GuéoulaBH

Horaires de ChabbatParachat Michpatim - Jérusalem Entrée : 16h48 - Sortie : 18h01

Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd

Le journal qui ouvre les yeux sur le monde et constate que la Guéoula est là, présente dans le monde, dans la nature, dans le monde des sciences, dans l’air du temps...

NEWSNEWS

La Newsletter de cette semaine est dédiée à la Refoua Shelema de

Paul Jacques Shaoul Ben Jeanne Rivkaet Josselyne Zayza Bat Dora Daya Yvonne

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme deShaoul Yossef Ben Yehouda

Famille Benchimol

N°36 - Hebdomadaire - Chabbat Michpatim - Edition française gueoulanews@gmail.com - www.viveleroi770.com - 058-4770055

High Tech

Le matelas connectéLa qualité du sommeil joue un rôle importantsur votre capacité à récupérer. C’est pourquoile respect de votre cycle de sommeil est lapriorité absolue d’Allo-matelas. L’applicationanalyse votre cycle de sommeil pour vousaider à recaler vos heures de coucher et deréveil. Ainsi vous pourrez optimiser l’efficacitéde votre sommeil en fonction de votre hor-loge biologique. Une série de capteurs platsceinture le matelas pour enregistrer le plus in-fime mouvement ou battement de cœur. Unefois le protège matelas installé, on ne sentpas les capteurs et ils se font instantanémentoublier. « Le matelas connecté analyserachaque évènement intervenant pendantvotre sommeil ». (PP)

Recherche

Un antivirus biologiqueDes chercheurs de l’Université deLeeds au Royaume-Uni viennent dedécouvrir un code génétique qu’utilise-raient de nombreux virus, dont celuide la grippe et de la polio, afin d’infec-ter leur hôte. Les chercheurs comparent même ledéchiffrage de ce code à un autre, his-

torique : celui de la machine Enigma, utiliséependant la seconde Guerre mondiale pourchiffrer ses communications, et que le mathé-maticien Alan Turing, avec les chercheurs deBletchley Park au Royaume-Uni, finiront par

déchiffrer à l’aide du premier proto-type d’ordinateur. « Nous avons dé-couvert la machine Enigma des virusà ARN. Non seulement nous pouvonslire ce code mais aussi le bloquer etstopper le déploiement du virus ». Etdonc empêcher l’infection. (GN)

Vous êtes les premières !

Le Dvar Mal’hout du 22 Chevat, délivre un extraordinaire message aux femmeset jeunes filles juives d’aujourd’hui : « Vivre la Guéoula dès maintenant ! ».Pourquoi attendez vous des miracles ? Faîtes vous-mêmes les miracles, les Nis-sim et Niflaot de la Guéoula !

En effet, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h vous en offre le pou-voir. Il suffit de demander. Rendez-vous au Beit ‘Habad le plusproche, faîtes-vous un café ou un thé, installez-vous confortable-ment et écrivez une lettre au Rabbi avec tous les détails concer-nant votre demande. Attention. Ne cherchez pas la réponse touteseule car pour vous aider à comprendre la réponse du Rabbi, pastoujours évidente à décrypter, demandez l’assistance d’un Chalia’h

disponible. Prenez sur vous une bonne décision concernant l’étude de la Torah, la prière oules bonnes actions. Donnez une somme à la Tseddaka et... Le monde change, là maintenant,et juste pour vous ! La Guéoula se dévoile d’un instant à l’autre et... En une seule fois nousverrons le troisième Temple et la résurrection, le voile s’évaporera pour nous comme s’iln’avait jamais existé. Dans la joie, la joie de la Guéoula ! (GB)

Exceptionnel ! Matinée de cours pour femmes sur le sujet de la Guéoula à l’occasion du 22 Chevat. Ce Mercredi à 11h00 pour vous inscrire : 0584770055(Café & Gateaux et ambiance musicale)

N°36 - Hebdomadaire - Chabbat Michpatim - Edition française gueoulanews@gmail.com - www.viveleroi770.com - 058-4770055

T o r a h d e G u é o u l a

Dva r Ma l ’ h ou tExtraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h ChlitaParachat Michpatim 5752-1992

Les nouvelles parlent le langage du Prophète Isaïe

Il est reconnu que chaque événementqui se passe dans le monde survientpar l’intervention de la Achaga’ha Pra-tite (la Divine Providence - 1). Tout cela comporte un enseignementpour le service de l’homme envers SonMaître, et plus encore, en ce quiconcerne des événements fondamen-taux de portée internationale dont lesprotagonistes sont des Etats impor-tants.

Concernant l’actualité, à la veille du ChabbatParachat Michpatim 5752 (1992), les dirigeantsdes superpuissances de ce monde ont décidéde placer leurs relations sous un nouveau jour.Il s’agit de supprimer l’état de belligérance et deréduire l’armement, afin de prôner la paix,l’unité et l’entraide.Ce mercredi, trois jours avant Chabbat, le Pré-sident a déclaré qu’il diminuerait le budgetconsacré à l’armement et utiliserait les créditsainsi libérés pour renforcer la prospérité écono-mique. Cette décision a été ratifiée par l’assem-blée, dont les décisions ont force de loi, mêmed’après la Torah.

Le Machia’h œuvre déjà dans le mondeLes enfants d’Israël, peuvent tirer la conclusionsuivante, au vu de cet avancement dans l’his-toire : il est nécessaire de révéler la déli-vrance… La Guéoula sera effective lorsquecesseront les guerres dans le monde et lorsqueles nations « transformeront leurs glaives ensocs de charrues… un peuple ne portera plusl’épée sur l’autre et ils n’apprendront plus l’artde la guerre (2) ». Le Machia’h lui-même obtiendra cette victoire. Iljugera les peuples et réprimandera celui qui acommis des injustices (3). Dès lors, la paix rè-gnera, le Temple sera reconstruit et toutes lesnations s’y rendront, « car c’est de Tsion quejaillira la Torah et la Parole de D.ieu, de Jérusa-lem », là où résidera le Machia’h.

De la Russie-Egypte à la Russie-IsraëlUne prophétie claire se réalise actuellement de-vant nos yeux. Non seulement aux USA, maisaussi en Russie, pays qui mena une guerre dé-voilée contre le Rabbi Rayats, prince de notregénération. On y enseignait la Torah en ca-chette, au péril de sa vie. Mais dernièrement, toutes ces restrictions ontdisparu et le Judaïsme y est enseigné de lamanière la plus libre. Le nouveau gouverne-ment, adhérant au principe de la justice, de ladroiture et de la paix, croit en D.ieu.

Les Bné Noa’h apprendront aussi la Hassidout !Dans la Paracha Michpatim (au premier ver-set), la Torah énonce des préceptes nouveaux,mais logiques, et Rachi dit qu’ils furent transmisau mont Sinaï, au même titre que ceux qui ontété énoncés lors du don de la Torah. C’est pourcela que le Juif doit les comprendre, les intério-riser et s’y soumettre avec la même abnégationque tous les autres Commandements divins.De même, les enfants de Noé, les non-Juifs,doivent pour pratiquer leurs sept Commande-ments, prendre conscience avant tout, de leurorigine divine.

Un Psak Din (décret rabbinique) qui influence le monde entierPuisque dans la Paracha, nous trouvons leslois qui concernent principalement les tribu-naux, il y a un lien direct entre ce que les Rab-banim ont tranché actuellement (que le tempsde la délivrance est arrivé) et la décision desnations de tendre vers une ère de paix et debienfaisance. La Parachat Michpatim est parti-culièrement liée à la Guéoula car elle se placeentre la Parchat Yitro qui se termine avec leslois relatives à l’Autel et la Parachat Terouma,où il est dit : « Il me feront un Sanctuaire et Jerésiderai parmi eux (4)». Ceci concerne aussi la Tseddaka car dansnotre Paracha, il est dit : « Si tu prêtes de l’ar-gent à Mon peuple, aux pauvres (5)». La bien-faisance dépasse la Tseddaka qui, elle-mêmerapproche la délivrance.

La joie, le Mazal et la GuéoulaCe Chabbat est celui qui bénit le mois de Adar,dont le Mazal est bon. Il apporte la joie de Pou-rim et rapproche la délivrance de Pourim decelle de Pessa’h, comme il est dit : « Commeaux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montreraides merveilles (6)», celle de la délivrance quiinterviendra avant même la fête de Pourim.

Machia’h Now !Et que soit Sa volonté, et c’est le principal, quela délivrance se dévoile de la manière la plusimmédiate « Te’hef OuMiyad Mamach ». Il estclair que l’on aura pas besoin d’attendrejusqu’en Nissan, ni même jusqu’en Adar,puisque le Machia’h arrivera pendant le Chab-bat qui bénit le mois d’Adar, le 27 Chevat (en5752-1992), Za’h (Pur) Chevat, au moment dela Séouda Chlichite, le troisième repas duChabbat qui est relié avec la troisième déli-vrance dans le troisième Temple.Et que ceci nous arrive de la manière la plusconcrète, Te’hef OuMiyad Mamach, selon lesinitiales que comporte le mot Miyad (7). Ainsi que dans toutes les allusions contenuesdans le mot « Mamach* », mais tout d’abord ausens le plus littéral, de la manière la plusconcrète, Mamach, Mamach, Mamach…

Notes: 1/ voir Keter Chem Tov, 2/ Isaie 2-4, Mi’ha 4-3, 3/ Radak, 4/ 25-8, 5/ 22-24, 6/ Mi’ha 7-15, 7/Moshé, Israël (Baal Chem Tov) et David le roi Ma-chia’h – et dans la note de bas de page n°148 :Miyad = Mena’hem, Yossef et Yits’hak et aussi Dov-ber, * Mena’hem Mendel Shneerson

Machia’h & Guéoula

L’influence de lafemme JuiveOn peut voir concrètementque dans un appartementde la manière la plus simple,la décoration, la beauté del’appartement et les accessoires qu’ils soientmatériels ou spirituels dépendent de la femme« la maîtresse de maison ». La beauté et l’artde rendre les choses belles dépend plus parti-culièrement de la femme, « une femme agréa-ble (celle qui rend les choses agréables) »…Jusqu’au niveau où « La femme n’a été crééeque pour la beauté », beauté spirituelle par la-quelle découle la beauté matérielle. Il est im-portant de préciser que toute maison juivetient sur trois Mitsvot : L’allumage des bougiesde Chabbat et des jours de fête, une alimenta-tion Cachère et la pureté familiale (Initiales du

mot ‘Hen, le charme, la beauté, l’esthétique)…ainsi que l’éducation des enfants qui dépendde la mère. Comme on peut remarquer parexemple cette bonne coutume qu’ont lesmères juives de chanter à leurs enfants quisont encore dans le berceau, que « la Torahest la plus merveilleuse des choses, la plusdouce, la plus belle… » et l’influence qui estaccordée à l’enfant se prolonge bien plus tard,lorsqu’il grandit en un amour intérieur, il chéritalors, tout ce qui concerne la Torah et les Mits-vot. (...) Jusqu’à la perfection de la « lumièredu Machia’h » et « l’esprit du roi Machia’h » (ornous devons souligner que le mot Machia’hcomporte les initiales de ‘Haya Mouchka avecle Youd qui fait référence au père de celle-cidont les initiales du nom sont deux Youd…)lors de la délivrance véritable et complète quiintervient par le mérite des femmes justes d’Is-raël. (Extrait du Dvar Mal’hout du 22 Chevat -Hilloula de la Rabbanite ‘Haya Mouchka)

La Rabbanite ‘Haya-Mouchka de mémoire bénie

Une telle Kippa n’est pas habituelle et éveilleun intérêt tout particulier des passagers ausujet du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, de ladélivrance véritable et complète. Mais appa-remment, elle a encore beaucoup d’autres ef-fets d’après l’histoire récente que nous rapporteR. David : « Mercredi dernier, 14 Tamouz, jesortais pour mon itinéraire habituel depuis Ki-ryat ‘Hinou’h dans la région de Ramat Aviv Gui-mel vers Bat Yam, à 23h00. Vers la rue Alya àTel Aviv, le bus commença à ralentir inexorable-ment. Je compris que le moteur faisait dessiennes, mais j’espérais qu’il tiendrait le coupjusqu’au terminus à Bat Yam. En arrivant à lastation de la rue Alya, alors que le dernier pas-sager montait à bord du véhicule, et alors quecelui-ci voulait payer son ticket de bus, le mo-teur fit entendre un bruit bizarre juste avant des’éteindre définitivement. Je me dis que l’affaireétait plus sérieuse que prévue et le voyageavait l’air de s’arrêter là. Je tentais de redémar-rer le bus à plusieurs reprises, mais sans résul-tat. J’essayais donc plusieurs techniquesd’urgence, mais le moteur avait visiblementrendu l’âme. Alors que le bus était immobilisé,je préparais un discours d’excuses à l’attentiondes passagers qui devraient changer de moyende locomotion dans les minutes à venir.Je regardais le passager qui se tenait à côté demoi, un homme d’une cinquantaine d’annéesqui me tendait les pièces pour régler sonvoyage, je lui dis : « Attendez, ne me payez paspour le moment, les passagers vont devoir des-cendre. Comme vous pouvez le remarquer, lebus ne démarre plus ». Les passagers étaientencore assis à leur place attendant patiemmentque la situation s’améliore…A ce moment là, le passager observant maKippa « Ye’hi », me dit : « Mais pourquoi nevous levez-vous pas en disant « Ye’hi Adonei-nou » ? Dites « Ye’hi » et le bus va démar-rer »… J’étais interloqué. L’homme neprésentait aucun signe de religiosité et encoremoins d’attachement quelconque avec ‘Habadou au Rabbi Roi Machia’h Chlita. « Vous avezraison », lui répondis-je avec un sourire et je disdiscrètement : « Ye’hi Adoneinou Morénou Vé-Rabbénou Mele’h HaMachia’h LéolamVaèd !!! ». La seconde surprise intervint immédiatement.Une jeune femme du fond de l’autobus mecria : « Chauffeur, dites : « Ye’hi Adoneinou »de toutes vos forces, et vous verrez que le busva marcher ». Je regardais dans le miroir pourvoir si je ne rêvais pas, la jeune femme ne pré-sentait elle non plus aucun signe de religion. Enattendant, le passager qui était toujours à mescôtés, sortit de son portefeuille une « Carte deMachia’h » avec la photo du Rabbi et, se joi-gnant aux paroles de la femme : « Allez, criezYe’hi et le bus va voyager !… ».« Si c’est le cas, alors venons et nous allonstous crier ensemble » dis-je fermement. En en-tendant ces mots, la jeune femme se retourna

vers les autres passagers et leur demanda dese joindre à nous pour cette déclamation.Quelques instants plus tard, je me mis à scan-der la sainte déclamation et le passager quiétait toujours à mes côtés se joignit à moi, ainsique les passagers de l’autobus, tous ensembledans un enthousiasme mutuel : « Ye’hi Adonei-nou Morénou VéRabbénou Mele’h HaMachia’hLéolam Vaèd !!! ». Pendant un instant je me croyais tout simple-ment dans un rêve. Une vision totalement inha-bituelle qui semblait prise d’une réunion‘hassidique ou d’une prière dans une syna-gogue ‘Habad, mais le résultat était véritable-ment réaliste…A la fin de la déclaration de ce « Ye’hi » en-

flammé, je pressais le bouton d’allumage dubus et le moteur se mit à tourner comme s’il ve-nait de sortir de l’usine… La pression des der-nières minutes venait de s’envoler et avec elledes battements de mains, des cris « Ye’hi Ha-Mele’h ! » venant des passagers qui euxavaient gardé le silence et observé la scène dela tension qui montait.Alors que je commençais à peine le voyagevers Bat Yam, j’entendis de nouveau la jeunefemme derrière moi, qui me disait : « Chauffeur,vous voyez ce que c’est que le Rabbi ! ». Et àmes oreilles, résonnaient encore ses paroles :« Le monde est prêt pour la délivrance »…(Traduit de la Si’hat HaGuéoula)

H i s t o i r e s d e G u é o u l aL’autobus avec une Kippa « Ye’hi »

La grande Kippa portant l’inscription « Ye’hi Ado-neinou… » de David Piros fait son effet parmi lespassagers du bus qu’il conduit, car il est de parsa profession, conducteur de la société Dan àBat Yam, sur la ligne 125.

Tseddaka & Guéoula

La Pizza de Rosa’sIl y a deux ans de cela, Mason Wartman aquitté son emploi à Wall Street pour ou-vrir Rosa’s Fresh Pizza, une boutique quivend des parts de pizza pour seulement 1$(taxes incluses). Le concept est très popu-laire à New York et Mason Wartman avoulu exporter l’idée dans sa ville natalede Philadelphie. Un jour, un client lui a de-mandé s’il pouvait acheter une part « enattente » pour quelqu’un dans le besoin.Mason a été touché par le geste et a alorsdessiné un smiley sur un post-it et l’a collésur le mur pour symboliser une part gra-tuite pour quelqu’un qui en avait le plusbesoin.

L’idée a rapidement fait le tour de la ville etmême du pays, comme quoin’importe qui dans le besoin pou-vait se rendre dans cette pizzeriaet utiliser l’un des post-it sur lemur comme un bon pour une partgratuite. Depuis que le premierclient a payé en avance une partl’année dernière, plus de 8300parts ont été offertes par Rosa’s FreshPizza pour nourrir ceux qui en avaient besoin.Mason Wartman estime que sapizzeria Rosa’s (dont le nom est inspiré decelui de sa mère), donne environ 30 à 40parts par jour. Les clients généreux ayant en-tendu parler de l’initiative ont été si nombreuxque Mason doit tenir un registre rigoureux despost-it sur les murs de son commerce. Unepersonne a même fait don de 10 000$. Lespost-it donnent un style très décoratif à la piz-zeria. Aujourd’hui, le projet de pizzeria soli-daire de Mason Wartman a fait le tour dumonde et l’info a été reprise dans les journauxdu monde entier...Voici comment ces dernières décennies ontété les plus foisonnantes de part la bonté, la

générosité, l’entraide et le secours porté parles nations entre elles. Car, cachées derrièreles infos dramatiques submergeant les mé-dias, qui vendaient et vendent toujours leursjournaux « grâce » à elles, ces faits qui méri-tent hautement d’être cités en haut des pre-mières pages, passaient jusqu’à ce jourinaperçus.La délivrance finale n’est pas seulement le faitd’un seul peuple, mais bien de toutes les na-tions du monde. En effet, dans le DvarMal’hout de cette semaine, est mentionnée lavolonté urgente des grandes nations dumonde de voir une ère de paix faire son ap-parition dans un monde qui a trop souffert desguerres, de la politique et de la criminalité. Or tout ceci n’est que le résultat du travailacharné d’un homme qui travaille dans cemonde depuis une centaine d’années, c’est leMachia’h, lui-même, le Rabbi qui œuvre de-puis tant d’années afin d’établir la paix entre

deux Juifs, entre deux frères,entre deux familles, entre tous leshommes, avec les outils quenotre époque a mit entre sesmains, c’est à dire une technolo-gie avancée afin de répandre aumieux et au plus vite, le messagede la ‘Hassidout, l’amour du pro-

chain, l’étude de la Torah, l’accomplissementdes Mitsvot qui seront les canaux par lesquelspasseront les influences divines lors de la dé-livrance imminente, pour tous les hommes. Tout ceci, la Tseddaka, la charité envers au-trui, en argent, en alimentation, mais aussi endispensant des cours de Torah, en ensei-gnant les bases du Judaïsme à son frère Juif.Tout cela est aussi appelé « Tseddaka », ledon à une autre personne et ceci rétablitl’équilibre dans le monde et établit le Chalomlors de la Guéoula que nous vivons actuelle-ment. Alors écartons de nos yeux le voile desinfos qui noircissent notre horizon et regar-dons, admirons ce que font les hommeslorsqu’ils donnent aux autres et ça... C’est laGuéoula ! Dans la plus grande joie... (FC-GN)

L ’ è r e d e l a G u é o u l a

Petites Annonces

Cours de TorahJérusalem - Beit Machia’hdu centre ville au 8, rue Yaavets. 058-5731430

Exclusif !Le livre du Dvar Mal’hout(discours du Rabbi ChlitaMHM 1991-1992) en fran-çais est enfin disponible...pour toute commande : 054-9204694

Cours en français Le mardi soir à 20h00 courssur le Dvar Mal’hout,Ala’hotes Chabbat par leRav Gabriel Beckouche. Synagogue de la rue Ben Dov à Arnona058-4770055

Beit Machia’h à Har ‘HomaRav Shlomo Yossef Tsion.Cours tous les jours.Jeudi soir Youd Chevat,grand FarbrengenNouveau ! Le mercredi à

20h30, cours en français deTanya pour les femmes parMme ‘Haya Sarah Benchi-mol. 17 Re’hov Hamamtsi(Tour d’eau) à Har ‘Homa.054-7150646

Retrouvez-nous sur Face-book tapez Guéoula NewsPour soutenir GuéoulaNews, et l’aider à étendresa diffusion... Pour touteannonce ou dédicacecontactez-nous au :058.4770055

L E C A R N E TPour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël BenMercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa SarahBat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonnesanté de : Mercedès Bat Fifine, Esther Bat Pnina Leilouï Nichmat de : JuliaBat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba et Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël

Communication

Le Robot de la GuéoulaLes robots disposent parfois de ca-pacités supérieures à celles deshommes. C’est ce que démontre ungroupe de chercheurs qui les a utili-sés pour traiter l’autisme chez l’en-fant, dès le plus jeune âge, à traversun accompagnement personnel.

AnthonyArceri est un jeune garçon desept ans atteint d’autisme. Ses vête-ments, couverts de capteurs, lui per-mettent d’être en interaction avec unrobot d’un petit mètre prénommé Zeno.Ce dernier lui demande : « Quel est tonplat préféré ? », Anthony répond : « lelait chocolaté et les frites », avant de ré-pliquer : « j’adore le lait chocolaté ».Zeno lève les bras et Anthony l’imiteaussitôt. Le robot se frotte ensuite leventre et, à nouveau, An-thony reproduit le geste.Anthony perçoit Zenocomme un véritable ami.Mais au-delà de cette rela-tion, aussi insolite soit-elle,les chercheurs estimentque le robot peut être la clef en vue dediagnostiquer et de traiter l’autisme. Eneffet, Zeno est le résultat d’une collabo-ration entre chercheurs et centres derecherche tels que le Dr Dan Popa (Uni-versité du Texas à Arlington), HansonRoboKind (Centre de traitement de l’au-tisme à Dallas). Le diagnostic de l’au-tisme chez l’enfant a souvent été déceléà travers des échanges oraux et desexercices de langage. Autrement dit, sil’enfant ne sait pas encore parler, lediagnostic peut s’avérer très long à éta-blir, voire impossible. Mais Zeno peut in-teragir avec les enfants à travers desformes de communication qui ne néces-sitent pas l’usage de la langue. Parexemple, il est capable de communi-quer uniquement par des gestes ou desexpressions du visage. Des expres-sions corporelles qui pourraient permet-tre l’établissement d’un diagnostic avantmême que l’enfant ne sache parler.

Or, les robots comme Zeno ont descomportements qui se rapprochent deceux de l’homme sans pour autant enêtre un. Cela facilite, de fait, l’ouverturede l’enfant.L’autisme est une maladie qui est a étédécouverte ces dernières décennies etelle montre principalement un enfant quirefuse la réalité qui s’offre à ses yeux,refuse de communiquer et exprime sesémotions par des gestes. Dans une op-tique Juive, il semblerait que cet enfantcache en lui un potentiel extraordinairequasi-prophétique. De nombreux cassont apparus pour lesquels l’enfantcommunicant avec un ordinateur, dévoi-lait des secrets de la Torah ou mêmeprédisait l’avenir proche de son entou-rage. On peut imaginer que l’enfantd’aujourd’hui ressent la présence divinebeaucoup plus qu’à d’autres époques.Selon nos textes et principalement lesdiscours du Rabbi Chlita Méle’h HaMa-chia’h, le retour de la Che’hina dans le

monde ici-bas est en trainde se produire commenous pouvons le lire dansle texte du discours de BatiLegani (5711-1951). Et laprésence divine se dévoi-lant à nouveau dans le

monde, comme avant la faute de l’arbrede la connaissance, infirme le proces-sus de la délivrance finale. Les adultesne ressentent pas vraiment l’appel de ladivinité, à cause de leurs soucis, maisles enfants dont l’âme est fraîchementdescendu dans leur corps, sont toujoursen contact avec Hachem et le voile,chez eux est plus léger que chez nous.Les enfants autistes nous en appren-nent souvent énormément sur laGuéoula et sont parfois pour nous unexemple. « Ouvrez les yeux » nous de-mande le Rabbi, et eux ont déjà lesyeux grand ouverts. C’est pour nousl’occasion de les imiter et de voir que,déjà, nous avons l’occasion de prendreconscience que tout ceci arrive mainte-nant, la Guéoula est ici déjà, et d’êtreheureux et joyeux, de chanter et danseret de dévoiler la délivrance immédiatepar de bonnes actions et par l’étude dela Torah... (DGS-GN)

GuéoulaNewsPour plus d’infos, contactez :

Menou’ha Ra’hel Beckouche au058-4770055

gueoulanews@gmail.com

Mazal Tov, Mazal Tov pour la naissance de

Anaël Sarah Bat Kalev

Concrètement, chaque Juif rajoutera de la joiepour lui-même et aussi pour l’autre, dans l’étude dela Torah, de la Hassidout, ainsi que dans l’accom-plissement des Mitsvot au niveau le plus haut. Onréjouira sa famille, le mari réjouira son épouse, lesparents réjouiront leurs enfants, dans ce qui peutles réjouir. Et on réjouira son entourage et on obtiendra par cela,le monde futur et ce monde-ci. (Dvar Mal’hout Terouma)

D v a r M é l e ’ h - P a r o l e s d u r o i

La Newsletter de cette semaineest dédiée à l’élévation de l’âme

de Tamar Bat Saada et Chemtov

La Newsletter de cette semaineest dédiée à l’élévation de l’âme

de Norbert AvrahamBen Gavriel et Julie Pnina

Nano-chirurgie

Opération «Nano» pour les yeuxMettre des robots nanoscopiques dans les yeux pourrait bienêtre la nouvelle grande innovation technologique dans le do-maine médical ! Si ça ne vous dérange pas d’avoir des ma-chines microscopiques dans les yeux, ces robots chirurgienspourront bientôt opérer les plus petites lésions et aider lesmédecins. Des chercheurs à l’IRIS, l’Institute of Robotics and In-telligent Systems de Zurich, viennent de mettre au point une in-novation médicale impressionnante ! Ils sont en train deconcevoir des nanobots, des robots nanoscopiques, pour aiderles chirurgiens à pratiquer des opérations ultra précises sur deszones parfois microscopiques sur lesquelles les robots stan-dards ne sont peut-être pas à l’aise. (DGS)

High Tech

La nouvelle montre connectéeLe Smartband Talk est à la croisée des chemins entre une mon-tre connectée et un tracker d’activité. Il dispose ainsi d’un écrane-ink permettant d’afficher l’heure mais aussi les notifications quiarrivent sur votre téléphone. Les SMS, la personne qui vous ap-pelle, les mails que vous recevez ou toute autre notificationreçue s’afficheront directement sur l’écran du smart Band Talk.Le tout est paramétrable et vous pouvez choisir quelles applica-tions afficheront du contenu sur votre SmartBand Talk. Petitplus, le produit dispose également d’un réveil intégré qui vibrerapour vous aider à vous lever à l’heure. Le SmartBand Talkpourra ainsi savoir le nombre de pas que vous faites ainsi quevotre altitude pour définir si vous évoluez sur terrain plat ou sigravissez une montagne. (GN)

Nature

Pourquoi les zèbres ont des rayures ?Cette question qui taraude souvent les enfants aurait enfintrouvé une réponse. Une récente étude s’est en effet penchéesur le sujet et les rayures ne serviraient non pas de camouflagemais à dissiper la chaleur. C’est l’université de Californie qui aétudié la question. La robe du zèbre permettrait en fait derafraîchir l’animal. Pour arriver à cette conclusion, les scien-tifiques ont analysé les rayures de pas moins de 16 espèces derégions africaines. Certains zèbres ont par exemple des rayurespartielles alors qu’au contraire d’autres spécimens en possèdentsur tout le corps. Le nombre de rayures n’est pas le seul élé-ment à entrer en jeu puisque la teinte fut aussi analysée etqu’elle diffère selon la provenance de l’animal. (DGS)