Cliquez sur un début d’histoire de votre choix

Vous incarnez Maé Clèrssie, une journaliste de 40 ans travaillant pour le quotidien « La Première Heure ».

Il y a encore quelques jours, Maé vivait paisiblement dans une grande ville, quelque part en Europe, avec sa famille.

Mais malheureusement, sa vie a basculé en un instant. Pour éviter une terrible catastrophe, elle va devoir parcourir le monde et se rendre dans 8 lieux différents. Elle devra alors affronter toute une série d’épreuves…

C’est vousvous qui la guiderez au cours de ces moments décisifs où une multitude de pièges et d’embûches seront tendus sur son passage.

Alors soyez attentif et faites les bons choix…

Mais avant de partir, observons le bureau et le journal intime de Maé pour découvrir ce qu’il s’est passé…

Cliquez sur un début d’histoire de votre choix.

La vipeuse a disparue Kidnapping à l’usine

Ce jour-là, je me suis réveillée très tôt. Je me sentais malade, alors je suis restée couchée dans mon lit toute la matinée et je ne suis pas allée au journal. C’était l’heure de manger car il était midi. Mon mari Olivier m’a appelée mais je n’avais aucune envie de manger parce que j’avais mal au ventre et envie de vomir.

« Olivier tu peux m’apporter une bassine, j’ai envie de vomi . . . bbbrrraaa… bbbbrrra. »

Une heure après, mon chéri est parti à son travail.

Tourner la page…

L’après-midi, je me sentais déjà mieux, alors j’ai pu assister au match de foot où jouait ma copine Valentine, car j’adore supporter son équipe.

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L’après-midi, je me sentais déjà mieux, alors j’ai pu assister au match de foot où jouait ma copine Valentine, car j’adore supporter son équipe.


D’un seul coup mon téléphone sonna.

C’était le commandant de la gendarmerie. Il était en train de me dire qu’Olivier, mon mari, était en garde à vue car il était accusé d’avoir dévissé un tuyau de la raffinerie de l’usine où il travaille: l’usine PhidvecsJ’étais désespérée. Je me suis faufilée entre quelques autres supporters pour atteindre la gendarmerie.

Quand je suis arrivée je me suis dépêchée d’aller voir le commandant.Je lui ai parlé longuement, et il a fini par me dire qu’il fallait que je trouve une preuve que ce n’était pas lui sinon mon mari serait en prison à vie et la rivière serait polluée. Je me suis mise à questionner les ouvriers. Tourner la

page…

L’un des ouvriers m’a répondu que le patron de l’usine était parti et que le seul outil (Vipeuse) au monde qui pouvait réparer ce conduit était dans le coffre, ainsi que toutes les cassettes de vidéosurveillance. Si je pouvais ouvrir ce coffre, j’arriverais à sauver mon mari et à éviter une catastrophe…

J’ai demandé à la secrétaire si je pouvais chercher dans son bureau des preuves que ce n’était pas Olivier le coupable, mais en vérité je cherchais le code du coffre. Je suis donc entrée dans le bureau. J’ai tout de suite fixé mes yeux sur une enveloppe…Cliquez sur

l’objet concerné…

Suite…

Je l’ai mise dans mon manteau, puis j’ai cherché d’autres indices mais il n’y en avait plus : j'avais le sentiment que c'était le directeur le coupable. Tout d’un coup : « Driiiiiing »


Je l’ai mise dans mon manteau, puis j’ai cherché d’autres indices mais il n’y en avait plus : j'avais le sentiment que c'était le directeur le coupable. Tout d’un coup : « Driiiiiing »

«Salut Maé, c’est moi Valentine. Je t’invite ce soir à 19h30, pour fêter ma victoire de cet après-midi. - Désolée Valentine, mais je suis pressée, je dois prendre l'avion pour partir dans le monde entier. »


Le soleil tapait déjà quand je commençai à écrire pour le Journal de la première heure. Quand soudain ma fille de 5 ans se réveilla de sa sieste. Donc je proposai à Angélie (ma fille) d’aller assister au match de foot Lyon Marseille, car j’adore encourager les joueurs. Cliquez sur

l’objet concerné…

Le soleil tapait déjà quand je commençai à écrire pour le Journal de la première heure. Quand soudain ma fille de 5 ans se réveilla de sa sieste. Donc je proposai à Angélie (ma fille) d’aller assister au match de foot Lyon Marseille, car j’adore encourager les joueurs..

Avant de monter en voiture je pris mon carnet pour faire un reportage.


On arriva et mon téléphone sonna :


On arriva et mon téléphone sonna :« Allo Maé, c’est Philippe. Je rentre de Chine ! Peux-tu venir me chercher à l’aéroport ? - Oui j’arrive. Angélie viens, on va chercher Oncle Philippe à l’aéroport. »Nous partîmes en direction de l’aéroport.Là-bas nous attendîmes avec impatience l’oncle d’Angélie.

Il arriva avec un sourire jusqu’aux oreilles. « Bonjour tout le monde. Où est Xavier? -Il est parti en voyage, il doit revenir aujourd’hui à 18 heures, nous étions parties voir un match de foot en attendant. » Le téléphone sonna.Tourner la

page…

« Allo?-Allo, j’ai kidnappé votre mari, je me suis enfermé dans l’usine Phidvecs. Je veux les plans de la nouvelle usine ultra-perfectionnée. Si vous ne trouvez pas les huit chiffres du code qui me permettront d'ouvrir le coffre, je ferai exploser l’usine et il y aura plein de pollution dans toute la ville et tant pis pour votre mari.

J'ai oublié de vous dire que le directeur a réparti les chiffres du code chez des habitants spéciaux de différents paysages. Commencez par aller au paysage où il y a des chameaux. Je vous préviens si vous avertissez les policiers je tuerai votre mari. » Tourner la

page…

Mon cœur battait de plus en plus fort quand je me dirigeais vers mon appartement. Je laissai ma fille avec Philippe et je partis travailler avec les larmes aux yeux. Je racontai mon aventure à mes collègues quand Achille (mon meilleur collègue) commença à écrire dans son journal :

« Dans la ville de Marseille, il y a eu un kidnapping dont la victime est le mari de Maé Clèrssie. Ils ont demandé à Maé de trouver le code secret d’un coffre. »

Tourner la page…

Quand je lus cet article je lui dis tout de suite de l’enlever parce que si les policiers l’apprenaient mon mari serait mort. Vite, je partis me reposer puisque je devais me rendre très tôt à l’aéroport. Je devais découvrir le code secret du coffre fort de l'usine, pour sauver la ville et mon mari.


Quand je lus cet article je lui dis tout de suite de l’enlever parce que si les policiers l’apprenaient mon mari serait mort. Vite, je partis me reposer puisque je devais me rendre très tôt à l’aéroport. Je devais découvrir le code secret du coffre fort de l'usine, pour sauver la ville et mon mari.

Je sautais dans un taxi et filais à l’aéroport…

Tourner la page…

AIR TAHITI 4215 ILE PACIFIQUE 12:45 A AIR NEPAL 4217 HIMALAYA 12:54 HAIR FRANCE 4267 CAMPAGNE 12:59 JAIR AFRICA 4639 SAVANE 13:04 FUS AIR 4327 NEW-YORK 13:13 BAIR MAROC 5617 DESERT 13:28 DPOLE AIR 2512 ALASKA 13:45 CBRAZIL AIR 4453 AMAZONIE 13:54 E

Tenter d’ouvrir le coffre

Lorsque vous pensez avoir le bon code cliquez sur « Tenter d’ouvrir le coffre ».

Attention, certains personnages peuvent donner des faux numéros…

Malheureusement, vous n’avez pas fait le bon choix et vous avez…

Vous n’avez pas pu sauver votre mari et l’usine déverse des tonnes de produits polluants dans la rivière…

La ville est maintenant couverte d’une pollution gigantesque…

PERDU

Recommencer l’aventure

BRAVO !!! Vous avez réussi !!! Vous avez…

Après tant d’épreuves, vous serrez votre mari dans vos bras. Vous avez réussi à le libérer. Vous avez aussi réussi à éviter une catastrophe énorme qui aurait pollué la rivière pendant des dizaines d’années. Le maire vous félicite : il vous remet la médaille de la ville tandis que tous les habitants vous acclament. C’est un triomphe. La place principale de la ville portera désormais votre nom…

Gagné

Place

Maé ClèrssieJournaliste,

Bienfaitrice de la ville Recommencer l’aventure

Ils ont écrit, corrigé, réécrit, chanté, enregistré, dessiné, argumenté, recommencé, expliqué, sué et beaucoup cliqué… pour réaliser ce CD.

Ce sont les élèves des classes de CE2/CM1 et de CM1 de l’école Jean Moulin à Caluire :

MathildeEmma

Jade

MaxenceClaire

Salomé

Yasmine

Zoé

Ilyess

Imran

Alicia

Laura

Guilhem

YohannaValentine

Eliot

Alice

Tom

Jules

Harrys

Achille

Christopher

Jade

Achot

Wassim

SébastienClara-Marie

Clément

Damia

CapucineThomas

Antoine

Emilie

Sabrina

GiovanniUfud

Mélissa

DelphineReinald

Kahina

Léo

Laura

Pauline

Eliott

Avec l’aide de leurs enseignants : H. Hecklen, X. Poiret, S. Fradin et N. Degdadi

Patientez et appréciez ce lieu…

Vous arrivez à l’aéroport du Caire.Vous louez un 4x4 pour aller dans le désert. Mais vous ne savez pas où aller. Vous vous souvenez d’une carte représentant les pyramides de Gizeh dans le bureau du directeur. Vous décidez de vous y rendre. Après quelques kilomètres parcourus, vous commencez à avoir très chaud, vous vous garez à côté d’un puits et vous profitez de cette occasion pour remplir votre gourde d’eau fraîche. Le paysage est calme et magnifique avec ses dunes de sable. Vous entendez le petit bruit des serpents. Puis vous allez voir les pyramides de Gizeh.

Vous entrez dans la pyramide : vous ressentez de la peur mais en même temps cela vous excite car vous n’avez jamais vu les pyramides de Gizeh. Vous commencez à voir quelques touristes : parmi eux, vous remarquez qu’un homme porte le gilet de l’usine. Vous essayez de vous approcher de lui mais il vous a remarqué. Il s’en va, vous essayez de le rattraper mais il court trop vite.

Vous vous dites « tant pis ! », mais vous n’abandonnez pas ! Quand vous avez fini votre visite vous sortez de la pyramide et en quelques secondes, une tempête de sable s’élève. Vous vous protégez avec votre foulard et vos lunettes. Au loin, vous apercevez une personne qui semble avoir des difficultés à marcher. Vous essayez de l’atteindre mais la tempête est plus forte que vous et vous emporte très loin. Que décidez-vous : retourner vers la pyramide ou vous diriger vers la silhouette ?

Vous vous rapprochez encore un peu et vous dites : « ça doit être une femme. » Vous vous rapprochez d’elle et vous engagez la conversation. Vous lui demandez si ça va et si elle n’a pas trop de sable dans ses habits. Elle vous répond qu’elle n’est pas trop bouleversée. Elle s’était trop éloignée de son campement. Vous lui demandez son prénom, son âge et son métier. Elle vous répond :

« Mon nom et Julie j’ai 23 ans et je suis archéologue amateur. Voulez-vous m’accompagnez dans la pyramide inconnue que j’ai découverte il n’y a pas très longtemps ?» Vous acceptez de la suivre ou vous souhaitez rester à l’extérieur ?

Vous la suivezVous restez à

l’extérieur

Vous acceptez avec enthousiasme cette proposition et vous vous mettez à marcher avec elle. Votre destination est la pyramide inconnue. En chemin, vous vous rendez compte que Julie ne possède aucune carte et qu’elle retrouve difficilement l’entrée. Vous êtes arrivée devant l’immense pyramide. Vous ressentez des petits frissons dans vos habits déchirés, vous avez toujours aussi soif mais le froid de cette pyramide vous rafraîchit.

Vous avez peur de vous aventurer trop loin car ce n’est que la deuxième fois que vous entrez dans une pyramide. Mais vous courez le risque d’y aller. Il fait sombre et Julie avance très vite dans les couloirs obscurs. Après quelques heures de marche, vous ne voyez plus votre archéologue.

Vous paniquez et vous essayez de la retrouver par tous les moyens. Vous hurlez, mais personne ne vous répond. Hélas, après quelques heures supplémentaires, vous ne l’avez toujours pas retrouvée, et vous vous écroulez, morte de soif.

Vous quittez Julie avec une pointe de déception. Mais vous vous dites que vous serez beaucoup plus en sécurité à l’extérieur de cette pyramide que personne n’a encore explorée…

Vous apercevez un homme et vous commencez à marcher vers l'autre côté de la pyramide pour le rejoindre. Alors que vous passez le coin, il a disparu.

Vous regardez tout autour de vous quand un mouvement à votre droite attire votre attention C'est l'inconnu qui s'éloigne vers un campement niché au creux d'une oasis proche. Vous vous apprêtez à le suivre quand vous remarquez avec horreur que vous êtes au milieu de sables mouvants.

Affolée, vous ne savez pas quoi faire. Vous gesticulez pour vous sortir de ce mauvais pas. Mais plus vous bougez, plus vous vous enfoncez.

Alors que la situation semble perdue, vous remarquez une corde attachée à un cactus dont le bout n'est qu'à quelques centimètres de vos mains. Après quelques minutes d'efforts, vous parvenez à vous dégager, épuisée.

Vous essayez de faire des efforts pour rattraper l’inconnu. Vous marchez le plus vite que vous pouvez. Vous entrez dans la tente du chef de la tribu touareg.

« Bonjour, qui êtes vous?-Je m’appelle Maé, lui répondez-vous, je suis une journaliste. Je suis à la poursuite du patron de la Phidvecs. L’avez vous rencontré ? - Oui, je me souviens de cet homme très sympathique, répond le vieux sage.- Vous a-t-il laissé une partie de code ? continuez-vous. - Oui, je dois le garder secret. - Il me le faut absolument pour sauver ma ville ! vous affolez-vous.- Moi aussi je dois sauver mon village. Aidez-moi et je vous donnerai le code.- Quel est votre problème ?- Notre ancien puits est à sec.

- L’oasis est en train de mourir, déclare-t-il l’air grave. Nos familles n’ont plus d’eau pour nos cultures et nos animaux. Pourriez-vous nous aider à trouver une solution ?»Vous réfléchissez quelques instants et proposez…

« Je vais téléphoner à un ami au ministère de la défense qui pourra faire une carte satellite infrarouge de la région. Nous connaîtrons ainsi les zones chaudes et zones fraîches du sous sol. »

Après quelques instants, vous recevez sur votre téléphone portable une image satellite de la région. Il ne vous reste plus qu’à cliquer sur la zone où il faut creuser le nouveau puits.

Hélas, ce n’est pas le bon puits… L’oasis va s’assécher mais comme je suis gentil je vais quand même vous donner la partie du code.

Cliquez sur le bon puits :

Il s’agit du numéro :

Notez-le précieusement !

Allez maintenant dans le paysage où l’on trouvela canopée…

Vous avez réussi à nous remettre de l’eau dans l’oasis qui était en train de s’assécher, je vous félicite.

Comme vous m’avez aidé, je vais vous donner la partie du code que m’a donné le patron de la Phidvecs.



Allez maintenant dans le paysage où l’on trouvela canopée…


Grâce à votre petit avion, vous êtes arrivée à l’aéroport d’une petite clairière. Le bruit de l’avion atterrissant vous abasourdi.Vous voyez un fleuve se faufilant entre des centaines d’arbres. Vous avez un peu peur des petites bêtes qui vivent là. L’environnement vous fait froid dans le dos ! Vos yeux se tournent vers un 4x4 resplendissant. Vous demandez à qui est ce 4x4. Une personne vous répond : « Il est à moi, je vous emmène ? On peut facilement se perdre dans une forêt aussi grande. -Oui, je voudrais bien !-Alors montez. »

Vous rentrez dans l’énorme voiture et vous vous dirigez vers le fleuve. Vous voyez plein d’animaux à travers la vitre comme des singes, des lézards… L’homme vous dépose et vous apercevez une vieille pirogue. Vous montez dedans. Vous n’êtes pas pro de la pirogue mais vous allez essayer de traverser. Comme vous avez un peu peur des crocodiles vous allez lentement mais sûrement. Vous sentez un danger menaçant donc vous vous rapprochez du bord. Vous avancez tranquillement jusqu’à ce que vous trébuchiez. Un indigène vous entend et arrive pour vous aider. Vous profitez de la situation pour demander :« Est-ce vous avez déjà entendu parler d’un code secret ?- Oui. Je crois que notre sage en détient un. Vous voulez que je vous y emmène ? (Par bonheur, il parle votre langue).- Je voudrais bien .

Alors que vous êtes dans une petite clairière au milieu de la forêt, vous perdez l’indigène de vue. Vous vous en voulez de ne pas avoir fait plus attention au chemin qu’il a emprunté.

Vous observez la nature qui vous entoure et remarquez un ruisseau dont l’eau couleur violet foncé vous paraît bizarre.A votre droite, un bruit d’engin à moteur se fait entendre et vous distinguez sur votre gauche un village indigène au travers de l’épais rideau végétal.Que faites vous ?Vous suivez

le ruisseauVous allez dans

le villageVous suivez

le bruit d’engin

Vous vous dirigez vers le village. Vous prenez votre machette pour avancer dans cette forêt inextricable. Malgré la beauté et la diversité des espèces végétales, vous perdez très vite courage face à la difficulté d'avancer. Pensant à votre ville en danger, vous poursuivez quand même votre chemin.Soudain, vous trébuchez sur une racine. Vous atterrissez dans de la boue. Un cri de singe résonne alors dans la forêt et vous donne l'impression qu'il se moque de vous ! Vous sortez un mouchoir de votre poche pour vous essuyer la figure. Poursuivant votre chemin vous ne pouvez vous empêcher d'admirer les anthuriums dont la couleur rouge vif contraste dans cet océan vert.

Vous apercevez alors une silhouette qui se dessine au travers de la végétation. Vous rapprochant, vous distinguez mieux ses traits ; il a la peau tannée par le soleil, son corps est robuste et il porte un pagne en tissu autour de sa taille. Son visage marqué par la vie dans la forêt respire cependant la jeunesse. Ses yeux marron presque noirs laissent transparaître une grande sagesse.

Il vous interpelle.« Qu'est-ce que vous faites ici ? Ce n'est pas un endroit pour les étrangères.Vous lui répondez :- Je suis venue voir le sage du village. - Pourquoi ? Et qui êtes vous ? - Je m’appelle Maé Clèrssie. Je recherche un homme qui, d’après mes informations, serait venu voir votre sage. - Moi, c’est Ishura, vous répond-il rassuré. Suivez-moi ! Je vous mène à lui.

… Notre forêt est menacée par les cultivateurs qui coupent les arbres pour avoir toujours plus d'espace pour leurs champs, continue-t-il. Les sols sont de plus en plus pauvres car ils sont lessivés par les pluies intenses. Comment pouvons-nous réussir à vivre ensemble sans détruire la nature?

Vous réfléchissez un petit moment et vous proposez:

d’aller rencontrer les cultivateurs et de leur demander d’arrêter la déforestation.

aux cultivateurs de replanter des arbres qui protégeront les sols du lessivage.

aux deux parties de partager l’espace de la forêt.

Vous suivez ce ruisseau violet foncé jusqu'à ce que vous arriviez à un laboratoire. Soudain, un scientifique vous coupe le chemin. Il vous crie :« Sortez d’ici ! Je suis en pleine expérience !- Mais je, je, je…- Il n’y a pas de mais ! »Vous essayez de le convaincre mais il ne vous écoute pas. Vous devez rebrousser chemin.

Vous suivez le bruit, des grosses ronces vous coupent le chemin. Vous sortez votre couteau de poche, coupez les ronces et continuez votre route. Alors que vous apercevez une maison, le bruit cesse.Vous arrivez à la maison et vous toquez. Un homme grand et fort vous ouvre la porte :« Bonjour monsieur. - Qu’est-ce que vous me voulez ? dit-il d’une voix grave.- Je vous dérange ? Vous étiez en train de travailler ?- Absolument pas.- C’est pour vous parlez d’un sujet très important.- Et… Quel est ce sujet?- Bon. Avez-vous déjà entendu parler d’un code ?

- Oui mais …Moi je ne le connais pas. En revanche, si vous m’aidez, je pourrais vous citer 2 noms qui ont certainement un rapport avec le code que vous cherchez.- Et… En quoi pourrais-je vous aider ?- Il faudrait que vous déterriez mes outils. Je ne sais pas comment c’est arrivé mais… c’est arrivé ».Que faites-vous ?

Vous déterrezles outils

Vous refusez et partez

Vous choisissez de partir :« Désolé, je ne veux pas vous aider.- Ben qu’est-ce que vous faites ici ? » dit-il en reprenant sa voix grave de tout à l’heure.Vous partez sans répondre et sans vous retourner. Vous ne vous rappelez pas très bien de cet endroit. Soudain, un serpent vous saute au cou et vous mord. Vous tombez dans le coma.

Vous avez perdu…

Vous choisissez de l’aider à déterrer ses outils :« Merci de vouloir m’aider, vous dit-il reconnaissant.Vous prenez une pelle et vous commencez à creuser. Vous mettez vos outils dans un seau, les essuyez avec une brosse et les remettez dans l’eau. Après des heures et des heures de travail, vous allez voir le bûcheron pour qu’il vous donne le code :« Ah, vous voulez les deux noms, vous vous êtes bien faite avoir. Je ne les ai pas ha ha ha ha ! »Vous êtes tellement dégoûtée que vous vous asseyez et vous décidez d’arrêter l’aventure.vous entrez dans un profond sommeil…..

vous avez perdu

Les cultivateurs refusent d’arrêter, car les sols de plus en plus pauvres deviennent improductifs.

Le vieux sage est déçu mais vous donne quand même une partie du code….


Notez-le précieusement !Allez maintenant dans un lieu urbanisé…

Ils acceptent et décident de gérer leurs plantations en commun. Ils créent un conseil qui sera chargé d’organiser les plantations afin de respecter la forêt.Le sage vous donne le code:



Allez maintenant dans un lieu urbanisé…

Les agriculteurs et les indigènes n’arrivent pas à s’organiser. La déforestation reprend.Le vieux sage, reconnaissant de vos efforts vous donne quand même le code…


Notez-le précieusement !Allez maintenant dans un lieu urbanisé…

Ishura se dirige vers le village. Le sage habite dans la plus grande case. En entrant vous voyez une personne âgée. Vous sortez le logo de l’usine Phidvecs et vous demandez au sage :« Avez-vous déjà vu ce logo? »Il observe attentivement l'image et vous répond finalement:« Oui, un homme blanc est passé au village il y a quelques jours. Il m'a donné un code en me disant qu'il était poursuivi par des malfaiteurs... »

Vous l'interrompez immédiatement:« Ce n'est pas vrai, il vous a menti. En fait, il menace de polluer notre ville. Que puis-je faire pour vous prouver ma bonne foi ? »Le vieil homme réfléchit à nouveau et déclare:« Si vous êtes préoccupée par la sauvegarde de la nature, vous pouvez m'aider... »


Vous demandez au chauffeur de vous amener à la campagne.Une fois arrivée à Zoucap, vous remarquez qu’il n’y a pas beaucoup de bocages. Vous sentez du fumier : ça vous dit quelque chose mais vous ne savez pas pourquoi. Dans un pré, vous voyez des moutons qui broutent de l’herbe.

Vous voyez deux maisons séparées et éloignées l’une de l’autre. Vous vous demandez si elles sont habitées et surtout si quelqu’un vous donnera le code.La maison de gauche est très bien aménagée, c’est une ferme avec des vaches et des moutons. Vous voyez aussi un tracteur dans la cour.

La maison de droite est complètement délabrée.

Que désirez-vous faire :

Vous vous dirigez vers la maison

délabrée

Vous vous dirigez vers la ferme

Laissant le village derrière vous, vous vous engagez sur un chemin de terre menant à la ferme que vous devinez au loin. Le bruit des voitures est maintenant remplacé par le chant des oiseaux. Ce tableau bucolique est vraiment apaisant. Vous réalisez combien la nature vous manquait. Vous profitez de cette promenade pour vous remplir les poumons d'air pur et apprécier les odeurs variées des fleurs environnantes. Elles sont autant de tâches multicolores dans les prés baignés d'un doux soleil.

Alors que vous vous êtes arrêtée pour sentir les coquelicots, un bruit lointain vient rompre cette harmonie. Vous reconnaissez le rythme caractéristique d'un tracteur.

Vous adorez le bruit des animaux. Vous vous sentez bien car vous aimez la nature et vous adorez une chose: c'est qu’il n'y a pas de voiture. C'est très calme sauf qu'il y a les cochons qui font du bruit, mais ce n'est pas grave car cela vous rappelle votre enfance...

Vous vous approchez de la ferme et vous sentez une mauvaise odeur. Et oui, la ferme n'a pas que de bons côtés ! Mais tous ces paysages vous ont vraiment manqué. Vous frappez à la porte, un homme vous ouvre.« Bonjour, je m'appelle Maé Clèrssie. - Moi, je m'appelle Hubert. »Hubert a des cheveux bruns, des yeux bleus et quand on lui parle, il est très heureux.

Il aime travailler avec Bertrand, son ouvrier.

« Que puis-je faire pour vous?- Je suis à la recherche du directeur de l'usine Phidvecs, répondez-vous. Il menace de polluer la ville dans laquelle j'habite.- Phidvecs, Phidvecs... Ce nom me dit quelque chose, dit Hubert songeur.

Soudain il s’exclame:- Ah oui, c'est la marque de mon nouvel engrais. Même que c'est le directeur en personne qui est venu me le vendre la semaine dernière. Il m'a même donné un code secret en cadeau.

-Un code, vous exclamez-vous, c'est ce que je cherche !- Le seul problème c'est que ,depuis que j'ai cet engrais, mes vaches meurent, se lamente-t-il. »

Votre sang ne fait qu'un tour, et vous lui proposez:« Je connais bien cette entreprise, et je crois que l'engrais a pollué la nappe phréatique par infiltration. Si je vous aide, me donnerez-vous ce code?- C'est d'accord, vous répond-il joyeusement, j'espère que cela fonctionnera. »

Vous réfléchissez quelques instants et lui demandez:« D'où vient l'eau que vous donnez à vos vaches?- Je la pompe dans la nappe phréatique, j'ai un puits dans un de mes prés. »

Vous comprenez immédiatement que l'engrais ayant pollué la nappe phréatique, il intoxique les vaches qui boivent la même eau.

Vous proposez alors deux solutions:

Utiliser de la bouse de vache comme engrais naturel.

Ne plusutiliser d’engrais.

Hubert applique immédiatement vos recommandations et après quelques jours, les champs ne poussent plus.Hubert est très déçu et vous en veut.Il vous donne quand même le code qu'il vous a promis. Il s’agit du numéro :


Rendez-vous maintenant dans le pays du yack.

Hubert transforme alors toute sa ferme en exploitation biologique. Les vaches sont en bonne santé. Il vend plus de céréales... Il est heureux.Il vous donne le code qu'il vous a promis.

Rendez-vous maintenant dans le pays du yak.



Vous vous dirigez vers une maison délabrée. Vous voyez un mur qui est en mauvais état, vous allez vite frapper à la porte. Un homme vous ouvre.« Bonjour, je voudrais vous informer que votre mur va bientôt s’écrouler.

-Je le sais, mais je n’ai pas d’argent pour le réparer…

-Je voudrais bien vous aider mais je n’ai pas le temps.

Il se présente il s’appelle Yoann. Yoann vous invite à venir dans le salon. Le salon est très ancien vous vous asseyez sur une botte de foin. Vous prenez un café avec Yoann.

Quand vous lui parlez il a l’air très sympa. Il vous dit qu’il est au chômage et qu’il n’a pas beaucoup d’argent.Vous lui dites d’un air intéressé : « Vous aimez bien travailler ? »Yoann vous dit qu’il aime bien travailler mais qu’il veut rester à la campagne.Alors que vous êtes en train de discuter, il vous propose de réparer son mur avec lui.

Vous acceptez Vous refusez

Vous acceptez. Vous sortez de la maison délabrée. Vous allez chercher de l’argile avec quelques morceaux puis vous fabriquez un moule pour faire une brique puis quand cela a séché, vous superposez les briques en argile.Cela vous a pris à peu près 2 heures. Yoann est épaté par votre efficacité.

« Auriez vous entendu parlé d’un code ? lui demandez-vous avant de le quitter.- Un code ? Oui oui !- Ah, très bien ! - Oui, c’est le code 2125 ou… attendez !!! Je vais ramener mon carnet. - Ah, merci beaucoup - Au fait, pourquoi voulez–vous un code ?- Car mon mari a des difficultés à cause d’une usine. Voici son logo :

Vous continuez votre histoire: - Et si je ne trouve pas le code pour ouvrir un coffre, je ne verrai plus mon mari. - Ah mais j’y pense, c’était le digicode de la résidence de ma mère ! »

Vous êtes complètement dégoûtée, vous vous êtes faite avoir par Yoann. Vous n’avez pas eu le

code.

Tout à coup Yoann commence à s’énerver. Il devient tout rouge. Il s’écrie « Sors de ma maison !!! »Vous avez les larmes aux yeux. Déçue, vous marchez lentement en direction de la porte. Vous la claquez. Vous restez immobile. Et le mur s’écroule sur vous.

Vous êtes morte.


Vous êtes arrivée à l’aéroport près d’une haute montagne enneigée. Il y a de la neige partout.Puis vous prenez vos bagages, quand vous avez terminé, vous voyez autour de vous beaucoup de gens qui vous regardent, parce que vous ne portez pas les mêmes vêtements. Les gens d’ici sont habillés très chaudement, avec des bottes fourrées et des manteaux en peau.

Vous avez vraiment froid. Vous voyez un marché au loin.Vous décidez d’aller voir : quelqu’un vous demande si vous voulez acheter une carte pour vous repérer dans la montagne. Vous acceptez. Cette mystérieuse personne vous indique un taxi.

Vous montez dans ce taxi qui vous emmène au bas de la montagne où habitent le plus souvent les yaks. Le taxi a du mal à rouler car il glisse sur la glace. Quand vous êtes arrivée, vous sentez qu’il fait de plus en plus froid, puis vous achetez un yak pour aller dans le village le plus proche. Sur la carte, le village est entouré en rouge…

Quand vous arrivez, vous voyez deux personnes à côté des yourtes en train de parler et vous vous approchez mais vous ne comprenez pas leur langue.

Quelqu’un s’approche et s’adresse à vous dans votre langue. Il vous demande s’il peut vous aider. Vous acceptez et vous lui demandez s’il a déjà vu un étranger dans le village qui parlait votre langue. Il vous dit qu’il a bien vu quelqu’un. Il portait un manteau blanc avec un badge où les lettres PS étaient inscrites. Mais il a parlé avec une personne du village qui travaille pour élever les yaks, puis il est parti. Vous lui demandez vers où il est parti. Il vous répond qu’il est parti dans le village d’à côté, à quelques kilomètres dans la montagne.Voulez-vous aller dans le village d’à côté ou voulez-vous discuter avec l’éleveur de yaks ?Aller dans le

village d’à côtéDiscuter avec

l’éleveur de yaks

Vous essayez de trouver l’éleveur de yak. Vous voyez une grande yourte, avec des symboles qui représentent 8 chasseurs très connus dans leur village. Vous vous approchez des symboles. Et vous voyez beaucoup de monde autour de vous qui vous regarde, intrigué. Ils ont l’air plutôt agressifs.Vous vous échappez de la foule.

Voulez-vous essayer de le dompter ou vous avez trop peur et vous vous enfuyez ?

Un drôle de monsieur sort de la foule et vous rattrape. Il a une grande barbe avec des gros yeux et un grand costume plein de sang. Vous sentez la peur jaillir en vous. Il vous dit :« J’ai un problème avec un de mes yaks. Il faudrait le dresser. Vous sentez-vous capable de le dompter ? »Vous vous dites que ce doit être l’éleveur de yaks.

Essayer de le dompter

Vous enfuir

Vous avez choisi de le dompter. Vous avez un peu peur. Le chasseur vous emmène chez lui et vous montre le yak que vous devrez dresser en 4 jours. Vous décidez de commencer à dompter le yak. Mais le yak galope trop vite et ne veut pas s’arrêter quand on le lui ordonne. Et quand vous montez sur son dos, il vous fait tomber dans la neige. Au bout de 3 jours, vous êtes découragée, vous dites au chasseur que vous ne pouvez pas dompter le yak et vous partez… Vous ne pourrez jamais terminer l’aventure…

Vous courez à en perdre le souffle. Quand vous arrivez en bas de la montagne, vous avez encore les mains qui tremblent, les pieds gelés et vous êtes toujours paniquée. Pour votre santé, vous décidez d’abandonner l’aventure. Vous préférez rester en vie plutôt que votre mari soit sauvé et que l’usine ne pollue pas la rivière…

Vous avez décidé de vous diriger vers le village le plus proche. Dans ce matin de décembre, vous auriez dû vous équiper d'un gros manteau, d'un bonnet et d'une écharpe. Alors que vous marchez dans la neige, vous voyez le village mais le chemin est étroit, en zigzag et pentu.L'étroitesse du chemin vous oblige à vous coller à la paroi pour ne pas tomber.

Malgré cela des pierres tombent sous vos pas. Soudain vous dérapez.

Vous vous retrouvez contre la paroi de la falaise. Vous êtes affolée. Dès que les pierres cessent de tomber, vous vous calmez et vous vous rétablissez prudemment.

Quand vous arrivez au village de yourtes, vous en remarquez une plus grande que les autres. Des pictogrammes la décorant sont rouges alors que sur les autres yourtes ils sont gris. Vous notez l'absence de vie et le silence qui pèse sur tout le village.

Soudain, un grondement sourd emplit la vallée. Horrifiée, vous voyez une avalanche descendre des cimes enneigées.

Vous vous précipitez dans la yourte la plus proche.Quand vous sortez de la yourte, tout est enneigé, vous vous retournez et vous voyez une personne à côté de vous. C'est une personne très grande, son teint est mat et son dos est courbé. Ses yeux en amande laissent à peine distinguer la couleur de ses pupilles. Son nez fin et sa petite bouche lui donne un air rude mais bon. Vous lui dites bonjour.« Vous allez bien? vous dit-il. - Oui merci, lui répondez-vous encore sous le choc.- Bonjour, je suis le chef de la tribu Ourookail. Que faites-vous ici?

- Je suis à la recherche d'un homme qui serait passé ici, lui dites-vous. C'est le directeur de l'usine Phidvecs. L'avez-vous rencontré?- Oui, il est passé ici, il y a quelque temps. Votre cœur fait un bon dans votre poitrine. Vous continuez, de plus en plus excitée.- Vous a-t-il donné un code? J'en ai besoin pour sauver ma ville. Il réfléchit quelques instants et vous répond :- Moi aussi, je dois sauver ma tribu. Pouvez-vous m'aider à trouver un emplacement où nos tentes seraient à l'abri des avalanches?- D'accord, mais vous me donnerez la code en échange, n'est-ce pas?

- Je vous le donnerai ne vous inquiétez pas, je tiens toujours mes promesses. » Vous devez choisir le meilleur emplacement du village pour qu’il soit à l’abri des avalanches.

Cliquez sur le meilleur emplacement de village

Vous avez trouvé un emplacement à l’abri des avalanches. Le sage vous donne le code:



Rendez-vous maintenant dans un endroit entouré d’eau.

Déçu, le vieux sage vous donne quand même le code:




Déçu, le vieux sage vous donne quand même le code:





Votre avion vient d’atterrir à Oxlabano. Vous prenez une navette avec les fenêtres ouvertes

Pour ne pas étouffer de chaleur.

La navette traverse la ville et vous voyez du monde partout et un bouchon immense,

vous vous étouffez à cause du pot d’échappement des voitures.

Puis vous voyez un défilé de cirque au milieu de tous ces gaz polluants.

Vous trouvez ça très accueillant, malgré la pollution. Derrière le défilé, des musiciens tapent sur leur

tambour et soufflent dans leur clarinette.

Une fois descendue de la navette, vous vous dirigez vers un taxi pour vous rendre à l’hôtel tout

en toussant à cause de la pollution. Vous arrivez à votre hôtel, en haut d’un gratte-ciel.

Vous vous dirigez vers l’accueil. Vous demandez la clef de votre chambre.

Puis vous montez grâce à l’ascenseur. Dès que vous sortez de l’ascenseur, vous sentez

une odeur ignoble de fumée de cigarette. Vous entrez dans votre chambre, Vous

déposez vos valises et vous allez boire un verre d’eau à la salle de bain: quel

goût bizarre !!! Vous allez vous promener sur le quai du fleuve,

vous voyez l’eau sale et des poissons morts flotter à la surface de l’eau.

Vous vous affolez et ça vous dégoûte. Vous vous affolez et ça vous dégoûte. Vous êtes intriguée! Vous êtes intriguée!

Comment peut-il y avoir une telle pollution dans cette ville moderne?

Vous êtes tellement bouleversée que vous voulez résoudre cette énigme!

Que faites-vous?

Vous allez à l’usine de traitement des eaux

Vous allez à la station d’épuration

Vous décidez de vous diriger vers la station de traitement des eaux. Vous êtes assaillie par

tout le bruit les klaxons. Vous entendez un gros BOUM !!!! Puis quelqu'un qui crie : « Eh! Dégage ta voiture ! »

Et vous continuez votre chemin, vous entendez un gros SPLOTCH !!!!

Vous marchez dans une crotte de chien. Vous cherchez de l'herbe pour nettoyer

vos chaussures. Finalement vous n'en trouvez pas. Vous essayez de l'essuyer avec du papier

mais vous trouvez ça trop dégoûtant. Mais tout d'un coup, alors que vous ne voyez plus

les chiens ni leurs propriétaires, vous sentez une odeur bizarre. Vous tentez d'en découvrir la source.

Votre odorat vous conduit devant l’usine.

Vous entrez dans l’usine, vous voyez le carrelage très propre.

Vous vous avancez vers une porte entrouverte mais en cours de route vous glissez et

vous tombez sur le carrelage « PAAAAF ». Vous vous relevez et vous retrouvez votre

pantalon tout mouillé. Vous rejoignez la porte et vous l’ouvrez. Vous voyez un employé qui

lave le sol avec sa serpillière toute mouillée.

« Bonjour monsieur, vous faites quoi ?- Je suis employé dans l’usine « Monapa ».

Et pourquoi me posez vous cette question ? -Car je suis tombée par terre, j’ai un peu perdu la tête

et j’ai le pantalon tout mouillé. -Vous n’auriez pas vu un monsieur avec le logo « PHIDVECS » qui est venu vous voir pour vous

donner un code ? - Heu, si, si ! Hier même !

- Pouvez vous me donner cette partie du code ?-Oui, oui mais à condition de faire le travail à ma place et

je vous donnerai une partie du code !

Vous faitesle travail à sa place

Vous refusez de faire le travail à sa place

- D’accord !!!! Pouvez-vous me donner des accessoires ?- J’arrive, dit l’employé. Voici votre matériel. Tenez !

- Merci.-De rien, vous devez finir de nettoyer cette pièce puis

la salle 420 au 2ème étage, la salle 785 au 6ème étage,la salle 987 au 4ème

étage et aussi la salle 568 au 9ème étage puis la salle 85 au sous sol, la

salle 521 au 11ème étage, la salle 603 au 2ème étage.Quand vous aurez fini tout ça, je vous donnerais le reste.

- Mais c’est ce que vous faites tous les matins ?- Et bien, oui, heu, c’est ça !

- Ca ne vous fait pas un peu beaucoup !- Heu si, c’est pour ça que vous DEVEZ m’aider !

- Oui, j’avais bien remarqué. »

Vous faites tout le travail en 19 heures et en n’ayant une pause que de 15 minutes.

« BRAVO ma p’tite dame !!!!!!!!!!!!!!! - Mais malheureusement je n’ai pas la partie du code :

je vous ai bien eu et en plus je n’ai pas à nettoyer ces salles tous les matins. HAHAHAHA !!! Mon chef me

félicitera et j’aurai un mois de repos. »Dégoûtée, vous vous évanouissez sur place.

Vous avez tellement besoin de repos que vous dormez pendant 19 heures et 15 minutes. Epuisée, vous n’avez plus assez de force pour continuer l’aventure.

« De toute façon, que tu veuilles ou que tu ne veuilles Pas, je n’ai pas cette partie de code. Et je ne dois

pas nettoyer ces salles tous les matins. »Il vous enferme dans le sous-sol de l’usine.

Un de ses collègues vous retrouvera quelques jours plus tard, épuisée et

trop affaiblie pour continuer l’aventure.

Vous décidez de vous diriger vers la station d'épuration, soudain vous êtes assaillie par tout le

bruit des klaxons. Vous entendez un gros « BOUM !!!! » puis quelqu'un qui crie : « Eh! Dégage

ta voiture ! » Alors que vous continuez votre chemin, vous entendez un gros « SPLOTCH !! »

Vous avez marché dans une crotte de chien. Vous cherchez de l'herbe pour nettoyer votre chaussure. Finalement, vous n'en trouvez pas, vous essayez de l'essuyer avec du papier mais vous trouvez ça

trop dégoûtant. Tout à coup, alors que vous pestez contre les chiens et leur propriétaire vous sentez

une odeur bizarre.

Vous tentez d'en découvrir la source. Votre odorat vous conduit devant l'usine.

Vous levez votre tête et voyez la cheminée principale qui crache une épaisse fumée noire. Le portail de l'usine est rouillé. Il donne l'impression

d'être inutilisé depuis longtemps. Vous tentez d'actionner l'ouverture. Après plusieurs essais, le

portail s'ébranle dans un bruit métallique terrifiant. Une fois entrée dans l'usine, vous sentez les

produits chimiques tandis qu'un nuage noir vous enveloppe et vous plonge dans l'obscurité. Vous

trébuchez sur un balai abandonné à terre.

Soudain, un cri retentit: « OH non !!!!!!!!!!!!!!! » C'est un employé, vêtu d'une salopette bleu ciel et d'une casquette verte comme l’herbe.Au fur et à mesure que se dissipe la fumée, vous distinguez mieux ses traits. Sa casquette cache des cheveux blonds comme le soleil et un regard bleu illumine son visage.« Bonjour monsieur, pourquoi criez-vous ainsi ?» L'employé vous répond:« Mais vous n'avez pas de tenue de sécurité? Vous n’avez pas le droit d'être ici et... et... et… qui êtes vous?

- Je m'appelle Maé Clèrssie et je suis journaliste, vous empressez-vous de répondre. Je suis ici pour sauver mon mari qui a été kidnappé. Je cherche le directeur de l'usine PHIDVECS car j’ai besoin du code pour ouvrir son coffre. - Je crois avoir des informations sur ce fameux code mais je vais vous faire une proposition.- Ah ! Laquelle ?

- En échange de cette partie du code vous allez m'aider à résoudre mon problème. Je ne sais plus dans quel bassin mettre les bactéries, donc nous ne pouvons plus traiter les eaux usées comme avant. Du coup, tout est rejeté dans les rivières. Les eaux sont polluées. C'est une catastrophe, nous polluons tellement que tout le monde a fui. Je suis le dernier à essayer de sauver cette usine. J'ai des bactéries mais je ne sais pas où les mettre !

1. Grille 2. Décanteur

4. Décanteur 3. Bassin d'aération

5. Rejet

L’eau reste alors pendant 2heures dans un grand bassin

rond, le décanteur primaire,où elle décante

lentement, c’est-à-dire que les particules fines tombent vers le fond de l’ouvrage.

On stop l’apport d’oxygène,et les micro-organismes plus lourds que l’eau ,tombent à

leur tour au fond du décanteur et forment à

nouveau des boules d'épuration ,qui sont

évacuées.

L’eau passe à travers une grille qui retient les éléments les plus gros: chiffons, morceaux de bois, plastique… C’est le dégrillage. Un râteau débarrasse régulièrement la grille de tout ces matériaux

Il ne reste dans l’eau qu’une sorte de pollution : les matières dites « dissoutes »,qui ne peuvent être éliminées que par des micro-organismes qui se nourrissent de la pollution.

Cliquer dans le bassin où il faut mettre les bactéries.

L’employé de l’usine vous remercie en voyant que l’eau rejetée est propre. Il vous donne le code :



Il y a trop de voitures ici ! Allez admirer les aurores boréales.

L’eau rejetée par l’usine continue à être sale. Vous n’avez pas réussi à remettre les bactéries dans leur bassin. L’employé, déçu, vous donne quand même la partie du code qu’il a en sa possession.

Allez admirer les aurores boréales




Après être sortie de l’avion, vous embarquez sur un brise-glace qui va vous mener sur la banquise.

Après plusieurs heures, le brise–glace s’immobilise.Vous descendez et vous vous dites :

« Que c’est blanc ! Que c’est immense ». Vous vous dites aussi : « Que j’ai froid !».

Vous êtes toute pâle. Le vent polaire vous gèle le bout des doigts.

Vous voyez un ours polaire passer au loin à votre droite.

Au loin vous voyez un village plein d’igloos et vous vous dites « Si j’allais y faire un tour ? »

Vous y allez et vous remarquez un igloo plus grand que les autres.

Dans le village, vous voyez des chiens, des carcasses de phoques, des traîneaux

mais pas une seule personne. En face une base scientifique auprès

de laquelle s’affairent des hommes autour d’un bateau et dessus un logo jaune, rouge, bleu et gris.

Maintenant vous devez choisir entre la base scientifique ou l’igloo pour avoir plus d’information.

Cliquez sur celui que vous voulez.

Pour aller à l’igloo

Pour aller à la base scientifique

Vous continuez votre périple en direction des groupes de personnes équipées de matériel pour bateau. Vous voyez un paysage de glace et d’eau qui a l’air très froid. Une multitude de flaques d'eau parsème maintenant la banquise autour du traîneau. Cela rend le pilotage plus difficile car vous devez les éviter. Alors que vous contournez une congère, vous apercevez une mare plus profonde que les autres. Trop Tard ! Vous ne parvenez pas à changer de direction. Bien que les chiens aient réussi à l'éviter, votre traîneau et tout votre matériel plongent et se fracassent au fond. Sans perdre un instant, vous libérez vos chiens afin qu'ils ne soient pas entraînés et décidez de continuer votre chemin à pied.

.

Vous voyez un ours bloqué sur un morceau de glace, l’ours en question est trop faible et tombe dans l'eau. Après plusieurs minutes de marche, le froid commence à devenir insupportable. Vous êtes de plus en plus épuisée. Vous vous dites que seul un miracle pourrait vous sauver.

C'est à ce moment que vous apercevez un inuit qui accepte de vous prendre à bord de son traîneau et de vous mener à destination.

Arrivée près du bateau, vous abordez le groupe d'inconnus occupé à charger le bateau.« Bonjour tout le monde, dites-vous, que faites vous ?- Nous nous préparons pour partir en expédition ! vous répond l'homme le plus proche de vous.- Pourrais-je parler au capitaine ? demandez-vous- Oui, bien sûr, il est dans le poste de pilotage. Suivez-moi je vais vous guider.»

Une fois arrivée devant la porte de cabine, vous essayez de l'ouvrir mais on dirait qu'elle est bloquée, vous frappez. Une voix très grave répond :« Qui ose me déranger ?- Je suis journaliste, répondez-vous d'une voix timide.- Que voulez-vous ? aboie le capitaine.- Je voudrais vous parlez.- Pas plus de cinq minutes, entrez ! »Alors que la porte s'ouvre lentement en grinçant, votre vue se trouble, tout devient noir...

Lorsque vous vous réveillez, vous êtes allongée sur une table et un visage de yéti vous observe.« Buvez, cela vous fera du bien, dit le capitaine d'une voix plus douce, vous serez bientôt sur pied»Après avoir bu ce délicieux café, vous détaillez le capitaine plus attentivement ; une barbe blonde lui mange la moitié inférieure du visage. Au-dessus on ne voit qu'un oeil et un bandeau de pirate.« Pourquoi vouliez-vous me parler ? vous demande-t-il.- Je veux savoir si un homme vous a donné un code ?- Oui, mais il m’a dit de le cacher et de ne plus le sortir.- Pouvez-vous me le donner ?- Bah, le problème c'est que je ne sais plus où je l'ai mis.- Je peux vous aider à le trouver.»

-Il me semble l’avoir mis dans la cabine de pilotage. La dernière fois que je l’avais en main j’essayais de brancher le poste de radio sous la table, dit-il songeusement. J’ai dû le poser à côté.-Allons voir ce poste de pilotage, vous empressez-vous de dire, on verra bien si nous le retrouvons.Vous quittez sa cabine et vous vous dirigez vers le poste de pilotage.Lorsque vous ouvrez la porte, la lumière rasante du soleil d’été vous éblouit.Après quelques instants, vos yeux s’habituent à la lumière crue et vous voyez:

Cliquez sur l’endroit où peut se trouver le papier avec le code.

Vous avez trouvé le code. Vous lisez le papier, et voici ce que vous découvrez:



Il fait trop froid ici, allez vous mettre au vert.

Le code n’est pas ici. Alors que tout espoir semble perdu, le capitaine s’écrie soudain:

« Je me souviens du code !»



Il fait trop froid ici, allez vous mettre au vert.

Vous entrez dans l’igloo, les briques en glace de l’igloo sont très mal assemblées. Dedans il y a un Inuit qui est allongé dans une peau d’ours. Il a les cheveux longs et noirs, la peau mate et les yeux marron et verts. L’Inuit est habillé en peau de loup. Vous voyez aussi des armes en os : harpon, flèches, arc… Vous vous dites que c’est un grand chasseur. Sa femme fait cuire des morceaux de narval et vous sentez une odeur de grillé qui vous met l’eau à la bouche.Que faites-vous?

Sortir de l’iglooDiscuter

avec l’Inuit

Et il vous demande :« Comment t’appelles-tu ? - Je m’appelle Maé. Et vous ?- Je m’appelle Tchénou. Qu’est-ce que vous faites là, vous n’êtes pas de ce village et en plus vous êtes mal habillée. - Calmez vous, calmez vous, je viens d’une ville Européenne. - Ah, alors là c’est la première fois que je vois une Européenne. Donc si vous voulez je vous invite à manger dans mon igloo, c’est juste parce que vous êtes une Européenne. -Oui, je veux bien parce que je n’ai pas d’abri.-Alors venez et asseyez-vous pour discuter. Quel âge avez-vous ? - 43 ans

- Avez-vous un mari ? - Oui, j’en ai un. - Avez-vous des enfants ?- Non, je n’en ai pas.- Aimez-vous voyager ? - Oui, j’aime voyager !- Mais en fait que faites-vous là ?

- Je cherche un code pour l’usine Phidvecs. Elle a ce logo. Est ce que vous avez des informations ???

- Je vous trouve très gentille, mais je n’ai pas le code. »Vous sortez de l’igloo contente d’avoir fait cette rencontre mais vous êtes désespérée de n’avoir pas trouvé le code.


L'hydravion se pose doucement et vous ressentez

la peur de la haute mer. Un bateau qui fait la

navette vient vous accueillir et vous dépose sur la

magnifique plage.

Vous sentez que cette île est paradisiaque, vous

entendez le bruit étouffé de l'avion qui part au

loin.

Et vous voyez des dauphins sauter dans la

mer turquoise. A côté des cocotiers, des gens

jouent au volley-ball. Le soleil tape sur tous les

gens qui se baignent au milieu des poissons

multicolores. Des gens sortent des maisons sur

pilotis habillés avec des maillots et des paréos.

Vous sentez le bonheur vous envahir.

Vous voyez un beau garçon qui vend des

tee-shirts et vous hésitez entre un

orange avec des étoiles bleues ou un

vert avec des étoiles rouges.

Que décidez-vous? Cliquez sur le tee-

shirt de votre choix.

Vous le mettez. Vous remarquez que le

vendeur porte une étiquette au nom de

l’usine et vous demandez au beau garçon

s’il connaît l'usine Phidvecs . « Je ne peux

pas vous en parler tout de suite car j'ai un

travail mais rendez-vous ce soir au

restaurant ADBN (association de boites de

nuit) pour tout vous raconter ».

Au restaurant, il y a de la musique romantique

et vous sentez que votre coeur bat à cent à

l’heure. Kevin arrive.

Il vous dit: « Bonsoir. Je sais ce que vous

cherchez : je vous propose de rencontrer deux

personnes qui peuvent vous aider. La première

personne c’est un vendeur de bateaux qui se

trouve sur le port et qui est très agréable.

Si vous décidez d’aller chez cette personne vous

serez très bien accueillie.

La deuxième personne c’est un plongeur

qui se trouve sur un bateau nommé

« Phidvecs » et elle est désagréable. Si

vous décidez d’aller chez cette personne

vous serez rejetée et vous devrez affronter

la haute mer ».

Qui irez vous voir ? CliquezLe loueur de bateaux

Le plongeur

Alors que vous quittez le restaurant, une brise

légère vient vous caresser le visage. Autour de

vous, les feuilles de palmier sont bercées par les

alizés.

Tandis que vous traversez une cocoteraie, un cri

de perroquet vient rompre le calme de ce

tableau paradisiaque.

Vous distinguez, au travers des grandes

fougères, une embarcation échouée sur la

plage.

Arrivée auprès d'elle, vous vous rendez

compte avec horreur qu'il va falloir vous

rendre sur le bateau du plongeur amarré au

milieu du lagon.

Vous demandez au propriétaire de la barque

qui est sur la plage de vous conduire sur le

bateau.

Vous embarquez, anxieuse.

Très vite, vous commencez à vous sentir

mal. Soudain, une énorme silhouette se

dessine sous l'embarcation. Vous réalisez

qu'elle est largement plus grande que la

barque. Affolée, votre vue se trouble, vous

transpirez et finissez par vous évanouir.

Quand vous vous réveillez, vous êtes sur le

bateau du plongeur.

«Bonjour, que me voulez-vous ?

- Bon-bon-jou-jour, où suis-je ? lui répondez-

vous encore étourdie, je m'appelle Maé

Clèrssie.

Ses cheveux blonds et courts surplombent son

visage tanné par le soleil et éclairé par des

yeux vert d'eau. Son nez plat contraste avec

ses lèvres charnues. Il mesure environ 1m90.

- Ça ne me dit pas pourquoi vous êtes là !

ajoute-t-il, mécontent d'être dérangé.

- J'essaye de sauver ma ville menacée de

pollution par le directeur de l'usine Phidvecs,

lui expliquez-vous.

- Et alors, cette île est aussi menacée par la

montée des eaux, renchérit-il, je ne vois pas en

quoi je peux vous aider.

- Est-ce que vous l'avez rencontré ?

demandez-vous anxieuse.

-Oui, il m'a donné un code, je ne sais pas à

quoi il sert, dit-il en enfilant sa combinaison de

plongée.

-Ecoutez, si vous acceptez de me le donner, je

vous aide à résoudre votre problème.

-Très bien, mademoiselle je-sais-tout,

comment peut-on empêcher les eaux de

submerger

cette île ? demande-t-il.

Vous réfléchissez quelques instants et

proposez :

Mettre des blocs de béton tout autour de l'île.

Construire une palissade de bois tout autour de l'île.

Il y a trop d’eau ici, allons voir le pays des baobabs.



Après quelques jours,

La palissade est détruite.

Le plongeur vous donne quand même le code

L’île est maintenant protégée des eaux.

Il y a trop d’eau ici, allons voir le pays des baobabs.



Vous sortez du restaurant et vous vous dirigez vers le port Sin Syra. Là-bas les bateaux sont magnifiques. Les gens du port mangent des glaces et lancent du pain aux gros poissons. Vous décidez de faire une pause à un restaurant et vous commandez une salade de fruits exotiques. « Hmmmm !-Normal c’est la spécialité d’ici » dit le serveur.

Vous repartez en direction du loueur de bateaux. Vous apercevez le loueur de bateau en train de négocier un prix avec un plongeur. Vous remarquez que des bouts de papier tombent de sa poche, alors qu’il est en train de marcher. Vous les assemblez et voici ce que vous voyez…

Que décidez vous ?De continuer votre chemin de faire demi-tour et d’aller chez le plongeur ?Cliquez

Vous avez décidé de continuer votre chemin. Vous vous dirigez vers le loueur de bateaux. Vous voyez qu’il porte un maillot de bain et un tee-shirt Mecbosse. Il vous semble sympathique donc vous l’approchez. Il se présente : « bonjour je m’appelle Ben vous voulez louer un bateau ?

- Non, je veux juste savoir si vous connaissez l’usine Phidvecs. » Tout d’un coup vous remarquez qu’il hésite.« Oui, oui, bien-sûr, je la connais mais avant je vous invite à manger un petit quelque chose. J’ai une maison au bord de la plage, ça vous plaira. »

Une fois arrivée chez Ben :« Vous voulez un café ou un thé ? »

Cliquez

« Vous voulez de la salade ou une

pizza ?»Cliquez

« Vous voulez des pâtes aux fruits de mer ou une

écrevisse ?»Cliquez

« Vous voulez un moelleux au chocolat ou une salade de

fruits exotiques. »Cliquez

« Maintenant, je vais vous parler de l’usine. Mais pour que je vous donne une partie du code je voudrais que vous me fabriquiez du carburant pour mes bateaux. »Êtes-vous d’accord ou non?Cliquez ci-dessous

Vous avez décidé de ne pas l’aider donc il vous met à la porte. Vous êtes toute seule dehors et il commence à faire nuit donc vous retournez sonner chez le loueur de bateaux.

Le loueur de bateaux vous accepte chez lui. Le soleil est déjà haut quand vous vous réveillez. Ben est en bas en train de prendre son déjeuner. Vous entamez une discussion sur ce qu’il s’est passé la veille.

« Je suis désolé de vous avoir mise à la porte mais de toute façon je n’avais pas la partie du code. Je suis réellement désolé. Mais comme vous n’avez pas voulu m’aider, vous ne pourrez pas retourner au début. Donc vous avez :

Vous sortez pour aller faire du carburant. Vous allez vous renseigner chez un scientifique. Le scientifique vous dit avec un air agressif : « qu’est ce que vous voulez ?-heuheuheuheu non je voudrais savoir comment on fait du carburant.-tenez, cette feuille vous l’indiquera.-merci. » Vous prenez la feuille qu’il vous donne et vous lisez :

Dans certains pays le carburant est fait à base de…puis vous lisez : dans certaines îles, le carburant est fait avec de la canne à sucre.Maintenant vous devez aller vers le champ de cannes à sucre.

Vous avez décidé de vous diriger vers le champ de cannes à sucre. Là-bas vous demandez au propriétaire de visiter son champ. En plein milieu du champ, vous choisissez les meilleures cannes à sucre et vous vous dirigez dans un endroit calme pour mettre en forme votre opération.

Vous regardez la fiche d’instructions:

Vidéo d’instructions pour faire de l’essence de canne à sucre:

Une fois que vous avez fabriqué la machine avec des morceaux de bois qui traînaient, vous obtenez enfin votre carburant ! Vous revenez le donner à Ben. Vous sentez que Ben vous a joué un mauvais coup. Vous avez raison. Ben vous dit :« Vous êtes une femme très chic mais je n’ai pas la partie du code. Désolé mais comme je suis un homme bien, je vous propose de retourner sur la plage pour retenter votre chance. »


Vous arrivez en avion dans la savane avec des

touristes. Vous descendez de l’avion et vous vous

trouvez sur une piste d’atterrissage bosselée.

Vous voyez le sol aride et vous avez chaud donc

vous enlevez votre manteau.

Un peu plus loin vous apercevez un éléphant

assoiffé en face de vous. Il a l’air de

creuser la terre pour trouver de l’eau.

Vous remarquez un touriste pas

comme les autres, sortant un

marteau piqueur de la soute à

bagages, sur lequel il est écrit:

« usine PHIDVECS »

Vous le suivez, il vous amène au

centre du village et il disparaît !

Vous voyez beaucoup

d’animaux

domestiques assoiffés

et vous restez bouche bée.

Vous voyez aussi des gens

autour du point d’eau:

«On manque d’eau , on ne sait

plus quoi faire ! disent-ils. »

Amicalement, vous leur donnez

votre bouteille d’eau.

Vous voyez un troupeau

de zébus puis vous

remarquez qu’il n’y a plus

d’eau pour eux non plus.

Mais vous n’en avez plus

pour vous alors vous vous

dirigez vers une fontaine

mais elle est asséchée.

Vous voyez le soigneur de la tribu soigner

un girafon blessé à la patte. Plus loin un

Africain, l’air malicieux, vous regarde

bizarrement.

Puis soudain vous revoyez le touriste avec

son marteau piqueur, qui semble se cacher

derrière une case. Où vous dirigez-vous ?

Vers le touriste

Vers l’Africain

Vers le soigneur

Vous allez vers le soigneur :

Il a la peau mate et de beaux yeux marron clair

avec un nez arrondi. Il porte un bermuda à pois

rouges, une chemise à carreaux verts et jaunes

avec des sandales rose clair. Il tient un girafon

blessé.

« Bonjour madame.

- Bonjour monsieur.

- Désolé, je dois continuer à soigner le girafon

parce qu’il a une hernie, je dois aussi lui donner le

biberon de médicaments avec l’ordonnance

suivante :

OrdonnanceLamaka : pommade à mettre matin midi et soir

pendant 1 mois et demiDobalgi : comprimé à avaler en mettant le

comprimé dans un verre d’eau

Signé Dr Dugory 18 rue Savaniennes

Dans le village Gouga.

- Cela vous dérangerait de garder le

girafon pendant que je vais chercher

les médicaments ? »

Vous acceptez de bon cœur.

« Oui, je veux bien le garder pendant un

petit moment.

- Je vais aller chercher le biberon et je

reviens tout de suite. »

Alors que le docteur est parti et que vous

gardez le girafon, vous sentez le sol trembler

de plus en plus fort. Vous levez les yeux et

vous apercevez 2 grandes défenses

d’éléphants qui foncent sur vous. Que faites-

vous ?Vous restez à votre place

Vous vous

enfuyez dans la forêt

Vous essayez d’arrêter l’éléphant mais il

ne veut pas vous écouter, alors vous ne

savez plus quoi faire. Donc vous

gesticulez mais il est trop tard !

Il vous écrase de ses grosses pattes et il

vous projette très loin dans la forêt.

Vous ne vous relèverez jamais. C’est fini

pour vous…

Arrivée dans la forêt, vous vous arrêtez

sèchement puis vous vous retrouvez

devant un lion qui vous semble très

énervé…

Vous ne bougez plus, vous essayez de

le calmer mais il fonce sur vous et vous

donne un grand coup de griffes.

Vous chutez sur le sol et le lion vous

dévore tout cru.

Vous vous dirigez vers le touriste

mais il vous semble un peu trop

amical. Vous avancez et apercevez

un chapeau de paille sur sa tête.

Alors que vous progressez vers lui

vous sentez des herbes vous piquer

les tibias. C'est de l'herbe à

éléphant. Qu'est-ce que ça pique !

Vous voyez un baobab. Malgré

toutes vos connaissances vous

n'imaginiez pas un tronc aussi gros.

Vous tombez nez à nez avec un cobra. Vous ne

savez vraiment pas quoi faire! Vous décidez

d'essayer de le contourner mais voilà qu'une

mangouste arrive et attaque le cobra.

Heureusement celui-ci décide de partir. La voie est

à nouveau libre. Vous avez maintenant très soif

mais votre gourde est vide. Après quelques

instants vous voyez un zèbre blessé à la patte.

Vous décidez de prendre deux bouts de bois

relativement droits, vous dénouez votre foulard

de votre cou et vous faites une attelle avec

l'ensemble puis il part vers les siens en boitant.

Un mal de tête intense vous prend

soudain, vous commencez à voir flou, des

tâches noires apparaissent devant vos

yeux, vous vous écroulez par terre...

Quand vous vous réveillez vous êtes

dans une case. Vous reconnaissez

immédiatement la chemise bleue et le

short de l'homme que vous avez

aperçu plus tôt.

«Ne bougez surtout pas ! Je vous

apporte à boire car vous avez fait un

malaise. »

Pendant qu'il vous prépare à boire vous

détaillez ses vêtements :

c’est une chemise bleue à fleurs jaunes

et blanches, son short est beige, il

porte des sandalettes et un chapeau de

paille.

« Bonjour, je m'appelle Titouan Roche, je reviens

de TAHITI. Je suis venu ici car je voyage souvent

et j'avais envie de découvrir la Savane.

-Bonjour, je m'appelle Maé Clèrssie. Je suis

journaliste et je viens chercher un bout de code.

Connaissez-vous le directeur de l'usine PHIDVECS?

»

Le visage de Titouan s'assombrit soudain.

Après cinq minutes de réflexion vous

trouvez deux solutions:

1ère solution: prendre des seaux

d'eau et les vider dans le point d'eau

du village.

2ème solution : convaincre le

directeur de l’hôtel qu’il gagnerait

plus d’argent en transformant son

hôtel de luxe en village de cases.

1ère solution 2ème solution

Vous suivez l’Africain. En réalité

c’est un ranger (gardien du

parc). Vous le reconnaissez

grâce à son uniforme

caractéristique. Au détour d'un

bosquet d'arbres, vous

apercevez la tête d'une girafe

qui dépasse de la cime des

acacias.

Que voulez-vous faire?Observer la girafe

Suivre le Ranger

Alors que vous

suivez le ranger, il

fait le tour du

bosquet d'arbres.

Soudain vous vous

apercevez que vous

êtes seule dans la

savane.

Vous êtes obligée de

revenir sur vos pas.

Vous tentez de suivre la

girafe mais elle est trop

rapide pour vous. Vous

êtes obligée de revenir

sur vos pas.

«Oui, je le connais : c'est lui qui m'a donné un bout

de code. Mais si vous voulez l'avoir, il faut d'abord

résoudre ce problème: il n'y a plus d'eau dans le

village parce que l'hôtel de luxe d'à côté la

consomme complètement.

-Comment cela se fait-il ?

-Il l'utilise pour ses beaux espaces verts, ses piscines

etc... Voulez vous résoudre ce problème? »

Un peu de temps s'écoule... Vous hésitez:

«Mmmmh...

-Oui ou non !! insiste-t-il »

Vous acceptez, pensant pouvoir récupérer une

partie du code.

« Oui, mais laissez moi réfléchir... »

Vous vous creusez la tête.

Vous prenez des seaux d’eau et vous allez les

remplir à la piscine de l’hôtel. Après 5 allers-

retours, vous remarquez que l’eau que vous

aviez versé dans le point d’eau s’est déjà

évaporée.

Vous retournez voir le touriste, l’air

malheureux.

Vous lui expliquez que vous n’avez pas réussi.

Le touriste vous console en vous disant: « Ce

n’est pas grave, puisque vous êtes

sympathique, je vous donne quand même une

partie du code. »



Rendez-vous chez les Bédouins

Vous vous dirigez vers l’hôtel de luxe et vous

demandez à voir le directeur. Vous observez

qu’il n’y a pas beaucoup de monde dans cet

hôtel : au tableau de la conciergerie, il manque

seulement deux clés ! Le directeur arrive et

vous lui demandez :

« Avez-vous des problèmes pour attirer les

clients ?

-Vous l’avez bien remarqué, dit-il l’air

désespéré.

-J’ai peut-être une solution à votre problème !

-Ah bon, dites-la moi ! dit-il en changeant

d’expression.

-Pour avoir plus de clients, il faudrait que vous

changiez votre hôtel de luxe en village de cases

!!! Les gens préfèrent les maisons typiques du

pays et veulent être plus écologiques !

-Ah j’ai compris ! Je vais tout de suite appeler

mes ouvriers pour supprimer les piscines, les

espaces verts, et tout ce qui utilise de l’eau. »

Vous retournez toute contente vers le point

d’eau où se trouve le touriste en lui annonçant

la bonne nouvelle.



Alors que vous arrivez chez le touriste il découvre:

Heureux, il vous donne le code.

Rendez-vous chez les Bédouins

Vous revenez rapidement à votre point de départ, vous entrez dans l’usine Phidvecs et vous vous faufilez dans le bureau du directeur.

Derrière un tableau de Van Gogh, le coffre se profile devant vous.

Entrez le premier chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9

http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7b/Vincent_Willem_van_Gogh_109.jpg&imgrefurl=http://static.wikipedia.org/new/wikipedia/fr/articles/v/i/n/Image~Vincent_Willem_van_Gogh_109.jpg_22fa.html&h=1301&w=1000&sz=155&hl=fr&start=5&um=1&tbnid=_vu03mnrq-2JIM:&tbnh=150&tbnw=115&prev=/images%3Fq%3Dvan%2Bgogh%2Bimage%2Blibre%26um%3D1%26hl%3Dfr%26safe%3Dactive%26sa%3DN


Derrière un tableau de Van Gogh, le coffre apparaît...

Entrez le deuxième chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9



Entrez le troisième chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9



Entrez le quatrième chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9



Entrez le cinquième chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9



Entrez le sixième chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9



Entrez le septième chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9



Entrez le huitième chiffre:

1 2 3

4 5 6

7 8 9

Hélas….

1 2 3

4 5 6

7 8 9

Cette partie du code n’est pas la bonne…

SUITE

http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7b/Vincent_Willem_van_Gogh_109.jpg&imgrefurl=http://static.wikipedia.org/new/wikipedia/fr/articles/v/i/n/Image~Vincent_Willem_van_Gogh_109.jpg_22fa.html&h=1301&w=1000&sz=155&hl=fr&start=5&um=1&tbnid=_vu03mnrq-2JIM:&tbnh=150&tbnw=115&prev=/images%3Fq%3Dvan%2Bgogh%2Bimage%2Blibre%26um%3D1%26hl%3Dfr%26safe%3Dactive%26sa%3DN

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