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Numéro 58
CONTACT’S
JANVIER 2011
T. Dresler
Association des Ingénieurs de l’ENSBANA
AGROSUP DIJON , Tour Demeter, 26 bd Petitjean
21000 DIJON
Tél. 03 80 77 40 96 Fax 03 80 77 25 00
http://www.aie.asso.fr
Chers ingénieurs,
Cette nouvelle année qui débute est l’occasion pour l’AIE de
vous présenter tous ses vœux pour 2011. Nous souhaitons sincè-
rement que les mois qui viennent soient riches de projets, d’a-
ventures, de petites joies et de grands bonheurs pour chacun de
vous.
Ce début d’année a également été un tournant important pour notre Association
puisque nous avons entamé les discussions et les modifications devant conduire à
l’élargissement de l’AIE à l’ensemble des diplômés d’AgroSup Dijon. Il s’agit de
la concrétisation de projets que nous travaillons depuis longtemps, trop long-
temps peut-être.
Nous nous sommes fortement impliqués dans cette évolution de notre associa-
tion, en portant une vision d’avenir : une association unique regroupant tous les
diplômés d’AgroSup, de formation initiale ou de formation continue, de spéciali-
té Alimentaire ou Agronomique, Ingénieurs ou Masters et Mastères Spécialisés.
Chacun aura sa place dans cette nouvelle association, ensemble nous serons plus
forts, notamment pour communiquer.
Notre projet vise également à maintenir les liens conviviaux voire amicaux qui
existaient parmi les Anciens de l’ENSBANA ou ceux de l’ENESAD. Nous
conserverons donc une relation de proximité, à taille humaine en adaptant notre
fonctionnement aux attentes de chaque groupe d’Anciens pour que nous ne per-
dions pas notre âme dans cette grande association…
Vous êtes tous invités à venir découvrir cette nouvelle association, en nous
contactant, en nous visitant (dans les locaux d’AgroSup) ou en participant aux
actions que nous menons.
Dans cette attente, je vous souhaite une bonne lecture de notre nouveau numéro
de Contact‘s.
Bertrand AUGUSTIN
Promo 1996
Président de l’A. I. E.
EDITO
Journal quadrimestriel
1
Dans ce numéro :
EDITO 1
Hommage à Lilia 2
Des ananas au pays du blanc-cass 3
Après l’Assemblée Générale 2010 : Les répon-
ses à 2 éternelles questions 4
FORMATION DOCTORALE : échec de l’inser-
tion professionnelle ou réel projet de carrière 5/6
Les nouveaux locaux de l’association 7
Un Diplôme : des possibilités… ou le change-
ment dans la continuité 8
Forum des Entreprises 2010 9
La vie de l’école : voyage d’études 10
Gala 2011 11/13
L’Afrique du Sud – Guesthouse 4 étoiles 14
Délégation Italienne d’Udine à AgroSup Dijon 15
Une Ensbanienne publie son roman 16
Agenda / Liens utiles 17
Vive les Mariés/Vive les bébés
Ils nous ont quittés 18
Cotisation AIE 19
Hommage à Lilia
2
Il est des êtres chers qui vous touchent par leur fragilité et leurs doutes.
Ces êtres chers, vrais, vous rappellent que la vie peut être dure et parfois si injuste.
Il est des êtres précieux qui vont au bout des choses et de la relation aux autres.
Ces êtres précieux si indulgents envers les autres et si peu pour eux-mêmes.
Il est des êtres chers qui restent gravés en vous à tout jamais par les sourires,
Les bontés qu’ils ont su vous offrir malgré leur propre détresse.
Lilia Karoui était une jeune femme intelligente et d’un extrême perfectionnisme.
Nous avons été nombreux à être touchés par sa fragilité et son courage,
sa bonté, sa volonté de réussir et d’aller au bout de la connaissance.
Cultiver sa mémoire, c’est savoir s’ouvrir à une autre culture, à ceux qui viennent d’ailleurs.
Cultiver sa mémoire c’est porter son regard vers les autres, accepter la différence, chercher à
mieux la comprendre et la connaître.
Cultiver sa mémoire c’est conserver ce désir et cette volonté d’apprendre, de comprendre, d’al-
ler au bout des choses, malgré les sacrifices nécessaires et les difficultés rencontrées.
Cultiver sa mémoire, c’est ne pas l’oublier de sitôt, et garder un peu d’attention et de temps
pour les autres dans cette vie qui s’accélère.
Camille Loupiac,
Enseignante Agrosup Dijon
Spécialité Agroalimentaire
Des ananas au pays du blanc-cass’
« Mais qu’est-ce qu’on fait là ?! », « Pourquoi il
fait froid ?! », « Quand est-ce qu’on rentre ? ».
C’est ce qu’on a pu entendre dans le hall d’arri-
vée de Roissy le matin du 12 octobre 2010.
Nous étions dix-sept Réunionnais, fraî-
chement débarqués de l’avion, issus de la 4ème
année de l’Ecole Supérieure d’Ingénieur Ré-
union Océan Indien – Innovation et Développe-
ment Agroalimentaire Intégré (ESIROI-IDAI,
anciennement ESIDAI). Cette toute jeune école,
créée en 2006, est la première formation d’ingé-
nieur basée à la Réunion. Le diplôme s’obtient
en cinq ans (deux ans de cycle « préparatoire » et
trois ans d’ingénierie agroalimentaire), mais on
peut intégrer l’école en 3ème année après deux ou
trois ans de prépas, fac,... Au cursus agroalimen-
taire se sont récemment ajoutées des formations
d’ingénieurs en informatique (-STIM) et en envi-
ronnement (-CODE).
Pourquoi alors nous retrouvions-nous là,
dans l’automne parisien, loin de nos plages, nos
proches, nos 30°C, nos caris… ? Nous avions
quelques jours pour rallier Dijon, nous y installer
et trouver des moyens de passer l’hiver. Après
quatre ans d’école au soleil, le changement était
grand, les traits tirés, les mines déconfites et
l’appréhension palpable. La raison de notre
« exportation » était pourtant simple et connue
de tous depuis le début de notre cursus : l’ESI-
ROI-IDAI, depuis sa création, a un partenariat
avec Agrosup Dijon. La 5ème année se fait au
pays de la moutarde (de rentrer) afin de pouvoir
bénéficier des différentes dominantes existant à
Agrosup. Les programmes de nos deux écoles
sont d’ailleurs assez similaires, mais les petits
effectifs ne permettent pas de proposer de spé-
cialisation en dernière année.
Le diplôme délivré nous destine à être
ingénieur agroalimentaire, avec la petite touche
« ouverture à l’Océan Indien et problématiques
tropicales » qui convient, et nous avons eu des
stages à faire en 1ère, 3ème et 4ème année. En pri-
me, notre promotion, et les suivantes dorénavant,
ont la chance, malgré la charge de travail supplé-
mentaire exigée, de préparer en parallèle un di-
plôme Master 2 en Management et Administra-
tion des Entreprises (avec l’IAE de la Réunion).
Ce double-diplôme nous sera (Incha’Allah !)
délivré à notre retour sur l’île intense.
Nous sommes là depuis quelques temps
maintenant et nous pouvons rendre un premier
bilan de notre séjour sur le continent : Agrosup
Dijon, c’est bien ! A notre arrivée, pas de col-
liers de fleurs (cela ne se fait pas à la Réunion
non plus, donc c’est bon), mais des cours intéres-
sants, une promo géniale, des rencontres, de la
nouveauté, des rhumes, des amitiés, de la fête
(comme chez vous) et l’occasion de faire connaî-
tre notre caillou adoré… Certains d’entre nous
vont rentrer, d’autres rester, d’autres encore
s’expatrier on ne sait où, mais l’étape Dijon a
certainement été bien vécue, réussie, validée,
appréciée.
En vous remerciant pour tout ce qu’on a
vécu (et tout ce qu’on va vivre) !
Les bronzés
3
.
A quoi sert l’AIE ?
Ceux qui ne s’en sont jamais rapprochés vous diront à
rien et ceux qui l’ont fait vous diront qu’ils y ont trou-
vé bien plus que ce qu’ils pensaient, c’est aussi sim-
ple que ça et nous en avons encore eu plusieurs té-
moignages au cours de l’échange qui a suivi l’AG
2010 au SIAL.
Les situations où
l’on doit prendre
des décisions et
où le dialogue
avec un autre an-
cien peut nous
apporter un éclai-
rage précieux ne
manquent pas :
Faire une thèse, choisir un 3eme cycle, intégrer telle
ou telle entreprise, construire et valider son projet
professionnel, changer d’orientation, s’expatrier, tra-
verser une période d’inactivité dans 95% des cas la
porte a déjà été poussée par un ancien ou une ancien-
ne qui partagera
volontiers son
expérience !
L’AIE est l’outil
qui répertorie et
capitalise cette
expérience, cette
intelligence collec-
tive qui permettra
au suivant d’aller
surement plus vite
et peut être un petit peu plus loin.
Faire fonctionner ce réseau, le mot est lâché, repose, à
mon avis, sur 3 valeurs:
La bienveillance, le respect, le partage.
La bienveillance envers la personne qui vient vers
vous
Le respect de la disponibilité et de la personnalité de
la personne que l’on
sollicite.
Le partage car il
faut garder à l’esprit
que nous ne som-
mes pas dans le
donnant-donnant à
l’instant t, que le
retour n’est pas for-
cement immédiat et
viendra surement d’un autre membre du réseau.
Qui est autorisé à faire partie du réseau ?
Est-ce encore un
débat à l’heure
de Viadeo et de
LinkedIn ? Per-
sonnellement je
crois qu’il n’est
ni possible ni
souhaitable de
dresser des bar-
rières. Veillons
néanmoins à ce que la transparence soit respectée
dans la présentation des parcours.
Dans un réseau, le nombre des contacts est une chose,
la qualité en est une
autre :
Participer aux acti-
vités de l’AIE est
une opportunité de
cultiver cette qualité
au cours de ren-
contres d’échanges
plus exclusifs ou
sélectifs. Les jour-
nées à thème, les
réunions régionales ou les anniversaires de promo,
sont autant d’occasions d’approfondir nos relations et
donc d’en décupler la valeur.
Très bonne année à tous.
Denis Desvignes
Promo 1989
Vice-président.
Après l’Assemblée Générale 2010 : Les réponses à 2 éternelles questions
4
5
Si le titre de ce texte se veut provocateur, il représente
malheureusement la pensée commune du monde pro-
fessionnel français. En France, comme nulle part ail-
leurs, le doctorat (PhD) n’est pas un cycle d’étude
supérieure améliorant l’insertion professionnelle.
D’après le professeur de sociologie François Vatin
(Université de Paris X), le taux de formation de doc-
teurs en France par rapport à la population est plus
faible qu'il ne l'est dans les pays de développement
économique et social comparable. Pourtant, comme le
montrent les enquêtes du Centre d'étude et de recher-
che sur les qualifications (Cereq), la situation des
docteurs sur le marché du travail est particulièrement
mauvaise en France. Ils n'ont aucun avantage par rap-
port à des titulaires de master 2. Pour preuve, le jour-
nal le Monde publiait le 08 août 2010 les chiffres
suivants :
- 10 % des docteurs de cursus purement universitaire
étaient sans emplois contre 4 % pour les titulaires
d’un diplôme d’ingénieur,
- 7 % des ingénieurs-docteurs, qui cumulent la forma-
tion polyvalente des écoles d’ingénieurs et celle de
spécialiste de la Recherche, ne réussissaient pas à
s’insérer dans le monde du travail.
Le constat est clair, le doctorat ne fait pas partie des
formations les plus convoitées par le marché du tra-
vail. Pire encore, il semble que l’on mette en concur-
rence les ingénieurs et les docteurs alors que les for-
mations et les compétences ne sont pas comparables
mais complémentaires.
L’association des doctorants d’AgroParisTech (400
personnes réparties sur l’ensemble du territoire) ainsi
que le conseille scientifique et pédagogique de mon
école doctorale (ABIES), s’attachent à communiquer
sur l’activité des jeunes chercheurs ainsi que sur leur
formation afin de revaloriser notre diplôme. Au final,
nous remarquons que très peu de personnes connais-
sent réellement la formation « pour et par la Recher-
che », pensant que nous continuons à étudier sur « les
bancs de la fac » sans acquérir aucune expérience
professionnelle. Certains vont jusqu’à penser que l’on
devient doctorant par refus d’intégrer le marché du
travail. Pour cette raison, je me propose de rappeler la
mission doctorale en quelques lignes.
Organisation du doctorat :
Le doctorat est avant tout un projet professionnel de
recherche de 3 ans, complété par des formations
continues et transversales organisées au sein des Eco-
les Doctorales (environ 50 h/an). En aucun cas il ne
s’agit de 3 ans d’études supplémentaires comme nous
avons pu les connaître. Bien au contraire, cette forma-
tion représente une opportunité pour un jeune ingé-
nieur d’être le chef d’un projet scientifique complexe,
pointu et innovant tout en bénéficiant d’un encadre-
ment de qualité.
La thématique de recherche peut être proposée soit
par une institution publique soit par un industriel
ayant des projets d'anticipation, de développement ou
de transfert; ou ayant besoin de lever un verrou tech-
nologique. Les entreprises qui choisissent de collabo-
rer avec un laboratoire public peuvent ainsi utiliser du
matériel scientifique de pointe, bénéficier de l’exper-
tise des chercheurs qui encadrent les thèses et avoir
accès en exclusivité à de l’ensemble des connaissan-
ces acquises au cours des 3 années de doctorat pour
éventuellement les valoriser (publication ou brevet).
Les pouvoirs publics ont officialisé ce type de colla-
boration en développant, entre autre, les Conventions
industrielles de Formation par la Recherche (CIFRE)
de l’Agence Nationale de la Recherche et de la Tech-
nologie (ANRT) qui proposent des aides de finance-
ments aux entreprises (une subvention annuelle de 14
000 € et un crédit d'impôt d'au moins 14 294 €). Le
pilotage du projet est assuré par un comité d’experts
des secteurs public et privé, qui se réunit plusieurs
fois par an. Les travaux des jeunes chercheurs peu-
vent donc s’inscrire pleinement dans une démarche de
projet industriel Le laboratoire d’accueil du doctorant
tire également avantage de ce système puisque son
travail participe à l’évolution de la problématique
scientifique et à la reconnaissance de l’expertise de
l’équipe de recherche par les publications , les partici-
pations aux congrès, les dépôts de brevets.
Enfin le doctorant est le troisième bénéficiaire de la
collaboration des secteurs privé et public, puisqu’il
reçoit en plus de sa formation diplômante, un salaire
annuel d’environ 23 500€ brut au minimum, avec
lequel il cotise au régime d’assurance vieillesse pour
sa retraite. Sur le plan professionnel, le doctorant dé-
veloppe de nombreuses compétences techniques et
humaines lui permettant de mener à bien son projet. Il
peut, entre autre, construire un réseau professionnel
scientifique académique et industriel et faire ses pre-
miers armes dans le management par l’encadrement
de stagiaires de tous niveaux lui permettant par ail-
leurs de développer ses capacités d’adaptation. Toutes
ces qualités acquises lors de la thèse sont appréciées
des recruteurs et extrêmement utiles pour l’insertion
professionnelle du jeune chercheur (Figure 1).
Formation doctorale : échec de l’insertion professionnelle ou réel projet de carrière.
Figure 1 :Compétences acquises par les doctorants au cours de leur mission
(Source : http://www.abg.asso.fr)
Formation doctorale : suite...
6
En effet, il leur est possible d’effectuer des missions
d’enseignement (jusqu’à bac+3 à raison de 64 h/an)
ou de conseil (« docteur en entreprise », 120 h/an).
Au delà de l’aspect formation professionnelle qui est
évident, ces activités permettent au jeune chercheur
de percevoir un second salaire de 270 € net/mois sur
l’ensemble de la durée de la thèse.
Que faire avec son doctorat ?
Sur le plan de l’insertion professionnelle, les données
de l’ANRT montrent que 96 % des docteurs répon-
dant au questionnaire d’insertion professionnelle,
accèdent à l’emploi en un an au plus, dont 90 % en un
maximum de six mois. Un docteur sur deux perçoit a
une rémunération annuelle brute comprise entre 25 k€
et 40 k€ et environ un tiers entre 40 k€ et 60k€. Les
docteurs sont aujourd’hui majoritairement employés
par des grandes entreprises (plus de 2000 personnes)
et par des institutions publiques d’enseignement et de
recherche, respectivement 38 % et 27 %. 16 % des
jeunes chercheurs trouvent un emploi dans une PME
de moins de 250 personnes et 7 % travaillent dans des
entreprises comptant entre 250 et 2000 employés
(source : ANRT).
Conclusion : : Je terminerai cette courte présentation
en précisant que nous sommes actuellement à une
période charnière où les ingénieurs-docteurs sont de
plus en plus reconnus par le monde travail puisque,
dans certains groupes (Danone, Nestlé, Soufflet, Pu-
ratos, Danisco, etc.), certains postes clefs dans le do-
maine de la R&D sont confiés à des docteurs capa-
bles, dès la fin de leur thèse, d’encadrer des techni-
ciens et des ingénieurs. Le doctorat s’impose comme
un formidable complément à notre formation d’ingé-
nieur agro, en mettant à profit l’ensemble des
connaissances acquises au cours de notre cursus, à
condition d’avoir un goût prononcé pour la recherche
et l’innovation.
La double compétence acquise ouvrira, dans les an-
nées à venir, de très belles perspectives de carrières
dans les secteurs public et privé à condition de pour-
suivre les efforts de communication et de valorisation
envers les entreprises et le grand public.
François BUCHE (06)
Les nouveaux locaux
de votre Association
7
. Chers (ères) AgroSupien-Ensbanien,
Je m’adresse à vous en ce début d’année 2011,
non pas en tant qu’ancienne de l’Ensbana mais
en tant que Directrice des Formations et de la
Vie Etudiante d’AgroSup (DFVE).
Nous avons en-
gagé cet été la
restructuration
des locaux de la
DFVE et nous
avons souhaité y
inclure le bureau
de l’AIE.
En effet, au sein
de la DFVE,
nous avons diffé-
rentes unités dont
les scolarités mais aussi des unités qui concer-
nent la prospection des candidats et leur admis-
sion au sein de l’école, l’innovation pédagogi-
que, le financement des formations, la vie étu-
diante (Bureau des élèves) ou encore l’accompa-
gnement des étudiants et leur insertion dans le
m o n -
de du
t r a -
v a i l .
D e -
p u i s
t o u -
jours,
l’AIE
est un
partenaire indispensable de l’école vis à vis des
stages, de l’accompagnement des jeunes diplô-
més et de l’insertion professionnelle.
Dans le contexte socio économique actuel, il est
important de réaffirmer et de renforcer notre par-
tenariat, ce qui est le sens du positionnement
physique de l’AIE au sein de la DFVE.
Ce partenariat se traduit notamment par l’organi-
sation du forum entreprises. Le dernier forum en
date a eu lieu le 2 décembre dernier, et a rassem-
blé une quarantaine d’entreprises des secteurs
agricole et agroalimentaire (certaines étaient
d’ailleurs représentées par des anciens…).
Dans cette logique, je souhaite vivement que la
création annoncée de l’association des ingé-
nieurs d’AgroSup Dijon puisse aboutir en 2011.
Mes attentes sont que cette future association
puisse faire vivre le réseau des anciens, tant du
côté agronomie que agroalimentaire, à travers
l’annuaire, la gestion des offres d’emplois et
l’accompagnement des jeunes diplômés.
Souhaitons nous de réussir – Bonne année 2011.
Nathalie Cayot (promo 89)
8
Un diplôme : des possibilités… ou le change-
ment dans la continuité !
Quelques mots sur un parcours professionnel
peu courant mais pas exceptionnel dans l’ensei-
gnement supérieur.
Dominique Champion
enseignante Agrosup Dijon
Diplômée de l’ENSBANA en 1993, j’ai continué
mon parcours en effectuant une thèse à l’école et
obtenu après celle-ci un poste d’ingénieur de
recherche dans l’équipe de biochimie, physico-
chimie et propriétés sensorielles. Les missions à
assurer pour cette fonction sont multiples et obli-
gent à des contacts très variés tant pour la re-
cherche que le développement, avec des parte-
naires académiques et industriels. C’est ainsi
que pendant plus de 10 ans, en exerçant ce mé-
tier au sein d’une équipe dynamique, résolument
respectueuse des motivations des individus quel-
le que soit leur position hiérarchique administra-
tive, j’ai pu évoluer d’un point de vue profes-
sionnel sans avoir à négliger ma vie personnelle.
Au sein de ce groupe, la vie a voulu également
que nous ayons à réagir ensemble à des moments
douloureux et à leurs conséquences quant au
maintien de nos thématiques de recherche. Mais
tou-
jours
soute-
nue,
sou-
vent
aidée,
le tra-
vail au
quoti-
dien
dans
mon
équipe m’a permis de m’ouvrir à des possibilités
d’évolution de carrière. Ainsi, après avoir été
admise à un concours, j’ai quitté mon poste d’in-
génieur de recherche à l’ENSBANA pour oc-
cuper celui de professeur à Agrosup Dijon. Si
cette transition n’est pas courante, elle n’en n’est
pas pour autant exceptionnelle dans notre école.
Loin de moi l’idée de vouloir vous faire une pré-
sentation de l’équipe à laquelle j’appartiens com-
me le monde de « OUI OUI », je tiens malgré
tout à
insister
sur le
fait
que
mon
passa-
ge
dans le
corps
ensei-
gnant a
aussi
été possible grâce à mes collègues qui consti-
tuent une communauté propice à l’échange et à
la production scientifique. Qu’ils en soient, en-
core une fois, tous remerciés à l’occasion de ce
témoignage.
Mes motivations pour cette réorientation de car-
rière étaient, entre autres, celle d’avoir davantage
de contacts avec les étudiants, et d’avoir ainsi, la
possibilité de transmettre les bases et la rigueur
scientifique que l’on m’a apprises à l’école. De
plus, restant dans le même environnement, je ne
pensais pas rencontrer de grosses difficultés pour
assurer la transition entre ces deux missions ; j’ai
cependant à acquérir de nouvelles compétences
ainsi qu’à asseoir une expérience des aspects
pédagogiques pour ce nouveau poste travail… et
après 40 ans, ce sont pour moi des perspectives
enthousiasmantes !
Dominique CHAMPION (93)
Un diplôme : des possibilités… ou le changement dans la continuité !
9
Outre revoir avec joie certains anciens arpenter
nostalgiquement les couloirs de l’école, le forum
des entreprises permet à tous un échange fourni
permettant de faire un point sur soi même, ses
a t t e n t e s ,
ses points
forts, ses
points fai-
bles, ses
c o n n a i s -
sances, ses
compéten-
ces, ses
ambitions
… et d’exprimer à travers cette démarche ses
perspectives d’avenir. Après la valse des entre-
tiens que l’on avait planifié par avance viennent
les improvisés, au hasard d’une publicité surpre-
nante ou d’une curiosité débordante, tantôt révé-
lant de curieuses découvertes tantôt confirmant
nos acquis. Quoiqu’il en soit, on ressort du fo-
rum riche de rencontres, de contacts, de discu-
tions et de réflexions nouvelles et diverses, qui
permettent de nous (re)positionner quant à notre
stage de fin d’étude, notre futur job, notre carriè-
re, notre avenir.
Martin LOISON – 3ème année AA
Diplômée de l’ENSBANA en 2009 et en recher-
che d’emploi depuis 1 mois, je me suis rendue
sur le forum d’AgroSup Dijon afin de rencontrer
des acteurs de la filière agroalimentaire. Cette
journée a été très positive puisque j’ai pu échan-
ger avec de nombreuses entreprises sur leurs op-
portunités et
mettre en
avant mon
profil. A
l’issue de
celle-ci, j’ai
é t é r e -
contacté par
l’une d’en-
tre elle pour
un entretien. J’insiste donc tous les jeunes en
recherche d’emploi ou de stage à se rendre sur ce
type de forum en l’ayant bien préparé !
Emeline DEVERGE (promo 2009)
Le jeudi 2 Décembre 2010 a eut lieu le Forum
Entreprise
A g r o s u p
Dijon à la
tour Démé-
ter. Celui-
ci a ras-
semblé plus
de 30 en-
t r e p r i s e s
des sec-
teurs agroalimentaires, agronomies ainsi que des
partenaires de l’emploi et était dédié aux élèves
ingénieur de 3ème année, différents masters et
jeunes diplômés. Selon les stands, il y avait plus
ou moins d’attente pour pouvoir échanger avec
l’intervenant, aussi déposer un CV afin de postu-
ler soit à un stage ou encore à un emploi. Les
représentants des entreprises étaient à notre
écoute et répondaient à toutes nos questions avec
plaisir. Ce forum a été une bonne expérience, car
il nous a permis d’avoir un contact direct avec
les industriels, d’avoir des réponses à nos diffé-
rentes questions portant notamment sur la vie en
entrepri-
se et ses
d i f f é -
r e n t s
sites. En
espérant
que les
ces ren-
con t r es
avec les
i n d u s -
triels nous permettrons à moi et à mes camarades
d’obtenir un stage mais aussi pourquoi pas un
futur emploi. Je conseille aux futurs élèves ingé-
nieurs et jeunes diplômés ainsi qu’aux industriels
de participer à cette manifestation qui est une
rencontre privilégiée et un moment important
pour préparer un projet professionnel pour nous
les étudiants.
Julie RASTOUL 3ème année AA
FORUM DES ENTREPRISES
2 DECEMBRE 2010
10
.
La vie de l’école voyage d'études
Voyage dans le Sud des nouveaux élèves-
ingénieurs AgroSup Dijon spécialité Agroali-
mentaire
Comme chaque année, des enseignants-
chercheurs d’AgroSup Dijon organisent pour les
nouveaux élèves-ingénieurs fraichement arrivés
en septembre un voyage d’étude et d’intégration.
Tous les étudiants de première année de la spé-
cialité agroalimentaire partent donc pendant qua-
tre jours à la découverte des industries agroali-
mentaires. C’est l’occasion pour beaucoup d’un
premier contact avec le monde professionnel et
industriel, et c’est aussi l’opportunité de com-
prendre un peu ce qu’est le réseau des anciens
élèves. Les ingénieurs de l’AIE sont en effet un
maillon indispensable dans l’organisation du
voyage : Isabelle Niot et Eric Ferret les contac-
tent et les sollicitent longuement pour décrocher
une visite. Pas facile d’accueillir sur un site de
production 72 étudiants (équipés de chaussures
de sécurité !) et d’organiser une visite... contrain-
tes de sécurité, d’hygiène, de production, de ca-
lendrier... L’école a besoin de l’aide de tous dans
ce travail !
Cette année, direction le Sud : Lyon puis Avi-
gnon et même Marseille pour certains. Du 21 au
24 septembre, les deux autocars roulent remplis
d’étudiants plein d’énergie et de refrains. Ils dé-
couvrent dans les différentes entreprises des an-
ciens élèves qui les accueillent : Langloys Trai-
teur (Yannick MASSON 96), l’institut Paul Bo-
cuse (Agnès GIBOREAU 89, Xavier ALIROT
00), la Biscuiterie de la Tour d’Albon (Philippe
GAILLARD 89), Brake France (Brigitte DHAI-
NAUT 80), Royal CANIN (Bénédicte GARZI-
NO 02, Patrick THIBEAUDEAU 81, Claude
ECOCHARD 86, Cécile CHERBIT 08, Claire
AUZELOUX 93, Anthony PIZZAGALLI
06...) , Mc CORMICK (Frédéric BARDONNET
96, Anne LANTENOIS 05...), PERNOD
(Marion CECCALDI 10). Un grand merci à eux
pour leur accueil et leur disponibilité. A l’institut
Paul Bocuse, une rencontre/témoignages a été
organisé entre des ingénieurs de la région lyon-
naise et les nouveaux étudiants, autour d’un buf-
fet.
Ce voyage permet également à la nouvelle pro-
motion de se connaître, de se découvrir dans une
grande convivialité festive... les deux objectifs
ont été atteints cette année encore !
L’année prochaine, direction le Nord ? Ou l’Al-
sace ? Ou autour d’Orléans ? Merci de penser à
nous et à nous aider à organiser ce moment im-
portant pour les futurs ingénieurs AgroSup Dijon
spécialité Agroalimentaire
Isabelle Niot Professeur Agrosup Dijon Eric Ferret Coordonnateur des formations
d’Ingénieurs
A vous tous ENSBANIENS,
Bientôt le Gala d'AgroSup Dijon !
Nous avons besoin de vous revoir, de vous rencontrer, de parler
avec vous.
Alors venez nous rencontrer dans cette soirée qui sera pour
vous et pour nous une soirée inoubliable.
Je compte sur vous, nous comptons sur vous, sur votre presence.
N'oubliez pas que le champagne est toujours excellent.
Toutes mes amitiés
Pierre-André Marechal
Directeur Général Adjoint
AgroSup Dijon
GALA 2011 : la 44ème promotion de l’école aux côtés de la
Xème promotion de l’ENESAD
11
12
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
En cette nouvelle année 2011 se tiendra
la seconde édition du Gala d’AgroSup Dijon.
Après 20 éditions de la version ENSBA-
NA, la famille s’agrandit et continue de fêter un
moment fort de notre vie d’ingénieur : la remise
des diplômes.
Nous célèbrerons donc, le 19 février pro-
chain, les élèves de la 44ème promotion de l’école
aux côtés de la Xème promotion de l’ENESAD.
Cette soirée, aux couleurs des 1001
nuits, se tiendra le 19 février prochain à Dijon .
Votre présence est attendue dès 18h30
pour l’apéritif, suivi du dîner qui devrait débuter
vers 20h30.
Nous accueillerons vers minuit les invi-
tés souhaitant arriver après ce repas et nous as-
sisterons tous ensemble au spectacle tradition-
nellement organisé par les élèves de l’école.
Celui-ci devrait prendre fin vers 00h30,
heure à laquelle débutera la soirée dansante.
Les festivités prendront fin aux alentours
de 4h du matin.
Vous trouverez ci-après les renseigne-
ments pratiques liés à cette soirée.
En espérant vous accueillir nombreux,
nous vous souhaitons à toutes et à tous de très
bonnes fêtes de fin d’année.
La commission Gala 2011.
Toutes les informations liées au Gala 2011
sont disponibles, grâce à
Hugo GRISART et Cyril IACONNELI,
sur notre site internet :
http://www.agrosupgala.fr/
Inscriptions :
Gala AgroSup Dijon
26 boulevard du docteur Petijean
BP87999
21079 DIJON Cedex
…/
GALA 2011 : la 44ème promotion de l’école aux côtés de la
Xème promotion de l’ENESAD
Programme :
18h30 : Accueil des invités - Apéritif
20h15 : Fin de l´accueil
20h30 : Début du dîner
23h30 : Début des animations
(Spectacle + Club musique)
00h30 : Début de la soirée dansante
04h00 : Fin des festivités
Tarifs :
étudiant / chômeur : 35 €
diplômé : 38 €
accompagnant extérieur : 40 €
ancien / administratif : 40 €
Chèque à l’ordre de BDE ENSBANA GALA
Accès :
Palais des congrès de Dijon, Hall n°2
Avenue des Grands Ducs d'Occident
(face au Palais des sports).
Stationnement sur le parking du Palais des
sports
En bus :
Depuis la Gare : Liane 3 : direction Épirey Cap
Nord, Arrêt : Palais des congrès
Depuis le centre ville : Liane 6 : Direction Toi-
son d'Or, Arrêt : Auditorium - Congrexpo
Plan :
GALA 2011 : la 44ème promotion de l’école aux côtés de la
Xème promotion de l’ENESAD
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L’AFRIQUE DU SUD
GUESTHOUSE « 4 ETOILES »
Patrice MARECHAL et Catherine DEPIERRE
(ENSBANA - 1978) ont mené une carrière atypique
pour des
ingénieurs
E N S B A -
NA. En
effet, spé-
cialisé dans
les domai-
nes de la
n u t r i t i o n
des ani-
maux ac-
quatiques,
ils ont travaillé dans le monde entier (59 pays) en tant
qu'experts pêche et aquaculture. A ce titre ils ont diri-
gés plusieurs projets de développement des pêches
pour les pays de la SADC basé au Malawi (pour le
Ministère de la coopération française) et aux Comores
(Union Européenne). Par la suite ils ont dirigé une
exploitation agricole et piscicole de 400 ha sur le Bas-
sin d'Arcachon, lié au handicap mental (CAT), pour
ensuite retravailler à l'international comme Directeur
Commercial dans le plus grand bureau d'études fran-
çais multisectoriel (BCEOM / Egis) dans les secteurs
du transport, du développement rural et urbain, de
l'eau, de l'environnement et de l'Energie. La dernière
mission de Patrice a été d'être Diplomate chargé de la
coopération technique et institutionnelle entre la
France et la Turquie tout en étant le Responsable
Français "Environnement" en Turquie. Catherine s'est
consacrée à une mission de Conseillère auprès de
Pôle Emploi.
Aujourd'hui devant les difficultés à travailler en Fran-
ce à 56 et 58 ans, et libéré de leurs obligation de pa-
rents (3 enfants français et 1 enfant népalais) ils ont
décidé de démarrer une nouvelle vie avec l'ouverture
à Hout Bay (Le Cap - Afrique du Sud) d'une très jolie
maison d'hô-
t e s .
Ils seront heureux de pouvoir vous y accueillir et de
vous faire profiter de la région (et aussi d'un prix pré-
férentiel spécial ENSBANA).
Vous pouvez déjà visionner cette guesthouse "four
s t a r s " s u r l e s i t e i n t e r n e t
www.villamontebello.co.za qui est en Français, en
Anglais, en Turc et prochainement en Hollandais et
en Allemand. Cette guesthouse présente les avantages
suivants :
- Une situation
domina nte au
sommet du Mont
Rhodes et donc
parfaitement au
calme en limite
d'un parc naturel
protégé
- Une très belle
vue sur un paysage
de montagnes avec vue sur la mer et la baie de Hout
Bay
- 4 Chambres (suites) raffinées et très confortables à
un prix très raisonnable. Possibilité d'accueillir des
groupes plus importants grace à une collaboration
avec une autre guesthouse voisine de très belle quali-
té.
- Petits déjeuners continenaux et angalis raffinés dans
un cadre paradisiaque et ensoleillé
- Accueil possible des visiteurs à l'aéroport
- Possibilité de séjours sur mesure (organisation du
séjour, excursions accompagnées ou non, locations de
voiture négociées, garde d'enfants, etc...)
Ils restent à votre écoute pour vous faire profiter de
ce merveilleux pays ainsi que de son soleil garanti
pendant les durs mois d'hiver européens.
Patrice et Catherine MARECHAL
Tel : 00 27 21 790 77 41
Fax : 00 27 21 790 87 12
www.villamontebello.co.za
NB : Cette expérience intéressante et hors du com-
mun nous confirme que les ingénieurs ENSBANA
disposent d'un capital de connaissances et d'adapata-
tion qui les rendent adaptables à de nombreuses mis-
sions en fonction des exigences du marché et de la vie
professionnelle
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DELEGATION ITALIENNE D’UDINE
A AGROSUP DIJON
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Du 23 au 26 mars dernier, une délégation de l’U-
niversité d’Udine, composée de 50 étudiants et 3
accompagnateurs, est venue visiter votre splendi-
de ville. Notre intention était de renforcer les
bons rapports existants entre notre cursus univer-
sitaire des Sciences et Technologies Alimentai-
res d’Udine et votre Institut National Supérieur
AgroSup Dijon.
Avant de décrire brièvement cette très in-
téressante expérience, je me permets de remer-
cier toutes les personnes sans qui tout cela aurait
été impossible. En premier lieu, la professeur
Mme Voilley, notre contact pour votre Ecole et
la première personne à laquelle nous nous som-
mes référés en lui proposant notre idée : celle-ci
est en fait née quelques mois auparavant, pen-
dant la remise de diplôme du doctorant Carlo
Raffaele Lerici à laquelle Mme Voilley a partici-
pé. Un remerciement particulier au Professeur
Sensidoni et aux doctorants Mlle Marcuzzo et
M. Gumiero, nos accompagnateurs dans cette
aventure, connaissant bien nos 2deux villes, Di-
jon et Udine. Enfin je me permets aussi de rap-
peler dans ces remerciements, Mme Catherine
Constant, votre responsable des rapports interna-
tionaux, toujours disponible et prompte à répon-
dre à nos questions ou à nos doutes.
Nous avons passé le premier jour de notre
voyage à visiter Dijon, à admirer vos belles habi-
tations historiques et à nous promener au travers
de petits vignobles à la découverte de vos my-
thes et étranges histoires régionales. Tout cela a
été possible grâce à la guide italienne mise à no-
tre disposition par AgroSup. En fin d’après-midi
nous avons été accueillis à l’Hôtel de Ville par le
maire de Dijon qui nous a transmis ces amitiés et
a souligné l’importance des relations internatio-
nales entre les universités en général et en parti-
culier entre les deux nôtres.
Le jour suivant en revanche nous sommes
allés visiter la fromagerie Gaugry et au retour
nous avons pu admirer les vignobles de votre
région qui s’étendent à perte de vue. Le dernier
jour est celui qui restera dans notre cœur. En
effet le matin nous avons pu découvrir l’IUVV
(Institut Universitaire de la Vigne et du Vin) et
rencontrer l’après-midi une petite délégation de
vos étudiants auxquels nous avons brièvement
présenté notre cursus universitaire. Ensuite, gui-
dés par quelques uns de vos professeurs, nous
avons pu voir les laboratoires d’AgroSup, décou-
vrir comment vous travaillez et apprécier vos
recherches. Cette splendide journée s’est termi-
née par un délicieux rafraichissement offert par
les étudiants d’AgroSup.
Ces jours sont restés dans notre cœur,
nous pouvons vous l’assurer. Ca a été un voyage
émouvant, autant par les lieux visités que par les
personnes rencontrées et ça a été une exception-
nelle occasion pour se connaître. C’est vraiment
pour cela que nous voudrions donc vous inviter à
répéter cette expérience en venant nous rendre
visite, de sorte que le jumelage entre nos deux
écoles continue dans les années à venir.
Etudiants Université UDINE (Italie)
Eva Marcuzzo et Andrée Voilley (70)
UNE ENSBANIENNE PUBLIE
SON ROMAN
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UNE ENSBANIENNE PUBLIE SON ROMAN
(BIS ?)
Décidément, l’ENSBANA
(pardon, Agro Sup Dijon !) mène à tout !
Sortie en 1991, j’ai commencé ma carrière par
un remplacement de responsable qualité dans
une entreprise de charcuterie traditionnelle en
Alsace. J’ai compris que je n’étais pas faite pour
le monde de l’industrie.
Je me suis alors tournée vers l’enseignement,
juste pour voir, et j’y suis restée, depuis mainte-
nant 18 ans ! J’ai enseigné depuis mes débuts la
plupart des matières techniques et scientifiques
que j’ai étudiées à l’ENSBANA : technologie
alimentaire, physique appliquée, biochimie, phy-
sico-chimie, analyse sensorielle…Je crois qu’il
ne reste que la microbiologie que je n’ai jamais
essayée !
En parallèle, mes copains de promo savent que
j’avais à l’époque une grande passion : le dessin
et la peinture. J’ai même animé un club dessin
les jeudis après-midi à l’ENSBANA. Puis j’ai
participé à de nombreux salons artistiques dans
ma région et un peu autour, et puis … mariage,
enfants … organisation professionnelle et fami-
liale serrée oblige, j’ai peu à peu abandonné mes
crayons et pinceaux. J’y reviendrai, un jour…
Et puis, un soir, je ne sais pas très bien pourquoi
ni comment, j’ai pris un stylo et commencé à
mettre sur le papier cette petite histoire que j’a-
vais dans la tête depuis un moment. Je pensais
qu’elle ferait 20 ou 30 pages, elle en a fait une
centaine…Je l’ai proposée à quelques éditeurs,
juste pour voir (oui, je sais, je fais beaucoup de
choses « juste pour voir », et souvent ça mar-
che), et là, surprise : trois réponses positives,
puis une quatrième !
Je vous présente donc mon premier roman
(j’espère que ce ne sera pas le dernier !) dont
l’action se déroule en Franche-Comté, de nos
jours.
Vous pouvez le trouver ou le commander dans
toutes les bonnes librairies, et sur
www.amazon.fr.
Je compte sur votre indulgence, c’est mon pre-
mier roman et je ne suis pas une professionnelle
de l’écriture, et j’attends vos impressions à mon
adresse ci-dessus !...
Monique MERCIER (CACHOD)
Promotion 1991
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Enquête annuelle sur la situation professionnelle et la rémuneration des cadres en 2010
faite par l’APEC :
Sur le thème de la MOBILITE PROFESSIONNELLE :
http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/38391/142169/version/2/file/21023-onxst1hv1gi.pdf
http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/88557/505127/version/1/file/Panorama+des+mobilit%
C3%A9s+professionnelles+2010 synth%C3%A8se.pdf
Sur le thème de la REMUNERATION :
http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/55012/457103/version/2/file/APEC-
Evol+remunerat2010-0809.pdf
http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/88597/505167/version/1/file/Evolution+de+la+r%C3%
A9mun%C3%A9ration+2010 synth%C3%A8se.pdf
http://cadres.apec.fr/cms/boxes/ApecCmsBoxes.jsp?PEGA HREF
17337908_0_0_doEvaluerSalaire=doEvaluerSalaire
Enquête sur les pratiques de rémunération réalisée auprès de 1 800 enterprises :
http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/55137/457227/version/2/file/PRCE 2010
ss_embargo.pdf
http://cadres.apec.fr/Emploi/content/download/88577/505147/version/1/file/Pratiques+de+r%C3%
A9mun%C3%A9ration+des+entreprises+2010 synth%C3%A8se.pdf
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Tél. : 03 80 77 40 96 / Fax : 03 80 77 25 00
Lin DAWANG et Guillaume DA (00) le 10 juillet 2010
Aurélie PRIEUR (07) et Nathanaël DU le 28 août 2010
Delphine DUMONT (03) et Dominique ABLERTINI sont heureux de vous annoncer la naissance de leur petite Valentine, née le 9
février 2010.
Anne-Sophie PARAZOLS-THERRIEN (99) et ont la joie de vous annoncer la naissance de leur fille Aurore le 10 mai 2010.
Agnés ANDRE (02) et Ludovic RION ont la joie de vous annoncer la naissance de leur petite Colleen le 23 juin 2010. Elle fait le
bonheur de ses parents et son grand frère Alban, les bêtises à deux c’est tellement mieux.
Elena et Julien ALIX (06) ont la joie de vous annoncer que Ambre, très pressée de faire la connaissance de ses parents est
arrivée le 7 juillet 2010 avec quelques semaines d’avance et déjà elle occupe une grande place dans la maison et surtout dans
leurs cœurs.
Delphine OLLE-BAROIN (02) et Thierry OLLE, vous annoncent qu’avec un petit mois d’avance, Manon est venue agrandir leur
famille le 10 juillet 2010. Elle était sans doute pressée de rencontrer son grand frère Raphaël.
Cécile GAS (04) et Clément GAS vous font part de la naissance de leur petite Méline. Après quelques mois de galipettes dans le
ventre de sa maman, elle a enfin décidé de pointer le bout de son nez le 6 août 2010. Que du bonheur.
Emilie GOUTAL (02), Emilie, Fabien et Adrien GOUTAL sont heureux de vous annoncer la naissance d’Adrien né 21 août 2010.
Stéphanie PETITJEAN (01) et Fabien TRUCHOT sont heureux de vous annoncer la naissance de leur petit garçon Lucas né le 21
septembre 2010.
Delphine CUDEL (98), Benoit, Benjamin et Elisa sont heureux de vous faire part de l’arrivée d’un nouveau membre du Club
TOUTMIGNONTOUBO. Gaëtan nous a rejoint le 25 septembre 2010 pour la plus grande joie de toute la famille.
Mathis est né le 15 octobre 2010 pour la plus grande joie de son frère Florian et de ses parents Enguerran et Laetitia FROIDE-FOND (93)
Agnés BOIRON (94) et Régis Boiron partagent avec Adrien et Erwan la joie de vous annoncer la naissance de Hippolyte le 21
octobre 2010.
Aïko et Yanek HUSIANCYIA (94) ont fait la rencontre d’Emi le 26 octobre 2010, qui existait et manifestait dans le ventre de
sa maman avec beaucoup de dynamisme et ils sont heureux de partager cette joie avec vous. Emi a un prénom japonais dont la
signification est « Fruit de la grâce ».
Audrey CAMUS (03), Pierre-Emmanuel FEUILLET et Gaëtane ont la joie de vous annoncer la naissance de Céleste le 4 novembre
2010.
Elise est née le 15 novembre 2010 et comble de bonheur ses parents et son grand frére. Agnés BAILLEUL (02) et Arnaud LA-
BARRE.
Géraldine DETRICHE (06) et Kévin NGUYEN ont la joie de vous annoncer la naissance de leur petite Noémie le 15 novembre
2010.
Aurélie GENNARO (03) et Olivier CORMIER (02) ont la joie de vous annoncer la naissance de Tom le 21 novembre 2010, fruit
de la fusion Ensbana/Enesad.
ILS NOUS ONT QUITTES
Professeur Pierre HENRY — Professeur des Universités à L'UFR des Sciences de la Vie et à l'ENSBANA de 1964 à 1988
Lillia KAROUI — Elève Ingénieur 3ème année — Janvier 2011
Vive les mariés Ils sont heureux de vous faire part de leur mariage. Nous partageons leur joie et leur adressons tous nos vœux de bonheur,
Vive les bébés Toutes nos félicitations aux heureux parents, et bienvenue à tous ces bébés,
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