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Dossier de presse réalisé avec le soutien d’InnovaTech ASBL DOSSIER DE PRESSE 08 DECEMBRE 2016

DOSSIER DE PRESSE - Innovatech

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Dossier de presse réalisé avec le soutien d’InnovaTech ASBL

DOSSIER DE PRESSE08 DECEMBRE 2016

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Une armature innovante pour des soutiens-gorge au confort et au maintien inégalés.

Anne Lelong étend sa gamme LadySwoo et passe de 3 à 9 tailles.

« On ne pourra pas dire que c’est un coup de bol ». Cinq ans d’efforts intenses et le résultat est là. La Cominoise Anne Lelong, fondatrice de la SNC LadySwoo, propose aujourd’hui à la vente pas moins de 9 tailles de soutien-gorge (noir et champagne). Des sous-vêtements qui présentent une particularité tout à fait étonnante : leurs armatures inno-vantes. Elles ont un design 3D qui s’adaptent au corps de la femme, un matériau actuel longuement étudié et elles ont une excellente mémoire de forme, c’est-à-dire qu’elles ont la capacité de garder en mémoire une forme initiale et d’y retourner même après une déformation. Résultats : un confort et un maintien inégalés, un plus beau galbe naturel pour le buste. Une vraie innovation : il y a plus d’un demi-siècle que les armatures métalliques avaient été introduites dans la lingerie féminine et rien n’avait évolué ! Une innovation qui va se décliner sous toutes ses formes, des négociations sont d’ailleurs en cours avec une grande entreprise européenne de précision.

Un p’tit bout de femme bourré d’énergie

Anne Lelong, c’est un petit bout de femme bourré d’énergie, dopé aux challenges et doté d’un instinct presqu’infaillible. Avant de devenir une commerciale hors-pair, elle s’était challengée dans le sport de haut-niveau. Elle a notamment joué la coupe de Belgique de Volley Ball dans son club, Hermanas Wervik, comme atta-quante, avant de rejoindre le club de Lille.

Après des humanités scientifiques, elle a démarré des études supérieures en ar-chitecture à Saint-Luc. Une mauvaise expérience avec le jury chargé d’examiner son projet l’a amenée à arrêter les études et à se lancer dans la vie active. Dessi-natrice dans un bureau d’études, durant un an et demi, elle a notamment réalisé une maison des mutualités (à Bruxelles) en béton architectonique.

Suite à cette expérience, cette sportive de haut-niveau a vite compris qu’elle n’était pas faite pour rester entre quatre murs. « Il me fallait un challenge ». Dans son parcours de vie, elle a croisé un directeur commercial qui lui a proposé de s’essayer au commercial. Ce fut le début d’une carrière de 20 ans !

« J’ai pratiquement toujours travaillé dans le secteur de l’imprimerie. Mon job, c’était de créer un portefeuille de clients. Cela m’amusait moins lorsqu’il fallait le gérer, le challenge était réalisé. En général, je travaillais durant 6 ans dans la même entreprise et puis je m’en allais. Mon dernier poste de commerciale, je l’ai occupé – une fois de plus durant 6 ans – chez un imprimeur de Roulers. Un imprimeur de niche qui travaillait en offset UV sur des supports synthétiques. C’était un super boulot, avec un super salaire et une super voiture de société ».

Pourtant suite à des problèmes récurrents avec les armatures métalliques de sa lingerie alors qu’elle achetait de bonnes marques, il lui est venu l’idée de créer de remplacer l’armature par une matière non métallique. pour l’inté-grer dans un soutien-gorge. Elle a testé un « prototype » réalisé par ses soins avec des bouts de supports synthé-tiques de l’imprimerie. Elle les a glissés dans son soutien-gorge. Quelle impression de confort et de maintien ! « J’en ai parlé à ma sœur. Le soir-même, je voulais créer ma société et déposer un brevet ». Elle a tout de même pris un an de réflexion avant de démissionner.

« Cela faisait des mois que le problème me taraudait. Je trouvais surprenant que personne n’aie jamais trouvé une solution pour remplacer le métal dans les soutiens-gorge pour améliorer le confort. Un soutien-gorge sans armature ne maintient pas une forte poitrine, ce n’est pas confortable et certainement pas joli. Quand on les essaie en boutique, on fait « wow ». Mais quand on les porte une journée complète, ce n’est plus cela ». Une femme sur 3 subit cet inconfort au quotidien à cause des armatures métalliques surprenant, les marques en sont conscientes. C’est particulièrement vrai pour les femmes aux poitrines généreuses. Or, ces dernières années on constate que la taille des seins ne cesse d’augmenter dans nos pays.

Photos ‘Boudoir Luxe’

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Avant de créer son entreprise, Anne Lelong a d’abord contacté Picarré, l’organisme wallon en charge de la propriété intellectuelle, pour protéger son idée, puis son invention. « Ensuite, j’ai été accompagnée par La Maison de l’Entreprise (LME) pour créer ma société, la SPRL AL-Concept ».

Créée en janvier 2012, elle a d’abord été installée à Comines, puis à Arquennes. « J’ai introduit une demande de bourse de préactivité (12.500 €) que j’ai obtenue à force de négociations ». Elle a également réalisé une étude de marché sur 1100 femmes qui ont confirmé qu’une femme sur trois subissait de l’inconfort à cause des armatures métalliques. Elle a également fait tester le prototype par une centaine de femmes. Les retours étaient extrêmement positifs. Au-jourd’hui, le produit est prêt. Il s’appelle Swootec. Il est distribué par LadySwoo, une société en nom collectif (SNC).

« Mon secret, c’est la matière »

« Mon produit innovant, c’est l’armature du soutien-gorge. J’ai résolu un problème tech-nique qui empoisonne la vie de millions de femmes dans le monde. Mais je ne fais pas dans la dentelle. Je voulais des soutiens classiques esthétiquement joli et et pratique qui améliorent le maintien de la poitrine et donc le confort. La microfibre et la forme du soutien-gorge LadySwoo s’adapte à un maximum de poitrine. Il faut juste que la cliente connaisse sa taille. C’est comme si vous alliez vous acheter des mocassins, vous ne vous inquiétez pas du confort juste de la taille. C’est pour cette raison que le tableau des tailles est repris sur le site ». C’est en associant une forme 3D, à base de matériaux issus de nouvelles technologies, « métal free » qu’un produit remarquable a vu le jour.

Le secret d’Anne, en effet, c’est aussi la matière utilisée pour concevoir son armature innovante et design, brevetée sur l’ensemble du continent européen. « C’est un mélange de polymères et d’une seconde matière, précisément dosée ». On n’en saura pas plus. Réalisé avec l’aide de deux centres de recherche wallons (le CERTECH et SIRRIS, financés par les chèques technologiques) et les conseils de plusieurs professionnels, le produit Swootec est introduit dans des soutiens-gorge réalisés au Portugal, au sein d’une entreprise familiale. Un ensemble de qualité avec des tissus légers et agréables à porter.

Les armatures mélangent à la fois rigidité et souplesse, dotées d’une excellente mémoire de forme et dont la résis-tance a été éprouvée sur les bancs tests d’une université : pas moins de 12.000 écartements de 2,5 cm ont été réali-sés. Et l’armature n’a pas bougé d’un iota…

« Nous avons opté pour une lingerie quotidienne, en noir et en champagne, avec trois tailles pour le lancement : 90E, 95D et 100 C un seul moule industriel était fonctionnel pour connaître les retours du marché. Ces tailles sont le début des grandes tailles, public-cible qui a davantage de soucis. Le prix de vente a été fixé à 59,95 €. Une trentaine de prototypes ont été réalisés et essayés par des femmes. Toutes font part d’un confort exceptionnel ».

A la recherche de financements

Déterminée, Anne Lelong s’est également démenée pour récolter l’argent nécessaire à la fabrication des armatures et des soutiens-gorge.

Elle a d’abord décroché plusieurs bourses auprès de la Région wallonne, a été soutenue par Wapinvest, Novallia et le programme Boost-Up. Elle a également participé à une opération de crowdfunding qui lui a rapporté 8.000 €. « Cela m’a permis de financer mes premières com-mandes ». Elle est aussi lauréate de divers prix : catégorie « starter » par les Femmes Chefs d’Entreprise ou « Femme entrepreneure », prix wallon de l’entreprenariat, finaliste de L’idée en or de Sudpresse. Elle s’est récemment refinancée pour concrétiser une extension de la gamme qui passe de trois à neuf tailles depuis le début du mois de décembre. Au total, elle a déjà fa-briqué 750 soutiens-gorge trois tailles. Une nouvelle commande de 600 soutiens-gorge, desti-nés aux six nouvelles tailles (95E, 100D, 105C, 100E, 105D et 110C) vient de débarquer dans les boutiques partenaires. Des boutiques installées à Namur, Charleroi, Uccle, Estaimpuis, Stem-bert, Gerpinnes, Jambes. Les produits LadySwoo sont également distribués via deux réseaux de vente à domicile et via la boutique en ligne LadySwoo.

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Ce dossier de presse a été réalisé avec l’aide d’InnovaTech.InnovaTech accompagne les porteurs de projets et entreprises innovantes dans leur projet d’innovation technologique et les aide à se promouvoir auprès de la presse. InnovaTech est financée par le Fonds social européen et la Wallonie.

Plus d’infos sur www.innovatech.be

Anne LELONG + 32 479 34 04 05

www.ladyswoo.com

www.facebook.com/LadySwoo