12
PAGE 6 PAGE 9 Présentation de la carte Sortir Changement de direction au Centre de la Lande CONFIANCE RENOUVELÉE AU SECTEUR ASSOCIATIF www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr

Jacquolandin de février 2011

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Journal municipal de la ville de Saint-Jacques-de-la-Lande.

Citation preview

PAGE 6

PAGE 9

Présentation de la carte SortirChangement de direction au Centre de la Lande

ConfianCe renouveléeau seCteurassoCiatif

w w w . v i l l e - s t - j a c q u e s - d e - l a - l a n d e . f r

out Saint-Jacques en parle

2

L e c h a m e a u

Le réchauffement climatique se mesure au niveau de toute la planète, une moyenne qui cache bien des inégalités. Nous avons pu le vérifier avec ce mois de décembre qui a été gla-cial… les notes de chauffage vont s’en ressentir. Plus la différence de température est grande entre l’in-térieur et l’extérieur, plus les calo-ries s’échappent rapidement. Pour limiter les déperditions d’énergie, il faut toujours avoir à l’esprit ce mot fétiche : la sobriété. Moins le loge-ment est isolé, plus la surchauffe coûte cher. Un petit degré fait va-rier de 7 % votre consommation et donc votre facture. Est-ce vraiment sérieux de vouloir se promener toute la journée en tee-shirt dans son logement lorsque le thermo-mètre extérieur reste bloqué à 0° ? Le confort est équivalent avec un degré de moins et un petit pull. Alors pourquoi s’interdire d’agir ? Cela n’engagera aucun investisse-ment et produira des effets directs sur la facture et participera à limi-ter le dérèglement climatique.

NotaireDepuis le 24 novembre, Antoine Triau a ouvert son étude notariale au centre-ville, 14, rue André-Malraux.tél. 02 99 65 81 31Le priNtemps des aNcieNsLe repas annuel des personnes âgées est fixé au mardi 29 mars au gymnase Salvador-Allende. Les Jacquolandins de 70 ans et plus au 29 mars et leur conjoint pourront participer à ce repas. Inscription, 6 e par personne, à partir du 22 février et jusqu’au 17 mars au CCAS (fermé mercredi et vendredi AM) ou chez Claude Chapin 3, rue Hector-des-Mares, Pierre Delys 41 rue du Manoir et Raymonde Billois 57, bd Jean-Mermoz.

Les piétons prioritaires !Depuis le 1er janvier 2011, les conducteurs sont tenus de céder le passage aux piétons qui manifestent clairement leur intention de traverser et ce, même s’ils ne sont pas encore engagés. En cas d’accident, l’automobiliste sera considéré comme respon-sable et risque de perdre 4 points sur son permis de conduire.

Obligation d’immatriculation des cyclomoteurs de moins de 50 cm3

Tous les cyclomoteurs de moins de 50 cm3 doivent être immatriculés. Le fait de ne pas le faire est passible d’une amende forfaitaire de 135 euros.

Conducteurs de cyclomoteurs débridés sanctionnésLe débridage des cyclomoteurs dont la vitesse est limitée à 45 km/h et qui peuvent atteindre des vitesses bien supérieures après avoir été illégalement débridés, est désormais passible d’une amende de 135 euros.

Tourne à droite des cyclistes éventuellement possibleLes cyclistes sont autorisés à tourner à droite en franchissant un feu rouge à certains carrefours présentant des caractéristiques précises, signalés par un nouveau panneau.

n CT

Nouvelles dispositions du code de la route

Les “Jardins de Camille”Il s’agit d’un bâtiment d’activités, essen-tiellement médicales, qui accueillera probablement un laboratoire d’analyses médicales, un dentiste et deux médecins généralistes. Situé à l’extrémité du cours Camille-Claudel, le bâtiment de deux étages, viendra s’accoler à la pharmacie.

Il comportera également une cellule commerciale en rez-de-chaussée, dont l’affectation n’est pas définie à ce jour.Dans un second temps, les travaux du bâtiment principal, les “Jardins de Camille”, s’engageront sur le terrain situé entre la résidence “le Concorde” et la station-service. Il comportera, outre des locaux d’acti-vités et un service de consultations de l’hôpital Guillaume Régnier en rez-de-chaussée, 97 logements dont 70 en accession à la propriété et 27 locatifs.

Contact : société Pigeault Immobilier, n° vert : 0 800 807 007

Au printemps, démarreront les travaux de construction du “Claudel”, un des deux bâtiments qui achèveront l’entrée du quartier.

preNez Note

3

Lors de la soirée de lancement du 15 décembre, le “plan de bataille” de l’éla-boration de ce PEL a été dévoilé : des temps de rencontres avec les différents acteurs sont planifiés jusqu’en avril 2011. Ils permettront de balayer les champs éducatifs sur lesquels il semble nécessaire de creuser un peu plus la réflexion : rythmes scolaires et rythmes de l’enfant, politique jeunesse, accueil des 2-3 ans, et soutien à la parentalité. À l’issue de ce travail, la rédaction d’un document, sorte de feuille de route cou-rant de 2011 à 2014, sera élaborée.

Préparer et anticiper« Services municipaux, parents, associa-tions, enseignants vont prendre le temps, ensemble, d’évaluer les apports du précé-dent PEL. Nous allons ensuite travailler sur les points à améliorer et sur les nou-

La Ville lance une réflexion sur son Projet Educatif

La ville a mis en place en 2006, son premier projet éducatif local (PEL). Celui-ci arrivant à terme, les concertations pour l’élaboration d’un nouveau projet ont commencé.

velles actions à mettre en œuvre, souligne Sylviane Chevrollier, adjointe à l’Edu-cation. La Ville n’est pas la seule légitime quant au choix d’un rythme de 4 ou 4,5 jours : ce sont les conseils d’écoles qui sont à l’initiative de cette démarche. Nous sou-haitons simplement organiser des temps d’information pour que tout le monde - parents, enseignants, acteurs associatifs - puissent disposer des mêmes informations. Il s’agit ensuite de se préparer à un éventuel passage à une semaine de 4,5 jours en arti-culant les différents temps : temps scolaire, temps périscolaire, accueil de loisirs, acti-vités sportives... L’actualité nous laisse pen-ser qu’un changement de calendrier sco-laire pourrait intervenir assez rapidement.Pour les autres points, des actions sont déjà en cours. Il s’agit de les appuyer ou de les réorienter. »

n PG

Ainsi, il a réaffirmé sa volonté de poursuivre en 2011 l’action résolue et volontariste qui caractérise St-Jacques, autour des priorités de l’action municipale : l’emploi, l’habitat et la cohé-sion sociale.

Il a souligné l’importance accordée à l’accueil des habitants dans des quar-tiers animés et équipés, pour toutes les familles, dans leur diversité, sociale, générationnelle et culturelle. Emmanuel Couet, tout en rap-pelant l’impact de l’arri-vée du Métro et du développement de la Courrouze sur le territoire commu-nal, a invité l’au-ditoire à imagi-ner la visage de Saint-Jacques en 2020.

n RV

Devant les représentants des institutions, des associations et des entreprises, Emmanuel Couet a adressé ses vœux au nom du Conseil Municipal et a présenté les orientations pour les années à venir.

2011 : une année solidaire

ossier

4

L’accueil de loisirs : loisirs de détente et temps d’apprentissage de la vie en col-lectivité.

Françoise Cardin (à gauche), adjointe à la vie associative et au sport et Corentine Ehouarn, conseillère municipale déléguée au sport.

Alimentation et activités physiques, exemple ici, avec les goûters vitaminés organisés pour les jeunes sportifs.

Redéfinition des rôlesL’une de ces conventions « reprécise ainsi la vocation de l’OJS dans le cadre plus global de la politique sportive de la ville, redéfi-nit les principales missions qui lui sont reconnues par la ville et pré-cise les modalités de leur mise en œuvre ». L’autre « définit la place et le rôle attendus par la Ville pour le Centre de la Lande dans le cadre de la politique communale et pour lesquels la Ville s’engage à soutenir l’action du CDL auprès des habitants de ce territoire ». A noter que la convention avec le CDL est juxtaposée au pro-jet social de la CAF qui expire en 2013.

Des missions bien identifiéesL’OJS a pour missions de gérer les équipements sportifs de la ville (planning des salles, réservations d’activités exception-nelles, communication, etc.), de soutenir et accompagner les acteurs de la vie sportive locale, de coordonner les manifes-tations sportives, de mettre en œuvre le projet sportif local.Le Centre de la Lande est affilié à la Fédération des Centres Sociaux. Son projet social vise à favoriser l’accès aux loisirs, au sport et à la culture ; développer l’accueil des enfants ; offrir des modes de garde éducatifs et adaptés aux modes de vie des familles ; proposer aux familles de les accompagner dans l’éducation de leurs enfants (la parentalité) et accompa-gner les publics les plus fragiles.

La Ville signe pour le sport, le social et la cultureDes conventions de missions sont signées entre la Ville et l’Office Jacquolandin des Sports (OJS), la Ville et le Centre de la Lande (CDL). Conclues pour une durée de trois ans (2011, 2012 et 2013), elles formalisent les relations entre les partenaires autour d’objectifs communs.

5

City Stade : un équipement de proximité en accès libre.

Tout en partageant sa passion du jardinage, le jardin solidaire permet de produire des fruits et des légumes.

Alimentation et activités physiques, exemple ici, avec les goûters vitaminés organisés pour les jeunes sportifs.

Plus de 50 associations socio-culturelles et sportivesLa Ville compte une vingtaine d’associa-tions sportives. Dix-sept sont subven-tionnées, dont le club d’échecs et l’asso-ciation sportive du collège Jean-Moulin. De nouvelles associations sportives ont vu le jour cette année sur la commune : volley, tir à l’arbalète et athlétisme de la Garnison de Rennes qui organise les Foulées Jacquolandines en partenariat avec la Ville. Quelques 2 500 personnes adhèrent à une association sportive.

Le tir à l’arbalète, une des nouvelles associations en 2010.

Près de 30 associations socio-culturelles y adhèrent dont les plus récentes : l’as-sociation des jardiniers Jacquolandins, l’association des commerçants du cours Camille-Claudel et l’Amap de la Lande.

Des équipements de proximité performantsLa ville met à la disposition des pra-tiquants de nombreux équipements sportifs de qualité : complexe sportif Salvador-Allende (avec trois terrains de football dont un terrain synthétique et de nouveaux vestiaires, salle de muscu-lation, gymnase, deux courts de tennis couverts et un court extérieur, salle de pétanque et de tir à l’arc, dojo, salle mul-tifonctions...), gymnases Alice Milliat et de la Croix-Verte... Le City Stade près de l’Espace de la Gautrais, le plateau spor-tif près du collège, les grandes aires de jeu du Parc de St-Jacques et le terrain de basket sont en accès libre.

Le Centre de la Lande gère l’Espace jeunes, le Point Information Jeunesse et les trois équipements de quartier que sont l’Espace de la Gautrais, l’Espace du Pigeon-Blanc et la ferme de la Morinais.Il est par ailleurs attributaire de la délé-gation de service public pour la gestion du Centre de Loisirs.

Des subventions en hausseLa subvention de la Ville versée à l’OJS est passée de 117 000 euros en 2010 à 132 000 euros cette année, soit une aug-mentation de 12,80%. « Le sport est un vecteur d’équilibre et de bien-être. Il véhi-cule des valeurs citoyennes comme le res-pect de l’autre, mais aussi la maîtrise de soi... Nous souhaitons que le sport se démo-cratise et que de plus en plus de personnes puissent y accéder », justifie Corentine Ehouarn, conseillère municipale, délé-guée au sport.Le Centre de la Lande perçoit une sub-vention de 318 800 euros (+ 25 000 euros par rapport à 2010). « Cette aug-mentation de budget marque un renouvelle-ment de la confiance de la Ville au CDL et une reconnaissance du travail d’accompagne-ment de proximité réalisé sur la commune », estime Françoise Cardin, adjointe au maire, en charge de la vie associative et du sport.

Des projets en coursL’OJS, en partenariat avec la Ville et/ou les associations sportives et usagers, travaille à la rédaction d’un projet sportif local, d’une charte du sportif (les comporte-ments, les relations aux autres, les valeurs véhiculées...) et d’un nouveau règlement intérieur pour les complexes sportifs. L’enjeu est de favoriser la pratique du sport pour tous et participer à la dyna-mique locale d’animation du territoire.Le Centre de la Lande participe aux re-flexions de la Ville relatives aux projets de politique sociale et de politique en direction de l’enfance et de la jeunesse.

n PC

ie municipale

6

Envie de bouger, visiter, découvrir, nager, danser,

regarder, jouer, rencontrer ? La carte Sortir permet de participer à des activités culturelles, sportives et de loisirs, tout en bénéficiant, sous condi-tions de ressources, de tarifs réduits ou d’aides financières. « Cette carte est individuelle, nominative et valable pendant l’année civile, précise Erell Géré-Baril, coordinatrice du Pôle Solidarité. Elle permet de profiter de

Loisirs, sport et culture pourtous avec le dispositif “Sortir” !

Le dispositif Sortir, mis en place en janvier 2010 après le Passeport loisirs, a connu un grand succès auprès des Rennais et des Jacquolandins. Il est renouvelé cette année avec de nombreuses simplifications.

sorties ponctuelles au théâtre, au cinéma… Il est possible également d’obtenir une aide financière pour une inscription à une acti-vité régulière, proposée par un équipement ou une association signataire de la charte Sortir. » La carte est individuelle et tous les membres d’une famille peuvent en bé-néficier, sous réserve de satisfaire aux critères d’attribution. Son utilisation est illimitée pour les activités ponctuelles et plafonnée pour les activités régulières.

Le dispositif, coordonné par l’Apras, a reçu le soutien de la CAF, des bail-leurs sociaux, du Ministère des sports et des solidarités actives, de la Région Bretagne, du Conseil général d’Ille-et- Vilaine, de Rennes Métropole, des villes de Saint-Jacques et de Rennes. « Il suf-fit de présenter la carte à l’entrée des équi-pements pour bénéficier de la réduction. Quelques exemples de tarifs : Blizz (3 e), piscine de Bréquigny (0,80 e pour un adulte et 0,55 e pour un enfant), l’Aire Libre (4 e), cinéma le Colombier (2,90 e)… »

n TR

Renseignements : CCAS, Epi Condorcet, Centre de la Lande (vendredi de 13 h à 18 h à la ferme de la Morinais).

reprise des ateLiers au poiNt accueiL empLoi

n relaxationCanaliser ses énergies pour mieux affronter les rencontres avec les employeurs et gérer les périodes de stress. Module de 3 séances de 1 h 30 le matin, les 22, 29 mars et 5 avril.

n informatiqueInitiation sur deux semaines, de 9 h à 12 h à la médiathèque, module 1, les 8, 11, 18 et 22 février.

n mieux se connaître. Pour mieux cibler sa recherche d’em-ploi, atelier sur une journée pour apprendre à identifier son mode de fonctionnement, ses atouts, ses points de progrès, ses choix et intérêts profes-sionnels, identifier les environnements professionnels les plus adaptés à ses motivations et capacités.De 9 h à 17 h le 15 février.Ces ateliers sont financés par la poli-tique de la ville. ils sont gratuits. renseignement au paetél. 02 99 29 76 80

n café conseilRencontrer des employeurs pour dy-namiser sa recherche d’emploi, le 24 février, de 13 h 45 à 16 h 30, Mai-son des associations à Bruz, 59, av. Alphonse-Legault.inscription au pae

Atelier informatique.

La carte Sortir permet d’assister aux spectacles que propose L’Aire Libre à des tarifs préférentiels.

Atelier relaxation.

7

orieNtatioN budgétaire 2011Le traditionnel débat d’orientation budgétaire 2011 se tien-dra lors du Conseil municipal le 7 février Nous voterons par la suite, fin mars, le nouveau budget.Cette nouvelle année sera encore marquée par les consé-quences de la crise économique mais aussi par la ré-forme territoriale.Nous poursuivrons, pour 2011, l’action engagée en ma-tière d’économie et d’habitat et nous y ajouterons tout ce qui a trait à l’accessibilité. Un vaste chantier, comme celui des économies d’énergie. Il devra s’étaler sur plusieurs années. La commission mise en place pour examiner toutes les actions a un important travail. Nous y reviendrons.En matière d’investissement, l’extension de l’école du Haut-Bois avec quatre classes supplémentaires devra être livrée pour la rentrée prochaine. La construction d’un nouveau bâtiment de 400 m² pour agrandir le centre de loisirs de la Gautrais sera aussi lancée.Deux autres investissements particulièrement importants et attendus seront mis en œuvre : la mairie, le centre municipal de Bel Air qui regroupera les services espaces verts et voirie-propreté. Deux investissements qui impac-teront très nettement le budget 2012.C’est grâce à une situation financière particulièrement saine que nous engageons ces chantiers. Nous réalisons, en effet, une forte maîtrise des charges de fonctionne-ment et un désendettement continu depuis six ans.

e tat- c iv i LNAISSANCESMargaux Da Cunha--Torlay, 14 rue F.-Mitterrand, le 20.09.10Sarah Bouzerida, 8 rue Simone-de-Beauvoir, le 22.10.10Mathilde Helleisen, 36 rue Martin-Luther King, le 06.11.10Shana Goldstein, 53 rue Jules-Vallès, le 14.11.10Madison Boisneault--Bompoil, 12 rue F.-Mitterrand, le 16.11.10Lisa Collonge, 6 bis rue de la Reine-Hélène, le 20.11.10Guidado Kasse, 26 mail Léon-Blum, le 23.11.10Pierre Gauthrin, 4 avenue Roger-Dodin, le 24.11.10Lilou Colin, 20 mail Léon-Blum, le 27.11.10

DéCèSPierre Geshors (96 ans), 6 im-passe de l’Ecole, le 06.12.10Marie Roffin (90 ans), 5 Place de l’Abbé-Grimault, le 08.12.10Laurence Briand (42 ans), 13 rue Charles-de-Gaulle, le 15.12.10Piétro Ciriani (79 ans), 21 rue Louise-Michel, le 17.12.10Louise Delaunay (79 ans), 73 rue de la Pilate, le 27.12.10Micheline Plantard (87 ans), 1 Place Salvador-Allende, le 29.12.10Marcel Chevrier (79 ans), 79 rue du Temple-de-Blosne, le 03.01.11

pa r o L e à L a m a J o r i t é pa r o L e à L u t t e o u v r i è r e

Retrouvez le compte rendu intégral du conseil municipal affiché en mairie ou sur :

http/www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr

co Nse i L mu N i c i paL

paroLe à st-Jacques tous eNsembLede La coNtributioN citoyeNNe

à La garaNtie de L’iNtérêt géNéraL La vocation d’un élu municipal, toutes tendances confondues, n’est-elle pas d’avoir au centre de ses préoccupations le souci du bien-être de ses administrés ? C’est un long débat qui dépasse les clivages politiques et relève davantage du sens de l’intérêt général.La gestion d’une commune est à l’image de la gestion d’une entreprise. Elle nécessite d’y porter un regard aussi pragmatique que possible, sans com-plaisance ni attitude démagogique, solution de facilité qui tendrait à orien-ter le budget sur des choix qui s’avéreraient préjudiciables aux habitants.Le rôle de la minorité, puisqu’elle est ainsi qualifiée, se limite à une fonction consultative du fait du faible nombre de ses représentants, mais est cepen-dant nécessaire à la vie démocratique de notre commune.Habitat, environnement, culture et vie associative, autant de sujets, de pré-occupations sociales qui interrogent tout un chacun et exigent d’apporter des solutions en adéquation avec l’effort du contribuable et la qualité de vie dont il pourra bénéficier. Tout est problème de société, tout est débat social.La commune de St-Jacques en quelques années a sensiblement évolué et augmenté sa population. Un parc d’activité en expansion apporte une dynamique qui devrait aller grandissante. Cela étant, nous n’oublions pas qu’au-delà de toutes ces constatations se posent les problèmes d’accès, de fluidité de circulation inhérents à la vie intrinsèque de notre ville. A notre grand regret, nous constatons que la nouvelle ligne de métro en projet s’arrêtera à La Courrouze qui est une symbolique de la frontière entre Rennes et St-Jacques. Comment les Jacquolandins peuvent-ils y retrouver leur compte, connaissant déjà les difficultés de circulation aux heures de pointe et ne voyant là aucune réponse à l’amélioration des accès tant empruntés. L’aéroport est une donne majeure dans cette problématique. C’est la raison pour laquelle tout ce qui à l’ordre du jour du conseil muni-cipal touche à ce projet nous laisse dubitatifs. Les transports en commun tels qu’ils sont actuellement définis sont une valeur ajoutée mais en aucun cas ne s’adaptent à tous les besoins.Un sujet de réflexion parmi d’autres qui tend à penser qu’à la vie d’une commune doit s’intégrer l’idée que les solutions doivent être élaborées dans l’intérêt de tous.Le groupe de la minorité : F. edom, s. girard, N. girard, p. schoch et J. mayol y mayol - Mail : [email protected]

impôts : deux poids, deux mesuresLa taxe professionnelle due par les entreprises petites ou grandes est une source importante de revenus pour les communes. Sarkozy-Fillon viennent de la “réformer”. Evidemment pour que leurs maîtres, les grands bourgeois, paient toujours moins. Des petits artisans ou commerçants pouvaient pourtant penser qu’ils paieraient ainsi moins de taxe : c’est souvent le contraire ! Par contre, une grande entreprise comme PSA, dont la richis-sime famille Peugeot est propriétaire, non seulement ne paiera pas d’impôt sur les bénéfices des sociétés pour 2010 mais l’usine de La Janais pourrait voir sa taxe professionnelle dimi-nuée d’au moins 50 %. Pour fabriquer des voitures, PSA profite pourtant largement des investissements faits grâce aux impôts pesant sur tout le monde : transports, lignes électriques, système de santé, écoles de formation, etc. Par exemple, la TVA qui représente près de la moitié des revenus de l’Etat ou la taxe sur les produits pétroliers (TIPP), sont payées par chaque consommateur, qu’il soit riche ou pauvre. Et, alors qu’à Saint-Jacques la moitié des foyers n’a pas les moyens de payer l’impôt sur le revenu, la plupart paie quand même des impôts locaux. Il est vraiment révoltant que les plus grandes entreprises du pays ne soient pas mises à contribution à la mesure des profits qu’elles dégagent alors que la population paie toujours plus. Fabrice Lucas, le 15 janvier 2011blog : http://fabrice-lucas.blogspot.com

permaNeNces des adJoiNtschaque samedi de 10 h à 12 h à la mairie,

n 5 février : Fernand Etiemble (aménagement et environnement)n 12 février : Françoise Cardin (vie associative et sport)n 19 février : Daniel Salmon (transports, énergies et déchets)n 26 février : Sylviane Chevrollier (éducation)

ssociations

8

ceNtre de La LaNde

Marc Perréard, 45 ans, est originaire de Haute-Savoie. Il a travaillé 15 ans comme animateur en Maison des Jeunes et de la Culture avant de suivre son épouse mutée professionnellement en Bretagne. Il connaît bien le Centre de la Lande qu’il a intégré en 2006 pour un remplacement de la directrice. Très vite, il est embauché comme adjoint : « Le centre social s’inscrit dans un projet de territoire, en liens étroits avec ses parte-naires et au côté des habitants. Nous déve-loppons un projet qui vise à rendre chacun acteur d’une société plus solidaire. »

Invitation à prendre la paroleUne fois la réorganisation de l’équipe professionnelle achevée, le nouveau di-recteur évoque cette année, la poursuite de la mise en œuvre du projet social sur trois axes : affirmer l’identité du centre

Marc Perréard est, depuis le 1er janvier, directeur du Centre de la Lande (CDL). Il prend la suite de Christiane Bizon, qui a fait valoir ses droits à la retraite, après avoir exercé cette fonction durant dix-sept ans.

Un nouveau directeur au CDL

social associatif, développer les valeurs de solidarité et citoyenneté au quotidien, répondre aux attentes des habitants. Ce qui l’anime ? « La relation humaine, la construction de liens, la rencontre, ce qui favorise l’expression et la prise de parole de

chacun. Nous allons mettre en place dans le cadre du projet, des commissions sur la parentalité, la citoyenneté, le bénévolat avec une invitation faite aux habitants à y participer. »

n TR

boNNe route christiaNe bizoNChristiane Bizon prend la direction de l’Office Jacquolandin d’Animation en 1993 : « J’étais titulaire d’un diplôme d’animation et en pratiques sociales et avais travaillé comme animatrice pendant dix-sept ans dans le quar-tier du Blosne auprès des populations d’origine étrangère. »

Tout est alors à organiser. L’Office est éclaté en sept lieux, gère un peu tout et les professionnels ne se croisent que rarement. « Nous avons d’abord conçu le projet de développement urbain et positionné la fonction sociale et socio-culturelle en développant l’accompa-gnement social. »

Une conseillère en économie sociale et familiale est alors embauchée. La ville met en place son projet éducatif local et l’intervention dans les écoles avec notamment, l’aménagement du temps libre. « Très vite, nous développons l’idée d’aller vers les habitants. Nous nous déplaçons dans les quartiers avec une caravane ; nous mettons en place une formation d’animateurs de rue. » Avec la réflexion sur l’Epi Condorcet, naît l’idée de créer un équipement par quartier. « Peu à peu, nous avons ainsi vu germer une cohésion sociale avec des rencontres multiculturelles et le croisement des générations. » L’action et l’engagement se pour-suivent pour Christiane Bizon. Elle est conseillère municipale à Vern-sur-Seiche et a en charge… la cohésion sociale.

Marc Perréard a pris la direction du Centre de la Lande le 1er janvier 2011.

Christian Bizon (à l’avant du véhicule), et son équipe en juillet 2003 lors de l’installation du siège social du Centre de la Lande à l’Epi Condorcet. n TR

9

L’association participe au championnat départemental ainsi qu’à différents tournois nationaux, internationaux et euro-péens : « En avril, nous organisons un tournoi international de badminton, le Tigre, et avons en projet de proposer un tournoi de volley et éventuellement de ping-pong en 2012. »

Lutter contre les discriminationsL’association rassemble 120 adhérents. Elle a été créée par et pour les personnes homosexuelles, hommes et femmes, tout en restant ouverte à tout le monde : « Le but est à la fois d’avoir une visibilité, de promouvoir la tolérance et la lutte contre l’homo-phobie. Nous adhérons à la fédération sportive gay et lesbienne

pour lutter contre les discr iminat ions et participons aux diffé-rentes manifestations. C’est toujours délicat, de faire état de sa vie privée, lorsque vous souhaitez intégrer un club sportif... Notre intention est d’abord de faire du sport, dans une ambiance chaleu-reuse et conviviale, de permettre aux homo-sexuels de faire du sport et d’éviter l’isole-ment. »

n TR

Pratique : Association GLS Rennes Tél. 06 64 70 36 25Site : www.glsrennes.net

oFFice JacquoLaNdiN des sports

Le volley-ball se pratique désormais à l’OfficeJacquolandin des Sports

Les sportifs, intéressés par le volley-ball en loisir ou en compétition, peuvent désormais le pratiquer à l’Office Jacquolandin des Sports grâce à l’Association multisports gay et lesbienne de Rennes. Ouverte à toutes et tous.

Créée en juillet 2008, l’association GLS propose aux habi-tants de Rennes et des alentours de pratiquer volley, badmin-ton, randonnées à pied, ping-pong, natation et bientôt, roller, course à pied, et ran-données à vélo. « Depuis longtemps, confie Cyrille Bevan, président adjoint, nous avions une forte demande pour déve-lopper la pratique du badminton et du volley en compétition. Nous avons donc cherché d’autres lieux… » L’OJS a répondu pré-sent à la demande de l’association et il est désormais possible de pratiquer le vol-ley le mardi à Saint-Jacques pour la com-pétition, salle Alice Milliat, de 19 h à 22 h et le mercredi à Rennes pour le loisir, gymnase Ile-de-France, de 20 h à 22 h. « Pour ceux qui veulent découvrir le sport, nous proposons deux séances d’essai, poursuit Cyrille Bevan. L’inscription se fait en-suite sur présentation d’un certificat médical et paiement d’une adhésion. »

ulture - Animation

10

mediatheque LucieN herr

Jean-Hugues Oppel, auteur de polar à la médiathèque

La médiathèque Lucien Herr prolonge l’opération “Polar sur la ville” menée à l’automne 2010 en invitant un auteur à succès et en présentant une nouvelle exposition.

La médiathèque Lucien Herr accueille

cette année Jean-Hugues Oppel, auteur de polars pour adultes et enfants. « Les rencontres avec un auteur-illustra-teur se déroule tous les deux ans, rappelle Alexandra Charrais, responsable de l’espace des enfants. Comme nous vou-lions toucher les jeunes de 10 ans et plus, notre choix s’est porté sur Jean-Hugues Oppel. Son thriller “Ippon” nous a plu. Il raconte l’histoire de Sébastien, 13 ans, confronté dans un terrible huis-clos au tueur de sa baby-sitter. Un roman angois-sant mais l’écriture permet de prendre plus de distance qu’avec les images d’un film ou celles d’un jeu vidéo. »

Jean-Hugues Oppel sera présent les 17 et 18 février à la médiathèque de Saint-Jacques-de-la-Lande. Deux rencontres sont programmées entre l’auteur et divers publics. L’une se déroulera avec les élèves de CM2 de Saint-Jacques et de 4ème du collège Jean Moulin pour aborder le mé-tier d’écrivain, le genre policier, les res-sorts de l’intrigue… L’autre sera propo-sée le vendredi 18 février à 20 h 30 aux adultes et adolescents qui le souhaitent. Une soirée d’échanges autour de l’œuvre de l’auteur invité, suivie d’une vente-dé-dicace en partenariat avec la librairie le Forum du Livre - Chapitre.« Pour aller plus loin dans la littérature po-licière, une exposition tout public intitulée

MédiathèqueLucien Herr

Médiathèque Lucien Herr

© E

ditio

ns S

yros

Jean-Hugues Oppel auteur de polar

4 février au 2 mars 2011

Médiathèque Lucien HerrVille de Saint-Jacques-de-la-Lande

Exposition-Rencontre

Jean-Hugues Oppel est né à Paris en 1957. D’origine franco-helvétique. Il fait ses études au lycée Charlemagne (Paris) puis à l’école Nationale d’Opé-rateurs Louis-Lumière. Il travaille comme deuxième assis-tant caméra pour des films comme Saxo d’Ariel Zeitoun (1987), Lacenaire de Francis Girod (1990), La Passion

Béatrice (1987) et La Vie et rien d’autre (1988) de Bertrand Tavernier.Dans ses romans, Jean-Hugues Oppel aborde des thèmes très variés : injustice, complot politique, actua-lité... Devenu auteur à succès, il est aujourd’hui écrivain à temps plein et vit en région parisienne.

n PC

bio express

“30 polars dans un commissariat” sera pro-posée du 4 février au 2 mars, se réjouit Alexandra ».

n PC

11

Aristide Tarnagda, est en résidence à Saint-Jacques du 22 février au 15 mars. Il est invité par la compagnie théâtrale Lumière d’août dans le cadre de sa rési-dence d’écriture pour le projet “Ciel dans ma ville” Afrique/France qui aura lieu en juillet 2011 autour de l’aéroport en partenariat avec l’Aire Libre et les Tombées de la Nuit. Comédien et auteur, Aristide est déjà en résidence à Rennes en 2007 où il écrit “333 millions d’Arrêts cardiaques” et “Façons d’aimer”.

n mercredi 6 février à 18 h Mercredi en scène, le piano à l’honneurDécouvrir le piano à deux ou quatre mains sur des musiques classiques, contemporaines ou actuelles. C’est ce que proposent les professeurs et les élèves pianistes de l’Ecole Intercommu-nale de Musique et de Danse Jean Wiener, à travers leur deuxième “Mercredi en Scène” de la saison. Entrée libre. Renseignements au 02 99 41 35 18 ou à [email protected] de l’Epi Condorcet

n mardi 8 février à 20 h 30 Trois mois avec l’Afrique de l’OuestTable ronde sur le thème de l’éducation en présence de deux étudiants rennais : Gecica originaire du Burkina Faso et Cédric du Togo. Cette table ronde est accompagnée par la projection d’un reportage vidéo (Ankougnon l’Africain) suite à la livraison de correspondances et de matériel scolaire aux écoles de la région de Mopti, au Mali.Entrée libre.Forum de l’Epi Condorcet

n samedi 19 à 16 h 30 Balade en bulleRendez-vous spécial hiver avec Tricontine. Histoire et contes pour les enfants de plus de 3 ans.Réservation conseillée 02 99 31 18 08Médiathèque Lucien Herr

n mercredi 23 février de 16 h 30 à 18 h 30 L’OJS envahit l’Epi Condorcet !Gymnastique acrobatiqueEntrée libre, sans réservation.Forum de l’Epi Condorcet

ageNda cuLtureL epi coNdorcet

Un écrivain burkinabé en résidenceUne résidence de l’écrivain Aristide Tarnagda est programmée en février. Elle s’inscrit dans la manifestation “Trois mois avec l’Afrique de l’Ouest”.

En janvier/février 2008, il participe à un atelier du metteur en scène Moïse Touré sur l’œuvre de Bernard Marie Koltès où il écrit Fragments Koltès. Cette fois, il sera accueilli une semaine dans chaque quartier par un collectif d’habitants. Trois ateliers d’écriture se dérouleront auprès de différents publics. Une ren-contre est prévue à la pause-café gérée par le Centre de la Lande. Une lecture en présence de l’auteur est programmée le 14 mars à 19 h à l’Aire Libre.

n PC

L’aire Libre, programmatioN

n zone éducation prioritaireCréation en résidence, mise en scène Benoît Bradel, Cie Zabraka. Telles des amazones sorties de nulle part, Kate, Bone et les autres nous emmènent à grande vitesse dans le dédale de leurs vies extra scolaires, sous la haute surveillance des caméras... Mardi 1er, mercredi 2, jeudi 3 et vendredi 4 février à 20 h 30

n La conquête du pôle sudL’Théâtre / Humanus Gruppo.La conquête du Pôle Sud, pièce de Manfred Karge, aborde les questions de lutte entre l’homme, la société et le théâtre. L’action se situe dans la Ruhr des années 1980.Mercredi 16, jeudi 17, vendredi 18 et samedi 19 février à 20 h 30

contact : 02 99 30 70 70

ie des entreprises

12

Mensuel municipal - Mairie - 1, rue des 25 Fusillés - 35136 Saint-Jacques-de-la-Lande - Tél : 02 99 29 75 30Directeur de la publication : E. Couet - Responsable de la rédaction : Y. Texier

Rédaction : P. Charbonnier, T. Ruellan, R. Vaillot. Réalisation : C. Reland - Photos : C. Reland - Impression : Imprimerie Gueutier - Distribution : D.Q.P. - Dépôt légal : 1er trimestre 2011

Reproduction intégrale ou partielle interdite sans autorisation - Imprimé sur papier blanchi sans chlore.

« C’est magique ! Le plâtre et le placoplâtre permettent d’imaginer des formes infinies et des aménagements pour tous les goûts. De manière rapide et esthétique, nous pouvons créer une bibliothèque, un bar, une entrée ou une séparation de pièces, une gamme infinie de projets personnalisés selon les souhaits. » Sylvain Miossec, 31 ans, et Guillaume Colin, 22 ans, ont créé Label plâtre avec cette forte intention de « rendre la déco-ration et la création d’agencement acces-sibles à tous. » Sylvain est originaire de Brest mais a vécu toute sa jeunesse dans la région de Rennes. Il aime le travail du plâtre et très tôt, se forme auprès des Compa-gnons du devoir à Rennes. Le Tour de France prend fin au bout de trois ans pour intégrer une entreprise en région parisienne. En 2001, il revient au pays comme ou-vrier chez Joseph Coutard à Thorigné-Fouillard : « J’y ai formé cinq apprentis

Label plâtre : des aménagements intérieurs pour tous les goûts

Sylvain Miossec et Guillaume Colin ont créé leur entreprise artisanale le 1er juillet dernier, Label plâtre. Avec une idée : offrir des aménagements originaux à des tarifs très abordables.

dont Guillaume Colin. » En 2009, les deux jeunes entreprennent de voler de leurs propres ailes et de créer leur entreprise : « Nous avons attendu que passe la crise puis nous nous sommes lancés le 1er juillet. J’habite Saint-Jacques depuis 2001 et c’est donc là qu’est le siège de l’entreprise. »

Même les menus travaux !Le bouche à oreille fonctionne bien et la notoriété des deux ouvriers, acquise chez leur patron, commence à être connue. Label plâtre propose de réaliser tous travaux de plâtrerie, briquetage et pla-coplâtre : « Nous faisons beaucoup d’amé-nagements et d’agencements intérieurs. Nous proposons des modifications de cloi-sonnements, de hauteurs de plafonds. Nous intervenons aussi à la suite de dégâts des eaux ou d’incendies et n’hésitons pas à faire de menus travaux comme un simple mètre carré de raccord de plâtre. » Les clients sont essentiellement des par-ticuliers mais les professionnels com-mencent à solliciter les deux artisans : « Nous venons de terminer l’aménagement d’un bar de nuit à Rennes et intervenons pour des agences immobilières, des syn-dics de copropriété. A Saint-Jacques, nous sommes intervenus pour un premier chan-tier et venons de proposer nos services pour un particulier… »

n TR

Label plâtre, 12, impasse de la Rivière Sylvain Miossec, tél. 06 50 02 14 88 Guillaume Colin, tél. 06 50 04 62 52 Site : www.label-platre.fr

Label plâtre conçoit et personnalise tous types de projets comme ici, une cuisine avec plaque de cuisson suspendue.

Guillaume Colin (à gauche) et Sylvain Miossec (à droite) en compagnie de Danny, leur apprenti.