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CARPEAUX

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LIBRAIRIE FÉLIX ALCAN

ART ET ESTHÉTIQUE Collection publiée sous la direction de

M. PIERRE MARCEL Volumes in-8° écu, avec reproductions hors texte, à 6 et à 10 fr.

publiés : Titien, par HENRY CARO-DEL VAILLE. Velazquez, par AMAN-JEAN. Greuze, par Louis HAUTECCEUR. Holbein, par L. FOUGERAT. Hokousaï, par HENRI FOCILLON. Puvis de Chavannes, par RENÉ

JEAN. Giorgione, par GEORGES DREYFODS. Will iam Morris, par G. VlDALENC. Rembrandt , par CH. COPPIER. Degas, par HENRI HERTZ. Le Caravage, par G. RODCHÈS. Goya, par JEAN TILD. Courbet, par ANDRÉ FONTAINAS. L'Art Norvégien contempo-

rain, par G. VIDALENC. Memlinc, par GEORGES HUISMAN. Les Artistes Écri vains, par P.

RATOUIS DE LIMAY. Hogarth, par ANDRÉ BLUM.

Phidias et le Génie grec, par HENRY CABO-DELVAILLE.

L'Ancien Ar t Bulgare, par BOG- DAN FILOW.

Constantin Meunier, par ANDRÉ FONTAINE.

L'Art et les Artistes en Polo- gne, par JÉAN TOPASS.

Au Chevet de l 'Art moderne, par GUILLAUME JANNEAU.

Eustache Le Sueur, par GABRIEL ROUCHÈS.

Roll, par A.-FERDINAND HEROLD. Sodoma, par CHARLES TERRASSE. Schongauer, par CLAUDE CHAMPION. Rops, par ANDRÉ FONTAINAS. L'Art Belge depuis 1830, par

ANDRÉ FONTAINE. L'Art Marocain, par GEORGES VI-

DALENC.

En préparation : Philippe de Champaigne, par ED. PILON. — Pisanello, par JEAN GUIFFREY. —

Claus Sluter, par JEAN CHANTAVOINE. — Art et Esthétique, par VICTOR BACH. — Poussin, par HENRI MASSIS. — Daumier, par GUSTAVE GEFFROY. — Fromentin, par E. PORT.— Claude Lorrain, par R. ESCHOLIER. — Bubens, par R. FIERENS-GEVAERT. — Toulouse Lautrec, par F. CARCO — La Crise présente des arts plastiques, par HENRI HERTZ. — Delacroix, par DE TRAZ. — Tiepolo, par A. SEGARD. — Perronneau, par CH. SAUNIER. — Les Cari- caturistes, par A. BRÉUL. — Le Bernin, par P. ALFASSA.

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PL. I.

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ART ET ESTHÉTIQUE

CARPEAUX PAR

ANDRÉ M. DE PONCHEVILLE

PARIS LIBRAIRIE FÉLIX ALCAN

108, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 108

1925 Tous droits de traduction, de reproduction et d'adaptation

réservés pour tous pays.

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IL A ÉTÉ TIRÉ DE CET OUVRAGE :

100 exemplaires sur papier Lafuma pur fil, numérotés de 1 à 100.

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CARPEAUX

CHAPITRE PREMIER

L'ART DE CARPEAUX

« Toute une vie est là, force joyeuse et libre. » CHARLES DROULERS. Ode à un statuaire.

Qui connaît Paris connaît l'art de Carpeaux, et son œil n'a pu manquer de se poser sur les œuvres où le sculpteur a fait palpiter la vie mieux qu'aucun autre avant lui, où il a exprimé par surcroît son époque, l'une des plus fiévreuses de vivre et de jouir qui fût jamais.

On a pu retirer des Tuileries le bronze d'Ugolin, que l'air y caressait et que la lumière enveloppait : on n'a pas descendu du pavillon de Flore la déesse eni- vrante de grâce qui s'y joue parmi les fleurs du prin- temps, et les amours de la jeunesse ; on n'a pas séparé du grand mur de l'Opéra auquel elles s'adossent, les bacchantes éperdues, plus ivres de la giration de la danse que d'un fort raisin que semble leur presser dans la coupe du plaisir, le génie, l'Éros acharné au-dessus de leur tournoiement.

Surtout on n'a pas ôté à l'Avenue de l'Observatoire,

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son motif sublime, cette fontaine où les quatre Parties du monde, déesses remplaçantes d'Atlas, soutiennent la sphère, et la font tourner avec elles selon un rythme grave et lent. Ici se place un des sommets de la France, une des réussites éminentes de son art. Retrouverait-on ce seul témoignage après quelque tragique bouleverse- ment, après un effondrement de notre civilisation, on la placerait encore à côté de la grecque, et Paris auprès d'Athènes. Jamais ne furent réunis plus d'équilibre; d'harmonie, de beauté sereine et souriante. Europe qui guides tes trois sœurs, fière beauté, tu es le visage même de la France. Ainsi la nation courtoise s'est-elle fait aimer du monde par tempérance qui signifie équilibre de l'es- prit et du corps, prudence et force jadis nommées d'un seul mot en grand honneur : preud'homie.

Des avenues, des arbres, des pierres de Paris, des fluides eaux de sa Seine entre les quais, que l'on aille maintenant aux salles voûtées du Louvre : on y retrou- vera Carpeaux à la suite des magnifiques ancêtres, humbles tailleurs d'images. Sa gloire y gît peut-être un peu comme dans un tombeau, mais nous en éveillerons les échos en le nommant. Le bronze enseveli sonne encore sous le doigt, le désespoir d'Ugolin, dans l'ombre qui semble celle de sa prison, n'a cessé d'être le thème tragique arraché tout saignant aux versets de Dante.

Sa solitude s'est peuplée. Sans parler de la Flore, de la Danse, de l'unique Fontaine, bien des morts qui furent et sont demeurés des vivants l'ont rejoint : Delaborde,

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spirituel à la façon de Talleyrand ; Giraud, Garnier, deux sûrs amis de Carpeaux; Alexandre Dumas, avec son assurance boulevardière ; le notaire Beauvois, énorme et laid comme Mirabeau, Vitellius de la Basoche, disaient les Goncourt, mais qui l'emporte sur eux, plus assuré de l'immortalité par son buste de bronze qu'eux-mêmes par leur Journal. Quelques femmes aussi : Fiocre, char- mante entre toutes; M A. D..., épaisse un peu et sen- suelle; Mme Turner, anglaise ici dépaysée; M Carpeaux, qui au contraire est chez elle ; l'altière duchesse de Mouchy ; l'officielle et officieuse princesse Mathilde ; la marquise de La Valette, grande dame décharnée, attestée par ses rangs de perles, comme par leurs chevrons les soldats de la Grande Armée et de la Grande Guerre.

Combien Carpeaux n'a-t-il pas fait de ces bustes ! Ils jalonnent la voie suivie par celui qui ne rêva, sa vie durant, que de gloire et d'amour. Pour compléter le cortège autour de lui formé seulement de fantômes, il faut aller au musée de Valenciennes. Là, mieux qu'ail- leurs, la Flore nous redira le songe amoureux de son adolescence, l'Ugolin son perpétuel tourment, la Danse sa fièvre de plaisir ; et la Fontaine de l'Observatoire nous avertira qu'au seuil des années de dernières souffrances, il entrevit la sérénité.

Mais auprès de ces déesses chargées par la gloire de déposer sur le front du moribond un ultime baiser, voici groupées les femmes aimées ou qui simplement lui furent bonnes. M Delerue 1 sous les proches ombrages

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de Raismes, lui avait été maternelle ; elle avait trouvé ce pur dictame, les paroles qui apaisent et demeurent. Fille de la Louve, la robuste romaine qu'il nommait pourtant sa Palombella, d'un doux nom de tendresse, est virile presque et belle de gravité; tandis que c'est son sourire et son rire, au contraire, qui préserveront à jamais du temps et de l'oubli l'enfant mutine aimée à Valenciennes, Anna Foucart. Évoquons, en regard de la vierge à la grâce jeune et gaie, cette fière fille, M Be- nedetti, dont il fit le buste en même temps que ceux de la princesse Mathilde, officiel l'un, et l'autre vrai, plus cher à ses amis, à Dumas, à Sainte-Beuve. De l'impé- ratrice, dédaigneuse un peu, mais qui finit par inviter à Compiègne celui qui l'avait été souvent à Saint-Gràtien, un seul buste, une beauté pure et froide. Montijo même, et avant de monter sur le trône, elle était née souveraine comme était née esclave la pauvre négresse qui posa pour l'Afrique et dont Carpeaux plaignit le sort.

Eugénie Fiocre, à son tour, eut pitié de lui, danseuse de l'Opéra qui, — autant que la pensive Mélan-Gué- roult, — aurait l'air d'une femme du monde, n'était la rose voluptueuse placée entre ses seins plutôt qu'à la ceinture. Nous la trouverons rachetant pour l'artiste les épaves d'une vente malheureuse à l'hôtel Drouot. Et l'on évoque devant son fin visage le pastel que la Tour a laissé de M Fel, son amie, qu'il appelait La Céleste et réclamait à son lit de mort.

La rêveuse fiancée paraît enfin, l'attendue, la désirée de toutes les années de jeunesse. Carpeaux, en épousant

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PL. II.

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M de Montfort, l'a prise pour modèle de plus d'un buste, et, comme il l'avait fait de l'autre aimée nommée l'espiègle ou la rieuse, il a appelé celle-ci La fiancée et Le printemps ; puis, vers la fin de sa propre vie et le commencement de leurs douleurs, il l'a trans- formée en une Mater Dolorosa au visage raviné par les larmes.

Lui-même est là. Quoi de plus déchirant que le buste des derniers jours, modelé à Nice tantôt par sa main, tantôt par celle du praticien Bernard, mais selon ses cons- tantes indications ! Le cou est tordu, le masque ravagé par la souffrance. Et ainsi, les rejetant amèrement d'un signe de tête, semble-t-il dire à toutes joies, au baiser même de la gloire : trop tard !

Tel est l'instant d'avant la mort terrestre. Le masque moulé ensuite sur le visage le montre entré pour la pre- mière fois dans la paix immense et le repos de l'Éternité. Les yeux se sont clos, la face amaigrie s'est, détendue, et l'on songe au roseau pensant de Pascal devant cet être à la fois et si faible et si fort, abattu seulement après avoir dominé pendant vingt ans les tempêtes de son esprit.

Redisons-le, tout l'éclat de Carpeaux est à Paris, — encore qu'à Valenciennes le Watteau, la Cité défendant la patrie, rappellent, grâce et force, le double aspect de

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son génie, — mais la vie intérieure de cet homme pro- digieux, et l'incessant progrès par quoi elle se manifesta, c'est en sa ville natale qu'il faut venir pour les comprendre. Dans les salles qui lui ont été consacrées, on assiste à l'ascension de l'artiste grâce à ce levier souleveur de mondes, la volonté ; et le petit bas-relief de Joseph, modelé en terre par celui qui servait encore les maçons tout en étant apprenti sculpteur, nous marque ici la pre- mière et humble pierre de l'édifice à la lente construc- tion duquel nous assistons, jusqu'au faîte où se tiennent debout les quatre Parties du Monde. Ainsi s'ouvre une symphonie de Beethoven par le faible murmure d'une source ; elle revêt les accents de l'idylle, ceux de la tra- gédie, de l'ode héroïque et grave, puis s'achève en une large rumeur, orageuse d'abord à la façon d'un torrent déchaîné, paisible ensuite comme un grand fleuve, et laissant entrevoir l'immense océan où tout se perd, mais de qui tout renaît.

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CHAPITRE II

LES ORIGINES ET L'ENFANCE

A la fin du XVII un ouvrier nommé Lambert Carpeaux, né dans le Hainaut belge, à Lobbes, pays de maçons et de tailleurs de pierre, passe la frontière, arrive à Valenciennes et s'y installe, épousant en 1792 (22 fruc- tidor an III), Albertine-Anne-Josèphe Michaux, née dans la ville. Ce carrier, c'est le propre aïeul du grand sculpteur. Chargé des hérédités de ses pères qui, avant lui, gâchèrent le mortier et dégrossirent la pierre, nous verrons celui-ci, d'abord apprenti et ouvrier comme ils le furent, se soumettre encore par la suite, manieur de glaise et sculpteur de marbre, à la dure loi du quotidien effort manuel. Mais il avait reçu, lui, une étincelle qui ne jaillit pas de tous les blocs frappés par le marteau, mais le don du génie lui avait été accordé. Animé d'une éner- gie qui en fait un des héros de notre temps, et passant par des étapes successives — l'Ugolin, la Flore, la Danse, — enfin, avant de mourir, il parviendra à force de dou- leurs à la sérénité du grand art, à la cime de loin con- templée qui domine le vaste royaume de la terre; il guidera, il rythmera la marche harmonieuse des éter- nelles Atlantes de ce globe terrestre.

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Le fils aîné de Lambert, Joseph Carpeaux, maçon de son métier, épousa le 8 septembre 1821 une dentel- lière née comme lui avec le siècle, Adèle Wargny, dont il eut huit enfants; prolétaire au sens exact du mot, engendreur de vies humaines parmi lesquelles une fut désignée, lumineuse. A l'arbuste de choix, la pépinière sera toujours une condition préalable. Après Élisa, après Élodie, après Charles, « jeté comme une graine au gré de l'air qui vole », naquit quatrième l'enfant de génie, vers l'aube du onzième jour de mai, en 1827. La maison, rue Delsaulx, était placée sous cette enseigne : A l'ancien savetier, et située en face de la rue du Puits-couvert.

Son double prénom, Jean-Baptiste, était celui du patron de son père, l'entrepreneur Luwez, qui le tint le 20 mai sur les fonts du baptême ; ses parents, toutefois, ne le nommèrent jamais que Jules, pour quelque raison à eux. Et quand il eut sept ans, et qu'ils se furent ins- tallés rue des Anges avec leur marmaille accrue de nou- veaux enfants en bas âge ; quand il alla, lui Jules ou Jean-Baptiste, mais Carpeaux, à l'école des Frères, et plus souvent faire « les quatre cents coups » place du Commerce, avec les gamins de son quartier, ceux-ci trouvèrent plaisant, paraît-il, d'appeler Crapaud le petit garçon chétif et mal venu, mais vif, nerveux, qui les entraînait aux aventures 2

La fortune ne s'était pas assise au foyer des époux

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Carpeaux avec les enfants toujours plus nombreux. Il fallait vivre de peu. Les jours de marché, la mère s'y rendait vers midi, au moment où les femmes venues de la campagne, s'apprêtant à repartir, laissaient leurs légumes pour un prix modique ; et elle leur achetait à moitié prix sept ou huit gros choux, de quoi faire une soupe qui pût suffire à plusieurs jours. Son ingéniosité maternelle avait encore trouvé un moyen d'empêcher ses enfants de souffrir du froid dans une maison où il n'y avait pas toujours de feu : elle achetait une friandise d'un sou et la promettait à celui qui ferait le plus vite « le tour des chinq remparts ». Les enfants partaient en courant et revenaient réchauffés de cette course rapide sur la vieille enceinte de Vauban.

Ce sont donc de pauvres gens : le père est bien maître maçon, mais il ne réussit guère dans ses affaires. Le petit Jules fut placé chez un plafonneur, un certain Pierre-Joseph Debaisieux, qui habitait rue Derrière- les-murs. Il y trouvait, à manier le plâtre, la satisfaction de son instinct ; pour les quénioles, gâteaux en forme de berceau que Noël apporte aux enfants, il façonnait, enfant lui-même, a-t-on raconté, de petits Jésus à placer dessus. En même temps, les jours de liberté, dans ses jeux autour des remparts, fouillant le fond du fossé qui les contournait extérieurement, il en retirait une sorte d'argile avec laquelle il s'essayait à modeler ; et la diéwe mise autour des bondes des tonneaux de bière, quand il pouvait s'en procurer chez un brasseur, servait encore à cet usage. Debaisieux, ayant remarqué sans doute la

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LIBRAIRIE FÉLIX ALCAN, 108, boulevard Saint-Germain, Paris.

ART ET ESTHÉTIQUE Collection publiée sous la direction de Pierre MARCEL

L'Ancien art bulgare, par BOGDAN FILOW. L'Art et les Artistes en Pologne, par JEAN TOPASS. L'Art belge, par A. FONTAINE. L'Art marocain, par G. VIDALENC. L'Art norvégien, PAR G. VIDALENC. Les Artistes écrivains, par P. RATOUIS de LIMAY. Au chevet de l'Art moderne, par G. JANNEAU. Carpeaux, par A.-M. de PONCHEVILLE. Constantin Meunier, par ANDRÉ FONTAINE. Courbet, par A. FONTAINAS. Degas, par HENRI HERTZ. Eustache Le Sueur, par GABRIEL ROUCHÉS. Giorgione, par GEORGES DREYFOUS. Goya, par JEAN TILD. Greuze, par LOUIS HAUTECOEUR. Hogarth, par A. BLUM. Hokousaï, par HENRI FOCILLON. Holbein, par L. FOUGERAT. Le Caravage, par G. ROUCHÈS. Memline, par G. HUISMAN. Phidias, par H. CARO-DELVAILLE. Puvis de Chavannes, par RENÉ JEAN. Rembrandt, par A.-C. COPPIER. Roll, par A.-F. HÉROLD. Rops, par A. FONTAINAS. La Science des couleurs et l'Art du Peintre, par MAURICE BOIGEY.

Préface de J.-F. BOUCHOR. Schongauer, par C. CHAMPION. Sodoma, par C. TERRASSE. Titien, par H. CARO-DELVAILLE. Velazquez, par AMAN-JEAN. William Morris, par G. VIDALENC.

En préparation :

Philippe de Champaigne, par ED. PILON. — Claus Sluter, par J. CHANTAVOINE. — Art et Esthétique, par V. BASCH. — Claude Lorrain, par R. ESCHOLIER. — Rubens, par R. FIERENS-GEVAERT. — Delacroix, par DE TRAZ. — Tiépolo, par A. SEGARD. — Perronneau, par CH. SAUNIER. — Les Caricaturistes, par A. BRÉUL. — Le Bernin, par A. ALFASSA.

6897. — Coulommiers. Imp. PAUL BRODARD. — 12-25.

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