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SAMEDI J3 JUILLET 1811. A \\ ee DU culletî !^. VBIZ SE lE’AEomrEMXHT PoOM LA Vil ». . . PODL Ll DirARTBIfltlT. Hors oo DiFARTEttSKT. IV (b\ mois. Six mois. Un «n. Six mois. ArraïonicESAuBiciAmEs. * t^ré|>j, cI ic m. B,i , iforiiU Ions 1(4 (^^rtin<î>is. ”’r T ’ liliraire. d'. Wp»rlemcfe «•«-tre.I.il.rai.o. V«U DES - ANNONCKS JUniCIAIBES, i5 :?!û'na l,»„r AilJIONCES illVEUSES, id. SENLIS. — Une iristc expérience |irouvc nn’il est na, f,.iA compietemenl mm.le d’avoir raison^ Les par i , a l lin trace du ülipiniii J a . p.... .i _ i». . v « l'diii.saiis ■In t.acé du chemin de f l de Par 'à par fes Vallées de l ’Oise et de l’AI •'«■“«■■h-or d’nne manière irié- fragahie qne ce (,acé é la U i:'dusTre, .noms cher a exéciil^r, le pins favorahie au coni? juc^ce, et le meilleur au p„im de vue sliléV au" Il fmit savoir se rcsi^'iioi’ #>i » /^ r comme di, 'l’Oise; »hsohimei.t comme si la ChamI..; a v l ,h"! ^30 me p.que d’économie, et j’en ai souveui doilhé des |.i on connaît mon amour pour la patrie- 1 m.i f".l que je préféré un plau, hieu inférieur, m. poi iléhals, semidaliles à ceux qui o'nt cüTicu au t'rii limial de Senlis, le 26 juin dernier, en dit que Tau- lorité municipale se propose de faire visiter de temps en temps, et à l’improviste, la halteiie de riiisine, des hôtels et anherges de la ville. Ou ne ' - — —■n'-“ '*'• •“ viii»,.. v/*i jïcutqii applaudir a crlte sage mesure. On dit aussi cpi’iiii arrelé du inairc doit i _ . . .... uia^sv. UM IlIctIlU u u il eu» joindre aux haliiiaiits de ne déposer 1rs ordures ilans les rues, qu’au moment où passeront les toin- hereanx qui doivent les enlever. Parce moyen, les las d’ordures ne ponri ont pins être éparpillés sur la voie pnhiiqne par les chiens, les enfants, ou par lonte antre cause accidentelle; et les rues seront pins propres. — Le Glan<{ur senlisien, journal liiléraire, vient de paraître. Il s’annonce cenime plein de mansuétude f et délinle par une mercuriale de qiiblie-vingts lignes contre nous, parce que, dans notre numéro du 22 juiulderniér, le mot Ao/rV,„,r gilf'* ® ‘■‘-'“ A l- un rude cfféf“ “l T " i ® - " -•1“ article du 22 juin i en ii.nl/ * avec ses doux II! Ah» û m tiens! eiicorê ï';' = » ' « au lieu ne plaindttons. Loinmeiil se fait-il que le Glaneur “ au pas rfenrréç celle-ci, puisqu’il était eu t S Paris des Belges, se rendant à I- 1 ® enfants, ont passé iiar Senlis plgne » càm ’- Iiiiâôv*'’i “ f.‘'“ 'i“ ’''®*’®‘'‘'''" '‘' “ c'uiiqnc aux hô- UiZf o" '«yale vétérinaire d’Alfort, cx- velci.naire militaire, vient de se fixer à Cré|iy g. ande rue, hôtel de la Bèiinière. de p l® /-i";l‘''‘ ,''e""ar,'jourde la fêle patronale ‘!."?™ “ éLegraiid, haliitant de <vpiio . -...—x. ^x^.ciuu, iiuuiiani <ic “ est e m r -"®’- “ l'ù'uses libations, ssl de I abreuvoir, où il est tombé Zreu ô a vonin qu’il fût HmWPn Pt»- '« aieur à son . O "■** ''’seaveux, qui a volé elç qiiiric poÛi^ftî ^€rVe âé ses lial^Us. — Le concours pour la place d’instituteur .à Neiiilly-eii-Thelle, aura lieu, dans Tune des salles de la mairie de cette conmiune, le jeudi 18 juillet à 11 heures du niatini — Dans la nuit du ,30 juin au I" juillet, ertre nue et deux heures du matin, une louve, avec deux de ses petits, a pénétré dans un parc de montoiis appartenant à M. Dcligiiières, de Bailleul-le-Soc! Les chiens n’t^t poussé aucun aboiement, et lé hergeé n’a rien entendu. Une battue a eu lieu à la suite de l’apparition de ces animaux, mais elle a été infructueuse. — Un accident qui aurait pu avoir des suites Irès-fàcheiises vient de mettre eu émoi la rue des Treilles à Bcauvais. Ou y construit une maison, et les ouvriers en cave ont enlevé la terre perpeiidi-*' culairement au pied d’un mur qu’ils n’avaient pas suffiiamnient élayé. Survint un orage qui aciiev.i de niiiier lu lcrrc, et nu fracas épouvaulalde avertit le voisinage que le mur s’écroulait. Ileurni. senient les onvricrs s’etaiéiit refirés poiir s^^ gara,,- tir de la pluie: et des chevaux allai liés dans le hâti- mciit voisin purent casser leur longes et s’enfuir pele-inele. Puurrier, substitut du procureur du roi pies le tribunal de Vervins, ancien juge suppléant an tribunal de Clcrinonl, vient d’être iiouinié juge au tribunal de Laon. —- Le 8 juillet, un jeune homme de 20 ans. nomme Couteau, ouvrier inacon,'était monté sur l iiii des arbres des Avenues à Compiègiie, pour s emparer d un nid d’oiseau. Totit-à-coiip la branche sur laquelle il se trouvait vint à casser; ce inalhcii- reux teniha pour ne pins se relever. Il a été trails- perle a I IIotel-Dieu, iuimédiatemciit, et peu de tcmjis après il a rendu le dernier soupir. - - Dimanche dernier, le bataillon de la garde nationale de Compiègne s’est assemblé iiour une inspection d’armes par II. le Maire. On assure que toUs ceux qui n’ont pas répondu a I appel vont être traduits devant le Conseil de discipline. le la comnnuic de Fitz-Jamcs, a t'té cause. Le feu S’CSI tfùCiJ.v/a-u -iT-.trrvt, dans la maison du sieur Nicolas-Augusle Mav, mauouvrier, cl s’est hientôl communique à cofle du sieur Fraiiçois*Simon Cabaret. Ces deux liabi- talloiis,, qui élaient couvcrles eu chaume, ont été la proie des (lamines. Cet incendie a foni ni un nouvel exemple de la diffîcullé que l’on éprouve à déraciner les préjugés qiii'^existeut parmi les hahilânls <lo la campagm''. Malgré les déniciilis donnés plusieurs fois à celle déplorable idée que les pompiers de Clermont so font payer les services qu’ils rendent aux com munes des environs, lorsqu’ils y sont appelés par l’incendie, mardi, quand la compagnie de pompiers est arrivée à Fitz-James, quelques hahiianls de celle commune ont voulu s’opposer à ce qu’elle fit jouer sa pompe sur le foyer de l’inceiidie, en disant qu’ils n’avaienl pas besoin de la pompe de Clermont FEUILLETON. S»>»«5 HÉLOlSi: e s SURVILLIERS. CliaOIfIQt'B SBKIISI8H»B. XXXVI. Ils rmicnl à peine hors de vue-, que les rnvalirrs doni rappjirilîon avall délcrminé h nr brusque éloigiie- •ncnl, ai-rivèrout près de Léonard et d’Héloïsc. —^ Pnrhicü! mon beau iievou, s’ccrtn celui qui pariiissaii le chef de la troupe, vous tic nierez, pas, celle fois, que je vous surprends eu bonne lorlune! Jour de Dieu! uiadeinoiselle de Surviilicrs! Qu’esl-ee donc que ce désordre, cçlle litière décluiée, ces cava liers que nous avons vus eiilrer si pi éeipilaniiueul dans laforèl? En vérité, vous êtes né pour les aventures! , Voua allez tout savoir, mou oncle, répondit Uéoiinrd, Voire arrivée subite nous a débarrassés d'une assez fâcheuse affaire. Mais si vous permellrz, nous ne nous arrêterons pas ici davantage. Madciuoisclle va romonler dans sa litière, et lundis que nous lui servi rons d’escorie justju’à la ville, je vous raconlerai evcuomcnt singulier qui fait l’objet de voire surprise. Le lecteur a déjà reconnu dans ce nouvel iulerlocu- leur le vieillard grand et sec que nous avons vu figurer, au commenceiucnt de celle histoire, sous le nom de Philippe Germain. I.Æplus simplehasnrd l’avait amené *ur le théûlrc de ces derniers événemenls : il revenait ue visiter une de scs fermes située au-delà de Pou- lanné, el , suivant sa prudeulc coutume, il n’avait pas cru devoir traverser sans escorte la forêt, qui alors élail réputée fort dauçcrcuse. Ce ne fut pas sans une nouvelle surprise mêlee d’indignation,, qu’il appiil la couduilc déloyale de Clolaire de Surviilicrs. *■” Ces papistes, secna— l— il, queles voilà bien avec leur infâme libertinage! Jeûner le carême cl déshonorer les femmes, ce sont l.à leurs exploits. Ah! il y en a de quoi faire pleuvoir sur nous la vengeance du cicl jus qu’à la cinquième génération! Mais voici que le bon temps revient, mon neveu; Henri de Navarre est pour la bonne cause. Avant peu, je vous le prédis, nous verrons dn-noiivean. — Fîissc le ciel, reprit Léonard, que la.paix rentre enfin dans l’église! Là-dessus, un m|t les chevaux an trot, en sc diri geant vers la ville. A puîné avaient-ils fait nu demi- quart de lieue, qu’ils virent accourir à eux .la vieille Magdelciiie montée sur l’ànc de l’hétuilier i-iCgrand, que nous avons vu figurer à la caihédrale, le i4 jan vier. Elle fouettait, à coups redoublés, sa monture qui allait de toute la vitesse de ses jambes, vigoureuses malgré leur fiqessc. iACgtand à, qui elle avait procuré tant de chalands par son idée de la fêle de l’âne n’avait pu refuser de lui prêter sa jolie bêle, dont Magilcluihc se servait pour cout-ir après sou Léonard. C’élait une nouvelle preuve de dénouement qui toucha les deux amants jusqu’aux Inrmes. Magdcicine trottant près do la litière d’Héloïsc, augmenta donc la cara vane qui fut bicniût eu vue des murs de Senlis. Une heure après, toute 1a troupe était descendue à la maison de Philippe Germain. Ce logis, si étranger pour Héloïse, était cependant l’asile le plus décent qnVlle pûl trouver dans les premiers inoiiicnls île sa déli vrance; elle ne craignil pas de s’y arrêter, du moins pour y prendre un peu de repos, après de .si \ivcs émulions ; et pendant ce Iciup.s ou s'occupa <h s movcoN de concilier dasanlagc rinlérêl du sa iranquililé avec les lois rigides du la biuuscancu. Cependant Pierre Martine nttcint d’nne maladir pulmonaire qui prenait de jour en jour des car.icitics plus inquiétants, fic quillait plus son lit ou son grand lanluiiil. On lui cneh:i la iiouvcllo aventure de son flj.s Car, ayant refusé de donner son assentiment à ce mariage, non à c.iusc d’Ilcloïse, mais à cause de l’Ab- bcsse cl de Clolaire de Surviilicrs, contre lesquels lu vieillard nourrissait une invincible inimitié, il sc fût sans doute irrité du la démarchu de Léonard ; cl la colèic ne pouvait que lui êlie funesle, dans la position où il su trouvait. Héloïse, an lieu de retourner .*niprè.s de sa tante l’ubbcsse, trouva un rufiigu dans la maison d’nnc du ses cousines, la dame du jVJalgcncsIe, où elle recevait quelquefois la visite de Léonard. Le temps s’écoula ainsi jusqu’au mois de juillet, époque où la ssmlé de Pierre Martine était au plus bas. Pendant qu’llunri IV était retenu autour d<‘ Paris le.s ligueurs se remiinicul parloni, ci su lasscinliliiicnt de nos cotes à Picrrufonds, à la Fci lé-Milou, ut niilrus lieux circonvoisins. Le 3 juillet i 7 <)o, plusiuur.'* vuiideurs de cerises cl d’anircs denrées, ayant la uhunii.su et b.s mains plus blanches que lu.s paysans ne b‘s ont li.-ihitiiclicment criaient par les rues de Senlis, leurs uerisc.s à un llard la livre, disant : ar/iciez, Mc.tdn/ncs, prenez^ voit.t n’en aurez pas tlcnuun à si loti luarcfic. C'étail en effet pour d e COB»!!", 3 ' Hmembreidii ï} lilprabye,'Aê U jiiràger leiv* * itrp eux. snr le ptiÿlongée aigea 'Ott aperça jlé'la letlt de la ei^iéte -’i.; (iij vtÿf, Serésnluk'dp } fn ’eii e ^ S m j »,snrIeâM>, * ^ I les hoBii»^, J peoteeqa’^ ,J'àccréditi|^ laa 'i {litres des a'ijkro. |||â'^hilosopl||^' et -'Aéïelopp^fé- ne^ayef. ij.i! '.'{.t W il arrivé M e M aie, le pUôto «Mraison kn coavraQl tes M t UD sigflé do Gepe»^^ ÿ q é celle qiÈiebt vltnon maiitetu, tiennes. ; ^ai était tons . Irin é , puul* lie, -- iwifPr ourson «mmi » . [face de loi,ilj Ibasse-taîllé, le I Regardex*a^ Fec lequel Voo»'. 9a manofio dm pe TOUS ne me de taire commi^)q£' |nd précîpldmt isse^àTv' P’cmbrnsse . I manière 4 M loi? ' |ue, maià'paa sV' i le portez' ^istagnet. Qusn|., v}.f. édis qu’autèelbie 1 é* pipe. ^Castagnct s^étill .^* |6n sur sa lêtfe J ftsahs paratkre.le r|’ | ÿrès avoir ^ lé à cheval n, lu vernis qnf. ois, la bott^kr^ ue je vovl|Ris là '.M «ïnre qnu p»if I qui lui était réservée, les iignés de l’archevêqiie I liux assistans s’ils voul>'^

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SAM EDI J3 JU IL L E T 1811.

A \ \ e e DU c u l l e t î !^.

V B IZ S E lE’A E o m rE M X H T

PoOM LA V il » . . .

PODL Ll DirARTBIfltlT.

Hors oo DiFARTEttSKT. IV(b\

mois.

S ix mois.

Un «n.Six m ois.

A r r a ï o n i c E S A u B i c i A m E s .* t^ré|>j, cIic ’m. B,i,

iforiiU Io n s 1(4 (^ ^ r t in < î> is .

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V « U DES -ANNONCKS JU niC IA IB E S , i5 :? !û 'n a l , » „ r AilJIONCES illV E U SE S, id .

SENLIS.— Une iristc expérience |irouvc nn’il est na, f,.iA

compietemenl mm.le d’avoir raison^ Les par i , a l lin trace du ülipiniii J a. p.... .i_ i». . v « l'diii.saiis■In t.a cé du chem in de f l de P a r 'à par fes V allées de l ’O ise e t de l’AI

•'«■“ «■■h-or d ’nne m anière ir ié -fragahie qne ce ( ,a c é é l a U i : ' d u s T r e , .noms ch e r a exéciil^r, le pins favorahie au coni? juc^ce, e t le m eilleu r au p „ im de vue s l i l é V a u "

Il fmit sav o ir se rcsi^'iioi’ #>i »/ ^ r com m e d i , 'l’O ise;»hsohimei.t com m e si la C ham I..; a v l ,h " ! ^ 3 0 me p .que d’économ ie, e t j ’en a i souveui doilhé des

|.i on conna ît mon am our pour la patrie- 1 m.i f".l que j e p ré fé ré un p lau , hieu in fé rieu r, m. poi

iléhals, sem idaliles à ceux qui o'nt cüTicu au t'rii limial de S en lis, le 26 ju in d e rn ie r, en d it que Tau- lorité m unicipale se propose de faire v is ite r de temps en tem ps, e t à l’im prov iste , la h a lte iie de riiisine, des hôtels e t anherges de la ville. Ou ne' - — —■n'-“ '*'• •“ viii»,.. v/*ijïcutqii app lau d ir a c r l te sage m esure.

O n d it aussi cpi’iiii a rre lé du inairc doit i_ . . . . . . u ia^sv . UM IlIctIlU u u i l eu»joindre aux haliiia iits de ne déposer 1rs ordures ilans les ru e s , qu ’au m om ent où passeron t les toin- hereanx qui do iven t les en lever. P a r c e m oyen, les las d’o rd u res ne ponri on t p ins ê tre éparpillés su r la voie pnhiiqne p a r les ch iens, les enfants, ou p a r lonte a n tre cause acciden telle; e t les rues seron t pins p rop res.

— Le Glan<{ur s e n lis ie n , jo u rna l l i i lé ra ir e , vient de p a ra î tre . Il s ’annonce cenim e p le in de mansuétude f e t délin le p a r une m ercuriale de qiiblie-vingts lignes co n tre nous, parce q u e , dans

notre numéro du 22 juiulderniér, le mot Ao/rV,„,r g i l f '* ® ‘■‘-'“A l- un rude

cfféf““lT " i® -" -•1“ article du 22 juin i eni i .n l/ * avec ses doux II! Ah»û m tiens! eiicorê

ï ' ; ' = ■ ■ » ' « au lieu ne plaindttons. Loinmeiil se fait-il que le Glaneur “ a u pas rfenrréç celle-ci, puisqu’il é tait eu t S Paris des Belges, se rendant à

I- 1 “ ® enfants, ont passé iiar Senlisp lg n e » càm ’-

Iiiiâôv*'’i “ f.‘' “ ' i “ ’''®*’®‘' ‘' ' ' " ' ‘' “ c'uiiqnc aux hô- U i Z f • o" '«yale vétérinaire d’Alfort, cx- velci.naire m ilitaire, vient de se fixer à Cré|iy g. ande rue, hôtel de la Bèiinière.

de p l ® / - i " ; l ‘' ' ‘ , ' 'e " " a r , 'jo u r d e la fêle patronale ‘! ." ? ™ “ é L e g ra iid , haliitan t de<vpiio . - ...—x. ^x^.ciuu , iiuuiian i <ic

“ est e m r -"®’- “ l'ù 'uses libations,s s l de I ab reuvo ir, où il e s t tombéZ r e u ô a vonin qu ’il fû tH m W P n Pt»- '« aieurà son . O "■** ' ' ’seaveux , qui a volé

e lç q iiiric poÛi^ftî ^€rVe â é ses lial^Us.— Le concours pour la p lace d ’in s ti tu te u r .à

N eiiilly-eii-Thelle, au ra lieu, dans Tune des salles de la m airie de ce tte conm iune, le jeu d i 18 ju ille t à 1 1 heu res du niatini ’

— D ans la nu it du ,30 ju in au I " ju ille t, e r t r e nue e t deux heures du m atin, une louve, avec deux de ses pe tits , a péné tré dans un parc de montoiis ap p a rten an t à M. D cligiiières, de Bailleul-le-Soc! Les chiens n ’t ^ t poussé aucun abo iem ent, e t lé hergeé n’a rien entendu.

U ne ba ttu e a eu lieu à la su ite de l’apparition de ces an im aux , m ais elle a é té in fruc tueuse .

— U n acciden t qui au ra it pu av o ir des suites Irès-fàcheiises v ien t de m ettre eu ém oi la rue des T re illes à B cauvais. Ou y co nstru it une m aison, e t les ou v rie rs en cave ont en levé la te r re perpeiidi-*' cu la irem en t au p ied d’un m ur qu’ils n ’av a ien t pas

suffiiam nient élayé. S u rv in t un orage qui aciiev.i de niiiier lu lc rrc , e t nu fracas épouvaulalde a v e rtit le voisinage que le m ur s’écrou lait. I le u rn i. senient les onvricrs s’etaiéiit refirés poiir s gara,,- t i r de la pluie: e t des chevaux a lla i liés dans le hâti- mciit voisin p u ren t casser leu r longes e t s ’enfuir pele-inele.

P uu rrier, su b stitu t du p rocu reu r du roi p ie s le tribunal de V ervins, ancien juge suppléant an tribunal de C lcrinonl, v ient d’ê tre iiouinié juge au tribunal de Laon.

—- L e 8 ju ille t, un jeune homme de 20 ans. nomme Couteau, ou v rie r inacon ,'é ta it m onté sur l iiii des arb res des A venues à Compiègiie, pour s em parer d un nid d ’oiseau. Totit-à-coiip la branche su r laquelle il se tro u v a it v in t à casser; ce inalhcii- reux teniha pour ne pins se re lever. Il a é té trails- pe rle a I IIotel-Dieu, iuim édiatem ciit, e t peu de tcmjis ap rès il a rendu le de rn ie r soupir.

- - D im anche dern ie r, le bataillon de la garde nationale de Compiègne s’es t assem blé iiour une inspection d’arm es p a r I I . le M aire.

On assu re que toUs ceux qui n ’ont pas répondu a I appel von t ê tre tradu its devant le Conseil de discipline.le la com nnuic de F itz-Jam cs, a t'téc a u s e . L e f e u S’CSI t f ù C i J . v / a - u -iT-.trrvt,dans la maison du s ieu r N icolas-Augusle Mav, m auouvrier, cl s’est h ien tô l com munique à cofle du sieu r Fraiiçois*Simon C abaret. Ces deux liabi- talloiis,, qui é laien t couvcrles eu chaume, ont été la pro ie des (lamines.

Cet incendie a foni ni un nouvel exem ple de la diffîcullé que l’on éprouve à d érac iner les préjugés qiii'^existeut parm i les hahilânls <lo la campagm''. M algré les déniciilis donnés plusieurs fois à celle déplorable idée que les pom piers de C lerm ont so font payer les serv ices qu’ils renden t aux com­munes des environs, lorsqu’ils y son t appelés par l’incendie, m ardi, quand la com pagnie de pompiers es t a rr iv é e à F itz-Jam es, quelques hah iian ls de ce lle com m une ont voulu s’opposer à ce qu’elle fit jo u e r sa pom pe su r le foyer de l’inceiidie, en disant qu’ils n ’ava ien l pas besoin de la pompe de Clerm ont

F E U IL L E T O N .S»>»«5

H É L O l S i : e s S U R V I L L I E R S .CliaOIfIQt'B SBKIISI8H»B.

XXXVI.

Ils rmicnl à peine hors de vue-, que les rnvalirrs doni rappjirilîon avall délcrminé h nr brusque éloigiie- •ncnl, ai-rivèrout près de Léonard et d’Héloïsc.

— Pnrhicü! mon beau iievou, s’ccrtn celui qui pariiissaii le chef de la troupe, vous tic nierez, pas, celle fois, que je vous surprends eu bonne lorlune! Jour de Dieu! uiadeinoiselle de Surviilicrs! Qu’esl-ee donc que ce désordre, cçlle litière décluiée, ces cava­liers que nous avons vus eiilrer si pi éeipilaniiueul dans laforèl? En vérité , vous êtes né pour les aventures!, Voua allez tout savoir, mou oncle, répondit Uéoiinrd, Voire arrivée subite nous a débarrassés d'une assez fâcheuse affaire. Mais si vous perm ellrz, nous ne nous arrêterons pas ici davantage. Madciuoisclle va romonler dans sa litière, et lundis que nous lui servi­rons d’escorie justju’à la ville, je vous raconlerai evcuomcnt singulier qui fait l’objet de voire surprise.Le lecteur a déjà reconnu dans ce nouvel iulerlocu-

leur le vieillard grand et sec que nous avons vu figurer, au commenceiucnt de celle histoire, sous le nom de Philippe Germain. I.Æplus simplehasnrd l’avait amené *ur le théûlrc de ces derniers événemenls : il revenait ue visiter une de scs fermes située au-delà de P o u -

lan n é , el , suivant sa prudeulc coutum e, il n’avait pas cru devoir traverser sans escorte la forêt, qui alors élail réputée fort dauçcrcuse. Ce ne fut pas sans une nouvelle surprise mêlee d’indignation,, qu’il appiil la couduilc déloyale de Clolaire de Surviilicrs.

*■” Ces papistes, secn a—l—il, queles voilà bien avec leur infâme libertinage! Jeûner le carême cl déshonorer les femmes, ce sont l.à leurs exploits. Ah! il y en a de quoi faire pleuvoir sur nous la vengeance du cicl jus­qu’à la cinquième génération! Mais voici que le bon temps revient, mon neveu; Henri de Navarre est pour la bonne cause. Avant peu, je vous le prédis, nous verrons dn-noiivean.

— Fîissc le ciel, reprit Léonard, que la.paix rentre enfin dans l’église!

Là-dessus, un m |t les chevaux an tro t, en sc diri­geant vers la ville. A puîné avaient-ils fait nu dem i- quart de lieue, qu’ils virent accourir à eux .la vieille Magdelciiie montée sur l’ànc de l’hétuilier i-iCgrand, que nous avons vu figurer à la caihédrale, le i4 ja n ­vier. E lle fouettait, à coups redoublés, sa monture qui allait de toute la vitesse de ses jam bes, vigoureuses malgré leur fiqessc. iACgtand à, qui elle avait procuré tant de chalands par son idée de la fêle de l’âne n’avait pu refuser de lui prêter sa jolie bêle, dont Magilcluihc se servait pour cout-ir après sou Léonard. C’élait une nouvelle preuve de dénouement qui toucha les deux amants jusqu’aux Inrmes. Magdcicine trottant près do la litière d’Héloïsc, augmenta donc la cara­vane qui fut bicniût eu vue des murs de Senlis. Une heure après, toute 1a troupe était descendue à la maison de Philippe Germain. Ce logis, si étranger pour Héloïse, était cependant l’asile le plus décent qnVlle

pûl trouver dans les premiers inoiiicnls île sa déli­vrance; elle ne craignil pas de s’y arrêter, du moins pour y prendre un peu de repos, après de .si \ivcs émulions ; et pendant ce Iciup.s ou s'occupa <h s movcoN de concilier dasanlagc rin lérêl du sa iranquililé avec les lois rigides du la biuuscancu.

Cependant P ierre M artine nttcint d’nne maladir pulmonaire qui prenait de jour en jour des car.icitics plus inquiétants, fic quillait plus son lit ou son grand lanluiiil. On lui cneh:i la iiouvcllo aventure de son flj.s Car, ayant refusé de donner son assentiment à ce mariage, non à c.iusc d’Ilcloïse, mais à cause de l’Ab- bcsse cl de Clolaire de Surviilicrs, contre lesquels lu vieillard nourrissait une invincible inimitié, il sc fût sans doute irrité du la démarchu de Léonard ; cl la colèic ne pouvait que lui êlie funesle, dans la position où il su trouvait.

Héloïse, an lieu de retourner .*niprè.s de sa tante l’ubbcsse, trouva un rufiigu dans la maison d ’nnc du ses cousines, la dame du jVJalgcncsIe, où elle recevait quelquefois la visite de Léonard. Le temps s’écoula ainsi jusqu’au mois de ju ille t, époque où la ssmlé de P ierre M artine était au plus bas.

Pendant qu’llunri IV était retenu autour d<‘ Paris le.s ligueurs se remiinicul parloni, ci su lasscinliliiicnt de nos cotes à Picrrufonds, à la Fci lé-M ilou, ut niilrus lieux circonvoisins.

Le 3 juillet i 7 <)o, plusiuur.'* vuiideurs de cerises cl d ’anircs denrées, ayant la uhunii.su et b.s mains plus blanches que lu.s paysans ne b‘s ont li.-ihitiiclicment criaient par les rues de Senlis, leurs uerisc.s à un llard la livre, disant : ar/iciez, Mc.tdn/ncs, prenez^ voit.t n ’en aurez pas tlcnuun à si loti luarcfic. C'étail en effet pour

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itrp eux. s n r le ptiÿlongée aigea 'Ott a p e rç a jlé 'la letlt de la ei^iéte -’i.; ( i i j v tÿf,

S e ré s n lu k 'd p }f n ’eii e ^ S m j»,snrIeâM>, * ^I les hoB ii»^, J

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,J 'à cc réd iti |^ la a 'i {litres des a'ijkro.|||â '^hilosopl||^' e t

- 'A é ïe lo p p ^ fé -n e ^ a y e f .

ij.i! '.'{.tW il a r r i v é M e M a ie , le pUôto « M ra iso n kn coavraQl tes M t UD sigflé do

G e p e » ^ ^ ÿ q é ce lle qiÈiebt vltnon m a iite tu , tiennes . ;

^ a i é ta it tons . I r in é , puul* lie,

- - iiw ifP ro u r s o n «m m i» .[ fa c e d e l o i , i l j

I b a s s e - ta î l lé , le

I R e g a rd e x * a ^Fec lequel Voo»'.

9 a m an o fio d m p e TOUS n e m e

detaire commi^)q£'

|n d p ré c îp ld m t isse^àTv'P’cmbrnsse .

I m anière 4

M loi? '|u e , maià'paa sV'

i le portez'^istagnet. Q usn |., v}.f. éd is qu’autèelbie 1 é* pipe.^Castagnct s^étill .* j â |6n sur sa lêtfe J

ftsahs paratkre.le r |’| ÿ rè s avoir ^ l é à cheval

n , lu vernis qnf. ois, la b o tt^k r^

ue je vovl|Ris là

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« ïn r e qnu p»if

I qui lui é tait réservée, les iignés de l’archevêqiie I liux assistans s’ils voul>'^

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A <ine la lo u r n o u v a il s iitfire. •>“ «I t 'l“ * ■m nié,qnc (es .au tre s , a c lé iiicine jiisqii a inciiaccr « n lioiiorabio in a g is lra t qu i essayait de leu r fa irecom prendre le u r e r r e u r . ■ . .

ÉiiGii, g râce à la fcriiiclé do le u r com m aiidaul e t d e p lusieurs iiersom ics uo lab lcs q u i s e U o u ca ieu t s u r les lieux du s in is tre , les pom piers de C ferinont, a i d é s d’iiu g ran d nom bre d e tra v a illeu rs accourus de toutes les com m uqcs vo isines, se so n t pro inpte-lueiit rendus m a ître s d e l’iiiceudie.

— Le 6 ju i lle t, dans la so iree , le m aréclia! G é ra rd se re n d a n t ide Pm aS à son cba teau de V illers-Sain t‘P a u l, a épijprV é à N ogeiit-les-V ierges nu acciden t qui p e u v a if av o ir les su ites les p lus g rav es . f J i ro u te , o b s tru ée en ce t end ro it, ne la issa it qu’un passage difficile; la v o itu re , en ­tra în ée p a r des clievaux v igoureux , n’a pu s’a r rê te r assez à leinps^ e t une des roues a p a ssé .su r une bo rn e . M. le inaréclial, lancé avecv i olence hors do s.i v o ilu re , e s t tom bé su r des pavés am oncelés s u r le Iw rd de la to u te e t a é^é légèrem ent blessé à la

ip d o c teu r Cazaiivipilh , appelé siir-lc-cliainp p rès de T illustre inaréciiul, a ra ssu ré la fainille su r les su ites de c e t acc iden t.

— U n e BisTOiRE d e v o l e u r s . — P en d a n t une de ces d e rn ières iiiiils^ un p ro p rié ta ire de Bazicoiirt en ten d it, dans le ja rd in de son vo isin , un b ru it inacconlum é q u i n e lu i la issa aucun dou te que des m araudeu rs s \y é ta ie n t in tro d u its , e t lui vo la ienl ses légum es. B ien tô t debou t, il donna l’aturine, et tous lës voiMiTs, ârm és~lés unsllë~baiôris, tes au ll es de fusils, c e rn è re n t la p ro p rié té . U n coup de feu p a r t i t , e t l'n ii d es voleurs se sauva dans leschuin|>s sans faire en ten d re une seu le p la in te . U ne vaclie se tro u v a it dans le ja rd in . U n des p lus déterm inés la sa is it p a r la queue, c l s e n ta n t qu 'e lle va lui échapper, s’éc rie : ah! g red in ! tu as beau la t i r e r ):a r les co rnes , tu ne l’au ras pas. C ependan t, ap rès les p rem iers m om ents de troub le e t d’ag ita tion , les y eu x s’accoutum ant à l’ob scu rité , on fînit p a r se reconna ître .

I l ii’y a v a it dans l’cnclos d’au tres voleurs que les vaches m êm es de ce lu i qui av a it donné l’alarm e, lesquelles, é ta ie n t so rtie s de l ’établu p endan t la n u it , e t av a ien t com m ence une am ple cu rée . L’une n e vou la it pas se b iisscr t i r e r p a r la queue, l’au tre s ’é ta ll sauvée blessée d’un coup <le feu ti ré p a r le p ro p rié ta ire lui-inêm e, e t n e fu t re tro u v ée que le lendem ain . T o u t le m onde se regarda en r ia n t, e t, un peu hon teux de la m éprise , on conv in t de g a rd e r l’a v e n tu re sec rè te . V oilà com m ent elle estiiaj'vf>i)itp an.Jijeattv*t .Af..^coiOI/lU' *•'**"* '

TR IB U N A L D E B O U G E œ U R E C T IO N N E L L ED E S E N L I S .

A u d ien ce d u 9 J u i l le t I8'14.Prêsiileoce de M. Vatiw.

Le nom m é A lexand re C aroii, âge de 24 anR^ g irç o n m aréchal, né e t dem euran t à G ouvieux , e s t am ené d e la m aison d 'a r rê t po u r répondre à une incu lpation de v o l, d ’une som m e de cen t v in g t ou ce n t tre n te fran cs au p ré jud ice du nonim é C es- .seaume son oncle. D ans l’a rg e n t vo lé , se tro u v a it une pièce de v in g t francs qui joue le p rinc ipal rô le dan s ce tte a ffa ire .

G arou n ie le fa it; m ais à l’époque d e là Penle- i’o le , C aron se p la ig n a it de ce que sa m ère le

rien ; aussi les chalands ne leur manquèrent-ils pas ; et plusieurs chalandes trouvant ccs.vivnndicrs assez de leur goût, ne m anquèrent pas de faire mille conjec­tures sur la délicatesse de leur peau, la finesse de leur linge, e t 1 air de disliiictlon qu’ils avalent sons leur grossière souqncnillc. Si bien que les bruits qui c ircn - laienl sur les beaux manants arrivèrent jusqu’à M. de T horé . Celui-ci^ redoutant quelque em bûche, fil n 1 instant parcourir la ville par des patrouilles chargées d ’arrêter leadits revendeurs et de lès lui amener. Mais ils avaient d isparu ; et on ne les trouva point.

C ependant, Il y avait à la porte de Paris un bras­seur , qui se trouvait locataire d’un grenier appartenant aux Gordeliers;^ il s 'en servait pour y mettre son grain. Le même jou r 3 ju ille t, le gnrçon-lirassrur, fla­m and de naissance, allant chercher de l’orge dans cc g ren ier, rencontra le père gardien des Cordeliers qui lui dit en secret : — SI lu veux nous aider, cette nu it, il y a quelque chose à gagner pour toi. Je veux b ien , répondit le gardon, cjue faul-ll faire?

Alors le père gardien lui conta de quoi il s’agissait ; c l le gar^>on-brasscur prom it de se trouver bien armé à l’heure et au lieu dits.

inolonls ap rès , notre flamand ayant réfléchi â sa promesse et oux suites qu’elle piuivail av o ir , changea de résolution, et alla trouver M. de / ““ M onseigneur, d it - i l , j ’aî un secret à vous

révéler. Lelte nu it, à m inuit précis, on a le projet d escalader la v ille , derrière le corps-de-gnrdc de b ain t-S an tin ; le père gardien des Cordeliers doit y a lle r , à onze heures et dem ie, avec quelques religieux de son couvent, pour prêter main forte aux gens armés qui arriveront par le fossé. Je lui ai'p rom isdc

^ h is s a i t sans argen t, sans vêtemeii.*, c l sans buttes; ce pendan t le lendem ain il lira it de sa poche, en p ré ­sence de beaucoiip de féhiohis, unepo ig iiée de pièces

>dc4 u%frai)cs-,ilré6 alaij.te8 i« u u e sfiU w # d e la ïo te n ee t de m acarons; il leu^ faisa it des p réseiis d e n é ­cessa ire s, de m iro irs , K c., il p ay a it de l’cau-de-v ie aux u n s , du viti au x autres; il a m ôm e poussé la lé n ié rité , l’iropnideiil, jnsqu’à tiper une p ièce do 20 fl ancs à rcffig te id : Louis X V llI .te l à la la isse rm a n i e r parsescam ài'# ) es. Mais ce iieso iit p as là dés p reu v es capables ü ’a l t l lte C aron ; c a r 41 y a trè s Ibngtenipa, dit-il. qu ’ 1 conservait ôes p ie c ^ de c inq fréucs :pour les I ire d an ser a la lô te ; ilrcile m êm e lès persQimes q li hii o u i re in is c e t avec ce lte d ifférence qu’il accuse 32 fran cs , e t qu’il en a m on tré b aucoup p lus d’une seule poignée sans com pter ^ qu’il av a it d é jà dépensé. Q u an t à la^pièce d e t i i g l fran cs en o r , on a c m que c ’é ta it une p iè c e ‘vcrilab le , m ais c’é ta i t une pièce fa ite de pâle , qu ’i a ac iie lée il y a tro is ans à pare ille époque à la d a i^ G auzcltc , m archande de ,.n:.x Il ne peui U rcprésciU ur, c a r elle aé té b r is é e p a r hasard le jo u r où il l^a m on trée à ses am is; il leu r ava it d it à ce tte époque qu ’il la la te n a it de sa m ère , j|ui lui eu a v a it fa it p ré se n t pou r av o ir refusé d ’aller à une noce.

G arou voit e t en tend hu it tém oins; m ais ce sont tous faux tém oins, gagiés so it p a r a rg e n t, so it p a r o rg ies; p a r qu i? il n’ea sa it r ie n . P o u rq u o i? il le s a it encore .m oins; m ak on np l’accu se ra it pas, si l’on n ’é ta it pas faux témoins. I l sa it qu ’on lu i en

'v e u t, m a is il ne sa it ; n iq n i7 ii ipou rquo i;-au to tal s a - défense es t p itoyable , ( t ne consiste qu’à déclam er co n tre les tém oins.

I^e tribunal fo r t heureusem ent, ne p a r tag e pas son opin ion; les tém oins a ttaq u és , so n t im m édia­tem ent rappelés c l v iennent se ju s tif ie r , av ec ce tte f ra iid iise , ce ite naïveté qui ne péu.vcnt ja m ais sc ren ­c o n tre r dans une subornation.

L e p révenu e s t bien tô t ap rè s ti ié de l’em barras dans lequel ses te rg iversa tions e t ses m ensonges l’on t je té , p a r nue condam natibn à liu il'm o is de prison e t aux frais.

— U n h ab itan t de S en lis, le s ieu r Z acharie R im b ert, âgé de 58 aiis, m archand d e v in , v ien t ensu ite ren d re com pte de sa conduite à l’égard d’un ad judan t sous-ofGcicr du 1 '' L anc ie rs , lequel ad ju d an t a é té , p a r le p révenu , non pas nue fois, m ais m ille fois, tra ité de c a n a ille , b r ig a n d et vaurien .

R im b ert a de g rav es rep roches à fa ire à l’adju- daiit; e t po u r le p ro u v er, il se p résen te d ev a n t les inonde le vo it, m ais personne li’éiitend ou ne com prend un seul m ot de ce qu ’il v eu t d ire ; ce qu’il fa it en ten d re de plus positif e t de p lu s c la ir, e s t ; vous a llez m e condam ner p o u r m on a jja irc t et m o i f en ra p p e lle ra i p o u r la sienne.

O n c i'o iia it, à v o ir la con tenance du p rév en u , sa défense em brouillée, scs geste s, q u e la co lère peu t-ê tre , ou le troub le, l’o n t mis iiors de lu i, eii lu i faisan t m êm e p erd re ta n t so it peu de son équ i­lib re , e t un peu p lu s de sa raisoutt’jàu ss i le tr ib u n a l, pou r le ca lm er, le condam ne à hu it jo u rs d e p rison e t aux fra is.

Un an tre h ab itan t de S en lis, le p è re G riffon , anc ien ja rd in ie r, a , le 3 de ce m ois, co rrigé sa fem me un peu plus que m arita lem etit; il lu i a fa it avec une p ie rre qu’il tenait à la m ain p lusieurs tro u s à la tê te; e t [tour qu’elle ne p û t se so u stra ire

à ses coups, il av a it le so in du ta sa is ir aux cheveux de l’au tre m ain ; o’é la it ty e rs ’six h eu res du m atin, il fallait com m encer la jo u rn é e p a r quelque chose. G riffon vou la it a lle r -b o ire , s a fem m e lui objectait qu ’il av a it d e l’o uv rage qui p re ssa it , e t qu’il ne falla it pas s’a t ta rd e r ; o bservation fo rt incoiiveinttile e t in tem pestive sans do u te . U u e fem m e qui se

A ussi G riffon a^ -il fa it v o ir à son im prudente m oitié qu’elle a v a it p e rd u la ra iso n . Q uatre ,tém oins v iennen t successivétneu t-développer les [faits >qiii:.les o n t r é v o l té s . 'G r i f f ^ 'Ibs écoute sans av o ir l’a ir d e songer q u ’on parie d e lui; mais sa fem m e, du fond dera i}d ito ire ,répè leà toosln6m en8 , j e n*ai rien sen ti, ce n 'e s t rien ^ u e cela, i l ne m*a p a s /a i l d e m a l. A lors M .'le p rés id en t o rdonne que ce lle femme so it in trodu ite ; e t e lle v ie n t répéter, qu ’en effet e lle a eu tro is tro u s à la tê te , que le sang a coulé avec abondance , m ais qiie ce n 'a été rien . '

Le tr ib u n a l, po u r récom penser une telle cliaiité conjugale, condam ne G riffun , seulem ent à trois jo u rs de p rison e t anx fra is; en lu i rccoiMinaiidaiit néanm oins de n e pas su fie r à c e tte indulgence prem ière .

— L e nom m é .loseph P o la rd , âgé de 4 6 ans, c h a rre tie r , dem euran t à G répy , e s t p rév en u d ’avoir le 14 ju in d ern ie r, en p assan t à Séry-M agneval, so u stra it une poignée de luzerne dans les champs, e t ce- pour—ê tre p lu s -moUemeiiL assis- dans- -sa - vo ilu re ; le garde-c liam pctre es tim e le la rc in à env iron une dem i-botte.

P o la rd avoue le vol, e t e s t condam né à cinq francs (Kaineiide e t au fra is . Ce n’e s t pas la faute que l’on p u n it da iii c e tte c irconstance , m ais c’est un ave rtissem en t que le tribunal en tend donner à MM. les ch a rre tie rs q u i ne sav en t poin t, su r les ru in es, resp ec te r les p ro p rié tés d ’a u tru i, e t pren­nen t, bo is , g ra in s , fou rrages , e tc . , sans aucun scrupu le . Q u’ils sachen t bien que le ju s tice a les yeux su r eu x , e t qu’il ne p eu t y av o ir de petits vols com m is d a n s ie s cham ps; qu ’ils son t tous im­po rtan ts , ne fût-cé q u ’à cause des soupçons qu’ils p euven t fa ire p lan er s u r des tê tes innocentes qui p u t besoin de toute le u r rép u ta tio n e t de leur lioinièur p o u r fa ire su b siste r le u r fam ille, souvent trè s nom breuse .

— P ie r re D esenlis, âg é de 48 an s , dem eurant à R oberva l, e s t uu m alheureux m anouvrier, resté Veuf avec cinq en fan ts , il tra v a ille san s cesse, et n’a

d ern ie r, Üîeseidis s ’e s t la issé a lîe r à la ten tation , et .a y a n t vu des pains de six kilograiniiies su r la fenAire du s ieu r T h ir ia , lé g isse u r au château de V erberie , il en a sou levé un qu’il em poi ta it pour d is tr ib u e r à ses p e tits en fan ts . S u it rem ords, soit c ia in te , il le rap p o rta b ie n tô t a p iè s , à l’endi'oil où il l a v a i t p ris ; m ais il é ta it tro p ta i'd , il av a it été vu .

M. le P ré s id e n t dem ande au p réyen it, pour quelle cause il av a it cotum is ce lte fau te . ll répond : Savais faim , ainsi que m e se n fa iits . Cum plote justi­fication d 'u n vol d e ce tte n a tu re ! Néanmoins, M. le P ré s id en t fa it o b se rv e r à D esenlis qu ’il eût élc^ m ieux à lui de d cinapder ce pain au sieur T liiria qui ne le lui e û t pas l'efusé (nous le croyons ferm eineni), e t le coiulaïuue seu lem ent à un franc d ’am ende e t aux fra is.

A ndré Laudigeois, âgé de 4 6 an s , berger, dc-

m’y trouver; niais j ’ai prcfcré mou devoir n une tra ­hison, cl ju suis venu vous découvrir toute la traîne. T u as bien fait, mon gari^on, répondît M. de T b o rc , nous te récompenserons de l’avis que tu nous donnes. Mais nous avons besoin d’un secret ab.solu, e t pour qu’il ne le prenne pas envie de raconter à d’autres cc que lu viens de mu raconter à raoi-niém e,.tu vos rester jusqu’à demain -m atin , sous bonne garde, au châlcîiu, où j ’aurai soin qu’il ne te manque rien dé tout ce que lu pourras désirer.

Cela d it , il fil enferm er.le flamand dans une des chambres les plus confortables de la to u r, avec de la bière, de l’eau-der-vic, des roseaux et de In A'/co- liane ( r) ou herbe à la reine; ce qui était alors une rareté des plus luxueuses. Puis il donna o rd re , que dès neuf heures du so ir, les postes fussent doublés, et qu’on ru bonne garde Comme il connaissait le goût de

( i ) N icol (Jean), n é n Nîmes, d'Un notaire de cette ville , quitta ta patrie de bonne heure, e t s'introduisit à la cour, ou son m érite lui procura les bonnes grâces de Henri 11, et de François 11. On le nomma ambassadeur en Portugal. A son retour, il apporta en France la plante qu’on appela, de son nom , JVicotiane. Cette pU nte, eonnue aujourd'hui sous le nom de Tal/ae, fut -présentée n'la reine CotheriAe de M cdicis, et d e/là lu i v int le nom de Herbe h la reine. On 'l'appela aussi p lus tard Herbe du grand-prieur, à cause de l'usage qu'en lit le grand^prieur de France, de la maison de Lorraine.

La dénomination âe tabac a fini par l'emporter sur toutes les outres, tant à cause de Tabaco, lieu où llernandez de Tolède en n fait la découverte, qu’à cause du terme labaccos qui est le nom des roseaux creux, dans lesquels on fum ait les feuilles de cette plante. Les grands seigneurs les fum aient avec un mélange de myrrhe, d’alocs, e t de m ille autres substances odoriférantes.

Léonard pour les aventures, il le fil venir; et lors- q ii onze heures curent sonné a toutes les horloges, ils s en allèrent tous deux à pas de loup, suivis de quelques ^hommes d ’urm cs, se poster sur une longue solive qui se trouvait par hasard le long du mur dw f^ rd eh c rs , et attendirent dans le plus profond silcD cc.

La suite au prochain numéro.

é m i t m m .

La règle m'associe un frère.Je su is rarement sans plusieurs.J'ai de m alicieuses sœurs,

Dont l'accord dilBcile e t pourtant nécessaire, Cause du m al à notre père.On voit p lus d'un homme d e bien D onner son nom au fils d'un autre;Et nous tenons parfois le nôtre De mères qui ne nous sont rien .

X iO C H x m im .

De plus d 'nn voyageur j'ai causé quclqiiefbis La An tragique et déplorable.

Avec six p ieds, avec cinq , avec trois Ma Agurc est toujours sem blable.

Le mot du logogriplit du fiernier numéi'O est ÉTSBts.

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U euranl à B o issy p re su o y e s t prévciiii .l’a v o ir , le 1 7 joiii J e ru ie f , ap iielé f . . , . Lèle le gardp-cliani- nôtre de L^vSgritfti tkiiis F e ie n iic e de scs foiiclions; lieé lG onden iiié seu lem cQ là tro is francs d-atiiende cl aux fra is. ^

U u a u tre } > e r^ r le uom iué L abry (Eugene),au s i'îv ice d u s ieu r AnUieaum e , m arch au d d e moutons, dem eu ran t à Fonlcuay'Ie8*Loûvres, con­duisait le six ju in d e rn ie r , un jtrou|^eau d’en v iro n 350 m outons s u r la ro u te de V ille ré< ^ itd -F ra tn - Imurg pour se ren d re à 'S eh lis , C’es t une m an ie„ou lieut<ôire uiie spéculation de la p a r t de ces cou* ducleurs de m oulons, de les la isse r a t tr a p e r une M ülée de trè fle !d an s une p ièce . Une gouU e de l u z e r n e dans une a u tre , d e Tavoine» du seig le , du blé e tc ., c a r le b é ta il se tro u v e a in si repu ; e t quand i t a r r iv c à T étape il y a économ ie de 50pour V«> • ' ,

firefi fa isa it amisi, au . jo u r ind igné ,souper ses m oulons, aux dépens des avo ines du sieur GUquini cu ltiv a teu r à Y illers-S t-F ram boùrg , quand cejui-ci in fo rm é de c e fa it, e t s 'é ta n t rendu sur les lieux , le p ré v ie n t qu ’il a lla it le p o u rsu iv re jud icia irem ent, p a rc e que con tiiiue llm ien t ses terres é ta ien t dévastées, qu an t auX réco ltés , p a r des conduites de bestiau x .

pou r ce fa it, L ab ry a é té condam né à tre n te francs d’a m e n d e , tre n te Iradcs de doiuroages- iiitérêts en v e rs M. G ilqu iu qui s’é ta it p o rté p a rtie civile.

Et led it s ieu r G ilqu iu a é té condam né au x frais, spuf son re c o u rs^ o iitre le be rger L ab ry .

Le s ieu r À ntlieaum e a é té égâleinéiit décra ré ci­vilement reponsabic pour son b erg er.

ÜNE COMÈTE.Le 8 ju ille t, M. A rago a annoncé à l’A cadém ie

des sciences que l’un des astronom es de l’O bser- valuirc, M. V ic to r M auvais, m em bre de l’ii is titü t, vê ta it de découv rir, une com ète dans la conste l­lation d’Ile rcu le . C ette nouvelle a é té p le inem eut conCnnée p a r les observations q u i o n t eu lieu la nuit su ivan te .

Voici les ind ications qui p o u rron t se rv ir à ceux qui s’occupen t d’astronom ie :

Le 7 ju ille t, à tre ize heures une m inu te , tem ps inuyeii de P a r is com pté de m idi, l’ascension d ro ite de la com ète é ta it de 247 deg rés 29 m inu tes 4 8 se­condes, e t la déc lination boréale de 4 6 degrés 14 m inutes, 52 secondes.

En 24 heu res l’ascension d ro ite a d im inué de 1 degré 34 m inutes 31 secondes, e t la déclinaison a aussi d im inué dans le m êm e in te rv a lle de tem ps de 25 m inu tes, 9 secondes.

Cet a s tre e s t facilem ent v isib le av ec une bonne luneltü de n u it; il e s t lua in lenaiit.e iitre les étoiles sigm a e t tan de la conste lla tion d’H ercule ; le d ia­m ètre a p p a re n t d e la nébulosité e s t de tro is à quatre m inutes de degré ; on aperço it u n p e tit noyau b rillan t au cen tre .

Voici, j e cro is, la m eilleure m an ière de tro u v e r la place de ce tte com ète :

Si l’on suppose une ligne d ro ite qui passe p a r l'étoile g a m m a de la G raiide-O urse (faisan t p a rtie du quaU rilalère d e ce lte constellation) e t p a r l’étoile epsilon ou J ^ u a r , la p rem ière des tro is étoiles de la queue de l’O urse , le pro longem ent de cette ligue v e rs l’E s t ira p asse r un peu au-dessous de l’éto ile s ig m a d e la conste lla tion d ’H crcule .

S ig m a se tro u v e dans la p a rtie in fé rieu re de la cuisse, e t ta u au j a r r e t d’IIercu le .____________ , .

Le Pi-opnétaire-Oérant, REUNIEE

com posent, sis aud it V illevert, fuubo iirg !deS en lis; eii. fa ru e du pont du^^pierrès dop '^ tn t s u r - la t^ivièrc d’A u n e tte ; un p e t it ier^’e in d e rr iè re 1^^^ la v o ir , d e un m è tre cinquan te c e til iin è tre s , e t . te n an t p a r ••devant du m idi à lad ite r i ­v iè re d’A u n e tte ,. p a r d e r r iè re au ja rd in du s ieu r M éU t, p a r tie saisie et uom m é cÎTaprès, ven d u ac ­tue llem ent au s ieu r M élet a îné , d’o r ie n t aud it ja r ­d in , d’occident à la ru e d u pont de pie iT es; laquelle v en te a eu lieu, pa r su ite d^expro'priation d irigée à la requête de M. P liilippe-Lauren^. Lt^çérf, m a r­chand dë‘ bé is , dem euran t 'a P on t^a |iitç -M âx en ce , co n tre le s ieu r Jean r^ iq o lâs M éle t, in a h re char- pen tier,.d em eurau l à iSènlis, faubourg de V illovei't, laquelle adjudication a eii.fleu m oyennant la som m e princ ipale d e dise s e p t sen t c inquan te fr a n c s do p r ix princii>al, o u tre le s charges , èlausus e t coii- dilioiis de lad ite ad judication . — L e d it dépô t ef­fectué de la p a r t du req u éra n t pour, p a rv en ir à p u r­g e r les- hypothèques légales p o uvan t g ie v d r les biens p a r lui acquis. — D éclaran t à inondit s ieu r le P ro cu reu r du Hoi, p rem ièrcincu i, que les ancicMis p ro p rié ta ire s so n t, o u tre le s ieu r M éle t, p a rtie saisie : — . P P ierre -R ieu l Thom as, e t datnu lle ii- rie ttc -V ic to îre L em aire , sa fem me; — 2* Jéan-F ran- ço is-T oussaiiitL efèvre , e t dam e M arie-Jcanne Le- m a ire , sa fem m e; — 3” Jacques-N icoiqs A ubry , e t dam e N arie-F ranço ise L em aire , sa f e m in e ;— 4 ” M urie-A nne L em aire , veu y e du s ieu r Louis-Aiigus- tiii Delà ville; — 6'* P ie r re D org u eu il, e t dam e M arie-Louise sa fem m e; — 6 ’ F ran ço is Lem aire; — 7“ P ierre -F i ançois M élet, e t M arie-R ose-G cne- v ièvè-Pélâgié LW a'sscürT"^ 8* F ranço is 'M élet père ; — 9*’ e t enflii 51ariê-Louise A nselin , v eu v e du s ieu r F ianço ié M eslé; — Dcqxièineiricnt,. e t que tous ceux du che f desquels il poiiri a i t ê tre requ is des inscrip tions pour ra ison d’hypothèques légales, n’é ta n t pas connus du re q u é ra n t, celui-ci fe ra it la -présénto publication .

P o u r in se rtio n .S igné R o u s s e t .

J U D I C I A I R E S .

A r t . i '^ .

E tu d e de M” B O U S S E T , avoué à S en lis.

S u iv an t exp lo it du m in is tère de L e fè v re , hu is­sier à S en lis , en d a te du onze ju ille t 1844 , en re ­g istré , —- Il a p p e rt : qu’à la re q u ê te de M. Jo seph R ousset, avoué p rè s le tribunal civ il d e S en lis , y den teuran t, v ie ille ru e de P a r is , — N otification a été f a i ie à M . le P ro c u re u r du R oi p rès le tr ib u n a l civil de S e n lis , — D ’un ac te fa it au greflfe du t r i ­bunal c iv il de ^ n i i s , le tro is ju i l le t 1844, en reg is­tré , co n s ta tan t le dépô t aud it g re ffe , do la copie co lla tionnée , en reg is trée à S enlis le deux ju ille t

''p résen t n n r is , f* 1 6 8 , v* c : 7 , — D ’un jugem en t rendu à l’aud ience des criées du trib u n a l c iv il de Seiilis, en d a te du onze ju in 18 4 4 , ên i'eg istré , con­ten an t aâ jiid icalion .au profit du d it M” B ousset, de 1** une m a iso n , p e tite co u r d e r r iè re , e t b â tim en ts en d ép e n d a n ts , s itiiés à V ille v e r t , faubourg do S en lis, en la ru e du m oulin de S aiiitron , e t ten an t le to m lp a r d e v a n t du m idi à ' la ru e du m oulin Sain- tro n , p a r d e rr iè re à ’M. L ebon p è re d it B onnet, d 'o r ic n ta u s ie u r M élet a în é , d^occidcnt*à' la r u e du p o n td e p ie r re s d o n t lad ite m aison 'feit f encoignure; 2” e t u n lavo ir à linge e t tous Ica accesso ires qui le

A r t . 2 .E lude de M ' H e s t i D U FA Y , a voué à Senlis (O ist).

P U R G E LE G A LE .D ’un exp lo it du m in is tère de B alsac, hu iss ie r à

S en lis, eu d a te du tre ize ju ille t p ré se n t m ois, eu ie- g is tré .

E t à la requête de 1® M. Jean -G ab rie l A ucbois, m archand ép ic ie r, d em euran t à B oraii; 2® de Made- le ine-A ntoiiie tte X ru b e rt,’veuve du s ieu r C liarlcs Boileau, p roprié la ii'e , d em euran t à Cires-les-M ello; 3® M. JeaU ’Louis’ M éry, cu ltiv a teu r, d e m é p ra iità B oran; 4® M. Jean-C harles V acquez , p ro p rié ta ire , d em euran t à P récy ; 5® M. C harles R abbé, cu lti­v a te u r , e t M. Jean-Sim oii M ercier, cu ltiv a teu r, d e ineu ra ïa s tous deux à M oraiigles; 6® M. P ierrc - V inceiil D enosse, m archand^boulanger à Cires-les-. Mello; 7* M. H onoré P apeguay , c u ltiv a teu r, do­ra n t au M esiiil-Saiut-Denis,

N otification a é té faite à M. le p ro cu reu r d u ro i p rè s le trib u n a l civ il de Senlis,

D 'un ac te fait au greffe d u d it trib u n a l, le hu it ju ille t 1844 , en reg istré , co n s ta tan t le dépô t au d it i g reffe de la copie collalionnée e t en reg is trée d’un procès-verbal devan t M® M aître-D evallon , no ta ire à C iiam bly, en présence de tém oins, en d a te du vingt-sept mai 1844, en reg is tré , c o n len an tv e n tc e t ad jud ication p a r P M .E ugèuo R enaud d’A vesne des M éloizes, in spec teu r des fo rê ts , d em euran t à Is- souduii (Indre), rue N a rc tte , e tM “®Pauline-Nancy T h a b a u td e L inelière , son épouse, d em euran t avec lu i,

2“ M. G uillaum e-A lexandre S a in t-Jo h n de G rève- c œ u r , p ré fe t du départem ent d e l’A isne, e t dam e ZépUirine R enaud d ’A vesne d es M éloizes, son épouse, dem euran t ensem ble à L aon ,

3® M. Charles-Louis-E rnest R enaud d’A vesne des M eloizes, con trô leur des con tribu tions di­rec tes , c l dam e Anna K ennédy , son épouse, de­m euran t ensem ble à C bâteauroux;

4 “ M“* Félicité R enaud d’A vesne des M eloizes, épouse au to risée de M. le v icom te F erd inand de la B onn in ièrc de Beauinont, cap ita in e d ’A rtille rie , dem euran t à Bordeaux (G ironde), ru e F o iidangérc,n® 14;

E d m e ^ a b rie l R enand d ’A vesne des M e­loizes, épouse autorisée do M. P aul-L ouis-A ugustin M cnjol de Cham fleur, p r o p r ié u ir e , d em euran t à Caugy (Indre-et-Loire);

6® M. M axime Renaud d’A veâbe des M éloizes, v icom te do F resnoy , a ttaché au m in is tère des af­faires é trangères , dem eurant à P a r is , rue G range- B ate lière , n® 16, ta n t en .son nom personnel que com m e conseil jud icia ire de. M . H en ri R enaud d’A vesne des Meloizes, son frè re ;

7® E t M . H enri R enaud d’A vesne des M eloizes, ac tuellem en t au serv ice m ilita ire en A lgérie , au p ro fit d e , prem ièrem ent, M . A nchois, susnommé, de :

1

te rro ir de B uran , lieu d it les B alinguan ts, p iè s la M uttc-Saiut-M artiii, m oyennant la soinnie de n s a j cen t v in g t f r a n c s de p rix principal; 2® soixante- tro is ares so ixante-sept cen tiares de te r re , m êm e te rro ir , lieu d it la C ro ix des P ères , inuyennant la somme de d e a x m ille q u a lte cent quatre-vingts fra n cs)

D euxièm em ent, M"® v eu v e Boileau susnom m ée, de 1® trc iite-quatrc a res deux cen tia re s de te rre , le n o ir de B oran , lieu d it au-dessus de P étrons , m oyennant la som m e do n e u f cent q u a ra n te -n e u f fr a n c s quarante centim es) 2® vingt-un a re s qna- raiite -lru is cen tiares de te r r e , m êm e te r ro ir , lieu d it les P é trons , m oyennan t la somme de c inq cen t quatre-v ing t-d ix francs;

T roisièiuem ent,'M . M éry susnom m é, de un hec­ta re cinquante-six ares 'c in q u au te -d eu x cen tiares de te rre ,, te rro ir de B oran , lieu d it la Vallée de Bu use, tra v ersé s |ia r une ra v in e , m oyennant ^m ille s ix cent so ixan te-treize fr a n c s tren te-tro is centim es;

Q uatrièm em en t, M. V acquez susnom m é, de h u it a re s trente-six cen tiares de te rre , te r ro ir de-M o- raiigles, lieu d it les B uissons P ouilleux , m oyennant la soiiiine de d e u x cent so ixan te-d ix fr a n c s d ix - h u it centim es;

C inquièm em eiit, M. R abbé susnom m é, de cin­quan te-quatre a rcs so ixante-quatre centiarçs de te rre , te rro ir de M orangles, lieu d it le chem in de B eaum ont, m oyennan t le som m e de d eu x m ille tro is cent cinquante-quatre fr a n c s \

S ixièm em ent, M. V incent D eupsse stisnoramé, “de quatre-vhig l= unirrcs soixaTite-onze cen tia re s d e ' te r re , te r ro ir de M orangles, lieu d it le chem in de B o ran , m oyennant la som m e de e/û; h u it cents fr a n c s de p r ix p rinc ipal;

S ep tièm em eu t, M. H onoré P a p e g u a y , cu lti­v a teu r, dem euran t au M esnil-Sainl-Deuis, de v ingt- cinq a rcs cinquan te-tro is cen tiares te r re , te r ro ir de M esnibSainl-D enis, lieu d it sous Lailem ont, m oyennant la somme de quatorze cent cinquante

fr a n c s de p rix princ ipal.L ed it dépô t effectué p o u r parven ir à purger le s

hypothèques légales do n t les b iens ci-dessus po u rra ien t ê tre g revés .

A vec déc laration à M. le p rocureur du ro i, p re ­m ièrem ent, que lad ite notification lu i é ta it fa ite po u r qu ’il a i t à req u é rir dans le délai le d ro it si bon lu i sem blait, l’inscrip tion de toutes hypotltèqurs légales pouvant g rev e r les biens acquis pa r lesdits s ieu rs Anchois e t au tres susnom m és.

D euxièm em ent, que les anciens p ro p rié ta ire s desd its b ie n s , o u tre -les v e n d e u rs , é ta ien t : ]®M®'® Aiinée-Siéphiriiie D ufo rt C heverny , épouse de RI. M arie-N tcolas R enaud d’A vesnc des Rle- loizes, dem euran t à B lois; 2® Ri‘®® Rlarie-Elisaheth de Boniface, épouse de M. A lexandre Léonor de C ostard , d e in e u ra n tà R ouen . '

T ro isièm em ent, e t que tous ceux du chef des­quels il p o u rra it ê tre requis su r les biens vendus des in scrip tions d’hyjm thèqnes légales, n’é tan t pas connus desdits re q u é ra n ts , ils fera ien t faire la p résen te publication.

P o ù r in se r tio n .S ig n é H enri D u f a y .

A r t . 3 .E lude de M" F élix L E G R A S , avoué à P a r is ,

ru e R ich e lieu , n® 60.

V E N T E S U I l L I C I T A T I O NENTRE M A JE U R S ,

E n raud ience des criées d u tr ib u n a l c iv il de p r e ­m ière instance de la Seine , séant au p a la is de ju s tic e , à P a r is , local e t issue de la p rem ière cham bre, une heure de relevée,

E n deux Lots qui ne pourront être réunis, I® D E LA

FERME DE CHAVRESAVEC

les B âtim ents, G range, Cour, Potager e t Clos en dépendant,

E T D E

57 PIÈGES DE TERREEN D ÉPEN D A N T,

L e to u t con tenan t env iron 59 H ectares 84 A res 12 C en tia re s ,

S itu ée com m une de Vauciennes, canton de C reptj (O ise), arrondissem ent de Sen lis \ •

2° D’UNE PIÈCE DE PUÉC ontenan t env iron 6 Hect.'ires 30 A res 57 Cent***, S itu ée dans la p ra ir ie de S t-G erm ain-les-À rpa jon ,

arrondissem ent de C orbeil (Seine-et-O ise.J

L ’ A d j u d i c a t i o n au ra lieu le M ercredi ving t-qua tre J u U l e l . \ ^ \ \ ,

La F erm e av e c .to u lc s ses dépendances {!*' lot) e s t louée au x s ieu r e t dam e L e fèv re , cu ltiv a teu rs , pou r neuf années consécu tives qui fin iront p a r la

l® V ing t e t un ares onze ce n tia re s de t e r r e , , | vécoUc de 1851 , rooyeniiaiil tro is mille francs p a r i < I l inêc

Page 4: ArraïonicESAuBiciAm Es. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1843-1847/bms_js_1844_07_13_MRC.pdf · 11 heures du niatini

III j f ’ j:

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a u , o l aux iii()ntes s ieu r et dumc L e fèv re , pourn eu f uulres uiiiiécs qu i eoiniiieiiceront p a r la lé -

' co lle de 1862, inoyeiiiiaiii tro is iiiille deux cen ts francs par an .

IjO p ic <lc Saiiit>Gei'niain-les-Arpajoii (2** lot), e s t loué à M. Goiffier, pour neuf années coinmeii« cées le 11 novem bre 1839, inoyciinant mille francs p a r an .

M I S E S A P R I X .L o t , , . . 9 5 , 0 0 0 f r .

a'"® L o t , . . . 2 5 ,o o o

S adresser p o u r les renseignem ents,L e c r a s , a vo uépousu ivan t, dem euran t à

r a n s , rue R ichelieu, 60 .A M® L a c ro ix , avoué co lic ilan t, dem euran t à

P a r is , rue S a in te -A n n e , n® 6l bis.3'' A M® R andouw , avoué c o l id ta n t , dem euran t

a F a n s , rue JSeave-Sa in t-A ugustin , n® 28.. ”Otaire à P a r is , rue de

C noiseul, «" 8;■6® A M® PuiLiPPE, nota ire à Sain t-G erm aindcs-

.A r p a jo n ;6" A M. LAishé, huissier à Sen lis .

a d j u d i c a t i o n v o l o n t a i r eP a rle m ittis tcn d t M* P E T IT , Notaire à N a m eu il,

Eli la salle (le la M airie J e Boissy-Fresiiov,L e Diinaiiclie 28 J u ille t 18 4 4 , à m id i.

E n 6 L o ts ,D E I HECTARE 88 A R ^ 86 CEN TIA RES

DE TERRE,E n m i l f i i c e i lUuiei terroiri île Boistr-Fresnor

et Fillers-Haint-Cenest,

On ciilre ra en jouissance ap rè s la réco lte .On accordera de grondes facililës pour le paiement

S adresser au d it M ’ P e t i t , N o ta ire .

A b t . 4-

Elude de M' J u l e s TH EM RY, avoué à Senlis.

AVIS.Les créancie rs vériBés e t affirm és de la raiillic

du s ie n r C liarles-P liilippe D iitilloy, ancien litlio. grqp lie e t lib ra ire à Ponl-Sainte-M oxeiice, son t inv ités a se trouver en personnes ou p a r fondés de p o u ïiiirs , en la cliam lire du conseil du tribunal e i ï i l (le ^ n l i s , au palais de ju s tic e , e t paralevaiit n i. D am bn-, ju g e au d it tribunal, co inniissaire de ladite faillite, le sam edi dix aoû t 1844, onze lieures du m atin , pour en tend re le rap p o rt (iiii

•'« ■“ •'■lela illile , d é libérer s u r la clô tu re des opérations, a ss is te r a la répartition qui sera faite des deniers l'om posant l’ac tif de lad ite faillite, e t recevo ir le u iv iüeiu ie auquel ils o u i ilro ii.

S en lis, ce tre ize ju ille i 1814.L e G re ffier en c h e f du tr ib u n a l c iv il

de Sen lis ,Signé Boucher.

P our inserlioii.S igné Ju le s T iiejiry.

ANNONCESD I V E R S E S .

A LOUERP our entrer en possession tout de suite.

É T A B L I S S E M E N T DE BAINS

S is à -S E N L I S , p o r te de P a r is , n® 2 ,C om posé de Salles de B a in s, com m odes c l non-

vellem eiil restau rées.Logem ent : deux C ham bres au p re m ie r , dont

une a feu, toutes deux parquelées.Au rez-de-chaussée, une belle Salle à feu par-

quelee e t fraîchem ent d éc o ré e ; C uisine et g .an d M agasin ensu ite .

C ou r dans laquelle on p arv ien t p a r une g rande p o rte donnan t s u r la vieille ru e de P a r is ; lad ite co u r couve rte en partie p a r un hangar spacieux.

Celle Maison est avantageusem ent pla- cee; on peut y établir un commercel

" M. M oncouteaux, p ro p rié ta ire à

RÉCOLTES SUR PIEDEn A i'oine, Blé de mars, BisaiUe et Feveerolte, Seicle

et Blé, ° ’A V E N D R E P A R A D J U D IC A T IO N ,Le D im anche 11 Ju ille t 1 8 1 1 , a m idi p réc is ,£ n l e tude de M' FonTAmi!, notaire à Sen lis .

O n .accordera de» facilités pour le paiement.Les enchères de personnes d ’iitie so lvaÙ litc

connue s e ro n t seules adm ises.S*adresser à M* Foniaiw e, notaire.

A L O U E RPour 9 années,

PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,Lu masse ou en d é ta il, au g ré des am a teu rs , L n l étude et par te ministère de JVI" D em ouv , notaire

à S en lis ,L e D im aiicbc 28 Ju ille t 1 8 4 4 , heu re de m idi,

3 PIÈCES DE TERRES itm es sur te terr ito m d e Chumaat.

On entrera en jouissance le 11 novembre l ÿ U .O n pourra traiter à l’amiable avant l’adjudication

adresser a Demony, Notaire à Sen tis .

A V ENDRE PAR ADJUDICATION Le D im anche 4 A oût 1844, à deux h eu re s .

Par le ministère de M ' CAILLET, notaire à Pont. En la demeure du sieur I la v ,, aubergiste à V erueu il, près

j j f c de l ’église,

3 P IE g e s d e TER R £ -----A u terroir de Fàm euil, ’

La p rem ière conicAant 2 hec ta res G2 a res 20 cen tiare s, lieu d it la Tête des M orts;

La deux ièm e, con tenan t 76 a res 61 c e n tia re s , heu d it les P jaceaux.

U division de la première p i« c aura lieu en 7 lots ,Lt la seconde piecc sera vcadue en un ou dcu.\ lois.

O n vendra en gros c l en déta il an g ré des am a- le u rs .

On accordera pour le paiement tontes les facilités .> adresser audit M ' Caillet.

A VENDRE PAR ADJUDICATION,ET AUX E H C IIÈ n eS ,

t-.n Ictude et par le ministère de C A IL L E !notaire à Pont-Sdinte-M axencc, ’

Le D im anche 28 J u ille t 1844, à m idi,1“ U NE R EN TE V IA G ÈRE D E 150 FRANCS

m lrêb ' “h a bcgrand Dcrcumc™ u dïn !'doî'r"û'i'''“ ’J ' ' ? ° •■“"‘-Sainle-Muxence. et d d pendant de la faillite d e ladite dame,

S u r lu m ise à p rix de 300 francs,2" E T U N E CRÉANCE D E 1,000 FRANCS

D E PR IN C IPA L,P rodu isan t intérc'ts.

Duc a la dame seuve tegraud, par la dam e veuve BaseourI, auticrgisle a Pont-Saintc-Biaxencc

.S i 'i - la m is e à p r ix d e lO O fra i i ia ,E n r e r tu d e to r d o n n a n c e d e M . te Juse-Commissaire d e

, ladite faillite.a adresser pour les renseignem ents,

f a d . i î e d X M g ; ^ r “ .

ca lder'des'eîîa 'rg îi^ "- « •>“

r é c o é t Îbsde Blé, Seigle, A voine, Foiiis et Verdures

A faire sur les p ièce , de terres et pré com pos,„ , p „ . . (ation agricole d e AI. fionnaventure Ataeaiaa

A V EN DRE P A R ADJUDICATION P a r le m in is tère d e M 'C n A a r i E R , no ta ire à Sent;

com m is à cet e f fe t , ■'L e D im anche 21 J u ille t 1844, à d ix heures i

d u r tes piece, de le n e et pré situées terroir J , ChupetteSctustis. *

Ces Récoltes ex isten t sn r 10 hec ta res environ ,i te rre s e t p ré , situées te r ro ir de la Cliapelle-Cliéll,'

11 P I È C E S D E T E R R E S LAB0URABLE<1ET BIABAIS

Adués sur tes terroirs de Sainl-Nicotus et de Sentis,

A LOUER P A R ADJUDICA’n O N ,Li? D im anche 28 J u ille t 1844 , à m idi.

En Tétade et par le ministère de M" Fontaine, ivotafc ^ « Sen lis ,J N o t a . On entrera en jouissance cette

“p Z L T " de la rccolie

bil?t" e"omme'.“ ™ “ “î ” ' •>'“ •«■■»■>""“ d ’“ »e m |„.

A V E N D U E P a r ailjiidicalioii v o lo n ta ire ,

E n Vétude et p a r le m in is tère de M ' G a s iis e a u .LoNGPRé, nota ire à C reil,

L e D im anche I I A oût 1844, à deux heures de re levée ,

1° U N E R I A I S O NSituée h Creil,

Appartenant à M. G in .n n , marchand de vin en grès;

C elle Maison, é cause de sa proxim ité de la route rovalr d n e h o ,n .„ d c fe r d u nord et Je la d is tr ib n .io r d r .7 iï l„ est propre a tout com merçant; elle est occupée deniiii 4ü ans par un marcliatid de vit, en gros

Ion°d" ;i:ë 'o7m "c";™ “ ™

2 ” U N E M A I E O »Située à Creil, en la rue de Senlis;

3 “ D V E A E X a E U A l S O nSituee a C r e il, pu la ruelle du P u its;

4 ” E T O N E A D T B E M A IS O NSise à Creil, en la grande rue,

11 sera accordé de g randes faeilités pour payer. N ’a d r e s s e r p o u r le s r e n s e ig n e m e n ts , à BPGasTt.Nc»!,.

ÉTAT C i m DE SENLIS. — tVoissunces : lla lle t (Marie.S x “ ' L r / T t T " . ‘ '“■rles-Vietor). _A thanaief^ (Aiidn^Julic), 0 ans 5 mois. Auguste (Charlcs- C r ^ iô It’s 7 - (C'rflo-Oenevicve; femme

crou , 64 ans i / s . Drixeux (Thérèse), d ite sœur Françoise,

On trouve à la Uhrairie.de H E G N I E R , rue de B eauoais,

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d iscu tés dans les deux c h a m b res , v n x x . : I r a A s r t i .

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C néPïM e a u x .

9 J u i l l e t . ,00 066 J u i l l e t . . 00 00 00 00

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