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Aspremont Castagniers Colomars Duranus Falicon La Roquette-sur-Var Levens Saint-André de la Roche Saint-Blaise Saint-Martin-du-Var Tourrette-Levens La Trinité Entre voisins Revue du Sivom Val de Banquière - novembre 2006 à Duranus

Entre voisins novembre 2006

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Page 1: Entre voisins novembre 2006

Aspremont

Castagniers

Colomars

Duranus

Falicon

La Roquette-sur-Var

Levens

Saint-André de la Roche

Saint-Blaise

Saint-Martin-du-Var

Tourrette-Levens

La Trinité

Entre voisinsRevue du Sivom Val de Banquière - novembre 2006

à Duranus

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Côté organisation

En tout, 140 enfants, pourla plupart âgés de 6 à 12 ansont fréquenté le camp devacances de Saint-Vallier deThiey pendant les deux moisd’été.

Le SIVOM avait loué lastructure et recruté un jeunediplômé pour assurer la logis-tique et veiller à ce que tout sepasse bien.

Les enfants étaient accom-pagnés des animateurs de leurcentre de loisirs habituel, cequi a largement facilité l’adap-tation. Et qu’en a-t-il coûté auxparents ? Ce qu’ils auraientpayé pour une semaine decentre de loisirs. Pas cher pourune semaine de dépaysement,de découverte et d’amitié !

Les jolies colonies de vacances

Jeunesse

... Mais pour l’heure, on se réveille. Sur latrentaine d’enfants, bien peu ont déjà campé.Ou alors, c’était en famille. Quelques-unsémergent de la tente, l’air enfariné. D’autresbondissent aussi sec sur les VTT. Hola, crientles animateurs, pas question de monter enselle l’estomac vide. Une hypothétique arai-gnée déclenche une série de hurlements.Tandis qu’un petit groupe s’occupe de lavaisselle et qu’un tournoi de Uno fait rage,les plus acharnés s’exercent à faire décollerles vélos au-dessus d’une bosse en s’encoura-geant mutuellement. Qui croirait qu’hierencore ces gamins ne se connaissaient pas ?Ils viennent en effet de quatre communes dif-férentes - Saint-Martin-du-Var, La Trinité,Saint-André de la Roche et Tourrette-Levens -et fréquentent des centres de loisirs différents.Il aura fallu le trait de génie de l’intercommu-nalité pour leur faire vivre ensemble unesemaine de rêve au grand air. Lorsqu’ilsseront retournés chez eux, un autre groupeprendra leur place, composé d’enfants deFalicon, Colomars et Aspremont, et ainsi desuite jusqu’à la fin de l’été…

Et pendant ce temps chez les ados…

Passé un certain âge, les jeunes ontd’autres exigences. Ce qu’il veulent c’estbourlinguer, voir de nouvelles têtes, se don-ner le frisson en spéléo ou en canyonning,vivre à la manière forte.

Pour ceux-là (les 12-18 ans), le SIVOM

Val de Banquière a organisé en juillet et enaoût deux séjours dans les Cévennes et un àCap d’Agde, au bord de la Méditerranée. Viaferrata, sports d’eau vive, spéléo, VTT pour lesuns ; kayak de mer, beach volley, farniente etfolles soirées pour les autres. Pour tous, viesous la tente, popote, courses, vaisselle :moins de portable et plus d’autonomie. Si toutle monde s’est régalé, le groupe du premierséjour dans les Cévennes a été particulière-ment gâté côté émotion, avec une mini-torna-de qui a laissé dans les esprits d’impérissables– mais finalement chouettes - souvenirs…

Photos n petit déjeuner et VTT à Saint-Vallier

n Via ferrata dans les Cévennesnå prêts à dessaler !

Mardi 25 juillet à Saint-Vallier de Thiey.Une vingtaine de tentes disposées en cercle

cap-tent les premiers rayons de soleil. A l’intérieur,ça remue ou ça dort encore. Rien ne presse : lesgamins savent qu’ils ont jusqu’à neuf heures etdemie pour prendre le petit-déjeuner. Après il y

aura une virée au village, on reviendra manger aucamp et l’après-midi on fera une marche aquatiquedans le lit de la Siagne. Tant mieux, car il fait lourd

aujourd’hui. Les grottes de la Baume obscure,ce sera demain et ce sera frais aussi....

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Le saviez-vous ?

Le Conseil Général desAlpes-Maritimes propose unebatterie d’aides pour les jeunes : n subventions départementalesd’études pour les enfants du pri-maire ou du secondairen aide à la cantine pour lescollégiensn bourses d’études supérieures« soutien 06 »n prêts d’études « ambitions 06 »pour les étudiants de 2ème et 3ème

cycle. Renseignements à la MSP.

Jeunes diplômés

Vous avez au moins Bac + 1et vous êtes sans travail ? L’AFIJ(Association pour l’Insertion desJeunes Diplômés) peut certaine-ment quelque chose pour vous.Cette association organise les2èmes mercredis après-midi dechaque mois, des ateliers théma-tiques à la MSP :n Mercredi 8 novembre : CV etlettre de motivationn Mercredi 13 décembre : lesentretiens d’embaucheInscription préalable auprès dela Maison des Services Publics.

Relais assitantes maternelles

Et un label, un !

Si le SIVOM Val de Banquière est grandpourvoyeur de places en crèches, il n’oubliepas pour autant les assistantes maternelles dusecteur privé qui représentent pour beaucoupde parents un mode de garde à caractèrefamilial.

A la tête du Relais Assistantes Maternellesdepuis trois ans, Chrystel Yahi brosse untableau rapide de la situation : aujourd’hui,77 ass’mats agréées travaillent sur l’ensembledes communes du SIVOM. Comme elles ontdes agréments pour deux ou trois enfants, celasignifie qu’elles gardent environ 200 bambins.Voyez que ça n’est pas négligeable… Les plusgrandes communes (Levens, Tourrette-Levens,Saint-André de la Roche) sont les mieux pour-vues. La situation est plus délicate dans lespetites communes (Aspremont, Falicon, Saint-Blaise, Castagniers, Colomars) et je suis sou-vent contactée par des parents qui n’arriventpas à trouver une nounou sur leur lieu de rési-

dence. Alors, on étudie les possibilités auxenvirons et on finit généralement par trouver laperle rare : celle avec qui le courant passe etqui se trouve justement sur le trajet domicile-travail.

Le Relais Assistantes Maternelles mènediverses actions d’information et de formationauprès des assistantes maternelles. Les ateliers-rencontres qui se déroulent régulièrementdans plusieurs communes du SIVOM sont unlieu d’apprentissage et de convivialité où ellesse retrouvent avec plaisir en compagnie desgamins qu’elles gardent, de l’animatrice duRAM et d’une éducatrice jeunes enfants.

En 2007, le Relais Assistantes Maternellesverra ses moyens renforcés avec l’embauched’une deuxième animatrice. De cette manière,il sera encore plus présent auprès des ass’matset des parents qu’il renseigne utilement sur lesmodes de garde…RAM : 0 800 306 716 (appel gratuit).

Octobre 2005 : la Maison des ServicesPublics du SIVOM Val de Banquière devient« Point Info Famille », un label que la CAFdes Alpes-Maritimes, la DDASS et l’UDAFdécernent aux structures qui assurent l’ac-cueil, l’information et l’orientation pour desdemandes concernant les différents âges dela vie, de la naissance du petit dernier à laprise en charge d’une personne dépendante.

Octobre 2006 : c’est l’Etat en personnequi vient de distinguer la MSP en lui attri-buant le label « Relais Services Publics ».Celui-ci récompense les structures qui facili-

tent, en milieu rural, l’accès des usagers aux

services publics. Cette reconnaissance natio-

nale se traduira par un partenariat accentué

des organismes de services publics - ANPE,

CRAM, CAF, etc. – avec la Maison des

Services Publics. Du côté de l’usager, ce sera

tout bénéfice, tant du point de vue de la qua-

lité que de la variété des services. A suivre..

Maison des Services Publics du Val deBanquière. Résidences du Ghet. Saint-Andréde la Roche.Tel : 0 800 306 716 (appel gratuit).

Des nounous nouvelle vague

Maison des Services Publics

Photos n pique-niques de début d’été

organisés par le RAM à Saint-Martin-du-Var et à Falicon

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Crèche de Levens

Comme un poisson dans l’eau

Une populationexceptionnellementjeune

A Levens, près d’un habi-tant sur 8 a moins de 11 ans,un taux record ! Sur 4300 habi-tants, 520 enfants fréquententen effet les écoles maternelleset élémentaires. Cela représen-te 13 classes élémentaires, 8classes maternelles et uneouverture de classe par andepuis 2003.

Pour faire face au boomdémographique de ces der-nières années, la commune aconstruit une école maternelleindépendante, réaménagél’école Saint-Roch pour lebesoin des plus grands et vientde réaliser une crèche. Tousces travaux ont été confiés auSIVOM Val de Banquière.

Elle est donc ouverte la dernière-née descrèches du SIVOM - la plus petite aussi, dumoins en ce qui concerne le nombre de places,car côté espace, on y est à l’aise surtout si l’onconsidère le grand terrain qui s’étend devant lebâtiment et qui deviendra bientôt un espace dejeu pour les enfants avec un coin potager, uncoin verger et peut-être même un poulailler.

L’établissement aborde à présent son rythme

de croisière avec un effectif de 24 enfants - 17

en accueil régulier et 9 en accueil occasionnel -

pour une capacité de 15 places à temps com-

plet. L’équipe, elle, avait fait sa rentrée bien avant

les petits, le temps de tout préparer. BrigitteMira, la directrice, a investi les lieux la premiè-re, courant juillet. Mi-août, Pascale, Muriel etMarie-Laure, les auxiliaires de puériculture,Catherine, le cordon bleu, Fabienne et Sophie,les agents d’entretien, se ralliaient à elle, chacu-ne apportant sans concertation préalable ducafé, des biscuits, des idées, des fiches pédago-giques et de l’enthousiasme, bref, tout ce qu’ilfaut pour partir sur de bonnes bases.

L’équipe est ultra sympa et motivée, confir-

me Brigitte Mira. Travailler dans une petitestructure, c’est vraiment excitant. On peut sepermettre de ne pas être trop spécialisées.Ainsi, les agents d’entretien interviennent sou-vent en doublure auprès des auxiliaires de pué-riculture. Pareil pour moi et pour Catherine :nous ne sommes pas cantonnées moi dans monbureau et elle dans sa cuisine. Nous connais-sons bien les enfants, ils nous connaissent bien,c’est un gage de confort pour tout le monde, etmême de sécurité. Pour communiquer avec lesparents, nous avons un cahier de bord, uncahier d’observation, et en plus nous notonschaque jour où en est l’enfant, ses progrès ouses petits soucis.

Intégrée au réseau des crèches du SIVOM,la crèche de Levens bénéficie des compétencesde la psychologue, Aurielle Nazzi, et des presta-tions du docteur Bonnefond qui intervient éga-lement à Saint-Martin-du-Var.

En relation constante avec le service PetiteEnfance intercommunal, la directrice participedeux fois par mois aux réunions qui rassemblentles directrices des cinq autres établissementsgérés par le SIVOM Val de Banquière.

Il s’appelle Dudule.C’est l’animal fétiche de lacrèche. Celui qu’on va voirquand on a bobo au coeur

ou au genou, celui quiconsole

et qui répare. Dans le bureau de la

directrice, Dudule se lacoule douce. Pour

l’instant, on n’a guère faitappel à ses pouvoirs :les nouveaux enfantss’adaptent bien à leur

nouvelle crèche et si onvient le voir, c’est

plutôt par plaisir ou parcourtoisie.

Photos n Dudule, le poisson rouge

n l’équipe pédagogique, Antoine Véran, maire de Levens et Honoré Colomas,

président du SIVOM Val de Banquièredans les locaux de la crèche

Motivées !

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Tourrette-Levens

A inaugurerUne salle des mariages haut de

gamme, toute parquetée de bois et équi-pée d’un éclairage mobile pour mettre envaleur des œuvres d’art : voilà la dernièreréalisation de la commune et du SIVOMVal de Banquière. Le docteur Alain Frère,maire et vice-président du ConseilGénéral, réserve d’ailleurs à ses adminis-trés une surprise de taille en ce quiconcerne la décoration...

Juste avant, c’était la rénovation dupresbytère, une réussite : les persiennesvertes qui se détachent sur l’ocre jaune desfaçades confèrent au bâtiment un cachetdes plus authentiques.

Et avant encore, c’était la transformationde l’ancien collège en école primaire pour cequi concerne les niveaux supérieurs du bâti-ment - le rez-de-chaussée et le premier étageayant déjà été réformés en école maternelle.Les enfants et les enseignants prendront pos-session des lieux après les vacances de laToussaint. Ils auront à leur disposition unesalle BCD/informatique, une salle de CLAD etune salle de langue vivante.

A venirComme on n’arrête pas facilement une

équipe gagnante, la commune de

Tourrette-Levens et le SIVOM Val deBanquière, qui agit en tant que maîtred’ouvrage délégué, nourrissent ersembled’autres projets :n la restauration de l’intérieur de l’égli-se, en collaboration avec les Bâtiments deFrance. n La création d’un nouveau pont au Pland’Ariou pour enjamber le Rio Sec.L’ouvrage remplacera le pont existant,étroit et dangereux, car sans aucune visibi-lité. Situé 40 m en amont, le nouveau pontcomprendra deux voies de circulation etdes trottoirs de part et d’autre de la chaus-sée : une amélioration presque impen-sable! Il donnera directement accès auparking de l’école. Celui-ci sera agrandi,aplani et doté de points d’ancrage pouramarrer le chapiteau du festin.

La commission d’appel d’offres doitse réunir sous peu. Si tout va bien les tra-vaux débuteront au premier trimestre2007.

Au préalable, c’est-à-dire en jan-vier, le service des Routes du ConseilGénéral interviendra pour aménager ladépartementale de façon à faciliterl’insertion des véhicules sur le futurpont Ces travaux permettront aussi decréer une quinzaine de places de sta-tionnement.

L’utile et l’agréable

Photos de haut en basn l’église et le presbytèren l’ancien collège, aujourd’hui écolematernelle et élémentairen le site du futur pont d’Ariou

La commune change à vue d’œil. Des nouveaux mariés auxenfants du primaire, tout lemonde à de quoi se réjouir...

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Mise en valeurdu patrimoine

Saint-Martin-du-VarDuranusDes projets plein les poches

Finie, la place Saint-Michel.Finie, et même inaugurée engrande pompe dimanche1er octobre, jour de la fête patro-nale. De l’avis général, elle a del’allure, beaucoup d’allure.L’idée audacieuse de combler levallon pour créer en lieu et placede celui-ci une vaste esplanades’est révélée une réussite. Lesjeux de boules s’intègrent mer-veilleusement bien au paysage etl’église se trouve mise en valeurpar le nouvel aménagement del’espace et le discret pavage depierre.

Pour parachever ces travaux,réalisés sous la responsabilité duSIVOM Val de Banquière, lacommune envisage la réalisationprochaine d’un cadran solairesur la façade principale de l’égli-se et l’édification d’un vraimonument aux morts.

Mieux : elle a acquis récem-ment la propriété « la Féosiera »,contigue à la place Saint-Michel,en vue d’y aménager un terrainsportif pour les jeunes.

L’élargissement de la routequi mène à la mairie affiche uncertain retard, ce dont se déso-lent ensemble la municipalitéet le SIVOM Val de Banquièrequi a hérité de la maîtrise d’ou-vrage. Explication : la DDE,chargée de réaliser les travauxen tant que maître d’œuvre,croule sous les dossiers et nepeut satisfaire les demandes entemps voulu. Par contre, lestravaux d’assainissement préa-lables au pavage du chemin dela Lava ont débuté commeprévu.

Qu’on se souvienne de la place del’Eglise il y a à peine un an : un désordre devoitures stationnées n’importe comment,un fouillis de mauvaise végétation qui mas-quait une fontaine de marbre blanc aupassé historique (voir dernière page).

Aujourd’hui, l’opération de réhabilita-tion lancée par la mairie et confiée auSIVOM Val de Banquière a fait place nette :les voitures sont sagement alignées derrièredes plots, les pins sombres ont été rempla-cés par deux micocouliers, et seule la fon-taine a droit de cité sur le vaste territoire dela place. La place de l’Eglise a donc retrou-vé le calme qui lui convient les jours ordi-naires. Les jours de fête, c’est différent :elle peut accueillir des centaines de per-sonnes – au bas mot, 450 spectateurs ontassisté cet été à un spectacle de magie.

Jouxtant la place de l’église, il y al’école. Là aussi, on a fait le ménage. Legrand bâtiment se découpe à présent nette-ment derrière les marronniers taillés à lafrançaise et les bas-reliefs dédiés aux vic-times des deux grandes guerres sortentenfin de l’ombre. Ce qui importait dans cesecteur, c’était la sécurité des enfants. Lesvoitures ont donc été priées de ralentir etde circuler à sens unique sur la rue JeanMoulin (création d’un plateau surélevé,zone 30). Le stationnement anarchique aété banni (mise en place de plots et mar-quage au sol).

Evidemment, avant d’en arriver là, il afallu traiter l’invisible : refaire ou créerles réseaux d’eaux pluviales, d’eaupotable et d’assainissement ; passer ensouterrain les réseaux d’électricité etd’éclairage public ; mettre en place unréseau d’éclairage spécialement dédié aupatrimoine – c’est lui qui donne latouche finale en mettant en valeur lespoints forts du village : l’église, lesmonuments aux morts, la haie de mar-ronniers, le grand platane et la fontaine.

A Saint-Martin-du-Var, on exulte : ça n’est pas rien de redécouvrir le charme, même modeste, du patrimoine architectural et le bonheur d’une vie de village.

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Les enfants

au coeur

de la ville

A la Galipette,on y mange on ymange...

Ca y est, les enfants qui fré-quentent la Galipette peuventaussi y manger. Certes, lesplaces sont peu nombreuses caril aurait fallu un coup de baguet-te magique pour repousser lesmurs. Mais enfin, on arrivemaintenant à servir une huitainede repas, ce qui arrange bien lesparents qui sont dans l’impossi-bilité de récupérer leurs enfantsentre midi et deux.

Deux bungalows ont été ins-tallés dans la cour de l’établisse-ment. Dans l’un, on procède auréchauffement des plats livréspar la société de restauration,dans l’autre, on fait la vaisselle :ainsi se trouve respectées lesnormes d’hygiène. Les enfantsdéjeunent dans la salle d’évolu-tion qui a été dotée du mobiliernécessaire. Dans la foulée, on ainstallé la clim’ et des vestiairespour le personnel. L’ensembledes travaux a été confié auSIVOM Val de Banquière.

Honoré Colomas, présidentdu SIVOM et conseiller général,s’est rendu sur place en compa-gnie de Mme Gilberte Sandri,adjointe déléguée aux affairessociales, pour se rendre comptede l’amélioration.

La Trinité

La parole est au maire de La Trinité

Cet équipement nous l’avons voulu aucentre-ville, et sur un terrain qui n’est pasn’importe lequel. En acquérant la propriétéTagnati, la commune a sauvé l’un des der-niers joyaux du patrimoine architectural trini-taire. La villa ancienne sera conservée - onréfléchit actuellement à ses utilisations pos-sibles - et le parc sera autant que possiblepréservé.

Alors pourquoi une crèche à cet endroit ?Parce que l’établissement actuel, la Galipette,est à la fois trop excentré et trop petit pourune ville comme La Trinité.

Du point de vue de la qualité de vie, leprojet est une aubaine pour les parents et lesenfants. Il s’inscrit dans une requalification

générale du centre-ville qui contrebalanceral’urbanisation désordonnée de part et d’autrede la route de Laghet.

Nous vivons la fin d’une époque de gas-pillage. A cause de l’augmentation du coûtde l’essence et de la perte de temps dans lestransports, on ne pourra bientôt plus se per-mettre de vivre à La Trinité et d’aller travaillerà Carros. Ce qu’il faut, c’est se recentrer, fairedes économies, travailler, aller à l’école, fairedu sport, se cultiver près de son lieu d’habita-tion. La future crèche s’inscrit dans cette pers-pective : elle sera, par exemple, à deux pas dela médiathèque et de l’école de musique.Et pour que le paradis ne devienne pas unenfer, le SIVOM Val de Banquière, à qui lacommune a délégué la maîtrise d’ouvrage, acommandé des études très fines au sujet del’accès au futur établissement.

Photos, de haut en basn la villa Tagnatin le repas de midi à La Galipetten Honoré Colomas, président duSIVOM Val de Banquière et conseillergénéral, en visite à la Galipetten Jean-Louis Scoffié, maire de la Trinitéet Gilberte Sandri, adjointe aux affairessociales

Le projet d’établissement multi-accueil pour la petite enfance a avancéd’un cran suite au concours de maîtrise

d’oeuvre lancé en septembre par leSIVOM Val de Banquière.

D’ici la fin de l’année, le juryprésélectionnera quatre architectes qui

produiront des esquisses tenant comptedu cahier des charges. Le choix définitif

sera fonction de l’allure générale du bâti-ment et de son inscription dans le site.

La nouvelle structure remplaceral’actuelle halte-garderie de la Galipette.

Elle permettra l’accueil des enfants àtemps complet et offrira des locaux pour

la crèche familiale, l’atelier enfants-parentset le relais assistantes maternelles.

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L’ensemble n’est pas loin de former unhameau puisqu’on y trouve, pêle-mêle,l’église, la poste, le local du comité des fêteset deux appartements, le tout propriété de lacommune. Fut même un temps où l’église etla poste cohabitaient avec l’école - et, dumême coup, la cure jouxtait les apparte-ments de fonction du receveur et de l’institu-trice. A cette époque, se souviennent lesanciens, la situation était plutôt tendue au

quartier de la Madone, en raison des opi-nions diamétralement opposées du curé etde l’enseignante…

Du point de vue architectural, les chosesne sont pas simples non plus : les bâtimentssont imbriqués les uns dans les autres etc’est, par exemple, un autre toit que celui del’église qui supporte le clocher.

Restaurée il y a quelques années, l’égliseaffiche aujourd’hui de jolies façades ocrejaune. En tant que maître d’ouvrage délégué,le SIVOM Val de Banquière s’occupera dureste, à savoir la remise en état de la toitureet du clocher, la réfection des façades dubureau de poste, l’aménagement desannexes et la réhabilitation d’un des apparte-ments. Pour parer au plus pressé, l’église seradotée d’un nouveau système de chauffageavant Noël.

Des nouvelles

du Centre de loisirs

Après une période estivaleriche en activités et en émo-tions (camping, piscine, sortiesau zoo, à la ferme pédago-gique de Saint-Jeannet, aulabyrinthe de l’aventure, etc.),le Centre de Loisirs SansHébergement Municipal deColomars (CLSH) a réouvertses portes aux petitsColomarsois pour les mercre-dis et les vacances.

La hausse sensible deseffectifs (+ 20 enfants environ)témoigne de la vitalité de cetétablissement qui n’a pourtantque 10 mois d’existence entant que CLSH municipal. Baséau groupe scolaire desSerraires, au centre-village, lecentre de loisirs bénéficiera delocaux rénovés, indépendantset spacieux dès que les travauxd’extension seront terminés.

La municipalité et la res-ponsable du centre de loisirs,Mlle Corinne Corbalan, ontdécidé de reconduire l’expé-rience des sorties à la neige :de janvier à mars 2007, sept“mercredis ski” seront pro-grammés, en collaborationavec les CLSH des communesvoisines d’Aspremont et deSaint-Martin-du-Var. Pour leurplus grand bonheur, une qua-rantaine d’enfants prendrontdonc prochainement le car,direction La Colmiane et laneige…

Pour tout renseignement :CLSH municipal de Colomars

Tél. 04 92 15 18 78 ou 06 29 93 85 41E-mail : [email protected].

Colomars

Quartier de la Madone

Tandis que les travaux degros-œuvre se terminent au groupescolaire des Serraires, la communese penche sur un nouveau dossier :

la réhabilitation de l’église de laMadone et des bâtiments qui lui

sont accolés.

Page 9: Entre voisins novembre 2006

Des sols souples pour amortir les chutes,un cheminement coloré pour accéder à lacrèche, des décors sur les murs extérieurs etles baies vitrées : le SIVOM vient de mettre ladernière touche à l’aménagement desespaces extéreurs de La Barboteuse.

Les sols souples, qui apportent confort etsécurité, ont été posés aux endroits sensibles :là où les gamins jouent et circulent le plus. Ilsfont bon ménage avec les plantations et les

espaces gazonnés. Quant aux vignettes colo-rées qui égaient le bâtiment, elles ont étéchoisies par l’équipe pédagogique. Elles sontla réplique exacte des figurines d’un puzzleque les enfants adorent et qu’ils utilisentdepuis des années. Imaginez la surprise lors-qu’un beau matin ils ont découverts, aussigrands qu’eux, le cow-boy et le cheval quitenaient jusque là dans le creux de la main.Si ce n’est pas de la magie...

Aspremont

Castagniers

Les couleurs de l’enfance

Nouvelle

école en vue

AspremontZone piétonne placeLéandre Astraudo

Avec l’aide du conseil géné-ral, et les fonds de concours dela CANCA, la place LéandreAstraudo va bientôt être rendueaux piétons. Murets de pierre,pavage, tout sera mis en œuvrepour que les voitures n’y fassentdésormais qu’une courte halte.Normal : elles peuvent se garertout à leur aise sur le parking quia été réalisé un peu plus bas parle SIVOM. Fin du chantier auxalentours de Noël.

CastagniersDes activités à foison

LUNDI : judo, gymnastique,peinture

MARDI : Castagnérenques,chant, taekwondo

MERCREDI : tennis, ski scolaire,gymnastique,pétanque, piano

JEUDI : salsa, art floral,Castagnérenques,danse jazz

VENDREDI : salsa, taekwondo,cartes

SAMEDI : danse jazz, danse éveil, judo

Renseignements en mairie au04 93 08 05 11.

A quoi voit-on qu’une commune va del’avant ? Au nombre d’enfants qui peuplentses écoles. Aspremont comptait 1853 habi-tants en1999, 2034 au dernier recensement.Entre 2004 et 2006, les enfants sont passésde 120 à 147. Autant dire que les deuxclasses maternelles et les 4 classes primairesdu village risquent d’être bientôt saturées.

Pour faire face et voir venir, la municipa-lité a confié au SIVOM Val de Banquière lesoin de construire, au lieu dit “la Prairie”, ungroupe scolaire d’une capacité de 3 classesmaternelles et 7 primaires, capacité large-ment suffisante pour accueillir tous lesenfants d’Aspremont, sans avoir désormaisbesoin d’accorder des dérogations.

Les exigences de la mairie étaient claires : n que les bâtiments soient le moins élevéspossible, à la fois pour l’esthétique et le bien-être des enfants et des enseignantsn que la desserte (voies de circulation etstationnement) soit bien étudiée n que les abords paysagers soient agréable-ment traités

Le concours d’architectes a été lancé parle SIVOM en avril 2006. Sur 26 dossiersdéposés, 3 ont été présélectionnés, eu égardau cahier des charges. Le groupement repré-senté par l’architecte Sophie Nivaggioni afinalement été retenu pour la qualité du pro-jet architectural : allure globale du bâtiment,fonctionnalité et inscription dans le site.

Photosn le nouveau sol souple

n ça alors !...

Page 10: Entre voisins novembre 2006

Saint-André de la Roche

La Roquette sur Var

Un nouveau pont horizon 2007

Des bébéset des crèches

Le dossier du pont du Ghet, qui a connuquelques difficultés à cause du foncier, estenfin sur les rails. Le SIVOM Val de Banquière,maître d’ouvrage délégué, étudie le moyen deminimiser la gêne pendant la période des tra-vaux.

Le nouveau pont sera situé 20 mètres enamont de l’actuel pont Aubé. Sur le plan ci-contre les nouveaux aménagements sont figu-rés en rouge et l’ouvrage promis à la destruc-tion en orange. Le nouveau pont sera vraissem-blablement le frère jumeau du pont du Ghetpuis que dans les deux cas, il s’agit :n de mettre le quartier du Plan à l’abri desinondations en permettant le libre écoulement

des eaux en crue - pour ce faire, le tablier serasurélevé et enjambera la Banquière sans pilede soutien centrale.n de faciliter la circulation des véhicules etdes piétons entre les deux rives - la chausséesera élargie en conséquence ainsi que les trot-toirs.

Le chantier sera lancé au printemps2007. C’est la DDE qui a hérité de la maîtri-se d’œuvre. Le Conseil Général interviendra,lui, sur la RD 19 pour aménager le rond-pointqui donnera accès au pont. Les deux opéra-tions seront synchronisées et comprendrontle déplacement et le renforcement desréseaux EDF, GDF, Télécom, etc.

A mi-chemin entre Saint-Martin-du-Varet Levens, les habitants de La Roquette ontl’embarras du choix côté crèche. Pour cou-vrir les besoins en mode de garde, la com-mune a en effet réservé deux places à pleintemps dans chaque établissement.

La crèche de Saint-Martin, comme d’ha-bitude, a fait le plein des effectifs : Silas etMarine, les bébés, Rosie, Margot et Jules, les« grands », la fréquentent à un rythme plusou moins soutenu - entre un jour et quatrejours par semaine. A cause de sa situation

dans la plaine du Var, sur le trajet domicile-travail, cet établissement intéresse en effetbeaucoup de parents. C’est d’ailleurs la plusintercommunale des crèches du SIVOM,puisqu’elle accueille les enfants de cinqcommunes différentes.

La crèche de Levens enregistre pour l’ins-tant moins de demandes. Un seul petitRoquettan, Killian, y est inscrit. La deuxièmeplace a été prêtée à la commune de Levens quien avait grand besoin : c’est aussi ça l’avantagede l’intercommunalité.

Saint-André de la RocheRénovation du jardin d’enfants

Après ceux des Résidences duChâteau et du Manoir, c’est le jar-din d’enfants Henry Léon qui vafaire une cure de jouvence. Le dos-sier a été confié au SIVOM et la findes travaux est prévue pour Noël.

La Roquette sur VarUne nouvelle municipalité

Les électeurs sont allés auxurnes au mois d’octobre. La dis-solution du conseil municipalavait été demandée par l’ancienmaire, M. Jean-Jacques Isaia. etc’est M. Michel Raybaut qui apris la tête de la municipalité.Nous souhaitons bonne route àla nouvelle équipe.

Photopremiers sondages dans la Banquière

Photosn les petits Roquettans accueillis dans les crèches de

Saint-Martin-du-Var et de Levensn le nouveau conseil municipal

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Saint-Blaise

Falicon

Le garage idéal

La boucle est bouclée

Qu’est-ce qui manquait à la commune pourgarer ses véhicules et entreposer son matériel ?Un garage. C’est tout simple mais ça rend rude-ment service, un garage.

Une fois l’emplacement retenu - avenue duCollet, à proximité du grand parking -, la mairie aconfié la maîtrise d’ouvrage de l’opération auSIVOM Val de Banquière qui a obtenu les subven-tions nécessaires : 65% du montant total HT sontfinancés par le Conseil Général, le reste par lacommune. M. Didier Roman a réalisé le projetarchitectural qui, selon le voeu des élus, s’intègreavec discrétion dans le site. Les travaux ont débu-té en juin et aujourd’hui le bâtiment sort de terreau sens littéral du terme, vu que l’édifice est pourmoitié inséré dans la colline.

Le garage comprendra trois places de sta-tionnement, un quai de déchargement et destockage, un toit terrasse utilisable, un bureau,une salle du personnel, un vestiaire et des sani-taires. Coût HT : 249 434 euros. Fin des travauxavant 2007.

Oui, la boucle est bouclée pour Coralie,Adeline et Michaël, trois jeunes de Falicon.

Enfants, ils fréquentaient le centre de loisirscommunal avant de rejoindre la maison desjeunes. Aujourd’hui, ils ont 17 ans, et vontdevenir à leur tour animateurs au CLSH avec laferme intention de préparer le Bafa. Alors, cetteformation, ils pourraient la suivre sans l’aide dela commune et du SIVOM Val de Banquière,mais le coup de pouce est sacrément incitatif :au lieu de débourser 800 euros chacun, ils vontavoir accès à la gratuité complète dans le cadredu contrat enfance-jeunesse intercommunal.

Seule contrepartie : ils s’engagent à travaillerpendant deux ans comme animateurs au centrede loisirs.

Quelques mots sur la maison des jeunes :Michaël et Mélanie, les responsables, ont enre-gistré beaucoup d’inscriptions cet été et la mai-son des jeunes a souvent tourné au maximum deses possibilités (20 jeunes de 13 à 18 ans parjour). L’ambiance ? Toujours géniale, il suffit d’al-ler sur le blog des jeunes pour s’en convaincre(tapez mairie-falicon.com pour y accéder). Ducoup, les heures d’ouverture vont être revues à lahausse à partir de janvier 2007 :

n le mardi et le jeudi, de 16h30 à 19h30

n le samedi et le mercredi, de 13h00 à 19h00

n un soir par mois de 19h00 à 23h00 (soiréethématique)

Autre nouveauté : la commune va organi-ser des cours de soutien scolaire le mardi et lejeudi pour les collégiens (à partir de la 6eme)

Renseignements en mairie : 04 92 07 92 70.

FaliconPremière fête

des associations

Riche idée d’avoir organi-sé la fête des associations mer-credi 6 septembre, juste aprèsla rentrée scolaire et justeavant le démarrage des activi-tés sportives et culturelles.

Le public est venu enmasse pour se faire une idéede l’éventail proposé et lesassociations ont enregistré denombreuses inscriptions.

Photosle chantier aux mois de juin et d’octobre

PhotoCoralie Beacci et Adeline Couturier, animatrices bientôt diplômées

Revue du SIVOM Val de Banquière Directeur de publication : HonoréColomasRéalisation : Maritée Juge, servicecommunication Imprimeur : Crouzet 06340 la Trinité Tirage : 15 000 ex. Crédit photo : Gilles Nunes, PierreDorgueil, SIVOM Val de Banquière ;RAM, mairies de Castagniers,Falicon, La Roquette-sur-Var,Colomars, Saint-André de la Roche,La Trinité.

Entre voisins

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Le haut et le bas

Il y a un siècle et demi,Saint-Martin-du-Var et LaRoquette-sur-Var formaient uneseule commune. Mais comme ilarrive souvent, des dissensionstenaces opposaient « ceux de lamontagne » à « ceux de laplaine ». Dans les années 1860,la construction d’une fontainede marbre au quartier de Saint-Martin mit le feu aux poudres :ceux d’en haut trouvèrent ladépense somptuaire et la sépa-ration fut officiellement pronon-cée en 1867.

Le poudinguenature et usage

Comme son nom l’indique,le poudingue est une sorte degâteau géologique composé degalets ronds cimentés par de

fines particules. Dans la valléedu Var, ces dépôts atteignentplus de 200 mètres d’épaisseur.Ils ont été laissés par le fleuve àl’âge du Pliocène (fin de l’èretertiaire). Les paysans utilisaientautrefois les galets commematériaux de construction pourles murs des cabanons et desrestanques.

Sur l’ancien territoirede la Roquette-Saint-Martin

Balade

Dénivelé : environ 300 mètresDurée : deux heures et demie sans trop musarder - évidem-ment plus pour les esprits curieux…Cette balade se trouve décrite dans l’ouvrage de Pierre-RobertGarino et Robert Ravaioli : “Randonnées pédestres, équestreset VTT dans le canton de Levens”.

Face à l’église de Saint-Martin-du-Var,prendre à gauche le Chemin Neuf qui conduit aucimetière par une série de marches. Là, emprunterla rampe de béton située à gauche du portail. Lechemin, de bonne largeur, traverse une propriétéoléïcole. Au bout de 200 mètres, obliquez encoresur la gauche : vous voilà sur l’étroit sentier quigrimpe à La Roquette. Au quartier Saint-Esprit, tra-versez la route départementale 20 : encore unecourte montée et vous êtes au village.

Là, impossible de ne pas faire halte placedu Portalet, ce promontoire qui domine les val-lées du Var, de l’Estéron et de la Vésubie.Traversez ensuite le village dans toute sa lon-gueur en empruntant les ruelles et en essayantde ne pas manquer les points forts : la place del’église, avec sa fontaine et les surprenantescéramiques d’une maison qui appartient àMary Quant, l’Anglaise à qui l’on doit la mini-jupe ; plus bas, le lavoir, fraîchement restauré.

Au carrefour de la D 20 et de la route d’accès

au village, suivez la D 20 en direction de Levens

jusqu’au cimetière (joli pigeonnier sur la gauche).

Une épingle à cheveux plus tard (mais raccourci

possible par la sente située à droite du cimetière),

prenez la route goudronnée du Vallon du Clot de

Dué que vous suivrez 300 mètres environ jusqu’à

trouver, sur votre droite, la piste forestière du Raiet

(barrière verte). Empruntez-la pendant quelque

500 m en étant vigilant sur votre droite, afin de ne

pas rater le sentier qui ramène à Saint-Martin-du-Var

en chevauchant les falaises de poudingue. Celui-ci

croise une piste et se poursuit de l’autre côté de la

barrière en bois avant de déboucher sur le chemin

des Vignes. Descendre ensuite la route du Puy.

Quoique goudronné, ce tronçon ne manque pas

d’intérêt car il traverse un joli quartier, autrefois

exclusivement agricole, et permet d’observer des

près les strates de poudingue (photo ci-contre).

Le chemin Pierre Grilli, qui fait suite à la route du

Puy, vous amènera enfin au centre du village. Un

coup d’œil au terrain vague situé juste avant le par-

king de l’Ubac : il s’agit de la carrière d’argile qui ali-

mentait l’ancienne briqueterie de Saint-Martin-du-Var.

Cette balade se dérouleautour du vallon de

l’Ubac, tantôt surterrain calcaire et tantôt

sur des falaises depoudingue. Elle offre decontinuelles échappées

sur Saint-Martin-du-Varet La Roquette, deux

villages qui formaientautrefois une seule et

même commune.