Elaboration du Plan Local d’Ubanisme intecommunal€¦ · alternatif à la voiture individuelle à renforcer •Un pôle d’emplois à sta iliser, ... Des objectifs fixés par

1

Elaboration du Plan Local d’Urbanisme intercommunal

Synthèse des enjeux identifiés pour le territoire

- DIAGNOSTIC - DOCUMENT DE TRAVAIL

MÉTHODOLOGIE

2

Diagnostic territorial

• Une attractivité territoriale et une croissance démographique à accompagner

• Un parc de logements à diversifier et adapter

• Un développement équilibré des services à favoriser

• Une offre en déplacement alternatif à la voiture individuelle à renforcer

• Un pôle d’emplois à stabiliser, voire à renforcer

• Un cadre de vie, facteur d’attractivité, à préserver

COTECH n° 1 du 21/10/2016 - DIAGNOSTIC - DOCUMENT DE TRAVAIL

3

Une attractivité territoriale et croissance démographique à accompagner

CHIFFRES CLES

Le nombre total d’habitants en 2013

Le nombre d’habitants supplémentaires sur l’ensemble du territoire du SCoT entre 1999 et 2013

Taux de croissance annuel moyen entre 2008 et 2013 avec un taux dû au solde migratoire de 2,00% et un taux dû au solde naturel de 0,1%

61 078

16 983

2,1%

Le nombre moyen de personnes par foyer en 2013

La part des ménages correspondant à des familles

L’indice de jeunesse en 2013

Le nombre de ménages supplémentaires entre 2008 et 2013

2,2

65,8 %

0,99

3 328

4

Une croissance démographique très forte sur l’ensemble du territoire…• Le territoire de MACS connaît à ce jour une croissance démographique forte

(+ 2,1 % en moyenne de entre 2008 et 2013) assez bien répartie du le territoire.• On constate notamment une intensification de cette croissance sur les communes

le long de l’A63. Ailleurs, sauf cas de Moliets, Azur au Nord et Saint Matin au Sud, lacroissance annuelle s’est en moyenne régulée voir ralentie.



5

…majoritairement due aux mouvements migratoires, témoin de l’attractivité du territoire

TCAMDue au solde

naturelDue au solde

migratoire

1999-2008 2,5% 0,0% 2,5%

2008-2013 2,1% 0,1% 2,0%

Le desserrement des ménages : une évolution de la structure de la population à prendre en compte

Entre 1999 et 2013, on constate globalement sur le territoiredu SCoT :• Une augmentation du nombre de familles monoparentales,

qui représentent 12,7 % des familles en 2013 pour 10,2%en 1999 ;

• Une hausse du nombre de ménages formés d’une seulepersonne (32,3% en 20013 contre 27,2 % en 1999).


6

L’indice de vieillissement fait le rapport des moins des plus de 60 ans sur les moins de 20 ans. S’il est de 100, cela signifie qu’il y autant de moins de 20 ans que de plus de 60 ans sur le territoire. En deçà de 100, les plus de 20 ans sont plus nombreux que les moins de 60 ans et inversement au-dessus de 100.


7

BESOINS/ENJEUX IDENTIFIES

• L’équilibre spatial de la croissance démographique sur l’ensemble du territoire

• L’équilibre des classes d’âge sur le territoire

• L’accueil des nouvelles populations en tenant compte de l’évolution de leurs besoins, de lapréservation de leur cadre de vie et de la qualité de leur environnement


Rappel des objectifs affichés au SCoTSe préparer à accueillir 27 000 habitants supplémentaires d’ici 2030.Réorganiser le développement en prenant pour appui le pôle structurant de la zone Atlantisud.

8

Une offre en logements à diversifier et adapterDes objectifs fixés par la collectivité à travers le PLH adopté en septembre 2016

CONSTATS

• Un rapport à l’emploi qui impacte les stratégies résidentielles des ménages actifs

• Une évolution de la structure des ménages face à une offre en résidences principalesrelativement homogène (taille, type, statut d’occupation, etc.)

• Des ménages aux revenus moyens assez élevés comparativement aux Landes mais plus d’unménage sur deux pourrait prétendre à un logement social

• Le parc de résidences secondaires représente plus d’un logement sur trois mais sa progressiona ralenti ces dernières années au profit des résidences principales

• Le parc est globalement en bon état mais reste perfectible sur le plan énergétique


• le maintien de la dynamique de construction

• la maîtrise du foncier et limitation de l’étalement urbain

• le développement d’une offre de logements adaptée aux besoins des actifs

• l’anticipation des besoins générés par le vieillissement et la perte d’autonomie

• la qualité du parc de logements

• la mise en œuvre d’une politique de l’habitat cohérente avec les ambitions de développement

• L’amélioration des performances énergétiques du parc

9

> produire 800 logements par an, soit 4 800 logements en six ans, dont : 52% par les 5 communes de plus de 3 500 habitants 28% par les 7 communes de 1500 à 3500 habitants le reste, soit 20%, sur les 11 communes restantes

Une offre en logements à diversifier et adapterDes objectifs fixés par la collectivité à travers le PLH adopté en septembre 2016

21,5% de Logements Locatifs Sociaux 27,7% en accession à la propriété 50,8% de logements privés au sein du

marché libre


10


• L’équilibre de l’offre en équipements entre les communes littorales et celles plus rurales.

• L’accompagnement de la croissance démographique par le développement d’une offre enéquipements adaptée.

• L’anticipation de l’évolution de la structure de la population en développant des servicesadaptés aux besoins (personnes âgées, petite enfance) et en programmant de nouveauxéquipements structurants nécessaires (collège notamment).

• Le maillage des équipements afin de développer une offre de proximité, limitant l’utilisationde la voiture.

Favoriser un développement équilibré des services à la personne

11

Accompagner la croissance démographique par la création d’emplois et d’activités

Agriculture Industrie ConstructionCommerce,transports,

services divers

Administrationpublique,

enseignement, santé, action

sociale

2008 3,4% 17,5% 9,5% 45,4% 24,2%

2013 3,4% 16% 9,3% 46,9 % 24,4%

Grand DAX

En 2013 : 119,7En 2008 :

119,6

Indice de concentration de l’emploi :

• indice de concentration de l’emploi de Macs inférieur à 87,7 :La population est amenée à sortir du territoire pour travailler vers lesintercommunalités de Grand Dax et de l’ACBA, ayant un indice deconcentration de l’emplois supérieur à 100.

MACS En 2013 :

87,7

En 2008 : 86,5

ACBAEn 2013 :

132,7

En 2008 : 141,8

Le taux d’emploi selon le secteur d’activité :


12

Accompagner la croissance démographique par la création d’emplois et d’activités


• L’équilibre spatial des activités économiques sur l’ensemble du territoire.

• L’implantation de levier économique multiplicateur d’emplois afin d’accompagner lacroissance démographique très forte du territoire.

• L’accompagnement et le soutien à la pérennité de l’activité agricole (faciliter la transmission,développer les circuits courts).

• Le développement d’une offre touristique complémentaire à travers l’essor du tourismerécréatif, de loisirs (développement du tourisme vert)

• L’articulation et l’organisation des activités avec l’accueil des nouvelles populations.

13

Renforcer et diversifier l’offre de déplacements

Source : Diagnostic et préconisations pour le réseau YEGO, EREA, 2016

Les autres flux sont très diffus et proviennent de quasiment l’ensemble des Landes, du sud Pays Basque et des Pyrénées- Atlantiques.

Les flux domicile travail :Le territoire de MACS est plus émetteur (flux sortants)que récepteur (flux entrants), traduisant notammentl’influence des agglomérations bayonnaises etdacquoises voisines.Plus de la moitié des flux sont néanmoins internes auterritoire, et notamment intracommunaux avec unedynamique importante allant de Labenne à SaintGeours via Capbreton, Soorts-Hossegor, Tyrosse.

14

86%

2%4%

3%5%

Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2013 : une utilisation de la voiture prédominante

Voiture, camion,fourgonnetteTransport en commun

Deux roues

Marche à pied

Pas de transport

Un territoire accessible au carrefour de grandes agglomérations

Un réseau de transport urbain en développement depuis 2014

Le schéma directeur des liaisons douces avec 250 km de voies cyclables

en construction



15


• Le renforcement et l’adaptation des modes de déplacements aux différentes échelles encohérence avec le développement territorial attendu.

• Les alternatives à l’utilisation de la voiture en faveur de l’environnement, des problématiquesde saturation du trafic mais également pour satisfaire des besoins sociétaux de plus en plusprésent au regard de l’évolution de la structure de la population :

• La place des piétons et cycles se réintroduisant progressivement au cœur des déplacementsdu territoire ;

• Le renforcement du réseau de transports en commun et l’accompagnement des initiativesindividuelles.


Piste cyclable dans la commune de OrxAménagements piétons qualitatifs à Soorts-Hossegor

16

Un modèle de développement devant répondre aux obligations législatives de modération de la consommation de l'espace

Des objectifs de modération de la consommation de l’espace d’ores et déjà affichés au SCoT

« Les extensions des zones urbaines seront organisées en privilégiant l’urbanisation groupée, de façon à éviter lemorcellement de l’espace, et les formes urbaines peu consommatrices d’espace.Pour les logements, l’objectif est la réduction de la consommation foncière moyenne d’environ 30% par rapport auxpratiques antérieures. »

« Le SCoT une consommation moyenne maximale de l’ordre de 1200 ha toutes activités confondues (habitat,économie, équipements, etc.), soit une économie de l’ordre de 240 ha sur la durée du SCoT (à minima 16% d’économieen cas de réalisation du projet de Golf de Tosse, plus de 30% d’économie si ce projet ne voit pas le jour). »

> Le PLUi > compléter l’analysemenée de 2002-2012

Des nouvelles exigences du code de l’urbanismeLe rapport de présentation du PLUi doit exposer « l’analyse la capacité de densification et de mutation de l'ensembledes espaces bâtis, en tenant compte des formes urbaines et architecturales. Il expose les dispositions qui favorisent ladensification de ces espaces ainsi que la limitation de la consommation des espaces naturels, agricoles ou forestiers. »

> Nouvelle analyse à prendre en compte au sein du PLUi

17


Méthodologie proposée par le BE

1/ compléter l’analyse de 2002-2012 (vert) par la période 2012-2016 (bleu)2/ Analyser la morphologie des espaces bâties en 2016 > Définition de 14 catégories sur le territoire de MACS

18


Méthodologie proposée par le BE

1/ compléter l’analyse de 2002-2012 (vert) par la période 2012-2016 (bleu)2/ Analyser la morphologie des espaces bâties en 2016 > Définition de 14 catégories sur le territoire de MACS3/ Identification du potentiel constructible au sein des espaces bâtis

LE CADRE DE VIE, UN FACTEUR D’ATTRACTIVITÉ A PRÉSERVER

ÉTAT INITIAL DE L’ENVIRONNEMENT

19

1. Une biodiversité “majoritairement ordinaire” présente sur l’ensemble du territoire

• Zoom sur les enjeux locaux du

Schéma Régional de Cohérence

Ecologique

o Des enjeux concernant une grandepartie du territoire.

o Rattachés principalement auxréservoirs de biodiversités :

•« Massif des Landes de Gascogne »

•« Milieux humides ».

o Les autres enjeux principauxconcernent les milieux côtiers et lesboisements de feuillus.

o Une biodiversité ordinaire importante.

20

BESOINS / ENJEUX IDENTIFIES

• L’acceptation des espaces remarquables en terme de biodiversité

• L’attention particulière au regard des déboisements pour limiter la régression des espèces etdes milieux emblématiques

• La réflexion sur l’urbanisation susceptible de faire disparaitre les connexions écologiques

2. Un paysage héteroclyte

Zoom sur les unités paysagères

21

Enjeux majeurs de l’unité Plateauforestier :• La gestion d’un équilibre entre les

espaces urbanisés / les espacesforestiers : les clairières agricoles + letraitement des lisières des zonesurbanisées• L’amélioration de la lisibilité des

entrées de bourgs• La valorisation du patrimoine bâti :

les airiaux (discrets) dans la forêtlandaise, les arènes, les frontons, lescasinos du XXème, ...• La préservation des lacs de l’arrière

dune littorale• La préservation des barthes et des

vallons

Enjeux majeurs de l’unité Bandeau littoral :• L’érosion du trait de côte, qui recule• La régulation de la pression touristique et

urbaine (conurbation), qui induit uneurbanisation particulière (progression desespaces bâtis, multiplicationd’aménagements pour la découverte dulittoral, ports de plaisance, ...)• Le maintien des boisements dunaires (écrin

paysager significatif)• La valorisation du patrimoine bâti : les airiaux

(discrets) dans la forêt landaise, les villasbalnéaires, les casinos du XXème, ...

Enjeux majeurs de l’unité Marais d’Orx :• La préservation des lacs de l’arrière dune

littorale• La poursuite d’une gestion touristique en

accord avec la sensibilité écologique du site

Enjeux majeurs de l’unité Collines de Gosse :• Le maintien de la polyculture qui assure des ouvertures du paysage associé aux boisements

fragmentés• La préservation des barthes et des vallons• La préservation des rares cônes de vues lointaines sur le piémont des Pyrénées, au Sud• La préservation des écrins boisés sur les sommités du relief collinéen et sur les pentes• La régulation de l’urbanisation qui a tendance à s’étaler et à se banaliser le long des principaux axes de

desserte, en entrée des bourgs

Enjeux majeurs de l’unité Vallée del’Adour :• La préservation de la trame boisée

qui structure les paysages alluviauxde l’Adour et des barthes (ripisylves,plantations d’alignements, haies, ...)• La lutte contre la fermeture des

paysages agricoles• La lutte contre la banalisation des

paysages agricoles monospécifiques• La valorisation des rares vues sur les

Pyrénées• La valorisation des berges de l’Adour


2. Un paysage héteroclyte

• Zoom sur la problématiques de lisibilité d’entrées de ville

o Perceptions du territoire de MACSdepuis les axes majeurs de découverteet de circulation.

o Etalement urbain, notamment le longdes axes, qui conduit à des processusde conurbation, rendant peu lisiblel’entrée dans les bourgs.

o Certains bourgs en revanche fontl’objet d’un traitement qualitatif desespaces publics, rendant les entrées et

traversées plus attrayantes.

22


• La préservation et la valorisation des motifs paysagers qui font l’identité plurielle du territoire

• La conservation des ensembles bâtis et naturels constituant un patrimoine riche et de grandintérêt

• La requalification des entrées de bourgs les plus dégradées, les plus confuses, les moins lisibles

• La préservation des scénographies particulières (vues sur le littoral, vues intimistes des bergesdes lacs, vues sur les Pyrénées, ...)


• Zoom sur une eau potable en quantité suffisante et présentant de faible pollutions

o Plusieurs forages répartis sur le territoire et prélevantde l’eau dans des nappes phréatiques du miocène, duplioquaternaire et dans l’éocène.

o Certains captages présentant des métabolites (dérivéde l’herbicide pour le maïs).

o Des solutions étudiées (dilution dans une eau demeilleure qualité ou bien recherche de nouveauxemplacements de captage).

o Une ressource en eau disponible en quantité suffisantepour répondre aux besoins des populationspermanentes et saisonnières.

o Des interconnexions réalisées en cas de nécessité desécurisation qualitative.

o Périmètre de protection des captages (en attented’informations complémentaires)

3. La ressource en eau : un atout majeur, mais porteur de contraintes

23

• Zoom sur un assainissement sujet aux eaux de pluie

o 18 stations d’épuration sont répertoriées sur leterritoire :

•3 stations arrivant à leur capacité maximale ;

•2 stations rejetant les effluents dans un ruisseaun’ayant pas la capacité de les diluer ;

•3 stations aux charges hydrauliques très importantesdues à des infiltrations d’eaux claires pluviales etphréatiques.

o Des travaux prévus pour une transformation duréseau unitaire en séparatif ou bien d’uneréhabilitation en vue de limiter les infiltrations d’eauxclaires dues aux remontées de nappe.


24


• La protection des eaux de baignade et des eaux conchylicoles contre les pollutions issues desrejets domestiques et urbains

• La protection des cours d’eau et des berges contre l’urbanisation pour limiter les inondations

• Mettre en cohérence le projet de développement avec la capacité de traitement des effluentsen anticipant les difficultés existantes sur le collectifs (réseaux et stations) avant d’envisagerdes ouvertures à l’urbanisation

• Le développement d’une gestion alternative des eaux de pluie, à la parcelle, pour limiter lessurcharges hydrauliques en station

• Le maintien d’une bonne qualité des nappes phréatiques via la protection des formationsvégétales

• Assainissement autonome (en attente d’informations complémentaires)


25

4. Des risques naturels omniprésents

TRI de DAX – Commune de Saubusse

26

• Zoom sur les berges de l’Adour et les habitations exposées au risque d’inondation



Source : www.inondationsnappes.fr

Moliets-et-Maa

Magescq

Saubion

Sainte-Marie-de-Gosse

Capbreton

Seignosse

Vieux-Boucau-les-Bains

Saubusse

27

• Zoom sur les remontées de nappes souterraines impactantes

o Globalement, sensibilité faible aux remontées de nappessouterraines

o Les risques humains et matériels se concentrant dans leszones où une sensibilité moyenne à forte est avérée et oùle bâti est relativement dense :• la totalité du bourg de Vieux-Boucau-les-Bains, Azur et

Magescq ;• une grande partie du bourg de Capbreton, Soustons,

Messanges, Saint-Vincent-de-Tyrosse, Moliets-et-Maaet Saint-Geours-de-Maremne ;

• des secteurs Ouest de Seignosse, et Labenne ;• des secteurs Sud de Soort-Hossegor.


• La gestion des aléas liés à la ressource en eau à travers une approche trans-thématique(protection des ripisylves des cours d’eau et des zones d’extension des crues, préférer ladensification à l’extension urbaine pour limiter les surfaces imperméabilisées, améliorer lagestion des eaux de pluies...)

• L’organisation du développement territorial en fonction des risques littoraux et en tenantcompte de l’impact potentiel du réchauffement climatique sur ces risques

• La préservation des personnes et biens exposés aux feux de forêt

• La limitation du nombre de personnes impactées par les nuisances sonores


28

o Des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre principalement liéesau secteur des transports, dominé par l’utilisation du véhicule personnel

o Un secteur résidentiel assez fortement consommateur en énergie finale

o Une consommation d’énergie finale plus faible que celle du département des Landes.

o Des énergies renouvelables 3 fois moins représentées dans la consommation d’énergie finalequ’à l’échelle départementale

o De nombreux gisements de production d’énergie renouvelable présents sur le territoire : labiomasse (bois-énergie et méthanisation), l’énergie solaire photovoltaïque, la géothermie, lesénergies marines avec l’hydrolien (estuaires de Capbreton/Hossegor et Vieux-Boucau) et lehoulomoteur (énergie des vagues) et enfin, l’éolien.

o Des ressources déjà largement exploitées et en développement : gisement de biomasse,production solaire photovoltaïque

o Un potentiel éolien limité par le classement de la quasi-totalité du territoire en zone decontrainte absolue

o Un littoral qui ne dispose pas de site favorable au développement de l’éolien offshore ni del’hydrolien

29

5. Des ressources énergétiques locales pouvant être d’avantage exploitées


• La réduction de l’usage de la voiture au profit de transports moins polluants et ledéveloppement en parallèle des alternatives (transports en commun et mobilités douces.)

• Le développement du recours aux énergies renouvelables dans les projets urbains(méthanisation, bois-énergie, solaire photovoltaïque, géothermie, etc.)

• La valorisation de la filière bois-énergie faite dans le respect de l’ensemble des filières del’industrie du bois et des enjeux écologiques

• La participation au développement de technologies permettant la mise en œuvre de l’énergiehydraulique (hydrolien et houlomoteur) et son usage dans les projets de territoire

5. Des ressources énergétiques locales pouvant être d’avantage exploitées

30

201

5

31

Fin de la présentation

Documents

Elaboration du Plan Local d’Ubanisme intecommunal€¦ · alternatif à la voiture individuelle à renforcer •Un pôle d’emplois à sta iliser, ... Des objectifs fixés par