Annemieke (debout) et Genevieve, ex-chasseuses de tetes. • o. SPEUDORM

24 I SUDPRESSE

I LUND! 22 AVRIL 2013

CHEZ BERKELEY INTERNATIONAL, AIMER N'EMPECHE PAS OE COMPTER

De 6.000 a 25.000 C pour des amours VIP Une agence de rencontres très haut de gamme

Trouver son (bas) cher et \Tr/ tendre, wire son ame smur, c'est possible, grace a Berkeley International. Pas une agence de rencontms comme les autres.

A Bruxelles, deux tres bonnes co-pines ont eu un coup de cceur pour un reseau d'agences de ren-contres tres difffirent de ce que proposait jusqu'ici le marche des cceurs en detresse. Et pour cause, Berkeley International donne dans les amours VIP et se propose de trouver leur Ame sceur A des cadres superieurs et autres soli-taires plutot aises avec, A la cle, un reseau qui englobe le monde entier. Bien stir, les cotisations sont a l'avenant : 6.000 euros pour des rencontres exclusive-merit e made in Belgium e, 15.000 pour etendre la recherche A l'Eu-rope et 25.000 pour les quatre coins de la planete. Eargent, crib-Are de saection A l'origine de l'ouverture de Bel' lceley International Belgium, on trouve Annemieke Dubois et Ge-nevieve Heintz. Toutes deux ex-chasseuses de tete, elles ont vite fait de comprendre que la reus-site professionnelle ne vaut pas grand-chose si on n'est pas heu-reux en amour. C'est là qu'elles entendent parler d'un reseau d'agences de rencontres ultra-se-lect, fon& en 2002 par une Irlan-daise, Mairead Molloy C'est le

coup de cceur. Eavenement de Berkeley International dans notre beau pays passera par elles. Que proposent-elles exactement? Un reseau dont l'ampleur se choi-sit A la carte, Belgique. Europe ou monde et un minimum de six rencontres triees sur le volet par an. On peut s'etonner du cofit prohibitif de ce membership mais, les deux jeunes femmes le reconnaissent bien volontiers, le prix est un premier critere de se-lection. Non que le compte en banque ait beaucoup a voir dans le fait de tomber amoureux mais parce qu'elles veulent pouvoir as-surer A leurs clients gulls rencon-treront des partenaires qui par-tagent un meme niveau d'ai-sance, sans gulls puissent se re-trouver pieges par une quelconque croqueuse de dia-mants ou autres beaux gosses aux intentions peu sinceres. Pour integrer le bataillon de celi-bataires de Berkeley Internatio-nal, pas question de brOler les etapes. la volonte ferme de la can-didate ou du candidat potentiels, de s'investir dans un vrai projet d'avenir, est déteiminante. A la de:, deux heures d'entretien au cours desquelles, fortes de leur experience. Genevieve et Anne-mieke ont le chic pour aller au-dela' des mots, comprendre qui est vraiment leur interlocuteur ou leur interlocutrice, quand eux-memes ne le savent pas tou-

jours. Les rencontres qui sont or-ganisees ensuite ne le sont pas toujours sur fond d'affinites se-lectives. Parfois, qui se ressemble s'assemble mais aussi, il est vrai que les contraires s'attirent Dans un cas comme clans l'autre, les deux Cupidon en jupon n'ont pas peur d'oser la rencontre qui passe ou qui casse. Au monsieur, d'abord, elles tracent un portrait moral et physique de la dame. S'il est seduit, elles en parlent ensuite

sa future moitie. Enfm, quand

I ELLES CAVOUENT VOLONTIERS : LE

PRIX EST UN PREMIER CRITERE DE SELECTION Pun et l'autre sont convaincus du bien-fonde de leur rencontre, cha-cun remit un bref CV de l'objet de son rendez-vous. C'est toutefois au monsieur que revient l'initiative de donner le premier coup de telephone. Apres la rencontre, debriefing. Si l'amour n'est pas au rendez-vous, II arrive tres souvent que des ami-ties se nouent puisque, de toute

evidence, affinites II y a. Mais la finalite de Berkeley International est bien de former des couples.

WYE AT RRST AGHT ? Les adherents A Berkeley Interna-tional n'ont que leur aisance fi-nanciere en commun. Sinon, ils sont issus d'origines diverses et de milieux professionnels non mores varies. On compte plus ou mores 60 % de femmes contre 40 % de messieurs. A l'internatio-nale, la tianche d'age va de 18 A 82 ans. On pensera que, 18 ans, c'est bien tot. Reste que Genevieve et Annemieke racontent qu'en Angleterre, des parents fortunes n'hesitent a &ire appel a l'agence pour trouver a leur progeniture le ou la fiance(e) bien sous tous rapports. Sinon, les aspirants A la vie de couple peuvent avoir ere dela maries ou etre parents d'un ou plusieurs enfants. Mais II faut imperativement gulls soient céli-bataires, dans tous les sem du terme, au moment de leur ins-cription. Eavantage &ant qu'en rejoignant ce club des plus saects, ils ne font pas qu'eaigir geographiquement leur zone de recherche. Leurs coaches n'ont de cesse de les invi-ter A sortir de leur zone de confort. •

FRANCESCA CASEM

NOIER Berkeley International Belgium, o2/642.oan

198/1510

La Capitale 22/04/2013 Periodicity : Daily Printrun : 148,780 BERKELEY BELGIUM

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