AFRICITES chapitre 3.pdf

7/29/2019 AFRICITES chapitre 3.pdf

1/17

Les avances de

La dcentraLisationen arique :Les probLmatiques

de La dmocratie LocaLesur Le continent

68 La dynae des collecvs locales sr le connen

75 Lenje srage d nanceen local

86 Sccs de la dcenralsaon, reor deprences

advances in decentraLization in arica:issues o LocaL democracy

68 -th ll h h 75 - th ll

86 - dl: k l

Vue arienne dAbidjan, en Cte dIvoire.


2/17

LES AVANCES DE LA DCENTRALISATION EN AFRIQUE ADVANCES IN DECENTRALIzATION IN AFRICA

aricits v - marraKecH, marocLarique LocaL e ait bouger Larique LocaL arica move arica

68


69aricits v - marraKecH, maroc

Larique LocaLe ait bouger Larique LocaL arica move arica

The dynamics o local authori-ties on the continent - o h lh h a- s h hw hl l

; h ll l llh.th l ll h w l ll h h wl, a x. Ll h h ll l k ll h l h k h w lll. th h h h a 5 h ll h h l, h h ll l hl -. n l h h h h l x h ll, h h h l h .thk h wll- wk

n des sccs desSoes Arcs esdavor donr e ladcenralsaon napas ne sple rore

adnsrave, as en ne darchede changeen neen pole.

Dsoras, le prncpe de lreadnsraon des collecvs localesspose os les pays d onde, elAre nchappe pas la rgle. Cescollecvs locales on ne personnaljrde e recherchen ne aonoenancre relle ler pereedenclencher ler propre dynae dedveloppeen local. Le he chos parles organsaers dArcs V aese e,

La dynamiquedes collectivits localessur le continent

e ace la crse nancre ondalee ses rpercssons doageales,ces collecvs locales assen lersresponsals. Non seleen elles lesassen, as elles revenden lercapac les eercer pleneen, sosrserve de dsposer des oyens nancersncessares.

Grce n raval a rgen de seen rsea e de olsaon ss desSoes Arcs, les acers plcsson nanes reconnare lnr deparager les eprences des pays sr leleadershp, la governance dcenralsee parcpave des governeensloca, e le rle des governeensloca en are de dveloppeen

LTaraya Ole KoresPrsident du Comit politique dAfricits V,

prsident de lAssociation des autorits locales du Kenya.

ch h pll c a 5 p h a Ll g ah K.

Ma rrake ch, en 20 09, l e mi nist re delIntrieur du Maroc et Cits et gouverne-

ments locaux unis dArique (CGLUA) sesont associs pour organiser Aricits V.Cre en 2005, lorganisation panaricaine

CGLUA est une manation de lorganisa-tion mondiale des villes (CGLU), dont la

vocation est dagir dans les domaines de

la dmocratie locale, de la dcentralisa-

tion et de la coopration dcentraliseen vue de contribuer au dveloppementlocal et damliorer les services urbains :

accs leau, lhabitat, aux transports, lnergie, etc.

i 2009 mkh, m i m wh u c Ll g

a (ucLga) a 5. c 2005, h p-a ucLga

ucLg, h l , wh h ll

, l l wh w ll l-

h w, h, , .

Assurerlducationprimaire

pour tous. l

l,

l l

Assurerun environnement

humaindurable.

l

l,

l l


3/17



70




Le Sommet Aricits IV qui sest tenu Nairobi

en 2006 avait mis au cur de ses discussionsle thme : construire des coalitions locales

pour la ralisation eective des objectis du

Millnaire pour le Dveloppement au sein descollectivits locales aricaines . Marrakech,

lors dAricits V, il a t rairm que lesactions des collectivits locales aricaines

reprsentent un levier efcace pour la rali-sation de ces huit Objectis du millnaire pour

le dveloppement fxs en 2000 par lOrgani-

sation des Nations unies, mme sil semblemalheureusement peu probable que les pays

dArique puissent les atteindre tous, dici 2015,

date dchance de cet engagement.

- Rduire la pauvret et la amine dans les paysen dveloppement.

- Assurer lducation primaire pour tous.- Promouvoir lgalit entre les sexes.

- Rduire la mortalit inantile.- Amliorer la sant maternelle.

- Combattre les grandes pandmies et, notam-

ment, le sida.- Assurer un environnement humain durable.

- Construire un partenariat mondial pour ledveloppement.

Achieving the eight Millennium Development Goals (MDGs) in Arican local authorities

a h a 4 s hl n 2006, h h : bl ll l

l h h mll dl gl a ll h. d h a

5 s mkh w h h a ll h

l h h h mdg h u n 2000, , l, lklh a wll l h h ll h 2015 l.

e x h.

ah l .

p l w w.

r hl l.

i l hlh.

c Hiv/aids, l h .

e l l.

dl ll h l.

La ralisation des huit Objectis du mil lnairepour le dveloppement (OMD)au sein des collectivits locales aricaines

conoe local e de rdcon de lapavre, conoren a Ojecsd llnare por le dveloppeen e ce d Novea parenara por ledveloppeen de lAre (NEPAD)* .

Les parcpans a Soes Arcsnssen sr le a on ne pe pasdvelopper n errore s les acersloca e les poplaons concernesnon pas ler o dre ; sls non pasde reprsenans capales de parler edagr en ler no, dans le cadre dnsyse docrae reprsena eparcpa enne cope de oesles coches de la soc, y coprs lespls vlnrales e les ons nanes.

La poplaon do sapproprerson desn a nvea local, e la

wk l h a, l l- w l kwlh l h x- lh, l ll, ll l ll l

do accopagner cee darche enapporan oes les ades ncessarespor elle se drole dans leselleres condons. Le prnepsarae de 2011, avec ses revendcaonsde jsce socale, de reprsenaoncoyenne e daccs a servces dease, a paraeen a cho apropos ens a cors de la croneocelle doverre dArcs V parJerry Rawlngs, lancen prsden de laRple d Ghana : L e recovreende la dgn es la sele voe ddveloppeen .

* (CONFERENCE DE YAOUND. Communiqu fnalsur le renorcement des capacits de leadership pourla gouvernance dcentralise et la rduction de la

pauvret en Arique. 30 mai 2008).

Promouvoirlgalit

entre les sexes. l

l,

l l

Amliorerla sant

maternelle. l

l,

l l

h , wh h m l ldl gl h l h nw ph adl (nepad).p h a s h l h ll l l h h ; h h l k- h hl h wk h k ll ll l h h ll l f.th l w h ll ll h s h h wh h . th as 2011, wh l , hl h k

h l a 5 J rwl, p h rl gh:r h l h l.

(yaound conerence. l h lh l h a, 30 m 2008)


4/17

Hpital obsttriquede Yaound,Cameroun.

l

l, l l

Rduire la mortalit inantile ,lun des huit Objectis du millnaire

pour le dveloppement.Ustin hendipi sciduis er incipisl do con vulla eu euip eaacip essectet modion ullum


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Le nouveautramway Rabat.

l l,

l l

The strategic issue o local fnancing

Conquering fnancial autonomy. i , h 2008 ucLg h wh h ll l- h ll l . i w k wh x l h ll ll h - h l wk l-. th w h h a 5 .Ll h h h

: l hl l x, l , w. a h hh . b lh l l a ll wk .s l h w h, h ll hw, ll l h -, hh h h

A CONqutE DELAutONOmiEiNANCiRE qadven-l delaonoe locale s

laonoe nancre es nesaneo aondre ? Dans elle esre ladcenralsaon e la ssdar y

es aache donnen-elles eecveena governeens loca e lersconas la possl dalorerlaccs a servces, e dvrer por ledveloppeen ? Cee nerrogaon, gra dans lnrodcon drappor 2008 de CGLu, a a cr desdas de ond dArcs V

Les collecvs locales on rosprncpa oyens de nanceen : laolsaon de ressorces propres ravers la leve dps e de aes ; lesransers de la ; e le recors aeprns. Sy ajoen les ressorcesereres oenes par des accords decoopraon. Or, orce es de consaer ele chaner de la dcenralsaon scale

en Are es encore en plens rava.La dcenralsaon a prncpaleen

nves, js prsen, de chapsdacon : le pole areen dles lecons locales e ladnsra, ravers la reconnassance de lapersonnal jrde des collecvslocales se son v doer dneadnsraon propre. Sr ces depons, de grands progrs on ralss, as le vole de laonoe

Lenjeu stratgiquedu fnancement local

nancre, an l , nes encoreenrover.

Les collecvs locales ne een envre, selon les pays, e 5 10 % desdpenses ples dnvessseen,alors e la dcenralsaon escense, jseen, nsaller necerane ssdar enre la e

les collecvs locales mas s lacenral conne grer prs de 90 % desdpenses ples dnvessseen,pe-on vraen parler de ssdar? se son nerrogs les parcpans dSoe de marrakech.

une eson jse, don leseres de la cosson des nanceslocales de CGLu cosson prsdepar le are de Raa, ahallahOalalo devaen galeen dare,eles os pls ard, en a 2010, lorsde la rnon ls on ene Raa.En analysan les dges 2006 dnchanllon de 26 pays arcans, ls onconsa e les dpenses de la odes collecvs locales ne dpassaen

pas 5 % des dpenses plesdnvessseen. Le rao le pls leva ach par lOganda (23 %), svpar lAre d Sd e la tanzane (plsde 19 %). Le maroc arrva en e despays d maghre, avec 7,8 %. En ce concerne les ressorces des collecvslocales, le rappor de la cossonrelve encore e celles-c provennen,por pls de la o, des ransers dgoverneen.

L

Ousmane SyCoordinateur de lAlliance pour refonder la gouvernance

en Afrique (ARGA), ancien ministre de lAdministration territoriale

et des Collectivits locales du Mali

c h all rl g a (arga) m tl a Ll ah ml.

Les Aricits sont le symbole delmergence et de la reconnaissance

au niveau continental des collectivitslocales et, surtout, de la place des

pouvoi rs loca ux dans la gest ion desaaires publiques qui tait le monopole

des tats centraux [] Je suis de ceux qui

croient que le prochain cinquantenaire(2010-2060) en Arique sera celui des

collectivits locales, qui permettrontaux tats et au continent en gnral de

sortir des impasses (institutionnelles,pol it iqu es , co nom iqu es et mm e

socioculturelles) dans lesquelles nous

restons enerms, malgr tous les eortspasss.

La dcentralisation est une rormeminemment politique, parce quelle

a pour ambition de changer la gestionpubl ique en ancr ant les ta ts pos t

indpendance et leurs institutions dans

les socits et les communauts locales, travers la revalorisation du patrimoine

institutionnel du continent. []Cette dcentralisation permet aussi

dancrer plus largement la dmocratie

dans nos pays. Les dizaines de milliersdlus locaux donnent un visage une

dmocratie plus proche, qui parle leslangues des populations et qui est

plus inclusi ve, donc plus stable quunedmocratie se limitant quelques

dizaines de ministres et de dputs.Le ait que les pouvoirs et les autresacteurs locaux aricains puissent parler

entre eux pendant les Sommets Aricitsest une nouvelle chance pour relancer

les initiatives dintgration aricaine travers les collectivits locales, plus

proches des populations et donc moins

bureaucratiques.

th a s l h -w ll h , ll, h l ll h

l , whh h l l [] i h wh l h h x (20102060) a wll h

ll h, whh wll l s h whl k h l, ll, -ll

whh w lk ll .

dl l ll h l h - s h ll

hl h l h. []

dl l h l . th ll l l l h l h k

h l l h l h l w pl .

th h h h ll a l lk h h h a s w h a hh

ll h, whh l h l h l .

Combattreles grandespandmies.

l

l,

l l


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76 77aricits v - marraKecH, maroc


AFRICITS V : LE SOMMET DE LA MATURI AFRICITS V: LE SOMMET DE LA MATURIT

Johannesburgen Arique

du Sud. l

l,

l l

LES ExEmPLES RuSSiSDE mObiLiSAtiONDES RESSOuRCES PubLiquESPlsers pays apparassen coedes ponners dans la recherche delaonoe nancre locale : le Cap-Ver,le maroc, le Ghana o encore lAre dSd son parvens nsarer n dalogerce enre le nsre des nancese le trsor plc local, por gnrer desressorces scales ayan n ee oer

sr le dveloppeen des collecvslocales. Des eeples svre.

Sarah mara Dare Lopes, nsrede la Dcenralsaon d Cap-Ver, enogna lors dArcs V : 10 %des revens naona son ransrsdreceen a ncpals. beacopde aes son dj dcenralsese ecaceen colleces parladnsraon scale ncpale.Lojec, ces e la geson de ces

ll ll h, whh

h h w . o h w h , h h l h l j .ol 5 10% - x, h , h h llh, wh l, l, w hs ll h. b l

Petit prcisdautonomie locale Par autonomie locale, on entend ledroit et la capacit eective pour les

collectivits locales de rgler et de grer,dans le cadre de la loi, sous leur propre

responsabilit et au proit de leurs

populations, une part importante des

aaires publiques. (Charte europennede lautonomie locale. Partie I, art.3)

A short summary o local sel-govern-

ment Ll l- h

h h l ll h, wh

h l h lw, l

l h l h

w l h h

ll l. (e ch Ll

sl-g, p i, . 3)

l 90% x, k h h mkh s, w llk ?i w , h h h ucLg ll h h r, hllh oll l h l, m 2010, h r. alh 2006 l 26

a , h h hx hl h ll h- x 5% x. th hh w u (23%),llw sh a t( 19%). m h h l nh a wh 7.8%.th l h h h hl h ll h .

Marshal l ing publ ic resources:some successul examples. sl h ll l -: c v, m, gh

sh a h lh l lw h m ll l x h ll hl. th xl hhl llw.sh m d L, cv m dl, h a 5:10% l - l h l.m x l l- l ll hl x h. th l h h hl h h lll. c v , hl

Dan PlatoMaire du Cap, Afrique du Sud

Mai 2009 / Juin 2011

m c tw, sh a m 2009 J 2011

La ville-rgion du Cap est, en Arique duSud, le deuxime plus grand domaine,

aprs Johannesburg, avec plus de 4,5millions dhabitants. Malgr une situa-

tion conomique relativement stable, lechmage reste une proccupation orte,

qui pse sur nos ressources. La ville

du Cap gnre et alloue dimportantesressources fnancires leort de dve-

loppement, mais elle ne possde pas desmoyens la hauteur des dfs quelle doit

relever, en dpit des allocations consid-rables, verses en direct par les gouver-

nements provinciaux et nationaux. Jouirdune indpendance fnancire serait une

situation idale pour toute autorit muni-

cipale. Mais lobjecti est extrmementdifcile atteindre.

th c tw - h -l , Jh, sh a wh 4.5

ll . alhh h h x l l wh, j hll

l, ll . th l x . alhh

ll l l , h c c

tw l ll l l h l

ll hll. th l l l

h xl hll .

Le Cap-Vert,un exemple

de mobilisation desressources publiques.

l l,

l l


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, kw h hhl h .m h l. Hj l- h h21 , h k h h wh ll- 30% h vat ll h, whh hl ll . th h hl h llw h l l .i gh, h s h dal l h l 5% ,

35 ll ll. th 60% gh- ll h l .sh a h - h h l h l - ll ll. H, l- w w h c 1996, k l h . th l h x:a b L all. sh a

xl h -l l x ll- h h wl, l ll ll . a l, i dl pl-, idp, w l h.

ressorces so ass ransparene elleles a nvea cenral. il a galeenajoer e les vlles d Cap-Ver sonrpes por la al de ler geson,e elles dsposen dn encadreen ders on nvea.

Le maroc a galeen gre deodle. bncan dn dveloppeenconoe consan deps le dd xxie scle, le royae a chos deparager les rs de sa crossance en

alloan 30 % d prod de la tVA acollecvs locales, ce correspond la o des ressorces locales. Lesprsdens des cones on ans ndge poran ler pere deere en vre des plans de gesonsrages por n eller accs aservces de ase.

A Ghana, la verse chae annea asseles de dsrcs (DsrcAsseles) ne doaon gloale va 5 % de ses recees,so envron 35 llons de dollars.

Ces ransers reprsenen 60 % desressorces oales des collecvs localesghanennes.

LAre d Sd propose, an elle, ne approche de la governanceonde sr lassocaon de lenselede la poplaon la geson ple, os les nvea. ic, la dcenralsaona nscre dans la Conson,ds 1996, coe n len cl de laransoraon d pays. Cee pole

se rse par la orle : une ellere ve por os ! LAre d Sd pe, noaen, redonne en eeple en ce concernela dcenralsaon d recovreendes aes oncres ranes elorgansaon de lnerace e de lacoordnaon enre les nvea naonal,provncal e local de governance.un ol spce de plancaon ede prograaon dgare a dvelopp ce ee, liDP inegraedDevelopen Plannng.

Marie-Grgoire Tambila SwambeMaire de Lubumbashi, Rpublique dmocratique du Congo

m Lh, d rl h c

Nous assistons souvent des discours

po l it iq ue s qu i so nt de na tu re prom ouvoi r aupr s des cit oyen s u ne

inculture de la iscalit ; des discours

poli tiq ues et cour tis ans qui , p ar ois ,conduisent les gens ne pas acquitter

leurs taxes. [] Pour ma part, je

c o n t in u e ra i m i l i te r p o u r q u o nrenorce les capacits des collectivits

locales duquer la population et la

sensibiliser limportance du paiementdes taxes.

W h h ll h h x ; ll,

l-k h h l l h x. [] i wll

h h ll h h l w h

x.

Abdellati ZaghnounDirecteur gnral des Impts du Royaume du Maroc FONDAFIP

d gl tx h K m ondaip

Lamlioration du processus dcisionnelen matire iscale sinsre dans une

dynamique de changement globalgrce aux projets en cours : dabord, la

rgionalisation avance. Elle ait partieintgrante de la dmocratisation du pays.

Elle consacre la recherche de lquilibre

et de lharmonie des comptences et desmoyens entre les direntes institutions

locales et nationales. Ensuite, la rormede la loi organique relative aux lois de

inances. Elle rpond la ncessit

damliorer la perormance de la gestion publique. Elle vise renorcer la

transparence et lefcacit des dpensespub li que s pou r don ner une ple in e

lgitimit aux prlvements fscaux. Elleprvoit de situer les choi x budgta ires

et iscaux dans une perspective

pluriannuelle afn damliorer le pilotagedes fnances publiques.

Extrait de son discours La cohrence de la prisede dcision fscale au Maroc prononc Rabat,

le 9 et 10 septembre 2011.

th h -k x-l ll h

l - j. , l: l h

h . i h l h w

h ll l . nx, h h lh

lw. th h h l -

. i h l x l ll

l. i k l- x h l

. pl : c x -k m: x h h r, 9

10 s 2011.

Casablancaau Maroc.

l

l,

l l

Rabatau Maroc.

l

l,

l l


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Yaa, dans ne de sr L a governancenancre locale ralse por le coped Parenara por le dveloppeenncpal (PDm). E dajoer : Denore secers de lconoe son pevore pas d o as, e le paroneoncer ne conre an l en acneaon lacv conoe locale.

Or, cec nes pas ne aal. Ans,leprence conde a bn n raversle Regsre oncer ran (Ru) a donndecellens rslas. Le prncpe :

renorcer les ressorces scales locales ensappyan sr ne geson rgorese doncer, grce n syse dnoraonnrs. un nvenare oncersysae e approond a persde reprer e de dler prcsenlensele des parcelles, de derner lanare d dro ler es applcale eddener les proprares des parcellesnes. un prce nsren a servcedne vrale pole oncre.

How can land generate local resources?th x l h wlw - l lhl k wh ll. Wh hl, h hll hl ll x, whh ll lw . o l- l x ll.th ll h l , h hlh ll . [] th l h , h wll h, pl y ll l

h ml dl p-h, , m h x ll ll, l w ll .y h l.th x bhh h u L r l- xll l. th l w ll x l l l . u hh, , h wl l lll h l, h h lw h l h,

h w h l. a ll l h - l l l.th x l k hll h l -l. i, k , xh ll l x h lll h jl k hl l h h h whl, llh hl

wh h wlh fl h .

Financing investments. a h Wl bk, wh ll, a hl h 5.5% h gdp, 140 ll ll . tw h h , 90ll ll, hl

une are, ass, d corage polede ces ls. En ee, en recherchan nrecovreen jse e ehas des aesoncres, e en van les ees dnespclaon locale enrch de aonnde eles personnes a drende lensele de la cona, lescollecvs locales se roven sovenconrones a cagores les pls asese nfenes de ler poplaon.

COmmENt LE ONCiER PEut-iL DEVENiR GNRAtEuR DERESSOuRCES LOCALES ?La asse annonce des dros gnrs parles aes sr les changes coerca,dans le cadre de la lralsaonondale d coerce e des polesdngraon rgonale, devra ncer lesdrens nsres des nances arecase cone avec les gesonnaresloca. Dans n conee de raracondes ressorces, lenje sera dalorer

noaen le rendeen des psloca don les onans son,ajordh, encore rs ales dans laplpar des pays. Lne des solonsvoes : n eller recovreen desaes oncres.

Pls les collecvs locales prlvene dpensen, e les conoeslocales se poren. [] mons elles leon, e pls o le onde n parsappavrr consae ranos Pal

Dakarau Sngal.

l l,

l l

Punta Europaen Guine

quatoriale.

l

l, l l


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LE iNANCEmENt DESiNVEStiSSEmENtSSelon la bane ondale, por soenrla crossance conoe son nveaacel, les nvessseens en Aredevraen re de lordre de 5,5 % d Pibde la rgon, so envron 140 llardsde dollars par an. Les de ers de ceonan devraen re nvess par lescollecvs locales, so 90 llardsde dollars pas an. Ces ch res son

rapprocher de lenveloppe gloale delade ple a dveloppeen, esde 100 llards de dollars par an, e aonan oal nves annelleen par

la bane ondale dans le secer desnrasrcres, so 8 llards de dollarspar an.

Selon les Naons nes, s lon volaalorer, lhorzon 2020, les condonsde ve d ar des haans vvan dans

ll h h . i wh h h ll l l ,whh 100 ll ll , h l ll h Wl bk h , 8 ll ll .a h u n, h l h h hhw 2020 wl 16 ll ll . b h h l - h 250 ll h - -

Le projet de Fondsmondial pourle dveloppementdes villes

Mis en place par Metropolis, Associa-

tion mondiale des grandes mtropoles,

ce onds a pour vocation dtre un

instrument dassistance technique etdingnierie fnancire. Il est au servicede toutes les catgories de collectivits

au sein desquelles il entend promouvoirune solidarit active pour laccs aux

fnancements. En Arique, les membres

de Mtropolis sont les mtropoles deMarrakech, Rabat, Casablanca, Alger,

Tunis, Alexandrie, Le Caire, Addis-Abeba, Nairobi, Dar es Salam, Harare,

Johannesburg, Brazzavil le, Kinsha sa,Douala, Yaound, Niamey, Accra, Dakar,

Bamako et Nouakchott.

The Global Fund or Cities Development

project th ll w

ml, h wl h j

l, hl - l . i h

ll h, whh

l -

. i a h llw

ml: mkh, r, cl, al,

t, alx, c, a-a, n,

d sl, H, Jh, bll,

Kh, dl, y, n, a, dk,

bk nkh.

The Malian Solidarity Bank th ml sl bk, lh h

h l h cl bk W a s, l wh h ll h

h l lh h W a e m u (uemoa) . c

2002, h , k -

l-l. a h h l h ll ,

wh h l . th ml sl bk l

lk. i 9.8 ll ca wh 2008.

La Banque malienne de solidarit

Cette banque agre, selon les termes de

la rglementation de la Banque centraledes tats de lArique de lOuest, rpond

aux mmes exigences que tous les autres

tablissements commerciaux de la zoneUEMOA. Cre en 2002, elle a pour voca-

tion le fnancement, lappui et laccompa-gnement des actions de promotion de la

micro-entreprise et de lauto-emploi. Sa

mission supplmentaire : le soutien auxcouches les plus vulnrables de la popula-

tion, lesquelles ont difcilement accs au

crdit ! La Banque malienne de solidaritopre tant en milieu urbain que rural. Les

crdits quelle a accords en 2008 se sontlevs 9,8 milliards CFA.

ll h hw h - h l, wlk 167 ll ll.a J-p elm, s gl ucLga,tw a -w - wh , whh h lk ,

j h s wh hw .Hw ll l ll h- a. i w h h w h. thl ll h l , l l h - ll h, .

les donvlles, l adra nvesr ceee 16 llards de dollars par an. mas slojec a, en pls aeseen,drader dans ce e laps de epsla oal des donvlles d connen 250 llons dhaans concerns ! ceson cee os 167 llards de dollarsl adra consacrer an nelleen ce eor.

Selon Jean-Perre Elong mass,

secrare gnral de CGLuA : Dean,l adra e les grandes vlles arcanessoen davanage peres coe desenreprses on n ac, avec descapacs dendeeen, e pevenre des ngocarces sr le arch

nancer por oenr des oyensde nanceen. Avec la garane desas, as ass celle de lers propresressorces.

La eson d nanceen desnvessseens rese donc crepor les collecvs locales dAre.Elle a loje dne aenon accre,e se rerove a cr de noresesapproches novelles e proeeses.

Par ces dernres, la se en placedn onds ondal por le dveloppeendes vlles, la reval saon des nsonsde nanceen spcals des collecvslocales, o encore le recorsa prvae ey .

Nairobiau Kenya.

l l,

l l

Bidonvillesde Nairobiau Kenya.

l

l,

l l


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Carole RamellaFondatrice et directrice gnrale de GFA Consulting Ltd (GFA Consulting Ltd est un cabinet indpendantde conseil en fnancement dentreprises bas au Ghana, prsent en France et ddi aux entreprises aricaines).

m d ga cl L(ga cl L l gh , a . ).

You prepared and led the special session devoted to pri vate equity at the Aric ities 5 Summit. In what way is this mechanism a wor thwhile

method or fnancing local development in Arica?

n l h h wh h k l a h ll . sme

l wh h l l, w h h l . y a h h l l

h l k k l ll h. s l h l l wh ,

ch bl.

p h h hl ll h l. th l

lk w wh, l a. th l h h h hl

2010 1.5 ll ll, h 933 ll ll ll h whl 2009. th l w

-sh a h h k h ch, i r.

a sme, h h wh lw , , lk k, h . ah

h h wh l h l h hh .

What are the prospects or growth o private equity in Arica, given that what seems to be lacking on this continent is the availability o savings

to fnance productive investments?

i l h wll l l a h h h wh wh. th hll

h wll l ll h h whwhl . th wh ll h

l. W l w h a w l- w .

i h h l l l h hll, h. xl, wll h

w h l h l w .

Vou s ave z pr pa r et an im la

session spciale consacre au

private equity lors du Sommet

Afric its V. En quoi ce mca nisme

est-il intressant pour financer le

dveloppement local en Afrique ?

Plus personne ne remet en question la

thorie selon laquelle le dveloppementdes pays aricains passe par celui de

son tissu de PME. Celles-ci permettenten eet une croissance conomique

durable et avorisent lmergence duneclasse moyenne, comme ce ut le cas

dans les pays industrialiss. Or, en

Ar ique, ces e ntrepr ises ont beaucoupde mal trouver les moyens de inan-

cer leur dveloppement, les banquesne sintressant que marginalement

elles. Il leur est donc diicile de jouer armes gales avec leurs concurrentes

de France, de Chine ou du Brsil.

Le private equity est un mcanismequi consiste prendre des participa-

tions minoritaires ou majoritairesdans des entreprises pour en ina ncer

le dveloppement. La crise inancireet conomique a oblig ces onds

rechercher de nouveaux relais de crois-

sance, notamment en Arique. Rsultat: les sommes qui y ont t leves, au

premier s emestr e 2010, ont reprs ent

1,5 milliard de dolla rs, beaucoup plusque les 933 millions de dollars collec-ts sur toute lanne 2009.

La reprise des leves de onds a t

mme plus vigoureuse en Ariques u b s a h a r ie n n e q u e s u r d a u tre s

marchs mergents tels que la Chine,lInde et la Russie.

Pour les PME aricaines, ces onds

reprsentent une ormidable opportu-nit de fnancer leur croissance moin-

dre cot, puisquils ne rclament pasdintrts, contrairement aux banques.

Autr e av ant age : i ls sacco mpag nentdun support stratgique et opration-

nel qui permet aux socits datteindre

les meilleurs standards en matire de

management et de gouvernance.

Quelles perspectives souvrent pour

le dveloppement du private equity

en Afr ique, a lors que ce qui

fait apparemment dfaut sur ce

continent, cest la disponibilit

dune pargne pour financer les

investissements productifs ?

Je c rois u n o rt dvel oppem ent du

private equity en Arique dans lesannes venir, parce que les onds ontbesoin dinvestir dans des zones en

orte croissance. Lenjeu, pour ce type

de onds, ne se posera pas en termesde disponibilits inancires, mais

bien plutt didentiication des oppor-tunits les plus intressantes. Cest

ce niveau que les collectivits localespeuvent inte rven ir. Il aut gale ment

trouver un moyen de diriger la ormi-

dable pargne des migrants aricainsvers les i nvesti ssement s producti s de

long terme, plutt que vers la consom-mation. Je suis convaincue que le

business model du private equity pour rai t a ppor ter une solu tio n ce

challenge, condition dtre suisam-ment innovant. Par exemple, il sagirapour lui de r pond re, concr temen t,

au problme de lemploi des jeunes ou celui de lmancipation conomique

des emmes.

LE PRiVAtE EquitY , SOLutiONDE iNANCEmENt POuR LEDVELOPPEmENt LOCAL ?Les de prncpa aes de nanceend dveloppeen dans les pays ar cansconssen, dne par, agener lesrevens plcs en aloran la scal,e, dare par, soenr les conoeslocales en aclan le nanceen despees e oyennes enreprses.

Par els oyens ? Coen

accopagner des projes denreprsespovan avor ne acon srcranedans les collecvs locales ? Rponse :grce a prvae ey , n sysenerdare ndspensale enre lecrocrd e les odes de nanceendes grandes enreprses. Les roresnsonnelles pereen de ledvelopper doven re encorages eple lins monagne, n hnkank ndpendan, dans le cadre dnrcen rappor nl Are-rance :rnvener le codveloppeen.

Le soe Arcs V a prcrseren la are en prsenan, dans lecadre dne sesson spcale consacr ce he, le prvae ey coe

Private equity and its role in fnanc-ing local development. th w l- a : l x, ll l h ll .t h h l w w hl j h lkl h ll h. th w

, l hlww h . il h l l hl ,xl h i m, - hk k, l a-: wh.a 5 w . a l h h, w l l ll lkl l h . o h l , h -l a, l-l lk sh a n, ll

llw t, gh sl,lhh hw llkw a -. th l h hl h k j j- l h h ll h h w l. th l l h j l, l- l, lhh h h h . nl l ll l l a .th h wh h l h j .

ne solon de nanceen accesslea enreprses locales e ssceplede avorser la sore de crse. Acors des cn dernres annes, lses dallers oreen dvelopp enAre, dans des pays prcrserscoe lAre d Sd e le Ngera,svs de prs par la tnse, le Ghanao le Sngal, e sl rese encore,par allers, rs largeen conn desenrepreners arcans. Le prncpe d

syse es daccopagner n porerde proje par lenre de capa prvsdans le capal de lenreprse, ps derevendre ces pars eles annes plsard. Cee revene nerven aprs laphase de consoldaon d proje, lesparenares nvesssers vsan nojec de perorance long ere,sans nglger por aan ler reorsr nvessseen. Les nvesssersnaona e nernaona son anss conron por parcper laconson dn ss conoe esocal peroran dans les pays arcans.Cee approche es sans doe la ende por rpondre a or eson decraon deplos d connen.

Commerce Djerba

en Tunisie. l

l, l l


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86 87aricits v - marraKecH, maroc


AFRICITS V MARRAkECH AFRICITS V MARRAkECH

h l h wh l - l l. u w, a, w h wh l l. t w w ! th l h l h wk l-l. dk 21%

h l. i w l h l l l , w h h lhl dk.

niamey, a green and bLue emerg-ing capitaL. n l - h k l h l lh l w h , l -. th

e de revender les lens narelscoe an conss de son den.une Naey ngre, se doe deservces e dpeens de ase porla poplaon en aloran la al deve des haans e le onconneen dsyse ran dans son ensele.

Ouagadougou

multiplie les initiatives

Sos lplson de Son Copaor,are de Oagadogo e prsdende lAssocaon des ncpals debrkna aso, la vlle de Oagadogoses engage dans ne polerane aese. Son ojec :le dveloppeen dacons dans denore doanes (vore, propre,assansseen, san, dcaon, adesocale e scr). un eor rad pardes chres parlen de-es : en

Decentralization: eedback on asuccessul process

Regional dynamics to build a modernlocal Arica. i l hwh ll , hl-l , h al l , al b,

h un-H rlo a h a s, h k h a 5ll . [] W h hhh wh w m, sha, gh, sl, ml, bk h h h wh . ia k lk.i , h a s h lha h ; lkcl, r, mkh, dk,n, n, a, dl d, h l- .

daKar and urban deveLopment

strategy. d ll l w ll h , Khl a sll, h dk. i h l 20 h, dkh h .m tll, wh h sl , h hk: th l g dk l l, h . th

La srage de dveloppeen rand Grand Dakar e en perspecveplsers proposons. La prere, cesde renorcer la vercal de lhaa,por e arser les esons deol, de consoaon dlecrce de carran. Js prsen, enAre, nos avons conn aler

nos vlles sans garanr ne ellereplancaon oncre. Ajordh, l aproposer n novea paradge ! Laseconde proposon, ces de replacer ledveloppeen de nos ropoles dansle cadre de lanageen d errore.Dakar, ces 21 % de la poplaon. S onarrve crer des ropoles dlredans les ares capales rgonales, onarrvera pe-re desserrer la srDakar.

Niamey, une capitale

mergente vert et bleu

Les Ngrens e ass ar en lervolon dnscrre le dveloppeen dansler proje de vlle, en alssan n len

rs or enre les densons rane,conoe e envronneenale.En ogne n reporage consacr Naey, a proje a corsdne des sessons dArcs V. Erad coenare : Laggloraonngrenne ses donn coe ojecde se posonner dans lespace ondalen ean en valer son den locale.une Naey ver e le, a ensore dalorer la al de lespace

ES DYNAmiquEStERRitORiALES POuRbtiR uNE ARiquELOCALE mODERNEAlone badane, drecer

rgonal dONu-Haa por lAree les pays araes, a rappel dans sondscors doverre des sessons

poles dArcs V : il es ndnaleavec lransaon galopane, ses dse ses opporns, l nes pls possledgnorer le oveen ncpalarcan. [] Nos avons on espor andnos vsons le maroc, lAre d Sd,le Ghana, le Sngal, le mal, le brknaaso Des pays on prs ras lecorps la eson de la pavre rane !En Are, lransaon es ne chance.

De a, les soes Arcs sonloccason de ere en vdence les vllesarcanes en oveen e les sragesde dveloppeen ran, leeple deCasalanca, Raa, marrakech, Dakar,Naey, Naro, Anananarvo, Doala,Dran, ec.

Dakar, la stratgie

de dveloppement urbain

La docrae, ces la peranence ddaloge enre les ls e lers a ndans, a consa Khala Aaacar Sall, arede Dakar. Ces 20 derners os, Dakarses se en oveen por rpondrea egences des Dakaros.

Charg d prograe ran aSngal, m. mansor tall, l a a cho :

Succs de la dcentralisation,retour dexpriences

L

1995, le dge de la cone sleva

envron de lla rds de rancs CA,don 500 llons dnvessseens. En2010, l es pass 25 l lards, avecn oal de 11,6 llards de rancs CAdnvessseen ! Oagadogo a, depls en pls, re allre ! La craondne rge aonoe de geson despeens archands a donn lea ranageen, avec oes lescoods ncessares, de ne archssr les 52 e cope la v lle, e dares

Dakarau Sngal.

l

l, l l


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Le Capen Arique

du Sud.

l l,

l l

son en chaner. Ares naveseeplares : la craon de jardnsplcs por la poplaon, lclarage desespaces plcs parce e la lrechasse le cre , loverre de le delosrs, dpeens spors, despacesarses e clrels, ec.

La vlle de Oagadogo a replsers rcopenses por sesralsaons : le pr A rcs Yaonden 2003, le pr Da nernaonal des

elleres praes por laloraond cadre de ve en 2006, le pr bahrennernaonal des elleres praes en2008, e le re de capale c lrelle delAre en novere 2009.

Le Cap, une ville dynamique

aux nombreux atouts

La vlle d Cap, onde en 1652, copepls de 3,5 llons dhaans. Capaleprovncale d Cap occdenal, don leno a rrence a Cap de bonne

n h w h a 5 . th llw- x h :th n h l hl l h wl k h l l. a l nh h l l h hh l l . a nh l wh

h l whl h l l h h whl.

ouagadougou steps up initia-tives. a h sc, h o p h a ml bk , h o h l l. i l l

(, ll, , hlh,, l ). th ll: 1995, h wl w w llca , l 500 ll . b 2010 h 25 ll, wh l 11.6 ll ca . o lk ! th -w h k ll h l

h -w k wh ll h , wk ll w h. oh x-l l lk h l, ll lh- l lh k , l, ll .th o h w lw : h a y 2003, h i-l d aw b p i h L e 2006,h il bh b paw 2008, h l cllcl a n 2009.

cape toWn, a dynamic city WitHmany assets. th c tw, 1652, h 3.5 llh. th l l h W c wh h c g H, h wlh h ,c tw h lk .il h oecd 2008 pero 2010 h l .th wh h l ; hkwl , l hhll h - h l l sh a; l - (l, , wl );

l h l kll ; l lk h - ( hl l-l l wl ); h h , h l h l, h w w h l h- hll h.

Esprance, la dee ropolela pls rche d pays ne ane pasdaos, coe le on valor les desnernaonales (OECD, 2008 ; PERO,2010) solgnen ses pons ors en denore doanes.

Cons noaen : la al de sesnrasrcres ; ses nvessseens dansldcaon e lconoe d savor, avec,en parcler n s yse de recherchescene de ha nvea ( cope

le pls grand nore de scenesdle dAre d Sd) ; ne porane

prodcon dnerge (prole, gaz,nerges renovelales) ; des oppornsrgonales aren n grand noredenrepreners als ; ne val

conoe le laracv d pays(organsaon de grands vneens ede conrences nernaonales, accelddans rangers e de orses) ;enn lessor de la lre al enare, des chaps la ale, areen ddeps lacv de prodcon agrcolejs la valorsaon d paronegasronoe local, en passanpar le dveloppeen de lndsreagroalenare.

Le quartierOuaga 2000

au Burkina Faso. l

l,

l l


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Lomau Togo.

l

l,

l l

Decentraliing local public services.th l j l l- a h 30 h h x- h w l l l. wh h kw a, ll h- w l k hx l h l h l h h

. a l h l a h l , whh llwll wh l wll- wh h l, h, h. o h k h hh h -, ll - wh h j h l .th wll lh h -. Ll , whh l , wll l,ll h l -, wh l l,wll h l h ll h ll h.th h wh h l , wh whh l l ll l.t l, l w l -: wlh - h wh l h h .gwh wh kl l, l. th ll ll ll wll h l l h wh h h l.

DCENtRALiSER LES SERViCESPubLiCS LOCAuxLes plans dajseen srcrel s envre en Are deps ne renanedannes on e por ee ngadapler la endance a dleen despraes de soldar socale e alale.Conrones cee dsagrgaon dne radon arcane , on norede collecvs locales non pas pprendre le relas en ssan ces

sages en dshrence ne are orede soen a personnes, el elaccs a servces plcs. Lanalyse delorgansaon spaale des vlles arcanespere ddener des arers cenra,relaveen en dos en nrasrcres

e correceen enreens o loge, aa, n ar de la poplaon. ler prphre se roven des zones denon-dro, gnraleen sos-pes,o se concenre la ajor de lapoplaon.

La crse acelle ara sans doe npac nga sr cee saon. Lesdges loca, dj rs ales, vonsr des asses sgncaves, daanpls e les as, conrons des

dcls nancres, seron por laplpar rcens agener, vore anenr lers nvea de ranservers les collecvs locales... unesaon lorde de enaces por lapa socale, sans laelle acne acon

de dveloppeen drale ne pevraleen re se en vre.

Por re drale, l e dveloppeendo respecer de prascoplenares : crer de la rchessee redsrer aleen les

rs de la crossance a eresde la cona. La crossance sansredsron se grppe rapdeen, eelle pe e sscer des ensonssocales, vore des rvoles. Lchelonlocal es parclreen en adap la se en place de canses desoldar e de praon capalesdassrer, chae coyen, n revenn l garanssan ne ve dgne.

La ralsaon locale des Ojecs

h w, h hmll dl gl hll ll h ll l.nhl h whh h hll -l ll a ll h 2015. th h wh h hll w l l lkl h l l. i lx j h

xh: h lk h w wll h h l h hw hx h h ll h- h h h l --.th h h h ll l: h k ll h h - h h h hl ll l l , h k l h. th l

Dclaration inale de la 9 e assemble

mondiale du FAL, 8 vrier 2011.

[] Elu-e-s du FAL, nous nousrjouissons que les peuples dArique

et du Maghreb soient en train de pren-dre leur destine en main et estimons

toute la valeur et la orce de leur volontde changement, comme de leur lutte

pour la dmoc rat ie et le droi t u ne

plei ne cit oyen net . Dan s cet espr it,nous sommes aux cts de tous les

mouvements populaires qui luttentaujourdhui contre la privatisation de

leurs ressources naturelles, et pour seles approprier.

Elu-e-s locaux runis Dakar, nous

sommes solidaires de lensemble despeuples enga gs dan s ces mouvements

de contestation. Ce sont des jeunes, desemmes et des hommes qui ont soi de

libert et de dmocratie, mais surtoutde dignit et dgalit des droits : droit

dexpression, droit au travail, la sant, la protection sociale, lducation,

une vie digne et laccs aux biens

publics les plus v itaux.[] partir de nos territoires et en t ant

quAutorits locales progressistes, nousdevons renorcer notre capacit criti-

que et notre capacit de transormationsociale. Il sagit dune responsabilit

collective : unir les orces pour que lave-

nir de nos villes se construise sur la basede la cohsion et de linclusion sociales,

de la participation dmocratique et nonde lexclusion politique et sociale.

Forum o Local Authorities (FAL) or Social Inclusion and Participatory Democracy. Dakar

2011 cl h 9h Wl al h aL wk, 8 2011.

[] th l h aL l h h l a h mh k

h h w h. th wll h h l

h . i h , w l ll h l h h

h l l h .th l h dk l wh ll h l l h

. th l, w wh h ,

ll l h: h, h h wk, hlh, l , h,

, l , .

[] W l l

ll h. th ll l: j l h h

h l ll xl.

Forum des autorits locales (FAL) pour linclusion socialeet la dmocratie participative. Dakar 2011.

d llnare por le dveloppeenappara, de ce pon de ve, coedcsve dans lorgansaon dessoldars locales. On pe cependandoer e ce d so, por 2015, lapore de oes les collecvs locales

arcanes. Ce consa a donn le des dscssons sreses don lenjea de sggrer des alernavescrdles ssceples de paller cesdallances proales. il sag dn sjecoplee, lon dre ps : lasencede progrs sgncas sr le erran,en ce concerne les proccpaonsdes poplaons vlnrales, coeles ees, les personnes handcapeso les pavres, aese de lapler

Femme du Tchad

l

l, l l


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Structurerles services deau

potable.

l l,

l l

des progrs e les collecvslocales on accoplr por ere na dscrnaons e resarer, aoden, des praes de soldar.

Cela ne sgne pas e ren ne sodj a o so possle : des naveson prses par drenes collecvslocales dans le dassrer le respec desdros lenares des coyens, e pordnr les na soca l convendaccorder a poplaons locales en

saon de prcar, dans n ojecde cohson socale. La se en vredes poles locales daccs a drose dorgansaon des soldars peconrer la sore de crse.

PARtENARiAtS PubLiC-PRiV (PPP)Les acvs d Parenara plc-prvpor lenvronneen ran (PPPEu)d Prograe des Naons nes porle dveloppeen (PNuD) rpondena Ojecs d llnare por ledveloppeen (OmD). Elles concernenare prncpa doanes :lalenaon en ea, lassans seen,la ornre dnerge e la geson des

dches. un soen es appor cessecers por sasare a esons desgoverneens (as, Rgons, Vlles)

ll l h l l h .

Public-Private Partnerships (PPPs).th h u ndl p pl-p ph h u e- (pppue) h mlldl gl (mdg). th : w l,, w l w. s h h l,l l h f h hmdg. i a h h , l ll-

wh un-H, Lh,m, n h.

LesotHo: h m,h l w l w. a wk w h w hl, h hll . a l x hh w h m.a l, h l w 30% 70%, h 100 j w l w , w l w x.th l k l

h h- h h h ll wh j: hlh- , lh , l ll.a ll h l!

mozambique: l w l h m- h h 7h mll

Benjamin Clotaire AbloMaire du Grand-Popo, Bnin

m g-p, b

Nous avons mis en place, au niveau des

communes, une structure qui regroupeles six maires concerns et donne les

grandes orientations. Pour nous aider

dans cette intercommunalit naissante,visant structurer les services publics

de leau potable, de lassainissement etde la gestion des dchets, nous avons

constitu un quadrilogue qui runit

les reprsentants des maires, les servicesdconcentrs de ltat chargs dappliquer

les politiques nationales dans chaque

commune, les reprsentants de la socitcivile qui bnfcient des prestations de

services, ainsi que les ONG et dautrespartenaires techniques du dveloppement.

W h ll h h x

l. t hl h h -l h h l

l w, w , w l, whh h h

h , h l s h l l l

w, l h , ngo h

hl l.

Une exprience, conduite au Bnin,montre comment peut onctionner la

dcentralisation vis--vis des servicespublics locaux, grce au dialogue multi-

acteurs engag par les municipalits.

Le Bnin a opt pour un systme dedcentralisation prsent comme int-

gral . Le pays est divis en douze dpar-

tements, dont celui du Mono, qui compte

six communes : Lokossa (la precture),Athi m, Bopa, Com, Gran d-Popo et

Houyogb. Six villes, et une particularit :leur regroupement en intercommunalit,

un choix ait en 2009 par leurs reprsen-

tants ain de mutualiser leurs eortsdans ces deux domaines cls que sont

lapprovisionnement en eau potable et la

gestion des dchets mnagers solides.

The benefts o inter-municipal cooperation in Benin a xl j b hw

hw l wk ll l wh l l- l. b

l h w l. th wl . o h, m,

x : Lk (h ), ah, b, c, g-p H. sx w wh

l : h h -l . th h w 2009 h

l h w k , h l l w l w .

Les bnfces de lintercommunalit au Bnin

dans lers eors consans por laralsaon des OmD. En Are, de ellesnaves on enes, en roecollaoraon avec ONu-Haa, dansde nore pays els e le Lesoho, lemozae e la Nae.

Lesotho: por la vlle de maser,lojec a de parvenr ne elleregeson des dches soldes. un cadrea s en place por encorager lesparenaras enre la ncpal, lesecer prv e les conas locales.une prere eprence ploe, condedans n ar er, a reprode dansdares ses de la vlle de maser.

Rslas : ne coverre d errorencpal concern es passe de30 % 70 %, la craon de pls de 100

Gestiondes dchets

Maseruau Lesotho.

l

l,

l l


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Vue ariennedune ville de Namibie.

l

l,

l l

En Namibie, un programme nationalsur les partenariats public-priv pourla ourniture de services municipaux

prioritaires a t lanc.Ustin hendipi sciduis er incipisl do con vulla eu euip ea acip esup

tatie magna eum dolore veliquis nit luptati scidunt modion ullum


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Lcole Polytechniquede Namibie

assure des ormationsen PPP.

l

l, l l

dl gl, h. m, h l, h j ml, whl l 1.7ll h, ll l l kw h l :l 40% h h w h h wk. i h x h l- -h w lh wh,

l, h l m ml, h w l -l (cra), h l w l (ipag) h , a m. a l, h l h

eplos on nc a ees ea jenes, e enn le dveloppeende lacv de recyclage des dches. Lancpal a enreprs dappler ceee approche parenarale daressecers relevan de ses doanes decopences : les cenres de sa n,les dcharges ples, la gesondes espaces plcs e des panneaplcares. to cela, a nce desrecees ncpales !

Mozambique : lalenaon en eapoale dans les zones prranes eslne des prors d governeenozacan dans ses eors porralser le 7e Ojec d llnarepor le dveloppeen : Prserverlenvronneen . La capale mapoe la vlle cong de maola, don lapoplaon oale es ese envron1,7 llon dhaans, soren dnedsron en ea poale relaveenale par lopraer prv prncpal: 40 % seleen d errore esdesserv e les zones prranes non,por la plpar, pas accs a rseaprncpal. Ces dans ce conee n

parenara plc-prv a s enplace. Les prncpa acers en son les

ncpals de mapo e de maola, lerglaer d secer (CRA), la socnaonale de geson d parone(iPAG) e lopraer prv (Agas dmozae). Rsla : le raccordeena rsea dea poale de plsersllers dhaans spplenaresrsdan dans les zones prranesdnes de ces de locals. Lase en vre d proje ses radepar ne pls grande reconnassance

des pes ornssers ndpendans,e la dnon dn odle approprde parenara por la ornre deapoale a poplaons davorses,avec la parcpaon de ces presaarese dans n espr de al de servce.

Namibie : la ajor des poplaonsranes e rrales a n accs la servces essenels els e la san,ldcaon, lea e lassansseen,la geson des dches. Le nsreen charge de la dcenralsaon adonn le cop denvo dn prograenaonal sr les parenaras plc-prv por la ornre de servcesncpa prorares. Ces dans

ce conee on nsares lesrores d cadre pole rgssan

les responsals des aors localese le rle dares acers loca dansla orlaon des parenaras plc-prv. un gde prae a galeen rals por proovor ce ypede darche. Le rsla es prgnandans les vlles ploes de Goas ede Kaa mllo : aloraon dela geson des dches soldes ; accsdonn a servces de ase pls de7 000 haans dns ; craon depls dne cenane deplos ayannc a conas pavres ;renorceen d povor des ees e

h w h h k wwk. th l hj l ll l h l l -h h l l w l wh h h , l .

namibia: h j h l l h l l h hlh, , w -, w . th h lkk l l- h h

l l .i h x h w h ll wk h l llh h l h ll l- -h. a l w h k .th h h l g K mll llh l: l w w ; h 7,000 h ; h 100 j w; w ll ll w w h w

l h l w .i ll h 30 ll h h .undp k l hl h wh hHh plh u i n, whh l l- ppp. m h h l h i.

Maleye DiopAdministrateur du programme PPPEU-PNUD(Parenara plc-prvpor lenvronneen ran d Prograe des Naons nes por le Dveloppeen)

a undp pppue (th u n dl p pl-p ph h u e)

Les Partenariats public-priv dans laourniture de services aux populations

surtout les plus dmunies , ont montrdes rsultats probants. Des expriences

appuyes par le PNUD travers son

programme Public Private Partnerships

or Service Delivery PPPSD existentaussi bien en Arique quen Asie ou

en Amrique latine, qui sont les trois

principales rgions du monde o se sontdroules nos interventions au cours de ces

dernires annes.

pl-p ph h l l ll h h h

l. ex k h undp hh h pl p ph s dl (pppsd)

x a wll a L a, h h l h wl wh

w h l h l w .

des pes enrepreners loca grce lergence de novelles capacsde craon e de geson drale desenreprses dans le secer des dchessoldes. A oal, pls de 30 collecvslocales on nc d prograe.Lapp d PNuD a galeen pers dedvelopper n parenara avec lcolePolyechne de Nae, assredes oraons en PPP lnenon desagens des servces ncpa e desdans canddas la arse. Laplpar son recrs ler sore delcole par les ncpals.

Maputo,au Mozambique.

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Dclaration universellesur la dmocratie de 1997Il ne saurait y avoir de dmocratiesans un vritable partenariat entre

hommes et emmes dans la conduite

des aaires publiques, o hommeset emmes agissent dans lgalit et

la complmentarit, senrichissantmutuellement de leurs dirences.

Universal Declaration on Democracy,

1997 th h -

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CRAtiON Du RSEAu DES EmmESLuES LOCALES DARiquE (REELA)En 2009, lors d soe Arcs V, lesparcpans avaen recoand la seen place dn rsea de ees leslocales dAre. Ces dornavan choseae, sos lplson de CGLuA, aonne de porer la vo des coyens lchelle connenale e nernaonale.En jlle 2010, lAssele gnralede lONu cra, ONu-ees , ne

novelle en charge de proovorlgal des sees e laonosaon desees.

En ars 2011, le preer ord Rsea des ees les localesdAre (REELA) ses en tanger,en parenara avec le nsre delinrer d Royae d maroc, sr lehe : Ojecs d llnare por ledveloppeen e la onne governance ;

LA PROmOtiON DES DROitS DES

EmmESLors dArcs V, ce leadershp ann a paraeen syolspar la vl le de marrakech, don lepreer agsra es prcsenne agsrae : aa-Zohramansor, avocae de proesson. Lorsdne sesson hae dArcs V,Zaka mrn, prsdene d consel delarrondsseen de Glz, marrakech,a vo le conee arocan : il y ane volon pole a maroc, depsles vng dernres annes, en arede prooon des dros des ees. Cesacs son ls a oveen nn, a jo n rle rs poran depsles annes are-vng. [] En an e

are, je ss conscene des dspars resen encore goer, e des drosconoes e soca resen dvelopper dans plsers doanes ;ce son de grands chaners eplorerpor le governeen arocan, esro por les collecvs locales : []lalphasaon des ees, le chagedes ees e la nsaon de lapavre [], les proles de san, lelogeen, lhaa.

Creation o the networ o emalelocal elected o icials in Ar ica(REFELA). a h a 5 s 2009 wk l lll l a. th h w lh, h ucLga, whh k h h l l ll. i Jl 2010 hu n gl al un-W, w

k wh l w w.i mh 2011, h hwk l ll l l a (r lll a, reeLa) w hl t h wh h im h K m, h h mll dl g g gl: l l l lh.i j w l, l h h h x l , h l hx w.th hun-W h 2011-

2012 l w l, lh ; l w; h ; h w w; h l h h l-, l, ll - .

P r om o t i ng w om e n s r i g h t s .W lh w ll h a 5 s h mkh l, whhh l l l, -zh m, lw. d h a 5, zk m, h ll l h - gl, mkh, k h m x: th h ll w h m h 20 . th h- lk h w, whh h l l h 1980. []a , i w h - h ll h h l

h h l l ; h jj h xl h m ll h: []w l, w -l, h [], l hlh, h l .

rles e responsals d leadershpnn. Lojec de cee renconrenernaonale a lple : orr aparcpanes n eps dchange, lerperere de parager ler eprencede la geson des aa res ples, e lesencorager se olser por ne plsgrande par enre hoes e eesdans leercce d povor.

Les cn prors es por la ellede roe dONu-ees, dans le cadre

d plan srage 2011-2012, vsen :renorcer lnfence, le leadershp e laparcpaon des ees ; ere n lavolence conre les ees ; agr de aon ler garanr pa e scr ; renorcerlaonosaon conoe des ees; placer les prors en are dgaldes sees a cr de la plancaon,de la dgsaon e des sasesnaonales, locales e secorelles.

Le 1erorum du Rseaudes emmes lueslocales dArique

Tanger. l

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Le orum du REFELA :

un partagedexpriences

au minin. l

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Documents

AFRICITES chapitre 3.pdf