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Chabbat Parachat Behar-Be’houkotaï - Hebdomadaire édité parle Beit Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - [email protected] - www.viveleroi770.com Bonnes Nouvelles Photo de la semaine Travaux d’impression numérique logos, graphisme Demandez John pour service en français 072-2424245 [email protected] 210 Jérusalem Beit Machia’h Centre Ville 6, rue Yavets Rav Doron Oren - 052-3618770 Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout et Ala’hot le mardi soir à 20h15, le Chabbat, reprise des cours sur Pirkei Avot à 18h00 - 19/5 rue Chalom Yehuda 058-4770055 Beit Machia’h Har ‘Homa 34, rue Rav Its’hak Nissim Farbengen, jeudi soir Rav Shlomo Yossef Tsion 050-4147725 Minyane ‘Habad à Baka le Chabbat à 10h30 suivi d’un Farbrengen 1, rue Dan à Baka synagogue «Tefila LeDavid» 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 A vendre : Affaire à saisir sans frais d’agence à Bétar : Grand appartement de 211m2, 7,5 pces, vue panoramique sur un étage, cuisine de Pessa’h, proche des synagogues ‘Habad et du centre commercial, 3 grands balcons, Guiva A. 052-6996770 Editorial Iyar 5773 : Comptez les jours avec impatience… Les quelques jours qui nous séparent de la fête du don de notre Torah, sont des moments très précieux car ils font partie du compte de l’Omer. Chaque jour, nous parlons de purifier notre âme animale afin de nous préparer au cinquantième jour, celui de Chavouot. Le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous parle dans plusieurs Dvar Mal’hout de « Chaar Noun », la cinquantième porte, qui est le niveau de percep- tion que nous allons atteindre lors de la délivrance véritable et complète. Et donc, ce que nous comp- tons réellement, c’est combien de jours, d’heures, de secondes nous séparent encore du grand dévoile- ment de la Guéoula ! Combien faut-il encore de temps, pour nous permettre d’ouvrir les yeux et de voir par nous-mêmes que tout est là, la seule possibilité de voir et de contem- pler le monde tel qu’il est réellement, c’est à dire totalement pur et prêt pour ce grand moment ? Ce que l’on voit dans les médias, sur le net, sur les chaînes de télé, ne sont qu’un point noir dans un océan de bonheur. Le business des jour- nalistes est de prendre ce point noir et d’en faire un fait établi, afin qu’au lieu de discuter de notre Torah si chère et précieuse, nous parlions d’actualité futile, éphémère et insipide. Tout ce qui se passe dans le monde n’a rien à voir avec ce que l’on nous montre. Le monde tourne et il est riche, en bonne santé, l’avancée de la Technologie nous a donné la possibilité, si seulement les dirigeants des Etats en décidaient, de vivre sans qu’aucun être humain n’ait à travailler. Tout, aujourd’hui est robotisé, tout va à profusion, l’économie, l’agri- culture, la médecine, tout ! Nous n’avons aujourd’hui qu’à ouvrir les yeux, éteindre l’écran de télévision et regarder le monde tel qu’il est vraiment. La seule chose qui empêche encore de voir, c’est les consciences fermées, les esprits obtus, le nuage de torpeur qui règne sur la société. Ouvrons les yeux, c’est urgent, afin de d’influer positivement sur notre entou- rage. La volonté du monde est réelle- ment qu’un Juif ouvre un livre avec un autre Juif et étudie avec amour, joie et respect la Torah que notre D.ieu, nous a donné, et telle est la volonté du monde, des non-Juifs. Tout cela influencera très rapidement notre entourage et même les non-Juifs feront Techouva et seront doux comme des agneaux, et le loup (les 70 nations) habitera avec l’agneau (Israël) comme le dit notre prophète de la Guéoula, Isaïe et c’est déjà le cas pour qui veut voir. Eveillons-nous, ouvrons les yeux, nous comptons aujourd’hui non seulement la Sefirat HaOmer, mais surtout les derniè- res secondes qui nous séparent encore du dévoilement du Roi Machia’h, qui a déjà sauvé le monde, et de la Guéoula qui s’est déjà installée dans le monde et il ne reste aujourd’hui qu’une seule chose à faire: Ouvrir les yeux et être tout simplement dans la joie, c’est la clé, la joie de Pourim (le Mazal), la joie de Pessa’h (la liberté), la joie du Omer (la pureté), la joie de recevoir le Grand Cadeau, la Torah de notre D.ieu lors de la fête de Chavouot, et bien entendu, la joie la plus intense, celle de la délivrance véritable et complète pendant laquelle nous rece- vrons la Torah ‘Hadacha, la nouvelle Torah du Machia’h, et nous serons unis totalement avec Hachem, avec Machia’h qui vit et existe ici et mainte- nant, avec tous nos Prophètes, nos Maîtres, nos Saints Rébbéïm et notre famille, qui vivront pour une joie éter- nelle… Alors ensemble ouvrons les yeux et unissons-nous dans le cri de joie: «Vive le Roi Machia’h Now !». La Parade de Lag Baomer dans le quartier Arnona à Jérusalem

Newsletter n°210 - Parachat Behar-Be'houkotaï

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La Newsletter de la Guéoula

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Chabbat Parachat Behar-Be’houkotaï - Hebdomadaire édité parle Beit Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - [email protected] - www.viveleroi770.com

Bonnes Nouvelles

Photo de la semaine

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210

JérusalemBeit Machia’h Centre Ville6, rue Yavets Rav Doron Oren - 052-3618770

Beit Machia’h ArnonaCours de Tanya et DvarMal’hout et Ala’hot le mardisoir à 20h15, le Chabbat,reprise des cours sur PirkeiAvot à 18h00 - 19/5 rueChalom Yehuda058-4770055

Beit Machia’h Har ‘Homa34, rue Rav Its’hak NissimFarbengen, jeudi soirRav Shlomo Yossef Tsion050-4147725

Minyane ‘Habad à Bakale Chabbat à 10h30 suivi d’un Farbrengen 1, rue Danà Baka synagogue «TefilaLeDavid» 058-4770055

Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv054-4866072

A vendre : Affaire à saisirsans frais d’agence à Bétar :

Grand appartement de 211m2,7,5 pces, vue panoramique surun étage, cuisine de Pessa’h,

proche des synagogues ‘Habadet du centre commercial, 3grands balcons, Guiva A.

052-6996770

Editorial

Iyar 5773 : Comptez les jours avec impatience…

Les quelques jours qui nous séparent de la fête du don de notre Torah, sont des moments très précieuxcar ils font partie du compte de l’Omer. Chaque jour, nous parlons de purifiernotre âme animale afinde nous préparer au cinquantième jour, celui de Chavouot. Le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous parledans plusieurs DvarMal’hout de « Chaar Noun », la cinquantième porte, qui est le niveau de percep-tion que nous allons atteindre lors de la délivrance véritable et complète. Et donc, ce que nous comp-tons réellement, c’est combien de jours, d’heures, de secondes nous séparent encore du grand dévoile-ment de la Guéoula!

Combien faut-il encore de temps, pournous permettre d’ouvrir les yeux et devoir par nous-mêmes que tout est là, laseule possibilité de voir et de contem-pler le monde tel qu’il est réellement,c’est à dire totalement pur et prêt pour cegrand moment? Ce que l’on voit dansles médias, sur le net, sur les chaînes detélé, ne sont qu’un point noir dans unocéan de bonheur. Le business des jour-nalistes est de prendre ce point noir etd’en faire un fait établi, afin qu’au lieude discuter de notre Torah si chère etprécieuse, nous parlions d’actualitéfutile, éphémère et insipide. Tout ce quise passe dans le monde n’a rien à voiravec ce que l’on nous montre. Le mondetourne et il est riche, en bonne santé,l’avancée de la Technologie nous adonné la possibilité, si seulement lesdirigeants des Etats en décidaient, devivre sans qu’aucun être humain n’ait àtravailler. Tout, aujourd’hui est robotisé,tout va à profusion, l’économie, l’agri-culture, la médecine, tout!Nous n’avons aujourd’hui qu’à ouvrirles yeux, éteindre l’écran de télévision etregarder le monde tel qu’il est vraiment.La seule chose qui empêche encore devoir, c’est les consciences fermées, lesesprits obtus, le nuage de torpeur quirègne sur la société. Ouvrons les yeux, c’est urgent, afin ded’influer positivement sur notre entou-rage. La volonté du monde est réelle-ment qu’un Juif ouvre un livre avec unautre Juif et étudie avec amour, joie etrespect la Torah que notre D.ieu, nous adonné, et telle est la volonté du monde,des non-Juifs. Tout cela influencera trèsrapidement notre entourage et même lesnon-Juifs feront Techouva et serontdoux comme des agneaux, et le loup (les70 nations) habitera avec l’agneau(Israël) comme le dit notre prophète dela Guéoula, Isaïe et c’est déjà le cas pourqui veut voir.

Eveillons-nous, ouvrons les yeux,nouscomptons aujourd’hui non seulement laSefirat HaOmer, mais surtout les derniè-res secondes qui nous séparent encoredu dévoilement du Roi Machia’h, qui adéjà sauvé le monde, et de la Guéoulaqui s’est déjà installée dans le monde etil ne reste aujourd’hui qu’une seulechose à faire:Ouvrir les yeux et être tout simplementdans la joie, c’est la clé, la joie dePourim (le Mazal), la joie de Pessa’h (laliberté), la joie du Omer (la pureté), lajoie de recevoir le Grand Cadeau, laTorah de notre D.ieu lors de la fête deChavouot, et bien entendu, la joie la plusintense, celle de la délivrance véritableet complète pendant laquelle nous rece-

vrons la Torah ‘Hadacha, la nouvelleTorah du Machia’h, et nous serons unistotalement avec Hachem, avecMachia’h qui vit et existe ici et mainte-nant, avec tous nos Prophètes, nosMaîtres, nos Saints Rébbéïm et notrefamille, qui vivront pour une joie éter-nelle… Alors ensemble ouvrons lesyeux et unissons-nous dans le cri dejoie: «Vive le Roi Machia’h Now !».

La Parade de Lag Baomerdans le quartier Arnona à Jérusalem

Il nous faut alors expliquer ce quesignifie l’endroit au monde danslequel fut donnée la Torah (sur lemont Sinaï, dans le désert du Sinaï).Car a priori, puisque la Torah agit surle monde entier, quelle est l’impor-tance de l’endroit dans lequel la Torahfut donnée? Car on peut penser quele choix d’un endroit précis dans lemonde, capable d’accueillir le don dela Torah, a été prédéterminé et sym-bolise l’action de la Torah dans lemonde.

Dix paroles ou une seule ?Pour ceci, nous devons expliquer lesmots de la Michna (4 ): « Le mondea été créé par dix paroles, et se pose laquestion, n’aurait-il pas pu être crééen une parole? La Michna répond:pour punir les méchants qui détrui-sent le monde qui a été créé par dixparoles, et pour donner une récom-pense aux Tsaddikim (les justes) quifont vivre le monde qui a été créé pardix paroles».Se pose alors la célèbre question (5):« Puisqu’il aurait pu être créé en uneseule parole», pourquoi la punitionet la récompense interviendraientdans le monde qui a été créé en dixparoles, alors qu’il peut être créé enune seule parole, en un mot, «s’Il avoulu multiplier les paroles, pourquoifaire dépendre cela du méchant et dujuste ? ».

Les deux niveaux En fait, on doit expliquer que dans lacréation du monde, il y a deuxaspects: «En une parole», et « endix paroles». « En une parole», estapparue la création du néant à l’exis-tant, ce que l’on appelle: « Lamatière originelle» (6), qui est équi-valente en toute créature existante aumonde. Et «en dix paroles», a étécréée et s’est dévoilée la formationdes différents détails que l’on trouveen chaque créature séparée l’une del’autre grâce aux dix paroles, y com-pris « les unions et inversement deslettres que l’on retrouve dans les 231portes face et dos, comme il est écritdans le Sefer HaYétsira», car parcela, ont été créés tous les détails descréatures dans le monde (7).

Le processus du don de la TorahLa Torah interagit dans le monde par

le biais d’une seule parole et parallè-lement, des dix paroles. C’est pour-quoi la préparation à la réception de laTorah est accentuée par le compte duOmer depuis Pessa’h jusqu’àChavouot. Le don de la Torah estintroduit par la sortie d’Egypte lors delaquelle, «Le Roi des rois, le Saintbéni soit-Il s’est dévoilé dans toute Sagloire et les a sauvé (8)» dans l’idéeque « Lorsque tu sortiras le peupled’Egypte, vous servirez D.ieu surcette montagne (Chemot 3.12)».Et puisque l’intention lors du don dela Torah est de relier les supérieursavec les inférieurs, «les supérieursdescendront vers les inférieurs et lesinférieurs monteront vers les supé-rieurs (9) ». Or, la véritable connec-tion ne se fait que lorsque le supé-rieur, reste ce qu’il est et s’assemblenéanmoins avec l’inférieur qui reste

ce qu’il est. Et ceci ne peut se pro-duire que lorsqu’intervient une prépa-ration comme celle du compte duOmer.

Lag BaomerTout ceci se retrouve a petite échellelors de Lag Baomer, Hod Chebé Hod,la splendeur dans la splendeur et cettesphère est le total et la perfection, leplus central des sentiments, et parcela passe l’influence de l’intérieurvers l’extérieur. Et ainsi, la lumièresuprême brille, celle qui est au-dessusde la division entre les sentimentsgrâce à la supériorité de l’annulationqui est du niveau de Hodaa, recon-naissance, ce que l’on appelle, HodChebé Hod, la splendeur, dans lasplendeur. Par cela, se dévoile l’inté-riorité de la Torah.

Dans la TorahOn retrouve tout ceci dans la ParachaBehar-Be’houkotaï : « Behar, sur lemont », fait allusion à la grandeur età la fierté (10), qui est surnommé «levégétal dans le minéral (11) » qui faitallusion à la subdivision en parties eten détails (les dix paroles), car ici,l’on remarque le mouvement dedéveloppement de niveau en niveau,

« ils iront de force en force (12)».« Be’houkotaï, dans Mes décrets»,vient étymologiquement du mot‘Hakika, la gravure, comme les let-tres, sur les tables de la Loi, quiétaient gravées d’un côté comme del’autre. Ce qui fait référence au pointde la quintessence qui est au-dessusde toute subdivision en détails (uneparole), et par cela, on arrive à l’abné-gation qui est au-dessus de toute com-préhension «J’ai décrété une loi, J’aiformulé un décret(13), et «Tu n’aspas le droit de le remettre en cause(14) ».

Sur la montagneEt puisque l’ordre du travail va del’aisé au difficile, ainsi, dans laParacha Behar-Be’houkotaï, qu’on litpendant Chabbat avant Roch‘Hodech Sivan, on retiendra qu’il y adeux extrémités qui, toutes deuxmentionnent le «Mont Sinaï », lemont et non le désert qui fait allusionà une réalité subdivisée en une foulede détails, et la Paracha BaMidbarqu’on lit pendant le Chabbat qui vientavant le don de la Torah, on rappelleprincipalement la liaison entre lesdeux extrémités par le niveau qui estau-dessus de celles-ci, «Le désert,dans lequel personne n’a jamaishabité ».

La bénédiction de la GuéoulaL’interruption entre les malédictionsde la Paracha Be’houkotaï etChavouot est soulignée par la réalité(les dix paroles). Et le besoin de cetteinterruption se fait parce que la Torahest à l’origine de toutes les bénédic-tions, comme la lettre Beth du débutde la Torah fait allusion aux Bra’hot(15), les bénédictions, à commencerpar la bénédiction la plus importanteque l’on peut remarquer dans laforme de la lettre Beth qui est «fer-mée de chaque côté et ouverte d’uncôté (16)». Car le monde qui a été

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o m

Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël BenMercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hem Mendel Israël Ben Gabriel, Noa Bat Menou’haRa’hel et Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel pour la famille Liraz Touval, pour Gary ChlomoBen Tserouya, David Ben Tserouya et pour Ofir Ben Rina et Sivan Bet Sarah Haddassa afinqu’ils aient des enfants Pour la bonne santé de Mercedès Sarah Bat Fifine, de Keren BatEsther et de Chiran Bat Rina Leilouï Nichmat de ‘Haïm Yeochoua Ben Choulamite, NorbertAvraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba,Julia et Rachel Pessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham, Yossef Abitbol Ben Clara, ‘Hanna BatRa’hel, Ruth Sarah Isska Bat Gabi, Sarah Bat ‘Haya Dona et Emmanuel Ben Yéochoua

L’Edit Royal - Dvar Mal’houtRésumé du discours de

Chabbat Parachat Behar-Be’houkotaïqui bénit le mois de Sivan 5751-1991

du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita

Une Torah pour tousLe sujet de Roch Hodech Sivan est expliqué dans l’Ecriture (1) : « Pendant le troisième mois… en cejour (de Roch Hodech-2), ils sont arrivés dans le désert du Sinaï ». Or, le désert du Sinaï est relié au donde la Torah : « Moché a reçu la Torah du Sinaï (3) », et « le désert (du Sinaï) », comme l’expliquentnos Sages: « Elle a été donnée dans le désert… dans un endroit où la propriété n’existe pas, quiconquedésire la recevoir, qu’il vienne et la reçoive ».

Remerciements au ‘hassid‘Haïm Ben Suzannequi a géné-reusement contribué à la diffu-sion de la Newslettern°109 à10.000 exemplaires surtoutIsraël. Que parce mérite, ilreçoive une bénédiction sans

limites dans tous les domaines.

La Parade deLag BaOmer

au 770 N.Y.

A Baka -Jérusalem

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mcréé par le Saint béni soit-Il est environnéepar trois vents et non par le vent du Nord(17). Ceci dans l’optique que l’homme,par son travail, complète et capture le ventdu Nord car tel est le rôle de l’homme,qui, grâce à lui, permet au monde d’êtreentouré par les quatre vents. De même, ledessin du Mem Sofith (fermé) dans«LéMarbé Hamissra, son rôle est d’agran-dir l’empire (18)» (un Mem final aumilieu d’un mot), qui fait allusion (19) à ladélivrance, la Guéoula, qui arrive par letravail de l’homme qui insère et dévoile leAlef (Aloufo Chel Olam) au milieu de«Gola, l’exil» pour en faire «la Guéoula,la délivrance (20)».

Traduir e cela dans la réalitéOn se doit de relier tout ceci à notre travailactuel. 1/ De réunir des assemblées cha-que Chabbat dans les synagogues et mai-sons d’étude afin qu’il y ait des courspublics car le Chabbat bénit toute lasemaine et aussi à plus forte raison, le«Temps du don de notre Torah». 2/ Et deréveiller chez chacun la volonté d’allerécouter les dix Commandements lors du«Temps du don de notre Torah», afin quesoient tous les enfants Juifs dans les syna-gogues (même les plus petits et même lesbébés-21) car ils sont les garant du don dela Torah «Nos fils sont nos garants (22)».

La délivranceEt que soit Sa volonté, et c’est le principal,que s’éveille la volonté des Juifs de s’unirpour se préparer à la réception de la Torah.Et ceci précipitera et activera l’annulationde la Galout, l’exil, et ainsi apparaîtra laGuéoula, la délivrance véritable et com-plète par notre juste le Machia’h, car ainsiaura lieu la perfection du don de la Torah:«Une nouvelle Torah sortira de Moi».

Tous Me connaîtrontPuis nous arrivons vers le temps du don denotre Torah, dans la perfection, sur notreTerre Sainte, à Jérusalem, ville Sainte, surla montagne Sainte, dans le BeitHaMikdach et dans le Saint des saints,«Une nouvelle Torah sortira de Moi», laTorah que le Machia’h enseignera à tout lepeuple (23), jusqu’à ce que l’on apprennedu Saint béni soit-Il, lui-même (de MoiMamach, véritablement), comme il estécrit : « Un homme n’apprendra plus deson prochain… car tous Me connaîtront(24) » et « ton Maître ne se voilera pluset tes yeux verront ton Maître (25)», dela manière la plus immédiate Mamach.

Notes1/ Yitro 19.1 - 2/ Rachi sur le verset - 3/ Début de lapremière Michna de Avot - 4/ Avot 5.1 - 5/ MidrachChmouel sur la Michna - 6/ voir Ramban au début deBéréchit - 7/ Chaar Hayi’houd VeHaémouna Ch.1 - 8/Texte de la Haggada de Pessa’h - 9/ Tan’houma Vaéra15 etc. - 10/ Sota 5a - 11/ Torat Haïm, Béréchit 20-1,etc. - 12/ Ps.84.8 - 13/ Midrach BaMidbar Rabba audébut de ‘Houkat etc. - 14/ Rachi au début de ‘Houkatetc. - 15/ Yerouchalmi Haguiga fin Ch2.1, LikouteiSi’hot début part.15 - 16/ Yerouchalmi au mêmeendroit etc. - 17/ Midrach HaNéelam Chir Hachirimdans Zohar Hadach etc. - 18/ Isaïe 9.6 etc. - 19/ SeferHaara’him Habad - 20/ Vayikra Rabba fin Ch. 32, etles derniers Dvar Mal’hout etc. - 21/ YerouchalmiYebamot Ch.1.6 - 22/ Chir Hachirim Rabba Ch1.4,Likoutei Si’hot part. 28 p315 - 23/ Rambam, lois de laTechouva Ch.9.2. Likoutei Torah Tsav 17a etc. - 24/Jérémie 31.33 - 25/ Isaïe 30.20

Récit

Une mission secrète escortée pard’extraordinair es miracles !

L’attaque de la centrale nucléaire irakienne fut l’une des opérations de prévention d’Israëlcontre l’ennemi. Aujourd’hui encor e, on peut ressentir la grandeur surnaturelle qui a investil’opération militair e pour préserver la sécurité des Juifs qui résident en Terre Sainte.

La mission fut organisée aprèsavoir été différée à plusieurs repri-ses, puis elle fut finalement réaliséeen fin de compte à la veille de lafête de Chavouot 5741-1981 quel-ques minutes avant l’entrée de lafête. Elle fut surnommée «Tamouzen flammes».Il s’avère que le bou-cher sanguinaire Saddam Hussein,que son nom soit effacé, avait déjàdonné le nom de «17 Tamouz»au réacteur nucléaire, afin de sym-boliser la destruction de Jérusalemet la brèche dans les murailles pourla seconde fois, que D.ieu nous engarde. Saddam Hussein se considé-rait comme l’héritier spirituel deNabuchodonosor l’homme quidétruisit Jérusalem…

L’histoire du réacteur nucléairedébuta cinq ans auparavant, bienavant son bombardement par lesforces aériennes.Dans le cadre d’un traité de colla-boration franco-irakiens qui futsigné en novembre 5735-1975, ilfut décidé que la France fournirait àl’Irak une centrale nucléaire pourcouvrir le prétendu besoin «d’exa-men de matériaux». La Franceselon le traité, sera responsable dela livraison d’uranium enrichi pourle réacteur et pour la préparation dupersonnel ; des physiciens, cher-cheurs, ingénieurs et techniciensnucléaires afin de porter le réacteuren situation d’activité. La collabo-ration entre Saddam Hussein et leprésident français M. Giscardd’Estaing était un secret d’état quine fut pas même porté à la connais-sance du parlement français.L’accord franco-irakien portait lessignatures du Dr Tarnenoux prochedu président français et de l’autrecôté Hamdani, proche du tyran deBagdad. Les français ont sur-nommé le réacteur «Osirak »mais chez les irakiens, il s’appelaittoujours «Tamouz1» et «Tamouz2»alors que le nom générique du réac-teur était «17 Tamouz».Le travail de préparation du réac-teur nucléaire fut tellement rapidequ’à la fin des années 70, la bombenucléaire était déjà envisageable etc’est ensuite que se fit jour la possi-bilité de fabriquer l’arme atomique.Les irakiens investirent toute leurénergie dans ce travail et la céléritéde sa réalisation dépassa toutes lesespérances. Ils ne se suffirent plusde leur relations avec la France ettout en s’activant de toutes leurénergie pour développer le réacteurdans des buts de destruction mas-

sive principalement ciblé versIsraël; ils prirent contact et négociè-rent avec des sociétés italiennes quiproduisaient des installations deséparation de matériaux radioactifs.En échange de l’aide et de la colla-boration avec l’Irak, la France etl’Italie ont bénéficié de quantiténon-négligeables de pétrole à tarifréduit voire gratuitement! Lesdeux états furent plus que satisfaitsdu projet, et apparemment, les cher-cheurs italiens touchaient déjà aubut, la fabrication de la bombe ato-mique.

Les chefs du gouvernement enIsraël suivirent avec inquiétude lesfaits. Personne n’avait plus aucundoute sur l’empressement des ira-kiens, ni sur le but du réacteurnucléaire qui prenait forme à unrythme accéléré. Israël entama un processus diplo-matique secret afin de dissuader laFrance d’aider Saddam Hussein. LaFrance repoussa les mises en garde,et décida que toute l’affaire étaitsous contrôle, que le réacteurn’avait pas d’objectif offensif.Israël tenta de prendre contact avecles chefs du gouvernement iranien,et plus spécifiquement avec le Chahqui en était le chef à l’époque (lesliens avec l’Iran étaient alors trèsétroits). Tout ceci afin de réduire leschances de l’Irak de fabriquer labombe atomique, mais Israël futsurprise de découvrir que l’Iran duChah était intéressée par son propreréacteur nucléaire…Lors de la réunion du gouverne-ment qu’organisa le premier minis-tre de l’époque M. Mena’hemBegin, en 5738-1978, fut démontrédevant les ministres, le processusd’accélération de la construction duréacteur nucléaire d’Irak par leschercheurs français et italiens. Lesresponsables des renseignement ontprésenté des estimations qui prou-vent que d’ici 5740-1980, serontterminés les travaux de construc-tion du réacteur y compris sa miseen activité de production nucléaire,voire de la bombe atomique.

L’estimation du service de rensei-gnement ne fut pas très loin de laréalité. Il se trouve qu’il restait peude temps avant que le réacteur nesoit mis en activité, et si Israël avaitattendu encore un peu avant d’agir,il aurait été impossible de bombar-der le réacteur car il aurait entraînéune incontrôlable destruction etentraîné la mort de centaines demilliers de civils, chose qu’Israël nepouvait se permettre.Ici et là continuèrent à s’ébruiterdes informations selon lesquellesles experts irakiens commençaientà étudier les questions nucléaires.Saddam Hussein ne fit l’économied’aucun effort afin de se procurerde l’uranium même au marché noir,tout ceci dans le but d’obtenir uneproduction nucléaire à la date fixée.En 5739-1979, une délégation fran-çaise se rendit en Irak afin de «clô-turer le dossier». Israël connaissaitles faits et les préoccupationsallaient croissantes car selon lesestimations, l’Irak atteindrait bienles délais prévus.Lorsque les efforts diplomatiquesse révélèrent être un échec, le chefdu gouvernement Mena’hem Begindemanda au chef d’état majorRaphaël Eytan de programmer uneattaque armée contre le réacteur ira-kien et de présenter les différentsplans d’attaque à l’échelon du gou-vernement.Au début des années 80 furent pré-sentées à l’échelon gouvernementaldes plans d’attaque de l’armée àl’appui de cartes tracées. Les pilotesde chasse subirent des entraîne-ments qui incluaient différents scé-narios, néanmoins il se trouve queBegin fut empêché de passer àl’acte pour raison d’état. Le sablierse remplissait doucement maissûrement. Enfin, Saddam Husseinannonça tout simplement ses inten-tions qui étaient: la destructiond’Israël, D.ieu nous en préserve. Onpouvait lire cette nouvelle dans lejournal « Al-Tora » publié àBagdad, où il était écrit : «Le peu-ple iranien ne doit pas s’effrayer duréacteur atomique d’Irak. Nousn’avons aucune intention de nousen servir contre l’Iran, mais unique-ment contre l’ennemi israélien»…Lors d’une réunion du ministèreisraélien près d’un an avant l’atta-que, alors que les discussionsétaient déjà bien avancées sur cethème, le ministre de la sécurité del’époque, M. Ezer Weizman, s’op-posa énergiquement à sa concréti-sation, or, deux semaines après

cette réunion il démissionna de sonposte.La première décision sur l’attaque duréacteur fut prise lors de la réunion ducabinet le jour du 18 Hechvan 5741(novembre 1980), six mois avant l’at-taque. Certains approuvèrent le pro-cessus et d’autres s’y opposèrent.L’entretien du Premier Ministre Beginavec le Ministre des affaires étrangè-res américain, Alexander Haig, ren-força la décision: « il n’y a pasd’échappatoire, il faut attaquer le réac-teur », déclara t-il, «il n’y a riend’autre à faire à ce sujet».A proximité de la date finale, les pilo-tes subirent un entraînement intensif.Pérès demanda à plusieurs reprise àBegin de repousser l’échéance dubombardement qui aurait dû avoir lieudepuis déjà un mois. L’argument dePérès fut que: bombarder le 10 maiétait de mauvais goût car c’était lejour des élections françaises!Ainsi fut différée la mission à plu-sieurs reprises, pourtant lorsquel’heure H. s’approcha, une date fatidi-que fut enfin décidée: le 5 Sivan(7/06/81) à la veille de la fête deChavouot, fête du don de la Torah,veille du jour pendant lequel la hainedes nations fondit sur Israël, et c’est àce moment-là qu’Israël allait pilonnerle réacteur atomique de l’un des plusgrand ennemis d’Israël que porta cettedernière génération.Aux fins de la mission, sortirent huitavions F16 dont la capacité était d’at-teindre des cibles lointaines et de sup-porter le poids de bombes de plusieurstonnes. Ils étaient accompagnésd’avions de chasse F15 qui serviraientde couverture. Le poids des bombesportées par les avions approcha les 16tonnes!L’escadrille prit son envol. Pendant cetemps, les membres du gouvernementse réunirent au domicile de Mena’hemBegin afin de suivre les événementspendant cette heure de vérité. Chacunpria pour la réussite de l’opérationconscients du fait que le taux de risquefut dramatiquement élevé.

Cependant, plusieurs jours avant l’at-taque, le Rabbi Roi Machia’h Chlitas’engagea dans des «actions célestes»dont personne ne percevait le sens.Mais après-coup, les ‘hassidim recou-pèrent les événements et découvrirentle lien.Les premiers signaux qui émanaientdu Rabbi furent distingués deux moisavant l’opération, lorsque le Rabbimobilisa les ‘hassidim aux fins d’écri-ture d’un Sefer Torah pour le méritedes enfants Juifs. Trois réunions ‘has-

sidiques (Farbrengen) se suivirent aulendemain l’une de l’autre. Le Rabbiles consacra à ce projet et donna desdirectives extrêmement individuelles.Un mois après, le Rabbi instaura unesérie d’actions spirituelles supplémen-taires, et demanda de les appliquerdans les heures et les jours qui sui-vaient. Il s’avéra par la suite, que cesactions furent réalisées à l’approchedes jours précédant l’attaque du réac-teur irakien.Des directives spécifiques les plusinhabituelles furent transmises lors dela réunion ‘hassidique du Chabbat quibénit le mois de Sivan, et immédiate-ment à la sortie du Chabbat furent dif-fusées dans un énoncé tout particulier.Le Rabbi demanda de publier unappel pour un jeûne de quelques heu-res fixé pour le mardi à la veille deRoch Hodech Sivan. Il en expliqua lebesoin, à cause de «l’instabilité dansle monde». Et la solution est: derajouter dans l’étude de la Torah, laprière et la Tseddaka, la charité, laTechouva (repentance) et le jeûne quiaideront à cela.Le Rabbi a même étonnammentdemandé, qu’à partir de Roch HodechSivan on devra organiser des rassem-blements d’enfants Juifs, et le Rabbienchérit et précisa que ces manifesta-tions seront aménagées sur des sitessacrés, au Mur occidental, à la cavernede Mah’péla, sur le tombeau deRachel. Les réunions d’enfants Juifsfont leur effet lorsque l’on entend leurvoix qui s’élève. De nombreux ‘hassi-dim Loubavitch se souvinrent à cemoment-là des instructions qu’avaitdonné le Rabbi à la veille de la guerrede Kippour, lorsque de même, à cemoment-là, le Rabbi avait demandéde réunir des enfants Juifs en toutendroit et aussi au Mur occidental,afin de «paralyser l’ennemi et le ven-geur ». Les plus intuitifs comprirentqu’il se passerait quelque chose, quel-que part.Lors de la fête de Chavouot le Rabbidonna de nouvelles instructions qui seconcentraient sur le fait d’accompa-gner tous les enfants Juifs dans lessynagogues au moment de la lecturede la Torah lors de la fête deChavouot. Et il insista sur le respectde l’amour du prochain lors des diffé-rents rassemblements.

La dernière instruction prit tout lemonde par surprise: « Il faut inscrirele plus possible d’enfants dans leSefer Torah pour les enfants Juifsmême avant la fête. Faire un effort detous les instants pour inscrire unenfant puis un autre enfant…» chosequi ne fut comprise que par la suite,lorsque juste à ce moment-là, quel-ques heures avant l’entrée de la fête deChavouot, les avions israéliens par-taient en mission dans l’espace aériende l’Irak pour bombarder le réacteuren phase finale qui produirait desbombes nucléaires incéssament.L’information fut instantanémenttransmise en Terre Sainte, et jusqu’àquelques minutes avant le coucher dusoleil, des centaines de milliers de‘hassidim était occupés à inscrire desenfants. En parallèle, des manifesta-tions furent organisées sur les sitessaints qui réunissaient des milliersd’enfants Juifs. Des actions célestesque le Rabbi expliqua: car seuls leurseffets avaient le pouvoir de rivaliseravec l’instabilité dans le monde.Dimanche, veille de la fête deChavouot 5741-1981, pendant l’aprèsmidi, l’opération « Opéra » futdéclenchée. Le premier jour de lasemaine était tout a fait idéal pourcette mission, tout simplement parceque les experts étrangers ne se trou-vaient pas sur le site. Le premier qua-tuor qui a dirigé l’opération fut guidéepar le lieutenant-colonel Zeev Raz.Les avions de chasse décollèrent del’aéroport « Etsion » vers l’Est endirection de l’Irak. Afin de ne pas êtredétectés, les avions volèrent à bassealtitude au maximum proche du sol.Les pilotes étaient confinés dans lescockpits s’activant aux commandescomme leur entraînement les yavaient habitué. Ils observaient cha-que détail pendant tout le parcoursavant la prise d’altitude qui précèderala grande plongée vers la cible. En 90minutes de vol les avions avalèrent lit-téralement la distance de 2000 Kmjusqu’à destination, narguant lesradars jordaniens, saoudiens et ira-kiens.C’était à l’heure du coucher du soleil.Le soleil était visible à l’orient lointainet calme. Le crépuscule annonçaitl’entrée de la fête. Des milliers deJuifs marchaient en direction des

synagogues alors que les avions s’ap-prochèrent puis furent enfin à porté detir. A 17h35 exactement, huit avionsF16 abordèrent leur plongée en direc-tion du réacteur en Irak et en un seulpilonnage détruisirent le réacteur ira-kien jusqu’aux fondations. En uneminute et vingt secondes furent lar-guées dix tonnes de bombes sur leréacteur irakien dans la banlieue deBagdad.Lors des enquêtes qui suivirent l’opé-ration, plusieurs questions furent lais-sées en suspens telles que: aucunavion irakien n’a pris en chasse lesavions israéliens, aucun missile sol-airn’a été tiré contre eux.Le sous-lieutenant Zeev Raz, celui quia dirigé le premier quatuor reçu unedécoration du Chef d’état-major.Lorsqu’il eut vent de l’enchaînementdes actions spirituelles qu’avait ins-tauré le Rabbi en parallèle aux prépa-ratifs des pilotes en vue du bombarde-ment, il vit enfin là une réponse à desquestions qu’il se posait pendant prèsde vingt ans.Une série de miracles accompagnacette opération: Les irakiens nedétectèrent point l’escadrille, et doncne firent pas feu sur elle. Une autrequestion se fit jour dans l’esprit deZeev Raz, comment se fait-il que leroi Hussein de Jordanie ait lui, repéréles avions israéliens à leur sortie ettransmit l’information aux irakiensque les avions étaient en route pourl’Irak et il ordonna même de transmet-tre la nouvelle en urgence au souve-rain à Bagdad. Concrètement, l’infor-mation n’a pas suivi son cours.Pendant l’opération, se sont présentésd’autres problèmes. Plusieurs bombesqui sont tombées sur le réacteur ontatteint leur cible mais n’ont pasexplosé. Ce n’est qu’une partie desbombes qui a explosé et détruit leréacteur.Un jour, Zeev Raz rencontra le RavGuidi Sharon qui était lui-même copi-lote. Lorsque le Rav Guidi lui fit partdes actions célestes qui avaient étéorganisée par le Rabbi, il dit qu’ilcomprenait à présent comment l’opé-ration s’était déroulée sans embûche.« Pendant tout le parcours» raconteZeev Raz «se sont présentés de nom-breux problèmes qui auraient puenrailler toute l’opération à laquellenous avons travaillé de longs mois.S’il n’y avait pas eu la ProvidenceSuprême qui nous avaient guidé dèsles premières minutes du décollagejusqu’à l’atterrissage, le réacteur n’au-rait jamais explosé»...

L’histoire de l’attaque du réacteur nesera jamais oubliée par le Peupled’Israël, mais il fut clair par la suiteque dans cette opération, le Rabbi aaccomplit sa part d’actions célestesafin de protéger le Peuple Juif àl’heure de ses tourments.

Extrait du livre «Un Prophète enIsraël» du Rav Raphaël ‘Hérouti

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Allumage desBougies

Chabbat Parachat Behar-Be’houkotaï

Jérusalem Entrée : 18h45Sortie : 20h00

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