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LA LETTRE JANVIER 2017 - n°45 de l’Église de Saint-Éenne Rencontres européennes de Taizé à Riga Ils reviennent des rencontres européennes de Taizé à Riga en Lettonie, et ils racontent… La communauté de Taizé organise chaque année pour les jeunes de 18 à 35 ans plusieurs propositions de «pèlerinages de confiance dans le monde », sur chaque continent. Les rencontres européennes en font partie, elles se dé- roulent chaque année dans une grande ville d’Europe du 28 décembre au 1er janvier. Des rencontres très interna- tionales, à l’image de l’esprit de Taizé, qui attirent beau- coup de jeunes de l’Europe de l’Est, des rencontres œcu- méniques qui permettent à des jeunes, protestants, orthodoxes et catholiques, et d’autres pas forcément croyants, de vivre des temps spirituels, culturels et fes- tifs. Pourquoi avoir choisi Riga, capitale de la Lettonie, ÉGLISE CATHOLIQUE LOIRE SUD 1 € Quelques réflexions de jeunes stéphanois : « Très dynamisant, donne beaucoup d’idée. Ce qui me touche beaucoup, c’est la fraternité, des visions diffé- rentes de l’Europe, ça nous ouvre l’esprit. » « Prier tous ensemble pour la paix, au moment de minuit, le 31 décembre, surtout cette année, c’était très fort ». « Un moment idéal pour s’arrêter, avant de commencer une nouvelle année, faire le point, se donner des idées pour l’année suivante, partager des visions différentes, les gens sont très ouverts, on n’a pas peur de parler, on n’a pas peur des codes, une liberté de témoignage, un accueil fraternel. » « C’est reposant, car on peut se ressourcer, réfléchir à sa vie, son orientation professionnelle. Et j’ai aimé les temps de découverte, chacun a une vision différente, par exemple sur comment vivre sa foi tous les jours. J’ai tissé des liens forts avec des ukrainiens, des allemands et des polonais. « Ensemble ouvrir un chemin d’espérance », tel était le thème : ce serait par exemple apprendre à connaître les autres, car on est tout de suite moins agressif. « Ces rencontres de Taizé nous poussent à aller vers les autres et à les découvrir. » après Valence en Espagne en 2016 ? L’objectif était de donner la voix à un pays plus petit, très œcuménique, qui compte beaucoup d’ortho- doxes, de protestants luthé- riens et quelques catho- liques. Riga a reçu environ 30 000 jeunes européens, plus des jeunes invités de Corée du Sud et de Hong Kong, qui ont été hébergés dans des familles. Les jeunes se réu- nissaient le matin en pa- roisse par 500 environ, puis pouvaient participer à des ateliers après la prière de midi : ateliers sur la foi et la spiritualité - par exemple sur la vie de frère Roger, ou sur la culture - en assistant à un concert, ou par des ex- périences de service de ser- vice - comment accueillir un migrant ? L’église orthodoxe de Jelgava Une soixantaine de français logés à Jelgava, ici autour de l’évêque

Lettre n°45 janvier 2017

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LA LETTRE

JANVIER 2017 - n°45

de l’Église de Saint-Étienne

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Ils reviennent des rencontres européennes de Taizé à Riga en Lettonie, et ils racontent…

La communauté de Taizé organise chaque année pour les jeunes de 18 à 35 ans plusieurs propositions de «pèlerinages de confiance dans le monde », sur chaque continent. Les rencontres européennes en font partie, elles se dé-roulent chaque année dans une grande ville d’Europe du 28 décembre au 1er janvier. Des rencontres très interna-tionales, à l’image de l’esprit de Taizé, qui attirent beau-coup de jeunes de l’Europe de l’Est, des rencontres œcu-méniques qui permettent à des jeunes, protestants, orthodoxes et catholiques, et d’autres pas forcément croyants, de vivre des temps spirituels, culturels et fes-tifs.Pourquoi avoir choisi Riga, capitale de la Lettonie,

ÉGLISE CATHOLIQUE LOIRE SUD 1 €

Quelques réflexions de jeunes stéphanois : « Très dynamisant, donne beaucoup d’idée. Ce qui me touche beaucoup, c’est la fraternité, des visions diffé-rentes de l’Europe, ça nous ouvre l’esprit. »« Prier tous ensemble pour la paix, au moment de minuit, le 31 décembre, surtout cette année, c’était très fort ».« Un moment idéal pour s’arrêter, avant de commencer une nouvelle année, faire le point, se donner des idées pour l’année suivante, partager des visions différentes, les gens sont très ouverts, on n’a pas peur de parler, on n’a pas peur des codes, une liberté de témoignage, un accueil fraternel. »« C’est reposant, car on peut se ressourcer, réfléchir à sa vie, son orientation professionnelle. Et j’ai aimé les temps de découverte, chacun a une vision différente, par exemple sur comment vivre sa foi tous les jours. J’ai tissé des liens forts avec des ukrainiens, des allemands et des polonais.« Ensemble ouvrir un chemin d’espérance », tel était le thème : ce serait par exemple apprendre à connaître les autres, car on est tout de suite moins agressif.« Ces rencontres de Taizé nous poussent à aller vers les autres et à les découvrir. »

après Valence en Espagne en 2016 ? L’objectif était de donner la voix à un pays plus petit, très œcuménique, qui compte beaucoup d’ortho-doxes, de protestants luthé-riens et quelques catho-liques.Riga a reçu environ 30 000 jeunes européens, plus des jeunes invités de Corée du Sud et de Hong Kong, qui ont été hébergés dans des familles. Les jeunes se réu-nissaient le matin en pa-roisse par 500 environ, puis pouvaient participer à des ateliers après la prière de midi : ateliers sur la foi et la spiritualité - par exemple sur la vie de frère Roger, ou sur la culture - en assistant à un concert, ou par des ex-périences de service de ser-vice - comment accueillir un migrant ?

L’église orthodoxe de Jelgava

Une soixantaine de français logés à Jelgava, ici autour de l’évêque

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Actu

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Frères maristes : depuis 200 ans sur les pas de Marcellin Champagnat

En 1817, ordonné prêtre depuis six mois, Marcellin Champagnat rencontre un jeune éloigné de la réalité de l’amour de Dieu, qu’il accompagne jusqu’au moment de sa mort. « Des frères, il faut des frères pour s’occuper des jeunes » ! Il décide de se consacrer à l’éducation des jeunes. Il achète ‘un rocher’ à la Valla-en-Gier, et construit une maison, l’Hermitage, lieu de fondation. En 1840, à la mort de Marcellin Champagnat, la com-munauté compte 200 frères. Actuellement, il reste 13 établissements scolaires sous tutelle en France. La com-munauté est présente dans plus de 80 pays (Espagne, Brésil, Afrique, Philippine*). Au début, il y avait besoin d’écoles ; aujourd’hui, il s’agit d’aller aux « périphéries », de rejoindre les plus pauvres, les jeunes en souffrance, non seulement physique, mais aussi spirituelle et psy-chologique. La pédagogie mariste vise à assurer une pré-sence, une autorité, avec le souci d’aider le jeune selon une approche pragmatique, « globale ». « Il faut faire de bons chrétiens et de vertueux citoyens » soulignait Marcel-lin Champagnat, et pas seulement parler à la tête et au corps, mais à toute la personne.*création de 5 nouvelles communautés : Syracuse près de Lampedusa ; à la frontière du Brésil et de l’Argentine ; New York (réfugiés sud-américains) ; Australie, et Liban (réfu-giés syriens).

Tout a commencé au Rosey, à Marlhes, non loin de Saint-Étienne, lieu de naissance de saint Marcellin Champagnat. La communauté mariste a fêté en ce début janvier, les 200 ans de sa fondation, le 2 janvier 2017 à La Valla et le 3 à l’Hermitage de Saint-Chamond. Le frère Jean-Pierre Destombes raconte au micro de RCF Saint-Étienne.

Extrait de l’homélie de Mgr Sylvain Bataille

« Qui est le plus grand dans le royaume des cieux ? »

Un évènement tout simple a été comme révélateur : le tout jeune père Marcellin Champagnat a été touché au cœur en accompagnant à la mort un jeune de 12 ans. Cet évènement le met en route. Ce qui était grand, c’était le désir de son cœur, sa capacité à saisir les besoins de son époque, des jeunes, et son audace pour y répondre : aller acheter une maison et s’instal-ler avec un autre frère. Il est allé au bout de ce qu’il portait dans son cœur, pour tenter de « relever le défi de l’éducation ».

Les évènements ne sont jamais isolés, ce que le Seigneur met dans le cœur de l’un, de l’autre, consti-tuent comme une unité, cette œuvre nous dépasse. Tous le font avec force, avec talent, et beaucoup d’autres suivent ce chemin ; un sillon est ouvert.

Simplicité, force intérieure et audace, tel est le propre d’un charisme : un don du Saint Esprit que le Seigneur met dans le cœur d’hommes et de femmes, don pour le service des autres.

Cette fondation s’est développée, car elle a été structu-rée, par la création d’une institution, pour permettre à beaucoup d’autres de vivre de ce charisme. Mais une institution, pour rester audacieuse, vivifiante, doit garder son esprit initial, fondateur, tout en s’adaptant aux besoins contemporains : c’est une question de fécondité. Et c’est en restant ouvert à l’Esprit Saint, en méditant, pour être éclairé, et en rendant grâce comme Marie dans le Magnificat, que nous pourrons voir quels sont les chemins nouveaux à ouvrir aujourd’hui.

Le service diocésain des pèlerinages a préparé un beau programme pour 2017

En FranceLYON - le jeudi 23 marsALLIER - du 6 au 7 avrilROUEN - du 10 au 15 maiDIJON - du 29 mai au 2 juinPONTMAIN - du 23 au 27 juinCLERMONT FERRAND - le dimanche 25 juinNOTRE DAME DU LAUS - du 26 au 28 septembre

Pèlerinages jeunesLOURDES ENFANTS CM1-CM2 - du 24 au 28 avril 2017PARIS pré-ados 6ème-5ème - du 24 au 28 avril 2017LISIEUX/MONT SAINT-MICHEL 4ème-3ème - du 24 au 28 avril 2017

Pèlerinages à LourdesPour tous du 12 au 17 juin et du 16 au 21 octobrePour personnes valides avec circuit touristique du 7 au 11 septembre 2017

Service des pèlerinages - 1, rue Hector Berlioz CS13061 - 42030 - Saint-Étienne Cedex 2 - Tél. : 04-77-59-30-10 [email protected]

À l’étrangerFATIMA - du 30 avril au 6 maiTERRE SAINTE - du 22 au 31 maiALLEMAGNE (voyage œcuménique) - du 5 au 12 juilletITALIE DU SUD - du 12 au 20 septembreQUÉBEC - du 15 au 25 septembreJORDANIE - du 14 au 21 novembre

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Actu

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À Dieu

Le père Marc était accueilli depuis trois ans à Ma mai-son chez les Petites Sœurs des Pauvres. Le jour de Noël, il a été conduit d’ur-gence à l’hôpital Nord où il mourut deux jours après, le 27 décembre 2016. C’est dire qu’il ne fut pas malade longtemps ! Un mois avant, il était aux funérailles de son frère à Sainte-Foy-lès-Lyon, et quelques jours plus tard, il s’inscrivait pour venir à la retraite des prêtres du diocèse, à Ars. Marc est né à Lyon le 22 novembre 1928 d’une famille chrétienne. Très jeune, il perçut l’appel au sacerdoce. À Lyon, il entra au grand séminaire Saint Irénée et fut ordonné prêtre le 28 juin 1954, par le cardinal Gerlier, à la ca-thédrale Saint Jean. J’étais de la même ordination que lui ; nous nous connais-sions donc depuis nos an-nées de séminaire.

Décès du père Marc Quinet, prêtre du diocèse de Saint-Étienne, survenu le 27 décembre 2016 à l’âge de 88 ans. Ses funérailles ont été célébrées le mercredi 4 janvier 2017 par Mgr Sylvain Bataille à l’église Saint-Pierre-Saint-Paul à La Ri-vière à Saint-Étienne. L’inhumation a eu lieu au cimetière de Sainte-Foy-lès-Lyon.

Sitôt après l’ordination, Marc a pu poursuivre des études à Lyon et obtenir la licence de philosophie. En octobre 1956, il fut nommé professeur au petit séminaire de Claveisolles et cinq ans plus tard, pro-fesseur au petit séminaire Saint Gildas à Charlieu.En 1970, il fut nommé dans la Loire à la paroisse Saint Roch où le père Jean Duril-lon était curé. Marc était prêtre du diocèse de Lyon. Il sera incardiné dans le diocèse de Saint-Étienne, séparé de Lyon en 1970.En 1973 il fut nommé au-mônier diocésain de l’ACGF (Action Catholique Géné-rale Féminine) et en plus, deux ans plus tard, aumô-nier diocésain du Secours Catholique.En 1981, il est déchargé de l’ACGF et réside à la paroisse Saint Louis. Il est alors très en lien avec ce qui se vit dans le Renou-

veau Charismatique pour lequel il sera nommé, en 1989, délégué diocésain.En 1988, il fut déchargé de sa responsabilité au Secours Catholique et nommé curé de plusieurs paroisses.En 1998, il fut nommé au-mônier diocésain du MCR (Mouvement Chrétien des Retraités), il habite à la maison diocésaine et colla-bore au service diocésain « accueil et rencontre » avec Nicole Rapine et le père Jean Durillon, alors exor-ciste diocésain. En 2004 Marc lui succède. Il appor-tait en même temps son concours à différentes pa-roisses, et dès 2011, assura un service de confession à l’église Saint Louis.En ayant énuméré les dif-férentes fonctions assu-mées par le père Marc Quinet dans son ministère de prêtre, nous sentons combien il était attentif

aux besoins des autres. Il est important de souli-gner aussi la qualité de vie spirituelle qui l’animait. Marc était un homme de prière. Il était très sensible au mouvement charisma-tique. Il est bon de rappeler également combien il fut marqué par le père Charles de Foucauld et la vie de ses fraternités. Il a rejoint, dès 1954, c’est-à-dire l’année de son ordination, la « Fra-ternité sacerdotale Jesus Caritas » qui est l’une des nombreuses branches de la famille spirituelle du père de Foucauld. Cette Fra-ternité en était alors à ses débuts. Marc y resta fidèle tout au long de sa vie.

P. Emmanuel de Marsac

À l’écoute des prêtres âgés du diocèseGeneviève Bœuf succède à Paulette Bonnier au service ecclésial et social de l’accompa-gnement des prêtres âgés.Créé en 2000 à la demande du père Joatton, ce ser-vice a débuté sous la hou-lette de Paulette Bonnier, infirmière de formation. Depuis octobre, c’est une autre infirmière, Geneviève Bœuf, qui en assure le fonc-tionnement après douze ans comme responsable du service de la mission universelle de l’Église. Leur métier respectif n’est pas le fruit du hasard, car ce ser-vice de proximité auprès des prêtres âgés du diocèse nécessite écoute, attention, accompagnement adminis-tratif mais aussi suivi médi-cal le cas échéant. « Nous sommes là pour aider les prêtres dans les démarches

administratives liées au vieillissement (allocation, aide-ménagère, entrée en Ehpad ou foyer loge-ment), nous pouvons les conseiller et les orienter » explique Geneviève Bœuf, « mais nous avons aussi un rôle de prévention. Lors des visites à domicile que nous effectuons, dans leur lieu de vie, nous évaluons leur alimentation, la prise de leurs médicaments etc. Nous sommes vigilantes à ce qu’ils ne souffrent pas de solitude ou qu’ils n’aient pas de problèmes de santé. Nous pouvons aussi les vi-siter juste pour le plaisir de discuter un moment avec eux. Nous ne nous substi-

tuons pas à leurs familles, mais certains n’en ont plus ou celle-ci n’est pas toujours disponible. Ces prêtres âgés font partie du presbyterium et perçoivent toujours un traitement du diocèse, qu’ils soient chez eux ou en maison de retraite. Ils doivent savoir que nous sommes là pour les soutenir et les aider. Nous les visitons égale-ment en cas d’hospitalisa-tion ou lorsqu’ils sont en maison de retraite. Je suis entourée d’une équipe composée de Jeannette Taillandier (en charge du Montbrisonnais), du père Emmanuel de Marsac (hô-pital de Bellevue), du père

Jo Épalle (hôpital Nord), et du docteur Thérat. Paulette Bonnier est à mes côtés pour m’épauler dans cette nouvelle mission et conti-nue à visiter les prêtres qu’elle suit depuis long-temps, notamment à la ré-sidence de la Rivière.Le père Sylvain Bataille souhaiterait développer ce service au niveau des paroisses, afin que les personnes qui visitent les prêtres âgés à titre indivi-duel, puissent se mettre en lien avec notre service ».

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La Lettre de l’Église de Saint-Étienne, revue mensuelle des catholiques du diocèse de Saint-Étienne N°CPPAP : 1013L83671 - dépôt légal : janvier 2013 - Direction de publication : François Reynard - Rédaction et mise en page : service diocésain de communication - Pour tout contact : F.Défrade : [email protected] - Secrétariat promotion abonnement : Christine Ferreira, 1 rue Hector Berlioz - CS 13061 - 42030 Saint-Étienne Cedex 2 - 04 77 59 30 24 - [email protected] - Impression : Corep - Site web : www.diocese-saintetienne.fr Facebook : « Diocèse de Saint-Étienne ».

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Officiel janvier 2017 AU SERVICE DU DIOCÈSE

Le p. yves raymond est nommé vicaire général par intérim pendant la maladie du p. françois reynard. conseil presbyteral (élu le 2 novembre 2016 et pour une durée de 4 ans)président : Sylvain Bataille (Évêque)membre de droit : françois reynard (Vicaire général)membres du bureau : gilbert thollet (Secrétaire), patrick frenay, emmanuel rochigneuxmembres du conseil : yves raymond, joseph epalle, philippe chomat, eric molina, bruno cornier, louis tronchon, emmanuel rubasha, michel barthe-dejean, christian defrance.

college des consulteurs (à compter du 1er janvier 2017 et pour une durée de 5 ans)bruno cornier, jo epalle, patrick frenay, eric molina, françois reynard, emmanuel rochigneux, gilbert thollet.

AU SERVICE DES PAROISSESParoisse Sainte Thérèse des Montagnes du soirSœur JEANNE RASOAMIROVANA, animatrice laïque en pastorale, reçoit la charge du pôle santé-social-handicap et exercera plus particulièrement sa mission à l’aumônerie de la Maison de retraite de Saint-Jean-Soleymieux.Paroisse Sainte Claire en Forez CHANTAL THERRAT, animatrice laïque en pastorale, reçoit la charge de l’aumônerie de l’hôpital de Montbri-son au sein du pôle santé-social-handicap .Paroisse Bienheureux Antoine ChevrierODILE BAJARD, animatrice laïque en pastorale, reçoit la charge de secrétaire pastorale. MARTINE DOLA, animatrice laïque en pastorale, reçoit la charge du pôle formation. OLIVIER-MARIE RENOUX, animateur laïc en pastorale, reçoit la charge du pôle accueil-communication.Paroisse Notre Dame de la JoieLINA FARRE, animatrice laïque en pastorale, reçoit la charge de secrétaire pastorale. Paroisse Saint BenoîtMEDHI MEDJANI reçoit la charge d’adjoint en pastorale scolaire pour le groupe scolaire Saint Michel.NECROLOGIE : Le Père JEAN-BAPTISTE BERAUD, prêtre originaire de Lorette (Salésien) est décédé dans sa 95ème année à Yaoundé le 14 décembre 2016. Ses funérailles ont eu lieu sur place où il a été inhumé. Il a passé une partie de sa vie en Amérique latine et une autre au Cameroun. Une messe a été célébrée à son intention le dimanche 15 janvier 2017 au relais JEAN XXIII à Lorette.

Dans chaque diocèse sera constitué le conseil presbytéral, c’est-à-dire la réunion des prêtres représentant le pres-byterium qui soit comme le sénat de l’Évêque, et à qui il revient de l’aider selon le droit dans le gouvernement du diocèse, dans le but de promouvoir le plus efficacement possible le bien pastoral de la portion du peuple de Dieu confiée à l’évêque. (Canon 495 § 1)

Le rôle du collège des consulteurs concerne essentiellement deux domaines :- La vacance du siège (démission, décès ou empêchement de l’évêque) : le collège élit et propose au Pape un admi-nistrateur diocésain dans l’attente d’un nouvel évêque.- Dans le domaine économique, l’évêque doit consulter le collège avant la nomination de l’économe diocésain et lorsqu’une paroisse, une école ou le diocèse décide de vendre un bien immobilier d’une certaine importance.L’évêque choisit les membres du collège des consulteurs parmi les membres du conseil presbytéral (canon 502).