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Numéro 58 CONTACT’S JANVIER 2011 T. Dresler Association des Ingénieurs de l’ENSBANA AGROSUP DIJON , Tour Demeter, 26 bd Petitjean 21000 DIJON Tél. 03 80 77 40 96 Fax 03 80 77 25 00 [email protected] http://www.aie.asso.fr Chers ingénieurs, Cette nouvelle année qui débute est l’occasion pour l’AIE de vous présenter tous ses vœux pour 2011. Nous souhaitons sincè- rement que les mois qui viennent soient riches de projets, d’a- ventures, de petites joies et de grands bonheurs pour chacun de vous. Ce début d’année a également été un tournant important pour notre Association puisque nous avons entamé les discussions et les modifications devant conduire à l’élargissement de l’AIE à l’ensemble des diplômés d’AgroSup Dijon. Il s’agit de la concrétisation de projets que nous travaillons depuis longtemps, trop long- temps peut-être. Nous nous sommes fortement impliqués dans cette évolution de notre associa- tion, en portant une vision d’avenir : une association unique regroupant tous les diplômés d’AgroSup, de formation initiale ou de formation continue, de spéciali- té Alimentaire ou Agronomique, Ingénieurs ou Masters et Mastères Spécialisés. Chacun aura sa place dans cette nouvelle association, ensemble nous serons plus forts, notamment pour communiquer. Notre projet vise également à maintenir les liens conviviaux voire amicaux qui existaient parmi les Anciens de l’ENSBANA ou ceux de l’ENESAD. Nous conserverons donc une relation de proximité, à taille humaine en adaptant notre fonctionnement aux attentes de chaque groupe d’Anciens pour que nous ne per- dions pas notre âme dans cette grande association… Vous êtes tous invités à venir découvrir cette nouvelle association, en nous contactant, en nous visitant (dans les locaux d’AgroSup) ou en participant aux actions que nous menons. Dans cette attente, je vous souhaite une bonne lecture de notre nouveau numéro de Contact‘s. Bertrand AUGUSTIN Promo 1996 Président de l’A. I. E. EDITO Journal quadrimestriel 1 Dans ce numéro : EDITO 1 Hommage à Lilia 2 Des ananas au pays du blanc-cass 3 Après l’Assemblée Générale 2010 : Les répon- ses à 2 éternelles questions 4 FORMATION DOCTORALE : échec de l’inser- tion professionnelle ou réel projet de carrière 5/6 Les nouveaux locaux de l’association 7 Un Diplôme : des possibilités… ou le change- ment dans la continuité 8 Forum des Entreprises 2010 9 La vie de l’école : voyage d’études 10 Gala 2011 11/13 L’Afrique du Sud – Guesthouse 4 étoiles 14 Délégation Italienne d’Udine à AgroSup Dijon 15 Une Ensbanienne publie son roman 16 Agenda / Liens utiles 17 Vive les Mariés/Vive les bébés Ils nous ont quittés 18 Cotisation AIE 19

contact's 58

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Page 1: contact's 58

Numéro 58

CONTACT’S

JANVIER 2011

T. Dresler

Association des Ingénieurs de l’ENSBANA

AGROSUP DIJON , Tour Demeter, 26 bd Petitjean

21000 DIJON

Tél. 03 80 77 40 96 Fax 03 80 77 25 00

[email protected]

http://www.aie.asso.fr

Chers ingénieurs,

Cette nouvelle année qui débute est l’occasion pour l’AIE de

vous présenter tous ses vœux pour 2011. Nous souhaitons sincè-

rement que les mois qui viennent soient riches de projets, d’a-

ventures, de petites joies et de grands bonheurs pour chacun de

vous.

Ce début d’année a également été un tournant important pour notre Association

puisque nous avons entamé les discussions et les modifications devant conduire à

l’élargissement de l’AIE à l’ensemble des diplômés d’AgroSup Dijon. Il s’agit de

la concrétisation de projets que nous travaillons depuis longtemps, trop long-

temps peut-être.

Nous nous sommes fortement impliqués dans cette évolution de notre associa-

tion, en portant une vision d’avenir : une association unique regroupant tous les

diplômés d’AgroSup, de formation initiale ou de formation continue, de spéciali-

té Alimentaire ou Agronomique, Ingénieurs ou Masters et Mastères Spécialisés.

Chacun aura sa place dans cette nouvelle association, ensemble nous serons plus

forts, notamment pour communiquer.

Notre projet vise également à maintenir les liens conviviaux voire amicaux qui

existaient parmi les Anciens de l’ENSBANA ou ceux de l’ENESAD. Nous

conserverons donc une relation de proximité, à taille humaine en adaptant notre

fonctionnement aux attentes de chaque groupe d’Anciens pour que nous ne per-

dions pas notre âme dans cette grande association…

Vous êtes tous invités à venir découvrir cette nouvelle association, en nous

contactant, en nous visitant (dans les locaux d’AgroSup) ou en participant aux

actions que nous menons.

Dans cette attente, je vous souhaite une bonne lecture de notre nouveau numéro

de Contact‘s.

Bertrand AUGUSTIN

Promo 1996

Président de l’A. I. E.

EDITO

Journal quadrimestriel

1

Dans ce numéro :

EDITO 1

Hommage à Lilia 2

Des ananas au pays du blanc-cass 3

Après l’Assemblée Générale 2010 : Les répon-

ses à 2 éternelles questions 4

FORMATION DOCTORALE : échec de l’inser-

tion professionnelle ou réel projet de carrière 5/6

Les nouveaux locaux de l’association 7

Un Diplôme : des possibilités… ou le change-

ment dans la continuité 8

Forum des Entreprises 2010 9

La vie de l’école : voyage d’études 10

Gala 2011 11/13

L’Afrique du Sud – Guesthouse 4 étoiles 14

Délégation Italienne d’Udine à AgroSup Dijon 15

Une Ensbanienne publie son roman 16

Agenda / Liens utiles 17

Vive les Mariés/Vive les bébés

Ils nous ont quittés 18

Cotisation AIE 19

Page 2: contact's 58

Hommage à Lilia

2

Il est des êtres chers qui vous touchent par leur fragilité et leurs doutes.

Ces êtres chers, vrais, vous rappellent que la vie peut être dure et parfois si injuste.

Il est des êtres précieux qui vont au bout des choses et de la relation aux autres.

Ces êtres précieux si indulgents envers les autres et si peu pour eux-mêmes.

Il est des êtres chers qui restent gravés en vous à tout jamais par les sourires,

Les bontés qu’ils ont su vous offrir malgré leur propre détresse.

Lilia Karoui était une jeune femme intelligente et d’un extrême perfectionnisme.

Nous avons été nombreux à être touchés par sa fragilité et son courage,

sa bonté, sa volonté de réussir et d’aller au bout de la connaissance.

Cultiver sa mémoire, c’est savoir s’ouvrir à une autre culture, à ceux qui viennent d’ailleurs.

Cultiver sa mémoire c’est porter son regard vers les autres, accepter la différence, chercher à

mieux la comprendre et la connaître.

Cultiver sa mémoire c’est conserver ce désir et cette volonté d’apprendre, de comprendre, d’al-

ler au bout des choses, malgré les sacrifices nécessaires et les difficultés rencontrées.

Cultiver sa mémoire, c’est ne pas l’oublier de sitôt, et garder un peu d’attention et de temps

pour les autres dans cette vie qui s’accélère.

Camille Loupiac,

Enseignante Agrosup Dijon

Spécialité Agroalimentaire

Page 3: contact's 58

Des ananas au pays du blanc-cass’

« Mais qu’est-ce qu’on fait là ?! », « Pourquoi il

fait froid ?! », « Quand est-ce qu’on rentre ? ».

C’est ce qu’on a pu entendre dans le hall d’arri-

vée de Roissy le matin du 12 octobre 2010.

Nous étions dix-sept Réunionnais, fraî-

chement débarqués de l’avion, issus de la 4ème

année de l’Ecole Supérieure d’Ingénieur Ré-

union Océan Indien – Innovation et Développe-

ment Agroalimentaire Intégré (ESIROI-IDAI,

anciennement ESIDAI). Cette toute jeune école,

créée en 2006, est la première formation d’ingé-

nieur basée à la Réunion. Le diplôme s’obtient

en cinq ans (deux ans de cycle « préparatoire » et

trois ans d’ingénierie agroalimentaire), mais on

peut intégrer l’école en 3ème année après deux ou

trois ans de prépas, fac,... Au cursus agroalimen-

taire se sont récemment ajoutées des formations

d’ingénieurs en informatique (-STIM) et en envi-

ronnement (-CODE).

Pourquoi alors nous retrouvions-nous là,

dans l’automne parisien, loin de nos plages, nos

proches, nos 30°C, nos caris… ? Nous avions

quelques jours pour rallier Dijon, nous y installer

et trouver des moyens de passer l’hiver. Après

quatre ans d’école au soleil, le changement était

grand, les traits tirés, les mines déconfites et

l’appréhension palpable. La raison de notre

« exportation » était pourtant simple et connue

de tous depuis le début de notre cursus : l’ESI-

ROI-IDAI, depuis sa création, a un partenariat

avec Agrosup Dijon. La 5ème année se fait au

pays de la moutarde (de rentrer) afin de pouvoir

bénéficier des différentes dominantes existant à

Agrosup. Les programmes de nos deux écoles

sont d’ailleurs assez similaires, mais les petits

effectifs ne permettent pas de proposer de spé-

cialisation en dernière année.

Le diplôme délivré nous destine à être

ingénieur agroalimentaire, avec la petite touche

« ouverture à l’Océan Indien et problématiques

tropicales » qui convient, et nous avons eu des

stages à faire en 1ère, 3ème et 4ème année. En pri-

me, notre promotion, et les suivantes dorénavant,

ont la chance, malgré la charge de travail supplé-

mentaire exigée, de préparer en parallèle un di-

plôme Master 2 en Management et Administra-

tion des Entreprises (avec l’IAE de la Réunion).

Ce double-diplôme nous sera (Incha’Allah !)

délivré à notre retour sur l’île intense.

Nous sommes là depuis quelques temps

maintenant et nous pouvons rendre un premier

bilan de notre séjour sur le continent : Agrosup

Dijon, c’est bien ! A notre arrivée, pas de col-

liers de fleurs (cela ne se fait pas à la Réunion

non plus, donc c’est bon), mais des cours intéres-

sants, une promo géniale, des rencontres, de la

nouveauté, des rhumes, des amitiés, de la fête

(comme chez vous) et l’occasion de faire connaî-

tre notre caillou adoré… Certains d’entre nous

vont rentrer, d’autres rester, d’autres encore

s’expatrier on ne sait où, mais l’étape Dijon a

certainement été bien vécue, réussie, validée,

appréciée.

En vous remerciant pour tout ce qu’on a

vécu (et tout ce qu’on va vivre) !

Les bronzés

3

Page 4: contact's 58

.

A quoi sert l’AIE ?

Ceux qui ne s’en sont jamais rapprochés vous diront à

rien et ceux qui l’ont fait vous diront qu’ils y ont trou-

vé bien plus que ce qu’ils pensaient, c’est aussi sim-

ple que ça et nous en avons encore eu plusieurs té-

moignages au cours de l’échange qui a suivi l’AG

2010 au SIAL.

Les situations où

l’on doit prendre

des décisions et

où le dialogue

avec un autre an-

cien peut nous

apporter un éclai-

rage précieux ne

manquent pas :

Faire une thèse, choisir un 3eme cycle, intégrer telle

ou telle entreprise, construire et valider son projet

professionnel, changer d’orientation, s’expatrier, tra-

verser une période d’inactivité dans 95% des cas la

porte a déjà été poussée par un ancien ou une ancien-

ne qui partagera

volontiers son

expérience !

L’AIE est l’outil

qui répertorie et

capitalise cette

expérience, cette

intelligence collec-

tive qui permettra

au suivant d’aller

surement plus vite

et peut être un petit peu plus loin.

Faire fonctionner ce réseau, le mot est lâché, repose, à

mon avis, sur 3 valeurs:

La bienveillance, le respect, le partage.

La bienveillance envers la personne qui vient vers

vous

Le respect de la disponibilité et de la personnalité de

la personne que l’on

sollicite.

Le partage car il

faut garder à l’esprit

que nous ne som-

mes pas dans le

donnant-donnant à

l’instant t, que le

retour n’est pas for-

cement immédiat et

viendra surement d’un autre membre du réseau.

Qui est autorisé à faire partie du réseau ?

Est-ce encore un

débat à l’heure

de Viadeo et de

LinkedIn ? Per-

sonnellement je

crois qu’il n’est

ni possible ni

souhaitable de

dresser des bar-

rières. Veillons

néanmoins à ce que la transparence soit respectée

dans la présentation des parcours.

Dans un réseau, le nombre des contacts est une chose,

la qualité en est une

autre :

Participer aux acti-

vités de l’AIE est

une opportunité de

cultiver cette qualité

au cours de ren-

contres d’échanges

plus exclusifs ou

sélectifs. Les jour-

nées à thème, les

réunions régionales ou les anniversaires de promo,

sont autant d’occasions d’approfondir nos relations et

donc d’en décupler la valeur.

Très bonne année à tous.

Denis Desvignes

Promo 1989

Vice-président.

Après l’Assemblée Générale 2010 : Les réponses à 2 éternelles questions

4

Page 5: contact's 58

5

Si le titre de ce texte se veut provocateur, il représente

malheureusement la pensée commune du monde pro-

fessionnel français. En France, comme nulle part ail-

leurs, le doctorat (PhD) n’est pas un cycle d’étude

supérieure améliorant l’insertion professionnelle.

D’après le professeur de sociologie François Vatin

(Université de Paris X), le taux de formation de doc-

teurs en France par rapport à la population est plus

faible qu'il ne l'est dans les pays de développement

économique et social comparable. Pourtant, comme le

montrent les enquêtes du Centre d'étude et de recher-

che sur les qualifications (Cereq), la situation des

docteurs sur le marché du travail est particulièrement

mauvaise en France. Ils n'ont aucun avantage par rap-

port à des titulaires de master 2. Pour preuve, le jour-

nal le Monde publiait le 08 août 2010 les chiffres

suivants :

- 10 % des docteurs de cursus purement universitaire

étaient sans emplois contre 4 % pour les titulaires

d’un diplôme d’ingénieur,

- 7 % des ingénieurs-docteurs, qui cumulent la forma-

tion polyvalente des écoles d’ingénieurs et celle de

spécialiste de la Recherche, ne réussissaient pas à

s’insérer dans le monde du travail.

Le constat est clair, le doctorat ne fait pas partie des

formations les plus convoitées par le marché du tra-

vail. Pire encore, il semble que l’on mette en concur-

rence les ingénieurs et les docteurs alors que les for-

mations et les compétences ne sont pas comparables

mais complémentaires.

L’association des doctorants d’AgroParisTech (400

personnes réparties sur l’ensemble du territoire) ainsi

que le conseille scientifique et pédagogique de mon

école doctorale (ABIES), s’attachent à communiquer

sur l’activité des jeunes chercheurs ainsi que sur leur

formation afin de revaloriser notre diplôme. Au final,

nous remarquons que très peu de personnes connais-

sent réellement la formation « pour et par la Recher-

che », pensant que nous continuons à étudier sur « les

bancs de la fac » sans acquérir aucune expérience

professionnelle. Certains vont jusqu’à penser que l’on

devient doctorant par refus d’intégrer le marché du

travail. Pour cette raison, je me propose de rappeler la

mission doctorale en quelques lignes.

Organisation du doctorat :

Le doctorat est avant tout un projet professionnel de

recherche de 3 ans, complété par des formations

continues et transversales organisées au sein des Eco-

les Doctorales (environ 50 h/an). En aucun cas il ne

s’agit de 3 ans d’études supplémentaires comme nous

avons pu les connaître. Bien au contraire, cette forma-

tion représente une opportunité pour un jeune ingé-

nieur d’être le chef d’un projet scientifique complexe,

pointu et innovant tout en bénéficiant d’un encadre-

ment de qualité.

La thématique de recherche peut être proposée soit

par une institution publique soit par un industriel

ayant des projets d'anticipation, de développement ou

de transfert; ou ayant besoin de lever un verrou tech-

nologique. Les entreprises qui choisissent de collabo-

rer avec un laboratoire public peuvent ainsi utiliser du

matériel scientifique de pointe, bénéficier de l’exper-

tise des chercheurs qui encadrent les thèses et avoir

accès en exclusivité à de l’ensemble des connaissan-

ces acquises au cours des 3 années de doctorat pour

éventuellement les valoriser (publication ou brevet).

Les pouvoirs publics ont officialisé ce type de colla-

boration en développant, entre autre, les Conventions

industrielles de Formation par la Recherche (CIFRE)

de l’Agence Nationale de la Recherche et de la Tech-

nologie (ANRT) qui proposent des aides de finance-

ments aux entreprises (une subvention annuelle de 14

000 € et un crédit d'impôt d'au moins 14 294 €). Le

pilotage du projet est assuré par un comité d’experts

des secteurs public et privé, qui se réunit plusieurs

fois par an. Les travaux des jeunes chercheurs peu-

vent donc s’inscrire pleinement dans une démarche de

projet industriel Le laboratoire d’accueil du doctorant

tire également avantage de ce système puisque son

travail participe à l’évolution de la problématique

scientifique et à la reconnaissance de l’expertise de

l’équipe de recherche par les publications , les partici-

pations aux congrès, les dépôts de brevets.

Enfin le doctorant est le troisième bénéficiaire de la

collaboration des secteurs privé et public, puisqu’il

reçoit en plus de sa formation diplômante, un salaire

annuel d’environ 23 500€ brut au minimum, avec

lequel il cotise au régime d’assurance vieillesse pour

sa retraite. Sur le plan professionnel, le doctorant dé-

veloppe de nombreuses compétences techniques et

humaines lui permettant de mener à bien son projet. Il

peut, entre autre, construire un réseau professionnel

scientifique académique et industriel et faire ses pre-

miers armes dans le management par l’encadrement

de stagiaires de tous niveaux lui permettant par ail-

leurs de développer ses capacités d’adaptation. Toutes

ces qualités acquises lors de la thèse sont appréciées

des recruteurs et extrêmement utiles pour l’insertion

professionnelle du jeune chercheur (Figure 1).

Formation doctorale : échec de l’insertion professionnelle ou réel projet de carrière.

Page 6: contact's 58

Figure 1 :Compétences acquises par les doctorants au cours de leur mission

(Source : http://www.abg.asso.fr)

Formation doctorale : suite...

6

En effet, il leur est possible d’effectuer des missions

d’enseignement (jusqu’à bac+3 à raison de 64 h/an)

ou de conseil (« docteur en entreprise », 120 h/an).

Au delà de l’aspect formation professionnelle qui est

évident, ces activités permettent au jeune chercheur

de percevoir un second salaire de 270 € net/mois sur

l’ensemble de la durée de la thèse.

Que faire avec son doctorat ?

Sur le plan de l’insertion professionnelle, les données

de l’ANRT montrent que 96 % des docteurs répon-

dant au questionnaire d’insertion professionnelle,

accèdent à l’emploi en un an au plus, dont 90 % en un

maximum de six mois. Un docteur sur deux perçoit a

une rémunération annuelle brute comprise entre 25 k€

et 40 k€ et environ un tiers entre 40 k€ et 60k€. Les

docteurs sont aujourd’hui majoritairement employés

par des grandes entreprises (plus de 2000 personnes)

et par des institutions publiques d’enseignement et de

recherche, respectivement 38 % et 27 %. 16 % des

jeunes chercheurs trouvent un emploi dans une PME

de moins de 250 personnes et 7 % travaillent dans des

entreprises comptant entre 250 et 2000 employés

(source : ANRT).

Conclusion : : Je terminerai cette courte présentation

en précisant que nous sommes actuellement à une

période charnière où les ingénieurs-docteurs sont de

plus en plus reconnus par le monde travail puisque,

dans certains groupes (Danone, Nestlé, Soufflet, Pu-

ratos, Danisco, etc.), certains postes clefs dans le do-

maine de la R&D sont confiés à des docteurs capa-

bles, dès la fin de leur thèse, d’encadrer des techni-

ciens et des ingénieurs. Le doctorat s’impose comme

un formidable complément à notre formation d’ingé-

nieur agro, en mettant à profit l’ensemble des

connaissances acquises au cours de notre cursus, à

condition d’avoir un goût prononcé pour la recherche

et l’innovation.

La double compétence acquise ouvrira, dans les an-

nées à venir, de très belles perspectives de carrières

dans les secteurs public et privé à condition de pour-

suivre les efforts de communication et de valorisation

envers les entreprises et le grand public.

François BUCHE (06)

Page 7: contact's 58

Les nouveaux locaux

de votre Association

7

. Chers (ères) AgroSupien-Ensbanien,

Je m’adresse à vous en ce début d’année 2011,

non pas en tant qu’ancienne de l’Ensbana mais

en tant que Directrice des Formations et de la

Vie Etudiante d’AgroSup (DFVE).

Nous avons en-

gagé cet été la

restructuration

des locaux de la

DFVE et nous

avons souhaité y

inclure le bureau

de l’AIE.

En effet, au sein

de la DFVE,

nous avons diffé-

rentes unités dont

les scolarités mais aussi des unités qui concer-

nent la prospection des candidats et leur admis-

sion au sein de l’école, l’innovation pédagogi-

que, le financement des formations, la vie étu-

diante (Bureau des élèves) ou encore l’accompa-

gnement des étudiants et leur insertion dans le

m o n -

de du

t r a -

v a i l .

D e -

p u i s

t o u -

jours,

l’AIE

est un

partenaire indispensable de l’école vis à vis des

stages, de l’accompagnement des jeunes diplô-

més et de l’insertion professionnelle.

Dans le contexte socio économique actuel, il est

important de réaffirmer et de renforcer notre par-

tenariat, ce qui est le sens du positionnement

physique de l’AIE au sein de la DFVE.

Ce partenariat se traduit notamment par l’organi-

sation du forum entreprises. Le dernier forum en

date a eu lieu le 2 décembre dernier, et a rassem-

blé une quarantaine d’entreprises des secteurs

agricole et agroalimentaire (certaines étaient

d’ailleurs représentées par des anciens…).

Dans cette logique, je souhaite vivement que la

création annoncée de l’association des ingé-

nieurs d’AgroSup Dijon puisse aboutir en 2011.

Mes attentes sont que cette future association

puisse faire vivre le réseau des anciens, tant du

côté agronomie que agroalimentaire, à travers

l’annuaire, la gestion des offres d’emplois et

l’accompagnement des jeunes diplômés.

Souhaitons nous de réussir – Bonne année 2011.

Nathalie Cayot (promo 89)

Page 8: contact's 58

8

Un diplôme : des possibilités… ou le change-

ment dans la continuité !

Quelques mots sur un parcours professionnel

peu courant mais pas exceptionnel dans l’ensei-

gnement supérieur.

Dominique Champion

enseignante Agrosup Dijon

Diplômée de l’ENSBANA en 1993, j’ai continué

mon parcours en effectuant une thèse à l’école et

obtenu après celle-ci un poste d’ingénieur de

recherche dans l’équipe de biochimie, physico-

chimie et propriétés sensorielles. Les missions à

assurer pour cette fonction sont multiples et obli-

gent à des contacts très variés tant pour la re-

cherche que le développement, avec des parte-

naires académiques et industriels. C’est ainsi

que pendant plus de 10 ans, en exerçant ce mé-

tier au sein d’une équipe dynamique, résolument

respectueuse des motivations des individus quel-

le que soit leur position hiérarchique administra-

tive, j’ai pu évoluer d’un point de vue profes-

sionnel sans avoir à négliger ma vie personnelle.

Au sein de ce groupe, la vie a voulu également

que nous ayons à réagir ensemble à des moments

douloureux et à leurs conséquences quant au

maintien de nos thématiques de recherche. Mais

tou-

jours

soute-

nue,

sou-

vent

aidée,

le tra-

vail au

quoti-

dien

dans

mon

équipe m’a permis de m’ouvrir à des possibilités

d’évolution de carrière. Ainsi, après avoir été

admise à un concours, j’ai quitté mon poste d’in-

génieur de recherche à l’ENSBANA pour oc-

cuper celui de professeur à Agrosup Dijon. Si

cette transition n’est pas courante, elle n’en n’est

pas pour autant exceptionnelle dans notre école.

Loin de moi l’idée de vouloir vous faire une pré-

sentation de l’équipe à laquelle j’appartiens com-

me le monde de « OUI OUI », je tiens malgré

tout à

insister

sur le

fait

que

mon

passa-

ge

dans le

corps

ensei-

gnant a

aussi

été possible grâce à mes collègues qui consti-

tuent une communauté propice à l’échange et à

la production scientifique. Qu’ils en soient, en-

core une fois, tous remerciés à l’occasion de ce

témoignage.

Mes motivations pour cette réorientation de car-

rière étaient, entre autres, celle d’avoir davantage

de contacts avec les étudiants, et d’avoir ainsi, la

possibilité de transmettre les bases et la rigueur

scientifique que l’on m’a apprises à l’école. De

plus, restant dans le même environnement, je ne

pensais pas rencontrer de grosses difficultés pour

assurer la transition entre ces deux missions ; j’ai

cependant à acquérir de nouvelles compétences

ainsi qu’à asseoir une expérience des aspects

pédagogiques pour ce nouveau poste travail… et

après 40 ans, ce sont pour moi des perspectives

enthousiasmantes !

Dominique CHAMPION (93)

Un diplôme : des possibilités… ou le changement dans la continuité !

Page 9: contact's 58

9

Outre revoir avec joie certains anciens arpenter

nostalgiquement les couloirs de l’école, le forum

des entreprises permet à tous un échange fourni

permettant de faire un point sur soi même, ses

a t t e n t e s ,

ses points

forts, ses

points fai-

bles, ses

c o n n a i s -

sances, ses

compéten-

ces, ses

ambitions

… et d’exprimer à travers cette démarche ses

perspectives d’avenir. Après la valse des entre-

tiens que l’on avait planifié par avance viennent

les improvisés, au hasard d’une publicité surpre-

nante ou d’une curiosité débordante, tantôt révé-

lant de curieuses découvertes tantôt confirmant

nos acquis. Quoiqu’il en soit, on ressort du fo-

rum riche de rencontres, de contacts, de discu-

tions et de réflexions nouvelles et diverses, qui

permettent de nous (re)positionner quant à notre

stage de fin d’étude, notre futur job, notre carriè-

re, notre avenir.

Martin LOISON – 3ème année AA

Diplômée de l’ENSBANA en 2009 et en recher-

che d’emploi depuis 1 mois, je me suis rendue

sur le forum d’AgroSup Dijon afin de rencontrer

des acteurs de la filière agroalimentaire. Cette

journée a été très positive puisque j’ai pu échan-

ger avec de nombreuses entreprises sur leurs op-

portunités et

mettre en

avant mon

profil. A

l’issue de

celle-ci, j’ai

é t é r e -

contacté par

l’une d’en-

tre elle pour

un entretien. J’insiste donc tous les jeunes en

recherche d’emploi ou de stage à se rendre sur ce

type de forum en l’ayant bien préparé !

Emeline DEVERGE (promo 2009)

Le jeudi 2 Décembre 2010 a eut lieu le Forum

Entreprise

A g r o s u p

Dijon à la

tour Démé-

ter. Celui-

ci a ras-

semblé plus

de 30 en-

t r e p r i s e s

des sec-

teurs agroalimentaires, agronomies ainsi que des

partenaires de l’emploi et était dédié aux élèves

ingénieur de 3ème année, différents masters et

jeunes diplômés. Selon les stands, il y avait plus

ou moins d’attente pour pouvoir échanger avec

l’intervenant, aussi déposer un CV afin de postu-

ler soit à un stage ou encore à un emploi. Les

représentants des entreprises étaient à notre

écoute et répondaient à toutes nos questions avec

plaisir. Ce forum a été une bonne expérience, car

il nous a permis d’avoir un contact direct avec

les industriels, d’avoir des réponses à nos diffé-

rentes questions portant notamment sur la vie en

entrepri-

se et ses

d i f f é -

r e n t s

sites. En

espérant

que les

ces ren-

con t r es

avec les

i n d u s -

triels nous permettrons à moi et à mes camarades

d’obtenir un stage mais aussi pourquoi pas un

futur emploi. Je conseille aux futurs élèves ingé-

nieurs et jeunes diplômés ainsi qu’aux industriels

de participer à cette manifestation qui est une

rencontre privilégiée et un moment important

pour préparer un projet professionnel pour nous

les étudiants.

Julie RASTOUL 3ème année AA

FORUM DES ENTREPRISES

2 DECEMBRE 2010

Page 10: contact's 58

10

.

La vie de l’école voyage d'études

Voyage dans le Sud des nouveaux élèves-

ingénieurs AgroSup Dijon spécialité Agroali-

mentaire

Comme chaque année, des enseignants-

chercheurs d’AgroSup Dijon organisent pour les

nouveaux élèves-ingénieurs fraichement arrivés

en septembre un voyage d’étude et d’intégration.

Tous les étudiants de première année de la spé-

cialité agroalimentaire partent donc pendant qua-

tre jours à la découverte des industries agroali-

mentaires. C’est l’occasion pour beaucoup d’un

premier contact avec le monde professionnel et

industriel, et c’est aussi l’opportunité de com-

prendre un peu ce qu’est le réseau des anciens

élèves. Les ingénieurs de l’AIE sont en effet un

maillon indispensable dans l’organisation du

voyage : Isabelle Niot et Eric Ferret les contac-

tent et les sollicitent longuement pour décrocher

une visite. Pas facile d’accueillir sur un site de

production 72 étudiants (équipés de chaussures

de sécurité !) et d’organiser une visite... contrain-

tes de sécurité, d’hygiène, de production, de ca-

lendrier... L’école a besoin de l’aide de tous dans

ce travail !

Cette année, direction le Sud : Lyon puis Avi-

gnon et même Marseille pour certains. Du 21 au

24 septembre, les deux autocars roulent remplis

d’étudiants plein d’énergie et de refrains. Ils dé-

couvrent dans les différentes entreprises des an-

ciens élèves qui les accueillent : Langloys Trai-

teur (Yannick MASSON 96), l’institut Paul Bo-

cuse (Agnès GIBOREAU 89, Xavier ALIROT

00), la Biscuiterie de la Tour d’Albon (Philippe

GAILLARD 89), Brake France (Brigitte DHAI-

NAUT 80), Royal CANIN (Bénédicte GARZI-

NO 02, Patrick THIBEAUDEAU 81, Claude

ECOCHARD 86, Cécile CHERBIT 08, Claire

AUZELOUX 93, Anthony PIZZAGALLI

06...) , Mc CORMICK (Frédéric BARDONNET

96, Anne LANTENOIS 05...), PERNOD

(Marion CECCALDI 10). Un grand merci à eux

pour leur accueil et leur disponibilité. A l’institut

Paul Bocuse, une rencontre/témoignages a été

organisé entre des ingénieurs de la région lyon-

naise et les nouveaux étudiants, autour d’un buf-

fet.

Ce voyage permet également à la nouvelle pro-

motion de se connaître, de se découvrir dans une

grande convivialité festive... les deux objectifs

ont été atteints cette année encore !

L’année prochaine, direction le Nord ? Ou l’Al-

sace ? Ou autour d’Orléans ? Merci de penser à

nous et à nous aider à organiser ce moment im-

portant pour les futurs ingénieurs AgroSup Dijon

spécialité Agroalimentaire

Isabelle Niot Professeur Agrosup Dijon Eric Ferret Coordonnateur des formations

d’Ingénieurs

Page 11: contact's 58

A vous tous ENSBANIENS,

Bientôt le Gala d'AgroSup Dijon !

Nous avons besoin de vous revoir, de vous rencontrer, de parler

avec vous.

Alors venez nous rencontrer dans cette soirée qui sera pour

vous et pour nous une soirée inoubliable.

Je compte sur vous, nous comptons sur vous, sur votre presence.

N'oubliez pas que le champagne est toujours excellent.

Toutes mes amitiés

Pierre-André Marechal

Directeur Général Adjoint

AgroSup Dijon

GALA 2011 : la 44ème promotion de l’école aux côtés de la

Xème promotion de l’ENESAD

11

Page 12: contact's 58

12

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

En cette nouvelle année 2011 se tiendra

la seconde édition du Gala d’AgroSup Dijon.

Après 20 éditions de la version ENSBA-

NA, la famille s’agrandit et continue de fêter un

moment fort de notre vie d’ingénieur : la remise

des diplômes.

Nous célèbrerons donc, le 19 février pro-

chain, les élèves de la 44ème promotion de l’école

aux côtés de la Xème promotion de l’ENESAD.

Cette soirée, aux couleurs des 1001

nuits, se tiendra le 19 février prochain à Dijon .

Votre présence est attendue dès 18h30

pour l’apéritif, suivi du dîner qui devrait débuter

vers 20h30.

Nous accueillerons vers minuit les invi-

tés souhaitant arriver après ce repas et nous as-

sisterons tous ensemble au spectacle tradition-

nellement organisé par les élèves de l’école.

Celui-ci devrait prendre fin vers 00h30,

heure à laquelle débutera la soirée dansante.

Les festivités prendront fin aux alentours

de 4h du matin.

Vous trouverez ci-après les renseigne-

ments pratiques liés à cette soirée.

En espérant vous accueillir nombreux,

nous vous souhaitons à toutes et à tous de très

bonnes fêtes de fin d’année.

La commission Gala 2011.

Toutes les informations liées au Gala 2011

sont disponibles, grâce à

Hugo GRISART et Cyril IACONNELI,

sur notre site internet :

http://www.agrosupgala.fr/

Inscriptions :

[email protected]

Gala AgroSup Dijon

26 boulevard du docteur Petijean

BP87999

21079 DIJON Cedex

…/

GALA 2011 : la 44ème promotion de l’école aux côtés de la

Xème promotion de l’ENESAD

Page 13: contact's 58

Programme :

18h30 : Accueil des invités - Apéritif

20h15 : Fin de l´accueil

20h30 : Début du dîner

23h30 : Début des animations

(Spectacle + Club musique)

00h30 : Début de la soirée dansante

04h00 : Fin des festivités

Tarifs :

étudiant / chômeur : 35 €

diplômé : 38 €

accompagnant extérieur : 40 €

ancien / administratif : 40 €

Chèque à l’ordre de BDE ENSBANA GALA

Accès :

Palais des congrès de Dijon, Hall n°2

Avenue des Grands Ducs d'Occident

(face au Palais des sports).

Stationnement sur le parking du Palais des

sports

En bus :

Depuis la Gare : Liane 3 : direction Épirey Cap

Nord, Arrêt : Palais des congrès

Depuis le centre ville : Liane 6 : Direction Toi-

son d'Or, Arrêt : Auditorium - Congrexpo

Plan :

GALA 2011 : la 44ème promotion de l’école aux côtés de la

Xème promotion de l’ENESAD

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Page 14: contact's 58

L’AFRIQUE DU SUD

GUESTHOUSE « 4 ETOILES »

Patrice MARECHAL et Catherine DEPIERRE

(ENSBANA - 1978) ont mené une carrière atypique

pour des

ingénieurs

E N S B A -

NA. En

effet, spé-

cialisé dans

les domai-

nes de la

n u t r i t i o n

des ani-

maux ac-

quatiques,

ils ont travaillé dans le monde entier (59 pays) en tant

qu'experts pêche et aquaculture. A ce titre ils ont diri-

gés plusieurs projets de développement des pêches

pour les pays de la SADC basé au Malawi (pour le

Ministère de la coopération française) et aux Comores

(Union Européenne). Par la suite ils ont dirigé une

exploitation agricole et piscicole de 400 ha sur le Bas-

sin d'Arcachon, lié au handicap mental (CAT), pour

ensuite retravailler à l'international comme Directeur

Commercial dans le plus grand bureau d'études fran-

çais multisectoriel (BCEOM / Egis) dans les secteurs

du transport, du développement rural et urbain, de

l'eau, de l'environnement et de l'Energie. La dernière

mission de Patrice a été d'être Diplomate chargé de la

coopération technique et institutionnelle entre la

France et la Turquie tout en étant le Responsable

Français "Environnement" en Turquie. Catherine s'est

consacrée à une mission de Conseillère auprès de

Pôle Emploi.

Aujourd'hui devant les difficultés à travailler en Fran-

ce à 56 et 58 ans, et libéré de leurs obligation de pa-

rents (3 enfants français et 1 enfant népalais) ils ont

décidé de démarrer une nouvelle vie avec l'ouverture

à Hout Bay (Le Cap - Afrique du Sud) d'une très jolie

maison d'hô-

t e s .

Ils seront heureux de pouvoir vous y accueillir et de

vous faire profiter de la région (et aussi d'un prix pré-

férentiel spécial ENSBANA).

Vous pouvez déjà visionner cette guesthouse "four

s t a r s " s u r l e s i t e i n t e r n e t

www.villamontebello.co.za qui est en Français, en

Anglais, en Turc et prochainement en Hollandais et

en Allemand. Cette guesthouse présente les avantages

suivants :

- Une situation

domina nte au

sommet du Mont

Rhodes et donc

parfaitement au

calme en limite

d'un parc naturel

protégé

- Une très belle

vue sur un paysage

de montagnes avec vue sur la mer et la baie de Hout

Bay

- 4 Chambres (suites) raffinées et très confortables à

un prix très raisonnable. Possibilité d'accueillir des

groupes plus importants grace à une collaboration

avec une autre guesthouse voisine de très belle quali-

té.

- Petits déjeuners continenaux et angalis raffinés dans

un cadre paradisiaque et ensoleillé

- Accueil possible des visiteurs à l'aéroport

- Possibilité de séjours sur mesure (organisation du

séjour, excursions accompagnées ou non, locations de

voiture négociées, garde d'enfants, etc...)

Ils restent à votre écoute pour vous faire profiter de

ce merveilleux pays ainsi que de son soleil garanti

pendant les durs mois d'hiver européens.

Patrice et Catherine MARECHAL

[email protected]

Tel : 00 27 21 790 77 41

Fax : 00 27 21 790 87 12

www.villamontebello.co.za

NB : Cette expérience intéressante et hors du com-

mun nous confirme que les ingénieurs ENSBANA

disposent d'un capital de connaissances et d'adapata-

tion qui les rendent adaptables à de nombreuses mis-

sions en fonction des exigences du marché et de la vie

professionnelle

14

Page 15: contact's 58

DELEGATION ITALIENNE D’UDINE

A AGROSUP DIJON

15

Du 23 au 26 mars dernier, une délégation de l’U-

niversité d’Udine, composée de 50 étudiants et 3

accompagnateurs, est venue visiter votre splendi-

de ville. Notre intention était de renforcer les

bons rapports existants entre notre cursus univer-

sitaire des Sciences et Technologies Alimentai-

res d’Udine et votre Institut National Supérieur

AgroSup Dijon.

Avant de décrire brièvement cette très in-

téressante expérience, je me permets de remer-

cier toutes les personnes sans qui tout cela aurait

été impossible. En premier lieu, la professeur

Mme Voilley, notre contact pour votre Ecole et

la première personne à laquelle nous nous som-

mes référés en lui proposant notre idée : celle-ci

est en fait née quelques mois auparavant, pen-

dant la remise de diplôme du doctorant Carlo

Raffaele Lerici à laquelle Mme Voilley a partici-

pé. Un remerciement particulier au Professeur

Sensidoni et aux doctorants Mlle Marcuzzo et

M. Gumiero, nos accompagnateurs dans cette

aventure, connaissant bien nos 2deux villes, Di-

jon et Udine. Enfin je me permets aussi de rap-

peler dans ces remerciements, Mme Catherine

Constant, votre responsable des rapports interna-

tionaux, toujours disponible et prompte à répon-

dre à nos questions ou à nos doutes.

Nous avons passé le premier jour de notre

voyage à visiter Dijon, à admirer vos belles habi-

tations historiques et à nous promener au travers

de petits vignobles à la découverte de vos my-

thes et étranges histoires régionales. Tout cela a

été possible grâce à la guide italienne mise à no-

tre disposition par AgroSup. En fin d’après-midi

nous avons été accueillis à l’Hôtel de Ville par le

maire de Dijon qui nous a transmis ces amitiés et

a souligné l’importance des relations internatio-

nales entre les universités en général et en parti-

culier entre les deux nôtres.

Le jour suivant en revanche nous sommes

allés visiter la fromagerie Gaugry et au retour

nous avons pu admirer les vignobles de votre

région qui s’étendent à perte de vue. Le dernier

jour est celui qui restera dans notre cœur. En

effet le matin nous avons pu découvrir l’IUVV

(Institut Universitaire de la Vigne et du Vin) et

rencontrer l’après-midi une petite délégation de

vos étudiants auxquels nous avons brièvement

présenté notre cursus universitaire. Ensuite, gui-

dés par quelques uns de vos professeurs, nous

avons pu voir les laboratoires d’AgroSup, décou-

vrir comment vous travaillez et apprécier vos

recherches. Cette splendide journée s’est termi-

née par un délicieux rafraichissement offert par

les étudiants d’AgroSup.

Ces jours sont restés dans notre cœur,

nous pouvons vous l’assurer. Ca a été un voyage

émouvant, autant par les lieux visités que par les

personnes rencontrées et ça a été une exception-

nelle occasion pour se connaître. C’est vraiment

pour cela que nous voudrions donc vous inviter à

répéter cette expérience en venant nous rendre

visite, de sorte que le jumelage entre nos deux

écoles continue dans les années à venir.

Etudiants Université UDINE (Italie)

Eva Marcuzzo et Andrée Voilley (70)

Page 16: contact's 58

UNE ENSBANIENNE PUBLIE

SON ROMAN

16

UNE ENSBANIENNE PUBLIE SON ROMAN

(BIS ?)

Décidément, l’ENSBANA

(pardon, Agro Sup Dijon !) mène à tout !

Sortie en 1991, j’ai commencé ma carrière par

un remplacement de responsable qualité dans

une entreprise de charcuterie traditionnelle en

Alsace. J’ai compris que je n’étais pas faite pour

le monde de l’industrie.

Je me suis alors tournée vers l’enseignement,

juste pour voir, et j’y suis restée, depuis mainte-

nant 18 ans ! J’ai enseigné depuis mes débuts la

plupart des matières techniques et scientifiques

que j’ai étudiées à l’ENSBANA : technologie

alimentaire, physique appliquée, biochimie, phy-

sico-chimie, analyse sensorielle…Je crois qu’il

ne reste que la microbiologie que je n’ai jamais

essayée !

En parallèle, mes copains de promo savent que

j’avais à l’époque une grande passion : le dessin

et la peinture. J’ai même animé un club dessin

les jeudis après-midi à l’ENSBANA. Puis j’ai

participé à de nombreux salons artistiques dans

ma région et un peu autour, et puis … mariage,

enfants … organisation professionnelle et fami-

liale serrée oblige, j’ai peu à peu abandonné mes

crayons et pinceaux. J’y reviendrai, un jour…

Et puis, un soir, je ne sais pas très bien pourquoi

ni comment, j’ai pris un stylo et commencé à

mettre sur le papier cette petite histoire que j’a-

vais dans la tête depuis un moment. Je pensais

qu’elle ferait 20 ou 30 pages, elle en a fait une

centaine…Je l’ai proposée à quelques éditeurs,

juste pour voir (oui, je sais, je fais beaucoup de

choses « juste pour voir », et souvent ça mar-

che), et là, surprise : trois réponses positives,

puis une quatrième !

Je vous présente donc mon premier roman

(j’espère que ce ne sera pas le dernier !) dont

l’action se déroule en Franche-Comté, de nos

jours.

Vous pouvez le trouver ou le commander dans

toutes les bonnes librairies, et sur

www.amazon.fr.

Je compte sur votre indulgence, c’est mon pre-

mier roman et je ne suis pas une professionnelle

de l’écriture, et j’attends vos impressions à mon

adresse ci-dessus !...

Monique MERCIER (CACHOD)

Promotion 1991

[email protected]

Page 17: contact's 58

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Enquête annuelle sur la situation professionnelle et la rémuneration des cadres en 2010

faite par l’APEC :

Sur le thème de la MOBILITE PROFESSIONNELLE :

http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/38391/142169/version/2/file/21023-onxst1hv1gi.pdf

http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/88557/505127/version/1/file/Panorama+des+mobilit%

C3%A9s+professionnelles+2010 synth%C3%A8se.pdf

Sur le thème de la REMUNERATION :

http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/55012/457103/version/2/file/APEC-

Evol+remunerat2010-0809.pdf

http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/88597/505167/version/1/file/Evolution+de+la+r%C3%

A9mun%C3%A9ration+2010 synth%C3%A8se.pdf

http://cadres.apec.fr/cms/boxes/ApecCmsBoxes.jsp?PEGA HREF

17337908_0_0_doEvaluerSalaire=doEvaluerSalaire

Enquête sur les pratiques de rémunération réalisée auprès de 1 800 enterprises :

http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/55137/457227/version/2/file/PRCE 2010

ss_embargo.pdf

http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/88577/505147/version/1/file/Pratiques+de+r%C3%

A9mun%C3%A9ration+des+entreprises+2010 synth%C3%A8se.pdf

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[email protected][email protected]

Tél. : 03 80 77 40 96 / Fax : 03 80 77 25 00

Page 18: contact's 58

Lin DAWANG et Guillaume DA (00) le 10 juillet 2010

Aurélie PRIEUR (07) et Nathanaël DU le 28 août 2010

Delphine DUMONT (03) et Dominique ABLERTINI sont heureux de vous annoncer la naissance de leur petite Valentine, née le 9

février 2010.

Anne-Sophie PARAZOLS-THERRIEN (99) et ont la joie de vous annoncer la naissance de leur fille Aurore le 10 mai 2010.

Agnés ANDRE (02) et Ludovic RION ont la joie de vous annoncer la naissance de leur petite Colleen le 23 juin 2010. Elle fait le

bonheur de ses parents et son grand frère Alban, les bêtises à deux c’est tellement mieux.

Elena et Julien ALIX (06) ont la joie de vous annoncer que Ambre, très pressée de faire la connaissance de ses parents est

arrivée le 7 juillet 2010 avec quelques semaines d’avance et déjà elle occupe une grande place dans la maison et surtout dans

leurs cœurs.

Delphine OLLE-BAROIN (02) et Thierry OLLE, vous annoncent qu’avec un petit mois d’avance, Manon est venue agrandir leur

famille le 10 juillet 2010. Elle était sans doute pressée de rencontrer son grand frère Raphaël.

Cécile GAS (04) et Clément GAS vous font part de la naissance de leur petite Méline. Après quelques mois de galipettes dans le

ventre de sa maman, elle a enfin décidé de pointer le bout de son nez le 6 août 2010. Que du bonheur.

Emilie GOUTAL (02), Emilie, Fabien et Adrien GOUTAL sont heureux de vous annoncer la naissance d’Adrien né 21 août 2010.

Stéphanie PETITJEAN (01) et Fabien TRUCHOT sont heureux de vous annoncer la naissance de leur petit garçon Lucas né le 21

septembre 2010.

Delphine CUDEL (98), Benoit, Benjamin et Elisa sont heureux de vous faire part de l’arrivée d’un nouveau membre du Club

TOUTMIGNONTOUBO. Gaëtan nous a rejoint le 25 septembre 2010 pour la plus grande joie de toute la famille.

Mathis est né le 15 octobre 2010 pour la plus grande joie de son frère Florian et de ses parents Enguerran et Laetitia FROIDE-FOND (93)

Agnés BOIRON (94) et Régis Boiron partagent avec Adrien et Erwan la joie de vous annoncer la naissance de Hippolyte le 21

octobre 2010.

Aïko et Yanek HUSIANCYIA (94) ont fait la rencontre d’Emi le 26 octobre 2010, qui existait et manifestait dans le ventre de

sa maman avec beaucoup de dynamisme et ils sont heureux de partager cette joie avec vous. Emi a un prénom japonais dont la

signification est « Fruit de la grâce ».

Audrey CAMUS (03), Pierre-Emmanuel FEUILLET et Gaëtane ont la joie de vous annoncer la naissance de Céleste le 4 novembre

2010.

Elise est née le 15 novembre 2010 et comble de bonheur ses parents et son grand frére. Agnés BAILLEUL (02) et Arnaud LA-

BARRE.

Géraldine DETRICHE (06) et Kévin NGUYEN ont la joie de vous annoncer la naissance de leur petite Noémie le 15 novembre

2010.

Aurélie GENNARO (03) et Olivier CORMIER (02) ont la joie de vous annoncer la naissance de Tom le 21 novembre 2010, fruit

de la fusion Ensbana/Enesad.

ILS NOUS ONT QUITTES

Professeur Pierre HENRY — Professeur des Universités à L'UFR des Sciences de la Vie et à l'ENSBANA de 1964 à 1988

Lillia KAROUI — Elève Ingénieur 3ème année — Janvier 2011

Vive les mariés Ils sont heureux de vous faire part de leur mariage. Nous partageons leur joie et leur adressons tous nos vœux de bonheur,

Vive les bébés Toutes nos félicitations aux heureux parents, et bienvenue à tous ces bébés,

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Page 19: contact's 58

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