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l’Afrique est une superpuissance par ses richesses naturelles? Elle est restée balloter entre les puissances pendant un bon moment sans avoir quelle direction, il faut emprunter, elle n’avait pas penser que toutes les puissances prennent la direction du vent en évitant le contre. Chaque fois qu’un pays Africain cherche à créer une relation solide avec une puissance, une autre la rendait impossible, c’est la logique du marché mondial. Les politiques sont aussi à l’image des déchirures occidentales, le socialisme, le communisme, la classe ouvrière. La plus part des pays avaient opté pour le communisme ou le socialisme sans avoir les moyens adéquats. En 1960 la majorité des régimes étaient des régimes civils 50 ans après, on cherche partout les moyens à revenir au régime civil, parce pendant ce temps presque la totalité des régimes sont passé au régime militaire. Les quelques rares civils avait choisi le monopartisme. Et s’ils avaient ouvert la voie au multipartisme que sera l’Afrique d’aujourd’hui? Une démocratie irréprochable ou une Afrique irréprochable en démocratie, c’est toute la difficulté de l’échec Africain. Quand ils ont voulu, les peuples, rectifier le tir

L'afrique est une superpuissance par ses richesses naturelles

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l’Afrique est une superpuissance par ses richesses naturelles? Elle est restée balloter entre les puissances pendant un bon moment sans avoir quelle direction, il faut emprunter, elle n’avait pas penser que toutes les puissances prennent la direction du vent en évitant le contre. Chaque fois qu’un pays Africain cherche à créer une relation solide avec une puissance, une autre la rendait impossible, c’est la logique du marché mondial. Les politiques sont aussi à l’image des déchirures occidentales, le socialisme, le communisme, la classe ouvrière. La plus part des pays avaient opté pour le communisme ou le socialisme sans avoir les moyens adéquats.En 1960 la majorité des régimes étaient des régimes civils 50 ans après, on cherche partout les moyens à revenir au régime civil, parce pendant ce temps presque la totalité des régimes sont passé au régime militaire. Les quelques rares civils avait choisi le monopartisme.Et s’ils avaient ouvert la voie au multipartisme que sera l’Afrique d’aujourd’hui? Une démocratie irréprochable ou une Afrique irréprochable en démocratie, c’est toute la difficulté de l’échec Africain. Quand ils ont voulu, les peuples, rectifier le tir les dirigeants dans leur majorité n’étaient pas prêts à cette option. Et au même moment les décideurs mondiaux faisaient pression, une pression que l’Afrique n’a jamais cherché à la négocier mais la combattre alors qu’elle était très fragile et commença à faire ses premiers pas vers l’Avenir. Les dirigeants qu’on pensait faire partir depuis les premières heures de la contestation comme YADEMA, KEREKOU, BONGO… ont tenu tête à la pression. Cette situation contribuera à durcir les régimes envers tous les opposants qui existaient à cette époque et les décideurs mondiaux ont tout simplement choisi leurs camps, c’est la logique de la gouvernance mondiale. L’absence d’organismes indépendants a réconforté les régimes dans leurs positions. Les opposants étaient contraint de choisir l’exil. Les pays qui les avaient accueilli étaient entre le marteau et l’enclume.

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Faut -il perdre son marché économique au profit d’un système politique?Les plus chanceux des vieux régimes ont pu faire un compromis avec les opposants en acceptant le multipartisme sans partis. Sans parti, le parti existe mais ses actions sont limitées au risque de faire partir son leader. Cette cohabitation fut aussi le départ vers la pluralisme dans les années 90, c’est un pas positif pour le continent Africain. Les portes s’ouvrent pour un système politique en ignorant complètement les marchés économiques ce qui d’avantage fragilisé les démocraties naissantes, il a fallu attendre dix ans d’euphorie politique pour qu’enfin l’Afrique pense à une politique économique.

PERSPECTIVESPour les élus, faut il mettre en place une commission d’éligibilité qui statue sur le bilan d’un élu avant d’accepter sa candidature?Un élu ne peut être candidat qu’après vérification de la commission sur l’ensemble de ses réalisations. La démocratie, telle qu’elle est en occident est sans doute la meilleure mais elle demande un certain nombre de conditions qui n’existent dans tous les Etats qui l’aspirent.Pourquoi la candidature d’un élu doit être conditionner après un premier mandat? Est éligible tout élu ayant accompli une certaines actions concrètes dans sa circonscription pour le bien être de sa population. L’Etat doit mettre à la disposition de chaque élu un budget pour réaliser des travaux ou autre dans sa localité. Le commission d’ éligibilité CDE doit être informer de la somme qui a été allouée à chaque élu dans l’exercice de ses fonction. L’élu doit présenter ses besoins au CDE. La question mérite une réflexion approfondie sur le financement des élus ruraux et des urbains, ou il faut les classer en deux catégories suivie par une CDER commission d’éligibilité rural ou CDEU commission d’éligibilités urbaine. La CDE doit être indépendante. Elle doit passer en fonction de la durée des travaux. Chaque qu’une réalisation est terminée, elle doit passer pour la vérification et la notation de l’élu. Toutes les ONG ou OG doivent passer par elle.

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Une telle structure doit-elle avoir ses locaux? La liste des élus doit être publier au journal officiel, comme cela le peuple entier est informé dans son ensemble du travail qui a été accompli par chaque élu. Les élus n’ayant pas respecter leurs engagements doivent-ils rembourser?

LA GESTION DES CRISESLe continent Africain est le plus touché par des crises politiques économiques et sociales mais pendant ce temps il est le moins structuré dans leurs gestions. La difficulté de la gestion des crises réside dans la manière dont les commissions sont formées. Faut-il-mettre en place une commission de crise dans chaque domaine? Elle est la question la plus importante dont la réponse qu’il faut est sans doute la solution aux crises. Les conflits sont toujours les mêmes depuis les années soixante et les solutions sont les mêmes donc il faut changer de stratégie.La gestion d’un conflit doit se faire en fonction de l’intérêt de la majorité des populations et nom en fonction des liens personnels entre les décideurs du continent. Il est inutile de se demander qu’un conflit profite à une nation, la réponse c’est nom. Si cette commission existe aucune partie ne dira être défavorisée par les émissaires en charge d’aboutir à une solution concertée et acceptée par tous.