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FLASH Économie JOURNAL D’INFORMATIONS ÉCONOMIQUES ET JUDICIAIRES EDITION HEBDOMADAIRE (64 ème ANNEE) N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017 PRIX 5 : DH L’art de travailler en mode projet PAROLE D’EXPERT LES FLASH P 2- 3 ANNONCES LEGALES P 4-5 Créer son entreprise en solo Agriculture : Helios acquiert la filiale africaine de LDC Al Hoceima : Le CSCA recadre la SNRT et Médi 1 TV Formation professionnelle : Les bourses ouvertes IDE : Le Maroc 5e dans le monde arabe JOURNAL AGRÉÉ POUR PUBLIER LES ANNONCES LÉGALES - Directeur de la publication : MAJID FATHI - www.flasHeconomie.com 28, Avenue des FAR - casablanca -imprimerie AL HIKMA - difusion sapress - dossier dePresse n° 16/1992-issn1113-0954 Train trans-maghrébin : L’UMA évalue l’étude de faisabilité

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FLASH ÉconomieJOURNAL D’INFORMATIONS ÉCONOMIQUES ET JUDICIAIRES

EDITION HEBDOMADAIRE (64 ème

ANNEE) N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017 PRIX 5 : DH

L’art de travailler en mode projet

PAROLE D’EXPERT LES FLASH P 2- 3

ANNONCES LEGALES P 4-5

Créer son entreprise en solo

Agriculture : Helios acquiert la filiale africaine de LDC

Al Hoceima : Le CSCA recadre la SNRT

et Médi 1 TV

Formation professionnelle : Les bourses ouvertes

IDE : Le Maroc 5e dans le monde arabe

JOURNAL AGRÉÉ POUR PUBLIER LES ANNONCES LÉGALES - Directeur de la publication : MAJID FATHI - www.flasHeconomie.com28, Avenue des FAR - casablanca -imprimerie AL HIKMA - difusion sapress - dossier dePresse n° 16/1992-issn1113-0954

Train trans-maghrébin : L’UMA évalue l’étude

de faisabilité

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FLASH Économie 2N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

LES FLASHES DE LA SEMAINE

Al Hoceima : Le centre d’oncologie fin prêt

Le centre d’oncologie d’Al Hoceima qui a tant fait couler d’encre devrait entrer en service incessamment. Selon une note du Conseil de la Région de Tanger-Té-touan-Al Hoceima, l’ensemble des équipements et du personnel prévu dans le cadre de la convention entre le Conseil, le ministère de la Santé et l’Agence du nord pour sa réhabilitation est déjà mis en place. La convention portait sur 12 mil-lions de DH et prévoyait des scanners de dernière génération dont un dit 3D ainsi que plusieurs cadres médicaux dont un spécialiste physicien.

L’opérateur historique a également mis à jour ses perspectives pour l’exercice 2017. Il s’attend désormais à un repli du chiffre d’affaires en raison des nouvelles mesures de régulation. Cette révision intervient dans un contexte marqué par les évolutions récentes du marché et «dans la mesure où aucun nouvel événement exceptionnel majeur ne viendrait perturber l’activité du groupe», explique-t-on. Ainsi, le résultat opérationnel avant amortissement devrait rester stable et les dépenses d’investissement représenteraient environ 23% du chiffre d’affaires, hors fréquences et licences.

IAM revoit ses résultats pour 2017

Tramway Rabat-Salé : Colas choisi pour l’extension

La Société du tramway de Rabat-Salé (STRS) a confié au groupement com-posé de Colas Rail, filiale ferroviaire de Colas, et GTR, filiale routière de Colas au Maroc, la construction de l’extension de la ligne 2 du tramway de Rabat-Salé. Le montant du contrat s’élève à plus de 300 millions de DH (29 millions d’euros).

Outre la réalisation des plateformes du tramway, ce marché concerne aussi la pose des voies ferrées et la signalisation ferroviaire sur une longueur totale de 7 km. Colas et sa filiale marocaine crée-ront aussi une voie de remisage supplé-mentaire dans le dépôt de Hay Karima et déplaceront la station «Gare de Salé». Le prolongement du réseau permettra de desservir, du côté de Rabat, le quar-tier de Yacoub Al Mansour, et, du côté de Salé, le nouvel hôpital. À noter que les travaux seront lancés en août pour une mise au cours du second semestre 2019.

Formation professionnelle : Les bourses ouvertes

Le ministère de l’Education nationale vient de lancer l’ouverture des candida-tures pour les bourses pour la formation professionnelle dans les cycles «techni-cien» et «technicien spécialisé» au titre de l’année 2017-2018. Les bacheliers intéressés devront ainsi postuler d’ici le 31 juillet via le e-service «Minhaty» à travers l’inscription sur le portail élec-tronique www.minhaty.ma. Pour rappel, l’octroi de cette bourse, versée en trois tranches sur dix mois, est soumis aux mêmes conditions et règles en vigueur dans l’enseignement supérieur. La liste des instituts de formation profession-nelle dont les stagiaires sont éligibles sera aussi arrêtée prochainement.

Train trans-maghrébin : L’UMA évalue l’étude

de faisabilité

Le projet de réhabilitation du train trans-maghrébin suit son cours. L’Union du Maghreb Arabe (UMA) tient, du 24 au 27 juillet, la 3e session ordinaire de la commission chargée de superviser l’étude de faisabilité de cet ambitieux projet. La session sera ainsi consacrée à l’évaluation des offres techniques et financières présentées par des bu-reaux d’études ayant participé à l’appel d’offres.

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3FLASH Économie N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

LES FLASHES DE LA SEMAINE

Al Hoceima : Le CSCA recadre la SNRT

et Médi 1 TV

Le Conseil supérieur de la communica-tion audiovisuelle (CSCA) vient d’adres-ser un avertissement à la SNRT et à la chaîne Médi 1 TV après la diffusion dans les journaux télévisés d’images et de séquences prises dans un «contexte différent de celui dans lequel elles ont été présentées». Les faits remontent aux 27 et 28 mai derniers. La SNRT, via «Al Oula» et «Tamazight», ainsi que la chaîne tangéroise, avaient diffusé des images traitant de l’arrestation de per-sonnes pour actes de vandalisme dans les événements d’Al Hoceima en utili-sant d’autres images d’actes de saccage survenus lors d’un match de football.

Le CSCA estime ainsi que la SNRT et Médi 1 TV ont «enfreint les dispositions légales et réglementaires en vigueur». Il ordonne également la notification de la sa décision à la SNRT et à Médi 1 TV, ainsi que sa publication au Bulletin Of-ficiel.

La CGEM Internationale lancée lundi

La Confédération générale des entre-prises du Maroc (CGEM) lance, lundi 24 juillet, sa 13e représentation régionale dédiée aux Marocains résidant à l’étran-ger (MRE). L’objectif est de mettre en place une plateforme d’échange entre les Marocains entrepreneurs du monde et ceux du Maroc. Concrètement, l’idée est d’inciter les investisseurs marocains vivant à l’étranger à s’implanter et opé-rer sur le marché marocain, en plus de faciliter le développement des expor-tations marocaines sur les marchés étrangers. Pour l’occasion, la CGEM a invité plusieurs ministres. Saâdeddine El Othmani, chef du gouvernement, a déjà confirmé sa présence. A noter que la nouvelle structure est présidée par Adil Zaïdi qui dirige la Commission dy-namique régionale de la CGEM.

IDE : Le Maroc 5e dans le monde arabe

Le Maroc occupe la 5e place dans le monde arabe en termes de flux d’investisse-ments directs étrangers (IDE), indique un rapport réalisé par «The Arab Investment and Export Credit Guarantee Corporation». Avec 2,3 milliards de dollars d’IDE en 2016, le Royaume est premier au Maghreb devant l’Algérie (1,5 milliard de dollars), la Tunisie (958 millions de dollars), la libye (493). Dans le monde arabe, les Émirats arabes unis sont classés premiers avec 9 milliards de dollars d’IDE l’année dernière. Ils devancent l’Egypte (8,1 milliards de dollars), l’Arabie Saoudite (7,4) et Liban (2,5). A noter que les entrées d’IDE dans les pays arabes ont augmenté de 25% pour at-teindre 30,8 milliards de dollars en 2016, contre 24,6 milliards de dollars l’année précédente.

Agriculture : Helios acquiert la filiale africaine de LDC

Le capital-investisseur panafricain Helios Investment Partners vient d’acquérir 100 % de la société Fertilizers and Inputs Holding B.V., qui détient les opérations afri-caines d’engrais et d’intrants de Louis Dreyfus Company (LDC). Cette opération, dont le montant n’a pas été dévoilé, permet à Helios de créer d’autres plateformes de distribution transnationales dans le secteur agricole pour favoriser l’amélioration des rendements et l’augmentation des revenus des agriculteurs du continent.

Implantée en Afrique depuis 1947, LDC distribue des engrais, des produits de pro-tection des cultures, des semences, ainsi que des produits chimiques industriels via un réseau couvrant sept pays (Angola, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Ma-dagascar, Mali et Sénégal).

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FLASH Économie 4N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

A N N O N C E S J U D I C I A I R E S E T L É G A L E S

1096-3M3

CRITSOCIETE A

RESPONSABILITEE LIMITEE AU CAPITAL DE

1.500.000 DIRHAMSSIEGE SOCIAL: 67.

BOULVARD AL MASSIRA AL KHADRA.

CASABLANCARC CASABLANCA

122453.RENOUVELLEMENT DU MANDAT DU GERANT

Aux termes des délibérations de l’Assemblée Générale Or-dinaire Annuelle du 22 Mai 2017.Les Associés ont renouvelé le mandat de Gérant Unique pour une durée d’UNE année de :Monsieur Patrick Rubenyves COHEN.Le dépôt légal a été effectué au Greffe du Tribunal de Commerce de CasablancaLe 20 Juillet 2017 sous le nu-méro 00640270Pour extrait et mentionLE GERANT UNIQUE

1096-4M4

SOCIETE SELECT FRUIT SARL A.U (SOCIÉTÉ EN

LIQUIDATION)SOCIETE A

RESPONSABILITE LIMITEE A ASSOCIE

UNIQUE AU CAPITAL DE :

10.000,00 DIRHAMSSIEGE SOCIAL : 12 RUE SABRI BOUJEMAA 1ER

ETG APT N°6- CASABLANCA

Aux termes de sa délibération en date du 20/03/2017à Ca-sablanca, l’associé unique de la société SELECT FRUIT a constaté ce qui suit :- Examen et approbation du compte définitif de liquidation de la société SELECT FRUIT SARL (AU)- Quitus au liquidateur et dé-charge de son mandat- Constatation de la clôture de la liquidation- Pouvoirs pour l’accomplis-sement des formalités.-Le dépôt légal a été effectué au greffe de tribunal de Com-merce de Casablanca le : 24/07/2017 sous le N°18208

du registre chronologique.

1096-5M5

AGRICOLAIR MAGHREBR.C N° 8065

Aux termes des délibérations de l’assemblée générale ex-traordinaire du 20 juin 2017 et le conseil d’administration du 3 juillet 2017, il a notamment été décidé ;1)La réduction du capital d ’ u n e s o m m e d e 5.000.000DH par annulation de 50.000 actions de 100 DH chacune et absorption de pertes à due concurrence.2)L’augmentation dudit capital d ’ u n m o n t a n t d e 3.000.000DH par apport en numéraire et l’émission de 30.000 actions nouvelles de 100 Dh chacune, à libérer de totalité.3)Que le capital social est fixé à la somme de 3.000.000 DH divisé en 30.000 actions de 100 DH chacune.4)En conséquence les ar-ticles 6 et 7 des statuts ont été modifiés.Le dépôt légal a été effectué au greffe du tribunal de com-merce de Mohammedia, le 20juillet 2017 sous le n° 1073

1096-6M6

BUSINESS CASH CENTER «S.A.»

SOCIETE ANONYMEAU CAPITAL SOCIAL DE : VINGT-CINQ MILLIONS

DIRHAMS (25.000.000, -)SIÈGE SOCIAL : PARC

INDUSTRIEL DE LA CFCIM - BOUSKOURA - LOT 63 - CASABLANCA

R.C. : 130 045 CASABLANCA

Renouvellement des man-dants d’AdministrateursI -Suivant délibération du 29 Avril 2017, l’Assemblée Gé-nérale Ordinaire des action-naires de la société BU-SINESS CASH CENTER «S.A.», a décidé de procéder aux modifications statutaires suivantes :Renouvellement, pour une durée de trois (3) années, des mandats d’Administra-teurs de Messieurs Mehdi SAHEL, Hakim SAHEL, John Paul EDWARDS, Teunis

BAARS et la société CANAL INVEST.II -Le Conseil d’Administra-tion réuni le 29 Avril 2017 a décidé de nommer Monsieur Mehdi SAHEL, en qualité de Président du Conseil d’Admi-nistration et Monsieur Hakim SAHEL, en qualité de Direc-teur Général, pour toute la durée de leurs fonctions d’ad-ministrateurs.III -Le dépôt légal a été effec-tué au Greffe du Tribunal de Commerce de Casablanca le 24 Juillet 2017, sous le N° 640 582.Pour Extrait et MentionLe Directeur Général

1096-7M7

ACTIONS FINANCE CONSEILS

RUE DES VIEUX MARRAKCHIS

BUREAU N°4 GUÉLIZ – MARRAKECH

«STARTING LINE SPORTS» S.A.R.L.

Au terme de l’assemblée gé-nérale extraordinaire du 10 Juillet 2017 les associés de la société «STARTING LINE SPORTS » S.A.R.L., au capi-tal de 10 000,00 Dhs, sise au Quartier Assif, Badr 219, Boutique N°573 Marrakech, ont décidé de : •Continuer l’exploitation mal-gré la perte des trois-quarts du capital ;•Régulariser la situation de la société dans les conditions et délais prévus par l’article 86 de la loi 5-96.LE DEPOT LEGAL :Le dépôt légal a été effectué au greffe du tribunal de com-merce de Marrakech, le 18/07/2017 sous le n° 89343.

1096-8M8

« ACTIONS FINANCE CONSEILS » S.A.R.L.

RUE DES VIEUX MARRAKCHIS IMM N°6

APPT N°4GUÉLIZ - MARRAKECH

« CHL F&B » S.A.R.L D’ASSOCIÉ UNIQUE

EN LIQUIDATION

Au terme de l’assemblée gé-nérale extraordinaire en date du 31 Mai 2017, l’associé unique de la société «CHL F&B» S.A.R.L. d’associé

1096-1C1

VOLLAILE OUED ADDAHAB SARL AU

CONSTITUTION

Au terme d’un acte sous seing pr ivé en date à 06/07/2017 il a été établi les statuts d’une SARL AU. Dénomination : VOLLAILE OUED ADDAHAB SARL AU •Article 3- OBJET SOCIALLa société a pour objet de faire pour elle- même ou, pour le compte de tiers ou en parti-cipations, tant au Maroc qu’à l’étranger.VENDEUR DE VOLLAILE.VOLLAILENEGOCESiège social : 75 RUE KARATCHI 4 EME ETAGE CASABLANCA•Durée : la durée de la société est fixée à 99 ans à partir du jour de sa constitution.•Capital Social : le capital social est f ixé à la somme de 100.000,00Dhs (Cent mille dirhams) divisé en Mille (1000) parts sociales de cent (100,00) DHS.•Gérance : La société est gérée par Mr. ABDELWAHAD KHEN-NOUS.•Dépôt : Le dépôt légal est ef-fectué par le Centre d’Investis-sement de Grand Casablanca.

1096-2M2

C-SERVICESSOCIETE A

RESPONSABILITEE LIMITEE AU CAPITAL DE 100.000.00

DIRHAMSSIEGE SOCIAL: 67.

BOULVARD AL MASSIRA AL KHADRA. CASABLANCA

RC CASABLANCA 175245.RENOUVELLEMENT DU MANDAT DU GERANT

Aux termes des délibérations de l’Assemblée Générale Ordi-naire Annuelle du 22 Mai 2017.Les Associés ont renouvelé le mandat de Gérant Unique pour une durée d’UNE année de :Monsieur Patrick Rubenyves COHEN.Le dépôt légal a été effectué au Greffe du Tribunal de Com-merce de CasablancaLe 20 Juillet 2017 sous le numé-ro 00640271Pour extrait et mentionLE GERANT UNIQUE

un ique , au cap i t a l de 10.000,00 Dhs et sise à Lot Zaitoune Mhamid N°75 Rdc Bureau N°1- Marrakech a dé-cidé vu l’absence d’activité de:•Procéder à la dissolution an-ticipée de la société ;•Nommer M .LACROIX CHARLES HENRY ANDRE HUBERT, de nationalité Fran-çaise, demeurant à Villa N°6 , Lot issement Rachid ia , Semlalia 40000 Marrakech et titulaire du passepor t n° 12AX24467 comme liquida-teur de la société ;•Fixer le siège de la liquida-tion à l’adresse suivante : Lo-tissement Zaitoune M’hamid, N°75, RDC Bureau N°1 Mar-rakech.LE DEPOT LEGAL :Le dépôt légal a été effectué au greffe du tribunal de com-merce de Marrakech, le 24/07/2017 sous le n° 89422.

1096-9M9

« ACTIONS FINANCE CONSEILS » S.A.R.L.

RUE DES VIEUX MARRAKCHIS IMM N°6

APPT N°4GUÉLIZ - MARRAKECH

« BABIS WORLD » S.A.R.L D’ASSOCIÉ

UNIQUEEN LIQUIDATION

Au terme de l’assemblée gé-nérale extraordinaire en date du 30 Avril 2017, l’associée unique de la société «BABIS WORLD » S.A.R.L. d’associé un ique , au cap i t a l de 10.000,00 Dhs et sise à Rue Serge Levet Camp El Ghoul Magasin N°2 Résidence Belle Vue 2 Gueliz Marrakech a dé-cidé de :•Dissoudre la société par an-ticipation;•Nommer Mme LOUBNA DRIBA, Demeurant au N°158 Avenue Abdelkrim El Khattabi Gueliz Marrakech et titulaire de la CIN n°E588661 comme liquidatrice unique.•Fixer le siège de la liquida-tion à l’adresse suivante : Rue Serge Levet Camp El Ghoul Magasin N°2 Rési-dence Belle Vue 2 Gueliz Marrakech.LE DEPOT LEGAL :Le dépôt légal a été effectué au greffe du tribunal de com-merce de Marrakech, le 19/07/2017 sous le n° 89371.

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5FLASH Économie N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

Directeur de la Publication : Majid FATHI

Equipe de la publi-cation :

Kawtar HAJOUR-FLASH-économie 28, Av des FAR CASABLANCA

TEL : 05 22 -20-30-31

FAX : 05 22-27-71-81

Email : annonce@flasheco-

nomie.com

Pour extrait et mention

1096-11M11

ACTIONS FINANCE CONSEILS

RUE DES VIEUX MARRAKCHIS

IMM N°6, APPT N°4GUÉLIZ – MARRAKECH

« MEETING POINT HOTELS MOROCCO »

S.A.

Au terme de l’assemblée gé-nérale mixte du 31 Mars 2017, les actionnaires de la société «MEE-TING POINT HOTELS MO-ROCCO » S.A. sise à douar bouchareb route de targa marrakech au capital de 300.000,00 Dhs, ont décidé de :•Constater la réalisation défi-nitive de l’augmentation du capital social qui s’élève à la somme de 300.000,00 Di-rhams divisé en 3 000 actions de 100,00 Dirhams chacune, entièrement libérées, d’une somme de 35.428.000,00 Dhs, pou r l e po r te r à 35.728.000,00 Dirhams par la création de 354 280 actions nouvelles de 100,00 Dirhams de valeur nominale chacune, à libérer intégralement par apport en nature constitué du fonds de commerce de l’hôtel Atlas Targa Marrakech.LE DEPOT LEGAL :Le dépôt légal a été effectué au greffe du tribunal de com-merce de Marrakech, le 29/05/2017 sous le n° 88346.

1096-12M12

« PLATINUM NORTH AFRICA » SARL AU

RC: 338305

DISSOLUTION ANTICIPÉPar décision de l’assemblée générale extraordinaire en date du 20/06/2017, enregis-t r é à C a s a b l a n c a , 13/07/2017, le gérant de la société “PLATINUM NORTH AFRICA ” SARL . AU , au capital social de 100.000,00 DH, dont le siège social est fixé à BD MOHAMED BEN ABDELLAH RESIDENCE LE « YACHT » 6ème étage IMM-MEUBLE A APPT 161 CASA-BLANCA. A Décidé : -La dissolution anticipée de la société et sa mise en liquida-tion volontaire à compter du 20/06/2017.-Nommé en qualité de liqui-dateur Monsieur ABDE-LOUAHAD SAMIR.

La fixation du siège de liqui-dation à BD MOHAMED BEN ABDELLAH RESIDENCE « YACHT » 6ème étage IM-MEUBLE A APPT 161 – CA-SABLANCA.Le dépôt légal a été effectué au greffe du tribunal de com-merce de Casablanca le 2 4 / 0 7 / 2 0 1 7 s o u s n ° 00640558 , pour la dissolu-tion.Pour extrait et mention Le liquidateur

1085-1C1

STE-BEL-TRANS LOCATION MATERIEL/

TRANSPORT DE MARCHANDISES/IMPORT-EXPORT

Aux termes d’un acte sous seing privé daté à EL Jadida, le 09/11/2016, et enregistré le 28/11/2016, il a été établi un procès-verbal de l’assemblée générale L’A.G.E. décide d’approuver les cessions des par ts sociales survenues entre le cédant M Moham-med BELLEBOUIR qui cède huit cent (800) parts sociales au profit du cessionnaire Mr Abdellatif BELLEBOUIR , d’une part et d’autres part Mme GHTOUS Daouia , qui cède deux cent (200) parts sociales au profit du cession-naires M Abdellatif BELLE-BOUIR et de ratifier la nou-velle réparation des parts sociales comme suite :-Mr Abdellatif BELLEBOUIR 39.000 parts ;-Mr Mohammed BELLE-BOUIR 4.000 parts ; -Melle Aya BELLEBOUIR 2000 parts ;-Melle Malak BELLEBOUIR 2000 parts ; -Melle Jannat BELLEBOUIR 2000 parts ; -Mme Daouia GHTOUS 1000 parts.Soit un total de 50.000 Parts sociales.Dépôt :Les PV de la société sont dé-posés au Tribunal de com-merce d’EL Jadida en date du 07/12/2016 sous n° 21080.Pour extrait et Mention

1085-2C2

STE BEL BETON MD DE BETON ET

MATERIAUX DE CONSTRUCTION

Aux termes d’un acte sous seing privé daté EL Jadida, le 01/09/2016, et enregistré le 15/09/2016, il a été établi un procès-verbal de l’assemblée générale Extraordinaire concernant la société BEL-BETON dont l’ordre du jour était comme suit :• Les associés de la société BELBETON S.A.R.L : Mr BELLEBOUIR Abdellatif, la société « CIMABEL Sarl », la société « GHATBEL Sarl » et représentés par M Abdel-latif BELLEBOUIR en tant que leur père tuteur : M Mohammed BELLE-BOUIR, Mademoiselle Aya BELLEBOUIR, ont décidé les modifications suivantes :Augmentation de capital so-cial de la société BELEBE-TON par la créat ion de 10.000 parts nouvelles réali-sée par incorporation directe d’un montant d’un million 1 . 0 0 0 . 0 0 0 , 0 0 D H S d e comptes courant. Le capital social de la société est fixé à 3.000.000,00 DHS.Dépôt :Les PV de la société sont dé-posés au Tribunal de com-merce d’EL Jadida en date du 27/09/2016 sous n° 20872.Pour extrait et Mention

1085-1M1

ROYAUME DU MAROC MINISTRE DE LA

JUSTICE ET LIBERTES COUR D’APPEL DE

COMMERCE DE CASABLANCA TRIBUNAL

DE COMMERCE DE CASABLANCA

CESSION DE FONDS DE COMMERCE

PAR : MONSIEUR MOHAMED AZOUGAIDemeurant à Casablanca, cite ZERKTOUNI 138 , piste TADDARTE – POLO AMONSIEUR HASSAN AZOU-GAI Demeurant à Casablanca, HAY MANDAROUNA, rue 23 n° 27 – AIN CHOKFONDS DE COMMERCE A USAGE D’ALIMENTATION GENERAL EN DEMI GROS – SITUE A CASABLANCA : 25 RUE MAKDAD BOU-CHAIB – EX RUE DU DOC-TEUR BAUR IMMATRICULATION AU RE-GISTRE DE COMMERCE DE CASABLANCA SOUS LE NUMERO : 126716

1096-10C10

« ACTIONS FINANCE CONSEILS » S.A.R.L.

RUE DES VIEUX MARRAKCHIS IMM N°6

APPT N°4GUELIZ - MARRAKECH« VALMARFLA » S.A.R.L. ICONSTITUTION D’UNE

SOCIETE A RESPONSABILITE

LIMITEE.

Aux termes d’un acte daté du 06/07/2017 il a été établi les statuts d’une société à res-ponsabilité limitée avec les caractéristiques suivantes :II DENOMINATION La dénomination de la socié-té est « VALMARFLA » S.A.R.L III OBJET : La société a pour objet tant au Maroc qu’à l’étranger :•Gestion et exploitation des maisons d’hôtesEt toutes opérations liées di-rectement ou indirectement aux activités ci-dessus.IV SIEGE SOCIALLa société est domiciliée à : 6 Rue Des Vieux Marrakchis Bureau N°4, Guéliz Mar-rakech.V DUREELa société est constituée pour une durée de 99 années à compter du jour de sa constitution définitive.VCAPITAL SOCIALLe capital social est fixé à la somme de 100.000,00 Dhs divisé en 1000 parts de 100 Dhs chacune entièrement li-bérées en numéraire.VII LES ASSOCIES•M. JEAN-FRANÇOIS HU-BERT MARIE ANDRODemeurant à « LA BOIS-SIERE » 41800 LES HAYES - FRANCE•Mme. CATHERINE HÉLÈNE GÉRALDINE EIGLIER Ep. ANDRODemeurant à « LA BOIS-SIERE » 41800 LES HAYES – FRANCEVIII GERANCELa gérance est confiée pour une durée illimitée à Mme. CATHERINE HÉLÈNE GÉ-RALDINE EIGLIER Ep. AN-DRO et à M. JEAN-FRAN-ÇOIS HUBERT MARIE ANDRO avec faculté d’agir séparément.IX DEPOT LEGALLe dépôt légal a été effectué au greffe du Tribunal de com-merce de Marrakech le 25/07/2017 sous le numéro 89456 Registre de commerce n°82925.

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FLASH Économie 6N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

10 conseils pour choisir sa solution de stockage

La virtualisation est devenue une norme dans l’IT, ce-pendant, de nombreuses solutions de stockage n’ont pas évolué aussi rapidement que les besoins du mar-ché...1. SimplicitéPour les entreprises, il est nécessaire d’éliminer les

besoins en termes de réglage ou d’optimisation. L’offre de stockage doit être capable d’automatiser les tâches, le positionnement des données, les règles de ges-tion, les performances et la fiabilité. De plus elle doit également pouvoir mettre fin au temps passé à déci-derquels pools de stockage, types ou tailles de groupe RAID sont adaptés pour chaque workload. La meil-leure offre de stockage peut s’occuper de ces aspects et ainsi simplifier la gestion d’environnements virtuels.2. IntégrationDans l’idéal, une solution de stockage doit offrir une

intégration certifiée qui doit permettre, en quelques minutes, une configuration rapide et facile. De plus, il est important de s’assurer que les tâches de provisio-ning et de protection de données peuvent être effec-tuées rapidement, sans effort et sans formation pour les équipes.3. Gestion simplifiéeUn système de stockage doit permettre un provi-

sionnement instantané afin d’optimiser le temps de configuration, tout en garantissant une performance optimale et régulière. Il doit également pouvoir être accessibles pour plusieurs utilisateurs, offrant une plateforme centralisée et sécurisée qui facilite la ges-tion des différents environnements. Enfin, cette solu-tion de stockage doit permettre aux administrateurs de valider, aisément, toutes les configurations ser-veurs, de provisionner et gérer le stockage – le tout depuis une seule interface.4. Optimisation du backup et de la sauvegardeUne instance de restauration simple et unique est

essentielle pour tout environnement virtuel. Pour les entreprises, il est important qu’elles s’assurent que leur solution de stockage puisse automatiser leurs proces-sus de protection des données, tout en conservant des milliers de copies et respectant les politiques de sau-vegarde. 5. Amélioration de la performance des applicationsLa prolifération des machines virtuelles peut entrainer

une hausse du nombre des baies de stockage, créant ainsi des silos de stockage qui auront des consé-quences certaines sur les performances. Pour éviter cet écueil, rien de tel qu’une solution qui soit évolu-tive et qui puisse supporter la performance nécessaire des environnements virtuels. Aujourd’hui les systèmes de stockage doivent être conçus pour des milliers de machines virtuelles et des systèmes d’information in-telligents, comme c’était le cas pour ces architectures IT dans le Big Data ou les logiciels d’analytique, pour

accélérer la circulation d’informations.6. La fiabilitéLa disponibilité est essentielle pour la gestion d’une

entreprise. Une solution de stockage de données conçue pour être disponible à 99,99999% (oui il y a sept 9) optimisera sa productivité et aide l’organisation à être plus compétitive. De plus, la nouvelle génération de solutions de stockage bénéficiera d’une architecture « auto-réparatrice » offrant ainsi un avantage concur-rentiel aux sociétés qui les adopteront en premier.7. GreenVirtualiser un environnement IT aide à réduire la fac-

ture énergétique. Néanmoins, très souvent, dans ces cas, une entreprise consomme quatre fois plus d’es-pace de stockage, de sorte que les économies réali-sées sur les serveurs sont perdues dans le stockage. Un système de stockage qui limite son impact environne-mental et son empreinte carbone, aussi bien pendant le processus de fabrication que lors de son utilisation, peut aider une organisation à économiser d’impor-tantes sommes et ainsi contribuer à réduire les coûts. 8. Capacité et productivité / performanceUne solution de stockage qui permet une utilisation

optimale de ses capacités, à un prix abordable, sans sacrifier la disponibilité, offre une efficacité maximale. Idéalement, cette offre doit avoir la possibilité de ré-cupérer, en temps réel, la capacité correspondant au zéro. D’ailleurs, pour certains éditeurs, maximiser la ca-pacité automatiquement et sans intervention des utili-sateurs, est essentiel. De plus, cette optimisation aura un impact sur le coût global d’acquisition.9. Consolidation et ScaleCapacité et performance dans un environnement

virtualisé doivent être flexibles, non intrusifs et ne né-cessitent aucune intervention humaine. La solution de stockage idéale doit donc permettre de consoli-der plusieurs infrastructures de stockage traditionnels dans un cadre unique, moins consommateur d’énergie et qui ne limite pas la capacité ou la performance.10. Service et supportLe développement d’une entreprise ne se limite pas

uniquement à l’achat de la meilleure plateforme de stockage. Il passe par le fait d’avoir le support néces-saire pour garantir leur croissance et ce tout au long du cycle de vie de la plateforme. Le service et le sup-port sont donc indispensables. Le fournisseur choisi doit donc offrir un fonctionnement continu, ainsi que des mises à jour et autres migrations simple. Les entre-prises doivent donc privilégier les partenaires pouvant leur proposer des ressources dédiées et qui les accom-pagneront dans leurs investissements des solutions de stockage.Il doit y avoir un bon équilibre entre fonctionnalités,

fonctions, fiabilité, facilité d’utilisation, intégration, performance et, bien sûr, coût.

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7FLASH Économie N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

Est-il difficile d’entreprendre seul ? Tout dépend si l’on y est préparé !

En effet, créer une entreprise seul demande de prendre en compte plu-sieurs paramètres pour s’assurer que l’on est bien prêt à se lancer. Ces pa-ramètres ont trait à :

•votre personnalité,•votre potentiel,•vos compétences,•votre situation familiale.Dans tout les cas, quels que soient le

type d’activité envisagé et la dimen-sion souhaitée pour votre entreprise, vous devez, pour réunir le maximum de facteurs de réussite, prendre le temps de bien réfléchir au préalable à votre «projet personnel de créateur».

Votre personnalité

Si l’indépendance et le désir d’au-tonomie habitent quasiment tous les créateurs d’entreprise, travailler à son compte solitairement nécessite :

- d’avoir une «capacité à supporter l’isolement»,

- de posséder une grande rigueur et une certaine détermination.

Si vous avez été salarié précédem-ment, vous avez pu être habitué à en-tretenir avec vos collègues (et autres interlocuteurs professionnels) des échanges réguliers et de visu.

De surcroît, vous avez pu prendre l’habitude de vous rassurer en de-mandant des avis avant de prendre des décisions importantes.

La situation va désormais changer catégoriquement. Vous devrez affron-ter bien souvent seul toutes les situa-tions.

Selon la nature de l’activité, le projet économique peut comporter, entre autres, comme exigences d’avoir à :

•subir un réel isolement (peu ou pas de contacts),

•s’imposer des temps de démar-chage de prospects (il n’y a pas de supérieur hiérarchique exerçant de pression pour cela).

Les questions à vous poser :

•Avez-vous une parfaite aptitude à l’autonomie ?

•Êtes-vous capable en permanence d’autodiscipline ?

•Êtes-vous capable, par exemple, de dresser tous les matins le planning de votre journée, de respecter des ho-raires stricts ?

•Êtes-vous quelqu’un de vraiment rigoureux qui se fixe des règles de fonctionnement et les suit coûte que coûte ?

Pour rompre l’isolement et la soli-tude, il existe des moyens efficaces :

•sortir de chez soi pour participer à des salons, clubs d’entrepreneurs, ate-liers thématiques. C’est, par ailleurs, également un bon moyen de trouver des prescripteurs et des clients,

•prendre un parrain ou un mentor comme certains réseaux d’accompa-gnement le proposent,

•vous abonner aux réseaux sociaux professionnels, à des salons virtuels, des meetup, etc.

•prendre ses quartiers dans un es-pace de coworking.

Assurez-vous que vous êtes capable de vous plier à ces modes de fonc-tionnement personnels.

Les questions à vous poser :

•Êtes-vous à même de vous investir autant qu’il le faut pour vous consti-tuer un nouveau réseau relationnel professionnel et d’avoir la constance pour le cultiver ?

•Êtes-vous prêt à supporter dans la durée le regard d’un parrain ou d’un mentor (chef d’entreprise aguerri), à qui vous devrez confier vos faiblesses et vos difficultés ?

•Êtes-vous naturellement tourné vers les autres pour :

- trouver facilement comment com-bler le vide relationnel découlant de votre nouvelle activité,

- avoir facilement des discussions professionnelles via internet,

- consacrer des soirées à des cercles : clubs de créateurs ou de chefs d’en-treprise, ateliers, etc.

Votre potentiel

Le potentiel, c’est le petit «plus» qui vous permet de vous dépasser dans l’adversité.

Prenez le temps de vous interroger sur :

- votre capacité à «faire face à tout» tout seul,

- votre aptitude à «visualiser» les en-jeux, les difficultés, les opportunités…

De la discussion jaillit la lumière, dit le proverbe... mais en solo la discus-sion peut s’avérer limitée !

Prenez conscience qu’être

l’homme-orchestre de l’entreprise im-plique d’avoir une bonne constitution physique et mentale.

Les questions à vous poser :

•Votre santé est-elle particulière-ment solide pour assumer toutes les sollicitations de l’activité ?

•Plus encore, votre solidité psy-chique est-elle suffisante pour affron-ter la solitude, en particulier dans les moments durs qui pourraient se pré-senter : absence de chiffre d’affaires, perte de clients, difficultés de trésore-rie, etc. ?

Vos compétences

Le fait d’être seul conduit souvent à être confronté à des situations néces-sitant des compétences dans toutes les disciplines concernées par l’activité et la gestion de l’entreprise.

Vous devrez donc acquérir rapide-ment un minimum de savoir-faire dans des domaines que vous ne maî-trisez pas.

Par exemple : gestion comptable, communication digitale, etc.

Vous devez pouvoir assimiler très vite certaines connaissances en très peu de temps. Renseignez-vous dès maintenant sur les offres de forma-tion.

La question à vous poser :

•Êtes-vous prêt, en cas de besoin, à vous former pendant plusieurs se-maines ?

Votre situation familiale

Quand la création en solo se traduit par une installation professionnelle à la maison, le risque est alors grand de mélanger vie privée et vie profession-nelle.

Si vous êtes en couple, ne négli-gez pas cet aspect et évaluez vos contraintes familiales.

Les questions à vous poser :

•Êtes-vous suffisamment rigoureux pour bien séparer, mentalement et physiquement, vos domaines privé et professionnel pour bien partager votre temps entre l’activité et la vie familiale ?

•Votre conjoint vous soutient-il dans votre projet ?

Si vous décidez de travailler chez

vous, identifiez le «territoire de votre entreprise».

Créer son entreprise en solo

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FLASH Économie 8N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

Pourquoi travailler en mode pro-jet ? Jacques Nicolle : Qui n’a pas rêvé

de travailler dans une entreprise où tout le monde parle le même langage ? Une entreprise dont les différents services dialoguent et se coordonnent pour faire aboutir ensemble les projets qui découlent d’une vision claire et partagée ? Au-delà de ces considérations hu-maines, l’environnement de plus en plus concurrentiel contraint les entreprises à relever de nombreux défis : améliorer la réactivité, pro-duire plus vite et moins cher, mieux répondre aux attentes des clients… Face à ces défis, l’organisation

traditionnelle pyramidale a montré ses limites : organisation orientée

«activité» et non pas «client», des services souvent cloisonnés qui manquent de communication, des projets figés qui dérapent à cause de l’exigence d’immédiateté. Il est donc important de faire évoluer les pratiques managériales en intro-duisant le concept de «travail en mode projet». Ce mode de fonctionnement

conduit à faire travailler ensemble et de façon coordonnée des res-sources de différents métiers ou services pour atteindre un même objectif. S’il est bien maîtrisé, ce mode de fonctionnement entraîne une meilleure collaboration entre les services, des équipes plus impli-quées et une organisation de tra-vail simplifiée. Quelles sont les étapes pour

mettre en place ce modèle organi-sationnel ? Les étapes sont les suivantes :- se structurer autour des métiers

et des compétences ;- identifier toutes les activités

pouvant être gérés en mode projet ;- préciser les rôles et les fonctions

;- gérer le changement en iden-

tifiant les risques et les freins au changement car seul un inventaire précis des résistances permettra d’imaginer et d’anticiper les ac-tions à mener pour les réduire afin de gagner progressivement l’adhé-sion de tous ;- mettre en place une culture du

management de projet.

L’art de travailler en mode projet

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9FLASH Économie N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

Que se passe-t-il quand un mana-ger intègre une équipe ?

Frédéric Fougerat : La vie d’une

équipe est souvent perturbée quand un changement intervient à sa tête. On peut en être à la fois heureux ou malheureux, motivé par l’idée d’une nouvelle dynamique ou inquiet des éventuelles évolutions en perspec-tive. Pour les équipes concernées, tous les ressentis, même opposés, sont possibles, voire compatibles.

Il en est de même pour le manager

qui se retrouve propulsé face à une nouvelle équipe, dont il va découvrir les forces et les faiblesses, les solida-rités et les rivalités, l’histoire, l’orga-nisation, le fonctionnement, les pra-tiques et les habitudes. Lui aussi peut légitimement avoir une perception contradictoire d’une situation qu’il n’a pas provoquée, mais qu’il lui ap-partient d’assumer et de gérer.

Quelles sont les erreurs à éviter ? Pour réussir une intégration, il ne

faut pas critiquer son prédécesseur. Si des fautes ont été commises, elles sont normalement connues et il n’ap-

partient au nouveau manager ni de les commenter, ni d’en raviver le souvenir.

Si la prise de fonctions se fait dans

le cadre d’un changement de gouver-nance ou de renouvellement d’une équipe de direction, le mieux est de tourner la page et de se mettre au tra-vail, sans chercher à entacher l’action de son prédécesseur, ce qui est géné-ralement mal vécu et perçu comme une agression gratuite et inutile de la part de l’équipe. On ne construit pas sa lé-gitimité en cherchant à discréditer son prédécesseur. De même, évitez de dé-barquer avec vos solutions.

Tout ce qui a été fait avant n’est pas

nul, et vous n’êtes pas un sauveur. Ce qui a été fait avant l’a été dans le cadre d’une stratégie, d’objectifs ou d’inten-tions d’un moment, d’une époque. Parce que la situation change, la stratégie, les objectifs ou les intentions vont égale-ment évoluer ou changer. Et si l’expé-rience est riche d’enseignements, on ne construit pas l’avenir avec le passé.

Quelles pratiques sont à privilégier ? D’abord, savoir faire preuve d’empa-

thie. Écouter, observer, comprendre,

c’est le minimum à attendre d’un nou-veau manager. Il est nécessaire d’aller au contact des autres et de s’imprégner de l’entreprise dans laquelle on arrive, son histoire, ses pratiques, ses valeurs, et de se mettre à l’écoute des hommes et des femmes qui y travaillent. Vous ne pouvez pas ignorer ce qui a été réalisé avant vous, avec ou sans succès. Ensuite, donner des gages de confiance.

À votre arrivée, personne n’est suppo-

sé vous faire confiance sur la seule base de vos intentions ou de votre allure. Si votre parcours ou votre réputation ne parlent pas pour vous, voire jouent contre vous, il vous appartient de don-ner des gages de confiance, le plus rapi-dement possible.

Savoir partager votre vision, montrer

votre capacité à décider, rassurer sur votre volonté de déléguer permet de donner un cadre de travail et de fédérer l’équipe autour d’un projet qui participe à installer votre leadership. Créer de la proximité, de la complicité avec sa nou-velle équipe, être collaboratif et collectif, avancer avec humilité, être pédagogue plutôt qu’impérieux permet de tisser les premiers liens et contribue à créer une relation de confiance.

Managers : 5 conseils pour vous imposer dans votre nouvelle entreprise

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FLASH Économie 10N°1096 JEUDI 27 JUILLET 2017

FLASH ECONOMIE

Pourquoi les écoles de commerce ne forment-elles pas plus de commerciaux ?

La fonction commerciale n’a plus le vent en poupe. Parmi les milliers d’étudiants qui sortent chaque année d’écoles de com-merce les plus prestigieuses, seulement 15% se dirigent vers des métiers de vente.

«Il est certain que les écoles de commerce

forment désormais davantage de mana-gers. Il y a un décalage entre l’appellation et la réalité des contenus académiques», intervient Jean Muller, président des Diri-geants commerciaux de France (DCF).

Parcours polyvalents et manageriauxCe constat vaut pour toutes les écoles

de commerce : elles forment des géné-ralistes, capables de travailler dans la fi-nance, le marketing, l’audit, les ressources humaines… et le commerce.

Un changement entamé depuis le début

des années 2000 avec l’émergence d’ac-créditations de plus en plus strictes pour les écoles de commerce internationales, les obligeant à intégrer dans leur cursus des contenus plus manageriaux. Fait no-table : la plupart ont changé de dénomi-nation, transformant l’appellation «com-merce» en «management». Elles offrent désormais une grande diversité de par-cours, parmi lesquels figurent les fonctions commerciales.

«Quand un étudiant sort d’une business

school, la fonction commerciale prend une place prépondérante parmi les opportuni-

tés commerciales. Mais nous pouvons regretter que ces écoles ne forment pas directement aux techniques de vente. Pourtant, la fonction qui recrute le plus aujourd’hui est liée à la vente !», déplore Jean Muller.

PluridisciplineSi les opportunités pour un bon

commercial à la sortie des écoles de commerce existent donc bel et bien, les contenus pédagogiques sont tel-lement pluridisciplinaires que les étu-diants aspirent à d’autres carrières, notamment dans la finance et le mar-keting, à l’image plus prestigieuse.

D’autant que les grands groupes et

les banques d’investissement se pré-cipitent sur les campus des meilleures écoles pour chasser les jeunes diplô-més. Autre preuve que les formations ont oublié la fonction classique de vente : à l’ESCP Europe, parmi les 15 mastères spécialisés on trouve de l’au-dit et du conseil, du management de l’édition, des médias, du droit, du ma-nagement international, de la finance, du marketing, de la communication… Seul mastère lié à la vente ? Le mana-gement stratégique des achats et de la supply chain. Un peu pauvre pour une école de commerce !

Former les managers de demainL’association des DCF milite donc

pour réintroduire, au sein des écoles

de commerce, davantage de contenus pédagogiques liés à la vente.

«Il faut former les managers de de-main en performances commerciales. Ce n’est pas le cas aujourd’hui», re-grette Jean Muller. Pour le président de DCF, «un directeur commercial exige un niveau de culture générale et marketing et une compréhension glo-bale des enjeux de l’entreprise qu’on enseigne dans les écoles de com-merce. Il faut expliquer en quoi nos métiers commerciaux sont centraux pour recruter des talents polyvalents».

La situation pourrait néanmoins

évoluer. Confrontés aux réalités du marché, les étudiants commencent à s’apercevoir que la fonction commer-ciale offre davantage de possibilités d’insertion. En effet, selon le livre blanc des DCF intitulé Le commercial aug-menté, la France comptera 610.000 emplois de cadres et technico-com-merciaux et le recrutement dans ce secteur devrait représenter 16% des emplois en 2020.

«L’image du métier de commercial

tend à s’améliorer, notamment sous l’influence des organismes de for-mation». À titre d’emple, Xerox offre chaque année aux étudiants d’école de commerce partenaires la possibili-té d’expérimenter pendant deux mois le métier de commercial en première année.

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Tirer parti du big data en jouant la carte du collaboratif

Centraliser des données en un lieu unique est un ex-cellent moyen de collaborer autour d’un capital data commun, de comparer des sources de données multi-ples externes et internes.Incontestablement, le Big data se positionne comme

une véritable révolution technologique et devrait continuer d’occuper une place centrale ces prochaines années. Selon MarketsandMarkets, le marché du Big Data mondial devrait atteindre une valeur de 66,79 milliards de dollars en 2021. Pour autant, le Big data reste une mouvance assez jeune et impose l’utilisation de nouveaux modèles pour que les entreprises, collec-tivités et datavores puissent tirer le meilleur de cette dynamique.L’émergence de nouvelles plateformes collaborativesUn point central tient tout d’abord à la prise de

conscience par l’ensemble des acteurs économiques des nombreux apports liés au Big data. Ainsi, cette mouvance a donné vie à de nombreux usages et ré-pond à des projets métiers à forte valeur ajoutée : meilleure collaboration, Open Data, etc. Ces différents usages nécessitent de pouvoir s’appuyer sur des plate-formes disruptives qui permettent de créer des com-munautés actives autour de la data.De véritables laboratoires collaboratifs autour de la

valorisation de la donnéeReprenant les codes des plateformes collaboratives

de nouvelle génération de type réseaux sociaux par exemple, ces dispositifs d’un nouveau genre ont pour

but principal de connecter ensemble des fournisseurs de données et des contributeurs (data scientists, sta-tisticiens, collaborateurs). Il s’agit plus précisément de « places de marché » de la data où chacun peut, en fonction de ses besoins, sourcer de l’information perti-nente, riche et certifiée.Une approche basée sur le partage pour une meil-

leure maitrise des donnéesCentraliser des données en un lieu unique est un ex-

cellent moyen de collaborer autour d’un capital data commun, de comparer des sources de données mul-tiples externes et internes, de mettre en place une dé-marche Open Data ou alors de monétiser ses jeux de données. Cela rend l’exploitation, la consultation et la valori-

sation de données simples, attractives et conviviales. Une telle démarche est également l’opportunité de rejoindre une communauté de plusieurs milliers d’ex-perts et de faire appel à des data scientists répartis dans le monde entier.L’explosion de la data Economy est donc une réali-

té concrète qui va générer de nouvelles opportunités. Pour autant, le marché n’est ni structuré ni organisé pour l’instant. Il est donc primordial que ce dernier s’ar-ticule et se fédère autour d’initiatives industrielles qui permettront à tous les acteurs de valoriser leurs don-nées, les partager et les diffuser et donc exploiter plei-nement leur potentiel pour renforcer leur compétitivité ou simplifier l’accès à l’information.

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ET DE LA COMMUNICATION

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