BH

H o r a i r e s d e C h a b b a tParachat Behar - JérusalemEntrée : 18h54 - Sortie : 20h10

Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou

Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd

N°2 - Hebdomadaire Chabbat Parachat Be’houkotaïLag Baomer 5774

Une ère toute nouvelle...La Guéoula

Lors de ces jours de fête, Pessa’h Chéni et la Hilloula de Rabbi Méïr Baal HaNess, le grand jour tant at-tendu de la Hilloula de Rabbi Chimon Bar Yo’haï, le 18 Iyar, Lag Baomer, ne peuvent se dévoiler que denouveaux sujets de Guéoula, des miracles, des prodiges et des merveilles en masse qui vont déferler surle peuple juif, et lui permettront d’avoir accès à cette nouvelle ère, cette époque tant attendue de bonnesnouvelles et de joie : la délivrance finale... La Guéoula ! GB

La bactérie de la Guéoula

Une nouvelle variété de “bonnebactérie” facilitant la digestion, aété découverte par un médecin is-raélien de l’hôpital MaayaneiHayeshua, alors qu’il examinaitune plaquette de sang d’un pa-tient, rapporte le site israélienArutz 7.

“Lors d’une hémoculture d’un patient,nous avons constaté que cette bactérienous était inconnue” a déclaré le Dr ItaiAmir, responsable du service microbiolo-gie de l’hôpital Maayanei Hayeshua.“Nous avons fait une analyse molécu-laire et découvert que c’est une nouvellebactérie “poursuit-il. “La bactérie a étéenvoyée aux États-Unis pour des testsplus poussés. Quatre mois plus tard,une réponse est venue : la bactérie étaiten effet une nouvelle variété”, a-t-ilajouté.

Cette découverte, qui va permettre àterme de nombreux débouchés médi-caux, est “un rêve devenu réalité”, ex-plique ce jeune médecin de 34 ans.La bactérie a été nommé EisenbergiellaTayi, en hommage au Dr Phillip Eisen-berg, un microbiologiste juif assassinépendant la Shoah et au Dr Warren Tay,qui a découvert la maladie de Tay-Sachs, une maladie génétique mortellequi est particulièrement répandue chezles Juifs d’origine européenne.Yaakov Tanenbaum

Lag Baomer

La joie de Rabbi Chimon Bar Yo’haïpour le quartier de Har ‘Homa auralieu au jardin au 10, rue Mena’hem

Roy Barach samedi soir. Au programme : Des divrei Torah,des Psoukim, barbecue, une lotterieet de nombreux prix pour les en-fants. Pour tous renseignements :

050-4147725

Dr Itaï Amir

T o r a h d e G u é o u l a

Dva r Ma l ’ h ou t

Extraits de discours

Du Rabbi

de Loubavitch

Roi Machia’h Chlita

5751-1991

La perfection de la royautéPar le fait qu’il possède ces quatre ni-veaux de manière dévoilée, la royautéatteint, à ce moment-là, la perfection,celle du trône de royauté qui possèdequatre pieds, « Et Salomon s’assit surle trône de l’Eternel », et c’est ce quel’on retrouvera chez chaque Juif, carles Juifs sont des « fils de rois », etplus encore, « des rois » jusqu’à cequ’il atteigne le niveau de « Me’hou-bad, honoré », ce qui lui vient de l’hon-neur du Saint béni soit-Il. [De plus,lorsque l’on voit un roi non-Juif, on ditla bénédiction : « Qui a donné de Sonhonneur aux êtres de chair et desang»]. Et à plus forte raison par leurappartenance à la Torah (chaque Juifpossède une lettre personnelle dans laTorah, et sa parcelle de Torah), « Toustes enfants seront des disciples del’Eternel », « Qui sont les rois ? LesRabbanim », grâce à cela, de la sa-gesse se rajoutera dans la royauté (leniveau de Salomon), jusqu’à la pléni-

tude de la royauté qui contiennent lesquatre niveaux mentionnés : « Sage,fort, riche, respecté ».

La joie de Rabbi ChimeonNous nous trouvons dans les jours quisuivent Lag Baomer, le jour de laHilloula et le jour de joie de Rachbi(Rabbi Chimeon Bar Yo’haï). Grâce àRachbi, il y eut le dévoilement de l’in-tériorité de la Torah (les merveilles dela Torah), et la majorité de ce dévoile-ment eut lieu le jour de son départ,l’âme de l’âme de la Torah (l’intérioritédes secrets qu’il a dévoilé pendanttoute sa vie, dans lequel il est expliquéque c’est le jour de son départ, queRachbi a donné des commentairesd’une grande puissance et qui ontdonné un nouvel éclairage sur tout sonenseignement - Ndt), et grâce à la ré-daction de ces commentaires-là (dansle livre du Zohar), ce sont dévoilés parla suite à tout Israël, jusqu’à ce qu’ilsen fassent « leur subsistance » par

leur compréhension, dévoilement desmerveilles de la Torah dans la Sa-gesse (Ho’hma), Intelligence (Bina) etCompréhension (Daat). C’est le départet un exemple du dévoilement de l’in-tériorité de la Torah dans le mondefutur.(Dvar Mal’hout Emor)

Lag BaomerTout ceci se retrouve a petiteéchelle lors de Lag Baomer,Hod Chebé Hod, la splendeurdans la splendeur et cettesphère est le total et la perfec-tion, le plus central des senti-ments, et par cela passel’influence de l’intérieur versl’extérieur. Et ainsi, la lu-mière suprême brille, cellequi est au-dessus de la divi-sion entre les sentimentsgrâce à la supériorité de l’an-nulation qui est du niveau deHodaa, remerciement, ce quel’on appelle, Hod Chebé Hod,la splendeur, dans la splen-deur. Par cela, se dévoile l’in-tériorité de la Torah.(Dvar Mal’hout Behar -Be’houkotaï)

La délivranceEt que soit Sa volonté, et c’est le principal, que s’éveille la volontédes Juifs de s’unir pour se préparer à la réception de la Torah. Etceci précipitera et activera l’annulation de la Galout, l’exil, et ainsiapparaîtra la Guéoula, la délivrance véritable et complète parnotre juste le Machia’h, car ainsi aura lieu la perfection du donde la Torah : « une nouvelle Torah sortira de Moi ».(Dvar Mal’hout Behar-Be’houkotaï)

Lag BaomerLa joie de

Rabbi Chimon

Lag BaomerLa joie de

Rabbi Chimon

La seule chose qu’il détestaitc’était de rentrer dans cet maisonsi spacieuse mais en mêmetemps si silencieuse. Alors qu’ilétait un simple programmeur dé-butant, il pensait, espérait percer,avancer et réussir afin, par lasuite, de pouvoir offrir le meilleurpour ses enfants et surtout qu’ilsne manquent de rien. Sauf qu’enfin de journée, l’attendait un bondîner chaud, une femme aimanteet fidèle, une maison organiséeet d’une propreté à tout épreuve,mais vide.Non pas un an, ni deux, mais dix-huit années (!) de stérilité passè-rent aux yeux du couple Einstein.Ils subirent des examens detoutes sortes, puis d’autres exa-mens et d’autres essais sansréussite. Ils n’économisaient niles voyages, ni les conseils horsde prix de médecins et profes-seurs spécialistes. Ils traversè-rent tout le continent. Tous lesmédecins consultèrent le dossieravec le plus grand sérieux maistous fournirent le même regardemprunt de pitié sur le couple en-têté. Tous donnèrent le mêmeconseil… Abandonner.Les médecins désespérèrent,mais chez le Médecin de toutechair, point de désespoir, D.ieupréserve. Lors de cette périodecritique pendant laquelle se ba-lançait le couple Einstein entrel’espoir et l’abandon, ils rencon-trèrent un ‘hassid Loubavitch.Les concepts du judaïsme qu’illeur dévoila leur étaient complè-tement étranger. Ils s’étonnèrenteux-mêmes de leur comporte-ment lorsqu’ils adoptèrent denouvelles coutumes, comme l’al-lumage des bougies du Chabbat,le verre du Kiddouch du vendredisoir, mais ils faisaient cela tout demême. Ils avançaient tout douce-ment, leurs premiers pas furentceux d’un petit enfant qui ap-prend à marcher, mais c’estcomme cela que le couple Ein-stein se rapprocha du judaïsme.

Le ‘hassid ne cessait de leur par-ler du Rabbi de Loubavitch et auxmiracles qu’il réalise et ces his-toires extraordinaires les poussè-rent à lui écrire une lettre.Mme Einstein s’assit à saluxueuse table et déversa sur lepapier dix-huit années de tris-tesse et de souffrance. Au niveausocial et économique, il ne leurmanquait rien, pourtant ils man-quaient de tout. Le cœur brisé,elle se tournait vers le RabbiChlita Roi Machia’h, afin qu’il lesbénisse pour qu’ils aient enfindes enfants. « Nous sommescomplètement désespérés ». Etla lettre fut envoyée…Chaque jour, elle examinait laboîte aux lettres de fond en com-ble, peut-être était-ce le jour de laréception de la réponse duRabbi. Pour elle, c’était le dernierespoir d’être parents. En fin d’après-midi d’une journéeparticulièrement chargée, enpassant devant la boîte aux let-tres, elle vit une enveloppe quipointait et c’était la réponse duRabbi. Le Rabbi parlait principa-lement de l’expression qu’utilisaitMme Einstein dans sa lettre« Nous sommes complètementdésespérés »… Il répondit quedans notre lexique, ne figure pasle mot « désespoir ». La lettre necontenait pas de bénédiction ex-plicite concernant une naissance.Néanmoins, ils décidèrent de seconformer aux propos du Rabbiet effacèrent de leur vocabulairele mot « désespoir ».Plusieurs mois passèrent. Malgréleurs tentatives de se munir de foiet d’assurance, la réalité déce-vante ne leur laissait de moins enmoins le choix de croire de toutcœur. Un soir, alors qu’ils ren-traient dans leur maison vide unefois de plus, M. Einstein décidade lancer une proposition à la-quelle il pensait depuis un mo-ment déjà : Et l’adoption, çaexiste non ? Mme Einstein réagitimmédiatement : « Mais, nous at-

tendons la bénédiction du Rabbi,le désespoir n’existe pas a dit leRabbi ». « Mais peut-être, peut-être c’est ce qu’il reste à faire aumoins d’avoir un enfant qui seraitcomme le nôtre ? ». Osa propo-ser le mari.Ils prirent place de nouveau au-près de la table et demandèrentau Rabbi une bénédiction pourl’adoption d’un enfant. Peu detemps après, la réponse intervintdisant qu’il n’y avait aucun besoind’adopter, puisque le Créateurleur donnera leurs propres en-fants. Ils lurent et relurent la réponse,n’en croyant pas leurs yeux. Setrouvait entre leurs mains unepromesse du Rabbi concernantles enfants de la manière la plusclaire et directe. Ils affichèrent lalettre dans un endroit bien en vuecar ils voulaient lire et relire lespropos qui défiaient totalement lascience, les médecins, la méde-cine leur dossier médical bientrop lourd…Entre temps, le couple Einsteinvisita leur médecin pour voir s’iln’y avait pas de nouveau traite-ment médical, ou autre chose quipourrait les aider dans leur pro-blème. Le médecin, bien au cou-rant du dossier « Einstein », lesregarda avec ce même air dedésespoir auquel ils étaient habi-

tués. « Docteur », osa soudaine-ment M. Einstein : « Si monépouse enfante, seriez-vous prêtà mettre les Téfilines ? ». Le mé-decin, juif bien entendu, acceptaimmédiatement. Il était prêt à s’yengager car selon les donnéesqu’il possédait alors, il était im-possible qu’une telle chose sepasse…

En fin de compte une telle chosearriva… Multipliée par trois ! Destriplés firent leur apparition dansla famille Einstein. Le silence ha-bituel dans la grande maison fitplace au puissant son d’une fa-mille naissante. M. Einstein n’ou-blia point son médecin ets’empressa de retourner le voir.Tout d’abord pour l’informer del’incroyable nouvelle, mais aussipour lui offrir un cadeau : unepaire de Téfilines toute neuve. Lemédecin regarda avec étonne-ment les Téfilines et se grattant lefront : « Ecoutez, je me souvienseffectivement de ma promesse…mais je ne croyais vraiment pasque cela arriverait un jour… je nepensais pas mettre les Téfilinesrégulièrement, mais peut-être detemps en temps ». « Le principalest de commencer, la régularitéviendra par la suite, n’est-cepas ?… ». (Traduit de HaGuéoula n°715)

H i s t o i r e s d e G u é o u l aRien d’impossible !

Einstein, un juif de Los Angeles. Il rentrait chez lui après une longuejournée de travail. Il adorait son tra-vail en tant que développeur de logi-ciels, il brisa même l’ordinaire encréant le processeur le plus avancéde l’époque qui portait son nom« Einstein ».

L ’ è r e d e l a G u é o u l a

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La fin du mondeQui se souvient du Bug de l’an 2000ou alors de la crise boursière de2007-2008 ? Qui n’a pas entenduparler de la terrible prévision de latribu indienne des Mayas un peuavant la fin de leur calendrier ? (Quis’est terminé il y a deux ans de celaet rien n’est arrivé). Ou alors lathéorie de la fin des temps selonNostradamus ? Qui peut oublier lesmenaces des astéroïdes en prove-nance de l’espace, ou alors les me-naces d’une guerre nucléaire qui afailli ramener le monde à l’état deTohu Bohu !

Nous avons subi les prévisions les plus terribles sur la fin du monde et,merveille des merveilles, nous sommes toujours là… Et le globe terres-tre tourne toujours. Mais qu’est-ce qui nourrit toutes ces fausses pro-phéties sur la fin du monde, la fin de la culture humaine d’une infinité devisions antiques ou modernes sur d’éventuelles catastrophes de toustypes et pourquoi c’est uniquement qu’actuellement qu’elles sont enten-dues ou qu’elles ressortent de leur sarcophage ?En fait, la solution se trouve dans nos textes sacrés : Même dans laTorah d’Israël, qui contient la vérité de manière exclusive, nous pouvonstrouver moult références disant que notre période est celle de la fin destemps..Dans le Talmud de Babylone, il est écrit que le monde tel que nous leconnaissons a pour durée 6000 ans et lors du septième millénaire, ilsera détruit. Puisque nous sommes en 5774 depuis la création dumonde, il ressort qu’il nous reste près de deux siècles avant cette finpromise. La question qui se pose est de savoir que veut dire cette des-truction ? Et qu’est ce qui va être détruit plus exactement ? Et c’est là que se fait la différence entre notre vision des choses, destextes, notre interprétation au premier degré et celle de nos Sages quiont étudié les textes et les ont commenté selon leur grille de lecture bienplus fournie et large que la notre et leur « Roua’h HaKodech, l’espritsaint et prophétique » qu’ils possédaient.Un léger aperçu de leurs écrits nous permet de mesurer notre erreur, ils’agit en fait du contraire de ce que nous avions compris en premièrelecture : La création va se régénérer et nous vivrons d’une vie éternelle.En fait, le monde tel qu’on le connaît constitue un épais voile qui recou-vre la vérité de manière hermétique : Il cache à notre conscience la pré-sence divine constante, et il n’existe rien d’autre qu’elle, ni dans lescieux, ni sur la terre.Ce qui disparaîtra lors du septième millénaire (en fait bien avant, actuel-lement), c’est ce voile là. Dès lors, nous continuerons à vivre sur notreplanète bleue, heureux, riches pour l’éternité. Il existe parmi les nationsdu monde des sages qui entrevoient de semblables avenir sans réelle-ment comprendre ce qui est écrit.Pour comprendre la vérité sur chaque chose, nous sommes obligésd’être connecté directement, constant et de manière ininterrompue avecla Torah, ses Sages et ses prophètes. Ce n’est qu’à travers eux quenous pouvons comprendre la situation actuelle de la création. A chaquemoment précis, les sages savent exactement nous dire où nous ensommes des anciennes prophéties qui nous ont été promises.Le prophète de notre génération est le Rabbi de Loubavitch Roi Ma-chia’h. Et sa principale prophétie concerne précisément cette destruc-tion dont nous parlions précédemment et vers laquelle tous tendent : Ladestruction du monde des préjugés, de faux concepts que la cruauté etl’injustice règnent en maîtres depuis près de 6000 ans. Nous attendonstous avec impatience que tout ceci se transforme en un monde dans le-quel brillera la vérité divine et le Roi Machia’h y fera résider la justice, ladroiture à tout jamais… (Traduit de HaGuéoula)

LE CARNET

Pour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mer-cedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, PerlaBra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Bat Menou’ha Ra’hel, lafamille Liraz Touval, Gary Chlomo Ben Tserouya, David BenTserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Sarah Bat Fifine,Moché Ben Fifine, ‘Haya Ayala Bat Zahava Jacqueline etMorde’haï Tsvi Ben Ra’helLeilouï Nichmat de : Norbert Avraham Ben PninaBeckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, FifineBat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara, Ruth Sarah Isska BatGabi, Julia Bat Elie et Rachel Bat Elie

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