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Finistère une économie innovante Soutenir la filière agricole dans son ensemble Afin d’accroître l’attractivité du Finistère et de promouvoir l’expertise et le savoir-faire des entreprises finistériennes, le Conseil général organise régulièrement des visites d’acteurs économiques qui font la force et la richesse de l’économie de notre département à l’attention de la presse nationale et internationale spécialisée. Cet accueil presse s’inscrit dans le cadre de la Charte d’internationalisation du Finistère qui regroupe, autour du chef de file, le Conseil général, les chambres consulaires, la chambre d’agriculture et les agglomérations de Brest, Morlaix et Quimper. Ce partenariat a pour ambition de faire valoir à l’international les évolutions des principales filières économiques du Finistère et de mettre en avant les entreprises innovantes de notre département. Ces 21 et 22 novembre, l’accueil presse porte sur les équipements et le savoir-faire de l’élevage. La filière de l’élevage est diverse dans le Finistère. Elle draine un fort potentiel économique et représente un vivier important d’emplois. Toutefois, la flambée des prix des céréales pèse lourdement sur les producteurs et les déboires du groupe Doux déstabilisent la filière avicole. Face à ces difficultés, les acteurs s’organisent et misent sur l’innovation, la qualité sanitaire, la sécurité alimentaire et la préservation de l’environnement comme axe stratégique de développement et d’attractivité de toute la filière. Les acteurs finistériens ont toujours montré leur capacité à œuvrer collectivement pour défendre une filière économique essentielle à l’aménagement du territoire. Cet accueil presse est l’occasion de souligner la forte implication du Conseil général pour soutenir et accompagner les acteurs économiques locaux et les aider à s’adapter aux nombreuses mutations qui touchent le monde économique. Pierre MAILLE Président du Conseil général du Finistère Équipements et savoir-faire pour l’élevage Voyage de presse des 21 et 22 novembre 2012 Une action du Conseil général du Finistère, en partenariat avec

DP CG29 voyage presse sur l'élevage

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Le Conseil général mène de nombreuses actions sont menées pour accompagner l’ouverture internationale des entreprises, attirer des investisseurs étrangers et promouvoir les atouts économiques du Finistère. Les 21 et 22 novembre 2012, il a organisé des visites dans neuf entreprises spécialisées dans l'élevage à destination de la presse nationale et internationale.

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F i n i s t è r eune économie innovante

Soutenir la filière agricole dans son ensemble

Afin d’accroître l’attractivité du Finistère et de promouvoir l’expertise et le savoir-faire des entreprises finistériennes, le Conseil général organise régulièrement des visites d’acteurs économiques qui font la force et la richesse de l’économie de notre département à l’attention de la presse nationale et internationale spécialisée.

Cet accueil presse s’inscrit dans le cadre de la Charte d’internationalisation du Finistère qui regroupe, autour du chef de file, le Conseil général, les chambres consulaires, la chambre d’agriculture et les agglomérations de Brest, Morlaix et Quimper.

Ce partenariat a pour ambition de faire valoir à l’international les évolutions des principales filières économiques du Finistère et de mettre en avant les entreprises innovantes de notre département.

Ces 21 et 22 novembre, l’accueil presse porte sur les équipements et le savoir-faire de l’élevage. La filière de l’élevage est diverse dans le Finistère. Elle draine un fort potentiel économique et représente un vivier important d’emplois.

Toutefois, la flambée des prix des céréales pèse lourdement sur les producteurs et les déboires du groupe Doux déstabilisent la filière avicole.

Face à ces difficultés, les acteurs s’organisent et misent sur l’innovation, la qualité sanitaire, la sécurité alimentaire et la préservation de l’environnement comme axe stratégique de développement et d’attractivité de toute la filière. Les acteurs finistériens ont toujours montré leur capacité à œuvrer collectivement pour défendre une filière économique essentielle à l’aménagement du territoire.

Cet accueil presse est l’occasion de souligner la forte implication du Conseil général pour soutenir et accompagner les acteurs économiques locaux et les aider à s’adapter aux nombreuses mutations qui touchent le monde économique.

Pierre MAILLE

Président du Conseil général du Finistère

Équipements et savoir-faire pour l’élevage

Voyage de pressedes 21 et 22 novembre 2012

Une action du Conseil général du Finistère,

en partenariat avec

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F i n i s t è r eune économie innovante

Le Finistère, terre d’élevage : équiper et savoir faire

Avec plus de 7 300 exploitations, qui couvrent 57% du territoire départemental, le Finistère se place au 13ème rang national dans le domaine agricole français : en 2011, la valeur de ses productions agricoles a représenté 2 milliards d’euros.

Au sein de la « ferme Finistère », les productions animales constituent une activité plus qu’importante.

En témoigne leur part dans la valeur de ses productions en 2011 : - Viande de porc : 30%, soit 20,6% de la production française, 1er rang national

- Lait : 20%, 4ème rang national

- Volaille et œufs : 5ème rang national.

Les activités liées à l’élevage constituent de plus, en Finistère, un champ important de l’ouverture internationale du département.

Ainsi, en 2011, la « viande et les produits à base de viande » représentent, avec près de 560 M€, 19% de la valeur des exportations au départ du Finistère.

Ces échanges bénéficient, avec le port de commerce de Brest, d’un équipement performant : en 2011, près de 280 000 tonnes de volailles et viandes congelées y ont transité.

Une activité présente dans toute l’économie du Finistère

Les activités liées à l’élevage marquent de leur empreinte toute l’économie départementale : recherche biologique et génétique, production d’alimentation animale, industries agroalimentaires, construction de bâtiments d’élevage, transport d’animaux vivants ou de produits valorisés, équipementiers industriels, commerce de gros de matériels, import/export... autant d’activités liées directement ou pour partie au monde de l’élevage.

Le lien entre élevage et industries agroalimentaires est évident.

Ces dernières emploient plus de 20 300 salariés qui, pour nombre d’entre eux, travaillent des produits issus des élevages finistériens, tant les industries de la viande (8 000 salariés) que les industries liées à la transformation du lait (2 400 salariés) ou les spécialistes de l’alimentation animale (900 salariés).

Autant dire que dans un contexte général de crise, les entreprises liées à ce secteur, qui couvrent un large spectre d’activités, ont à cœur d’innover, en tenant compte de plusieurs paramètres :

- Le paramètre économique : la flambée du prix des céréales intervient lourdement dans les bilans d’exploitation des entreprises agricoles et agro alimentaires.

Équipements et savoir-faire pour l’élevage

Programme du voyage de pressedes 21 et 22 novembre 2012

Une action du Conseil général du Finistère,

en partenariat avec

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- Le paramètre sanitaire : les consommateurs y sont, à raison, attentifs.- Le paramètre de l’environnement écologique : toutes les entreprises agricoles et agro alimentaires y sont désormais sensibles. La pérennité de leur activité en est un corollaire évident.

Valoriser les atouts de l’élevage

Toutes ces données se sont combinées pour nombre d’entreprises de la filière qui ont voulu valoriser et développer les atouts de l’élevage finistérien :

KEOSL’objectif de la société KEOS, de Morlaix, est d’accompagner les éleveurs vers un nouveau modèle économique afin d’accroître la rentabilité de leur entreprise et la qualité de leurs produits. La démarche s’articule sur différents axes liés aux infrastructures, au choix génétique et alimentaire. À cela s’ajoute la mise en place d’un plan d’actions techniques, économiques et d’un accompagnement environnemental. La société KEOS nous accompagnera dans une exploitation agricole de Saint-Thonan.

ALGOTECImplantée à Quimper depuis plus de 15 ans, l’entreprise ALGOTEC maîtrise le traitement industriel des odeurs, des COV (Composés Organiques Volatiles) et des fumées. La société conçoit et installe, dans le respect de l’environnement, tout type de solution de traitement des nuisances olfactives dans des industries agro-alimentaires et pharmaceutiques, ainsi que dans des exploitations agricoles.

ECATCréé il y a 6 ans, ECAT (Egg Chick Automated Technologies) est un des deux premiers leaders mondiaux dans le domaine de l’automatisation des couvoirs. La société propose une large gamme d’équipements automatisés utilisant des technologies de pointe : mirage laser, mirage avec détection du contenu de l’œuf… ECAT conçoit et fabrique également des machines automatisées pour les laboratoires pharmaceutiques.

TERAQUALa société TERAQUA de Morlaix est spécialisée dans la conception et la fabrication de systèmes automates-calculateurs. Elle développe son expertise aussi bien en environnement aquatique que dans le domaine de l’élevage

porcin. Au chapitre des innovations, TERAQUA a mis au point un procédé d’automatisation d’alimentation individualisé.

ADN Créée en 1987 à l’initiative de coopératives de production porcine, l’entreprise ADN compte près de 2000 clients en Bretagne mais réalise aujourd’hui 80% de son chiffre d’affaires à l’étranger. ADN travaille sur la performance génétique pour améliorer les différentes races de porcs. La société réfléchit actuellement à la congélation d’embryons de porcs.

TRISKALIACoopérative agricole bretonne créée en 2010, TRISKALIA compte 20 000 agriculteurs adhérents et plus de 4000 salariés. TRISKALIA présentera sa branche de nutrition animale qui vise à accroître la productivité, tout en garantissant la qualité alimentaire pour le consommateur et le respect de l’environnement grâce à ses recherches actuelles sur la réduction du rejet de méthane par les bovins.

COPRIInstallée depuis 10 ans à Ploudalmézeau, la société COPRI s’est spécialisée dans la nutrition santé. Elle propose aujourd’hui une ligne d’aliments pour la bonne santé de l’animal, gage aussi d’une qualité alimentaire pour le consommateur. COPRI a ainsi élaboré un cocktail innovant à base d’algues, d’huiles essentielles et aussi d’oméga-3 issus de graines de lin extrudées.

NEPTUNE La société NEPTUNE basée à Saint-Evarzec a mis au point un procédé de désinfection de l’eau. Le Bio-K-Cid+, conçu à partir de dioxyde de chlore, apporte une solution pour lutter contre les germes dans les élevages. Le bon état sanitaire entraîne une réduction de l’utilisation d’antibiotiques. Il garantit un moindre coût pour l’éleveur et un gage de qualité pour le consommateur.

TUFFIGO-RAPIDEXLeader français des équipements hors sol, TUFFIGO-RAPIDEX propose des concepts complets pour les élevages de porcs, volailles, lapins, bovins... L’entreprise a notamment innové dans des solutions de surveillance et de pilotage des installations à distance grâce à des tablettes et Smartphones. Un service après-vente à distance est également proposé pour intervenir à l’international.

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Mercredi 21 novembre 2012

• Départ de Paris Orly à 6h45 - Arrivée à Brest à 7h55

Aéroport de Brest • Accueil des journalistes

8h30 - 9h30 • Rappel du programme

- Présentation des accueils et de la démarche de promotion économique du Finistère par M. Michaël Quernez, Vice-Président du Conseil général du Finistère

- Présentation, par les partenaires de la charte d’internatio-nalisation du Finistère, des structures et des nouveautés des territoires en lien avec le thème de l’accueil presse

- Présentation de la filière par la COCEF

10h - 11h15 • Saint-Thonan - Présentation de la société KEOS par M. Kernevez, Directeur et visite de l’exploitation de M. Berthou, exploitant

11h45 - 12h30 • Landivisiau - Présentation de la société ALGOTEC par Mme Rouxel, Chargée de recherche et développement

12h30 - 14h • Landivisiau - Déjeuner au restaurant Terre et Mer

14h30 - 16h • Landivisiau - Visite et présentation de la société ECAT par M. Adjanohoun, Directeur et Mme Jules, Responsable Marketing

16h30 - 18h30 • CCI de Morlaix - Présentations de la société ADN par Mme Colin, Responsable Export et de la société TERAQUA par M. Billon, Co-gérant

20h  • Morlaix - Dîner à la crêperie «Atipik Bilig» et hébergement à l’Hôtel du Port.

Jeudi 22 novembre 2012

8h • Départ de l’hôtel

10h - 11h30 • Concarneau - Visite et présentation du site de Concarneau de la coopérative Triskalia par M. Costiou, Directeur du site, M. Le Sausse, Directeur industriel et M. Le Gall, Responsable de la nutrition bovine

12h - 12h45 • Quimper - Présentation de la société Copri par M. Colin, Directeur

12h45 - 13h45 • Quimper - Déjeuner au restaurant «Le Quai»

13h45 - 14h15 • Quimper - Visite du Centre ville (Temps libre)

14h45 - 15h45 • Saint-Yvi - Présentation de la société Neptune par M. Guillard, Directeur et visite de l’exploitation de M. Guyon, exploitant

16h - 17h30 • Quimper - Visite et présentation de la société Tuffigo Rapidex par M. Martin, Directeur et M. Julien, Responsable Marketing

Aéroport de Quimper

• Départ à 18h55 - Arrivée à Paris Orly à 20h10.

Pour en savoir plus : www.cg29.fr

Contacts :Conseil général du Finistère • Emmanuelle Le Du, Service Europe et international (DDEI) • Tél : 02 98 76 24 62 • [email protected] presse • Agence RIVACOM • Tel : 02 98 43 21 50 – Claude Pengam – [email protected] – 06 51 64 96 52

Conseil général du Finistère - Direction de la communication – Novembre 2012 Accueil Presse - Équipements et Savoir-faire pour l’élevage - 21 et 22 novembre 2012

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Équipements et savoir-faire pour l’élevage

Une action du Conseil général du Finistère,

en partenariat avec

Conseil général du Finistère - Direction de la communication – Novembre 2012 Accueil Presse - Équipements et Savoir-faire pour l’élevage - 21 et 22 novembre 2012

COTES

D’ARMOR

MORBIHAN

Brest

Châteaulin

Quimper

Quimperlé

Douarnenez

Carhaix-Plouguer

Pont-L’Abbé

Landerneau

ADNPLEYBEN

CopriPLOUDALMÉZEAU

KéosMORLAIX

TéraquaSAINT-MARTIN-DES-CHAMPS

NeptuneTuffigo RapidexSAINT-ÉVARZEC

AlgotecEcatLANDIVISIAU

TriskaliaCONCARNEAU

ExploitationM. GuyonSAINT-YVI

T r a i t e m e n t s d ' o d e u r s e t d e s c . o . v .Algotec

I N T E R N A T I O N A L

ExploitationM. BerthouSAINT-THONAN

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F i n i s t è r eune économie innovante

Créée en 1987 à Pleyben, ADN émane directement de la volonté

d’éleveurs de se doter d’une structure hautement qualifiée sur la

recherche génétique et la reproduction des porcs. Ses actionnaires,

les groupements de producteurs Aveltis, Prestor et Terrena, ont

ainsi souhaité jouer un rôle moteur dans le développement de

la filière porcine et la pérennisation des élevages. Une quête

d’excellence reconnue dans plus de 30 pays dans le monde.

Par et pour les producteurs

La société ADN est issue de l’initiative commune de plusieurs

producteurs de porcs de créer au sein d’une même entité un pôle

de compétences spécialisé dans la génétique. Leur but : renforcer

le statut sanitaire des animaux et améliorer les races porcines

existantes. Dans cette perspective, ADN adopte une démarche

transversale dans la mesure où ses trois domaines d’expertise

- génétique, santé et négoce - se développent en interaction.

A travers ses différentes compétences, ADN se situe au cœur

même de la filière porcine ce qui lui permet, de l’amont à l’aval,

de synthétiser les problématiques et d’apporter des réponses

pragmatiques et fiables à ses clients. Le principal levier de cette

amélioration de la race passe par la sélection des meilleurs

reproducteurs au sein des élevages puis par croisement entre

eux. Ce travail de sélection/reproduction permet d’accroître les

performances de l’animal notamment au niveau de la longévité,

les aptitudes maternelles des truies, les indices de

consommation, la croissance, le rendement et la

qualité de la viande. En d’autres termes, ADN se place

comme la courroie de transmission entre les éleveurs en sélection

et les producteurs de porcs charcutiers.

Aller plus loin avec la recherche génomique

En parallèle, ADN mène en collaboration avec plusieurs instituts de

recherche (INRA, IFIP, Pig Selection Agency) plusieurs programmes

de recherche sur certains critères de sélection. L’un de ces dossiers

vise notamment à développer la technique de congélation des

embryons. Si cette méthode existe déjà dans l’élevage bovin, elle

est en revanche un véritable défi pour la filière porcine.

En cause : les particularités anatomiques des truies rendent

particulièrement complexes et délicates les manipulations des

embryons (collecte, congélation et réimplantation). Les avantages

liés à cette technique sont nombreux : simplification du processus,

limitation des risques de contamination, préservation des souches

génétiques en cas d’épidémies. « Outre l’aspect pratique du

procédé, cela permettrait d’une part d’accélérer l’introduction du

progrès génétique en utilisant 100% du patrimoine génétique

grâce à l’embryon contre 50% par la semence, et d’autre part, de

relancer un élevage ayant subi un accident sanitaire en faisant

appel à une banque d’embryons congelés », explique Isabelle

Colin, Responsable Export chez ADN.

Une expertise plébiscitée à travers le monde

La France est reconnue pour avoir largement contribué à

l’amélioration de la race porcine et plus particulièrement sur la

prolificité des femelles. « A l’étranger, les producteurs ont les

mêmes besoins qu’en France : trouver de bonnes reproductrices

ADNSélectionner les meilleurs profils, une quête d’excellence

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Date de création- 1987

Secteur d’activité- reproduction et génétique en élevage porcin

Effectif- 8 salariés

Chiffre d’affaire global- 5,6 Millions d’euros

Chiffre d’affaire à l’export- 3,4 Millions d’euros

Marchés étrangers et pays ciblés- Union européenne, Pays de l’Est, Canada, Chine

Projet- congélation d’embryons

ADNRue Maurice de Tresiguidy Téléphone : 02 98 26 74 1129190 Pleyben Courriel : [email protected] Site internet : www. adn-genetic.com

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

et des mâles qui apportent beaucoup de viande », précise Isabelle

Colin. Dans ces deux domaines, la génétique porcine française

bénéficie d’une très bonne cote ce qui explique la part importante

des exportations dans l’activité d’ADN. Avec plus de 60% de son

chiffre d’affaires réalisé à l’export, ADN rayonne dans plus de 30

pays différents : Union Européenne, Pays de l’Est, Canada, Chine…

Afin de s’assurer une représentation efficace – en corrélation avec

les cultures et les besoins spécifiques de chaque pays - , ADN travaille

en collaboration avec un réseau d’agents chargés de mener les

actions de prospection, mais aussi les opérations commerciales

et douanières liées à l’exportation des animaux (démarches

administratives, dédouanement, transport jusqu’au client final).

Conseil général du Finistère - Direction de la communication - Novembre 2012 Accueil Presse - Équipements et Savoir-faire pour l’élevage - 21 et 22 novembre 2012

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F i n i s t è r eune économie innovante

Spécialisée dans le domaine de la réduction des nuisances industrielles et agricoles, la société ALGOTEC International est historiquement implantée en région quimpéroise depuis sa création en 1993 et a, depuis 2011, intégré de nouveaux bâtiments. Créé en 1996, le département « Traitement Industriel des Odeurs » est en mesure de concevoir et fabriquer des solutions techniquement et financièrement adaptées aux problématiques d’épuration de l’air de l’industrie et de l’élevage.

Une expertise à trois dimensions

Lors de sa création, ALGOTEC International concentrait son activité sur la fabrication d’engrais à base d’algues (département Teral). Par la suite, la société s’est progressivement diversifiée vers le traitement des odeurs et des polluants gazeux avec la création en 1996 de TRIOD, Traitement Industriel des Odeurs. Depuis, ce département est devenu le cœur de métier d’ALGOTEC International. En parallèle, la société quimpéroise a poursuivi sa démarche de diversification des compétences en implantant en Belgique un pôle baptisé Lisa spécialisé dans la valorisation des effluents liquides par méthanisation.

TRIOD, une technologie brevetée

En plus de 15 ans d’activité, TRIOD a acquis une solide maîtrise du traitement industriel des odeurs, des COV (Composés Organiques Volatils) et des fumées. Il existe différents procédés de traitement des odeurs, plus ou moins fiables et plus ou moins onéreux. Les caractéristiques et les contraintes liées à l’effluent à dépolluer seront

déterminantes quant au choix du procédé. Pour sa part, ALGOTEC International a principalement orienté ses techniques sur la biofiltration et le lavage chimique, et propose aussi de recourir à l’absorption sur charbon actif.

En 1999, sa technologie de biofiltration a notamment été distinguée par le prix Innov’space au salon de l’agriculture SPACE de Rennes.

Le biofiltre TRIOD est une technique brevetée de dégradation des composés odorants par des bactéries naturelles du sol. Il est, de par son fonctionnement et son efficacité, le système de biofiltration le plus abouti sur le marché. Le principe utilisé fait passer l’air sur un massif filtrant composé de particules minérales servant de support de développement aux bactéries. Lors de son passage dans le filtre, l’air est arrosé afin de transférer les polluants de l’air à l’eau.Une fois dans l’eau, les polluants sont consommés par les bactéries comme sources de nutriments pour se développer.

L’objectif du lavage chimique est de piéger les polluants gazeux (ammoniac, hydrogène sulfuré…) par le biais d’un laveur à courants croisés. Le laveur fonctionne par aspersion de fines gouttelettes de produits chimiques sur le flux d’air. Lorsqu’ils rentrent en contact avec la solution pulvérisée, les polluants sont immédiatement absorbés par le liquide en fonction de leur pH. Ainsi, si le composé à traiter est basique, le produit pulvérisé sera acide ; et inversement. Le système de pulvérisation fonctionne en boucle et est régulièrement vidangé afin d’être déconcentré.

Les deux technologies s’adressent à trois principaux domaines d’application : l’industrie, le compostage et l’élevage. Elles peuvent être utilisées séparément ou consécutivement, lavage chimique puis biofiltration. Dans le cas de l’élevage, TRIOD orientera l’exploitant vers l’une ou l’autre en fonction de la concentration d’odeurs à traiter, de son souhait ou non de stocker des produits chimiques sur site, de l’espace disponible pour implanter l’installation (le biofiltre étant plus encombrant) et de sa capacité d’investissement.

« En comparaison avec le laveur chimique, le biofiltre représente un investissement de départ plus lourd mais sera, sur le court

ALGOTECPurifier l’air, une question de respect

T r a i t e m e n t s d ' o d e u r s e t d e s c . o . v .Algotec

I N T E R N A T I O N A L

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Date de création- 1993

Secteur d’activité- traitement des odeurs, des COV et des fumées

Effectif- 6 salariés

Chiffre d’affaire global- 870 000 euros

Marchés étrangers et pays ciblés- Belgique (Département Lisa)

Innovations- Biofiltre TRIOD (technologie brevetée)

Projets- Pologne, Maghreb

ALGOTEC9, route du petit Guelen Téléphone : 02 98 91 14 1229000 Quimper Courriel : [email protected] Site internet : www.algotec-international.fr

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

terme, plus rentable, mais aussi plus durable du point de vue de l’environnement», précise Annaïck Rouxel, Responsable R&D chez ALGOTEC International.

Un service entièrement intégré

De la conception à la mise en service d’une unité de traitement et jusqu’au SAV, TRIOD tient à maîtriser l’ensemble du processus afin d’apporter à ses clients des solutions adaptées et modulables. Pour cela, TRIOD intègre l’ensemble des phases de conception, fabrication et montage à travers ses différentes unités : bureau de R&D, laboratoire d’analyses chimiques, atelier de montage de 3000 m² et plateforme d’essais.

Un air pur pour un développement durable

Quel que soit le domaine d’application, la question du traitement des odeurs ne relève pas simplement du confort. Il s’agit avant tout de protéger le personnel, les animaux et le voisinage, d’améliorer les conditions de travail et de maîtriser l’impact environnemental. L’industrie et les installations de compostage ont massivement recours à ces technologies et représentent donc la majeure partie de l’activité de TRIOD. En milieu agricole, le nombre d’élevages équipés d’une unité de traitement des odeurs est relativement restreint et ce pour différentes raisons : implantations géographiques éloigné des zones urbaines et habitées, taux de composés polluants moins important, financement des installations… En revanche, le respect de l’environnement et du bien-être animal sont les priorités sur lesquelles le monde agricole conditionne son développement. Les filières de l’élevage sont particulièrement concernées par ces enjeux, la ventilation et la purification de l’air étant des axes de progrès considérables pour l’amélioration des conditions sanitaires dont dépend la qualité de la production.

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F i n i s t è r eune économie innovante

Créée il y a dix ans à Ploudalmézeau, la société COPRI développe son expertise dans le secteur de la formulation des aliments pour animaux, en particulier des lapins, en intégrant dans ses critères de formulation la qualité gastronomique et nutritionnelle des produits finis (viande, œuf, lait). Outre une activité de négoce en additifs naturels, COPRI s’est concentrée sur la R&D et le conseil dans deux domaines très spécialisés : la substitution des antibiotiques par des substances naturelles et l’enrichissement naturel des produits animaux en Oméga 3.

Des résonances à l’international

Anne-Yvonne et Michel Colin, les deux principaux associés de COPRI, ont tous deux voué une grande partie de leurs parcours professionnels à la filière cunicole. A partir de cette solide expérience, COPRI s’est orientée, via son centre expérimental et en partenariat avec de nombreux techniciens et laboratoires, vers le développement de produits à la fois naturels et innovants.

Déjà présente dans le bassin méditerranéen, la société finistérienne mène actuellement une importante démarche de développement et de prospection vers l’Europe de l’Est et l’Asie pour les deux volets de ses activités. La Chine, premier pays producteur de lapins avec 40% de la production mondiale, mais aussi l’Ukraine, l’Indonésie, le Japon et Taïwan sont les marchés vers lesquels COPRI s’est tournée pour y développer ses produits et ainsi donner à ses innovations une application de grande ampleur. Des essais terrain sont déjà en cours dans plusieurs pays et permettent de penser à une concrétisation prochaine.

Une alternative aux antibiotiques

Commencé dès 2002, le programme de recherche sur le remplacement des antibiotiques par des produits naturels, baptisé Naturlap, est depuis près de six ans

une technique complètement maîtrisée par COPRI. L’objectif de ce programme est de maintenir l’animal en bonne santé et, en second plan, d’améliorer les performances de l’élevage. Le principe est donc d’arriver à produire des animaux en ne recourant qu’aux substances naturelles. En d’autres termes, « produire de façon naturelle pour produire mieux », résume Michel Colin. Pour ce faire, COPRI utilise différents produits, préalablement testés dans son centre expérimental CESAN (Centre d’Etudes Scientifiques Alternatives Nutritionnelles) : huiles essentielles, extraits végétaux, probiotiques (colonisation du tube digestif par des micro-organismes vivants à effet positif, du type bactéries ou levures) et prébiotiques (sucres favorisant le développement des micro-organismes à effets positifs). Dans les premières années, il s’agissait de déterminer et de sélectionner les produits effectivement efficaces. Aujourd’hui, ils sont non seulement clairement identifiés mais leur efficacité est reconnue. COPRI développe ce programme en premier lieu avec des fabricants bretons comme le groupe Triskalia et Tromelin Nutrition, ainsi que dans le reste de la France et en Europe grâce à des synergies avec des firmes services (diffuseurs de techniques en alimentation animale) afin de développer les applications de ces additifs.

Les Oméga3, source de progrès

Les recherches de COPRI sur l’enrichissement des aliments en Oméga3 ont été lancées depuis une dizaine d’années. L’entreprise s’est tout d’abord penchée sur l’élevage des lapins et a, par la suite, étendu ses travaux sur d’autres productions (œufs, lait). L’activité Oméga3 de COPRI connaît deux développements parallèles.« Nous menons tout d’abord une démarche «classique» consistant à distribuer uniquement de la graine de lin extrudée dans les aliments pour augmenter la teneur des produits animaux en Oméga3 courte chaîne, mais nous travaillons aussi depuis trois ans

COPRIProduire de façon naturelle pour produire mieux

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Date de création- octobre 2002

Secteur d’activité- R&D / conseil en formulation des aliments

Effectif- 4 salariés

Chiffre d’affaire global- 350 000 euros

Chiffre d’affaire à l’export- 50 000 euros

Marchés étrangers et pays ciblés- Union européenne, Ukraine, Chine, Indonésie, Japon, Taïwan

Innovations- substituts naturels aux antibiotiques / enrichissement des produits animaux en Oméga3

Projets- prospection et mise en place d’essais sur l’Europe de l’Est et l’Asie

COPRICoat Izella Téléphone : 02 98 48 03 7329830 Ploudalmézeau Courriel : [email protected]

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

à associer au lin des Oméga3 longue chaîne qui sont directement utilisés par la cellule et donc plus efficaces. Ils peuvent donc présenter un intérêt pour certaines catégories de population », précise Michel Colin. L’un de ces acides gras essentiels le plus connu est le DHA, essentiellement apporté par le poisson. Par souci de protection des ressources halieutiques, COPRI a mis au point une méthode d’enrichissement à base de certaines microalgues capables de synthétiser le DHA.Par cette méthode, la société COPRI est parvenue à proposer un DHA écologique et propre. La partie recherche en amont vient d’être finalisée. En choisissant l’Asie pour la phase de développement du programme, COPRI a souhaité se lancer sur des marchés où le concept de DHA est déjà connu.

Fleurs de lin

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F i n i s t è r eune économie innovante

Précision, optimisation et innovation, trois termes qui reflètent le niveau de savoir-faire que la société ECAT (Egg-Chick Automated Technologies) met au service de l’industrie de l’œuf et du poussin. Sa zone d’action : le couvoir. Son expertise : l’automatisation des processus. Issue de la reprise en 2006 d’une entreprise basée à Landivisiau, ECAT s’appuie sur des technologies quasi uniques et un réseau d’agents pour tisser sa toile à travers le monde.

De l’œuf au poussin, une étape cruciale

La particularité et, par conséquent la force, de la société ECAT est d’avoir concentré son expertise sur une phase déterminante pour la filière avicole. De la sortie de l’incubateur jusqu’à la naissance des poussins, ECAT développe une gamme complète, modulable et innovante d’équipements automatisés. Objectif : optimiser et sécuriser un processus dans lequel le hasard a moins de place.

Au sein du couvoir, ECAT apporte une solution adaptée à chaque étape du parcours. En salle de transfert : dépilage, contrôle par mirage laser puis vaccination par injection et enfin transfert vers l’éclosoir. En salle « poussins » : convoyage, séparation coquille/poussin, tri mâles/femelles, comptage puis empilage. Et, afin de proposer une approche globale à ses clients, ECAT conçoit aussi des équipements destinés aux salles de lavage et à la manipulation des déchets.

Avantage non négligeable des produits ECAT : chaque machine est dissociable des autres et adaptable aux besoins spécifiques des clients. Le département R&D s’emploie ainsi à customiser les produits afin de répondre aux mieux aux exigences du client (taille

des plateaux, cadence, niveau d’automatisation requis, zone géographique). En outre, la qualité de construction permet une longévité de 15 à 20 ans pour les machines.

Enfin, la haute technicité de ses équipements, notamment sur la partie mirage, permet à ECAT de se démarquer nettement de la concurrence. Commercialisée depuis six ans, la technologie du mirage laser, mais aussi dans le domaine in ovo sont des exclusivités mondiales brevetées. Outre la facilité de maintenance de la machine, son niveau de précision permet de détecter près de 100% des « œufs clairs » (absence d’embryon).

Wisecare, le mirage high-tech pour les laboratoires

En analysant les besoins et les techniques utilisées par les laboratoires, ECAT a constaté une forte compatibilité de ses machines avec les domaines de la recherche et des analyses. La société a ainsi mis sur pied une technique de mirage brevetée capable d’un niveau de précision inégalé. « Le mirage Wisecare alterne vision artificielle et interface biologique et est la seule machine au monde à fournir une telle précision de détection des embryons vivants ou morts. ECAT a d’ailleurs reçu pour cette technologie l’un des prix de l’innovation au Space en 2010 », souligne Christine Jules, Responsable export et marketing chez ECAT. Distribuée à travers le monde (Asie - Chine, Taïwan, Indonésie -, Angleterre, Hollande, Espagne, Australie…), cette machine destinée aux laboratoires peut également être couplée à d’autres équipements de la gamme : dépileurs/empileurs, transferts de plateaux, laveuses et machines à inoculer dans l’œuf.

ECAT IN OVO, au cœur même de l’embryon

Créée il y a bientôt trois ans, ECAT IN OVO est issue du rapprochement d’ECAT et du laboratoire vétérinaire Ceva Santé Animale. Ce partenariat à 50/50 découle de la volonté des deux entités de fournir une expertise et solution globale (équipement et service) en matière de vaccination dans l’œuf. Pour protéger le poussin dès le premier jour, cette synergie permet, à partir des technologies

ECATUn orfèvre en matière de couvoir

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Date de création- octobre 2006

Secteur d’activité- automatisation de l’industrie œuf/poussin

Effectif- 75 salariés

Chiffre d’affaire global- 9M d’euros

Chiffre d’affaire à l’export- 80 à 90% du CA

Marchés étrangers et pays ciblés- Europe, Asie, Russie, Australie, Amérique, Amérique Latine, Afrique du Nord

Innovations- mirage laser et mirage wisecare / injection dans l’oeuf

Projets- étendre son influence en Amérique depuis sa filiale au Brésil

ECATZone industrielle du Vern Téléphone : 02 98 68 10 9929401 Landivisiau Courriel : [email protected] Site internet : www.ecat-com.fr

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

de ECAT, une double compétence technique et biologique afin de garantir un suivi et un respect optimal des normes sanitaires. A la fois perfectionnés et extrêmement sensibles, les systèmes de vaccination dans l’œuf requièrent une très haute expertise (mécanismes fabriqués à façon, traitement spécifique des matériaux). En outre, Christine Jules précise que si « ECAT IN OVO est le fruit d’un partenariat, en revanche, le client est libre d’acheter ou de louer la machine indépendamment des vaccins commercialisés. Il n’y a pas d’obligation de package ». Du point de vue sanitaire, les méthodes d’injection dans l’œuf garantissent une meilleure traçabilité et un contrôle accru de la santé des poussins. Lors de leur livraison, ceux-ci sont déjà vaccinés et donc protégés. L’éleveur bénéficie donc d’un double avantage : sécurité (limitation des risques de contamination) et gain de temps.

Une expertise reconnue dans le monde entier

Avec 80 à 90% de son chiffre d’affaires réalisé à l’international, ECAT est aujourd’hui l’un des leaders mondiaux dans le domaine de l’automatisation de l’industrie œuf/poussin. En six années d’activités, ECAT a connu un essor constant* et a su s’appuyer sur un solide réseau d’agents et de représentants (Europe, Asie, Russie, Amérique, Australie, Afrique du Nord) pour se faire connaître. Depuis 2010, l’entreprise a implanté au Brésil sa filiale « ECAT do Brazil ». En s’installant fermement dans le premier pays producteur de volaille au monde, ECAT s’invite sur le marché américain et poursuit ainsi sa stratégie de développement international.

* effectif de 7 personnes en 2006 à 75 personnes en 2012 et un CA qui passe de 2M à 9M d’euros en 5 ans

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Créée en juillet 2011 à Morlaix, Keos est une société de conseil indépendant spécialisée dans l’élevage de porcs. Bien qu’assez récente, cette société s’est construite autour d’une solide expertise en matière d’optimisation de l’outil de production et de veille technologique et environnementale acquise par ses fondateurs, Bernard Kernevez, directeur, et Pascale Picart, responsable agro environnement.

Apporter un regard nouveau et objectif

L’objectif de Keos est clairement défini : accompagner les éleveurs vers un nouveau modèle économique afin d’accroître la rentabilité de leur entreprise et la qualité de leurs produits. Pour ce faire, la démarche s’articule sur différents axes : analyse critique globale de l’élevage (infrastructures, bilan santé, choix génétique et alimentaire, RH), audit spécifique sur des problèmes ciblés, mise en place de plans d’action techniques et économiques, accompagnement environnemental (suivi des règlementations, dossiers ICPE, suivi de station de traitement) et, enfin, veille technologique internationale (revue hebdomadaire, mise en relation, organisation de réunions thématiques, salons professionnels et visites d’entreprises).

Outre une forte connaissance de la filière porcine, le point fort de Keos réside dans le caractère indépendant de son approche. « Keos est positionnée sur de la prestation de services et non de produits. Nous agissons dans l’intérêt du client. Les ressources de Keos proviennent uniquement de ces prestations », souligne son Directeur.

La qualité au naturel

Hormis le volet économique, Keos s’attache aussi à étudier avec ses clients l’aspect sanitaire afin de tendre le plus possible vers une production « sans antibiotique ». Dans cette perspective, la société oriente ses clients

vers des choix génétiques d’espèces porcines d’Allemagne et du Danemark et présentant le double bénéfice de résistance aux maladies et d’efficience économique. L’autre composante de cette stratégie repose sur une méthode de traitement naturelle et non moins innovante : la phytothérapie. En incitant les éleveurs à avoir recours aux extraits de plante, la société Keos prône ainsi une gestion saine et durable pour des produits de haute qualité.

Favoriser le transfert de compétences

Afin de donner accès aux innovations tout en conservant sa liberté de jugement, Keos assure pour ses clients un rôle de veille technologique internationale et de mise en relation. « Dans l’intérêt de nos éleveurs, nous nous tenons en alerte sur les méthodes et produits innovants au-delà des frontières de l’hexagone. Nous suivons par exemple l’avancée des tests faits en élevage. En revanche, les publications et les échanges d’expérience se font entre éleveurs par le biais de réunions. Libre à eux, ensuite, d’opter pour telle ou telle méthode », précise Bernard Kernevez qui met ainsi en œuvre un réseau de contacts construit au cours de ses 30 années d’expérience dans la filière porcine, notamment en Allemagne. Et de rajouter : « Cet échange de savoir-faire est le concept-même de Keos. Avec 56% de la production nationale, la Bretagne est la 1ère région d’élevage porcin en France. Cette position de leader est un avantage qu’il s’agit de renforcer constamment par l’apport de savoir-faire nouveaux. Nous recherchons ce qui se fait de mieux pour nos éleveurs ».

Un premier exercice encourageant, des projets ambitieux

A l’issue de son premier exercice, la société Keos enregistre des résultats prometteurs. Principalement centrée sur la Bretagne à l’origine, l’activité s’est peu à peu étendue et touche aujourd’hui l’ensemble du territoire national. De plus, l’entreprise est

KÉOSExpertise et indépendance au service de la filière porcine

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Date de création- juillet 2011

Secteur d’activité- conseil indépendant en élevage de porcs

Effectif- 2 personnes

Chiffre d’affaire global- 120 000 euros (prévisionnel car 1er bilan en cours)

Marchés étrangers et pays ciblés- Allemagne, Hollande, Danemark

Innovations- prestation de services indépendante

Projets- développement de l’international et des missions ponctuelles sur toute la France

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KÉOS39, quai du Léon Téléphone : 02 98 15 11 3029600 Morlaix Courriel : [email protected] Site internet : www.keosconsult.com

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

actuellement en phase de développement sur l’Allemagne et programme de se rendre au salon international EuroTier – du 13 au 16 novembre 2012 à Hanovre – dans le but de rencontrer de nouveaux interlocuteurs et d’élargir ainsi son rayon d’action vers les pays d’Europe du Nord (Pays-Bas et Danemark). Dans leurs perspectives de développement, les dirigeants de Keos misent sur l’indépendance de leurs prestations. « N’ayant pas de mission de commercialisation dans un secteur où la majorité de la production est commercialisée par les groupements, Keos propose un service original permettant aux éleveurs de conserver une certaine liberté quant à leurs choix génétiques, alimentaires et sanitaires, en privilégiant la collaboration avec l’ensemble des partenaires intervenant chez ses clients », conclue Pascale Picart.

Visite de l’exploitation de Xavier Berthou à Saint-Thonan

L’exploitation de Mr Berthou date de 2007 avec une surface agricole

de 120 hectares. L’éleveur importe les truies du Danemark et les

mâles, pour sa qualité de viande, d’Allemagne. Pour la santé de ses

animaux et aussi pour diminuer les antibiotiques, il a opté pour la

phytothérapie préconisée par Keos à la fois pour ses truies gestantes

comme pour les 11 000 porcs à l’engraissement élevés en moyenne

par an.

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F i n i s t è r eune économie innovante

Améliorer la qualité de l’eau pour sécuriser la production des élevages et ainsi garantir aux consommateurs une alimentation saine. Cette logique qui « coule de source » est la base de l’activité de la société Neptune basée à Saint-Evarzec (29). Créée il y a une vingtaine d’années, Neptune s’est spécialisée dans le traitement intégral de l’eau consommée par les élevages hors-sol (volailles, cochons, élevages laitiers).

Le bon dosage au bon moment

Positionnée sur un micromarché, la société Neptune conçoit et commercialise des assemblages de systèmes de dosage de l’eau (chlore, bioxyde de chlore, vitamines, compléments alimentaires, traitement vétérinaire en curatif) et de filtration. L’intérêt de la méthode Neptune réside dans le mode d’ingestion par l’animal : en se servant de l’eau de boisson comme support, le système de pompe électrique, baptisé Neptune 3, permet d’augmenter l’efficacité des soins tout en diminuant les doses de médicaments consommés. Pascal Guillard, gérant de Neptune, fait remarquer que « ce principe entre dans la ligne directe des préconisations européennes quant à la diminution de l’usage des antibiotiques dans les élevages » et permet ainsi d’administrer les médicaments de manière curative et non systématique comme auparavant.

De la source à l’abreuvoir, la filtration in situ

Nombre d’exploitations disposent d’un point d’eau sur place qui par un système de forage leur apporte une considérable autonomie d’approvisionnement et une marge économique non négligeable. Cette eau de captage, bien que naturelle et saine

en apparence, nécessite plusieurs étapes de filtration avant d’être distribuée aux animaux, et ce pour éviter tout risque de toxicité. Neptune propose donc différents systèmes de traitement physico-chimique : filtration

automatique (fer, manganèse), neutralisation ph, dénitrification, adoucissement…

BIO-K-CID eco+®, dans l’intérêt des éleveurs et des consommateurs

Développé avec l’aide de la Région, le BIO-K-CID eco+® est un système de désinfection de l’eau à base de bioxyde de chlore. Après un an de tests menés en conditions réelles au sein d’élevages sous le contrôle de vétérinaires et l’appui de techniciens, Neptune a lancé sur le marché en 2006 une solution à la fois fiable, robuste et simple d’utilisation. Son mode de fonctionnement : une unité de production injecte le bioxyde de chlore dans le circuit de distribution de l’eau. Lors de son passage dans les canalisations, le bioxyde de chlore élimine totalement le biofilm, et donc les bactéries pathogènes et génère une réaction oxydante sur le fer et manganèse qui sont souvent à l’origine des bouchages de tuyauteries. Il reste actif durant 72h et ne présente aucun risque de toxicité pour les organismes (animaux et humains) et l’environnement. Autres atouts du bioxyde de chlore : utilisé sous forme liquide, ce gaz permet de lutter contre les bactéries à flagelles venant du sol et reste efficace quelle que soit la longueur du circuit d’eau. Enfin, d’un point de vue économique, le BIO-K-CID eco+® représente un investissement raisonnable pour une efficacité prouvée, une grande facilité d’utilisation et un coût de revient très faible (5 centimes d’euros/m³ de bioxyde de chlore fabriqué).

NeptuneL’eau, vecteur de progrès pour la santé animale

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Date de création- 1992

Secteur d’activité- traitement intégral de l’eau pour les élevages hors-sol

Effectif- 9 salariés

Chiffre d’affaire global- 2M d’euros

Chiffre d’affaire à l’export- 10% du CA

Marchés étrangers et pays ciblés- Allemagne, Danemark, Finlande, Italie, Espagne

Innovations- BIO-K-CID eco+® (désinfection de l’eau par bioxyde de chlore)

Projets- présence au salon Eurotier à Hanovre

Société Neptune1, rue Louis Blériot – ZA de Troyalach’ Téléphone : 02 98 90 54 4529170 Saint-Évarzec Courriel : [email protected] Site internet : www.societe-neptune.com

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

Après 6 ans de commercialisation, Neptune a fourni près de 400 installations et enregistre des retours d’expérience unanimement favorables. « Là où un procédé standard à base de chlore présentera un taux de désinfection de 30%, le BIO-K-CID eco+® garantit un résultat proche de 100% des bactéries éliminées », précise Pascal Guillard.

Une expertise à partager

Neptune assure une présence en France (métropole et DOM/TOM) et à l’étranger via un réseau de 150 distributeurs et a acquis en deux décennies une véritable dimension internationale : Allemagne, Danemark, Finlande, Italie, Espagne. Outre sa gamme de produits, Neptune propose également des services de formations techniques et d’audits auprès des élevages. Reconnu pour son expertise dans le domaine, Pascal Guillard souligne l’importance de communiquer sur la qualité de l’eau et intervient notamment en tant que référent pour les écoles vétérinaires.

Visite de l’exploitation d’ Yves Guyon à Saint-YviMr Guyon utilise dans son exploitation le BIO-K-CID eco+® développé par la société NEPTUNE. Il a choisi ce système pour les 600 000 poulets qu’il élève tous les ans dans ses quatre poulaillers installés sur la commune de Saint-Yvi depuis 2006. Mr Guyon est aussi à l’origine de BREIZH BRUMISATION (www.breizh-brumisation.com). Une société qui installe des brumisateurs diffusant de très fines gouttelettes d’eau. Plus économique que la climatisation, la brumisation haute pression ne dessèche pas l’air ambiant et neutralise les nuisances olfactives. Le système peut faire baisser la température de 8 à 12°C dans les élevages agricoles, et peut même s’utiliser en intérieur (usines, magasins...), car les minuscules gouttes s’évaporent instantanément. La brumisation permet également le rabattement de poussière dans les carrières ou bien encore pour le conditionnement de pommes de terre.

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F i n i s t è r eune économie innovante

Issue de la reprise en 2009 de la société Sedia par six de ses salariés, Teraqua est spécialisée dans la conception et la fabrication d’automatismes. Comme son nom l’indique, Teraqua développe son expertise aussi bien en environnement aquatique que dans le domaine de l’élevage porcin. De cette double compétence, la SCOP Teraqua, basée non loin de Morlaix, a su développer une offre ciblée sur un marché de niche ayant pour mots d’ordre performance, qualité et bien-être animal.

Aquaculture, élevage, environnement :une approche pragmatique

Le savoir-faire Teraqua concentre 25 années d’expérience en conception de programmes informatiques adaptés aux besoins ultra spécifiques de l’aquaculture et de l’élevage. Aujourd’hui, Teraqua est en mesure de proposer un large éventail de produits performants et modulables : « Nous disposons d’une gamme d’automates que nous adaptons ensuite, via les logiciels et l’électronique, aux besoins des clients. A partir d’une carte d’entrée de lecture analogique, nos systèmes sont extensibles et peuvent recevoir différentes fonctionnalités », explique Thibault Billon, gérant de la SCOP.

Son expertise en aquaculture place Teraqua parmi les leaders de la mesure, de la surveillance et de la régulation des paramètres de l’eau en aquaculture. La société a notamment exporté son savoir-faire à maintes reprises : Europe, Chili, Emirats Arabes… A la fois robustes et pratiques, ses matériels et systèmes permettent d’apporter des solutions aux différents besoins des fermes aquacoles : mesurer et

optimiser la qualité de l’eau (systèmes Aqualarm), tri et pesage de poissons vivants (Aquamass et Univerbal), nourrissage (SDAP), mesure de la concentration en oxygène. En lien avec ses compétences dans le domaine

aquacole, Teraqua a étendu ses services à l’environnement aquatique en général (lacs, fleuves, réservoirs) en développant une centrale d’alarme destinée à la surveillance et la gestion technique de la qualité de l’eau.

En parallèle, Teraqua adresse ses compétences à la filière porcine en concevant et fabriquant des automates destinés à la distribution et la fabrication d’aliment (soupe et aliment sec), au pesage et à la vidéo-surveillance. « Les armoires électriques de Teraqua, une fois implantées sur l’exploitation, sont ensuite branchées aux pompes et câbles par des installateurs », précise Thibault Billon qui résume le processus en indiquant que la société conçoit la partie commande tandis que le montage et les connexions sont pris en charge par les installateurs.

Moduloself, priorité au bien-être animal

Dernier né de la gamme élevage, la Moduloself est un système d’alimentation individualisé pour truies gestantes imaginé conjointement par Teraqua et les Etablissements Méheust (Lamballe22) pour la partie mécanique en réponse à la directive européenne du 23 octobre 2001 relative au bien-être et à la protection des porcs. Ce texte prévoit les conditions d’élevages des animaux (notamment les superficies d’espace libre par tête) et implique de profondes mutations dans la conception des élevages. Le fonctionnement du Moduloself est basé sur un principe de simplification des installations : diminution du nombre de portes, optimisation de l’aménagement et augmentation de l’espace libre. Il se compose d’une grande salle équipée de plusieurs stations d’alimentation en libre-service dans lesquelles les truies entrent puis ressortent en reculant. Identifié par une puce électronique, chaque animal se présente à la station pour y recevoir une dose d’aliment adaptée à ses besoins.

TÉRAQUARépondre aux exigences du bien-être animal

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Date de création- 2009

Secteur d’activité- conception, fabrication d’automates calculateurs pour élevages terrestres et aquacoles

Effectif- 6 salariés

Chiffre d’affaire global- 500 000 euros

Chiffre d’affaire à l’export+/- 10% du CA global

Marchés étrangers et pays ciblés- Europe, Chili, Emirats Arabes Unis, Algérie

Innovations- Moduloself (système d’alimentation individualisé simple et modulaire)

Projets- Consolider la présence sur la région Bretagne au niveau de l’activité élevage porcin, puis s’étendre sur la France et l’étranger

TÉRAQUAZI de Kerivin – 16 rue Branly Téléphone : 02 98 54 51 2129600 Saint-Martin-des-Champs Courriel : [email protected] Site internet : www.teraqua.fr

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

Outre un gain de place indispensable d’un point de vue réglementaire, Thibault Billon souligne que « le Moduloself permet d’équilibrer l’alimentation, d’uniformiser le cheptel et d’apporter plus de calme au sein du groupe, autant d’éléments qui se retrouveront ensuite dans les résultats de l’élevage ». Du côté de l’éleveur, Teraqua s’est attachée à développer les aspects pratiques du système : facilité de lecture et rapidité d’utilisation auxquelles vient se rajouter la possibilité, via son ordinateur ou son Smartphone, de gérer le logiciel à distance et de suivre l’alimentation de chacune des truies. Une solution innovante qui apporte un gain de sécurité et de confort. Les premiers exemplaires sont en cours d’implantation depuis début novembre et devraient rapidement apporter les effets bénéfiques escomptés tant pour les animaux que pour l’éleveur.

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Sa création est récente mais son expertise s’appuie sur plusieurs décennies de présence au service du monde agricole. Triskalia est un groupe agricole et agroalimentaire issu de la fusion, en 2010, de trois coopératives historiques en Bretagne : CAM56, Coopagri Bretagne et Eolys. A travers ses compétences, le groupe se positionne sur les métiers de l’agriculture, l’agroalimentaire et la distribution. Face aux défis économiques et environnementaux, Triskalia s’est engagée, pour ses adhérents et la filière agricole en général, dans une démarche d’évolution : l’Agriculture Ecologiquement Intensive (AEI). Dans cette perspective, l’efficacité alimentaire est un exemple des axes de progrès définis par Triskalia.

La force de l’esprit coopératif

Les chiffres sont éloquents : 5000 salariés, 18 000 agriculteurs adhérents, 300 sites industriels et commerciaux (dont 250 magasins), 2,2Mds d’euros de chiffre d’affaires, 375 millions de litres de lait, 1,7M de porcs… Ces données reflètent le poids de Triskalia au sein de la filière agricole mais aussi son influence sur les réalités économiques, environnementales et de sécurité alimentaire.

Forte de ses compétences pluridisciplinaires et de son ancrage terrain, l’entreprise coopérative est en mesure de proposer des produits et services adaptés et innovants aux agriculteurs, pour leurs productions animales et végétales. Son implication dans l’agroalimentaire permet de valoriser durablement les productions agricoles de ses adhérents en les collectant, en les transformant

et en les commercialisant sur les marchés français et internationaux. La distribution regroupe à la fois la distribution grand public, la distribution professionnelle et la distribution de fioul.

Adopter une approche transversale avec l’AEI

Le principe : produire mieux et plus, avec moins. Née d’une réflexion sur l’évolution des contraintes du monde agricole, l’AEI a pour vocation d’accompagner celui-ci vers une mutation progressive, adaptée et durable. Triskalia entend donc jouer un rôle moteur dans cette démarche et adopte une stratégie transversale pour atteindre ses objectifs. Le but : mener des actions concrètes afin de concilier agronomie, élevage et économie dans l’intérêt de tous.

De nombreuses solutions sont ainsi mises en œuvre : Outils d’Aide à la Décision (PlaniTerre : suivi agronomique permettant de raisonner la fertilisation, analyse des besoins, support cartographique), études personnalisées au sein même des exploitations (réduction des consommations et des rejets, diminution du recours aux antibiotiques, rénovation des infrastructures…), participation à des réseaux, communication terrain. La création d’une chaire de formation, en septembre 2011, en partenariat avec deux autres coopératives (Agrial et Terrena) et trois grandes écoles (Agrocampus Ouest, ESA et Oniris), a marqué l’engagement de Triskalia dans la démarche AEI. Par cet engagement, Triskalia affirme son objectif de promouvoir et de développer des actions terrain qui peuvent être appliquées au plus grand nombre d’agriculteurs.

Chaque métier du groupe - porc, légumes, lait, bovins viande, volailles, grandes cultures - mène de nombreuses actions AEI. L’intérêt de la démarche est aussi d’y apporter une vision transversale, de tester les solutions et de les développer sur le terrain.

TriskaliaLes enjeux de l’efficacité alimentaire

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Date de création- 2010

Secteur d’activité- groupe coopératif en agriculture, agroalimentaire et distribution

Effectif- 5000 salariés / 18 000 adhérents

Chiffre d’affaire global- 2,2 Mds d’euros

Chiffre d’affaire à l’export- 20% du CA

Marchés étrangers et pays ciblés- Union Européenne, Europe hors CE, Moyen-Orient, Amérique du Sud, Asie

Innovations- chaire AEI, PlaniTerre, Programme Linéal, VisioTerre, Optivéto, bilan carbone

TriskaliaZone industrielle de Lanrinou - BP 100 Téléphone : 02 98 25 30 0029206 Landerneau Courriel : [email protected] Site internet : www.triskalia.fr

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

L’efficacité alimentaire pour accorder rentabilitéet respect de l’environnement

L’efficacité alimentaire est un élément technico-économique fondamental de la maîtrise du coût alimentaire avec un enjeu entre 10 et 20 euros / 1000 litres de lait. Dans un contexte de hausse du prix des matières premières et de maîtrise des impacts environnementaux, l’efficacité alimentaire s’affirme donc comme un enjeu majeur.

Créé conjointement par Triskalia et CCPA, le concept Créalait repose sur la prise en compte de la composition du lait et sur l’établissement d’un objectif d’efficacité alimentaire pour chaque éleveur. Il permet ainsi d’intégrer les différences liées à l’environnement, aux animaux (sanitaire, bâtiment…), à leur niveau génétique, leur stade de lactation et à la ration de base proposée. Le concept Créalait a été testé dans le réseau de fermes de référence Triskalia. Les observations ont validées les conclusions et la mise en œuvre d’actions fortes.

Créalait illustre le partenariat fort entre les équipes Triskalia et sa firme-service CCPA, dont elle est actionnaire. En effet, la R&D de CCPA travaille depuis plusieurs années sur des solutions permettant une meilleure efficacité alimentaire de la ration, pour un système de production durable et économiquement plus rentable.

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F i n i s t è r eune économie innovante

Spécialisé dans la conception d’équipements complets pour bâtiments d’élevage hors-sol, Tuffigo-Rapidex est le leader français sur les marchés de l’alimentation et de la ventilation. L’entreprise a placé l’innovation technologique au cœur de sa stratégie et s’appuie sur son département R&D pour concevoir des solutions qualitatives, pilotables à distance et globales au service du développement et de la rentabilité des exploitations.

Le partenaire des élevages hors sol

Basé à St Evarzec, Tuffigo Rapidex fait partie du groupe Christien Défi et est issu du rapprochement en 2009 de deux entités historiques et complémentaires dans le domaine des équipements de bâtiments d’élevage. Plus de 50 ans d’expérience soutenus par une recherche constante d’innovations font de Tuffigo Rapidex le partenaire spécialisé des élevages hors-sol. Son domaine d’expertise : la gestion combinée de l’alimentation et de la ventilation.

L’objectif : trouver l’équilibre entre les besoins des animaux et les dépenses énergétiques afin d’atteindre une meilleure productivité tout en garantissant le bien-être animal. Tuffigo Rapidex se positionne aujourd’hui comme le leader sur le marché français et entend s’appuyer sur cette reconnaissance pour développer ses parts à l’export. Sa présence à l’international représente 30% de son chiffre d’affaires et touche de nombreuses régions stratégiques en matière d’élevage : Maghreb, Russie, Europe Centrale (Ukraine, Hongrie, Pologne, République Tchèque, Roumanie) et Canada.Afin de consolider et étendre ses relations hors de l’hexagone, Tuffigo Rapidex prend part à une douzaine de salons internationaux

par an et notamment : Eurotier à Hanovre (Hall 11 stand C47 pour la prochaine édition en novembre), Dawajine au Maroc (fin novembre), Canada (janvier) et Asie (mars).

Maîtriser la chaîne de valeurs

La force de Tuffigo Rapidex repose sur sa capacité à maîtriser les différentes étapes du processus. De l’expression des besoins spécifiques jusqu’à la fabrication, en passant par les bureaux d’études, Tuffigo Rapidex propose des gammes de produits de fabrication 100% française et modulables à destination de plusieurs types d’élevages : porcs, bovins, volaille, lapins et caprins. Que ce soit sur un besoin précis ou pour une demande d’implantation globale, les gammes Tuffigo Rapidex apportent des solutions sur mesure et fiables. Et, afin de garantir au client final les meilleures conditions de mise en place, l’entreprise fait appel à un solide réseau de 300 installateurs pour le montage et le service après-vente et pour lesquels Tuffigo Rapidex assure un service continu de conseil et de formation.

Se différencier par l’innovation

Afin de soutenir son développement et de maintenir une offre de qualité et innovante, Tuffigo Rapidex construit sa stratégie autour d’un département R&D fort d’une vingtaine de techniciens spécialisés en informatique/électronique (cartes électroniques et logiciels), électromécanique (distribution électrique) et mécanique (conception des composants mécaniques). Au travers de ses compétences pluridisciplinaires, Tuffigo Rapidex s’est spécialisé sur des solutions programmables à distance par écran tactile. Via l’utilisation d’icônes, les gammes de produits – près de 7000 références au total - offrent une configuration à la fois simple et conviviale. Via le contrôle à distance, l’éleveur peut ainsi bénéficier de données fiables et exploitables pour une prise de décision rapide et ciblée.

La particularité de Tuffigo Rapidex est d’apporter une vision globale aux problématiques de l’élevage.

TUFFIGO RAPIDEXDu sur mesure pour le hors-sol

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Date de fusion Tuffigo et Rapidex :- 2009

Secteur d’activité- équipements d’élevage hors sol, ventilation / alimentation

Effectif- 45 salariés

Chiffre d’affaire global- 31 Millions d’euros

Chiffre d’affaire à l’export- 30% du CA

Marchés étrangers et pays ciblés- Maghreb, Russie, Europe de l’Est et Centrale, Canada, Asie

Innovations- solutions programmables à distance, globales et adaptables pour la gestion de l’alimentation et de la ventilation

Projets- développement du CA à l’export / trois lancements de nouveaux produits en moyenne par an

Prix- Tuffigo-Rapidex a reçu depuis la fin des années 90 plusieurs Innov’SPace, le prix d’innovation décerné lors du salon Space. L’entreprise a été ainsi primée en 2012 pour la VigEbox, une alarme interactive. En 2011 pour l’email sur Avitouch et le pack pesage Avitouch. En 2010 pour l’Avitouch web et le Heat cube. En 2009 pour l’Ecotouch.

TUFFIGO RAPIDEXZone de Troyalac’h Sud, 4 rue Jean Marie Le Bris Téléphone : 02 98 51 51 9829170 Saint-Evarzec Courriel : [email protected] Site internet : www.tuffigorapidex.com

FAITS ET CHIFFRES DE L’ENTREPRISE

Ventilation, alimentation, distribution d’eau, gestion d’ambiance, contrôle des paramètres, pesage, éclairage : le large spectre des solutions Tuffigo Rapidex facilite le pilotage des différentes composantes clés de l’élevage.

Une offre de reprise pour soutenir les filières

L’offre est certes atypique mais elle représente un intérêt économique considérable pour les éleveurs. En reprenant 1500 euros les anciennes machines à soupe pour l’achat d’un système complet Wind to feed, Tuffigo Rapidex offre aux éleveurs l’opportunité de s’équiper d’un matériel performant à un prix attractif sans avoir à gérer les conditions de reprise de leurs machines devenues obsolètes et peu fiables. « Nous sommes reconnus pour être innovants dans nos produits mais aussi dans nos offres et notre stratégie marketing », souligne Fabrice Julien, Responsable Marketing et Communication chez Tuffigo Rapidex.

Conseil général du Finistère - Direction de la communication – Novembre 2012 Accueil Presse - Équipements et Savoir-faire pour l’élevage - 21 et 22 novembre 2012

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F i n i s t è r eune économie innovante

Les journalistes inscrits au voyage de Presse

Une action du Conseil général du Finistère,

en partenariat avec

Équipements et savoir-fairepour l’élevage

Les 21 et 22 novembre 2012

Conseil général du Finistère - Direction de la communication – Novembre 2012 Accueil Presse - Équipements et Savoir-faire pour l’élevage - 21 et 22 novembre 2012

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PRESSE INTERNATIONALE

KAPITAL BULGARIA (Bulgarie)• Mila ALEXANDROVADate de création : 2008Hebdomadaire bulgare consacré à l’économie et à la politique.Domaines couverts : E-commerce, Economie Entreprise, Economie Internationale, Economie Sociale, Energie, Enquêtes / Investigations, Entreprise, EnvironnementÉdition : 20 000 exemplaires.

24 CHASA (Bulgarie)• Mila ALEXANDROVADate de création : 1991Quotidien d’informations générales en langue bulgareÉdition : 550 000 exemplaires.

LA CLARTÉ (Chine)• Li YAODate de création : 1948Quotidien chinois généraliste et grand publicÉdition : 2 000 000 exemplaires.

CHINA YOUTH DAILY (Chine)• Weiguang LINDate de création : 1951Quotidien généraliste chinois ciblé «jeunes»Édition : 1 000 000 exemplaires.

COLPRENSA (ColomBie)• Maria Helena ESCALANTEDate de création : 1981Colprensa est une agence de presse nationale colombienne qui travaille pour différents journaux parmi lesquels El Colombiano, El Pais, Vanguardia Liberal, El Universal, La Opinion, La Patria, La Tarde, La République, El Nuevo Dia, le Parti libéral, Le Méridien, Journal de la Magdalena, et La Nacion.

LA SCIENCE ET LA VIE ET

SITE INTERNET RUSSIE.NET (russie)• Victoria KLUJINADate de création : 1910Hebdomadaire consacré à la science, aux nouvelles technologies, …Site Web généraliste consacré à l’histoire, au patrimoine, à la science, aux nouvelles technologiesÉdition : 75 000 exemplaires et 150 000 visites par mois.

MEDVED MAGAZINE (russie)• Larisa SHTEYNMANDate de création : 1995Magazine mensuel russe d’informations généralistes

PRESSE NATIONALE

LA TERRE• Yannick CURTDate de création : 1937Journal hebdomadaire professionnelEssentiel de l’actualité du point de vue de la vie dans les campagnes : entreprises et emploi, agriculture, économie, aménagement du territoire et environnement, sécurité alimentaire, commerce mondialÉdition : 35 000 exemplaires.

INFOS CHIMIE MAGAZINE• Raphaëlle MARUCHITCHDate de création : 1963Magazine professionnel bimestriel consacré à la chimie et parachimie.Cible les professionnels de l’industrie chimique. Traite de l’actualité économique et technique de la filière chimie à travers plusieurs thématiques : actualités au niveau national, européen et international, stratégie, vie des entreprises et des laboratoires, technologies, environnement, visites d’usines.Audience/jour : 21 000 lecteurs.

PRESSE LOCALE

OUEST-FRANCEDate de création : 1944Ouest-France est un quotidien régional français , édité à Rennes et vendu dans les régions de l’ouest de la France, ainsi qu’à Paris.C’est le journal phare du groupe SIPA - Ouest-France, et, depuis 1975, le premier quotidien français en termes de diffusion, avec près de 800 000 exemplaires chaque jour.Audience/jour : 2 441 000 lecteurs

LE TÉLÉGRAMMEDate de création : 1967. Journal grand public quotidien consacré aux informations régionales de la Bretagne (départements des Côtes-d’Armor, du Finistère et du Morbihan). Près de 220 journalistes ainsi que les 600 correspondants locaux fournissent le contenu pour les 19 éditions locales.Audience/jour : 649 000 lecteurs.

LE JOURNAL DES ENTREPRISESDate de création : 2005.Magazine grand public thématique mensuel sur les entreprises à destination des dirigeants d’entreprises et des décideurs.Apporte un éclairage sur l’actualité de l’économie et de la vie des entreprises du département du Finistère (29).Décembre 2010 : Nouvelle formule : nouveau logo, nouvelle maquette. Découpé en quatre séquences: actualité, vie des entreprises, gestion et informations nationalesÉdition : 5 000 exemplaires.

MÉDIA

FRANCE BLEU BREIZH IZELDate de création : Août 1982France Bleu Breizh Izel rejoint le réseau France Bleu en septembre 2000 Radio généraliste rattachée à France Bleu. Flashs d’informations locaux et nationaux. Radio de pays, la priorité est donnée aux sujets en prise directe avec la vie quotidienne des auditeurs.