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Al-Simsimah: Quelques repres pour lhistoire du soufisme, Eric Youns Geoffroy
Al-Simsimah
Ivan Aguli
Ren Gunon
Michel Vlsan
Martin Lings
tudes Traditionnelles
Prires sur le Prophte
samedi 16 juillet 2011
Quelques repres pour lhistoire du soufisme, Eric Youns Geoffroy
Le terme sf ne figure pas dans les sources scripturaires (Coran, Hadth). La raison nous en est donne par un matre du XIe sicle du vivant du Prophte et de ses Compagnons, le soufisme tait une ralit sans nom alors quil est maintenant un nom sans ralit , affirmait-il. Cest lorsque la lumire de la prophtie sest loigne que les saints musulmans, hritiers des prophtes, ont d jouer un rle de guide de plus en plus apparent dans la socit.
Notre terme "soufisme" traduit celui, arabe, de tasawwuf, qui signifie littralement le fait de se vtir de laine (sf) . Telle aurait t lhabitude, en effet, des premiers asctes et, avant eux, des prophtes.
Dautres tymologies du mot sfi - qui dsigne tantt lhomme pleinement "ralis", tantt le simple adepte du tasawwuf - ont t suggres. Les matres avancent souvent une explication spiritualiste : le soufi est celui que Dieu a purifi (sfiya) des passions de son ego (nafs), celui donc quIl a lu (istaf, de la mme racine), et nous percevons dj lquation qui sera tablie implicitement entre soufisme et saintet en islam. Paralllement aux similitudes phontiques, la science du symbolisme des nombres donne au mot sf la mme valeur numrique que al-Hikma al-ilahiyya, la Sagesse divine . Sous ce rapport, le soufi est donc celui qui possde cette sagesse ou, en dautres termes, a accs la connaissance de Dieu, la gnose (al- marifa).
Les auteurs invoquent une autre interprtation du mot sfi, qui revt un caractre historique, ou plutt mtahistorique. Elle fait venir le mot sfi des ahl al- suffa, les Gens du Banc qui vivaient dans un dpouillement total dans la mosque du Prophte Mdine, et auxquels celui-ci aurait prodigu un
enseignement particulier. Avec eux comme avec dautres Compagnons, le Prophte fonde le modle de la relation de matre disciple (suhba) en islam. Le lien immatriel qui existe entre le Ymnite Uways al-Qaran et le Prophte, sans quils ne se soient jamais rencontrs, ouvre le champ un mode dinitiation spcifique, dit uways. Par la suite en effet, des mystiques affirmeront avoir t initis par un matre dfunt - parfois depuis plusieurs sicles -, lequel se manifeste sous la forme dune entit spirituelle (rhniyya). Selon les matres, les quatre premiers califes bien dirigs , proches du Prophte, furent des Ples ayant dtenu la fois le califat exotrique et sotrique ; Ab Bakr et Al, principalement, sont reconnus comme deux
grandes figures spirituelles ayant transmis aux gnrations postrieures linflux initiatique (baraka) du Prophte.
Intriorisation de la foi
La spiritualit islamique initiale est marque par les sourates apocalyptiques du Coran qui, par leur rappel lancinant de lvanescence de ce monde et du Jugement dernier dterminent une attitude de dtachement (zuhd) et, corrlativement, dpuration de lme par lacquisition des vertus spirituelles. Cette attitude rpond un idal largement partag pendant les deux premiers sicles de lHgire, et ce qui se vit alors est davantage une intriorisation de la foi quune dmarche proprement sotrique. Hasan al-Basr (mort en 728), de Bassora, illustre bien cette harmonie par la compltude de sa dmarche, tourne la fois vers les sciences extrieures et le renoncement intrieur. Le centre de Kufa, galement en Irak, montre plus dintrt pour la spculation doctrinale, sans doute sous linfluence du chiisme naissant. Cest l en tout cas que lon trouve pour la premire fois lpithte sf applique un certain Ab Hshim (mort vers 777).
Malma et tasawwuf
Le IXe sicle, correspondant au troisime de lHgire, reprsente une tape majeure dans lhistoire du soufisme. Durant cette priode en effet, les mystiques musulmans explorent les diffrentes voies de la spiritualit en islam. Deux modalits majeures se dgagent, qui suivent lorigine une rpartition gographique. La voie du blme (malma) pratique par lcole du Khorassan (nord-est de lIran et Afghanistan actuels) contraste fortement avec celle, irakienne, du tasawwuf. La premire prne le refus de toute complaisance pour lego et la dissimulation des tats spirituels ; elle se traduit par la qute de lanonymat ou, linverse, de la mauvaise rputation : dans un cas, lego doit tre oubli, dans lautre humili. Le tasawwuf, au contraire, a une vision moins pessimiste de lme et du monde : il faut les dpasser -
et non sy arrter par le refus que le malmat leur oppose - en souvrant la grce divine et lextase, en se concentrant sur la connaissance de Dieu. Cette distinction sestompe ds le sicle suivant au profit du tasawwuf , qui simpose ds lors comme terme gnrique pour dsigner la spiritualit islamique ; toutefois celui-ci aura subi linfluence de la malma, et certains courants en son sein mettront laccent sur la sincrit spirituelle et la dfiance lgard des miracles sensibles. Paralllement ont lieu des expriences pionnires plus individuelles ; sen dgagent des tempraments spirituels dont on relve la permanence au long des sicles. Rbia al-Adawiyya (m. 801), par exemple, exalte lamour entre Dieu et Sa crature, tandis que Dh l-Nn al-Misr (m. 860) tablit les fondements de la Voie initiatique et dveloppe la gnosologie ; Ab Yazid Bistm (m. 877) typifie le caractre ivre du soufisme, alors que Junayd en incarne le versant lucide , etc. Au cours de cette phase dinvestigation, certains mystiques perdent pied, car initialement aucune entrave ne leur vient des milieux exotriques ; totalement immergs en Dieu, ils nobservent
plus la distance entre leur ego et le Je divin, et en arrivent profrer des propos extatiques (shataht) qui heurtent la conscience du croyant ordinaire. Les docteurs de la Loi conoivent, et dans une certaine mesure
acceptent, que des mystiques puissent tre visits par lextase ; mais ils leur demandent den contrler le dbordement, de ne pas voquer ouvertement leurs expriences devant les profanes. Shibl, qui pratique intentionnellement le paradoxe pour branler lapproche trop douillette quont ses contemporains des
ralits mtaphysiques, chappe la vindicte des juristes en feignant la folie, mais ce nest pas le cas de son matre Hallj.
Formulation de la doctrine sotrique
Dautres soufis prouvent le besoin de formuler la doctrine sotrique, un moment o les diverses sciences religieuses, elles aussi, prennent corps. Hakim Tirmidh (m. 932) par ses laborations sur la saintet, Sahl Tustar (m. 896) par lbauche du thme de la Lumire muhammadienne , Kharrz (m. 899) puis Junayd par leur intriorisation du dogme exotrique du tawhd, tous ces matres rigent le soufisme en discipline initiatique rserve llite spirituelle (al-khssa), oppose au commun des croyants (mma). Les soufis se
dsignent ds lors comme lOrdre ou la Tribu des initis (al-Tifa, al-Qawm).
valuant leurs expriences laune des sources scripturaires, ils forgent une terminologie qui puise lessentiel de sa matire dans le Coran. Mais ce lexique ainsi que le langage allusif (ishra) quils adoptent sont hermtiques dessein, afin que les secrets ne tombent pas dans loreille des profanes. Bientt, ce sont leurs propres paroles qui ncessitent une exgse (tawl), comme eux-mmes la pratiquent sur le Coran. Ds le VIlle sicle en effet, est ne la discipline du commentaire anagogique du Livre, sous limpulsion de Jafar al-Sdiq (m. 765) notamment. Si celui- ci reprsente pour les chiites le sixime imam, les sunnites le vnrent galement en tant que descendant du Prophte et voient en lui une grande figure spirituelle. Chiisme
et sunnisme ne sont pas encore bien diffrencis cette poque et le huitime imam, Al Rid (m. 818), aura son tour des soufis pour disciples ; cest pourquoi il figure dans les chanes initiatiques des ordres.
Au sein du sunnisme, le divorce semble donc consomm entre la science exotrique et la science sotrique, alors quelles ntaient quune du vivant du Prophte. Ibn Khaldn, qui fait ce constat rtrospectivement au XlVe sicle, repre cette scission dans le mot arabe fiqh ; il remarque que pour les exotristes celui-ci se rduit au sens de jurisprudence islamique , tandis que pour les soufis, il dsigne, conformment son tymologie, lintellection de Dieu et des ralits spirituelles.
Le procs et lexcution de Hallj (m. 922) sonnent le glas de cette priode dexploration tous azimuts ; les soufis se montrent plus prudents, et surtout ils comprennent quil faut expliquer aux autres musulmans en quoi le soufisme est le coeur de lislam. Junayd de Bagdad (m. 911) devient dsormais une rfrence majeure, par lintelligence et la matrise quil a de son exprience de lUnicit divine, toujours contenue dans le cadre de la Rvlation ; cela lui vaut le surnom de Seigneur de lOrdre des soufis (sayyid al-Tifa).
Le soufisme comme discipline islamique
Au cours de la deuxime moiti du Xe sicle et durant le XIe sont rdigs plusieurs manuels qui vont jouer un rle providentiel dans la reconnaissance du soufisme. Ils sont prcieux dabord parce que leurs auteurs y collectent lenseignement oral des premiers matres, mais leur but avou est de prouver lorthodoxie foncire
du soufisme et de lriger en discipline islamique accomplie. Puisque toute science possde une terminologie, ils explicitent celle du tasawwuf.
Pour combattre la philosophie hellnistique (falsafa), laquelle on reproche de privilgier la raison par rapport la Rvlation, ainsi que le chiisme dans ses formes extrmistes, une sorte dalliance se fait jour entre le soufisme et les deux principaux courants thologiques de lislam sunnite, par ailleurs opposs sur bien des points : les coles asharite et hanbalite. La premire prdomine rapidement et, conjugue au rite juridique shafiite rpandu au Moyen-Orient, elle donne naissance une grande ligne de soufis et de savants affilis au tasawwuf qui donneront dfinitivement droit de cit celui-ci au sein de la culture islamique. Ab Hmid al-Ghazli (m. 1111) en est la figure la plus connue, mais bien dautres seraient citer. Il montre notamment que, lexploration du versant cach de lislam ne saurait conduire des aberrations doctrinales telles que les formulent les Ismaliens, mais amne au contraire dcouvrir la richesse intrieure du dogme sunnite. Son oeuvre est fortement redevable des efforts accomplis avant lui en ce sens, mais son parcours personnel aura valeur dexemple : devenu lun des plus grands savants de Bagdad, il traverse une profonde crise intrieure ; aprs avoir quitt toutes ses fonctions, il voyage durant plusieurs annes et trouve dans le soufisme la dlivrance.
Lmergence des ordres initiatiques
Les XIle et XIlle sicles voient apparatre deux phnomnes concomitants que lon a trop souvent opposs : lmergence des ordres initiatiques (tarqa ; pl. turuq), et celle dun soufisme forte teinte sotrique. Les ordres qui se fondent cette poque (principalement en Irak, en gypte et en Asie centrale) sont en fait des projections particulires, dans le temps et dans lespace, de la Voie reliant lislam exotrique sa ralit intrieure : la Tarqa. La relation de matre disciple revt une grande importance ds les dbuts du soufisme,
mais les dmarches demeurent gnralement individuelles et il est rare quun aspirant reste toujours auprs du mme cheikh. Aux IXe et Xe sicles, quelques communauts voient le jour en Irak et dans le Khorassan ; toutefois, on ny trouve pas encore les composantes dune tarqa, telles que la vnration dun matre ponyme et laccent port sur la chane initiatique remontant au Prophte. Pour de multiples raisons que nous ne pouvons voquer ici, cette relation initiatique base sur le compagnonnage se systmatise et se structure
progressivement partir du XIle sicle. Le soufisme, qui attire alors un nombre sans cesse croissant de personnes, revt un aspect communautaire de plus en plus prononc ; do notre vision horizontale des confrries , laquelle ne saurait pourtant clipser ce quest vraiment une tarqa : un lien vertical unissant le disciple au matre et, au-del, au Prophte. Les matres des ordres soufis ne distillent pas le mme enseignement tous ceux qui les ctoient. En effet, il existe plusieurs modalits de rattachement une voie,
et donc plusieurs vitesses dans le processus dinitiation. Certains ne viennent y chercher quun influx spirituel (baraka) et multiplient frquemment ces sources de bndiction en collectionnant les affiliations. Dautres, par
contre, simpliquent totalement dans leur relation initiatique, et reoivent de leur matre une ducation spirituelle complte (tarbiya). Ces disciples proches du cheikh bnficient videmment dun enseignement spcifique ayant une teneur sotrique plus prononce. La plupart des matres de tarqa sont galement des
savants en sciences religieuses, et sils voient dans leur auditoire des personnes inaptes comprendre et donc accepter leurs paroles, ils pratiquent aussitt la "discipline de larcane" en abordant un sujet dordre
exotrique. Malgr ces prcautions, les juristes leur reprochent souvent davoir cr une seconde Loi rserve llite ; sil est vrai que certains cheikhs donnent des prescriptions spciales leurs disciples, observe Ibn Khaldn, celles-ci sinsrent toujours, en dfinitive, dans le cadre des cinq piliers de lislam.
Paralllement la constitution des familles spirituelles, le soufisme se dote durant cette priode dun corps de doctrines plus labor quauparavant. En fait, ces doctrines sont dj en germe dans lenseignement des matres des IXe et Xe sicles, tels que Sahl Tustar et Hakm Tirmidh ; dsormais, elles sont formules de faon systmatique et largement divulgues, ce qui ne manque pas de heurter maints savants. partir du XlVe sicle, on les voit frquemment opposer ce soufisme moderne , tax de philosophique ou thosophique (falsaf) celui des anciens, fond sur lacquisition des vertus spirituelles (akhlq). La philosophie illuminative de Suhraward al-Maqtl (m. 1191) constitue cet gard un exemple extrme :
elle doit bien trop Platon et lIran prislamique pour tre intgre dans le soufisme sunnite, et le pouvoir ayyoubide, qui par ailleurs encourage celui-ci, fait excuter le mystique persan.
Dautres matres dveloppent des doctrines audacieuses, mais qui restent dans le giron du sunnisme et de ce fait auront une grande postrit. Elles expliquent le monde manifest comme une thophanie (tajallf) sans cesse renouvele de lunique tre (wujd) divin. Bien quadopte par dautres soufis, tels que Rzbehn et Ibn al-Frid, la thse du tajall connat son dveloppement ultime dans lenseigne-ment de Muhy al-Dn Ibn Arab (m. 1240). Ce Grand Matre (al- Shaykh al-Akbar) de la spiritualit islamique marquera toute
lvolution postrieure du soufisme, mais il est noter que la doctrine de lunicit de ltre (wahdat al-wujd), qui lui est impute, a t nonce formellement par des disciples ultrieurs.
linstar des exotristes, mais pour des raisons diffrentes, des soufis ont galement rprouv une telle formulation de lsotrisme ; leurs yeux, les ouvrages dIbn Arab et de son cole mettent dangereusement la porte du croyant ordinaire un enseignement qui ne lui est pas adapt et peut nuire sa bonne comprhension du dogme de lislam. Certains matres, comme Simnn (m. 1336), ont prfr sen tenir lunicit de la contemplation (wahdat al-shuhd), hritire de lexprience de lextinction en Dieu
(fan). La distinction entre les deux modes de ralisation de lUnicit na pourtant quune valeur toute relative, ce que montreront les cheikhs de la Shdhiliyya et le naqshband Ahmad Sirhind (m. 1624).
Soufisme confrrique et thosophisme
Lapparition des voies initiatiques et la formulation sotrique du soufisme ne sauraient tre dissocies car elles participent lune et lautre dun mme mouvement dextriorisation. Les deux phnomnes saccompagnent dailleurs dune influence accrue des cheikhs dans les domaines social et politique, o les
saints de la hirarchie sotrique assument un rle de plus en plus manifeste. Cest autour de la personne du Prophte que se fait cette double volution. Au cours des premiers sicles, les soufis ont t absorbs par lexprience de lUnicit divine ; avec llaboration des doctrines sur la saintet (walya), ils revendiquent dsormais leur hritage muhammadien en dployant une prophtologie caractre sotrique : si le simple croyant ne voit en Muhammad que la figure de lintercesseur, le gnostique sattache sa fonction
cosmique d isthme (barzakh) ou intermdiaire entre Dieu et les hommes. Ainsi lexplicitation des doctrines de la Ralit muhammadienne et de lHomme parfait , aux XIIIe et XIVe sicles, concide-t-elle dans le temps avec lmergence de formes dvotionnelles centres sur le Prophte, telles que la clbration de lanniversaire de sa naissance (Mawlid).
Lexemple dIbn Sabn (m. 1269) montre quon ne peut opposer un soufisme confrrique dit "populaire" un thosophisme litiste. En effet, ce matre dveloppe une mtaphysique trs abrupte puisque niant toute consistance ontologique aux cratures ; elle sera dailleurs rcuse par la plupart des soufis. Pourtant, Ibn Sabn fonde une voie et se dote dune chane initiatique, trs particulire il est vrai puisquelle remonte Platon et Aristote. Au demeurant, durant la priode mdivale tardive, les ordres soufis se montrent
de plus en plus permables aux doctrines dIbn Arab et de son cole, et les propres dtracteurs du matre reprennent frquemment leur compte certains points de son enseignement. Son rayonnement sexerce jusque sur la scne politique, puisque la dynastie ottomane prend officiellement fait et cause pour lhomme et son oeuvre. Sur le plan structurel, les tarqas-mres qui ont vu le jour aux XlIe et XIlle sicles donnent rapidement naissance diverses branches ; le plus souvent, celles-ci deviennent autonomes par rapport leur voie dorigine. Lordre soufi est un organisme vivant, qui volue au cours des sicles : priodiquement, des personnalits spirituelles prouvent le besoin dadapter au nouvel environnement les modalits initiatiques et rituelles de leur ordre, sans pour autant modifier les fondements doctrinaux de celui-ci. lpoque ottomane, le grand nombre des adeptes ncessite une organisation hirarchique, avec dlgation de lautorit des reprsentants du matre (khalfa, muqaddam).
Rforme intrieure du soufisme
partir du XVIlle sicle, le soufisme est confront des dfis venant tant de lintrieur que de lextrieur. Des pratiques dviantes se sont introduites au sein de certains ordres, qui ne font que reflter la baisse gnrale du niveau culturel. Lappauvrissement qui caractrise ces ordres se traduit par exemple par le recours systmatique la transmission hrditaire de la fonction de cheikh. Le soufisme tardif se borne-t-il donc grer le sacr ? Lextension quantitative des ordres a peut-tre entran une dperdition sur le plan initiatique, car elle a rendu difficile la relation troite de matre disciple ; mais il va de soi que celle-ci sest maintenue avec toutes ses exigences dans des cercles restreints. Paralllement, lapparition du wahhabisme, mouvement puritain et littraliste n en Arabie au XVIlle sicle, a pour effet de raviver les polmiques portant sur lenseignement sotrique des soufis. Par raction, la production doctrinale des matres accentue son caractre apologtique. Les attaques des dtracteurs du soufisme portent dautant plus quelles font souvent lamalgame entre la spiritualit authentique et les comportements aberrants des pseudo-soufis que les matres ont toujours stigmatiss. Les prises de conscience sont donc nombreuses, travers le monde musulman, pour rformer de lintrieur le tasawwuf, pour lui redonner sa dimension principielle de Voie muhammadienne se situant au-del des particularismes confrriques ; mais il ny a en cela rien de fondamentalement nouveau, puisquen islam tout courant religieux se doit de lutter contre la dgnrescence du temps afin de restaurer sa pure origine prophtique.
Il faut galement faire face la monte de linfluence europenne dans le monde musulman, ce qui explique laspect militant ou missionnaire qui se manifeste dans certains ordres. Rien de neuf, l encore, car les soufis ont toujours pratiqu le jihd ds lors que le territoire de lislam tait menac. Durant les premiers sicles, ils ont combattu dans linstitution militaire qutait initialement le ribt, avant que celui-ci nabrite leurs exercices
spirituels : les soufis nont jamais dissoci la petite guerre sainte (al-jihd al-asghar) contre lennemi extrieur de la grande guerre sainte (al- jihd al-akbar) contre lego et ses passions.
Si danciens ordres se restructurent aux XVIlle et XIXe sicles tandis que dautres apparaissent, on ne peut voir l que des mutations formelles. Pour lessentiel, cest--dire sur le plan de la doctrine, on ne constate aucune rupture avec le soufisme mdival ou post-mdival. Ainsi, les ordres ont toujours pour assise
mtaphysique mtaphysique la doctrine de lunicit de ltre . Dans le domaine initiatique, il ne sagit pas de faire oeuvre doriginalit, mais de vivifier la Tradition. La rnovation spirituelle cyclique est inscrite
dans cette parole du Prophte, dont les soufis font grand usage : Dieu envoie cette Communaut, au tournant de chaque sicle, un homme charg de rnover la religion . Do les reformulations priodiques dune mme doctrine nonces au fil des sicles ; do aussi lmergence de matres contemporains, qui rappellent ceux qui les ctoient les grandes figures du soufisme classique (citons le cheikh algrien Ahmad Alaw, mort en 1934, dont linfluence en Occident est encore profonde). Les uns et les autres sont lexpression dune mme ralit intemporelle, vu quils puisent tous la source muhammadienne. Selon les auteurs soufis, les saints soccultent davantage durant les poques obscures, mais ils nen continuent pas moins dexercer leur fonction sotrique dans le monde.
Eric Youns GEOFFROY
Matre de confrence au Dpartement dEtudes Arabes et Islamiques de Strasbourg II - Universit Marc Bloch
Publi parYahya De Kuyper
18:40:00
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Louis Charbonneau-Lassay - L'Iconographie emblmatique de Jsus-Christ. Le Griffon - La Salamandre
ean-Jacques Thibon. - Les voies des Hommes sincres parmi les soufis - Ab Abd al-Rahmn al-Sulam
Lumire d'Islam - Jean-Louis Michon
A.K. Coomaraswamy - L'illusion de l'instruction
Cheikh Ibrahima Niass ou le grand matre soufi qui conduit lamour et la connaissance dAllah
Louis Charbonneau-Lassay - Le Coeur humain et la Notion du Coeur de Dieu dans l'ancienne gypte
Lahcen Daaf - Les inscriptions de Bab Mansur al-,Ilg : dchiffrement et traduction
W. Wallace, S. J. De lvanglisme au Catholicisme par la route des Indes
+ compte rendu de Ren Gunon
El Bostan ou Jardin des biographies des saints et savants de Tlemcen
Par Ibn Maryem Ech-Cherif El-Melity traduit par F. Provenzali
Maurice Alliot. - Le Culte d'Horus Edfou au temps des Ptolmes.
Titus Burckhardt - Le retour d'Ulysse
Dr Denis Gril
Esotrisme contre hrsie : 'Abd al-Rahmn al-Bistm, un reprsentant de la science des lettres Bursa dans la premire moiti du XVe sicle
Mle Emile - Les influences arabes dans l'art roman
tude sur le soufisme - Cheikh Abd-el-Hadi ben Ridouane
Interview with Grand Mufti of Syria (Sheikh Ahmad Badreddin Hassoun)
Louis Charbonneau-Lassay - L'Iconographie emblmatique de Jsus-Christ.Les Sirnes
Elif Shafak - Soufi, mon amour
Alexandre Bennigsen - Le Soufi et le commissaire : Les confrries musulmanes en URSS
L'Imam Chamil - Le rsistant du Caucase
Cheikh Mohammed Sad Ramadhn al-Bt - La clbration du Mawlid (vido)
Le Mawlid: Cheikh Tarik Abou Nour
Frithjof Schuon - L'il du Cur (1950)
Dr Pierre Galimard. Hippocrate et la Tradition pythagoricienne.
Pome - Les ptales flottants - De Ghalem Abdellah.
Frithjof Schuon - Le Jeu des masques (1992)
Rfrences Shankarchrya dans l'oeuvre de Ren Gunon
La Mandukypanisad : Avec les karikas de Gaudapada et les commentaires de Camkaracarya.
Gauthier Pierozak : Lamiti entre Gunon et Charbonneau vient de leur intrt pour le symbolisme
Louis Charbonneau-Lassay
L'Iconographie ancienne du Coeur de Jsus. L'Emblme du Plican dans l'Iconographie chrtienne
Philippe Doussin - Petite mise en perspective de l'Astrologie Chinoise (partie II)
Cheikh Mohammed Sad Ramadhn al-Bt - Les vritables matres
Thse de Bin Zhou
Raymond Queneau vers la construction du centre spirituel : Raymond Queneau lu la lumire de Ren Gunon
Jean-Marc Allemand - Ren Gunon et les Sept Tours du Diable
Louis Charbonneau-Lassay - Le Sacr-Coeur du Donjon de Chinon, attribu aux Chevaliers du Temple
Emile Dermenghem. Vies des saints musulmans
Paroles d'or de Shaykh Abd al-Azz Al-Dabbagh (Extraits)
Khadidjeh Nderi Beni - Le motif et la symbolique de larbre dans le Coran
Chems-eddine HAFIZ - Notes de lecture du livre :
" Introduction aux doctrines sotriques de l'Islam" de Titus Burckhardt
Isabelle Robinet - Le rle et le sens des nombres dans la cosmologie et l'alchimie taostes
Compte rendu " Le Royaume du Graal " par Jean Robin
Texte intgral
Frithjof Schuon - De l'Unit transcendante des Religions
Bruno Faidutti - Images et connaissance de la licorne : (Fin du Moyen ge - XIX e sicle)
Louis Charbonneau-Lassay - L'Iconographie emblmatique de Jsus-Christ. La Licorne - Le Rhinocros
Cheikh Ahmad At-Tidjn
Au sujet de lme (Nafs), de lesprit (Rouh), du cur (Qalb) et du secret (Sirr).
Sur le Porteur de Savoir
La prire du Cheikh adr Al-Dn Al-Qnaw (89me prire Sadat Al-Drayn) Cheikh Nabahn
ric Geoffroy : On ne peut nier le besoin spirituel en France
Georges C Anawati - Trois talismans musulmans en arabe provenant du Mali (March de Mopti)
Zam Khenchelaoui - On assiste une dspiritualisation de lislam
Tayeb Chouiref
Introduction "Le Mawlid. Fatwa sur la clbration de la naissance du Prophte" de Suyuti
Grgoire Espesset
vau-l'eau, rebours ou l'ambivalence de la logique triadique dans l'idologie du Taipingjing
F. Chiabotti - G. Carrera - Origine et finalit du langage dans le moyen ge islamique.
Joseph Orsier - Henri Cornlius Agrippa : sa vie et son oeuvre d'aprs sa correspondance (1486-1535
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - Les Caprids : Le Bouc
Hlne Heckmann - Amadou Hampt B - sa vie- son oeuvre
Actualit - Poutine veut en finir avec lArabie saoudite
Grgoire Espesset - Cosmologie et trifonctionnalit dans lidologie du Livre de la Grande paix
Dans notre srie "Taosme"
Grgoire Espesset - Les "Directives secrtes du Saint Seigneur du Livre de la Grande paix" et la prservation de l'unit
Titus Burckhardt - De l' Homme universel - Abd al-Karm al-Jl
Abdallah Penot - Futuhat 50 : par quoi connat-on Dieu ? Intellect, tradition et dvoilement.
Lge sombre Ren Gunon
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - La Panthre
Rahal Boubrik - Fondateur et hritiers La gestion d'une succession confrrique (Mauritanie)
S.Amanoullah de Vos - La Pratique de la "Rabita al Sheikh": l'attachement au Sheikh
Sance de dhikr naqshbandi la zaouia Osmanl Dergh - Cheikh Abdul Kerim al-Qubrusi (ra) - Cheik
S.Amanoullah de Vos - La Ralit Divine Ultime - La Ralit Mohammadienne - Al-Mahdi (saw)
Dala'il al-Khayrat - Arabe et franais
tudes Traditionnelles n 483 486 (1984)
Philippe Doussin - Petite mise en perspective de l'Astrologie Chinoise
Amadou Hampt B - Maabal. Un morceau d'or pur dans un chiffon sale
Denis Gril - Le Livre de l'Arbre et des Quatre Oiseaux d' Ibn Arabi ( Rislat al-ittid al-Kawn)
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - Le Centaure - Le Minotaure
tudes Traditionnelles n 467 470 (1980)
Mehmet Ali Ayni - Un grand saint de l'Islam: Abd-al-Kadir Guiln
Thodore Monod - Un homme de Dieu: Tierno Bokar
Tayeb Chouiref - Citations coraniques expliques.
Le Grand Jihd - Soufisme en Tchtchnie (vidos)
Amadou Hampt B - Ne deviens pas un petit dieu ou le mensonge devenu vrit
Luca Patrizi - Parler la langue dAdam : glossolalie et langue des saints en islam
Jean-Jacques Thibon
La prsence des Soufis, de leurs doctrines et de leurs pratiques, dans quelques contes des Mille et une nuits
Isabelle Robinet - Histoire du taosme : Des origines au XIVe sicle
L'invocation pour loigner la tristesse et les soucis - Arabe - Phontique - Traduction - Vido
El-Hdj Ibrhma NIASS - Noujoumoul Houda - Les Etoiles de la Bonne Voie
Eva de Vitray-Meyerovitch - Le got de lexprience spirituelle
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - Le Phnix
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Les ambivalences de la couleur noire dans la tradition musulmane, partir des sources scripturaires et de quelques textes soufis
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - L'Aigle
tudes Traditionnelles n 399 404 (1967)
Alexandre Amn Thiry - Les Piliers de la sagesse : Anthologie de l'Islam spirituel
Les Rites Secrets Des Indiens Sioux - Hehaka Sapa (Black Elk)
Abd el-Kader - crits spirituels Kitab Al Mawaqif
Sceau de l'Emir Abd-el-Kader
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - La main
Osman Yahya - Histoire et Classification de l' oeuvre d' Ibn Arabi
D. Elbaz - La place de l'homme dans l'univers et la conception du temps selon la tradition chinoise
Commentaires pralables par Philippe Doussin
Guido De Giorgio - L'Instant et l'ternit (Le mythe de l'avenir)
tudes Traditionnelles n 381 386 (1964)
Dictionnaires et grammaires pour la langue arabe
Rajout de nouvelles ressources
Abdul-Hd - Notes sur l'Islam
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - Le Sphinx
Matgioi (Albert de Pouvourville) - La Morale chinoise
Frithjof Schuon - Du Sacrifice - tudes Traditionnelles avril 1938
Charles-Andr Gilis - Respecter les convenances
tudes Traditionnelles n 369 374 (1962)
tudes Traditionnelles n 363 368 (1961)
Titus Burckhardt - La prire d'Ibn Mashsh
Charles-Andr Gilis - Une interprtation cosmologique des Fuss
Frithjof Schuon - Mystres christiques
Roger Deladrire - Un Propos transcendant d' Ab Yazid al-Bistmi
Louis Charbonneau-Lassay - L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - Le Lion
Le wahhabisme dissqu : entretien avec Daoud Riffi
Le tombeau de Khadija, premire pouse du Prophte saws, avant sa destruction par les Saoud en 1925.
Cheikh al-Alaw - L'Unicit de ltre
Titus Burckhardt - L'art de l'Islam - Langage et signification
Charles-Andr Gilis - Ren Gunon et la tradition islamique
Frithjof Schuon - De Quelques Aspects de l'Islam . 1935.
Denys Roman - Du Temple la Maonnerie par lHermtisme chrtien
Notice introductive d' Andr Bachelet
Paul Chacornac - La vie simple de Ren Gunon - ditions traditionnelles
Etudes Traditionnelles - Numero special consacre a Rene Guenon 1951
L'Akido un chemin plein de mystre - Le Roi Dragon
..."Celui qui est dtach de sa vie, ne se dtourne pas pour viter la rencontre dun rhinocros ou dun tigre ; il se jette dans la mle sans cuirasse et sans armes ; et cela sans prouver aucun mal ; car il est lpreuve de la corne du rhinocros, des griffes du tigre, des armes des combattants. Pourquoi cela ? Parce que, extrioris par son indiffrence, il ne donne pas prise la mort...."Verset 50 du Tao-Te-Kin
La Voie - La Revue mensuelle de Haute Science
Etudes Traditionnelles 1936 (num. 193 204)
Othmn YAHYA - LE KITB KHATM AL-AWLIY (Le Sceau des Awliy) D'AL-HAKM AL-TIRMIDH
LES VIERGES NOIRES par J.F.
Trois remarques trs simples simposent demble, qui seront le fil conducteur du prsent dveloppement : 1) Elles sont noires (de bois noir ou peint). 2) Elles sont antrieures au Christianisme. 3) Elles font cependant lobjet dun culte autoris chez les Chrtiens, ce qui est pour le moins curieux.
Denis Gril - Les "confrontations" avec Ibls de Saf al-Dn ibn Ab L-Mansr
Ren Gunon
Quelques aspects du symbolisme du poisson
Louis Charbonneau-Lassay
L'iconographie emblmatique de Jsus-Christ - Le Poisson
Grillot de Givry - Lourdes
Jean-Raphal Grillot de Givry - Souvenir de mon pre
Grillot de Givry vers 1902
A lire sur Le Roi Dragon N8
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A.A.H Les nigmes dans la vie dAguli Les pseudonymes
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Le camlon est un trs grand professeur. Regardez-le...
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Symbolisme Universel de la caverne
LAkido une Voie de ralisation de l' Unit - Interview exclusive avec Philippe Doussin
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Kairouan : la ville aux cent mosques
L'migration du Prophte saws (l'Hgire) vers Mdine
La Mecque
La Shadhiliya en Tunisie
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La ville Sainte de Touba
Le mausole de lImm Rez Mashhad: hritage spirituel et architectural de lhistoire iranienne
Le paradoxe de la Kaba
Les mosques et les zaouias de la Medina de Tunis
Vertus des lieux Saints de Tunis - Le Maqm et la Maghrah
Pomes, chants, oraisons
Hizb-ul-Tawassul [Shaykh Abu-l-Hassan ash-Shdhili]
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La Djaouharatou-l-Kamel - La Perle de la Perfection
Qada al-Burda Pome du manteau
Salat El-Fatihi - Historique - Mrites et bienfaits - Exgse
Wird al Latif de l'Imam al Haddd
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Apprenons l'alphabet arabe
Dictionnaires et grammaires pour la langue arabe
L'Histoire de l'criture arabe
LArabe: un modle linguistique Point de vue de Jacques Berque.
La dimension spirituelle et gnostique de la calligraphie : du sentiment esthtique la voie vers lOrigine de toute beaut
Le bruissement du calame. Histoire de l'criture arabe
Le caractre sacr de l'criture arabe
Lexique terminologique du soufisme
Petit glossaire de l'Islam
Prires du Saint Coran - Arabe classique- Traduction franaise et translittration phontique - Exercices de lecture pour les dbutants
Libells
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Al Ibn Maymn al-Fs
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