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UDPA–UNSA AXA TECH F F é é v v r r i i e e r r 2 2 0 0 1 1 4 4 Après une période de 2 semaines, début décembre, consacrée à la mesure des taux d’occupation des bureaux et des salles de réunions (sur les Collines et Concorde), deux hypothèses ont été étudiées : La première : en gardant un bureau attribué à chaque salarié. La seconde : en optant pour le système des bureaux partagés. Ce qui signifie qu’il n’y aurait plus de bureau attitré et que le nombre total de bureaux deviendrait inférieur au nombre total de salariés. D’après les conclusions de l’étude menée par le cabinet « CBRE Workspace », c’est la seconde hypothèse qui serait à privilégier, la première entrainant, soit une réduction significative du nombre de salles de réunion, soit une diminution de la taille des bureaux ainsi qu’une « densification » de ces derniers. Le système des bureaux partagés permettrait quant à lui, toujours selon les résultats de l’étude, d’offrir de nouveaux espaces de travail et correspondrait davantage aux modes de fonctionnement de l’entreprise. Outre le gain financier que produirait ce regroupement sur un site unique, la Direction a en effet insisté sur le fait que les bureaux partagés induiraient de nouvelles manières de travailler et que cet aspect revêtait une importance tout aussi décisive. Elle a donc indiqué s’orienter vers ce système, et ce en démarrant par un pilote auquel participeraient les équipes : Projets, Digital, Partnership Office, Achats, RH, Finance, Service Delivery & Transformation Office ainsi que les équipes du Corporate. Ce pilote, dont le démarrage est prévu pour mars (après consultation des IRP : CHSCT et CE), devrait fournir des indications utiles pour le futur et permettre de libérer le bâtiment Concorde avant le terme du bail (fin 2014). Lors du Comité d’entreprise, nos élus ont demandé des compléments d’information sur l’étude réalisée et sur certains éléments permettant d’apprécier la pertinence du choix fait par la Direction : estimation du nombre de salles de réunion, de bureaux fermés, capacité… Tout en rappelant nos convictions, nous avons souligné que tous les salariés n’avaient pas forcément les mêmes modes de travail/fonctionnement, d’où notre scepticisme sur le bien-fondé d’une éventuelle généralisation des bureaux partagés à l’ensemble de l’entreprise. La Direction a déclaré que ce projet en était à ses prémices, que les salariés concernés par le pilote et leurs managers allaient être associés à l’aménagement des espaces et que des informations complémentaires allaient être transmises aux représentants du personnel, CHSCT notamment. Pour l’UDPA-UNSA, il est encore trop tôt pour présager des conditions de travail et de leur évolution. Aussi, c’est avec un intérêt certain que nous accueillerons ces informations… ---------------------------------------------------------------------------------------------- Nos convictions : Garder un emplacement propre à chaque salarié favorise le sentiment d’appartenance à l’entreprise et diminue le risque de se voir considéré comme une simple « ressource ». La représentation du bureau (espace, mobilier) nous parait capitale pour définir l’identité de la personne, son statut, sa place dans l’entreprise. Le système des bureaux partagés, même avec d’autres espaces (détente, rencontre, confidentiel…) en complément (encore faut-il qu’ils soient en nombre suffisant) ne résorbera pas complétement les nuisances induites par la « collectivisation » que l’on constate déjà aujourd’hui avec « l’open space » : Bruit ambiant pouvant déclencher une sensation de fatigue, voire d’épuisement, interruptions et allers et venues incessantes, altération de la concentration, baisse de la vigilance, sentiment d’être surveillé, augmentation du niveau de stress… Extrait du document transmis aux membres du C.E relatif à la configuration actuelle : Au mois de novembre de l’année dernière, la Direction informait le C.E du lancement d’une étude sur la possibilité de regrouper tous les salariés de la Défense dans un seul bâtiment. (cf. notre tract de novembre 2013).

Axatechfevrier 2014

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Tract UDPA-UNSA AXA Tech février 2014

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Après une période de 2 semaines, début décembre, consacrée à la mesure des taux d’occupation des bureaux et des salles de réunions (sur les Collines et Concorde), deux hypothèses ont été étudiées :

La première : en gardant un bureau attribué à chaque salarié.

La seconde : en optant pour le système des bureaux partagés. Ce qui signifie qu’il n’y aurait plus de bureau attitré et que le nombre total de bureaux deviendrait inférieur au nombre total de salariés.

D’après les conclusions de l’étude menée par le cabinet « CBRE Workspace », c’est la seconde hypothèse qui serait à privilégier, la première entrainant, soit une réduction significative du nombre de salles de réunion, soit une diminution de la taille des bureaux ainsi qu’une « densification » de ces derniers.

Le système des bureaux partagés permettrait quant à lui, toujours selon les résultats de l’étude, d’offrir de nouveaux espaces de travail et correspondrait davantage aux modes de fonctionnement de l’entreprise. Outre le gain financier que produirait ce regroupement sur un site unique, la Direction a en effet insisté sur le fait que les bureaux partagés induiraient de nouvelles manières de travailler et que cet aspect revêtait une importance tout aussi décisive.

Elle a donc indiqué s’orienter vers ce système, et ce en démarrant par un pilote auquel participeraient les équipes : Projets, Digital, Partnership Office, Achats, RH, Finance, Service Delivery & Transformation Office ainsi que les équipes du Corporate. Ce pilote, dont le démarrage est prévu pour mars (après consultation des IRP : CHSCT et CE), devrait fournir des indications utiles pour le futur et permettre de libérer le bâtiment Concorde avant le terme du bail (fin 2014).

Lors du Comité d’entreprise, nos élus ont demandé des compléments d’information sur l’étude réalisée et sur certains éléments permettant d’apprécier la pertinence du choix fait par la Direction : estimation du nombre de salles de réunion, de bureaux fermés, capacité… Tout en rappelant nos convictions, nous avons souligné que tous les salariés n’avaient pas forcément les mêmes modes de travail/fonctionnement, d’où notre scepticisme sur le bien-fondé d’une éventuelle généralisation des bureaux partagés à l’ensemble de l’entreprise.

La Direction a déclaré que ce projet en était à ses prémices, que les salariés concernés par le pilote et leurs managers allaient être associés à l’aménagement des espaces et que des informations complémentaires allaient être transmises aux représentants du personnel, CHSCT notamment.

Pour l’UDPA-UNSA, il est encore trop tôt pour présager des conditions de travail et de leur évolution. Aussi, c’est avec un intérêt certain que nous accueillerons ces informations…

----------------------------------------------------------------------------------------------

Nos convictions :

Garder un emplacement propre à chaque salarié favorise le sentiment d’appartenance à l’entreprise et diminue le risque de se voir considéré comme une simple « ressource ». La représentation du bureau (espace, mobilier) nous parait capitale pour définir l’identité de la personne, son statut, sa place dans l’entreprise.

Le système des bureaux partagés, même avec d’autres espaces (détente, rencontre, confidentiel…) en complément (encore faut-il qu’ils soient en nombre suffisant) ne résorbera pas complétement les nuisances induites par la « collectivisation » que l’on constate déjà aujourd’hui avec « l’open space » : Bruit ambiant pouvant déclencher une sensation de fatigue, voire d’épuisement, interruptions et allers et venues incessantes, altération de la concentration, baisse de la vigilance, sentiment d’être surveillé, augmentation du niveau de stress…

Extrait du document transmis aux membres du C.E relatif à la configuration actuelle :

Au mois de novembre de l’année dernière, la Direction informait le C.E du lancement d’une étude sur la possibilité de regrouper tous les salariés de la Défense dans un seul bâtiment. (cf. notre tract de novembre 2013).

Les services rendus aux salariés par ces deux organismes se décomposent comme suit :

ASTRIA : Garantie LOCA-PASS : fourniture de caution aux salariés qui trouvent un logement dans le parc social.

1 bénéficiaire => 3 798 €. Avance LOCA-PASS : 1 bénéficiaire => 400 € Conseil en financement : 2 bénéficiaires. Logement locatif : demandes et propositions de logements locatifs

4 dossiers traités, 11 propositions de logement, 1 logement réservé, 3 dossiers en cours.

SOLENDI : Conseil en financement : 6 bénéficiaires sur le prêt Accession. Prêts : 1 bénéficiaire => prêt travaux : 10 942,62 €. Logement locatif : 2 dossiers traités, 7 propositions de logement, 1 logement réservé : 5 000 €, 1 dossier en

cours.

Ce n’est un secret pour personne, la sécurité de nos systèmes d’information est devenue une des préoccupations majeures de nos Dirigeants.

Des audits réalisés l’an passé ayant révélé des failles quant à l’utilisation des comptes à privilège (admin, root…), la Direction d’AXA Tech a décidé d’établir un « code de conduite » afin de formaliser la politique relative à ces comptes ainsi que les principes à respecter. A titre d’exemple, la possession d’un compte administrateur devra être justifiée et son utilisation devra répondre à une action clairement identifiée : changement, incident, intervention… Les managers auront en charge de vérifier l’attribution et l’utilisation de ces comptes dont la fiabilité sera régulièrement évaluée.

Lors de la séance du C.E, nos élus ont pris acte de la décision de l’entreprise.

Bien que nous comprenions l’établissement d’un tel code, nous avons rappelé que l’ajout de celui-ci au REGLEMENT INTERIEUR permettra désormais de sanctionner en cas de manquement.

Nous avons donc insisté sur le fait de privilégier encore la sensibilisation des salariés et de respecter, le cas échéant, l’échelle de sanctions qui figure au règlement intérieur.

Les salariés concernés auront deux formulaires à remplir et à signer : un qu’ils garderont et l’autre qui sera adressé à la Direction de la sécurité.

La subvention (0,45 % de la Masse Salariale) de l’entreprise (GIE+SAS) au titre de l’effort de construction (ex 1 % logement) s’est élevée à 243 414 € en 2013 :

ASTRIA = 121 707 € et SOLENDI = 121 707 €.

Point d’étape sur le

Après les équipes CPSA, VISA, Project Office, Service Control, Partnership Office et la RH, soit environ 215 personnes, la Direction a fait part au C.E de son intention de poursuivre le déploiement de la « gestion minceur » (Lean Management) dans l’entreprise.

Ayant pour objectifs d’étendre la méthode à l’ensemble des domaines techniques et de finaliser son déploiement chez « Applications » (Midsize), la Direction a informé les élus du lancement de 3 nouvelles vagues en 2014 sur une population de 330 personnes. Ce qui représenterait, à terme, 67 % des salariés d’AXA Tech France fonctionnant avec ce type d’organisation du travail.

« Opérations » (15 à 30 pers) et « Distribué » (79 pers) sont les prochains départements où le Lean sera déployé, et ce à partir de mi-février.

Lors de la séance du C.E, nous avons fait part à la Direction de notre étonnement de voir si peu de navigateurs référents (garants de l’application de la méthode et des standards définis) dans certains départements : 4 en tout pour CPSA, VISA et Project Office, soit 141 pers au total, alors que pour Partnership Office et Service Control : 4 navigateurs référents pour 58 pers. Nous avons également déploré le manque de vision que pouvaient avoir certaines équipes sur les « chantiers » (A3) d’autres équipes.

L’UDPA-UNSA reste plus que jamais à votre écoute sur le « Lean », N’hésitez-pas à nous contacter !

Lors de la réunion du Comité d’Entreprise, la Direction a également présenté une information sur le projet d’organisation de « Cloud Opérations » => Rapprochez-vous de vos élus pour en savoir plus !

AXA TECH Accord triennal

2008-2010

Accord triennal

2011-2013

AAccccoorrdd ttrriieennnnaall

22001144--22001166

PPoouurr 22001144 ((aavvaannccee ssuurr

rreevvooyyuurree ccoommpprriissee))

Mesures (1) prévues

(pour 2014 uniquement)

en cas de non-signature

(mesures prévues en cas de signature de l’accord)

AAuuggmmeennttaattiioonnss ggéénnéérraalleess ((AAGG))

non cadres cadres non-optants 11,,1100%% ((22))

11%% ((33))

00,,8855%%

11%%

00,,8855%%

cadres 5 optants 00,,6600%% ((44)) 00,,4400%% ((55)) 00,,2200%% ((66)) 00,,2200%% ((66)) 00%% cadres 6 optants 00,,6600%% ((44)) 00,,4400%% ((55)) 00%% 00%% 00%%

cadres 7 00%% 00%% 00%% 00%% 00%%

AAuuggmmeennttaattiioonnss iinnddiivviidduueelllleess ((AAII))

non cadres, cadres non-optants 11,,4455%%

11,,0055%%

00,,8855%%

00,,9900%%

00,,8855%%

cadres 5 optants 11,,9900%% 11,,6600%% 11,,5500%% 11,,7700%% 11,,7700%% cadres 6 optants 11,,9900%% 11,,6600%% 11,,7700%% 11,,9900%% 11,,7700%%

cadres 7 22,,5500%% 22%% 11,,7700%% 11,,9900%% 11,,7700%%

((22)) Minimum de 400 € ((33)) Minimum de 415 € ((44))plafond à 47500 € ((55)) plafond à 50 000 € ((66)) plafond à 54 000 €

Que ce soit avec la mise en place du « Lean », de la « culture bleue » ou dans la manière de repenser l’aménagement des espaces de travail, nos dirigeants n’ont de cesse de vouloir ériger le travail d’équipe comme valeur fondamentale. Sur le principe en lui-même, comment ne pas être d’accord ?

Pourtant, lorsqu’il s’agit d’apprécier et de reconnaitre le travail réalisé ou tout simplement de maintenir le pouvoir d’achat, c’est toujours plus vers l’individu et lui seul que s’oriente l’entreprise : disparition des augmentations générales ou quasi-absence pour une part importante des salariés, attribution (ou non) d’une augmentation individuelle, évaluation individuelle et notation conditionnant le montant variable du bonus de performance.

L’accord salarial 2014-2016 proposé par AXA Tech en est la démonstration flagrante.

Pour l’UDPA-UNSA, cette individualisation accrue en matière de reconnaissance financière et de progression salariale participe à l’instauration d’une logique de concurrence entre les salariés et s’avère donc totalement contradictoire avec les notions d’esprit d’équipe et de « travail collaboratif » promues par l’entreprise.

Lors des négociations, notre organisation a également insisté sur le fait que les mesures prévues dans ce nouvel accord allaient mettre en difficulté un nombre croissant de managers de proximité car ce sont eux qui porteront, devant les salariés, la responsabilité des arbitrages effectués. Dans les services où les salariés ne bénéficieront plus d’AG ou très très peu, la période des augmentations individuelles risque fort de devenir nettement plus compliquée.

De quelles marges de manœuvre ces managers pourront-ils disposer ? De quels recours pourront-ils user ? De quels soutiens pourront-ils réellement bénéficier ? Pour nous, ces questions restent posées.

Nous nous y attendions, la Direction d’AXA Tech n’a guère avancé d’améliorations quant aux mesures et aux taux d’augmentations fixés dans l’accord triennal RSG du 20/12/2013 (cf.notre tract spécial salaire du mois dernier).

Même les 415 € minimum d’AG et les 0,05 % d’AI supplémentaires pour les non-cadres et cadres non-optants qui figuraient dans l’accord précédent disparaissent.

Malgré nos efforts et nos tentatives de persuasion pour empêcher une nouvelle diminution de certaines mesures relatives à une « composante importante de la motivation et de la reconnaissance » des salariés (la rémunération), rien n’y a fait. Il faut dire que nous étions bien seuls…

Au final, soit nous acceptions, comme la CFDT, les propositions de la Direction (calquées sur l’accord Groupe que nous n’avons pas signé), soit les négociations se terminaient par un P.V de désaccord (pour 2014 uniquement) dont les mesures fixées de manière unilatérale (1) apparaissent dans le tableau ci-dessous.

En cohérence avec ses positions, son argumentation et ses propositions formulées durant les négociations, notre organisation a décidé de ne pas signer cet accord sur les salaires 2014-2016 d’AXA Tech.

Vos contacts

Franck GRANDMAISON

[email protected]

Téléphone interne : 55 24 79

Michel MAUROUARD

[email protected]

Téléphone interne : 55 24 97

Olivier ALTAZIN

[email protected]

Téléphone interne : 55 25 29

Jean-Pierre VASSARD

[email protected]

Téléphone interne : 52 72 29

John LOOCK

[email protected]

Téléphone interne : 55 24 94

Christophe PAJADON

[email protected]

Téléphone interne : 55 25 04

wwwwww..uuddppaa--aaxxaa..oorrgg LLooccaall ssyynnddiiccaall :: 5555..2277..3366

Un arrêté ministériel du 24 décembre 2013 reconnait enfin l’UNSA comme étant représentative dans la Branche des sociétés d’assurances (FFSA) :

CFDT : 37,78 %, CGT : 18,29 %, CGC : 14,24 %, UNSA : 10,98 %, FO : 9,73 %, CFTC : 8,97%.

Cela signifie que, désormais, l’UNSA siège dans les différentes instances et organismes paritaires et que nous pourrons ainsi faire valoir nos positions et avancer nos propositions (salaires, emploi, GPEC, égalité professionnelle...)..

AXA : L’UDPA-UNSA est la seule organisation syndicale à avoir progressé lors de la collecte 2013 des bons de financement syndicaux : + 4 %, et ce malgré un taux de retour global en baisse de 2,6 %.

Lors de la réunion du Comité de Groupe France qui s’est tenue le 3 décembre 2013, Pascal BUFFARD (Président d’AXA Tech) est venu présenter un point sur l’informatique au sein d’AXA.

Notre organisation, représentative au sein d’AXA Tech, a interrogé M.BUFFARD sur le futur de cette entité, tout en rappelant l’épisode IBM de 2011 et afin de savoir si celui-ci demeurait possible. Nous avons également demandé si la décision du Groupe de se développer sur le numérique (Digital) pouvait entrainer des fusions entre entités informatiques (ex : AXA Tech/AGS).

Pascal BUFFARD a confirmé que le numérique représentait un enjeu fondamental pour le Groupe, et ce malgré l’existence de menaces liées à la sécurité. Point sur lequel il a précisé l’engagement d’investissements spécifiques. M. BUFFARD a indiqué que la transformation d’AXA Tech se poursuivait normalement et que celle-ci était conforme aux objectifs fixés.

Il a ajouté qu’il n’était pas prévu de céder cette entité ou de procéder à sa fusion avec d’autres entités.

Evolution des effectifs CDI d’AXA Tech (GIE+SAS) sur 2013 :

(Absences longue durée et salariés ayant adhéré au dispositif TAR inclus)