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Le magazine d’aytré cont acts Une ville mieux partag e 171 Avril-Mai 2011 Elissalde à Aytr Budget 2011 ville active Aytre

Contacts 171 - Avril Mai 2011

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Le magazine municipal de la ville d'Aytré (17)

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Le magazine d’aytrécontactsUne ville mieux partag e

n˚171 Avril-Mai 2011

Elissalde à AytrBudget 2011 ville active

Aytre

n˚171 Contacts avril-mai 2011 2 /

Laurent YVON

Fabrication artisanale pétris et cuit dans mon fournil

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219 Av. Emile Normandin - 17000 La RochelleTél./Fax : 05 46 44 23 34

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Menu du jour : 11e50Menu salade : 10e80

Formule express : 10e60

RestaurantL’Ilot des Lys

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Temps forts Circulation cyclable en zone 30

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Initiatives Loisirs familiaux au Centre Social

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Initiatives Aytré ville active : participation au

programme nutrition santé

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Initiatives Action Justice / Collège Atlantique

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Loisirs Accompagnement culturel et rénovation urbaine

15Loisirs

Jean Baptiste Elissalde à Aytré

Travaux sur le stade de foot et dans les vestiaires du club de rugby

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Loisirs Actualités du CLEAR

Découverte du bowling

Basketball

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Temps forts Marche du 28 février,

commémoration Xynthia

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Temps forts retour à la Cité Rondeau

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Associations Qi Gong traditionnel : l’envol de la corneille

Des bénévoles médaillés par la mairie

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Le vote du budget est chaque année l’acte majeur de la vie municipale.Il présente le bilan de l’année passée et prévoit très précisément les recettes et dépenses de l’année qui commence, donc l’ensemble des actions à conduire.Dans un contexte où les difficultés économiques et sociales pèsent toujours sur les familles comme sur les entreprises, où l’Etat "gèle"

ses aides aux collectivités locales, la situation financière d’Aytré ne se dégrade pas.Deux explications : des dépenses maîtrisées depuis de nombreuses années grâce à la vigilance des élus et des services, des recettes fiscales dynamiques avec 130 résidences principales nouvelles de 2009 à 2010.Ainsi pour la 7e année consécutive, le taux des impôts communaux n’augmentera pas.Il est hélas ! prévisible que l’embellie de 2011 connaîtra un brutal coup de frein en 2012 avec l’impact de la disparition Route de la Plage des 77 maisons ou logements, des 10 commerces et des 3 terrains de camping.Nous en reparlerons car il est inacceptable que notre commune perde des recettes et que l’Etat ne compense pas les lourdes dépenses à venir pour faire évoluer le secteur de la plage.

Suzanne TallardMaire d’Aytrén˚171 avril-mai

N°171 AVRIL / MAI 2011

Directrice de publication : Suzanne Tallard

Directrice adjointe de la publication : Marie-Anne Heckmann

Rédacteur en chef : Philippe Arramy

Rédaction : Philippe Arramy, Laurent Bourgoin, Marcel Lardeux

Crédits photos : Franck Moreau

Mise en page : Studio Lézard Graphique

Régie publicitaire : Performances 17

Impression : Imprimerie Rochelaise

Dépôt legal : à parution

ISSN : 11485876

Imprimé sur du papier certifié PEFC n°10-34-1240

edito

Loisirs Fest’Hip Hop

Les nouvelles cultures urbaines et le monde du hip hop

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Dossier Le budget

10 et 11

Le magazine d’aytrécontactsUne ville mieux partag e

n˚171 Avril-Mai 2011

Elissalde à AytrBudget 2011 ville active

Aytre

Developpement durable Agenda 21 pour la famille

La communication municipale dans la démarche de Développement Durable

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4/n˚171 Contacts avril-mai 2011

Zone 30Un espace de mieux en mieux partag

Tem

ps f

orts

zone 30

Commémoration Xynthia

Retour à la Cité Rondeau

ans son numéro de février, Contacts vous informait des nouvelles règles de circulation envisagées, pour les cyclistes,

avec l’instauration future du double sens vélo dans les rues à sens unique de la zone 30, sauf la rue des Salines. La municipalité continue d’avancer dans ce sens. Après consultation de la popu-lation et visite de terrain par les élus

avec conseils et expertise de l’associa-tion Vive le Vélo, on s’achemine vers une prochaine prise de décision. Tout le monde semble s’accorder pour sou-ligner les avantages de ce dispositif : l’évitement des grands axes raccourcit les distances, le risque d’accident frontal est quasi nul et les piétons bénéficient d’une meilleure sécurité. « Nous devons réaliser une étude chiffrée des aména-

D

Après un peu plus de six mois d’existence de la zone 30, un premier bilan peut être dressé : une voirie sécurisée, une circulation apaisée, des piétons respectés... Les progrès sont perceptibles. Aytré montre un nouveau visage, celui du mieux vivre ensemble

M.L

gements nécessaires, indique Jacques Garel, adjoint chargé de la voirie et des déplacements. Panneaux de signalisa-tion, peintures au sol, pictogrammes... Autant de mesures pour la sécurisation de ces voies en particulier aux carre-fours ». Ne manquera plus, alors, que la prise de décision finale par les élus. On avance, on avance...

Les analyses réalisées par l’électronique du radar pédagogique (sens zone de Belle Aire/Centre-Ville) montrent une diminution du nombre de véhicules de 5 504 à 4 870 en moyenne par jour, dont une grande partie de poids-lourds en moins. 73 % des véhicules ne dépassent pas les 40 km/h. Dans ces 73 %, 23 % respectent une vitesse égale ou inférieure à 30

km/h. Quelques irréductibles roulent entre 50 et 70 km/h. Les vitesses les

plus rapides sont relevées la nuit.La sécurisation va se poursuivre : passages piétons à chaque intersection et bande cyclable de chaque côté de l’avenue Grasset.

Souhaités par les parents d’élèves, l’aménagement du giratoire Jules Ferry et la sécurisation de la sortie de l’école sont terminés, rendant plus sûr un carrefour très fréquenté. L’entrée en fonction du double mini giratoire du carrefour Anville/Cotte Mailles/ Hélène Boucher vient sécuriser une intersection devenue dangereuse par l’accroissement de la circulation dans un secteur en fort développement urbain.

Moins d’autos et vitesse en baisse Le point sur les ronds-points

M.L

M.L

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XynthiaUne marche pour ne pas oublier

l’initiative de la mairie d’Aytré et de l’association des sinistrés, environ deux cents personnes se sont réunies rue de la plage

en fin d’après midi du 28 février. Un an plus tôt, Xynthia frappait le littoral, tuant dans la nuit trois habitants de la commune : Paul Coutant, 84 ans et sa fille Françoise, 52 ans, ainsi que Guy Cloix, 77 ans. Des roses ont été déposées devant les maisons des personnes disparues.

Avec cette marche silencieuse, la popu-lation et les élus d’Aytré ont ainsi voulu

A

Le 28 février dernier, une marche silencieuse en mémoire des victimes de Xynthia avait lieu rue de la Plage. Moment intense de recueillement et d’émotion.

Temps forts

témoigner leur solidarité sans faille face à ce drame qui, outre trois vies pré-cieuses, a détruit soixante-dix sept habitations, et dix commerces. Campings dévastés, maisons murées : cette rue si plaisante autre-fois a définitivement chan-gé de visage. Plus rien ici ne sera comme avant.

Marie-Olivia Rocca, prési-dente de l’association des sinistrés a tenu à rappeler les souffrances des victimes de cette nuit de cauchemar. Mais aussi les cri-tiques qu’ils ont du endurer, sans compter les vols et les pillages de leur biens. Pour sa part, Suzanne Tallard, maire d’Aytré, tenait à souligner « le formidable élan de géné-rosité et de solidarité qui s’est mis en place dès le lendemain du passage de Xynthia ». Mais elle a tenu également à dénoncer « la violence de la décision de l’Etat, qui a choisi de détruire plutôt que de proté-ger, sans respect pour les personnes et leur

Le 14 avril à 18h30 salle Jean Vilar,

réunion publique pour présenter le

Plan Communal de Sauvegarde et faire

un point sur les travaux de protection

du littoral. Venez nombreux !

De SAuVegARDePLAN CoMMuNAL

travail de deuil. Le rachat des maisons va coûter 25 millions d’euros, alors qu’il suf-firait de 4,5 millions d’euros pour protéger le littoral. C’est une terrible injustice que nous n’acceptons pas. Désormais, il faut réfléchir au devenir de la rue de la plage et reconstruire l’avenir. »

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Rondeau revit

’était une petite cité qui sentait bon la convivialité, qui respirait le bon vivre à Aytré. La cité Rondeau était un havre

de paix, où les habitants des vingt maisons HLM vivaient paisiblement autour de leur petit jardin. Ce joli tableau a bien failli être rayé de la carte par le funeste passage de Xynthia, le 28 février 2010. Triste bilan : un petit quartier immergé, les maisons inondées, la panique, le brusque abandon, la recherche de logements provisoires et l’angoisse de ne jamais revivre dans son quartier. Aujourd’hui, treize familles qui souhaitaient rester sont de retour dans leur maison. C’est le cas de Clotilde Tarif, qui habitait ici depuis treize ans. « J’avais trouvé une location pas très loin, rue des Courlis. Cela me permettait de revenir chaque jour. L’été, nous organisions toutes les semaines un barbecue dans le jardin avec toute la famille. » Classée en zone jaune (dangereux mais protégeable), la cité a été complètement rénovée par le bailleur Atlantic Aménagement. C’est le 22 décembre que Clotilde a reçu les clés de son pavillon, entièrement réaménagé. Elle est séduite. « Jusqu’au mois de juin, nous avons eu peur que le quartier ne devienne inhabitable.

Depuis, les intérieurs ont été superbe-ment rénovés. Atlantic Aménagement a été à l’écoute de nos souhaits.

Je suis heureuse d’être revenue. La mairie a tout fait pour nous aider. Nous avons été gâtés. » A l’autre bout de la cité Rondeau, Françoise et Michel Sixta, qui avaient trouvé refuge à Aytré, sont rentrés le 15 décembre dans leurs nouveaux murs. Pendant neuf mois, ils se sont rendus quotidiennement dans leur pavillon. « Tout ce que nous avons demandé a été réalisé. De plus, les

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Temps forts

La cit

Ceux des habitants qui souhaitaient revenir rue Rondeau ont désormais retrouvé leurs murs. Ils sont entrés dans des maisons rénovées et réaménagées. Rencontre.

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jardins et les terrasses seront refaits. Le tout sans augmentation de loyer, » constate Françoise Sixta. La vie peut donc reprendre son cours tranquille. « On se fréquentait finalement assez peu. Tout cela nous a rapprochés. Nous avons eu de la chance dans notre malheur. » Au printemps, un grand pique-nique de quartier sera organisé pour tenter d’oublier des mois de contrariétés et de difficultés. « C’est un bonheur de voir la cité Rondeau revivre avec des personnes ravies de revenir dans leurs maisons, » concluait Suzanne Tallard.

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Un voyagede toute beaut

epuis 2004, la commission projet-vacances du Centre Social accompagne des habitants d’Aytré dans la réalisation de leurs

projets de villégiatures. Mais pas question pour le centre social de livrer des vacances clés en mains à ses adhérents. « Les gens doivent être acteurs de leur projet. Ils participent à son élaboration de bout en bout, notamment pour le financer, » dit Jérôme Blanchard, responsable de l’action « Loisirs Familiaux ». Le choix de la destination, le programme des vacances, l’hébergement et le budget

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Du 3 au 13 juillet, seize adhérents du centre social partiront en voyage en Corse. Tout au long de l’année, ils sont acteurs de ce projet, notamment en participant à son financement

sont donc définis en concertation avec des professionnels du centre social. Cet été, du 3 au 13 juillet, un groupe d’Aytrésiens de 16 personnes, accompagné d’une équipe d’animateurs, mettra le cap sur la Corse pour un séjour dans une des plus belles régions de France. Le budget, établi collectivement, a été fixé à 11 200 euros. « Le tarif du séjour est adapté aux ressources et à la composition de chaque famille. Cela correspond à 32 % du budget total, » précise Jérôme Blanchard. Il a donc fallu mettre en place des activités susceptibles de financer ce voyage. Ainsi,

L.B

Le Centre Social s’attache également à faciliter l’accès aux loisirs et à la culture. La commission « Loisirs familiaux » organise de nombreuses sorties chaque année. Au programme : le 2 avril, une journée au Futuroscope, du 6 au 8 mai, un séjour en Dordogne, le 13 mai, un spectacle à la Coursive, le 22 mai, une balade dans le Marais Poitevin et du

2 au 5 juin, une visite de Paris. Sylvie Baccam participe le plus possible à ces sorties. Avec ses deux enfants et son mari, elle partira en juin à Paris. « Je ne pourrais pas faire ces activités sans le centre social. Cela permet de lier connaissance avec d’autres personnes. Je suis satisfaite de la variété des sorties qui sont proposées. »

Culture et loisirs au programme

pendant deux mois, autour de la période de Noël, et à tour de rôle, les futurs vacanciers, aidés de bénévoles, ont réalisé des paquets cadeaux dans un magasin de jouets de La Rochelle. 2 300 euros ont été récoltés. La prochaine étape de la collecte aura lieu le 1er mai, salle Jules-Ferry où le groupe de futurs touristes organisera un loto. Autre action choc : la vente de moule frite le 2 juillet après la diffusion d’un film en plein air à la pointe Clémenceau, dans le cadre de l’opération « Passeur d’images ». Ces actions représentent environ 30 % du budget total des vacances.

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ves Loisirs familiaux

au Centre Social

Aytré ville active

Action Justice /

Collège Atlantique

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ville active ! aytr

e label « ville active » ? c’est une reconnaissance par le ministère de la Santé du travail mené par une municipalité pour promouvoir le

Programme National Nutrition Santé. Or à Aytré, la municipalité est engagée de longue date dans cette politique qui vise à promouvoir une meilleure alimentation couplée à une pratique d’activités physiques et sportives. Ce label « ville active » est attribué après examen du dossier par l’Agence Régionale de Santé. Il se concrétise par la signature d’une charte comprenant neuf engagements. Une belle manière de valoriser une politique résolue et constante en matière de santé publique.

Œuvrer pour une bonne santé, cela passe notamment par ce qu’il y a dans l’assiette. Surtout pour les plus jeunes. « La préoccupation de la qualité dans les restaurants scolaires d’Aytré existe depuis très longtemps. Nous avons voulu aller encore plus loin en introduisant de manière significative la filière « bio » explique Martine Villenave, adjointe à la vie scolaire et à l’enfance. Après le poulet, le riz et les bananes du commerce équitable, les restaurants scolaires servent désormais de plus en plus de fruits et de légumes issus de l’agriculture biologique. Avec priorité donnée aux fournisseurs locaux et aux circuits courts d’approvisionnement quand cela est possible. Ceci pour rester cohérent

Len postulant pour le label « ville active », Aytré entend bien afficher sa volonté de placer les orientations du PNNS (Programme National Nutrition Santé) au cœur de ses actions. Notamment dans la restauration scolaire.

avec les enjeux du développement durable. L’idée étant aussi de proposer une alimentation variée, avec des protéines qui ne soient pas obligatoirement animales, et faire découvrir aux enfants des goûts nouveaux… avec des légumes anciens. Un ensemble d’actions pilotées par la diététicienne Françoise Cotten-Rhein. « Au vu de tout ce qui était déjà engagé par la municipalité, c’est elle qui nous a suggéré de postuler pour intégrer le réseau des villes actives » souligne Martine Villenave.

Si le gros des efforts en matière de nutrition santé passe par les restaurants scolaires, d’autres actions sont tout aussi importantes. A travers le sport par exemple. Non seulement par le développement de la pratique d’activités physiques, mais aussi par la prise en compte des recommandations nutritionnelles durant des fêtes ou des rencontres sportives. Avec par exemple la distribution de repas ou de goûter adaptés. Ou encore le projet de « carapatte » pour inciter les parents à accompagner leurs enfants à pied à l’école. A noter également tout le travail mené avec l’épicerie sociale pour favoriser la consommation de légumes au détriment des féculents ou d’aliments trop gras ou sucrés. « Avec ce label « ville active », il s’agit bien de chercher le mieux vivre pour tous » conclut Martine Villenave.

Ph. A

Init

iati

ves Loisirs familiaux

au Centre Social

Aytré ville active

Action Justice /

Collège Atlantique

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Questions de justice

l’origine, l’exposition a été créée par la Protection Judiciaire de la Jeunesse. L’action était menée par des professionnels de justice,

raconte Marie-Line Cousin, éducatrice au Centre-Social d’Aytré. Les animateurs sociaux de proximité en ont maintenant la charge. Nous développons des méthodes différentes de transmissions et l’intervention se fait dans un climat de confiance déjà instauré ». A Aytré, cette action (exposition, rencontres) a été menée, du 7 au 11 mars, conjointement avec le Collège de l’Atlantique d’Aytré et celui de Chatelaillon, auprès des élèves des classes de 4e.

une image encore floue de la justiceA la question simple, « L’instruction est-elle un droit ? », les réponses varient : « Non,

A

Initiatives

La Communauté d’Agglomération organise, depuis six ans, l’opération « 13/18 Questions de justice », en partenariat avec le Centre Social et l’ensemble des collèges de l’agglomération. une exposition permet d’informer les jeunes sur leurs droits et leurs devoirs au sein de la société. explications

c’est une obligation », affirme Jordan. « C’est un devoir pour les parents », dit un autre. « C’est pour pouvoir se défendre si on a affaire avec la justice », insiste Paul. « Mais à quoi sert donc la loi » ? Finalement, on s’accorde : « La loi est là pour régler les problèmes, nous protéger. Sinon ce serait la loi du plus fort ». Nul n’étant censé l’ignorer, mieux vaut repartir du début. « La loi, pour qui ? Pour tout le monde et partout, explique Marie-Line. Nous avons tous droit à un nom, une filiation, une nationalité, à une justice adaptée, à être entendu, protégé, défendu, à l’instruction... Notre devoir est de respecter la loi ». Autant de rappels pas inutiles pour ces jeunes que l’on informe aussi sur leurs responsabilités personnelles aux différents âges de leur vie. Sont également abordées les diverses formes

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M.L

« d’infractions, les contraventions, les délits, les crimes, ou encore, les droits de l’enfant.

Questions sensibles« La confiance que nous accordent les collégiens, poursuit Marie-Line, nous permet d’aborder des sujets sensibles comme les risques pour leur santé physique et mentale, notamment les addictions liées à la prise de tout type de drogue, tels le tabac, l’alcool, les médicaments, les produits illicites ». En six ans, le Centre Social et le Collège de l’Atlantique auront sensibilisé 480 collégiens à leurs droits mais aussi à leurs devoirs afin qu’ils acquièrent les bases de la citoyenneté. « Nous souhaitons, aujourd’hui, que leurs parents s’investissent à nos côtés pour qu’ils puissent prendre le relais après notre intervention ». Le message est passé.

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Dos

sier Budget

Budget

epuis sept ans, et cette année encore, le taux des impôts communaux reste stable » se félicite Suzanne Tallard, maire

d’Aytré. « Cela nous est possible grâce à un endettement de la commune qui demeure raisonnable et que nous entendons conserver. D’autre part, les prévisions communiquées par les services fiscaux annoncent pour 2011 des recettes de taxes d’habitation et de taxes foncières qui devraient être en hausse ». Une situation qui permet donc à la commune d’envisager sereinement un important programme d’investissement, tout en conservant un niveau de dépenses de fonctionnement maîtrisé.

Ainsi, ce budget n’augmente pas de plus de 2 % cette année. « Ce qui repré-sente un gros effort budgétaire car les dépenses de personnel, qui représentent à elles seules 52 % du fonctionnement de la commune, augmenteront mécani-quement de 3 % en 2011. Une tendance naturelle qui tient à l’évolution de carrière des différents employés municipaux » tient à souligner Suzanne Tallard. Autre point important à souligner : les subventions

aux associations locales ne diminuent pas. « Il est très important à mes yeux que nous puissions continuer à accompagner les dif-férentes actions de ces associations. Elles font partie de l’animation de la commune et contribuent largement au maintien du lien social. A ce double titre, leur rôle est irremplaçable » estime Suzanne Tallard.

Pour 2011, le budget d’investissement (hors remboursement du capital) connaît quant à lui une augmentation conséquente : + 50 % par rapport à 2010. Soit donc un niveau très élevé rendu nécessaire par la somme des travaux à réaliser sur la commune dans le courant de cette année. En 2010, les effets de la tempête Xynthia avaient conduit à des dépenses exceptionnelles, d’où l’ajournement de certains travaux normalement programmés. Ainsi la piste cyclable entre le pont de la pierre et la halte TER, par le chemin des sables, prévue en 2010, sera réalisée cette année. De même pour l’agrandissement du Dojo qui abrite le club local de Judo. Bien entendu, l’effet Xynthia, c’est aussi des coûts à venir en terme de protection du littoral, avec l’enrochement en cours au niveau de la plage de la Colonelle.

Des comptes solides et maîtris s Dans un contexte social global plus que morose, le budget d’Aytré reste maîtrisé. et pour la septième année consécutive, le taux d’imposition affiche une belle stabilité. Ceci tout en maintenant un effort d’investissement conséquent. explications.

Ph. A

Un gros effort d’investissement est également maintenu sur la mise aux normes d’équipements existants pour les rendre accessibles aux personnes handicapées. Un axe qui doit être maintenu jusqu’en 2015, date à laquelle tous les bâtiments et équipements publics devront être mis aux normes. Même effort continu en terme de voirie pour tout ce qui concerne la fluidification de la circulation et la sécurité des piétons et des cyclistes dans le cadre d’Aytré Zone 30. Notamment avec la poursuite des aménagements des passages piétons et des carefours giratoires. Au chapitre des grands travaux, l’enfouissement des réseaux de l’avenue Roger Salengro se poursuit cette année, sans oublier la mise en place sur cette artère d’un tout nouvel éclairage public. La toile d’araignées de fils divers et variés ne sera bientôt plus qu’un souvenir. L’an prochain, la troisième phase des travaux sur cette avenue concernera tous les aménagements de surface, à savoir voirie et trottoirs. Enfin, dernier grand chantier à venir : la finalisation des travaux d’aménagements du cimetière avec le déplacement du colombarium.

Digue renforcée

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charges de gestioncharges de personnelsubventionsparticipationsintérêts de la detteautofinancement

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Protection du littoral : 285 000 € Enfouissement des réseaux et éclairage public : 237 325 € Première phase de l’aménagement des espaces publics de Pierre Loti : 100 000 €

Dépenses de fonctionnement Recette de fonctionnement

Le budget d’une commune comme Aytré se construit en tenant compte d’un certains nombre de paramètres et d’un contexte général. Sur ce point, le constat est sans appel : les dotations de l’état sont gelées alors que les besoins sociaux augmentent. Une situation que subissent de plein fouet les plus démunis, qui une fois leur loyer payé n’ont plus qu’un minimum très réduit pour faire face à leurs dépenses courantes. D’où les aides d’urgence attribuées au cas par cas pour aider à payer les factures d’eau, de gaz, d’électricité…

Le principe général de l’élaboration du budget communal étant par ailleurs que ce budget ne peut être en déséquilibre. « Une municipalité n’a pas le droit de dépenser ce qu’elle n’a pas. Si nous voulons investir, cela passe par des emprunts ou des augmentations d’impôts. Nous avons clairement choisi de maintenir le taux d’imposition à un niveau constant depuis plusieurs années » souligne Suzanne Tallard, maire d’Aytré. Et de préciser enfin que « si la dette publique est aujourd’hui très importante, environ 86 % du PIB national, la dette de toutes les collectivités locales ne représente que 8,2 %. Soit un dixième de cette dette globale. De quoi relativiser la polémique entretenue par le gouvernement sur le poids de la « dette » générée par les collectivités locale ».

Repères

en chiffresDes Grands Travaux

Accès handicapés

Avenue Roger Salengro Dojo

Dossier

Agrandissement du Dojo : 200 000 € Finalisation des travaux d’agrandissement du cimetière et déplacement du colombarium : 100 000 €

Voirie : 372 000 €

12/n˚171 Contacts avril-mai 2011

Qi GongL’art du laisser-faire

Ass

ocia

tion

s Qi gong

Des bénévoles médaillés

e qui est flexible est inébranlable », disait Lao-Tseu, philosophe chinois qui ajoutait : « Le calme est

maître du mouvement ». Des mots qui s’appliquent parfaitement à l’art du Qi Gong où le corps se meut, tout en souplesse, tel le roseau de la fable qui « plie mais ne rompt pas »

« C’est un cheminement vers la décou-verte de soi, de son équilibre intérieur, en harmonie avec l’environnement, dit Pascale Colin, professeur et présidente

de L’envol de la corneille. Cette gym-nastique traditionnelle chinoise est, à la fois une activité physique et une démarche spirituelle qui tente d’har-moniser la gestuelle, la respiration et la pensée ».

Anne-Marie, Marie-Annick, Marie-Christine, Gilbert ou Dominique partagent le même sentiment : « Souplesse, sérénité, oublier les soucis de la journée. C’est un moment pour soi. Nous avons un meilleur ressenti de notre corps ». Gestes amples et

C« circulaires, rythme continu et lent, tout conduit à un assouplissement en délicatesse. Gilbert, 71 ans, confie : « Je ne suis plus tout jeune. J’ai retrouvé une souplesse que je n’avais plus ». Pour qui le pratique régulièrement, le Qi Gong, « travail de l’énergie », devient, plus qu’une activité physique, un art de vivre.

Renseignements : L’envol de la corneille 06 98 68 75 71Cours : Lundi, 18h30-20h, salle ReggianiJeudi, 19h-20h30, salle Mouloudji

La vie d’une commune ne serait pas la même sans l’implication des bénévoles engagés dans les différentes associations. La Ville d’Aytré a donc tenu à honorer, le 19 janvier dernier, au cours de la présentation des vœux aux associations, un certain nombre de ces personnes particulièrement méritantes en leur attribuant le Prix du bénévolat 2010, hommage à leur esprit d’initiative, de participation et de disponibilité. Voici la liste des bénévoles médaillés :

Patricia Cluck, 60 ans, Secrétaire depuis 5 ans de la FOPAC Aytré (Anciens Combattants).Michel Paul, 77 ans, 25 ans de bénévolat dont 12 comme Trésorier de l’Amicale Philatélique Aytésienne.Lilianne Robert, 60 ans, Présidente et responsable depuis 6 ans de l’activité Swin golf à l’Association Retraite Sportive.Yannick Bouchet, 58 ans, 20 ans de

Des m dailles pour nos b névolesbénévolat, Vérificateur aux comptes au Judo Club Aytré. Président de 2005 à 2010.Josianne René, 54 ans, 21 ans de bénévolat à l’Association Grand Large. Création et animation des ateliers de danse.Frédéric Vuillemin, 44 ans, 8 ans à l’Entente Sportive Aunisienne (Football). Joueur, éducateur, dirigeant et membre du Comité directeur.

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c’est (aussi) l’affaire de tous

agenda 21,

Agenda 21

La communication municipale dans la

démarche de Développement Durable

i l’Agenda 21 est un programme global de recommandations pour le développement durable, la gestion économe des ressources naturelles

se décline aussi au niveau individuel. « Chaque famille peut avoir son propre Agenda 21, afin de moins polluer et gaspiller. La famille est le lieu idéal pour l’éducation et le respect, » dit Patrick Angibaud, conseiller municipal d’Aytré, délégué au développement durable. Il part du principe que nous sommes tous des acteurs de l’éco-citoyenneté. Nous pouvons mettre en pratique des idées simples pour la préservation de l’environnement et du cadre de vie. L’eau que nous consommons, les emballages que nous trions, nos économies d’énergie, les déchets que nous recyclons : chaque jour, il est possible de réaliser de petits gestes très importants.

Pour ce qui est de l’eau, il est conseillé de choisir la douche plutôt qu’un bain, lutter contre les fuites, installer des appareils économes, récupérer l’eau de

pluie ou arroser plutôt le soir. C’est aussi utiliser des produits nettoyants respectant l’environnement. Pour l’énergie, mieux vaut utiliser un éclairage artificiel économe, isoler son logement, modérer la température, penser à éteindre la lumière en quittant une pièce, éviter de laisser les appareils en veille. Au niveau des déchets, c’est respecter le tri, rapporter les médicaments, les lunettes ou les piles usagées dans les lieux de récupération. C’est aussi traiter les déchets verts pour en faire du compost. « si des familles se sont engagées dans une ou plusieurs de ces actions et qu’elles souhaitent faire partager leur expérience, elles peuvent prendre contact avec la mairie d’Aytré (0546301938), afin que leur témoignage paraisse dans Contacts. » dit Patrick Angibaud.

Pratique : site internet : www.agglo-larochelle.fr/écogestes/ ou www.ecocitoyens.ademe.fr Adresse : Comptoir du développement durable, point Info environnement, rue des gentilshommes à La Rochelle.

S

L’Agenda 21 familial incite chacun d’entre nous à évaluer son impact sur l’environnement et à s’engager sur des gestes pour protéger la planète.

En matière de communication, la municipalité s’est engagée dans une démarche de développement durable. Depuis juillet 2010, le journal « Contacts » est ainsi imprimé par l’Imprimerie Rochelaise sur du papier certifié PEFC, un programme de reconnaissance des certifications forestières. Il s’agit d’un papier sans solvant, mais aussi d’un écolabel garantissant une gestion durable des forêts. Les affiches et les programmes sont imprimés selon cette même démarche écologique. De plus, pour limiter la distribution de documents dans les boîtes aux lettres, il est possible de se tenir informé en temps réel de l’actualité culturelle, sportive et de la vie municipale. Il suffit pour cela de s’inscrire sur le site internet de la ville d’Aytré afin de recevoir une newsletter.

Pratique : www.aytre.fr, rubrique accès direct, puis newsletter.

communication

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Fest’hip hopLe retour du hip hop

Fest’Hip Hop

Cultures urbaines

Accompagnement culturel

et rénovation urbaine

anse, dj, graff,... c’est le Street Art. La culture urbaine gagne sa place dans l’espace public. « Nous voulons sensibiliser la population

à diverses pratiques artistiques grâce à la richesse de la culture Hip Hop, donner à voir pour qu’il y ait un déclic, dit Maud Delahaye, responsable du service culturel. Le Fest’hip hop est un événement festif et culturel qui mêle les générations. Nous l’organisons en partenariat avec le Centre Social, la SLEP et le comité de quartier

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Après le succès de l’édition 2010, le Fest’hip hop revient les 14 et 15 mai. Quand les cultures urbaines ont droit de cité…

le programme ! Demandez

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Grand Large. A noter, l’atelier graff avec Rosko et les jeunes de la SLEP, du 26 au 29 avril, en préalable au Fest’hip hop ». Du côté de la Compagnie Pyramid, Stéphane Capes se réjouit : « On est très satisfait de la collaboration et de l’engouement public de l’an passé. On revient cette année ». Mouvement artistique né à New York, au début des années 70, le hip hop est sorti du ghetto. Scratch, scratch. A vos platines !

Ne tardez pas ! Vous avez jusqu’au 16 avril pour venir voir, à la médiathèque, l’exposition «Rencontre» présentant des travaux réalisés par les participants de l’atelier photographie de la SLEP (animé par O. Schindler tous les jeudis de 20h à 22h) et des peintures de Fabienne Renaud. Le thème de l’atelier photos de cette année était la prise de vue en conditions studio (avec modèle). Un joli regard croisé.

Photos «Rencontre» Peintures

SAMeDI 14 MAI

A 20h30, salle Jean Vilar, soirée en accès libre autour d’un « pot convivial » avec mix live par DJ One up.

Exposition de photos de graffs réalisés sur Aytré et La Rochelle.

Diffusion de courts métrages sélectionnés dans le cadre du Festival International du Film Hip Hop, Urban Film Festival, à Paris.

DIMANCHe 15 MAI

A 14h, boulevard Clémenceau, en plein air et en accès libre :

Battle de danse du Grand Ouest, qualificatif pour le Battle International de Rochefort, le 4 juin.

Interlude : double dutch, free style de danse ...

Atelier Graff, par Rosko : performance "en live", concrétisation des ateliers avec les jeunes de la SLEP.

Et toujours... la participation de DJ One up !

N ous allons continuer le travail mis en place en 2010, explique Maud Delahaye, responsable du service culturel. L’important

est de récolter la mémoire du quartier et d’en garder une trace. C’est pourquoi nous privilégions un travail autour de l’image par la photo et la vidéo. L’observatoire photographique du paysage urbain sera donc reconduit. « Cette année, les prises de vues régulières n’auront plus lieu tous les mois, mais tous les deux mois, précise Barthélémy Sclumberger, du cabinet Landescape. Vingt points de vues ont été sélectionnés. Nous utilisons des cadrages

précis, toujours les mêmes. Le but est de retranscrire les différentes étapes de cette mutation urbaine de la façon la plus objective possible ». Ce travail sera présenté le 24 mai à 18h30 à la Vitrine des curiosités, place des Grands Prés.

La vidéo est aussi un autre moyen pour préserver la mémoire. Depuis avril 2009, le service Culturel propose un travail autour de l’éducation à l’image, en partenariat avec Passeurs d’Images. Déjà, un film d’animation « Le grand voyage » a été réalisé, lors d’ateliers menés par les cinéastes Amélie Compain et Jean Ruback,

De son côté, le CCAS, en partenariat avec le Centre Social, va accompagner la population par le biais d’Ateliers Citoyens. « Le but est de rassembler un groupe de personnes porteuses

Pour accompagner la mutation du quartier Pierre Loti, la Ville poursuit, en 2011, son action de recueil de la mémoire visuelle et orale du secteur. Comme une passerelle tendue vers le futur.

Depuis le toit des Galapagos, prise de vues de Nicolàs Habas sur un quartier en changement.

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avec les enfants de Pierre Loti, membres du « Club » de la SLEP.

D’autre part, le réalisateur Nicolas Habas va pousuivre, en avril, ses ateliers cinéma avec ces mêmes enfants. Après la découverte du métier de réalisateur, des différents métiers du cinéma, de l’apprentissage de l’utilisation d’une caméra, de l’écriture de scénario, du montage, ces ateliers aboutiront à la réalisation d’un film qui sera projeté lors du prochain Festival du Film de La Rochelle et dans le cadre des projections de Passeurs d’Images durant l’été.

Des ateliers citoyensde questions révélatrices de leurs préoccupations, de leurs peurs, de leurs réticences », indique Sandrine Mallet du CCAS. Après un travail avec Arc en Ciel Théatre, ces questions sont

présentées sous formes de saynètes devant un public. Les conclusions du débat sont transmises aux décideurs. La démocratie prend, parfois, des chemins différents. L’essentiel étant d’y parvenir.

mémoireculture

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16/n˚171 Contacts avril-mai 20111616

La commune a investi pour rénover le complexe sportif des galères, le dojo et le stade de rugby.

« Il fallait honorer l’accession de l’ES Aytré (football) en Honneur et mettre les installa-tions en conformité. » Michel Bobrie, adjoint à l’animation sportive, fait le point sur les investissements de la commune concernant les enceintes sportives. Pour être à la hau-teur de l’élite régionale, le complexe des Galères a été toiletté. Les six vestiaires de 12 m2 sont devenus deux vestiaires de 25 m2 et deux de 12 m2. La laverie a été trans-formée pour y intégrer un local infirmerie.

ean-Baptiste Elissalde à Aytré. L’info a fait l’effet d’une mini bombe dans le monde du rugby local. Coup de bluff ou coup de

pub ? Rien de tout cela. En fait, un vrai bon coup. Ami d’enfance de Nicolas Azzopardi, entraîneur de l’équipe B de l’Avenir rugbystique aytrésien, l’ancien international a bien signé sa licence de joueur début mars. Tout est parti d’un passage à Aytré, fin 2010, au cours

De plus, les vestiaires pour les arbitres ont été mis aux normes pour faire une place à un vestiaire féminin. A l’extérieur, un nouveau tunnel a été installé, tout comme deux abris de touche. La main-courante a

duquel Jean-Baptiste a participé à un entraînement. « Il a constaté que nous avions de gros besoins. Le lendemain, il avait informé un de ses sponsors, qui a vite pris contact avec nous. Nous avons reçu 20 ballons, » explique Tony Roqueflot, président et entraîneur de l’Avenir rugbystique aytrésien. L’info est même remontée jusqu’aux médias nationaux. « L’Equipe TV veut réaliser un reportage quand Jean-Baptiste sera

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Ami d’enfance de Nicolas Azzopardi, l’entraîneur de l’équipe B de l’Avenir rugbystique aytrésien, l’ancien international, désormais entraîneur-adjoint à Toulouse, peut jouer pour l’ARA.a sign à Aytr

à Aytré, » ajoute Tony Roqueflot. Vu son emploi du temps, il y a toutefois peu de chance que l’ancien joueur du Stade Rochelais revête le maillot de l’ARA en compétition. Mais son engagement peut faire bouger les choses. « Nous sommes proches du Club des Entreprises d’Aytré. Nous allons travailler avec lui pour promouvoir cette arrivée. Jean-Baptiste a envie de rendre au rugby tout ce qu’il lui a donné, » conclut Tony Roqueflot.

Jean Baptiste elissalde

à Aytré

Travaux

Actualités du CLeAR

Bowling

Basketball

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Les installations sportives r nov es

Jean-BaptisteElissalde

aussi été remplacée. L’intégra-lité des travaux, soit 90 000 €, a été financée par la municipa-lité. Au gymnase des Galères, des travaux d’amélioration et de protection seront entre-pris pour 45 000 €. Les autres installations n’ont pas été ou-bliées puisque le dojo de la

Petite-Couture va être agrandi cette année avec un budget prévisionnel de 200 000 €. Au stade de rugby, l’armoire électrique sera mise en conformité et la chaufferie du club-house sera changée.

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questrecentre

e Centre de loisirs équestre de l’agglomération rochelaise (CLEAR) vous accueille pendant les vacances de Pâques. Les stages sont accessibles dès 6 ans et concernent tout autant les cavaliers

débutants que confirmés. Il est possible de venir à la journée (36 €), de 9 h à 17 h ou à la demi-journée (18 €). Les jeunes apprendront à s’occuper des chevaux. Il s’agira donc d’initiation, de découverte et de recherche d’autonomie. Les plus aguerris s’exerceront au saut d’obstacle, au dressage et prépareront éventuellement des compétitions. Par ailleurs, la construction du futur manège du CLEAR est en bonne voie.

Contacts : CLeAR : 05 46 45 35 53

e service animation sportive aime faire rimer sport et découverte. En ouvrant le champ d’activités, Yannick Gautreau et son équipe ont ainsi séduit 99 enfants cette année. Sous

forme d’initiation, ils pratiquent une dizaine d’activités sportives différentes par cycle de trois séances. 41 enfants sont inscrits pour « spor’éveil », qui concerne les 6-7 ans, et 58 enfants à « découverte multisports » pour les 8-11 ans. Les samedis 9 et 16 avril, ces derniers vont pratiquer le bowling, une activité récréative et ludique, où l’adresse et la gestuelle sont bien spécifiques. Deux créneaux horaires sont prévus, de 10 heures à 11h45, puis de 14 heures à 15h45. Le rendez-vous est fixé aux Minimes, devant le bowling. En avril, ceux qui n’ont pas choisi le bowling pratiqueront le tennis de table au gymnase de la Petite-Couture.

L’Association Basket Ball d’Aytré vit une saison remarquable à tous points de vue. En effet, sauf improbable coup de tonnerre, l’équipe coachée par Frédéric Rousseau devrait terminer à l’une des deux premières places du championnat Promotion Excellence, et ainsi accéder en Excellence, le plus haut niveau régional. Au mois de mars, les Aytrésiens ont battu Port d’Envaux (83-56), repoussant leur plus proche concurrent à trois points au classement. Une accession en fin de saison serait la troisième successive pour l’ABBA. Les effectifs grimpent eux aussi. En 2006, ils étaient 70, ils sont 125 aujourd’hui. Il ya deux ans, le club avait même enregistré la plus forte hausse du nombre de licenciés en Poitou-Charentes.

Programme : 9 avril : Aytré-Marsilly ; 14 mai : Aytré-Leroy Somer

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du bowling Le basket D couverte

en pleine forme

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Stages au

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des conseillers municipaux d’oppositionExpression

Nos préoccupations quotidiennes : un constat amer à mi-mandat

L’eau : Le contrat avec la SAUR a été renouvelé. Nous avions demandé une comparaison entre le public et le privé. La voix des deux élus délégués n’a pas été entendue, résultat toujours la SAUR avec des taxes supplémentaires qui n’existaient pas avant la nouvelle négociation. Merci

Logement : Oui, il faut plus de logements sociaux. Mais dans le respect de "l’humain". Construire sur des bouts de terrains enclavés, près d’une usine ou du cimetière, c’est reléguer ces logements là où personne ne voudrait s’installer…

Circulation : Avec une poussette, où passer rue de la Gare ? Il n’y a pas de trottoir assez large partout. La mise à 30 de la quasi-totalité de la commune a coûté cher en communication. Pour quels résultats ? Peu

« Aytré, l’heure des choix »

Le 17 février a eu lieu le débat d’orientation budgétaire que la loi impose aux communes d’inscrire à l’ordre du jour du Conseil Municipal, deux mois avant le vote du budget. Heureusement qu’il y a la loi sinon il est probable qu’à Aytré il n’y aurait jamais de débat sur le sujet. C’est l’occasion pour les élus du Conseil Municipal qui ont un point de vue sur ce qu’il convient de faire à Aytré et avec quels moyens, d’exprimer leur différence.

Force est de constater que les représentants de la droite locale soit n’ont pas de point de vue, soit considère que tout va bien à Aytré puisque pour la 4ème année consécutive, nous n’avons pas entendu le son de leur voix.

Conseillers Municipaux d’Aytré soutenant la Majorité Départementale et Nationale

le respecte ! Et le plan de circulation…..

Stationnement : Alsthom. Une entreprise performante qui donne à notre commune un rayonnement international. Ce sont aussi des emplois, directs ou indirects dans la commune, l’agglomération et au-delà. Son développement pose cependant un problème pour le stationnement, et tous les riverains se plaignent. Des solutions existent, comme la création d’un parking relais en sortie de rocade. La direction de l’usine, consciente du problème, est prête à s’investir dans la mise en place de solution. Que manque-t-il ? Une volonté politique !

Déchetterie : Agrandir notre ville, passer à 10 000 habitants, oui ! Mais dans le même temps, la déchetterie a fermé, ce qui oblige à parcourir 3 à 5Kms. Est-ce raisonnable

quand on nous parle d’écologie, de réduction de la production de CO2 ? Sans oublier le surcoût pour tous. Et au-delà de 10/12 passages dans la déchetterie nouvelle génération, dans une autre ville, nous devrons payer pour déposer nos encombrants. Alors que lors de l’achat nous payons déjà une taxe dans ce but ! Retrouverons-nous les encombrants dans la nature…..

Oui, à mi-mandat, nous devons nous poser des questions : qui dirige, qui décide ? La C.D.A. ou nos élus ? La concertation avec les habitants promise dans la campagne électorale existe-t-elle ?

Pour les élus Aytré 2008 (A.D.A.P)

Pour notre part, bien que le contexte soit difficile, en premier lieu à cause d’une politique de l’Etat de réduction des dépenses publiques, donc des subventions accordées aux communes afin d’exercer leurs missions, nous avons dit qu’Aytré mérite mieux. Le Maire et son équipe ne mobilisent pas tous les moyens pour rendre Aytré accessible, désirable et partagée.

– Accessible en améliorant les déplacements piétons et vélos par des aménagements sécurisés ou en requalifiant tout l’espace public du centre ville pour le rendre plus attractif.

- Désirable par un embellissement des entrées de ville et un soin particulier apporté à l’esthétique et à la propreté.

Gérard BLANCHIER

Marie Christine MILLAUD, AYTRE TERRE D’AVENIR

06.35.93.71.34 – contact : [email protected]

NB : Pour nous rencontrer

• Présence sur le marché tous les vendredis de Patrick BOUYER

•Permanence tous les 1er et 3ème lundi de 17h30 à 19h au local rue du colonel FABIEN

– Partagée en menant une politique plus dynamique de création de logements et par la mise en œuvre d’un vrai projet culturel. Tout cela nous l’avons dit lors de cette séance mais qui le sait ?

Tout cela est possible sans augmenter les impôts des Aytrésiens. Il faut vouloir se projeter dans l’avenir tout simplement.

Une volonté ou une capacité dont l’équipe municipale semble privée à la moitié du mandat que vous leur avez confié.

18/

MairieAvenue Edmond Grasset

Standard : 05 46 30 19 19

Fax : 05 46 3019 00

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h

[email protected]

www.aytre.fr

Conciliateur de justice1 rue des Cités

2ème et 4ème mercredis de chaque mois de 9h à 12h

05 46 44 04 18

Assistantes socialesMaison de quartier "Les embruns" 24, rue Jean Bart

Lundi de 14h à 16h (sans rendez vous)

05 46 45 28 09Jeudi de 9h15 à 11h30 (sur rendez-vous au 05 46 28 03 86)

Sécurité SocialeSur rendez-vous le lundi de 14h à 17h dans les locaux du CCAS - 3646

Point emploi FormationMaison de quartier "Les embruns"

pratiqueaytrAstreinte

06 22 35 10 74En dehors des heures d’ouverture, en cas d’urgence la nuit et le week end

CCAS4, rue de la Résistance

Standard : 05 46 55 41 41Fax : 05 46 55 41 40

Police municipalePermanences au poste tous les matins de 9h à 10h

Ligne directe : 05 46 30 19 17

Police nationaleCommissariat central Place Verdun

17 000 La Rochelle

Tél. 05 46 51 36 36

24, rue Jean Bart

Lundi, mardi, jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 16h30

Mercredi et vendredi de 9h à 12h30

05 46 44 05 23

Point-Info SéniorsRésidence des Cèdres - rue Barbedette

Mercredi de 13h30 à 17h

05 46 31 15 47

Centre d’information des Droits des FemmesMaison de quartier "Les embruns" 24, rue Jean Bart

Les 1er et 3ème jeudis de chaque mois de 9h à 12h30

05 46 45 27 56

Service Déchets de la CDA de La Rochelle

0 800 535 844

Permanences diverses

UrgenceSAMu 15

urgences médicales 05 46 27 55 20

Police 17

Pompiers 18

Hôpital Saint Louis 05 46 45 50 50

Hôpital Psychiatrique 05 46 45 60 60

Planning Familial 05 46 27 11 59

etablissement Français du sang 05 46 28 92 92

enfants disparus 116 000

SoS Amitié 05 46 45 23 23

Centre Anti-poisons (Bordeaux) 05 56 96 40 80

Dépannage eDF 0 810 333 017

Dépannage gDF 0 810 433 017

Centre Régional d’Information et de Coordination Routière (CRICR) 0 826 022 022

SNSM (sauvetage en mer) 05 46 45 41 87

Agence Locale de Prévention et de Médiation Sociale (ALPMS)

Le jour 06 70 80 88 91

La nuit 05 46 41 32 32

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• Jardinage

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n˚171 Contacts avril-mai 2011 20/20