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BÂLE BERNE GENÈVE LAUSANNE LUCERNE LUGANO SARGANS ST-GALL ZURICH AKAD École Supérieure spécialisée en Banque et Finance SA 02* 13 SCORECARD SONDAGE 2013 DE L’ASSOCIATION SUISSE DES BANQUIERS Foire aux questions PARTICIPER ET JOUER «Et le prix revient à …» En tant qu’organisation responsable de l’École Supé- rieure spécialisée en Banque et Finance (ESBF), l’As- sociation suisse des banquiers mène chaque année un sondage auprès des étudiants. En sus du contrôle de qualité, celui-ci se penche plus particulièrement sur le développement de l’ESBF en termes de besoins et de perspectives. L’École a tiré des conséquences des résultats de ce sondage et a mis en place une série de mesures. La prochaine session de cours utili- sera d’ores et déjà une nouvelle pondération entre les différents domaines de formation. D’après les évaluations des étudiants, les cours ap- portent une valeur ajoutée et les chargés de cours sont en majorité jugés compétents. Les leçons AKAD sont décrites comme utiles, mais les sondés cri- tiquent le taux d’erreurs qu’elles contiennent. La pré- paration personnelle aux prestations d’études et les résultats obtenus sont bien notés. Les étudiants esti- ment que les coefficients des prestations d’études sont adaptés dans leur majorité. En revanche, nom- breux sont ceux qui pensent que les coefficients des exercices d’application, de l’exercice de transfert ainsi que du rapport de compétences sont «trop éle- vés», mais que ceux des unités didactiques virtuelles sont, au contraire, «trop faibles». La combinaison des différentes formations est évaluée «bonne». L’évalua- tion varie d’un domaine de formation à l’autre. Si les matières Financement et Placement sont les mieux notées, les étudiants souhaiteraient une pondération différente en ce qui concerne la Gestion de projet, le management et les Opérations bancaires. Selon les personnes interrogées, l’ESBF transmet un savoir Un diplôme en poche, parfois un nouveau poste, souvent un nouveau domaine d’acti- vité et très fréquemment un meilleur salaire: voilà en résumé l’évolution de carrière des diplômés 2011 et 2012 de l’École Supérieure spécialisée en Banque et Finance (ESBF – voir Scorecard 01*13). D’anciens étudiants ont répondu au début de cette année à une enquête sur leur situation professionnelle et sur les services de l’ESBF – participant ainsi automatiquement à un tirage au sort avec de superbes prix à la clé. Le gagnant de ce jeu, Roger Soltermann, a ainsi reçu un iPad des mains du directeur général, Daniel Amstutz, et du directeur de l’école, Patrick Burger. Le iPod nano a été remis à Stephan Rieben. Les deux gagnants sont diplômés de l’école de Berne. Arrivé deuxième, Alexis Rochat remporte un iPod 64 qui lui a été remis par Patrick Etter, directeur de l’école de Lausanne. Nous leur souhaitons de faire la meilleure carrière possible, ainsi que de continuer d’entretenir de bons contacts avec l’École Supérieure spécialisée en Banque et Finance et de toujours prendre du plaisir à ce qu’ils font. L’ESBF: l’école où la formation continue en finance se fait au son de la qualité. pertinent. De plus, elles considèrent que les leçons sont bien réparties entre les différents sujets. Demande d’un soutien plus important de la part de la hiérarchie Pour les étudiants, l’utilité et la pertinence de la for- mation sont donc au rendez-vous. Selon eux, l’ESBF permet d’élargir de manière significative ses com- pétences techniques dans les domaines du finance- ment, du placement, de la planification financière, mais aussi de la méthodologie, grâce notamment à la mise en œuvre efficace de techniques d’apprentis- sage. Les diplômés seraient désormais mieux à même de fournir des conseils et mener des négociations avec succès, ou encore de manier des instruments d’analyse transversale de façon ciblée. Les étudiants apprécient également les contenus des compétences sociales et méthodologiques qui influencent de ma- nière positive l’esprit d’équipe et le relationnel. Dans l’ensemble, l’ESBF améliorerait la capacité à com- muniquer, la présentation irréprochable étant ainsi citée en exemple. S’ils sont satisfaits des contenus et du déroulement du cursus, ils soulignent le besoin d’amélioration. Ils aimeraient ainsi être mieux soute- nus par leurs supérieurs hiérarchiques sur leur lieu de travail. Selon les étudiants, l’ESBF stimule donc de manière efficace les performances et la capacité d’apprentissage. Alexis Rochat avec son iPod touch Les gagnants du tirage au sort: Roger Soltermann (à gauche) et Stephan Rieben (à droite) Ajoutez-nous à vos amis sur Facebook www.facebook.com/AKADhfbf www.facebook.com/AKAD.BankingFinance Actualité de l’École Supérieure spécialisée en Banque et Finance AKAD École Supérieure spécialisée en Banque et Finance SA est une entreprise de Kalaidos Bildungsgruppe Schweiz Centro di Studi Bancari Fondation Vaudoise pour la Formation Bancaire ISFB Institut Supérieur de Formation Bancaire

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Retrouvez toute l'actualité de l'Ecole Supérieure en Banque et Finance au travers de notre Scorecard ! Nous vous souhaitons une bonne lecture et un bel été !

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BÂLE BERNE GENÈVE LAUSANNE LUCERNE LUGANO SARGANS ST-GALL ZURICH AKAD École Supérieure spécialisée en Banque et Finance SA

Nº02*13SCORECARDS O N DAG E 2 0 1 3 D E L ’ A S S O C I AT I O N S U I S S E D E S BA N Q U I E R S

Foire aux questionsPA RT I C I P E R E T J O U E R

«Et le prix revient à …»En tant qu’organisation responsable de l’École Supé-rieure spécialisée en Banque et Finance (ESBF), l’As-sociation suisse des banquiers mène chaque année un sondage auprès des étudiants. En sus du contrôle de qualité, celui-ci se penche plus particulièrement sur le développement de l’ESBF en termes de besoins et de perspectives. L’École a tiré des conséquences des résultats de ce sondage et a mis en place une série de mesures. La prochaine session de cours utili-sera d’ores et déjà une nouvelle pondération entre les différents domaines de formation.

D’après les évaluations des étudiants, les cours ap-portent une valeur ajoutée et les chargés de cours sont en majorité jugés compétents. Les leçons AKAD sont décrites comme utiles, mais les sondés cri-tiquent le taux d’erreurs qu’elles contiennent. La pré-paration personnelle aux prestations d’études et les résultats obtenus sont bien notés. Les étudiants esti-ment que les coefficients des prestations d’études sont adaptés dans leur majorité. En revanche, nom-breux sont ceux qui pensent que les coefficients des exercices d’application, de l’exercice de transfert ainsi que du rapport de compétences sont «trop éle-vés», mais que ceux des unités didactiques virtuelles sont, au contraire, «trop faibles». La combinaison des différentes formations est évaluée «bonne». L’évalua-tion varie d’un domaine de formation à l’autre. Si les matières Financement et Placement sont les mieux notées, les étudiants souhaiteraient une pondération différente en ce qui concerne la Gestion de projet, le management et les Opérations bancaires. Selon les personnes interrogées, l’ESBF transmet un savoir

Un diplôme en poche, parfois un nouveau poste, souvent un nouveau domaine d’acti-vité et très fréquemment un meilleur salaire: voilà en résumé l’évolution de carrière des diplômés 2011 et 2012 de l’École Supérieure spécialisée en Banque et Finance (ESBF – voir Scorecard 01*13). D’anciens étudiants ont répondu au début de cette année à une enquête sur leur situation professionnelle et sur les services de l’ESBF – participant ainsi automatiquement à un tirage au sort avec de superbes prix à la clé. Le gagnant de ce jeu, Roger Soltermann, a ainsi reçu un iPad des mains du directeur général, Daniel Amstutz, et du directeur de l’école,

Patrick Burger. Le iPod nano a été remis à Stephan Rieben. Les deux gagnants sont diplômés de l’école de Berne.

Arrivé deuxième, Alexis Rochat remporte un iPod 64 qui lui a été remis par Patrick Etter, directeur de l’école de Lausanne. Nous leur souhaitons de faire la meilleure carrière possible, ainsi que de continuer d’entretenir de bons contacts avec l’École Supérieure spécialisée en Banque et Finance et de toujours prendre du plaisir à ce qu’ils font. L’ESBF: l’école où la formation continue en finance se fait au son de la qualité.

pertinent. De plus, elles considèrent que les leçons sont bien réparties entre les différents sujets.

Demande d’un soutien plus important de la part de la hiérarchie Pour les étudiants, l’utilité et la pertinence de la for-mation sont donc au rendez-vous. Selon eux, l’ESBF permet d’élargir de manière significative ses com-pétences techniques dans les domaines du finance-ment, du placement, de la planification financière, mais aussi de la méthodologie, grâce notamment à la mise en œuvre efficace de techniques d’apprentis-sage. Les diplômés seraient désormais mieux à même de fournir des conseils et mener des négociations avec succès, ou encore de manier des instruments d’analyse transversale de façon ciblée. Les étudiants apprécient également les contenus des compétences sociales et méthodologiques qui influencent de ma-nière positive l’esprit d’équipe et le relationnel. Dans l’ensemble, l’ESBF améliorerait la capacité à com-muniquer, la présentation irréprochable étant ainsi citée en exemple. S’ils sont satisfaits des contenus et du déroulement du cursus, ils soulignent le besoin d’amélioration. Ils aimeraient ainsi être mieux soute-nus par leurs supérieurs hiérarchiques sur leur lieu de travail. Selon les étudiants, l’ESBF stimule donc de manière efficace les performances et la capacité d’apprentissage.

Alexis Rochat avec son iPod touchLes gagnants du tirage au sort: Roger Soltermann (à gauche) et Stephan Rieben (à droite)

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Actualité de l’École Supérieure spécialisée en Banque et Finance

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SCORECARDCA D R E N AT I O N A L D E S C E RT I F I CAT I O N S ( C N C - C H - F P )

Reconnaissance internationale des diplômes de la formation professionnelleLe cadre national des certifications pour les diplômes de la formation professionnelle en Suisse se constitue d’une trame à huit niveaux dans laquelle sera intégré chacun des diplômes formels de la formation professionnelle (attestation fédérale de formation professionnelle, certificat de capacité, brevet, diplôme). Par ailleurs, chaque diplôme sera accompa-gné d’un supplément qui permettra aux employeurs de mieux juger des compétences professionnelles des diplômés. Cette classification des diplômes suisses de formation professionnelle permet une certaine transparence et améliore la possibilité de comparai-son avec les diplômes étrangers, promouvant ainsi la mobilité sur le marché du travail ou dans le secteur de la formation. La question essentielle est alors la suivante: qui évalue quel diplôme à quel niveau? Autrement dit: qui juge de la valeur de la formation professionnelle supérieure en Suisse?

Contexte de départLa formation professionnelle supérieure (FPS) permet de fournir en spécialistes et cadres de l’économie suisse, et en particulièrement le marché du travail. Cependant, nos diplômes de formation profession-nelle restent pratiquement inconnus à l’étranger. De plus, ces dernières années, ils ont fait l’objet en Suisse d’une concurrence accrue des diplômes universitaires. Le Conseil fédéral s’est donné pour objectif de promouvoir la même reconnaissance sociale pour les formations professionnalisantes et de permettre la comparaison des diplômes de la FPS à ceux des autres pays européens. Pour cela, on fait appel au cadre de certification. Vous trouverez une description des cadres nationaux et européens de certification dans le numéro 02*12 de Scorecard.

Formation professionnelle supérieure contre haute écoleLe domaine d’application du CNC-CH-FP couvre les diplômes de la formation professionnelle (formation

de base et formation professionnelle supérieure). Ce sont les articles 34 et 65 de la loi sur la formation professionnelle qui en constituent les bases légales. En revanche, les cursus des hautes écoles sont régis par un cadre spécifique de certification: le cadre de certification pour les hautes écoles suisses (nqf.ch-HS). Les débats qui durent depuis des années au sujet de la valeur de la formation professionnelle supérieure par rapport à la formation en haute école sont sans fin. On reconnaît aujourd’hui déjà que les diplômes de «bachelor» d’une haute école correspondent au niveau 6 du cadre de certification de l’espace européen des hautes écoles. Certes, les diplômes des écoles supérieures ne sont encore pas définitivement classés dans le CNC-CH-FPS, mais on leur attribue aussi un niveau 6. S’il n’existait qu’un seul cadre de certification, on pourrait alors montrer que ces diplômes ne sont pas de valeurs différentes. Or, il n’existe à l’heure actuelle aucune disposi-tion légale permettant l’élaboration d’un cadre de certification commun pour les diplômes de formation professionnelle et des hautes écoles. Il faudrait pour cela promulguer une loi fédérale sur la formation pro-fessionnelle et les hautes écoles, ces deux domaines étant actuellement régis par des dispositions régle-mentaires et législatives différentes. Pour y parvenir, il faudrait assurément que le Secrétariat d’État à la formation, à la recherche et à l’innovation réussisse à accorder au mieux ces deux cadres de certification.

Principe de classification des diplômes dans le CNC-CH-FPSMaintenant, qui juge quel diplôme à quel niveau? Il existe plusieurs possibilités pour envisager la classification des diplômes. On pourrait, par exemple, dans le cadre du partenariat de groupe (organisations du monde du travail, confédération et cantons), attribuer un niveau à chaque diplôme de formation professionnelle. Il faudrait bien sûr prendre en compte le fait que chaque association chercherait à

donner la meilleure évaluation possible à ses propres diplômes. Si l’on considère les centaines de diplômes qui existent en Suisse, ce processus serait alors très long et n’offrirait que sur le tard la valeur ajoutée qu’est censé apporter le CNC. C’est pourquoi une forme de classification politique des diplômes paraît plus réaliste. Elle pourrait par exemple attribuer automatiquement le même niveau à l’ensemble des diplômes des écoles supérieures – indépendamment de l’orientation du cursus de formation.

Il est nécessaire de bien penser ce processus, car il doit exister une possibilité de recours au cas où l’au-torité responsable d’un cursus de formation contes-terait la classification attribuée. Le SEFRI planche à l’heure actuelle sur une proposition de processus de classification. L’École Supérieure spécialisée en Banque et Finance (ESBF) continuera d’observer le développement du CNC et d’y participer, par le biais du Kalaidos Groupe Éducatif et de ses réseaux avec la sphère politique, au sein de l’administration et parmi les associations.

Texte: Claudia Zürcher, Kalaidos Groupe Éducatif Suisse, responsable du secteur politique de la formation

L’ESBF À LA CONFÉRENCE DE MAI DU SEFRI

Atelier-débat sur l’éthique et le développement durableLa stabilité dans le secteur de la finance peut-elle être renforcée par une meilleure prise en compte de l’éthique et du développement durable? Comment les acteurs de l’enseignement supérieur spécialisé forment-ils leurs étudiants à ces thèmes? Lors de la conférence de mai 2013 du Secrétariat d’État à la formation, à la recherche et à l’innovation (SEFRI) , l’ESBF a organisé à ce sujet, conjointement avec l’AZEK SA (centre de formation des experts en pla-cements), un atelier-débat pour les spécialistes de la formation œuvrant en dehors du secteur de la finance. Daniel Amstutz, directeur d’AKAD École Supérieure spécialisée en Banque et Finance SA, et Annett Baumast, chargée de cours référente à l’ESBF, ont transmis un savoir dans le domaine de la formation continue, du développement durable et de l’économie financière. Lors de ce débat, Ma-dame Baumast a expliqué d’où venait le concept de développement durable et comment il fallait l’appréhender dans le contexte financier. Dans son exposé, elle a essentiellement exposé les principes de gestion durable à long terme d’une entreprise du secteur financier, et leur contribution à la stabi-lité de ce secteur.

René Nicolodi, qui est entre autres chargé de cours à l’AZEK, a mis en lumière les aspects éthiques et durables des instruments de placements destinés aux clients du secteur bancaire. Ces interventions ont permis de susciter des débats animés parmi les participants. L’ESBF a récemment intégré le do-maine de compétence Développement durable au sein du secteur bancaire pour en faire un élément central de sa formation. À partir de juin 2013, les étudiants recevront pour le première fois en deux année d'études une formation au développement durable par le biais d'un nouveau matériel didac-tique AKAD pour l'étude autonome et participeront à quatre cours présentiel de quatre leçons chacunes.

AKAD École Supérieure spécialisée en Banque et Finance SAest une entreprise deKalaidos Bildungsgruppe SchweizCentro di Studi BancariFondation Vaudoise pour la Formation BancaireISFB Institut Supérieur de Formation Bancaire

Pour en savoir plus: Lien D http://tinyurl.com/befragungalumni

Lien F http://tinyurl.com/sondagealumni

Lien I http://tinyurl.com/sondaggioalumni