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nm liwe—- ff 12,971 (-^b Pages) § (Vvtimts — PITlftft MJWATIFI — 5 Centimes (-4S:Fages) Tesdrcdi fOFêvrier 1917 Administrateur- Délépié-Géfant O. RAN DO LET ettones*, TEL. 10.47 aït, Rua Fontenelle, 3b L~:mzsz Télégraphique : RANDQLET Havr» Havre RÉDACTEUR EN CHEF J.-J. CASPAR - JORDAN Téléphojia > 14.90 Sécrétaire &énér?.l : TE. VALLÉS Rédaction, 35, rue Fonteneile - Té!. 7.S9 L TV N OOGJES Bureau du Journal, US. bon!' de St.rasoourg. L'AGENOE HAVAS,8, place de la Beurse, esl . seule chargée de recevoir les Annonces pour j{ v le Journal. LdPETITKAVKEestdéslgnêpourles AnneneesJatHdalreset IPpatss j AU HAVES A PARIS... OLGANE IIÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE Le plus fort Tirage des Jottrttaux de la Régioti AEQMNèïMENTS 9 Er. sa Fr. Le Havre, !a Seine-Inférieure, l'Eure. l'Oise et la Somma 1 Autres Département . . Union Postale Dns'nhor.neègatoment,SAUSFBAIS, dens tons los Bureauxdo Paste da Franco KSÊBBISS Trois Mois -ft BO o Fr. «O » Six Mois 4 a so SO Fr. 49 UNAH LE CONFLIT iriani-ifiierlcaln L'AUemagne continue sa politique pleine d'équivoqueet de m<-nsonges. On sail com¬ ment, par Tintennediaire dc M. Bitter, mi- öisire de Suisse, el Ic avail essayé de re- nouer, avec M. Wilson, des conversations au sujet de la guerre sous-marine. M. Hit¬ ter, ayant été invité è fonnuler par écrit ï'objet de sa démarche, déféra è cedésir. Le Cabinet de Washington fit connaitre alors qu'ii refusait tout entretien avec le gouvernement allemund tant que celui-ci n'aurait pas renonce auy termes de soa bloeus. II fit publier d'ailleurs et la note de M Ri Her et sa propre réponse. Le Cabinet de Berlin no s'est pas décon- certé. A l'usage du peuple allemund et dé ses alliés, il a fait publier par l'agence Wolff un démenti catégorique, rejetantsur RL Bitter toute la responsabilité de cette démarche avortée ; k l'usage des pro-Gcr- mains d'Amérique, — fort bien renseignés par les documenis publiés par M. Lansing, — il s'est contenté d'une rectiQcation trés alténuée il était dit que certains détails étaienl inexacts, maïs oil le fait principal lui-même n'étail plus conlesté. D'ailleurs, pour compliquer 1'ëquivoqne, le gouvernement de Berlin ajoutait que c la Suisse, sur Ia demande de l'Allema- gne, avail demandé si ies Etats-Unisélaient disposés k reconnailre le traité d'ainilié de 2799. réglant le statut des Allemands en Amérique, et vice-versu. » Et, en ef'fet, Ie Cabinet de Berlin a prié, après coup, M. Ritter de présenter, comme représentant de l'AUemagne, la revision du traité dc 1709. Do tout eet imbroglio de notes et de ra- diotélëgrammes, il importe de retenir cette dernière phrase de la note Wolff : « Comme il a été répétó par les milieux officials, l'AUemagne ne reviendra pas en arrière dans sa resolution d'arrêter comolèteinenl paria guerre sous-marine ies importations d'outre-mer de ses ennemis. » Telle est bien sa décision irrevocable. Et si l'on en croitles journaux allemands, ie voyage de Guiilaume II a Vienne n'aurait pas d'autre signification. Sans doute, dans les toasts éehangés entre les deux empereurs, on ne trouve au- cune allusion a la guerre, ni k la resolu¬ tion d'aller jusqu'au bout, ni aucune me¬ nace contre personne. Ces discours exal- lent seulement la fidéle unité et la solidité dc l'alliance qui unissent les deux pays. Mais cette visite s'est produite précisément au moment oü la guerre sous-marine devait ötre reprise avec une vigueur nouvelle, et l'insistance de la presse germanique ó sou ligner l'unité de vues des deux empires, les notes ol'ficieuses publiées k Vienne, après le diner de ia Hofburg, l'attitude de la Nouvelle Presse Libre, organe ofücieux du Ballplatz et moniteur des pangermanis- les, tout démonlre que le gouvernement de Berlin s'efforcede fairepartagera l'Autriche la responsabilité de la guerre sous marine. Et sans doute il y a réussi, car une note de rofhciel « Bureau de correspondence viennois » sur l'entrevue des deux empe reurs, se termine par ces mots : « lis sont absolument décidés è employer tous les moyens pour fiuir le plus rapideinent la guerre. » dependant, Ie vapour américain Lyman a été rencontré et coulé par un sous-inarin allemand, et voici que l'affaire du Yarrow- dale pread une tournure particuiièrement grave. Le gouvernement allemand refuse, en eflet, la misc en liberté des soixante-douze américains de l'équlpage de ce navire, aussi longtempsque les équipages des ba¬ teaux de commerce allemands internés en Amérique n'auront pas été relachés, Or.il faut observer que les équipages allemands n'ont pas été emprisonnés, mais simpie- ment mis en surveillance afin d'einpécher des aetes de destruction ou dc sabotage. Et c'est pourquoi le departement d'Etat a Washington a envoyé ou Cabinet de Ber¬ lin une note énergique réclamant l'élt^gis- sement immédiat dc tous los citoyens amé¬ ricains détenus contre tons droits. Autant que jamais, les Etats-Unis et l'AUemagne sont « au seuil de la guerre ». Ta. Vallés LcHtiBitfciüsBienf desregions enualilss Les agents américains de la commission de ravitailloment ont été invités a quiuer leurs cosies dans Ds dfpinemeuis franc is e ivahis. I.'agauca da la C.R.G., a Rotter- data, continue ses opt rations. Des mes tiras sont prises par ie gouvernement francais pour cblrnir. qoe desagents neutras — pnn- cipalement espagnols —snient p oioptement scbst'taés anx agenu américaias dans le cord de ia France. LE PAIN D'ÉPICES I! viect d'ê're décidé que Ie pain d'épices devait êt'e co tsidêré comme étsnt de ia ja- tisseii-. Eu consequence, il sera desormais mt i dit d'sa venüra les marlis et mer- eredis. LE PARLEMENT Impressions de Séance (DB NOTXXOORI5B3PONDABIX PARTiaUI.IJCR! Lareforms desentrepals ofIeprojef dos zones franchas.- LesPrmissions rniiiiaittis de24 Eieüies Paris, IS fêvrier. Ls séance de Ia Ghambre, présidae par M Ab-I, vice-présids t, s'annonee comme de «-an, être fort paisibla. li n'y a, d i reue, uue fort pan di dapu es presents au ruomant d ' la lecture dn procés-verbal de la précé¬ dent® séauc-', dunt l'adopiioa ^ne donne lieu é ancuu iocident. M. Ribot moiif.9 k Ia tribuae et dépose deux pr..j ts de loi. Notre grand argentier paris h voix telta- meut basso que !'rm ne satit pis d >qaoi il est quett ou. Oa comprend .seiileroen qu'it s'agit de la Buique do France, de millions on de milliards. Nous ne tarderons pas a être fixés. Pms le président met anx voix plnsienrs propositions ou pioj -ts de loi pi e s cu ête do i'ordre du jour tous réservé qu'il n y ait pas deb t. L'un d'eux miintient l'nsnfruit légal au profit du conjoint survivant en cas de nou¬ veau manage. (Ja autre a pourobjetde fixer a ï>0/0, pendant ia durée de la guerre, te taux maximum da l'mterèt d«s prêts sur ti tret conseutus avaat la mobilisation. Deux a«irp>, concernaut la marine mar- chsndp, abroge- t las articles 4 et 6 do Ja loi du 19 tuii 1866 ou modifient les conditions de nomination des c»pit in es au lor-g cours au grade d'enseistoe da vaissean. L'honoranat du gia ie est créé pr.uir Ips ' fli iers' oe ré¬ serve et anxiti tires des différeuta corps da t'armée de mer. M B rge on continue son discours, com- tnonca mardi, sur le projet de loi relatifa la rétörme du régime des n rei ó s. L'orateur préconlse les zones franches qoi, d'; prés mi, 8<>otde nature Afavorber et & deveiop- per notre commerce d'exportatioa. La creation drs zones franches était, fai semble-t-il, en g»rme dan.s la resolution votée par la Ch.n.bre lo 30 mars 1910. M Bergeon in-uie sur ies avi.nt ges re- cueiitis par les po ts da Hambourg et dc B ême, dont la franchise ne nmt en rinn au 10 ctionnement de leurs entrepóts. A ce moment, nous apprenons que s sont its projfts da loi déposés par M. Ritiot et qui, bien qoe ne figurant pas A i'ordre du jour, sont immédiatemoiu rapportés par la Commission du budget et votés. Lo premier do ces pri jets noüfie la con¬ vention passée entre ie niinistre aes finances et Ia Banque da Fr nee, aux iermes de la- quebec téiabii saraent est antorisé k por¬ ter k 20 milliards la limite d'èmission des Jbiliets et Aélever d 9 a 12 mibiaras Is mon- taot de sis avances é l'E at. Le sic old projet autoris® Ie minïstre k émetire des obligations de la D f. ine nado- nale a 20 ans. Jusqu'iei, ces obl gations avai nt une durée muximnm de 10 aus. M. Ribot fait adopter éga ement un projet, suiiprimant enlièrement ie maximum de S 0/0 pour Ia garantie d'Eiat en mauère d'as- 8urance contre les risques maiitimes pen¬ dant ia guerre. M. Bergeon, duns Ia snif® da Ia discussion concernant ia réf >rme du régime d«s en¬ trepots, a demaodó ie renvoi h Commission du projet, salon lui incomolet, et il a invité ie gouvernement a prendre l'initiativ® d un sys èdie d - z >iiC3franches qui a donné des résultats dans les pays drangers. — S iCiioiis, dit-il, combaüre Ia concnr rence de nos rivaux. Inargurons un« poli¬ tique hardie. A cette seuie condnion, la guerre nous aura été salutaire dans notre vit" économique. M ie due de Ia Trémojll® préfère I® ré¬ gime des entrepóts aux zones <r nch -s, anx- ouelies les ag«icuiteurs no stmt pa3 faïofi- bles. M M°ll® voters Ds lois proposes, msis il désire que le regime d -s z •«< s franches so t aussi examiné et etuoie. No>re puissine® économique a besoin de respirer et dLgir. M. Landry se déclare pariisan des zones franches qui faciliteront léxjxiriation. La Chambre ne doit pas onbli-r nue tout ce qui pout déveloupvr nos ventcsè t'etia gr nous est recommande par un interöt nano- aal impêrieux. M Ba'rthe, rapporteer, défnid natnrells- ment I®projet p«i qu'il est s.srti des delibe¬ rations do Ia Commission. S< des fraudes som com mi es, eiies seront poursuivies, car 11faut imiiütenir noire bona® reputation commercial. La suite de Ia discussion est renvoyé® a mardi. La seance s'est terminée pr.r I'intprpella- tior, de M. Varenns, relative k la ciic.dair® du mmistie de la gnerre, inieroisant ies permissions de 24 heures, quand ies miütai- res sont obliges de prendre ie chemin de fer. M. Varenne demande au minis re de la guer¬ re qu'il retire sa circulaire, ou tuut au mo.na la mod fia. M R né Bjtnard iodïque que Ia mesuren été p ise è cam.e aosdiflicultés de tfein>ports sur ia voie io'ree et sur i'intitation du mi- mstre compéienr. Ii ne s'attit pas d'int «mic¬ tion absolue, mais d'nue limitation. Les per¬ missions s<nt accordées dana tous ies cas intéressants et». nies. M- H -rriot fournit diversss explications sur l'obligatioa de suppr mr ars permis¬ sions, piincipaieractit a cause de ia cri-e <ui charbon et pour rédmre influence des vayag urs miiitaires, notamment vers les gr.iüd' S villes. Après diver; es interventions pea impor- tan es, car b aucoup de déput>s dér bent dire 1. ur mot dans one question qui 1 ur semble éiectorale, i'orcre du jour p ir sim¬ ple est vote par 324 vols conti e 143. S>»rla drmande de M. Ilerriot, ie proj^t rel.»til a Iavance de i'heure est placé en èia da i'orare du jour üa la séance uc de mam. Th. Henry. LES FEKMSS VOTERONT-ELLIS ? La Commission dn suffrage nniveree! é Ia Chambre s'est prononceem rcred' *n faveur oe l'odm ssion des f- mm s au moit de vote pour- ies elections ru<imcip «» et de leur éiigibilité aux coaseits aiuaicipaux. COMMUNIQUÉS OFFICIEUS ©S3» 2T TJT 131 COMMUNIQUES FRANCAIS Paris, 15 fêvrier , 14 keuren. ' Entre l'Oisa et 1'Aif.ae, nous avona exéouté hier, dans lajournóe, un coup de main sur les traochées ennemies dar.s la rég-ion de Puisaleine. Nds dé- tachemants, poussant jusqu'a la deuxièma lig-no allemand;?, ont bou- leversé I<s ouvrag-es et Is eb^is, et iufligé des partes seusibles a l'ea- nsmi. En Champagne, la lutte d' artillerie a été violente pendant la nuit dans le sectear de Tom be. Assez grande activiié des patrouil¬ les dans la region de Vailly ,a VÉst de Soissons, au bois des Caurières ei an S/ui- Guest de Chauvoncöurt. A'ous avons fait des pi isunniers. AYI.\TIO\ Hier matin, un avion allemand a éte abattn en combat aêrien ; l'appa- rcil est tombé en f lammes daps nos lignes entre C nis tines et Morey, dans la Meurthe-et- Moselle. Dans la jour nee du ij et la nuit da itj au i5, nos escadrilles ont bombarde avec succes les terrains d' aviation dp Colmar, dc Varennes et de Malign}', la gare d'Athies et les bivouacs de Curchy gj S3 Kettrcs. En Champagne, deux coups dc main executes sur les tranchees alleman des, l'un au Sud de Sainte-Marie-d- Py, Vautre a VOuest de la butte du Mrsnil, nons ont permis de rarnener vingt-six prisonniers, dont un ojji - cier . L' artillerie enhemie. eontre-baHae éncrgiquemmii par la nótre, a violem- ment bombarde, au cours de l' après- midi, nos positions du sectear dc Mai • son*-de-Champagne. Sur la rive üroite de la 3Ieuse, latte d' artillerie assez active dans les regions de Hardaamont et de Vaux. Une tentative allemande sur un de nos postes avancés a Bezonvaux a échoué sous nos jeux. V En Lorraine, notre artillerie a exé- cuté des tirs de destruction efficaces sur les organisations ennemies de Lonvigni, de Coincourt el de Bezange. AVIATION Un avion allemand a été abattn hier vers Beaumont (ALease) par le tir de nos canons spéciaux. j IS fêvrier, 23 li. 40. L'ennemi a fait exploser, ce matin, an Sud de Bouchavesnes, un Jonrneaa de mine qui ne nous a occasionné au- can dégdt. Lm coup de main exócntê avec sue- cès, la nuit dernière, au Nord-Esl de Gfiiedecourt nous a permis de faire un certain nombre de prisonniers. Des détachements ennernis ont été pi'is cette nuit dans la zone intermé¬ diaire, au Nord de Loos et. a l' Ouest de Messines, sous le feu de notre ar¬ tillerie et de nos mitrailleuses. Lis se sont dispèrsés . lm troisième detachement, qui avait réussi d atteindre un de nos postes au Nord-Est d'Ypres, a éló rejeté avec pertes. L' artillerie a continué de montrer une grande activiié au cours des der- nières vingt-quatre h cures en de nombreux points du front, notamment au Hord de la Somme et dans le sec¬ tear d' ïpres, une nouvelle explo¬ sion a été provcquée dans les lignes allemandes. Nos aviateurs ont jetê des bombes dans la nuit du i3 au ij et dans la journée d'hier, sur un certain nombre de points d'importance militaire dans les lignes ennemies. Au cours de ces combats aériens, un appareil allemand a été détruit, deux autres ont éte contraints d' alter-' rir avec avaries. La des notres a été abattn, deux auires ne sont pas ren- trés. _____ COMMUNIQUÉ BELGE 15lóvrier. En deux endroits, au Sud de Dix- milde, des parlis allemands ont tenté la nuit dernière des coups de main contre les postes beiges. L'ennemi a été disperse par les Jeux d infanterie et d' artillerie beiges. Au cours de la journée, hitte d'ar- tillerie continue sur lout le front beige. COMMUNIQUÉ lïALiil Rome, IS fêvrier. Nons avons reponssê une tentative d'atta- que dans ia zoue de Sober (Goritzia). Activiié d'ariiliersp. Nous avons öispersó des detachcmeats k i'Eit ds Yerloiba. CCMMUIIQUIS RÜSSIS Peirograde, IS fêvrier.. Sur la front occidental, dans- la régioa da village de K b rowtre, k 2S verstes au Sad- Est de Ziotschew, après un bombardement de plus de deux heures, l'ennemi a atiaaaé nos positions. La ictto se posirsnit. Duns las Carpathes, tempêtes de ncige, retrograde, 43 fêvrier. Nos avions ont bombardé les dépó s et la gare de Powiirsk, aicsi quo ia gare de Roden- Pms, ie baurg da Livengof, les villages Wdleika et Syalitza et la garo da Radziwi- IOW. Trois avions enncmis ont été forcés d'at- terrir dans les positions ennemies. Le pilote franc 's Bevoiiisseau a abattn un appareil allemand qui est tombé dans nos positions, au Sud Oaest de Byrlst. San pilots a éte tué. DUSLESJALKANS COMMUNIQUÉ FRANQAIS . Ssionique, 43 fêvrier. Uae corstre-atteque itaüenne sur la cota 1050, a i'JEst de Paral vo, nous a permis de reprenüre l'ensembie des tranchées pax-dues. Uae contre-attaquo ennemie, dé- clanchée eet après- midi, a étöcompiè- teraem ropouseée. p ■. r t «» nlDmnndss tTkiiS TSS jouraées des 12 et 13 sont impor- t&ntes . Sur le reste dn Jront, activiié dc l' artillerie. miATIOmiTANNIQUE L'aUctqu© da Bruges (Communijsé dc l'Amirauté) : Londres, 15 fêvrier. D?ns l'altaqn® fiïectnée par nos aéropla- nes navais sur lo port et les vaisseanx da Bruges, un pouls considerable de bombus a éiè tancé avec des résultats des plus effica¬ ces Tons ies puotes sont rentrés indemnes sauf un. Pendant Ia reconnaissance da 42, en Mêdi- terrané; orienfaie. un de nos aéroplane.3 fut abattn p ir on Fokker. Le pi ote et l'observa- teur ont été captusós après a britié i'ap- pareil. Un autr® Fokker fut abattn par un avion de chasse k une portéa dc cinquaute me¬ tres. ■mi Guiilaume II rentre h Berlin A.msterd6ïn,15fevricr. On annonce de Berlin qua ia kaiser est arrivé dans la matinee dans la capital®, Te¬ nant de Vienna. LAGUERRE SOUS-MARINE Madrid,43 furrier. Le vcilier anglais Percy-Roy a été torpiüé. Londres, 45 fêvrier. Le voitier Eudora a été coaié. L'Eiplosioi fisStïTille-süf-SaöEê Voici, de foürcc ofBcie'le. qnotquas renseiffBc- mr-ntscuniplCuientaiies sur 1", xpiosion dc Neu- ville n»r-?nóue que nous sigualioas bier en btr- mèïi M ure : i La poudrrrie do NtnvH!s snr-S >öne, a dix kilométres da Lyon, a été detruite après pin- sienrs nplos ons provoquees par l'incondie qni s'est oócl iré, mercredi matin a 10 h. 43, dans ies atebers. Trois cents ouvriers y Iravaillsient è ce moment. Le norohre des morts n'a pa en¬ core être étjibii. D.x blessés sont dans un état desespéré. I.'s drjiats matériela causes daus Ia ioca- lité s nt importants. L'enquêie n'a pn déterminer les causes dn simstre. D'sulre pari, lo correspondant du TempsS Lvon a télegrapnió hier : A la poudrerie de Nsnville-snr-S öne, les explosions^uccessives ont eropêché de com- bittrelefen qui s'était déclare aussi rapi- ucment qu'il t üt é'.é possible si c'eüi été nne autre usiue. Toute la nuit ies sapeurs ont inoodó les trois principaux foyers de l'in- cendi® et, cs matin, i!s commencent les travaux da déblaiemoat. Toates los antori- tés creiies et miiitaires sont sar les lieux da sirustre. Lyoa, 45 fêvrier. Jnsqn'a présant on compte quatre bieesés aysnt succombé et trois disparus. Ua homm® et une fomma carbonisés ont été, en out re, trouvés. Sor tos 52 bla:.;- \ 45f?iit o'V'nts l'gère- Vic t. LA RUPTURE isetle LES ÉTATS-ÜNIS La Tension augment© Ou télégraphie do Washington an Times qu'au cours du Couseil qui a en !i?u iner- credi, le Cabinet a décidé de prendre une attitude éuergique an sujet des m rins du YarrowDie retenus prisonniers en Alle— magna. Celt® decision et li dóclaration clfic'elle faite par l'Aliemagns qn® les uavires centres cou raisnt ea ca moment ieurs derniöres chmces do quitter la zone do guerre sans être inquiétés ont encore angmenté la ten¬ sion dss rapports entre ies Ecats-Unis et i'Ai- lsmagne. Cells-ci s'gggravo encore par l'attitude me- nactcie do i'AIIemagne qui declare dans une no ie officielle : « La ..guerre sans restriction contra toot® circuiation dans ies zones inlerdiies est ea pleine vignenr et no sera atténué® en an- cane cireonsiance. » Oil attendrnit un nouveau Message de AÏ. Wilson Oa télégraphie da New-York an Duly Chronicle que le president Wilson a travailló ton o la unit do mardi a mercredi jas qu'au petit jour. Si est parfaitefhent possiblo que, dans quelques hearea, ii adressaun nouveau message an Congrès, demandant ies poa- voirs nécessaires pour rompre le brècus im- pesê par l'Allemagno aux ports américains. La Question de i'Armement La question de l'armeiasnt des navires marchanas a été discutée, le 43, par ie cabi- nft. Bien qn'aucune communication n'ait été fciite offieielieiuent. on croit savoir, dit ons note Havas, qu'nns division s'est mani¬ festé® dans le sein da Cabinet, deux ds ses membres craignant quo i'armement nc soit uue provocaiion i una attaque alle¬ mande. Le président Wilson devra trancher cette question. On croit qa'ii est favorable k i'ar- -mement. Les Anisïricriïns resits cu Turqiuc Le Département dss affiires étraagères k de nouveau demandé 4 M. Erèins. ambassa¬ deur des E'ats Uais k Constantiaople, des non velles dos citoyens américains retenus en Asis-Mineure par Ies Tares. Aucane nouvelle n'etant parvenu®, on a de vives mqniétudes sur le sort 'des nr.tio- naux do i'Union. Assurances amicales du Japon Les Daily News apprennent de bonce sour¬ ce de Washington qua des assurances, d'an caraciöre eminsmment favorable, ont été recues do Jjpon, dans ia cas ies Etats- Unis pai ticiperaieut a la guerre. On pent s'atteadre è nus declaration offl civile a ce sujet, car elle fortifiera l'opinion pubiiqne dans l'E4 des Emts-Unis et dissipe- ra ie dernier vestige d'cqtposiiioa it la luita aux cöiés des ailiés. Le depart du comte Bernstorff fs Frederic Wlh est parti mercredi, it 4 h. 40 da 1'aproj-m di, emportant ct son bord le comte et la comlesse Bsrnstorfi et 213 passagers, dont M. von Wiogand, jour¬ naliste germano-américain, qui rsnira en Alleai3goe. Des mesares d'ordra execptionnel'es avaient été prises snr le quai de départ de Iloboken. Le ministre d® Suisse, M. Ritter, qoi était venu dire adien au conite Bernsio-ff, a été déteno par la police, qui ie prenait pour an Ai emand, jusqu'k ce qn'il ait pa étaöiir son identité.' M. Heinrich Albert, le conseiller li- n»ncier de M Domburg et directeur d3 la piopagande ademaude anx Etais Unis, est également parti sur le Fréde<w \VIII, aiusi que fa (err,rue du chargé d ailaires d'Antri- che-Hongrie è Washingion, et M. Wolff von lgel, ancien secretaire de l'attaché allemand von Faoen, qui était en liberté sous caution de 20,000 dollars è raison de l'affaire dn complot visant k la destruction du canal Weiland. Sa caution est arsnaléea cause de son dópart sous la piotection da comte Bernstorff. Avant de s'embarquer.Ieeomfe Bernstorff, aprè? avoir posé queique3 instants devant ies objectifs des opérateurs de cinématogra- phe, a causé avec queiqaes rédacteurs amé- r.caias. « Je n'ai jamais menli a nn jonrnalhte de- pnis mon arrives k Washington, a-t il decta- ré. Tout ce que je leur ait dit était aussi vral que TEvangiie. » Le eorate Bernstorff a aj'cuté qn'il gardait la ferme espoir que ia guerre serail évffêe et qne ies relations entre i'Aroénque ei.l'AUe¬ magne redeviendraient bissntöt cordiale? et amiceles. Des agents du gonvsrnement américain, au cours d'une perquisition a bord Un Fréié- ric-Vlll fairè dans l'intéiêt rie Ja neutraiité américaine, ont découvart p'usienrs cectai- nes de livres de caoutchouc dissimulées. Ce caoutchouc a été c/nfrequé. En oatre, de nombreux revolvers tronvés sur les vovagaurs ont éió remis an capitaiae, qui les raidra anx passagers a la fin du voyage. Commentsnt la départ de l'amb. ur a!ien>and, te New-Y-ak World dit : Au del» des esux territoriales il cera prolégé pir les murines da France et de Graniie-Breta- e'no; suns ia courtoisie dé ces deux prsnde.sna¬ tions, it r»e pourrait pas navigiicr c.o süieiê pi n- dact uno hruro au deis de Ssndy Ilook Q lelies peuvent être ses rütlcvous pendant ce voyage ? 41sail qu'aucun port s!l»«mandnelui est ouvert et qu'aucun payire allemand, a la surface, ne vieadra lui souhaiter la bienvenue. It sait qu'il doit ia vie et la liberté aux cacons de l'ennemi. Ola c'est lil majestö et t'élégance du Ia loi que l'Allctuiigttedéfie et dénie a ia face du monde. tisfaction ea AHemagne, dans de combrens: milieux, aggrave seulement la déprc3.sion. Des gens qui, autrefois, acceptiient sing murronrer to dogme da I invinclbilité alle¬ mande, critiqueut onvertoment l'amirau.é, comprenaot qne des sous-marms ne peu- ve»it pas ré'Juir? l'Angleterre. Aussi, la déci- s o.n dn gouvernement, qui aliène ies neu¬ tras, est viveraerit commentóa, et la kffser n'est pis épargné. - On attend toujonrs b^anconp dn msréclial von Ilindmburg, bien qua lo ponpio-se da- manue avec inquietude pourquoi Hinden¬ burg consacre toutes les forces au front oriuntai, alors que ie danger est msnacjut it i'Ouest» Oa entend fréqnsmment des gens affirm» sans crainte lenr désir de paix. La cra uts croissante de l'Angleterre s'ajoato au senti¬ ment da tatigns de ia gaerre." L'AUTRICHE Note oificicuse autrichiennp L'offlcieuxiiure.au da correspondence vicnoofs P'iibiiola nouvelle note que voici : Le3 jonraanx anirlcliians, commeutant è nouveau la visite de i'empersur d'Af 'oinago# a Vienne et la situation crééa par la gum-re sous-marine ii ontrance, déclareat quo la décision ptiie par les paissancss centrales afin do terminer ia guerro promptenaent Dar les moyens los plas cfüoaccs est iavanabie ; ellc rsstera invariable même si l'Amériqa© ch-rch.; a poasser a l'extrètne ia situation creée a l'ompira d'Allemagne par ia ruptur© des relations dipiomatlques. Uue note du Erdsil a l'Autfichs Le chargé d'affairesdu Bró*il4 remis au minis¬ tro des affaires étrangères uae nolo suivante o* ii est dit, notamment : « Le gouvernement Ddéral déclare qu'il ne pent recoanaiire comme effeclif !o blo¬ eus qui vient d'etre décrété sobitoment, at cela tant a cause des moyens employés -poor róaliser ceblocus, qa'ea raisou da son êten- due. Da plus, paree qn'ancune limitation n'cst prévue, même na avertisssment p-éa- lab'e ons »uvireo nontcav, ot qu'oa aninnoa l'emp'oi de tous Ie3 mojrens da co.mb.jt. Un tel bloeus n'est ni régulier, ri e-EPictif. II est contraire anx principes du droit et aux deci¬ sions prises en vue das operations miiitaires de cette nature. » Le gouvernement brêsilien, malaré Ia vif'et sincère désir d'éviter les difficaités avec les nations amies, ac'.ueliement ta gaerre, effime qn'H est da son devoir protester contra ca bloeus. » L'ALLEMAGNE La depression s'nccenfue On annonce qne la campagne sous-marine I san restriction, loin de provcquer de la sa- j xons de bioea3. L'ATTITODSJSS EE0?EBS Is Chine affirms soncomplet aucord avechi Whoa Daas sa riiponse au président Wilson, Ie ga» veriiemcnt cbiaois s'exprime aiasi : Da mêma qu'au président das Etats-Unis, il répugno an gouvernement chiaois do croire que l'AUemagne matte réeüemeat ea pratique les mesures que, si o.i n'y f lisait pas opposition, tendraient é intro tuire de nonveaux principei dans le droit da3 g-ns. La Chine, approuvant les idéés de ia note américaine et s'a3sociant forniemant avec les Etats-Unis, a suivi line ligae de conduite analogue en protestant éaergiqaement coa- tre los nouvafles mesures de b ocus. Le gouvernement ehinois se propose anssl d'adopter a l'avcnir telle ligue da conduite qu'il jugera nécessaire pour la défease des principes de droit international. Le gouvernement protesta done énergi- uuement contre les rnesures annoncées io fêvrier par I'AIIemagne et exprime ie 6incère espoir que, par respect pour les droits des neutres et poor le maimien des relations amicales entre les deux pays, les mesures en question ne seront pas ia ses ea pratique. Si, contrairement fi sou attente, sa protes¬ tation demeurait sms <flet, Ia Chin?, a soa profond regret, se verrait coniramto de rompre les relations diplomaiiquoa oxistaat actuellemsnt entre les deux pays. Séance secrète su Parlomsnl Danoss Le Rigsd id d'iuois uétö convoqoéen séance secrète mercredi. Le ministre dss affaires étrangères fera un rapport de la situation poiihquo et éeiairera ia question de l'expor- tation danoise. ' nu., win ii m LAGUERRE JOÏÏMARINS l.e cas du « Lyman-.^.-Law » C'est drèidéroent bi-n dn Lyrian-S .-Lam qa'ii s'agit dans la dépêche quo nous avons publiés hier. Ce navire serait seaiement ua schooner. D'après m télégrammo da Washirg'OH, le consul américain de Rome a transmis na rapport disant oue selon una source officiel- le italienne, Ie Lyman-Si.-Law a été iucendié par une bombe lancée par tin sous-maria aütrichien, leq ei n'arborait aacun pavil¬ ion . D'anlre part, nne dépêche laisse entendre que le Lyman-M Law n'ourait été toipilit qu'apiès avertissemenl. L© Caoitaine du « Thor-!! » a bord d'un Sous ii/farin allamnnd D'après une dépêche Wolff, le sous-ra »ria allemand qui a couló le vapour d.nois Thor II a pris a bord 1®capibiirte du navire, ai'isi quo sa femme et soxi ills et ies a eni- menes en Aliemagae. Navira coulé Le vapeur Inis-lEw n-UenAa é'.é conlé. y- Un Vapeur danois échappa t! Un vapeur danois est arrivé, le 13, d® B'!» iimore a Copeishsgu'1, après avoir y; s:

Havre · 2017. 3. 23. · a LePetitHavre—Vendredi16Février1917 &&e55ja&9Es:-& L'arrivéedsM.GerardèParis M Górar-5, ambassadeur des Eiats-Unfs 4 Ba. lin. est armé hier matin

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  • nm liwe—- ff 12,971 (-^b Pages) § (Vvtimts— PITlftftMJWATIFI— 5 Centimes (-4S:Fages) TesdrcdifOFêvrier1917Administrateur-Délépié-GéfantO. RAN DO LET

    ettones*,TEL.10.47aït, Rua Fontenelle, 3b

    L~:mzsz Télégraphique : RANDQLET Havr» Havre RÉDACTEUR EN CHEFJ.-J. CASPAR - JORDANTéléphojia > 14.90Sécrétaire &énér?.l : TE. VALLÉSRédaction, 35, rue Fonteneile - Té!. 7.S9L TVN OOGJESBureau du Journal, US. bon!' de St.rasoourg.L'AGENOEHAVAS,8, place de la Beurse, esl .seule chargée de recevoir les Annonces pour j{v le Journal.

    LdPETITKAVKEest déslgnêpour les AnneneesJatHdalres et IPpatss j

    AU HAVES

    A PARIS...

    OLGANE IIÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUELe plus fort Tirage des Jottrttaux de la Régioti

    AEQMNèïMENTS

    9 Er. s a Fr.Le Havre, !a Seine-Inférieure, l'Eure.l'Oise et la Somma 1Autres Département . .Union PostaleDns'nhor.neègatoment,SAUSFBAIS,dens tons los BureauxdoPaste da Franco— KSÊBBISS

    TroisMois-ft BOo Fr.«O »

    Six Mois

    4 a soSO Fr. 4 9

    UNAH

    LE CONFLIT

    iriani-ifiierlcalnL'AUemagne continue sa politique pleined'équivoqueet de mqaoi ilest quett ou. Oa comprend .seiileroen qu'its'agit de la Buique do France, de millionson de milliards. Nous ne tarderons pas aêtre fixés.Pms le président met anx voix plnsienrspropositions ou pioj -ts de loi pi e s cu êtedo i'ordre du jour tous réservé qu'il n y aitpas deb t.L'un d'eux miintient l'nsnfruit légal auprofit du conjoint survivant en cas de nou¬veau manage. (Ja autre a pourobjetde fixera ï>0/0, pendant ia durée de la guerre, tetaux maximum da l'mterèt d«s prêts sur titret conseutus avaat la mobilisation.Deux a«irp>, concernaut la marine mar-chsndp, abroge- t las articles 4 et 6 do Ja loidu 19 tuii 1866ou modifient les conditionsde nomination des c»pit in es au lor-g coursau grade d'enseistoe da vaissean. L'honoranatdu gia ie est créé pr.uir Ips ' fli iers' oe ré¬serve et anxiti tires des différeuta corps dat'armée de mer.M B rge on continue son discours, com-tnonca mardi, sur le projet de loi relatifa larétörme du régime des n rei ó s. L'orateurpréconlse les zones franches qoi, d'; présmi, 8otde nature Afavorber et & deveiop-per notre commerce d'exportatioa.La creation drs zones franches était, faisemble-t-il, en g»rme dan.s la resolutionvotée par la Ch.n.bre lo 30 mars 1910.M Bergeon in-uie sur ies avi.nt ges re-cueiitis par les po ts da Hambourg et dcB ême, dont la franchise ne nmt en rinn au10 ctionnement de leurs entrepóts.A ce moment, nous apprenons que s sontits projfts da loi déposés par M. Ritiot etqui, bien qoe ne figurant pas A i'ordre dujour, sont immédiatemoiu rapportés par laCommission du budget et votés.Lo premier do ces pri jets noüfie la con¬vention passée entre ie niinistre aes financeset Ia Banque da Fr nee, aux iermes de la-quebec téiabii saraent est antorisé k por¬ter k 20 milliards la limite d'èmission desJbiliets et Aélever d 9 a 12mibiaras Is mon-taot de sis avances é l'E at.Le sic old projet autoris® Ie minïstre kémetire des obligations de la D f. ine nado-nale a 20 ans. Jusqu'iei, ces obl gationsavai nt une durée muximnm de 10 aus.M. Ribot fait adopter éga ement un projet,suiiprimant enlièrement ie maximum deS 0/0 pour Ia garantie d'Eiat en mauère d'as-8urance contre les risques maiitimes pen¬dant ia guerre.M. Bergeon, duns Ia snif® da Ia discussionconcernant ia réf >rme du régime d«s en¬trepots, a demaodó ie renvoi h Commissiondu projet, salon lui incomolet, et il a invitéie gouvernement a prendre l'initiativ® d unsys èdie d - z >iiC3franches qui a donné desrésultats dans les pays drangers.— S iCiioiis, dit-il, combaüre Ia concnrrence de nos rivaux. Inargurons un« poli¬tique hardie. A cette seuie condnion, laguerre nous aura été salutaire dans notrevit" économique.M ie due de Ia Trémojll® préfère I® ré¬gime des entrepóts aux zones portssur ia voie io'ree et sur i'intitation du mi-mstre compéienr. Ii ne s'attit pas d'int «mic¬tion absolue, mais d'nue limitation. Les per¬missions ss dér bentdire 1. ur mot dans one question qui 1 ursemble éiectorale, i'orcre du jour p ir sim¬ple est vote par 324 vols conti e 143.S>»rla drmande de M. Ilerriot, ie proj^trel.»til a I avance de i'heure est placé en èiada i'orare du jour üa la séance uc demam.

    Th.Henry.

    LESFEKMSSVOTERONT-ELLIS?La Commission dn suffrage nniveree! é IaChambre s'est prononceem rcred' *n faveuroe l'odm ssion des f-mm s au moit de votepour- ies elections ru

  • a Le Petit Havre — Vendredi16 Février1917&&e55ja&9Es:-&

    L'arrivéedsM.GerardèParisM Górar-5, ambassadeur des Eiats-Unfs 4Ba. lin. est armé hier matin 4 Paris 4 7 h. 35.avfc Mine Gerard ct tout le personnel dei'ambassada, eotnpreiiant environ 80 per-sonnes.A l'arrivée a Paris do train spécial que laBomposnte P.-L.-M. avaitmis a la dis osi-tion de i'auibiSfadenr ct de sa soit'-, M. Ge¬rard. saurian!, ct Mine Gerard, trés simple,sent aceuf iiiis 4 la drscente de tear w gonr>;.r M. Sh.rp, ambassadeur des Eiats Urns aP ris, ei p r M W-.Miam Martin, directeurdu pro'ocole, repreieatant M Briand, pré-tideat du consci),aii&istra dcs a fir ires étrac-gères, et qui fetiradresse qoeiquts parolesüe cordiale bimveiiuo.Dans la matinóe, M. Gerard s'est re di 4l'amhasrade «!?? - uf F"'T' sVsl vailiainment è) a.t qua do ,a liancbée ennetuie et s'est maintcnna roiii te tinisnce de c:'Je ligee sous ua feu vio¬lent de EiitMiüetises et ö'aitiileri-. (,.irs de ia re-prisadu mouvement de proancagion est arrivé unörs premiers dans la traachéu allemande, -r-itsCitations, irois blessures.

    ■JoizafCitailoiw n l @> di-o (7mDe la Division: '

    M. Emile Prigemt, soldat ao 329«réc'roentd nisttierié, a été Cite 4 Porure de ta divi¬sion :Volontair.-- pour les missions les plus déüeafes •e b ju.net »9:0. au mom- nt d'un- viol nte con-tre-aitsqua canemie a par son sasg-f.-otd m ia-l nu Ie citma dsns soa esciu -td\ n'hésüsa! pasa *e deewvrir compléteaiect pour voir i'ear-eaiisar lequa! u tiruit.M. P"'?ent qui ?x"rc'if ri prof««n a -foiirner Eugène D'retf», da274e regiment d't'iiauterte, a éte c i a 'or-cito de la brigade dms les termes tn v.rn 3 :Don grsdé, cc'if el d'voué. A été sé- ieusementb esse le ti avnl tötii, en exécutaat une pefii-leuse unssun d'igeiu de lists oa.M D"--t',e est domici ié rue de Tourae-viiie, 113.

    Du Régiment :L? eapora' Marcel Kroes r,ern-5feil, dn SJar- gtiueut d'itiliMerie co m, a ete cue a'■Orare du jour avec la nnitif stnvant c. Bless? qrièvement a son poste de combat te -30sang- f-ofd Tré$ C0Ura8'-ut> calrne et plein de

    M. Marcel L«mét?il e3t orig niire de Saint-Jouin-sut-iler.

    Bu Regiment zLe «oldst T a tq -ilt-a Avenel, da 3I9« rêqi-meat d'tafanterie, a étó cite 4 l' -.-.tre aeson r-éginmnt dans les -ei-mos suivanis :Dabs la matin?? da 30 juiilit 1916, uae coalre-

    Total dos prisonni'rs ssconrns 2 290Nómbre d- coü- oovovés. 35.821.Dt-peiises cn 1916, Ir. 261.659 10.Le Société secourt tous los p -iso -oiers né-Cfssiteox de ia region, qui lui sunt signalés,so d its, niariiis ou cm s.EHe tnvoia mensuellemen r . _oIis de 10a 11 francs 4 ch .qne pritonnivr.La misère tie nos paavrm compiirlolesexiles ne- e tant de plus en plus cr-.-elle, aSocuté voudr.iit envoy er deux colis narmois aux pius néc^ssiteiix. L'atigmentatioades dapenses devant être considerab-o, elto- spère ciniiausr a être aidée par ia chirilést adeiir; blo de ses concdoyens.l.a Société eat encourage? dans son oeuvre;les scensé» de réeeption laf proave. --t quet r- sqpe tons ses co is arrivent a destma-tion. ia Groix-Rouga etaat encure respecteacn Aiiemague.

    Brnversé |»as- tise AiitantebileAu débui do I'après-midi, mercredi, io jeuneLèon Arsonnet, dgé do 14ans, deavutant rue desViviers, 17, iraversait la rue do Pnt, ct u-s w |ws i-kYCO-t és. L alai me fat au«s..ót auiiaee a ia garede Serquenx.,Lo gaeisutinn des srcorr* était difficile.L accident s'etait, eo t ifet. p.oduit en pi ntiois de I Epinay. Ct pendant, nu détache-meot atglsis, ut e compagnie da genie etd s travail, euts nJo ch nois, rapidementarrivés. r« mettaieut 4 l'ce-ivso avec activitó.11 lai-.ri uuit noire ct ii était presqae im-pojSibl» de s'éclr.irf-r pat' ces moyens ordi-n-ires. Que faire? Ou abailit des arb esat-xq-ieis on mit le Ru, e c'cst 4 la lumieretie c s hüchers .que les (ravactx furent ec-trepris. M is il fadait partr ce suite 4 ungros danger : les w gons roontes sur leg au-t es ponvaient s'écrouler o'i.n moment 4l'aitie et ajouter a i'horreor de ia catastro¬phe en brc-yant ceux des voyag-urs qui s'ytrouvöient et appeiaient dése/pérément. Oncnopa encore des arb. es dans le hois et ons'en servi' poor ötay -r l?s wagons cn attsa-1 ti-nt tjtt'on put ijs r-tauUie sur ia voie,

    Sauseriptions recues p?r M. Marias Cremer,président de t'OE'tvre, tiepuis le 2i;aavier 19i7 :Vers-ment du Comité ds la Jouruée HavrnisQ,9 600 francs ; Md. les pitotes de ia station duHiv e (Verscmeot da jtnvi-r , 159; EntrepotsD buffet, i, 0" , M. Maurice Boequillon, S>; p.-r-s- nel GUCredit Havr ais, dit'eeiuu" et eutnioves.iö7 au. '

    Total Fr. 3.967 60

    Ensemble des 2 iistes Fr. 5.3i7 60

    7hê&lsee«Cirque OmniaCliiéima Oinaia-Patlté

    Le ncmbre desété róduit de mojoti programmecoquet êtablisssment du Théatre-Cirque attircrait cm nombreux public.Lo sptc-acie s'ouvrait sur un film d'aciuaI intituié : Dans les ajoncs du Vardar. Cefilm, qui transporte les spectatenrs sur le1héa.t'o de la guerre en Orient, a étó va avccbeauconp n'imérêt.?Le 14« épisode dn Masque aux Dents blan¬ch . , « fa Dame voilée», est aussi émouvantque I - préeédents.Les Dernières Actual, tés du Putte Journalnous p: jjcn'ent, notamment, unedélegatioada la Ll.quo des patriotes se rendant sur letoiubaau de Diroulède.La deuxièine partie dn programme com-portsit un fi'm cinênsatographique impor-U" t oxécc-tó d'après I? "éièbre pantomimede MM. Michel Carre et Worms??, ayant pourtil: Lh.ifanl prodigue. Getto j Jcs internrö-téepar d'exceüenls artistes porieic.-S, a retenul'atteationdo publtc.toons pariicnuèrement leiab'eauoü.dansrnj vision iiaaie, Tenfant prouigno s'é.'antcr ,;agi dans l'arméo ponr oblenir le pardonde s../.i père, par; it sur i'écranen «poilu» et,par ra era e attitude, évoque le brave cceurqu'il est d- ve-u. Une scène exc-ssivemeat

    Société Franklin de Secours Statuef j —[ Percept oa des cotisations dimanche 18 février,de io heures 8 ii h. 1/2 du matin, Cerele Fran¬klin, salto n* 7, 1" ètsge., Les Siciétaires, non moHUsès, sont avertis qu'i.'sI sien» a so lenir bleu a jour de tears cotisations

    Socielé de Secours mutuels des Voitiers.I — Düu/incho 18 courant, reunion des membresatelier Basset, rue Msrie-Taérèse.Ord e du jour : Paieruent des cotisations ; Lec¬ture du procés-verbal ; Questions tiiverses.

    Société Havraise de Tambours et Clai-J'ous ei ci'c'hieiiSion militaire - Les secré¬taires Musi q .e les jeunes gen3 désiraa't faire par-ii-"de SaSor-i*(5 sont prifs d'a sister a Ia r-péli-tion qui aura tien le vendredi 10 courant, de 8 b.a 9 h. 1/2 du soir, au siègs social, i, rue Paifray.

    BiSLIOGRAi-HIEFour inienv comprcndrc laI-T>uneo )), Petite B bliothéque do brocbu eset tsbfcaux Cditee psr benei Didiebéditeur, rue de la Soreohnc, 4 et 6, Paris.En ces dernières années, l'opinion publi¬que mondi tl? s'est iaissé induire en erreur 4l'égard de ta France. Aussi les péripéties tra-giques d-3 ia guerre de 1914-l'ont-slles dé-

    ieiii_o»iu-vc-.u. uub ra» exc- ssivement | concartee. La po- fection de la mobi isaiioncomtqt'-o Ta perkje Rigadm, clöicetie tgréa- franyiise, la proclamation de l'Union sacree,0.0 soiree. I puis Ft ffensire do la Marne, ia guerre des

    Anjonrd'bui vendredi, rMiohe. La location I d™» sürprSof Eile' aV^^réahstrlou^slsest ouvrrie des mamteaan-i pour ia -oirce de I yenx cö fait a pea prés nniqao dans l'his-

    mtatious de I toire, d'urte répablique déuiocratiqae nyant1 pousséja Jibtrié de penser jusqu'aux fron-

    ■meoi et les danx reurésdimanche, m.tiuée et soiree.

    AU RÉDACTEUREia Ü«eesi8t «ïis Paist

    Nons av.-as re?u ia kttre sutvaute :JdoEsieur la Rédacteur,

    J'si recours a vos co'onncs pour vons signalerc? q ii »'esi passt-, . France. — li.Cinq s teles et d-mi d'acioite co'oniite — III LaFrance a trove- s ie XIX• s èel?.— IV.' Devolutiondc h France i rpuihc "ne. — V. Le>(BUVts de lnpensee franemse. — VI L's grendes époques delort fraagais. — VII. L'a- mén el la muitte frnn -fat >)s.— VIII. — Lei universités franeaises. — IX.Inventions el déccuvertes franca ses. — X. Paris.son role et son histoire * — xf Ue la Ixngue fr&ri-caise. —X I Li France indusl* ieuse.Tableaux (chaque tableau 0 fr. 20). — La Fran¬co (1-puis 1870(t tabicauxl. — L?s Conslitinicasfraneuses — Les poinis de repére de l'Hisloirede France.— La France a travers le m.-ntie. L?serts, ieslïttres ct 1:3 sciences 12

  • PrtH Havre — Vendredi !6 Févrie? 1917 8§uktm &*$SpexuF«®4ï»aSI As*>oeSaterrain (is InCsvêe Verte.Equipe A : Centre ASFD,a 3 henrcs, an bnis.Equipo IS coaire équipe angtaisc.S 4h.l/l, èla GsvéeVerte.Espoirs ndê.Le présent avis tiendra liou de fain-part. Vt51681102

    Vous é'cs pné de bien vouloir assister auxGonvoi.S-rviee et Inhumalion deMonsieur V ctor PIGEONA/rei,;»Phtrmaaten

    déeédöIe 43 février 49(7. k l'ége de 89 an?,muni des sscremt Bts de l'EgbseQuiauront beu le samedi 7 courant, a neufbeures «u malm, cn l'egose Sointe-Maric,saparcisse.On se réunira au domicile mortuaire, 143.cours de la République.

    FffejSic»its?ii ftpüissas1st!De la part de :IM. P. DUPARC. ses Eafants et Petits Enfants,M" Ch SELliER. sis Enrants et Petits Enfems.Al st ff" V. ALEXANDRE, leurs Latents etPsiiis Enfants,«»• Valerie ALEXANDRE,Les Families PlBiON, NIEL, LE BERQUiER.RAUSUEL et DELLENGER,>es neveux,mee. s, petils-seveux, petUes-niéces et cousins.It ne sera pas envoyé de lettres d'invi-tatiois le présent avis en tenant iieu.

    IMII» M I .. Ill ^15.46. 18 137)

    ff"' Luclen CATRtLINt aU sa veuve;ff. et ff" Gaston CiTHEilNEAU ;ff. tt ff" Emtio BOURDON,aée CATHELINEAU,et l ars Enfants .ff et ff"' F GAGUst tears Erfenis ;ff et ff" Detace CURET st tears Enfants ;Ses fiér»-, sffiur, beaux-fieres, belles-sffiurs,neveux ei cièees ;BLANCHARD.sa tanle ;

    Les Families LANDAIS, CATHELIHEAU.GASNIER.BERTHAULT DELHOff BE, ALLIOT. IANNAY.BARREYetDUrOUCHEL.ses cousins et c.oisiaes.La Scciété maritime Nationale et les Amis,Onlls douleur de vous faire part de Ia perlecruelle qu'ils vieaneut d'eprouver en la per¬sonae deMonsieur Luclen CATHELINEAUIngénieur de la Soeiéti MaritimeNationalePrésident du Sgndicat drs (ifficiirsMécamciens

    Oifeisr a'AcadémiedécAdésnbüement 4 Roueo le 12février 1917,a l ége do S3ans,Et vous prient de bien vouloir assister è sesconvoi. service el inhumation, qui s ront lieulo ssmeti 47 courant, a or.zo heures, enl'égffse de Siinte-Adresse, sa paroisse.Oa se réunira a i'Eglise.II ne sora pas envoyé ds lettres d'invita-tlon, lo présent avis en tsnant lieu.Sainte-Adresse.16, rue Marir-T-lbot.

    8-Ui;

    Vous éies prié de bi--nvouloir assister auxconvoi. service et inhumation de:félonsiour Augusta DUBOOCapital e au Cabotage

    décédé le 44 février 4917,a t'ége de 46 ans,rauni des Sacreraems de l'Eglise, qui aurontlieu lo s'triedi 17courant, a dix beures et de-mie du matin, en la Chapellede i'llospice Gè-nêral

    FtiSiDissmihElf»65tsiLmlDe Ia part de :

    ff"' Augusts DU80C, sa veuve;të" oauoe A DUHOC,sa mrr - ;ff"' ffarte ioutse OUBOC s- fille;ff. Rodo phe AL'ZOII;ffi[' Iemands aüZOU,ses bcau-tils et belle-liiie ;fti"' oauoe Paul LEYESQUE;61 et M" Gaston OUBOC.ff. et M3" RABP. AU et teurs Enfants ;SI.et ff'" RiVIÈREei teur Flls,se^rè e, soems, beaux-frères, belles-soeurs,nev7février, a trois heures préeise3, al'égiise Anglieane, rue Lord-Kiichwaer.Dc Ia part de se t Sours et de ses Amies.

    Enlri)dansma soiebonneet fidéleservants.

    J. Cb.les personncsqui disirtnt envoger des fteurssoi-t p iêcs de les envoyer samedi matin al'ètRiseangt cane. (8I66Z)

    ff"' ELAiTOT,sss Infants et la familie,Ont la douieur de vous faire port du dóI cès deMoósirar Elphège-ViotorinBLACTOTSdins sa 67"«anode., Les obsèques auront iieu Ie samedi 47cou; ront, a sept bourca et ddmic du nssiin.i o a se réunira au domicilemortuaire, 300,ruel dc Normoodie,Havre.Lo présent avis tiendra liou de lettiede faire-part ? (8.

    étonnée,le visiteur inconuu, celui-ci prilia parolea sou tour :— Je me nommeChnrly, Madame,j'aiservi sous les ordres de M.de Bussiares,dorttlc pére était uu amidu mien.» Je fusmêmeie secrétaire da capitaineft Consianline, et j'ai toujours professépour lui un dévoucmcnt respectueux etuue affectionprofonde.» J'ai appris tout a l'henre, parM.Ber-tnier, que i'ordonnancede M.de Bussiaresvcnait d'etre mandée (Puigeiice clu-z lecommandantsupérieur pour founiir desrenseignenients nécessaires a i'enquêtedéja commencée.Elle va peut-être resler assez long-temps, car le colonel esi en conférenceavec le maire. ie cuid desBeu-Gauahet leeapilaiiieUestrem.» Dans ce cas. si je puis Ia remplaeer,je le ferai voioutiers.— Je vousremereie,Monsieur,fit Paule,touchéede ces paroles; mais je ne sais sije puis acceptersans indiscretion.— Oh! ne craignez rien, Madame. Jesuis seul a Biskra, eouime partout aii-leurs.» J'élais justement arrivé iel cemalin,pour voir le capitalne de Bussiares,"dequije voulais soliiciter un appui.— Gela te pcrmeltra de le reposerunun peu cette nuit, ma ehère enfant, ap-puya Jean Bertiiier.— Allons, j'accepfe, fitPaule, décidée.Et tendant franchement sa main fine aChariy.elle ajoula:— Mercid'avance,Monsieur.Croyezqueje ne serai pas ingrate.

    Votis dies prle d assister anx eonvoi, ser¬vice et iahnmation deMonsieur H'ppoiyte BAILLETrtécédéle (4 février 49;7, a 4 beures dumalin,d'ïns sa 88»»eaiiée, kiuüI dos Suercmeals da| i'Egüse.Qui auroBt licn lc samedi 47 conrant, aneuf heures du malin, cd l'Eglise dc Saiote-A'1reste, sa paroisse.Oa se réunira a i'Egliso.

    ïrkiBisassirli tkjss3!sssJi?1De la part dc :ff. et ff"' Gaston COBERT. ses besti-frêre eiheffe soeur : des Famil.es L. NEBERT. DELAUNEY.CAPELLE. R OEliiSE. H OENISE. H lUEHR,a. AGASSE,L BERTlN, ft de ses ffeeeux, Nièees,Cousins, Cousines et Amis.I ' no sera pas envoyé de lettres d invitatien le present avis en tenant 'ieu.

    TÊTtnrsuf

    ff. A. EfflO et Madame, nil OtSBBIPPES etleurs enlunrs ;Les Families FERRY, ff OLDANT AUBRY, HAIZi.YVRAY. CESSRIPPES,tss autres Membres ds lafamilie et iss Amis,Oni Is douleur de vous faire part dc la pertecruelle qu'ils vieusera d'eprouver ea la per-Eorne deiVIadam®Veuve OESGRIPPESNee Hélina MOLDANT

    déeédée lo S3a 6 h. 24i 9 El'. 284 47 tl. «2a i h. ts

    BULLETS?* DES HALLESBALLE DE ISOIVTiniXIESS.1:col 15 FÉvaiEa S817

    (Têlégrsmtiiede raire Correspondent)

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