises avec un grave pro-blème de sous-financement, est prise enembuscade par l’ennemi qui détient unearme secrète aux possibilités inconnues...UNE SORTIE PROCHAINE?

Mais à quand la projection du film aupetit écran? Vous pourrez voir vos prochainspersonnages «préférés» quelque part en

2008 dans un «cinéma près de chez vous».Euh non, pas exactement! «On aimeraitbien que certains festivals de vidéastes-amateurs présentent notre film», men-tionne Simon qui n’exclue pas de faire desa passion une seconde carrière à sa sortie des Forces.

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6SPORTSLES

Statistiques des ligues inter-unités

Défaite crève-coeur au Championnat régional de basketballPar Martin Dubé Coordonnateur aux sports militaires

C’est au gymnase du Leitrim, une petitebase de communication à Ottawa, ques’est tenu du 26 au 29 janvier le champi-

onnat régional de basketball. Avec unefiche de 1 victoire et 1 défaite après letournoi à la ronde, l’équipe de Valcartiera écrasé l’équipe de Bagotville par unpointage de 88 à 40 en demi-finale. Leséquipes d’Ottawa et de Valcartier étaientdonc les deux équipes finalistes à se dis-puter la bannière de champions de la régiondu Québec. Les deux équipes de calibresimilaire se sont talonnées tout au long dela partie. À un certain moment, Valcartiers’est appropriée une avance de 8 pointssur ses adversaires. Mais il demeure dif-ficile de battre l’équipe locale sur son pro-pre terrain avec ses propres arbitres. Tentantde garder son avance, notre équipe a vufondre l’écart de points dans les dernièresminutes de la partie. C’est au son du«buzzer» annonçant la fin de la partie quenos joueurs ont vraiment réalisé ce quivenait de se passer. Nos Lions, très déçusdu dénouement final, sont revenus àValcartier avec une médaille d’argent aprèsune défaite crève-cœur de 78 à 73 lors de

la finale. Trop fiers pour baisser les bras,gageons qu’ils arriveront encore mieux

préparés pour l’année prochaine!

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CLASSEMENT LIGUE INTER-UNITÉS / VOLLEY-BALL (En date du 10 février 06)

ÉQUIPE SJ V D DÉFAUT PTS QUOT.

12 RBC 42 33 6 3 105 2.50

5 BNS C 42 16 20 6 68 1.62

QGET 24 4 16 3 28 1.17

CLASSEMENT LIGUE INTER-UNITÉS / SOCCER (En date du 10 février 06)

ÉQUIPE PJ V D N DÉFAUT BP BC PTS QUOT.

3 R22ER 14 10 4 0 0 75 45 34 2.43

12 RBC 12 6 5 1 0 57 47 25 2.08

5 RALC 17 9 4 2 1 81 75 35 2.06

5 BNS C 14 5 6 3 0 71 71 27 1.93

QGET 11 0 9 0 2 20 77 9 0.82

CLASSEMENT LIGUE INTER-UNITÉS / HOCKEY BALLE (En date du 10 février 06)

ÉQUIPE PJ V D N DÉFAUT BP BC PEN. PTS QUOT.

5 BNS C (1) 13 10 2 1 0 43 25 52 34 2.62

1 R22ER 8 2 3 3 0 29 26 14 15 1.88

12 RBC 12 5 3 2 2 20 29 12 22 1.83

CLASSEMENT LIGUE INTER-UNITÉS / HOCKEY SUR GLACE DIV.C (En date du 10 février 06)

ÉQUIPE PJ V D N DÉFAUT BP BC PEN. PTS QUOT.

5 BNS C (1) 8 6 1 1 0 38 18 30 21 2.63

5 RGC 8 6 1 1 0 40 18 79 21 2.63

5 RALC 10 7 2 1 0 58 32 74 25 2.50

2 R22ER 2 1 0 1 0 12 5 14 5 2.50

QGET/TRANS 9 6 2 1 0 44 24 50 22 2.44

12 RBC 8 3 3 2 0 45 35 54 16 2.00

CI SQFT 9 3 4 2 0 28 42 69 17 1.89

5 AMB C 11 3 7 1 0 39 53 89 18 1.64

3 R22ER 9 2 7 0 0 25 47 40 13 1.44

5 BNS C (2) 9 0 9 0 0 15 57 36 9 1.00

PPM GRQ 1 0 1 0 0 1 14 0 1 1.00

CLASSEMENT LIGUE INTER-UNITÉS / HOCKEY SUR GLACE DIV.A (En date du 10 février 06)

ÉQUIPE PJ V D N DÉFAUT BP BC PEN. PTS QUOT.

5 BNS C 8 6 2 0 0 43 25 46 20 2.50

VETERANS 12 8 3 1 0 49 32 58 29 2.42

12 RBC 7 4 2 1 0 25 28 40 16 2.29

2 R22ER 3 1 2 0 0 6 14 8 5 1.67

1 R22ER 8 2 6 0 0 24 34 67 12 1.50

3 R22ER 8 1 7 0 0 24 38 62 10 1.25

CLASSEMENT LIGUE INTER-UNITÉS / HOCKEY SUR GLACE DIV.B (En date du 10 février 06)

ÉQUIPE PJ V D N DÉFAUT BP BC PEN. PTS QUOT.

430 ETAH 10 8 2 0 0 63 39 26 26 2.60

5 BNS C (1) 7 4 1 2 0 39 30 46 17 2.43

5 RALC 9 6 3 0 0 55 28 66 21 2.33

POMPIERS 11 5 4 2 0 44 47 100 23 2.09

QGET 10 5 3 1 1 56 31 38 20 2.00

5 BNS C (2) 9 5 3 0 1 34 26 50 18 2.00

1 R22ER (1) 7 3 3 1 0 27 35 66 14 2.00

2 R22ER 2 1 1 0 0 7 5 31 4 2.00

CI SQFT 9 4 5 0 0 37 66 28 17 1.89

3 R22ER 8 3 4 1 0 29 30 34 15 1.88

12 RBC 7 3 4 0 0 27 35 54 13 1.86

5 PPM 8 3 5 0 0 30 37 105 14 1.75

1 R22ER (2) 10 1 7 1 1 32 57 42 12 1.20

Du nouveau au soccer mineur

Les parents de nos enfants du Club de soccer mineur Courcelette sontconviés à une séance d’information sur la fusion de l’association desoccer mineur de Val-Bélair et du club de soccer mineur Courcelettede Valcartier.

À partir de cet été, les deux associations n’en formeront qu’une quiportera le nom de « Association de soccer mineur Val-Bélair etCourcelette »

Qu’est-ce que cela veut dire pour vos enfants :• Meilleur encadrement des enfants• Les enfants jouent toujours dans leur catégorie d’âge• Accès au conseiller technique• Plus grand bassin d’entraîneurs• Plus grand bassin d’arbitres• Participation au festival de Val-Bélair• Joutes à la maison partagées entre Val-Bélair et Valcartier• Plus grande accessibilité aux niveaux 2A et 3A par groupe d’âge• Inscription continue de se faire au Centre des sports Valcartier• Proximité de la municipalité de Val-Bélair

La séance d’information aura lieuau Centre communautaire le jeudi 23 février 2006

à 19h00 dans la salle communautaire.

Pour de plus amples informations : Joane Thibault, Directrice loisirscommunautaires : 844-5000 (7690) ou Michel Tremblay,

Président du club de soccer mineur Courcelette : 844-5000 (5047)

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