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CONSEIL DE SÉCURITÉ

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Handbook

PresidenteAnna Hernández Espinosa

ModératriceDafne Maldonado Armengual

Oficcier des ConférenceRicardo Mercado Cordero

2013TAEMUN

Escuela Tomás Alva Edison

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Chers délégués:

Au nom de toute la tribune du Conseil de Sécurité, c´est un honneur vous recevoir dans cette dixième édition de TAEMUN 2013.

On est très ravis d´être avec vous, de pouvoir vous guider dans cette débat dans aller discuter et trouver des solutions dont on est sur qu´elles vont être satisfaisantes et donner comme solution finale la paix.

Pendant les trois jours suivants, on va débattre sur thèmes très importants pour la situation mondiale actuelle comme la non- prolifération nucléaire dans Corée du Nord et la consolidation de la paix en Afrique de l´Ouest.

On espère que ce modèle soit une expérience agréable pour vous et qu´on puisse tous sortit avec des connaissances.

Cordialement,

Tribune du Conseil de sécuritéTAEMUN 2013

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Thème A: La non-prolifération nucléaire : République Démocratique de la Corée du Nord.

« L’Asie est un « continent nucléaire » depuis les origines de l’âge atomique, qui s’ouvrit en août 1945 sur les bombardements de Hiroshima et de Nagasaki. » Le Régime International de Non-Prolifération Nucléaire a l’épreuve de l’Asie – Patrice Jorland

La Corée du Nord rejoint le TNP en 1985. Mais elle refuse de remplir ses obligations vis-à-vis de l’AIEA, tant que les Etats-Unis ne retirent pas les 100 armes tactiques déployées en Corée du Sud.

Les Etats-Unis procèdent à ce retrait en septembre 1991, permettant ainsi la signature de la Déclaration commune entre le Nord et le Sud sur la dénucléarisation de la péninsule. Pyongyang signe alors l’accord de sauvegarde avec l’AIEA en janvier 1992. Mais, à la suite d’une série de désaccords, elle annonce, en juin 1994, ne plus vouloir coopérer avec l’AIEA. Cependant, en juin 1994, un accord est trouvé entre Pyongyang et Washington : il s’agit de l’accord-cadre (ou accord de Genève) du 31 octobre 1994.

Cet accord repose sur le gel des activités nucléaires de Pyongyang et le retrait des barres de combustible usagé du réacteur de Yongbyon, en échange de la mise en place de la KEDO (Korean peninsula Energy Development Organisation), chargée de fournir à la Corée du Nord l’énergie nécessaire à ses besoins. Le cadre agrée rappelle les responsabilités de la Corée du Nord et son obligation de se conformer aux dispositions du TNP, dont l’acceptation de vérifications par l’AIEA.

Dans la perspective du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires(1957 – 1968), la communauté internationale peut être repartie en trois catégories d’Etats: premièrement les puissances officiellement nucléaires, notamment la France, la Grande Bretagne, les États Unis, la

 

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Russie et la Chine qui ont produit et fait exploser une arme nucléaire avant le 1 janvier 1967, ensuite des pays comme l’Inde, le Pakistan ou Israël qui officieusement possèdent un engin nucléaire et qui n’ont pas adhéré au TNP, enfin tous les autres États dont certains sont parties au traité et d’autres pas.

L’objectif du traité est de limiter au maximum le nombre des puissances nucléaires, en interdisant “à tout État doté d’armes nucléaires... de transférer des armes nucléaires ou autre dispositif nucléaire explosif....et à n’aider, ni encourager, ni inciter d’aucune façon un État non doté d’armes nucléaires ....à en fabriquer ou en acquérir. Par ailleurs, tout État non doté d’armes nucléaires s’engage à n’accepter de qui que ce soit... le transfert d’armes nucléaires ....et à ne pas les fabriquer ni les acquérir.”

La Corée du Nord a été le seul Etat à dénoncer le traité en mars 1993. Suite à un accord avec les États-Unis, elle est finalement restée partie au traité mais ne permettra pas l’inspection complète de son équipement nucléaire, jusqu’à ce que certaines conditions soient remplies. D’autres préoccupations subsistent encore concernant l’Iran et l’Iraq. La République Démocratique du Corée a commencé ses activités nucléaires dans les années cinquante par Kim Il-sung (le fondateur de la République) avec l´aide scientifique et technologique de Chine et l´URSS.

En 1985, la Corée du Nord a signé le Traité sur la Non-prolifération Nucléaire (TNP) mais quand l´Assemblée Générale du Peuple a changé et modifié le TNP, l´OIEA (Organisation Internationale de l´ Énergie Atomique) a fait des enquêtes et a trouvé des irrégularités dans le pays.

En 1994, un traité entre la Corée du Nord et les États-Unis, a congelé tout le plutonium, avec la vérification de l´OIEA, du pays et l´a mis dans des installations spéciales pour les détruire en échange d’une autre centrale pour faire du combustible par d´eaux lourdes. En 2002, les États-Unis ont accusé la Corée du Nord pour avoir un programme d’obtention d’uranium à travers la déclaration du scientifique Abdul Qadeer Khan ce qui a fait la sortie du pays du Traité sur la Non-prolifération nucléaire.

L’Asie, par la présence des nombreux États nucléaires en tensions parfois vives, met en lumière de façon éloquente les limites et les paradoxes de la dynamique initiée par le Traité de Non-Prolifération nucléaire (TNP). Trente-cinq ans après sa signature, le bilan du TNP en Asie est en effet assez mitigé. La prolifération nucléaire y a été importante ; la région concentre même tout le spectre des situations possibles face à l’acquisition d’armes nucléaires : pays détenteurs, pays proliférateurs, pays non adhérents au TNP, pays violateurs du TNP, pays « pacifistes », pays « du seuil »

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Les activités nucléaires continuent dans les pays, ils font des essaies souvent et ils ont menacé avec une guerre nucléaire dans les jours passées. Beaucoup de pays comme l´Inde, le Kazakhstan, la Chine et la Colombie veulent signer un traité pour l’interdiction des essais nucléaires. L’influence des opposants, en particulier des pays en voie de développement, a de toute manière abouti à un certain résultat. En échange de cette extension illimitée, les puissances nucléaires ont accepté que trois documents accompagnent la décision:

un texte concernant le renforcement des mécanismes d’examen du fonctionnement du TNP: la prochaine conférence d’examen est fixée à l’an 2000;

un texte sur les principes et objectifs de la non-prolifération et du désarmement nucléaires; il comprend un programme d’action en vue du désarmement nucléaire, notamment la conclusion par la conférence de Genève, du traité sur l’interdiction totale des essais nucléaires (CTB);

un troisième document sur le Moyen Orient. Ce texte a posé plus des problèmes dans les dernières 24 heures de la conférence; selon le projet initial d’un groupe de pays arabes, ayant en tête l’Algérie et l’Egypte, il devait demander explicitement à Israël de renoncer à l’arme nucléaire et s’adhérer au TNP. Le texte final en revanche, soutenu aussi par les EU, la Russie et la Grande- Bretagne, ne citant plus explicitement l’Etat hébreu mais plutôt les pays du Moyen Orient qui ont des installations nucléaires dont la sécurité n’est pas garantie, lance alors un appel aux États, qui ne l’ont pas encore fait, s’adhérer au TNP.

A souligner, comme l’ont fait à leur tour la Russie et la Chine, que la prorogation indéfinie du TNP ne devrait pas constituer un mandat pour une possession indéfinie par les puissances nucléaires d’arsenaux nucléaires. Il faut qu’il se pose comme la première étape du processus d’élimination de ce type d’armement. Le TNP demeure probablement un régime international controversé, sur les conséquences duquel les États membres sont encore profondément divisés.

Celui-ci c´est un problème pour la population mondiale car la Corée du Nord fait souvent des menaces nucléaires aux plusieurs pays et cela puisse provoquer une troisième guerre mondiale. Par conséquence, le Conseil de Sécurité considère pertinent traiter ce problème immédiatement.

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Questions

Questions pour vous aider à rédiger votre papier de position et se guider dans le débat :

¿Quelles sont les relations de votre pays avec l´Asie et la Corée du Nord ?

¿Quelles sont les relations de votre pays avec les États-Unis ?

¿Est-ce que votre pays a des activités nucléaires ?

Références El Universal (15/11/12). Corea del Norte amenaza con ataques nucleares.

[moyen electronique] De la page de El Universal. http://www.eluniversal.com.mx/notas/668717.html [26/03/10]

El País (15/11/12) El programa nuclear de Corea del Norte. [moyen electronique] de la page de El País http://internacional.elpais.com/internacional/2011/12/20/actualidad/1324375721_863970.html [20/12/11]

ONU [Organisation des Nation Unies] Le traité d´interdiction complète des essaies nucléaires (TICE) [moyen électronique] De la page de l´ONU [20/11/12] http://www.un.org/fr/events/againstnucleartestsday/treaty.shtml

ONU [Organisation des Nation Unies] Corée du Nord : l’AIEA salue des avancées sur le programme nucléaire [moyen électronique] De la page de l´ONU [20/11/12] http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=27698&Cr=RPDC&Cr1=#.UKxkm2fMKt8

Category Net : Conseil de sécurité : Consolidation de la pays en Afrique de l´Ouest [moyen électronique] De la page de Category Net [14/01/13] http://www.categorynet.com/communiques-de-presse/defense%10securite/conseil-de-s%C3%89curit%C3%89%3A-consolidation-de-la-paix-en-afrique-de-l%E2%80%99ouest-(en-cours)-2006081026542/