Comment se bâtir une motivation invicible2 - Le Coach Rebelle · arrivées par hasard. Pour parapraser Og mandino dans son best seller « Le plus grand vendeur du monde », elles

« Comment se bâtir une motivation invincible ! » - Frédéric ARRON 1


Comment se bâtir une motivation invincible !

10 choses à savoir et à mettre en pratique pour devenir inarrêtable

et vivre sa passion avec succès !

Par Frédéric ARRON

Coaching pour devenir inarrêtable

Tous droits réservés, Copyright 2013, www.lecoachrebelle.com


AVANT PROPOS ...................................................................................................................................4

INTRODUCTION.......................................................................................................................................5

1- FAITES CE QUE VOUS AIMEZ OU AIMEZ CE QUE VOUS FAITES...................6

2-FAITES CE DANS QUOI VOUS ETES LE MEILLEUR. .................................................8

3-FAITES CE QUI VOUS PERMET D’APPORTER LE MAXIMUM DE VALEUR.......................................................................................................................................................................11

4-POURSUIVEZ CE QUE VOUS VOULEZ VRAIMENT ...................................................12

5-ADOPTER UNE NOUVELLE IMAGE DE SOI MEME !.................................................14

6-SORTEZ DE VOTRE ZONE DE CONFORT ........................................................................16

7-SACHEZ OU VOUS EN ETES. ..................................................................................................17

8-REALISEZ LA FORCE DE L’INSTANT PRESENT ! ......................................................19

9-CREEZ UN SYSTEME! .................................................................................................................20

10-N’ABANDONNEZ JAMAIS. ...................................................................................................22


Avant propos Nous avons tous des rêves. Nous avons tous entendu en nous mêmes un jour, cet appel vers l’excellence à faire de nos possibles une réalité bien vécue. Souvent nous avons délibérément cherché à faire taire cette voix. Elle nous mettait tellement mal à l’aise. Et puis est ce bien raisonnable de croire qu’il y a quelque chose de spécial en nous ? Que d’autres auraient besoin de nos talents ? Que nous pouvions faire ce que nous aimions et le faire avec succès ? Et puis nous avons connu des déceptions, des frustrations, peut être même quelque fois nous avons été à genoux. Pourtant une partie de vous continue à croire qu’il doit y avoir autre chose, que tout ne se résume pas à une lutte constante pour la survie, à travailler comme un fou et à payer des factures. Vous désirez autre chose, vous êtes parti en quête de sens. On ne peut pas éternellement fuir nos aspirations et nos désir profonds. Tôt ou tard ils s’imposent à nous. Et si nous persistons à résister à cet appel, notre corps risque de nous rappeler à l’ordre , sous forme de burn out, par exemple, l’épuisement professionnel. Mais toutes les frustrations que nous avons vécues ne sont pas arrivées par hasard. Pour parapraser Og mandino dans son best seller « Le plus grand vendeur du monde », elles peuvent devenir la terre noire de laquelle nos plus grands rêves jailliront. Un grand maître Boudhiste a dit un jour à son disciple, « peut être un jour abandonneras tu la méditation, mais la méditation ne t’abandonnera jamais ». Il en est ainsi de nos rêves. Pendant des années nous les nourrissons, et un jour ce sont eux qui nous nourrissent ! Pendant des années nous servons notre passion, et un jour c’est notre passion qui nous sert. Mais attention je ne crois pas pour autant qu’il nous suffise de faire ce que nous aimions pour que tout soit résolu ! La réalité est plus complexe que cela. Si vous voulez que les choses changent il vous faudra être prêt à toute les éventualités et être constant dans votre engagement. Si vous voulez être sûr(e) de réussir vous devrez pouvoir continuer quoiqu’il arrive, même si vos proches ne croient plus en vous, même si vous doutez de vous même, même si vous n’avez plus aucun euro à la banque, même si les huissiers frappent à la porte, même si vous n’avez aucun signe extérieur que les choses tournent en votre faveur. Les livres de pensées positives nous encouragent à cultiver l’enthousiasme, la joie, la foi et à fuir le doute et la peur. Mais c’est notre capacité à dompter le doute et la peur qui conditionnera notre succès ultime. Tout le monde sait gérer une situation quand tout va bien. Mais c’est quand nos repères


s’effondrent et que survient l’adversité que nous devons être capables de mobiliser nos ressources. Il nous est possible de créer un élan tel, une dynamique tellement puissante que nous ferons toujours un pas un avant jusqu’au résultat souhaité. J’appelle cet élan, cette dynamique puissante, notre motivation invincible ! Maintenant prenez une grande inspiration, coupez le téléphone, la radio et facebook ! Qu’en avez vous à faire qu’une de vos amies ait cuisiné un fondant au chocolat, ou que tel autre ait décidé de philosopher sur la décadence du monde ? Cela ne vous aidera pas à régler votre problème. Et votre problème quel est il ? Vous vous sentez dans une impasse et vous voulez en sortir ! Vous souhaitez accéder à votre motivation invincible! Les minutes qui suivent sont à vous, pour vous. Faites vous ce cadeau.

Introduction

Nous souhaitons tous avoir du succès dans ce que nous entreprenons. Nombreux sont ceux qui sacrifient aisément leur santé, leur temps de loisirs et de récréation à leurs obligations professionnelles. Combien de fois ai-je entendu un ami ou une connaissance me répondre, quand je lui conseillais de prendre un congé parce qu’il était visiblement malade « Non je ne peux pas me le permettre ». C’est étrange n’est ce pas ? D’autant que souvent le travail auquel nous consacrons toute notre énergie nous ne l’aimons pas forcément. Mais je connais l’exigence de la vie professionnelle. Et vous pensez peut être effectivement que vous ne pouvez pas vous permettre de montrer ce que vous considérez à tort ou à raison comme un signe de faiblesse. Et puis si vous vous absentez aujourd’hui..à votre retour, devant la masse de travail, cela sera pire, n’est ce pas ? Je crois que nous avons été conditionnés à trouver normal de souffrir beaucoup pour obtenir peu. Certes, cela vaut mieux, finalement, qu’une certaine tendance qui semble se profiler : « exiger beaucoup, et n’être près à rien pour le mériter ! ». Néanmoins faire beaucoup pour recevoir peu n’est pas une fatalité. Nous pouvons faire ce que nous aimons, ce qui nous passionne, de la façon dont nous le voulons avec le niveau de succès que nous souhaitons. Cela pourrait être une définition de la réussite. Mais pour cela il nous faut mettre les choses dans le bon ordre. Et c’est ordre quel est –il ?


1-Il nous faut tôt ou tard nous engager dans ce que nous aimons vraiment. 2-Mais nous devons nous assurer que nous faisons ce dans quoi nous pouvons être le meilleur. 3-Il nous sera nécessaire ensuite de créer un maximum de valeur à travers le service que nous proposons, les produits que nous vendons, ou notre expertise.. 4-..puis oser poursuivre ce que nous voulons vraiment. 5-Nous devrons être capable pour cela, de changer de regard sur nous mêmes et sur ce qui est possible,… 6-…pour sortir de notre zone de confort et faire face à la peur. 7-Et pour cela il va nous falloir être pleinement conscients de là ou nous en sommes. 8-Nous pourrons alors poser des actions déterminantes qui nous permettront d’obtenir des résultats. Cela nécessitera que nous soyons ancré(e) dans l’instant présent. 9-Et cela se fera d’autant plus facilement que nous aurons créé un système. 10-Le succès nous sera alors garanti pour peu que nous n’abandonnions jamais ! Vous êtes engagé(e) dans une belle aventure. Vous avez suivi la voix du courage et de l’audace et je vous en félicite. Avez vous vu le film Indiana Jones ? Hmmm cela ne vous rappelle rien ? Oui, je vous assure le chapeau et le fouet vous vont à merveille. Vous n’êtes plus un professionnel qui cherche à vendre ou à se vendre ! Non ! Vous êtes un aventurier en quête de trésor ! Vous êtes Santiago, le héros de l’Alchimiste en route vers les pyramides ! Et si vous le permettez, je serai votre guide !

1- Faîtes ce que vous aimez ou aimez ce que vous faîtes. Cela pourrait ne pas sembler raisonnable. On pourrait se dire, le monde est dur, c’est la crise je vais faire ce que je peux. Mais pensez à ceci. Si vous avez le choix entre deux crèches, choisirez vous celle ou la responsable semble visiblement aimer les enfants, parle à votre petit bout de chou avec amour et autorité, ou celle ou votre interlocuteur ne s’adresse jamais à votre enfant ni ne le regarde, pendant le premier entretien ou elle vous vente les mérites de son établissement ? Si vous aviez le sentiment qu’une personne aime vraiment la vente et que l’autre fait cela pour s’en sortir, laquelle choisiriez vous de recruter ? Dites vous que les gens font les choix qui les avantagent eux ! Si une personne vous embauche c’est que c’est bon pour elle ! Si un client vous choisit c’est qu’il pense que c’est bon pour lui! les gens ne feront pas affaire avec vous parce que vous en avez besoin ! Ils veulent sentir


que vous avez quelque chose à leur offrir ou qu’ils vont aimer travailler avec vous ! Peut être malgré tout n’êtes vous pas encore engagé(e) dans ce que vous voulez vraiment. Laissez moi vous rappeler les avantage multiples qu’il y a à faire ce qu’on aime. Premièrement votre passion sera communicative, et vous serez capable de créer un effet magnétique chez les autres, ce qui fera qu’ils seront plus disposés à écouter ce que vous aurez à leur dire ! Mais cela n’en vaut la peine que si vous pensez que ce que vous avez à offrir améliora la vie de vos clients d’une façon ou d’une autre. Quand vous faîtes ce que vous aimez vous pouvez le faire pendant des heures n’est ce pas ? Vous êtes infatigable, vous êtes curieu(x)se et vous passez votre temps à penser spontanément à votre activité. Il devient plus facile pour vous d’améliorer votre technique, votre savoir faire ou votre expertise ! Vous devenez meilleur! de jour en jour ! Donc vous aidez les gens à résoudre leur problème encore plus facilement. Alors à votre avis que se passera t-il ? D’autres personnes viendront vous voir pour vous demander de les aider à résoudre leur problème. Maintenant vous pourriez quand même réussir à vous imposer dans quelque chose que vous n’aimez pas. Mais souvenez vous de ce qu’a dit Christian Dior « on n’a aucune excuse pour avoir fait ce que l’on n’aime pas..surtout si on réussit » ! Et que se passera t-il le jour ou un concurrent s’installera à côté de vous pour faire la même chose, sauf que lui il est passionné par ce qu’il fait ? Il y travaillera deux fois plus que vous, il sera inspiré, il créera de nouvelles façons de faire ce qu’il fait, parce qu’il est animé. Quand vous aimez vraiment ce que vous faîtes, vous concevez naturellement des procédés pour offrir à vos clients une expérience unique ! Et cela vous fait plaisir. C’est votre récompense ultime au delà de l’argent. Et souvent leur satisfaction sera si grande que ce qu’ils vous offriront en retour vous donnera le sentiment que c’est vous le privilégié et que ces personnes vous en donnent davantage que vous ne pourrez jamais leur rendre. Et vous savez quoi ? Cela se produira parce que vous leur aurez permis de ressentir ce sentiment d’être unique et d’avoir de la valeur. Curieusement beaucoup de personnes s’ennuient à mourir dans un travail qu’elles n’aiment guère, et reste persuadées que c’est plus facile de réussir dans ce qu’on aime pas que dans ce que l’on aime. Il n’y a là rien de rationnel ! J’y vois plutôt une ancienne croyance tenace qui consiste à penser que nous sommes sur terre pour souffrir, pour pouvoir espérer le bonheur dans une autre vie ! Partant de là, comment imaginer gagner de l’argent en faisant ce que l’on aime ? Ne risquons nous pas de provoquer le courroux des Dieux ? Mais cette croyance tenace et souvent inconsciente, que la souffrance pour la souffrance a de la valeur, nous pousse


quelquefois à continuer à souffrir quand nous pourrions choisir une toute nouvelle direction. Nous devons réapprendre à prendre nos désirs au sérieux, à nous donner la permission de les réaliser plutôt que d’apprendre à vivre dans la frustration quasi insupportable de ne pas faire ce que nous voulons vraiment faire. Croyez vous que Teddy Riner aime le Judo ? Que Nadal aime le Tennis ? que Christine Arron aime le sprint ? Poser la question c’est y répondre ! J’aime beaucoup cette distinction que fait Robert Kiyosaki, l’auteur de « Père riche, père pauvre », en faisant référence à l’ouvrage The War of Art (la guère de l’art ; malheureusement la version française me semble introuvable) de Steven Pressfield. Il s’agit de la différence entre l’amateur d’une discipline donnée et le professionnel de cette discipline. On a tendance à penser que l’amateur aime ce qu’il fait et que le professionnel le fait pour l’argent. En réalité c’est différent ! L’amateur n’aime pas assez la discipline pour être un pro ! Le pro aime la discipline plus que tout autre chose, et au point d’en avoir fait son métier. Et c’est parce qu’il aime tellement ce qu’il fait qu’il est payé pour cela ! L’amateur paie pour suivre son hobby, le pro est payé pour suivre sa passion ! Vous voulez devenir un pro ? Aimez ce que vous faites ! Certains se laissent aussi influencer par parents et amis qui soucieux de bien faire s’empressent souvent de dire ce que l’on devrait faire ou pas ..! « Oh non je ne te vois pas dans ça, ce n’est pas pour toi, et si tu faisais plutôt ceci, ou cela ? ». Malheureusement la tendance qui pousse à faire ce que les autres attendent de nous est profonde ! Elle peut nous aider à nous dépasser, si ceux qui nous entourent croient en nous, mais souvent elle nous incite à rester dans ce qui est convenu, et en dépit de nos réelles aspirations. Il nous faut alors nous rebeller et oser aller à l’encontre de l’ordre établi ! Pour beaucoup, faire ce que l’on aime coincide avec devenir entrepreneur. Cela a d’ailleurs été le cas pour moi aussi. Il se peut donc que réussir en tant qu’entrepreneur soit votre prochaine étape. Pour autant vous n’êtes pas obligé de devenir entrepreneur pour faire ce que vous aimez

2-Faites ce dans quoi vous êtes le meilleur. Evidemment faire ce que l’on aime ne suffit pas la plupart du temps. C’est un début absolument nécessaire mais vos clients et les gens avec qui vous travaillez viennent vers vous pour ce que vous pouvez leur rapporter, pas pour vous faire plaisir. Ils recherchent un bénéfice que seul un certain degré d’expertise pourra leur apporter. C’est à dire que vous devez bien faire ce que vous faîtes.


Cela déterminera aussi votre niveau de rémunération. Bob Proctor (le premier intervenant dans le film Le Secret de Rhonda Byrne) nous rappelle que notre rémunération dépend de 3 choses :

- du besoin qu’il y a pour ce que nous faisons - de l’habileté avec laquelle nous le faisons - de la difficulté qu’il y aurait à nous remplacer.

Avez vous déjà entendu certains de vos amis, ou peut être est ce votre cas, dénoncer le mauvais accueil de tel commerçant faute d’organisation, ou la longue attente chez tel autre, mais pour autant ils restent un fidèle client parce que « ses pâtisseries sont tellement bonnes », ou parce « qu’il est le seul à masser de cette façon » ? La plupart des gens sont prêts à supporter bien des désagréments pour avoir la meilleure prestation de service. Quand vous avez deux activités de crêpes côtes à côtes il n’est pas difficile de voir quelle est celle qui fournit les meilleures ! D’un côté une queue de 20 m, de l’autre personne ! Et si vous êtes une personne engagée dans l’excellence vous n’aurez pas simplement envie d’être bon, vous aurez envie d’être le meilleur possible ! Alors ne perdez pas votre temps à vouloir transformer vos faiblesses en force. Si vous voulez exceller, concentrez vous sur vos forces et faites ce pour quoi vous pouvez être le meilleur. Un bon joueur de football a une spécialité. C’est un attaquant un défenseur ou un milieu, ou alors un gardien. Evidemment aujourd’hui on demande à un défenseur de savoir attaquer et à un attaquant de savoir défendre. Mais à la fin de la saison on fait le bilan sur les nombres de buts marqués ou le nombre de passes décisives faites par l’attaquant ! On ne se demande pas combien de tacles défensifs il a réussi. C’est assez triste de voir des personnes travailler tellement dur avec peu de résultats, parce qu’elle ne travaillent pas aux choses essentielles. Si je vous dis Einstein, Raphaël, Aimé Césaire, Zidane, Teddy Riner, Christine Arron, vous n’avez pas besoin de réfléchir pour savoir dans quoi ils se sont illustrés n’est ce pas ? Sans doute ont ils (ou avaient ils) tous de multiples talents, mais ils se sont illustrés pour avoir fait ce dans quoi ils étaient le meilleur ! Et dans leur domaine ils faisaient des choses très spécifiques ! Einstein c’est concentré sur une seule science (la physique), Raphaël sur un style de peinture qui lui est propre (l’alliance unique du dessin et de la couleur), Aimé Césaire sur un seul concept majeur (la négritude), Teddy Riner dans un seul art martial, (le judo), Christine Arron dans une seule discipline d’athlétisme (le sprint) ! Dans le monde de l’entrepreneuriat les clients veulent des spécialistes, des experts. Mozart était doué pour la musique et le piano, et il y passait des heures, il est donc devenu un maître. Il ne


s’est pas dit un jour « tiens , je suis déjà bon en musique je vais travailler la pâtisserie ». Idem pour Teddy Riner ; à mon avis au prochain championnats du monde il ne se présentera pas dans la catégorie Karaté ! Faire fructifier ses talents ne doit pas être une option. C’est absolument impératif. Spécialisez vous dans ce que vous aimez et ce dans quoi vous pouvez être le meilleur ! Cela vous emmènera automatiquement à avoir cette présence et cette signature uniques sur votre marché. Vous allez remplir une niche spécifique. Cela veut dire aussi que vous devrez tôt ou tard, si vous voulez devenir un expert reconnu, renoncer à satisfaire tout le monde. Logan Dacia, fournit une excellente voiture bon marché, ce serait absurde que la marque crée un modèle à 45 000 euro. Ce n’est pas son segment de marché. Et Ferrari ne va pas créer de bicyclette, pour surfer sur la vague écolo. Les meilleurs se consacrent à ce qu’ils savent faire de mieux, et si vous voulez en être, vous devriez faire comme eux. Et puis, faire ce dans quoi vous pouvez être le meilleur, vous garantit à un moment ou à un autre d’excellents résultats ! Personne n’est disposée à faire encore et encore quelque chose dans lequel elle n’est pas très bonne. La volonté ne suffira pas, et surtout cela ne servirait à rien. Maintenant la difficulté c’est de déterminer ce dans quoi on peut être le ou la meilleur(e). Et beaucoup de personnes sont disposées à penser qu’elles ne peuvent être la meilleure dans ..rien ! De telles pensées prennent souvent leur source dans l’enfance avec l’influence de l’éducation reçue et de ce qui pour beaucoup est un traumatisme..l’école ! Je crois que l’école est une prison pour enfant. Non évidemment j’exagère, mais si vous avez passez toute votre scolarité à vous entendre dire que vous étiez moyen, ou pire encore, cela laisse des traces. Il n’y a guère de démonstration ou de preuves à trouver. Il vous faut faire le saut. Vous devez établir une nouvelle croyance ; celle qu’il y a une discipline ou un aspect d’une discipline ou vous pouvez être le meilleur. Dans quoi avez vous de la facilité ? l’organisation, le rapport avec les autres, l’écriture, la vente, la rigueur? « Dieu ne joue pas aux dés » a dit Einstein. Et quelque soit l’endroit d’ou nous venions, la force, Dieu, l’univers, notre nature profonde, appelez cela comme vous le voulez ; nous a donné des qualités uniques. Vous n’êtes pas arrivé ici sans ressource. Vous avez oublié cette course pour la vie ou un vaillant spermatozoïde à terminé premier, sur des milliards, pour féconder un ovule précis ! La probabilité que cela arrive était nulle ! Et c’est arrivé. Et c’est arrivé parce que d’une façon ou d’une autre, consciemment ou inconsciemment il y avait une intention derrière cela. Vous êtes un gagnant et vous n’êtes


pas là par hasard. Vous avez un ou plusieurs talents qui vous sont propres, allez à leur découverte et excellez !

3-Faites ce qui vous permet d’apporter le maximum de valeur. Quand j’ai découvert ce principe (dans le livre « De la performance à l’excellence » de Jim Collins) il était exprimé différemment ; de cette façon : « Faites ce qui est le plus rentable ». Si vous êtes une entreprise, votre bilan de fin d’année ne présentera pas une évaluation qualitative de vos produits et services (bien que la qualité soit absolument indispensable à toute entreprise digne de ce nom). Non, votre compte de résultats se terminera par une ligne bénéfice, ou perte. Si vous avez trop souvent des pertes, vous devrez mettre la clef sous la porte. Ce que vous faîtes doit être rentable. Malheureusement certains ne se concentrent que sur la rentabilité à l’exclusion de toute autre considération et c’est une erreur grave ! D’ailleurs dans les écoles de commerce on enseigne que le but de l’entreprise c’est le profit ! Je crois plutôt que le but de l’entreprise c’est la création de valeur. Et ensuite cette valeur créée se convertit en profit. Mais si le but de l’entreprise c’est le service qu’elle rend (on désigne par « raison d’être » l’activité d’une entreprise et c’est fort juste), le bénéfice reste une condition indispensable, sur laquelle on ne peut pas transiger à long terme. C’est aussi une saine récompense pour le travail de qualité que l’on fournit. Certains secteurs spécifiques comme l’hôpital, on pu sembler être épargnés par cette réalité économique pendant un temps. Désormais les exigences de rentabilité font partie des impératifs des hôpitaux ! C’est terrible mais c’est la réalité. Votre succès est directement lié à votre capacité à créer de la valeur pour ceux qui bénéficient de vos talents. Mais il s’agit aussi que ces personnes soient conscientes de la valeur que vous leur apportez. En marketing on fait la distinction entre valeur réelle et valeur perçue ! Un beau packaging par exemple, peut aider à augmenter la valeur perçue par un client. Mais c’est le basique. Un prix élevé peut aussi contribuer à augmenter la valeur perçue. Baisser ses prix pour vendre plus, n’est pas toujours une bonne stratégie ! L’idéal est encore d’offrir une valeur réelle ET une valeur perçue importantes. Une des façon de le faire est d’éduquer ses clients ou les personnes avec qui on travaille. Elles sauront ainsi reconnaître ce qui a vraiment de la valeur !


Alors prenez le temps de réfléchir, quelle est la plus belle chose que vous puissiez offrir à vos clients. Quelle est votre plus magnifique aptitude ? Quelle est la plus belle expérience que vous puissiez apporter aux personnes qui vous font confiance ? En offrant ce que vous avez de meilleur, cela vous mettra automatiquement dans un état de satisfaction et d’enthousiasme ; Et ce, d’autant que vos meilleures aptitudes, vos plus grands talents, seront aussi ceux qui seront les mieux rémunérés. Et si vous voulez vraiment faire partie de l’élite, donnez toujours plus en valeur à vos clients qu’ils ne vous donnent en argent ! Oui vous avez bien compris ! En créant ce sentiment d’accroissement vous vous assurez de créer pour eux une expérience unique qu’ils souhaiteront renouveler. Vous vous assurerez aussi de construire une relation de confiance avec les bénéficaires de votre expertise. L’ancien modèle consistait à dire « montrez moi la couleur de votre argent, et je vous montrerai comme mes produits sont extraordinaires ». Quand vous démontrez la valeur de ce que vous avez à offrir, avant même d’avoir été payé pour cela, vous vous assurez un avantage supérieur. Il ne s’agit pas pour autant de se brader. Vous pouvez construire un système dans lequel, vous démontrez constamment votre valeur, en vous assurant un flux de revenus confortables et constants. Il existe une façon spécifique de le faire.

4-Poursuivez ce que vous voulez vraiment Aimez vous Lamartine ? Oui, le poète romantique français. Alors vous connaissez cette phrase « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé ». Que les puristes me pardonnent mais je l’ai reprise à mon compte et un peu modifiée : « Un seul objectif vous manque, et tout est annulé ». Vous devez savoir ce que vous voulez vraiment, et vous devez faire de cela votre objectif. Le problème c’est que la plupart des gens n’osent pas désirer ce qu’ils veulent. Mais il nous faut allier désir et vouloir. Notre volonté doit servir à aller vers notre désir ! La plupart du temps désirer et vouloir s’emploient indifféremment, mais là je fais une distinction volontaire parce que cette nuance est fondamentale. Par exemple, peut être que vous voulez vraiment une promotion. Vous savez que vous la méritez, que vous avez travaillé dur. Vous considérez que c’est votre dû et vous voulez votre promotion. Mais en même temps peut être que votre désir profond serait de vous mettre à votre compte et de créer votre entreprise. Dans ce cas, et quand désir et volonté vont dans deux directions différentes et cela vous fait perdre de la puissance personnelle, c’est à dire cette capacité à agir pour obtenir ce que vous voulez vraiment.


Nous ne choisissons pas nos désirs, mais nous choisissons ce que nous voulons, c’est à dire ce que nous décidons d’avoir ! Vouloir, c’est décider d’avoir ! Si vous êtes dans une crêperie, vous aurez beau désirez un gigôt, vous allez vouloir autre chose, une crêpe au saumon par exemple. Nous voulons ce que nous PENSONS pouvoir avoir et nous désirons ce que nous POUVONS avoir mais sans nécessairement en être conscient ! Un désir marque une possibilité et nous vient de plus loin que la volonté. Il nous vient de notre cœur, de notre âme, de notre essence. Et le désir n’est pas dompté par notre esprit rationnel, ni même par notre esprit conscient. Le désir est une force brute qui nous pousse à aller vers l’objet qui l’inspire. Vouloir ce que nous désirons demande une révolution de notre esprit parce que cela voudra dire s’engager à avoir quelque chose que nous ne pensons pas nécessairement pouvoir avoir ! Cela ne va pas être possible très longtemps. Il existe une façon de contourner l’obstacle de l’appréciation rationnelle de ce qui est possible. Il s’agit tout simplement de vous imaginer en train de vivre ce que vous voulez vraiment vivre, comme si cela était réel. Cela créera progressivement la croyance en vous que c’est possible. A propos êtes vous en train de vous dire qu’il est dangereux de rêver grand, que c’est un risque majeur ? Mais il est possible de rêver grand, et d’agir vers la réalisation d’un rêve SANS que cela constitue un risque insurmontable, et SANS que vous ayez à faire des choses insensées. Le désir, c’est la pulsation de l’univers en nous, c’est notre destinée qui cherche à se manifester, c’est la promesse des Dieux au héros qui est en nous. Utiliser cette force à notre avantage suppose de vivre de l’intérieur vers l’extérieur, de s’engager à faire de notre vie ce que nous voulons et désirons ! C’est réaliser que toutes les choses que nous vivons sont des conséquences, davantage que des causes. Quand vous aurez réussi à aligner vos pensées, vos émotions et vos actions sur vos plus grand rêves, ceux ci n’auront pas le choix ; ils devront se manifester ! Peut être vous dîtes vous que tout cela est bien beau mais que c’est plus de la poésie qu’autre chose, permettez moi de vous dire qu’il n’en n’est rien. La physique quantique a démontré aujourd’hui, que nous créons littéralement le monde dans lequel nous vivons. Nos pensées ne sont pas seulement notre interprétation du monde, mais bien la matière qui constitue notre monde ! Une autre façon de le dire est que les pensées deviennent des choses, et les choses sont des pensées concrétisées ; mais souvent des pensées par défaut, des pensées inconscientes !


Poursuivre ce que vous voulez vraiment c’est presque la même chose que faire ce que vous aimez. Disons que c’est choisir le niveau auquel vous faites ce que vous faites ! Et quelquefois en regardant de l’extérieur on pourrait ne voir aucune différence entre celui ce qui poursuit un objectif réaliste et celui qui poursuit ce qu’il veut vraiment. L’un n’est pas fondamentalement plus difficile que l’autre. Deux hommes entassent des briques, mais l’un construit une cathédrale et l’autre un mur. Une dernière chose, mais non la moindre. Dans un premier temps il vous sera sans doute utile, que par vos représentations internes, vous associiez un plaisir intense à vivre votre objectif et une douleur forte à ne pas l’atteindre ! Cela va vous mettre en mouvement naturellement, et vous poussera à faire tout ce qui est nécessaire (dans le respect des autres et de vous mêmes) pour réaliser ce qui vous tient à cœur. Ensuite vous aurez tout le loisir de goûter aux vertues du lâcher prise. C’est à dire d’agir avec détermination, sans avoir peur d’échouer et en étant détaché du résultat. Etes vous encore avec moi ? il nous faut maintenant franchir une étape. Notre ancienne version de nous mêmes ne peut pas aller plus loin. Elle a sans doute du déjà beaucoup trop s’étirer. Il nous faut déposer là notre « ancien nous » et poursuivre avec quelque chose de neuf. Et pour cela il faut..

5-Adopter une nouvelle image de soi même ! Nous ne savons pas qui nous sommes vraiment. Nous arrivons dans ce monde sans mode d’emploi de nous même, et tel Thésée dans le Labyrinthe, à la poursuite du minotaure (nos peurs et nos limites), le fil d’Ariane de notre intuition et de notre courage, constitue notre voie vers la sortie. Nous avons tendance à croire que nous sommes un être limité dans un monde matériel, bienveillant quelquefois, menaçant parfois. Voici l’ancien paradigme, l’ancienne croyance fondatrice : 1-Nous sommes notre corps 2-Nous sommes dans le monde 3-nous sommes limités Mais le nouveau paradigme nous dit : 1-J’ai un corps Je suis un être spirituel. Ce que je suis est beaucoup plus vaste que mon corps. Mon corps est la plus petite partie de mon être. 2-Le monde est dans ma conscience


Mais me direz vous.. « Non ! je suis dans le monde » ! Je vois le ciel en haut et le soleil à l’horizon. Certes. Mais tout ce que vous voyez vous le voyez dans l’écran 3D de votre conscience ! Notre cerveau est un merveilleux mécanisme de création de réalité virtuelle ! Savez vous que certains entendent des voix et voient des choses qui n’existent pas ? Evidemment nous dirons ils sont fous ! Et je suppose que c’est bien le cas ! Il n’empêche que leur cerveau crée cette réalité qui leur semble tellement réelle. 3-Je suis puissant au delà de toute limite. Les sages de tous horizons nous l’ont dit ; notre propre intuition nous l’a chuchoté. Nous sommes puissants au delà de toute limite ! Le défi de notre vie est de nous réapproprier ce pouvoir. N’allez pas pour autat, essayer de vous envoler du toit de chez vous ! Très sérieusement avoir une puissance illimitée ne veut pas dire que vous deviez agir de façon absurde et irréfléchie ! C’est une merveilleuse promesse et elle mérite que nous prenions le temps de l’assimiler à notre rythme, et d’agir en fonction de ce qui nous semble bon pour nous et en prenant soin de nous ! Vous n’avez pas besoin de prendre des risques inconsidérés. Il nous faut aussi mieux comprendre ce qu’il y a dans JE. JE renvoie a une réalité beaucoup plus vaste que nous ne le pensons habituellement. Quand nous disons JE nous avons tendance à penser à notre esprit conscient. Savez vous que des études récentes ont montré que pour une activité neuronale consciente, nous en avons 200 000 d’inconscientes !? Plus la connaissance progresse, plus notre inconscient s’avère important ! Henry Laborit le médecin et neurobiologiste français, disait que si le conscient correspond à l’écume à la surface de la mer, alors l’inconscient est de la profondeur de l’océan ! Beaucoup d’entre nous ne sommes pas à l’aise avec ça, d’autant que depuis Freud l’inconscient a surtout été considéré comme la poubelle de l’âme, cet endroit ou nous nourrissions des pulsions et des désirs inavouables ! Mais notre inconscient est aussi le siège de notre plus grand pouvoir. Certains font la distinction entre Supra Conscient (Dieu ou la conscience fondamentale) et Subconscient (refoulements ?) Mais tout cela c’est l’inconscient. Et puis comme me l’a fait remarquer le Dr Guillaume KAMMER (psychiatre, psychothérapeute, coach), notre inconscient, c’est nous ! Ce n’est pas un monstre tapi dans l’ombre ou une force malfaisante, c’est simplement nous. J’aime bien la vision du film Le Secret qui présente notre inconscient comme un génie qui est à nos ordres conscients près à réaliser le meilleur, comme le pire ! C’est aussi plus complexe que


cela puisque nos décisions conscientes sont aussi influencées par … notre inconscient. Mais nous n’avons pas besoin de tout comprendre, simplement d’avoir une vision plus vaste ! Vous ne savez pas exactement comment fonctionne Internet, tous les réseaux mondiaux, les langages complexes, les serveurs énormes..mais vous savez envoyez un email et il arrive à destination ! De la même façon nous avons la capacité à avoir des désirs, à les transformer en objectif, puis en réalité vécue ! Alors comment influencer l’inconscient ? Cela mériterait un ouvrage en soi, mais disons simplement que notre inconscient considère que nous désirons ce que nous observons de façon répétée. Il agit aussi selon d’anciennes instruction que nous lui avons données (pour beaucoup, l’argent est mauvais, par exemple) pour façonner notre réalité. L’ensemble des conditionnements de notre inconscient se nomme le paradigme. Et si nous voulons pouvoir vivre des choses qui vont au delà de ce qui nous est habituel, il va nous falloir créer un nouveau paradigme, compatible avec nos rêves ! C’est une aventure passionnante !

6-Sortez de votre zone de confort Mais changer de regard sur soi et agir en fonction de cette nouvelle image n’est pas de tout repos ! Ce n’est pas à proprement parler..très confortable ! Vous avez beau vous dire que vous avez une puissance illimitée, que votre inconscient est immense et bienveillant, il suffit pour beaucoup , ne serait ce que d’aborder une inconnue ou de prendre la parole en public pour..se sentir paralysé par la peur ! Et si vous n’arrivez pas à vous mettre en mouvement au delà de ce qui vous met mal à l’aise, c’est perdu d’avance. Le changement de regard prépare le chemin, maintenant il faut arpenter le chemin. Agir en dehors de notre zone de confort est le signal ultime envoyé à notre inconscient que nous voulons vraiment réaliser cette chose, que oui, c’est important pour nous, et que oui, nous avons besoin de toutes nos ressources pour aller jusqu’au bout ! Notre nature est d’être bienveillant envers nous même, même inconsciemment. Nous sommes donc programmés pour nous éviter à nous mêmes, la douleur. Quand nous devons poser une action qui nous cause un inconfort assimilable à de la douleur, nos mécanismes de défense s’y opposent, à moins que notre centre de contrôle interne, notre cerveau, ait une raison supérieure d’agir. ̀Si nos raisons de passer à l’action sont suffisamment claires et fortes, notre cerveau ouvrira la barrière et nous permettra d’agir. La plupart du temps la peur sera toujours présente, mais nous nous retrouverons en train d’entreprendre des actions inédites, d’oser affronter l’inconnu.


De façon métaphorique, nous marcherons sur le feu ! D’ailleurs dans le séminaire UPW d’Anthony Robbins ce n’est pas qu’une métaphore ! On marche littéralement sur des braises. Même si la pratique a été démystifiée par les scientifiques qui ont expliqué cette possibilité par la répartition de chaleur sur le pieds, et le fait que le charbon soit un mauvais conducteur ; il n’en reste pas moins que notre cerveau identifie les flammes à de la douleur, quand il s’agit de marcher dessus ! Alors marcher sur les braises reste un acte de foi ! Et je vous assure que le ressenti avant de le faire, est très similaire à ce que l’on ressent au moment d’entreprendre une action qui nous fait sortir de notre zone de confort, comme quitter son job (à propos ce n’est pas une chose que je conseille de faire sans plan, sans préparation, et sans une mûre réflexion), créer une entreprise, investir une importante somme d’argent ou tout simplement agir en fonction d’une conviction profonde, en dépit des apparences extérieures. Ne soyez pas comme cet homme qui cherchait ses clefs sous un lampadaire, parce qu’il y avait de la lumière, alors qu’il savait les avoir perdues ailleurs, dans l’obscurité ! La zone de confort est..confortable mais c’est un confort dangereux, qui endort, alors même que nous avons besoin d’entreprendre des actions nouvelles. On parle aujourd’hui beaucoup de bien être, et j’ai moi même écrit une série d’articles sur le bien être au travail. Mais paradoxalement celui ci passe souvent par de l’inconfort qui n’a rien d’une sinécure..Plus encore il nous faudra souvent rechercher l’inconfort ! Oui, rechercher délibérément l’Eu-stress, le stress positif qui nous met en mouvement et nous porte, mais reste un stress ! Vous comprenez mieux maintenant pourquoi il est tellement important de faire ce que l’on aime et d’aller vers ce que l’on veut vraiment ! Autrement nous serons tout simplement incapable de faire tout ce qui est nécessaire pour aller au bout du chemin que nous avons choisi.

7-Sachez ou vous en êtes. Sans doute, le plus évident de tous les points, pourtant souvent le plus ignoré. Paul Arden dans son livre « It’s not how good you are, it’s how good you want to be » le rappelle avec beaucoup d’à propos. Pour gagner un match vous devez suivre le score. De la même façon si vous voulez atteindre une destination particulière, vous devez savoir ou vous êtes. Je ne sais pas si vous vous êtes déjà retrouvé à Paris par exemple, à la recherche d’une adresse précise. Vous marchez en espérant tomber sur un lieu connu, mais rien n’y fait, vous ne trouvez pas votre chemin. Vous n’avez pas envie de faire le touriste, mais vous devez vous rendre à l’évidence. Vous devez consulter un plan.


Heureusement il y en a à presque tous les coins de rue ! Une fois que vous consultez le plan, quelle est la première chose que vous faites ? Vous cherchez le point bleu qui marque votre position et en bas duquel il est inscrit « Vous êtes ici ». Ou encore quelquefois vous êtes perdu et vous appelé quelqu’un qui connaît le chemin. Que va vous dire cette personne ? « Tu es ou ? ». Et si vous lui dîtes « je ne sais pas », en général cette personne vous dira, « Dis moi ce que tu vois, dis moi ce qu’il y a en face de toi ». et quel soulagement quand elle nous dit finalement « Ah oui voilà ou tu es..c’est très simple, il te suffit de faire ça puis ça , et tu es arrivé ». En matière de réalisation personnelle, les choses sont un peu plus complexes mais le principe reste le même. Vous devez savoir ou vous êtes pour savoir quelle direction suivre. Et vous, ou en êtes vous ? Quel est votre état d’esprit général ? Votre niveau d’enthousiasme ? Quels sont vos résultats ? Avez vous l’impression chaque jour de vous rapprocher de votre objectif ou de vous en éloigner ? Avez vous une impression de clarté, ou de confusion ? Il n’est pas toujours facile de savoir par exemple ce que l’on ressent. C’est quelque chose de très subjectif. D’ailleurs en hypnose par exemple on va utiliser davantage la description d’un ressenti que son évaluation. Savoir ou on est, est la base pour pouvoir avancer, pour savoir ce que l’on doit faire. Et il est beaucoup plus facile de mobiliser sa motivation autour d’un point fixe, que sans référence aucune. Savoir ou vous en êtes vous permet de savoir si ce que vous faîtes fonctionne ou pas. Voici deux questions qui peuvent vous aider à évaluer rapidement une situation. 1-Comment ça va pour moi en ce moment ? 2-Comment progressent les choses ? La deuxième question est encore plus importante ! Quelquefois tout va bien, mais pourtant on voit que les choses vont de moins en moins bien. Si on ne fait rien pour remédier à la situation, il est probable qu’elle continuera à se détériorer jusqu’à ce que le résultat ne nous convienne vraiment plus. De la même façon quelquefois objectivement vos résultats sont, on pourrait dire « pas terribles du tout ». Mais si vous êtes conscient(e) de là ou vous venez, vous ne vous arrêterez pas à cette valeur brute. Vous pourrez mesurer une progression, voir que vous faîtes peut être les choses de mieux en mieux. Sachez ou vous êtes, et soyez conscient de la façon dont les choses évoluent, c’est crucial. Si vous avez intégré votre objectif et votre cible le fait d’être conscient de votre situation et de votre progression déclenchera automatiquement des mesures correctrices ! Et vous le ferez spontanément, vous n’aurez pas à vous forcer à le faire !


8-Réalisez la force de l’instant présent ! Le concept de l’instant présent n’est pas une notion abstraite destinée uniquement à quelque moine officiant dans un coin reculé du Tibet. C’est une clef essentielle pour vous permettre de tirer le meilleur parti de votre potentiel et d’avancer malgré les obstacles. Robert Anthony (il a inspiré Rhonda Byrne pour son film le Secret, mais dit avoir refusé d’y participer parce que selon lui il manquait une notion essentielle) auteur du programme de développement personnel « The secret of deliberate Creation » estime que dans l’instant présent il n’y a jamais de problème ! Je dirais que dans 98% des cas dans l’instant présent il n’y a pas de problème ! Ce que nous appelons problème n’est souvent qu’un sentiment d’inconfort et de peur lié à une évaluation d’une situation, et une évaluation de l’avenir. La grande majorité de nos problèmes, sont donc des créations mentales. A chaque instant en tout cas, nous avons toujours les ressources pour faire face à ce qui ce présente ! Notre malheur est de nous être conditionné à nous imaginer comme n’étant pas capable de faire face ! Admettons que vous receviez un courrier vendredi qui vous dise que lundi vous allez être saisi. Comment vous sentiriez vous ? Il serait bien sûr normal de ressentir de la peur et de l’inconfort. C’est un signal d’alarme important qui nous appelle à mobiliser nos ressources ! Mais au moment ou nous recevons le message cela ne se produit pas encore. Au moment ou je lis ce courrier que se passe t-il ? mes yeux décodent un message et lui donnent un sens, « Une situation difficile s’annonce ». Mais dans le même temps, le sens que je donne au message active de nombreuses autres peurs et croyances latentes. « Je suis nul, je vais échouer, je n’y arriverai jamais » ! Cela se produit en une fraction de seconde et envahit tout notre espace émotionnel, mais ce n’est pas la réalité. La réalité est « une personne m’annonce qu’elle se présentera tel jour à telle heure ». Nous nous piégeons alors dans un jeu de désespoir qui occulte le fait que Lundi à telle heure je serai là bien présent et que je pourrai faire face à la situation. Je ne serai pas bloqué dans un quelconque point du passé à regarder une situation se dérouler en victime. D’ailleurs dès maintenant je peux agir. Dès maintenant je peux décider que je ferai désormais en sorte que cela ne se produise plus jamais ; que je ferai tout pour cela ! C’est à moi de décider si ce message signifie « c’est la fin de tout » ou « c’est un nouveau départ » ! Il se pourrait même que d’ici lundi j’ai trouvé une solution. De la même façon quand nous avons des opportunités, nous pouvons toujours faire un pas en avant ! Mais nous pouvons être tentés de ne pas le faire, parce que nous ne savons pas ce qu’il y aura après. Mais « après » est un autre instant présent dans lequel j’aurai toutes les ressources pour faire face à la situation !


Quand les feux sont verts, que vous avez une vision claire de la situation (vous savez ou vous êtes), et vous savez ce que vous voulez, et vous êtes engagée dans votre zone d’excellence ( ce que vous aimez, ce dans quoi vous pouvez être la meilleure et donner le maximum de valeur) et que vous ressentez ce désir d’action, faîtes le ! Votre GPS vous montre le chemin. Ne vous laissez pas paralyser par des constructions mentales erronées. Je crois qu’en tant qu’humain une de nos plus grande peur est de ne pas avoir suffisamment de valeur. Mais si nous agissons à partir d’une croyance opposée (j’ai de la valeur quoi qu’il arrive) nous pourrons alors mobiliser nos ressources au lieu d’accepter passivement la défaite. Nous pourrons alors transformer l’échec en succès ! Et tout cela se joue instant par instant, minute par minute.

9-Créez un système! Quelle est la différence majeure entre un employé et un entrepreneur ? L’employé travaille dans un système, et l’entrepreneur travaille sur le système. L’histoire suivante, racontée dans le livre « Père riche, Père pauvre » de Robert Kiyosaki explique bien la différence entre les deux approches. Un village isolé manquait d’eau courante. Les villageois ont donc cherché les personnes pouvant les aider à régler ce problème. Deux personnes se sont présentées. La première, appelons là Jo s’est aussitôt mise au travail. Elle a pris deux sauts, a marché des kilomètres jusqu’à la source d’eau potable et est revenu avec l’eau. Mais il n’y en avait pas suffisamment pour tout le village et l’eau était brunie par la poussière du chemin. Mais Jo était courageux, sérieux et consciencieux. Il est donc reparti sur la route. Mais malgré tous ces efforts l’approvisionnement en eau restait lent. Jo a donc demandé à son fils de l’aider dans son travail. Il pouvait donc livrer deux fois plus d’eaux. Le travail était difficile mais il était bien payé. Et Jo se réjouissait parce que l’on avait aucune nouvelle de Al, la seconde personne qui était censée proposer une solution au village pour son problème d’eau. Et puis un beau jour, des camions sont arrivés dans le village, et des hommes ont commencé à installer des canalisations. A la tête de ces hommes se trouvait Al, l’entrepreneur. Al a levé des fonds, construit une entreprise, et très vite il a pu approvisionner le village en eau à moindre coût, beaucoup plus vite que Jo, avec une meilleure qualité. Al a construit un système, pas Jo. Et Jo devait travailler plus dur que Al, si tant est qu’il lui resta encore du travail ! Attention, ne voyez pas dans cet exemple une apologie du pillage des ressources terrestres, ni du puissant capitaliste par rapport à l’humble travailleur. C’est une image, une illustration de ce qu’un système pourra faire pour vous et pour vos clients. Aujourd’hui Internet offre une opportunité unique de créer un système avec des frais limités.


Tout comme aimer ce que l’on fait, avoir un système offre des avantages multiples : - le système facilite l’accès des personnes (vos prospects ou clients) à votre service. - le système facilite l’acheminement jusqu’à vous de la contrepartie en argent que vous recevez pour la valeur fournie. - il devient plus facile d’identifier les points d’amélioration de votre service et les maillons faibles. - en travaillant pour vous, le système vous permet d’avoir des résultats démultipliés avec moins d’efforts. Mais le système n’est pas qu’une structure, c’est aussi une stratégie automatisée. Certaines personnes offrent un excellent service, mais si un prospect vient les voir en leur disant « je suis intéressé par vos produits et services » elles n’ont pas de stratégie pour accompagner ces personnes, d’un intérêt, jusqu’à la concrétisation d’une vente. Ces personnes pourraient même penser que les stratégies de vente sont manipulatoires. Elles se disent qu’elles ne veulent pas forcer la main à leur client. Si tel est votre cas réalisez que si votre produit ou service est un tant soit peu impliquant, la plupart des gens auront toujours une hésitation à acheter, même s’il s’agit là de la solution dont elles ont besoin. En aidant une personne dans sa décision d’achat vous l’aider ainsi à s’aider elle même. Et puis être un bon vendeur, ne renvoie plus à l’image stéréotypée du jeune cadre dynamique avec une assurance insolente et du bagout. Quelque soit votre profil de personnalité vous pouvez être un bon vendeur. En fait il ne s’agira même plus de vendre mais de se laisser acheter. J’ai eu l’occasion d’avoir recours aux services de personnes, de coachs qui était de grands vendeurs (A propos avez vous lu « Le plus grand vendeur du monde » de Og Mandino ? Je vous le recommande) et je me félicite qu’elles l’aient été. Elles m’ont permis de découvrir des solutions à différentes problématiques, dont je n’étais même pas conscient qu’elles me bloquaient. Et j’ai acheté leurs services parce qu’elles ont su m’accompagner vers ma décision, et je leur en ai été reconnaissant. Elles m’ont fait découvrir, ce que je ne savais pas que je ne savais pas ! Je vais même encore plus loin, vendre peut devenir un acte d’amour. Vous offrez à une personne ce que vous avez de meilleur, et elle vous donne en échange une chose de valeur qui lui a demandé souvent du temps et des efforts à acquérir, de l’argent. Sans compter ensuite la double récompense de voir une personne améliorer un aspect de sa vie grâce à vous, et de recevoir ses remerciements et sa gratitude. Vous voulez faire des ventes parfaites ? Aidez avec amour, des personnes qui font ce qu’elles font avec amour ! Et un système bien pensé peut vous aider à faire cela beaucoup plus facilement. Vous devez savoir


exactement quoi faire quand une personne s’adresse à vous, quand vous vous adressez à elle, et comment l’aider à franchir chaque étape jusqu’à l’utilisation fructueuse de vos produits et services. Et si vous ne pouvez pas aider la personne qui s’adresse à vous ? Oui évidemment, je suis sûr que vous êtes arrivé(e) à cette conclusion aussi ; orientez là vers ceux ou celles qui peuvent lui offrir ce qu’elle cherche.

10-N’abandonnez jamais. C’est l’évidence même n’est ce pas ? Si vous abandonnez, tout cela aura été vain ou presque ! Vous ne saurez jamais ce qu’il y a au bout du chemin. Et laissez moi vous dire que 100% du chemin, cela n’a rien à voir avec 90% du chemin ni même 99% du chemin ! Si vous enfoncez un interrupteur à 99% il n’y a pas de lumière. Si vous faîtes chauffer de l’eau à 99° i ll n’y a pas d’ébullition. Si vous avez failli le faire, c’est que vous ne l’avez pas fait. Si en cours de route toutes les expériences sont bonnes à prendre (pour apprendre, justement), à la fin du chemin les choses deviennent plus manichéennes. Il y a un moment ou le recruteur vous dit « vous venez chez nous..ou pas ? », ou le client décide d’acheter ou pas, ou vous créez votre entreprise ou pas, ou la femme que vous aimez vous dit, « tu t’engages ou pas ? ». Il y aura un moment qui sera l’heure du bilan et à ce moment là vous « l’aurez fait » ou pas. Peut être cette idée vous met elle mal à l’aise. Mais souvenez vous que précisément nous ne sommes pas à la recherche du confort, mais de l’authenticité ! Au contraire la peur et l’inconfort peuvent être ces forces qui vous propulseront vers de nouveaux accomplissements. Un jour vous et moi ne seront plus là. Un jour nous aurons eu notre dernier souffle, notre dernière pensée, notre dernier regard sur notre vie. Finalement vivre c’est préparer cet ultime instant de façon à ce que ce dernier regard soit paisible et que nous puissions nous dire « oui j’ai fait ce que j’avais à faire, j’a joué ma propre musique, j’ai suivi la voie que je savais être mienne ». La mort est le meilleur des motivateurs, le sage ultime. Aujourd’hui et chaque jour qui s’offre à nous, nous avons une nouvelle chance d’agir selon la plus belle version de nous même, de faire de notre vie notre chef-d’œuvre, de rectifier le tir. Nous avons 3600 secondes chaque heure de la journée pour nous engager dans cette magnifique aventure. Nous avons eu 10 000 occasions de le faire et nous en aurons encore. Mais un jour, nous aurons eu notre dernière occasion. Un jour, il ne sera plus temps.


Epilogue

Cela pourrait ressembler à une journée comme une autre et pourtant tout a changé. Vous vous êtes réveillé(e) ce matin en pleine forme, et heureux(se) d’aborder une nouvelle semaine. Vous venez de terminer votre petit déjeuner et vous prenez l’air sur votre terrasse. Vous avez hâte d’aller travailler à vos projets passionnants. Pourtant c’est lundi ! Vous vous souvenez qu’il y a quelques temps encore vous étiez tellement angoissé(e) à l’idée d’une nouvelle semaine. C’est du passé. Vous avez pris le contrôle, vous avez cessé de subir. Vous savez ce que vous voulez et vous êtes en marche. Bien sûr tout n’est pas parfait, mais désormais vous agissez au lieu de réagir. Vous savez que vos potentialités sont immenses. Et puis d’autres choses ont changé. Vous vous tenez différemment, vous êtes plus à l’aise et plus détendu(e). Vous avez une assurance nouvelle et certains dans votre entourage vous l’ont fait remarquer. Une voix en vous, vous chuchote avec fierté et satisfaction. « Tu l’as fait, tu as réussi, tu peux être fièr(e) de toi ». Désormais vous faites ce que vous aimez, et vous le faites avec succès. Votre pensée vagabonde. Vous voyez déjà toutes ces autres choses que vous allez accomplir. Votre cœur se remplit de joie et d’enthousiasme. Un vague sourire se dessine sur votre visage, votre regard se perd dans l’immensité du ciel bleu…

! Hardi, héros ! Le chemin s’ouvre devant toi, l’aventure t’appelle, le destin te réclame. La décision t’appartient. Et sache, tu peux te créer une motivation invincible ! A votre succès ! Je vous souhaite le meilleur. Frédéric, le coach Rebelle. Guadeloupe, Gosier, Mars 2013

www.lecoachrebelle.com

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Comment se bâtir une motivation invicible2 - Le Coach Rebelle · arrivées par hasard. Pour parapraser Og mandino dans son best seller « Le plus grand vendeur du monde », elles