Jeremy.masson

SILICOMP-AQL

9 boulevard Nicéphore Niepce 44300 Nantes

Rapport d'étude

Conception d’un portail mobile

d’information touristique

Jérémy Masson version 3.5 12 juin 2009

RAPPORT DE STAGE CONCEPTION D’UN PORTAIL MOBILE D’INFORMATION TOURISTIQUE

12 JUIN 2009

RAPPORT DE STAGE JEREMY MASSON PAGE 2

PREFACE

Intervenants dans la rédaction de ce document :

fonction Nom

Stagiaire Jérémy Masson (Orange Business Services) [email protected]

Responsable de stage Frédéric Manier (Orange Business Services) [email protected]

Documents de référence :

Référence Document

SpécificationBesoins_PMT Spécifications des besoins_PortailMobileTouristique_v2_1.doc

Géolocalisation_mobile Etude de faisabilité_Geolocalisation GSM_V2_1.doc

ConceptionPortailMobile Dossier de Spécification Fonctionnelle - Portail mobile d'information touristique.doc


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REMERCIEMENTS : Je tiens tout particulièrement à remercier le directeur de l’agence du centre opérationnel

Portal de Nantes pou m’avoir accueilli dans son établissement. Je remercie également Frédéric Manier, responsable du centre de compétences Web

Mobility, pour son agréable accueil dans son service et pour m’avoir encadré durant ces 5 mois de stage.

Je remercie tout aussi chaleureusement le chef de projet Nicolas Pacteau ainsi que toutes les personnes de l’équipe de développement avec lesquelles je suis en très bonne relation. Ils ont su me conseiller et me soutenir, de même que tous les autres collaborateurs du centre opérationnel.

Enfin, je remercie aussi toutes les personnes avec lesquelles j’ai pu m’entretenir et qui ont

su m’accorder le temps nécessaire afin d’apporter des réponses à mes diverses questions, pour leurs aides, leurs conseils, leurs soutiens et leurs savoir faire.


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TABLE DES MATIERES Erreur ! Aucune entrée de table des matières n'a été trouvée.


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TABLE DES FIGURES Figure n° 1: Chiffre d’affaire géographique.....................................................................................8 Figure n° 2: Processus Silicomp.....................................................................................................9 Figure n° 3: Répartition géographique du groupe Silicomp..........................................................10 Figure n° 4: Schéma de présentation d’un CMS ..........................................................................19 Figure n° 5: Architecture du système. ..........................................................................................20 Figure n° 6: Description d’un système de géolocalisation ............................................................23 Figure n° 7: Zone de couverture d’une antenne relais. ................................................................24 Figure n° 8: Zone de couverture d’une antenne relais en zone rurale et urbaine. .......................24 Figure n° 9: Zone de localisation par calcul de différentiel de temps. ..........................................25 Figure n° 10: Zone de localisation par triangulation. ...................................................................26 Figure n° 11: Zone de localisation par EOTD..............................................................................27 Figure n° 12: Architecture de localisation par méthode centralisée. ...........................................29 Figure n° 13: Application de localisation sur mobile....................................................................30 Figure n° 14: Architecture de localisation par méthode répartie sur mobile................................32 Figure n° 15: Emulateur mobile...................................................................................................35 Figure n° 16: Diagramme de séquence du mécanisme Push Registry.......................................36 Figure n° 17: Architecture de localisation par méthode répartie sur mobile................................37 Figure n° 18: Représentation des E/S du logiciel........................................................................41 Figure n° 19: Composition des thèmes et des rubriques ............................................................42 Figure n° 20: Contenu d’une rubrique .........................................................................................42 Figure n° 21: Données du profile utilisateur ................................................................................43 Figure n° 22: API Google Map Mobile.........................................................................................46 Figure n° 23: API Google Geo.....................................................................................................46 Figure n° 24: Décomposition en blocs fonctionnels ....................................................................48 Figure n° 25: Arborescence des écrans du portail ......................................................................49 Figure n° 26: Page d’accueil du portail .......................................................................................50 Figure n° 27: Bas de page d’un contenu d’une rubrique .............................................................51 Figure n° 28: Arborescence des pages du site ...........................................................................53 Figure n° 29: Architecture du système ........................................................................................54 Figure n° 30: Architecture Spring MVC. ......................................................................................55 Figure n° 31: Architecture logiciel de la Web App siteInfoBackOffice. ........................................57 Figure n° 32: Flux d’entré et de sortie du backoffice. ..................................................................58 Figure n° 33: Architecture applicative « Web kit ». .....................................................................60


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Figure n° 34: Architecture SOA. ..................................................................................................61 Figure n° 35: Architecture en couche de « Web kit ». .................................................................61 Figure n° 36: Exemple de découpage et d’interaction des objets des différentes couches ........63 Figure n° 37: Planning des projets ..............................................................................................64


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1 ORANGE BUSINESS SERVICES

1.1 Présentation Orange Business Services IT&L@bs anciennement SILICOMP est une SSII française fondée

par Jean-Michel Gliner en 1983. Suite à son rachat à 91 % par France Télécom en janvier 2007, elle fait désormais partie de l'entité Orange Business Services :

IT&L@bs est une entité d'Orange Business Services. La société se positionne sur des projets stratégiques auprès des grands groupes industriels et tertiaires, des entreprises régionales et des administrations. Les champs d'intervention d'IT&L@abs sont l'expertise, l'évaluation d'applications critiques et la fourniture de solutions technologiques innovantes dans les domaines suivants : logiciel, réseau, sécurité, qualité, monétique et carte à puce.

Lors du rachat de Silicomp, Orange Business Services a souhaité, en autres, se renforcer dans les services et solutions :

• de développement d'applictions communicantes critiques (applications à très forte disponibilité de services)

• de développement d'applications sur terminaux nomades

• M2M (Machine To Machine)

• RFID

• IP v6

1.2 Historique • 1983 : Création par Jean-Michel Gliner

• 1990 : Acquisition de Gex Informatique et fusion avec Silicomp Ingénierie

• 1999 : Acquisition de Qualience

• 2000 : Acquisition d'AQL (SSII) et de Telecom Systems

• 2001 : Fusion de Qualience et Silicomp Formation : création de Silicomp Management

• 2001 : Rachat d'Axean

• 2004 : Fusion de Silicomp Ingénierie, Silicomp Research Institute et AQL : création de Silicomp-AQL

• 2005 : Acquisition de Fime et Feima : tests dans le domaine de la monétique, des cartes à puce et du RFID

• 2006 : Acquisition de Cadimes (R&D)

• 2007 : Le groupe Silicomp est racheté par le groupe France Télécom

• 2008 : Silicomp prend le nom d’Orange Business Services IT&L@bs


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1.3 Le Groupe France Telecom : Société mère Orange est la marque phare de France Télécom, un des principaux opérateurs de

télécommunications dans le monde.

Le Groupe sert 186 millions de clients dans 30 pays au 30 juin 2009, dont plus de deux tiers sous la marque Orange, la marque unique du Groupe pour l'internet, la télévision et le mobile dans la majorité des pays où le Groupe est présent. Le Groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 53,5 milliards d'euros en 2008. Au 30 juin 2009, le Groupe comptait 125,5 millions de clients du mobile dans le monde et 13,4 millions de clients ADSL en Europe.

France Télécom-Orange est le troisième opérateur mobile et le premier fournisseur d'accès Internet ADSL en Europe et l'un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales, sous la marque Orange Business Services.

La stratégie du Groupe est fondée sur la convergence et l'innovation. Elle se caractérise par la maîtrise des coûts et vise à faire d'Orange l'opérateur intégré de référence pour les services de télécommunications en Europe. Aujourd'hui, le Groupe reste concentré sur son cœur de métier d'opérateur de réseau, tout en développant ses positions sur de nouvelles activités de croissance. Afin de répondre aux attentes de ses clients, le Groupe s'efforce de fournir des produits et services simples et conviviaux, grâce à son modèle de performance durable et responsable qui peut s'adapter aux conditions d'un écosystème en pleine mutation.

Figure n° 1: Chiffre d’affaire géographique


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2 L’ENTREPRISE SILICOMP-AQL

2.1 Groupe Silicomp : Accélérateur de performances Créé en 1983, Groupe SILICOMP entend accélérer les Performances de ses clients, sous ses différents

Performance des produits et/ou services qu’ils délivrent,

Performance de leur organisation,

Performance de leur système d’information.

2.1.1 Une société de solutions en technologies de l’information (SSTI)

Groupe SILICOMP se positionne comme Société de Solutions en Technologies de l’Information (SSTI) : son ambition est donc de proposer des solutions de progrès, prenant en compte les spécificités métier de ses clients.

« Architecte et maître d’œuvre de projets offrant des solutions de performance sur la base de technologies innovantes »

Figure n° 2: Processus Silicomp

Dans le monde du service, Groupe SILICOMP a développé la dimension SOLUTION : c'est à dire la capacité d'accompagner ses clients sur toute la durée d'un projet dans le choix de solutions techniques et organisationnelles.

Amont projet

Management de la performance, efficacité des organisations et du pilotage des services, assistance à la maîtrise d’œuvre et à la maîtrise d'ouvrage, définition de schéma directeur et urbanisation de système d'information.

Accompagnement dans des processus de certification Qualité.

Projet

Développement de logiciels, intégration de systèmes, maîtrise de grands projets, connaissance des outils et des méthodes.


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Aval projet

Support fonctionnel des utilisateurs, maintenance applicative, maintien en conditions opérationnelles.

2.1.2 Organisation du groupe Silicomp

Composé de près de 1000 personnes, Groupe SILICOMP est aujourd’hui implanté en France, en Suisse, en Belgique, à Singapour, en Malaisie, en Inde, aux USA et au Canada.

L’organisation France regroupe trois compagnies :

SILICOMP-AQL : Ingénierie des services, des produits et de la sécurité des systèmes d’information,

SILICOMP Réseaux : Ingénierie et intégration de systèmes et réseaux,

SILICOMP Management : Conseil et accompagnement en management de projets, en qualification et certification de systèmes, formation.

Figure n° 3: Répartition géographique du groupe Silicomp

A l’étranger, le groupe compte les compagnies suivantes :

SILICOMP Suisse : Ingénierie et produits pour le marché suisse ;

SILICOMP Belgium : Ingénierie et produits pour le marché BENELUX ;

SILICOMP Asia : Ingénierie et produits pour les marchés du sud-est asiatique ;

SILICOMP America : Ingénierie et produits pour le marché américain ;

SILICOMP Canada Inc.: Ingénierie et produits pour le marché canadien.

Intégration à Orange Business Service en 2007

Objectif : être la colonne vertébrale de la nouvelle SSII de OBS

OBS souhaite devenir la 5ème SSII Européenne en 2010


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2.1.3 Groupe Silicomp en chiffres

1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006

Chiffre d'affaires1 41 362 80 390 88 610 89 357 77 845 88 330 105 120 Effectifs 458 779 1 001 1 016 911 931 1150 1300

Tableau n°1: Chiffres de Silicomp

2.2 SILICOMP-AQL

SILICOMP-AQL est une filiale du groupe SILICOMP.

SILICOMP - AQL est reconnu pour sa maîtrise de la qualité dans ses prestations en ingénierie logicielle et dans la maîtrise de grands projets.

SILICOMP-AQL vise la « Performance des Systèmes d’Information et de Communication », abordée sous ses différents aspects :

Qualité,

Sécurité,

Productivité et Efficacité,

Capacité à tirer le meilleur parti des nouvelles technologies de l’Information et de la Communication.

SILICOMP-AQL accompagne les entreprises de diverses manières selon leurs contextes spécifiques :

Définition, développement, maintien en condition opérationnelle de systèmes d’information ;

Conseil (amélioration des processus, appropriation de ces nouvelles technologies et de nouveaux systèmes d’information, conception de nouveaux services …) ;

Expertises techniques (sécurité des systèmes d’information, imagerie, télécoms, technologies I-net, fusion de données, Multimédia, TV numérique…) ;

Accompagnement pour la maîtrise de projets (en maîtrise d’ouvrage ou en maîtrise d’œuvre).

2.2.1 Des équipes de Qualité

Depuis plus de 15 ans, SILICOMP – AQL s’attache à développer et à enrichir son savoir-faire :

Technologique : maîtriser les technologies les plus récentes implique de savoir – au-delà des effets de mode – évaluer, identifier et mettre en œuvre les nouveaux outils permettant de concevoir des architectures, de réaliser des systèmes performants, évolutifs et réellement pérennes,

Méthodologique :

1 En milliers d’euros


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Dans le management de projet : par une analyse préalable des enjeux et des risques liés à chaque contexte, leurs équipes veillent à définir et à mettre en place le processus de développement et les mesures d’assurance qualité les mieux adaptés, permettant d’atteindre au meilleur coût les objectifs de ses clients.

Dans l’approche technique de nos missions : l’évolution permanente des technologies et des référentiels méthodologiques leur impose de faire évoluer leurs pratiques en fonction de l’état de l’art.

Pour atteindre ces objectifs, la qualité des équipes, leur engagement et leur capacité à s’adapter à de nouveaux contextes sont fondamentaux :

Par des relations étroites avec des établissements d’enseignement supérieur et de recherche.

Par le recrutement de consultants juniors ou plus expérimentés.

• Par une politique de formation continue.

Par l’évolution permanente du Système Qualité SILICOMP-AQL.

Spécialisée dans la mise en œuvre des nouvelles technologies, SILICOMP-AQL dispose d’équipes éprouvées, aux compétences complémentaires (qualité, sécurité, systèmes d’informations, réseaux, etc.) qui lui permette d’offrir une approche globale dans la définition des systèmes de ces clients.

2.2.2 Une capacité à s’engager

SILICOMP-AQL est garant de la qualité des résultats de ses missions. De plus, SILICOMP-AQL réalise la majorité de ses activités dans le cadre d’engagements au forfait. elle est donc habituée à la prise d’engagements de résultats.

2.2.3 Un positionnement sur les nouvelles technologies de l’information

SILICOMP-AQL est spécialisée dans les nouvelles technologies de l’information. Ses compétences sont particulièrement fortes dans les domaines :

des architectures de systèmes d’information complexes et distribués,

des télécommunications, des réseaux et de l’image,

de la sécurité,

du multimédia.

Notre politique de positionnement sur ces nouvelles technologies s’appuie sur :

des efforts de R&D visant à maîtriser ces nouvelles technologies,

une politique de partenariat avec les éditeurs dont l’objectif est :

o d’être constamment « à l’état de l’art » et d’acquérir les premières versions des différents produits, afin de les évaluer avant leur disponibilité réelle,

o d’associer les compétences des éditeurs aux sienne pour disposer d’une offre complète.

La volonté d’être présent sur les technologies innovantes a conduit SILICOMP-AQL à investir significativement sur les technologies comme les architectures n-Tiers, le WAP, le XML, les serveurs d’applications (Tomcat, WebSphere, WebLogic, SunOne, …), les portails Web et collaboratifs, les PKI… Ceci confirme sa volonté de demeurer acteur de ces nouvelles technologies.


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2.3 La méthodologie SILICOMP - AQL

2.3.1 Le pôle de production en ingénierie Logicielle

60 % de son activité est réalisée dans le cadre de projets à engagement de résultat.

SILICOMP-AQL est certifiée ISO 9001 : 2000 tant pour le développement de logiciel au forfait que pour son activité d’assistance technique. SILICOMP-AQL es accréditée COFRAC ISO17025 1-0938 : laboratoire d’essais au titre du CESTI (Centre d’Evaluation de la Sécurité des technologies de l’Information)

2.3.2 Une maîtrise des technologies

Dans ses domaines technologiques cibles, le Groupe SILICOMP s’est doté de pôles de compétences dont les missions sont : se maintenir à l’état de l’art (en particulier par le biais de projets de recherche), renforcer la compétence (partenariats éditeurs et constructeurs, formations), animer l’offre technologique, organiser et diffuser le support auprès de l’ensemble du groupe.

La démarche de veille technologique de ses pôles de compétences s’inscrit dans une démarche volontariste et structurée.

Elle se concrétise en particulier par la participation à des programmes de recherche : projets européens. programmes d’Études Amont (projets de recherche dans un contexte militaire).

Le périmètre des compétences et savoir-faire est détaillé dans le schéma ci-après :

Développement d’Application Web

Serveurs d’application

Environnement BEA Weblogic, environnement IBM Websphere Application Server, Apache Tomcat, JBoss, JONAS, SilverStream, SunOne Web Server, Microsoft .NET/ IIS

Langages

Java, JSP, Servlet, Filtre, Bean, EJB (Session, Entity, Message Driven Bean), conteneurs légers (Spring), environnements .NET.

Framework applicatif MVC

Struts, JSF, Turbine, MVCWeb, Spring MVC.

Web Services

SOAP+ WSDL (Apache SOAP, Apache Axis, JWSDK, WASP, .NET)

Framework de persistance Objet

Hibernate, Xcalia, Speedo, Kodo JDO, iBatis SQL, Oracle Toplink

Environnements de développement

Eclipse, MyEclipse, WSAD, Netbeans, JBuilder, Web Matrix, Visual Studio .NET

Développement Web

N°1992/412


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Serveur http

Apache, Microsoft IIS, Netscape iPlanet, IHS (IBM HTTP Server)

Langages

C++, CGI, Perl, Python, PHP, ASP, ASP.NET, JSP

Publication

HTML, DHTML, XHTML, Javascript, CSS, WML, XML, XSLT

Moteurs d’indexation

Lotus Extended Search, TOPIC/VERITY, Microsoft IndexServer.

Sources de données et référentiels

Environnements SGBD

Sybase, Oracle, Informix, SQL Server, MySQL, Postgres

Annuaire LDAP

OpenLDAP, iPlanet Directory Server, Microsoft Active Directory, Novell eDirectory

Système de gestion documentaire

Documentum, Filenet, LiveLink et Sharepoint

CMS

Jahia, Lutece, SPIP, Documentum, Environnement Lotus Notes

XML et interopérabilité

Modélisation Manipulation

DTD, Schema XML, RELAX NG, Schematron SAX1, SAX2, DOM, JDOM, XOM

Transformation Accès aux données

XSLT, XPath, XSL-FO Sérialisation / mapping (JAXB / Castor)

Technologie des objets

Langages Architectures distribuées

JAVA, C++, C, Eiffel, Smalltalk, Pascal Objet, ADA CORBA, RMI/IIOP

Tests, Validation et injecteurs

Tests unitaires Injecteurs

Junit, Cactus, JunitPerf JMeter, OpenSTA

Infrastructure

Systèmes d’exploitation Architecture

Environnements Windows, Environnements Unix, Sun Solaris, HP –UX, IBM AIX

LAN, WAN, MAN, WIFI, SAN

Qualité de service Equipement

Priorisation de flux, politique de QoS, DIFSERV, INTSERV

Proxy, reverse proxy, accélérateur de flux, appliance, routeur, équilibrage de charge, VPN, IPSEC, SSL

Tableau n°2: Compétence SILICOMP


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2.3.3 Des méthodologies de développement éprouvées

SILICOMP-AQL dispose d’expériences significatives dans toutes les méthodes de développement d’application informatique : cycle en V, en W, itératif, extreme programming…

Toutes les phases de réalisation forfaitaire sont parfaitement maîtrisées.

Aujourd’hui sont identifiées les phases suivantes: définition du besoin, conception ergonomique : réalisation d’une maquette, réalisation des spécifications fonctionnelles, rédaction du dossier d’architecture logicielle, développement : méthodologie cycle V, W, extreme programming… qualification : VAU, intégration et tests associés, assistance VABF.

Par la maîtrise et le respect des règles de conception et modélisation des projets, Silicomp propose une démarche modulaire permettant la réutilisation de composants front ou back-office.

Définition du besoin

Liste des étapes liées à cette phase : étape 1 : cadrage de la prestation avec réunion de lancement, étape 2 : entretiens avec les principaux acteurs (étude, exploitation et utilisateurs) étape 3 : analyse suite au recueil d’informations étape 4 : restitution des résultats

Cette phase peut être optionnelle en fonction de l’expression de besoin reçue. Conception générale

Au cours de cette phase, il faut préciser tout d'abord l'architecture matérielle et logicielle qui sera utilisée. En réponse au cahier des charges un document de conception générale (DCG) est rédigé, précisant notamment : les technologies utilisées, les éventuelles interactions avec d'autres applications, les sources de données, les fonctionnalités et leur emplacement dans les pages, …

Ce DCG est validé par la MOA, souvent accompagné de maquette(s), avant de poursuivre les étapes de réalisation proprement dites.


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Conception technique du système

Lors de cette phase, est arrêtée et définit l’architecture technique (n-tiers) à mettre en œuvre dans le cadre du projet afin de répondre aux exigences et de rendre les services prévus lors des phases de spécification. A ce moment du projet, la prise en compte de la politique de sécurité liée à l’implémentation du système doit être finalisée.

Chaque objet ou composant est détaillé de façon précise, en spécifiant les données en entrée, les données en sortie, et en précisant le mode opératoire utilisé. Tous ces éléments sont consignés dans un Dossier de Conception Détaillée (ou DCD).

C'est aussi au cours de cette phase qu’est rédigé le plan de tests unitaires (ou PTU).

Toute la conception est réalisée avec le processus unifié et la notation « Unified Modeling Language » (via les outils MEGA ou Rational Rose). Ensuite est généré le Modèle Physique de Données conforme au Modèle Conceptuel de Données (Modélisation MERISE) de la base (via les outils MEGA ou POWER AMC).

Une fois le système conçu et l’architecture système arrêtée, à lieu l’étude de différents scénarios de déploiement et de migration. Pour chaque scénario, est précisé les configurations réseaux et systèmes, les contraintes de déploiement, les procédures d’administration, les acteurs concernés, les risques engendrés, les avantages et inconvénients. Le choix du scénario de déploiement est fait avec l’administration, et peut donner lieu à la rédaction du Dossier de Mise en Production (ou DMP). Dans ce document, est définit éventuellement le plan de migration des données existantes.

Ergonomie maquette

Suivant les besoins du client une étude ergonomique et définition d’une charte graphique peuvent être menées avec implication d’experts ergonomes et infographistes.

Dans tous les cas la réalisation de maquettes permettant la validation et la prise en compte de remarques utilisateurs au plus tôt dans le processus est préconisée. Ces maquettes présentent statiquement les IHM et les enchaînements d’écran, navigation au sein du système.

Réalisation

L’équipe de développement s’appuie sur le dossier de conception détaillée complet de l’application ainsi que sur la ou les maquette(s) réalisée(s), afin de mettre en œuvre les différents modules de l’application. Les modules sont intégrés au fil de l’eau en enrichissant un prototype sur la plate-forme de développement afin de construire l’application, et de les tester unitairement.

Lors de cette phase, sont appliquées les normes de programmation SILICOMP-AQL en vigueur et les préconisations du client, ainsi que les différents éléments méthodologiques et qualité définis dans le PAQ du projet. Le code est relu par échantillonnage.

Un guide utilisateur et un manuel d’exploitation sont rédigés afin de faciliter la prise en main du système par l’utilisateur et par les administrateurs. Ces guides peuvent servir pour la génération de l’aide en ligne si cette dernière est demandée par le client.

Qualification, validation usine (VAU)

SILICOMP-AQL doit réaliser une validation interne (ou VAU – Vérification d’Aptitude Usine) complète du système, elle permet de livrer un produit sûr. Pour cela, est utilisé un dossier de Tests et de Validation conforme au dossier de Définition Fonctionnelle de Besoin et au dossier de conception du site


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Une plateforme de test dédiée est systématiquement utilisée.

Un bilan est présenté au client avant la livraison. Phase d’intégration

La phase d'intégration s'effectue à partir du Dossier de Tests et de Validation défini lors des phases de conception. Les scénarios de tests qui y figurent sont déroulés un à un, et les résultats sont là aussi consignés dans un journal de tests. Chaque test peut donner lieu à la création d’un jeu de test spécifique. Les anomalies sont classées en trois catégories : bloquante, l'intégration est stoppée et retourne en phase de développement pour être corrigée. majeure, l'intégration continue, mais l'application devra être corrigée avant mise en production. mineure, l'intégration continue, mais l'application devra aussi être corrigée avant mise en

production.

L'intégration est aussi mise à profit pour rédiger la documentation devant accompagner le projet (guide utilisateur, d'exploitation, …).

Cette phase peut être optionnelle en fonction des équipes projet du client. Il est conseillé néanmoins de prévoir un minimum d’implication de l’équipe projet de SILICOMP-AQL dans l’intégration afin de contribuer au transfert de connaissance et formation du client.

Phase de recette et de déploiement

Afin de faciliter le maintien en condition opérationnelle du système, un dossier de livraison du site est constitué : dossier d’intégration, procédure d’installation, fiche de version, dossier de production de contenu…

Ensuite, le client est accompagné lors de l’installation de l’application sur la plate-forme de recette, et la MOA est assistée à la recette de l’application pour la VABF (Vérification d’Aptitude au Bon Fonctionnement) et à la VSR (Vérification en Service Régulier).

Mise en production

Après validation par la MOA, l’application peut-être mise en production. Un dossier de mise en production est pour cela transmis, contenant les programmes, les paramètres nécessaires à leur bon fonctionnement, les différents manuels (création, exploitation).

En fonction des besoins client des prestations supplémentaires peuvent être envisagées : Transfert de compétences, formation, Maintien en condition opérationnelle, Tierce Maintenance Applicative.


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3 STAGE DE FIN D’ETUDE

3.1 Le portail mobile d’information touristique

3.1.1 Contexte

La téléphonie mobile est un enjeu majeur depuis quelques années pour les opérateurs. Régulièrement, de nouveaux services sont lancés afin de satisfaire les besoins potentiels des consommateurs. Et cela grâce au avancé technologique des mobiles comme par exemple l’accès à Internet avec des débits de plus en plus rapide. Un des derniers en date est la géolocalisation. Elle permet de fournir des informations en fonction de la position géographique de l'utilisateur.

La géolocalisation peut avoir de nombreuses applications dans des domaines très éloignés. Comme par exemple, un particulier peut l'utiliser pour trouver le cinéma ou le restaurant le plus proche, avoir des informations touristiques sur le lieu qu'il visite. Des parents soucieux peuvent localiser leur enfant à tout moment. Les professionnels peuvent localiser leurs véhicules, suivre le personnel, les livraisons et détecter un éventuel problème. Pour les autorités, la géolocalisation peut être d'une grande aide pour avoir des informations sur les personnes victimes d'un kidnapping, surveiller les déplacements de suspects ... Elle permet également de retrouver une personne après un appel de détresse mais n'ayant pas pu donner sa position.

La géolocalisation nous sera donc très utile pour donner à l’utilisateur de notre portail mobile des informations touristique selon sa position réelle ou à proximité.

Le portail sera facilement accessible via le navigateur web d’un mobile et permettra à

n’importe quel touriste de visualiser des données touristiques selon ces choix. L’utilisateur n’aura plus à utiliser un pc portable et être à proximité d’une borne Wifi, ni même se rendre à l’agence du tourisme. Il pourra obtenir toutes les informations touristiques de la région à partir de son téléphone portable et ceci de n’importe quel endroit.

Cependant il existe aujourd’hui une multitude de terminaux mobiles, ne facilitant pas la tâche des développeurs lorsqu’il faut adapter le contenu qui doit être diffusé, afin de le rendre compatible avec les différents appareils présents sur le marché.


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4 OBJECTIF

4.1 Rappel du sujet L’objectif du stage consiste à étudier et à mettre en place un portail Internet pour des

terminaux mobiles, qui offrira principalement des informations touristiques utiles et ciblés à l’utilisateur en fonction de sa position.

4.2 La solution mise en place Un portail Internet a été réalisé à l’aide d’un outil « CMS » (Content Management System,

en français Gestion de contenu). C’est un site web disposant de fonctionnalités de publication et offrant en particulier une interface d'administration (back-office) permettant à un administrateur de site de créer ou organiser les différentes rubriques.

Les articles et le contenu du site à fournir aux utilisateurs sont stockés dans une base de données et les templates réalisé (modèles de pages) permettent de définir la présentation du contenu.

Le CMS utilisé pour répondre au besoin est EzPublish. EzPublish est un système de management de contenu Open Source.

Les avantages d’un système CMS : • Le contenu et le design (présentation) sont indépendants. • Le contenu peut être publié sur différent design. • La configuration des designs permet facilement de basculer d’un design à un autre.

Figure n° 4: Schéma de présentation d’un CMS

Un module de géolocalisation permet de pousser, à l’utilisateur du portail touristique, des

informations relatives à sa position géographique. Le système de géolocalisation a été déterminé lors de la phase d’étude de faisabilité autour des systèmes de géolocalisation mobile (réf : Etat de l’art sur la géolocalisation).


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4.2.1 Architecture du système

Ce schéma d’architecture montre les interactions du système et des acteurs. Rappel :

le portail mobile d’information touristique est accessible au mobile possédant un accès Internet par réseau Wifi ou 3G par exemple. L’application de géolocalisation, à télécharger sur le mobile de l’utilisateur, est facultative pour utiliser le portail touristique mais la localisation passera alors en mode manuel.

Figure n° 5: Architecture du système.

Serveur Web

Système de géolocalisation

Portail Mobile Touristique

Réseau 3G, Edge, …

Internet

Page Internet Mobile fournit par le Serveur Web.

Antenne Relais

Système de géolocalisation Automatique

Le système de géolocalisation est téléchargé sur le mobile à partir du portail touristique.

L’utilisateur entre l’adresse du portail sur son navigateur web de son mobile.

Navigateur web

Réseau Wifi et Hot Spot

Navigateur web


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4.2.2 Acteurs du système Liste des acteurs amenés à interagir avec le portail d’information touristique :

Le Touriste :

Le touriste sera la personne utilisant le portail mobile pour visualiser les informations touristiques qu’il désire. Cet acteur représente de façon générale les touristes. Le touriste a besoin de connaître les lieux à visiter, les horaires d’ouverture de ces lieux mais aussi le moyen de se rendre sur ces lieux touristiques. Il veut aussi connaître les activités, les restaurants disponibles à proximité de son lieu de vacances. Les informations demandées par le touriste pour garantir un bon séjour sont nombreuses.

Le Professionnel du tourisme :

Le professionnel du tourisme est un utilisateur du portail. Son rôle est de présenter aux touristes les activités touristiques et autres informations en relations avec le tourisme. Il utilise pour cela tous les supports à sa disposition.

Les Providers d’informations touristique :

Les providers veulent apporter un maximum d’informations aux touristes pour garantir une visite ou un séjour agréable aux touristes et qu’ils puissent découvrir un maximum de choses. Les providers fournissent le contenu d’information touristique pour différents supports. Le support demandé dans notre cas est le mobile. Le contenu des informations touristiques, à diffuser par le provider, est détaillé dans un autre chapitre du document.


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5 ETAT DE L’ART SUR LA GEOLOCALISATION

5.1 Principes et fonctionnement de la géolocalisation GSM

La géolocalisation peut avoir de nombreuses applications dans des domaines très éloignés. Le particulier peut l'utiliser pour trouver le cinéma ou le restaurant le plus proche, avoir des informations touristiques sur le lieu qu'il visite. Les parents soucieux peuvent localiser leur enfant à tout moment. Les professionnels peuvent localiser leurs véhicules, suivre le personnel, les livraisons et détecter un éventuel problème. Pour les autorités, la géolocalisation peut être d'une grande aide pour avoir des informations sur les personnes victimes d'un kidnapping, surveiller les déplacements de suspects ... Elle permet également de retrouver une personne après un appel de détresse mais n'ayant pas pu donner sa position.

Mais la géolocalisation peut donner lieu à de nombreux abus et nuire à la vie privée de l'utilisateur.

En général, l'utilisateur doit s'inscrire au service et donner son accord à chaque géolocalisation ou en être averti. Il doit aussi pouvoir revenir sur sa décision simplement et gratuitement.

5.1.1 Périmètre de l’étude sur la géolocalisation GSM

Il existe plusieurs technologies de géolocalisation. Elles se basent soit sur le réseau

mobile GSM soit par satellite avec le GPS. Notre périmètre va se limiter simplement à la géolocalisation par mobile. En considérant que cette géolocalisation est réalisé à partir du réseau GSM du mobile et non pas par la puce GPS implanté dans certain mobile.

5.1.2 Description d’un système de géolocalisation

La localisation cellulaire se passe totalement des satellites GPS. La géolocalisation par GSM est basée sur l'IMEI (International Mobile Equipement Identify) lié au mobile. Il s’agit d’un code unique composé de 15 chiffres. Lorsqu'un utilisateur s'identifie à un réseau mobile, son numéro IMEI est transmis au système de gestion de l'opérateur afin de pouvoir l'autoriser à utiliser les différentes options disponibles. Cette démarche est complètement transparente pour l'utilisateur et se fait de manière automatique.

Cette localisation par mobile a un avantage par rapport au système GPS, c’est qu’elle utilise le réseau GSM, qui fonctionne aussi à couvert : dans les étages des bâtiments, les entrepôts, les tunnels (dont beaucoup sont désormais équipés pour le GSM) et souvent les garages et parkings. Ces situations sont très courantes dans la vie quotidienne, notamment professionnelle.

Il existe plusieurs moyens de connaître la position d’un mobile lorsqu’il est en fonction.

Celui-ci n’a pas besoin d’être en communication pour qu’on puisse le localiser.


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Figure n° 6: Description d’un système de géolocalisation

5.1.3 Les différentes technologies de géolocalisation GSM :

5.1.3.1 Cell ID (Identification de cellule) :

C'est la technologie la moins onéreuse car il n'y a pas de matériel à mettre en place. Du moment que le portable est dans une zone couverte par le réseau, il se connecte à une antenne relais GSM (Base Transciever Station). C'est à partir de l'identification de cette antenne que l'on peut localiser le portable. Cette identification est appelée Cell ID (Identification de cellule ou adresse de BTS). Cette localisation est très rapide (moins de 5 secondes) mais elle est peu précise car elle dépend du nombre d'antennes relais et de leur rapprochement (plus l'antenne est isolée, plus la zone de couverture est vaste et moins la localisation est précise). En zone urbaine, la précision varie entre 100 et 700 mètres. Alors qu'en zone rurale, cela peut aller jusqu'à 10 kilomètres.

Réseau

Application de géolocalisation cliente.

Navigateur web

Application de géolocalisation cliente pour mobile.

Navigateur web

Mobile à localiser

Système de localisation

Internet Réseau GSM


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Représentation d’un mobile connecté à une antenne relais (BTS).

Figure n° 7: Zone de couverture d’une antenne relais.

Représentation des couvertures réseau en zone urbaine et rurale :

Figure n° 8: Zone de couverture d’une antenne relais en zone rurale et urbaine.

Zone de couverture de l’antenne

Connexion établie avec l’antenne.


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5.1.3.2 Le différentiel de temps - (Enhanced Observed Time Difference) :

La deuxième méthode de localisation d'un mobile est liée à l'émission d'un signal.

Cette solution est possible pour autant que le mobile soit équipé de cette possibilité. Deux technologies peuvent contribuer à localiser un utilisateur via le réseau. La précision offerte par cette méthode va de 50 à 100 mètres. Elles nécessitent cependant une mise à jour importante du réseau GSM actuel. Il s'agit de:

Enhanced Observed Time Difference. Le terminal mobile envoie un signal vers l’antenne relais la plus proche qui le renvoient vers le terminal de l'utilisateur. En calculant le temps mis par le signal pour revenir vers le mobile, celui-ci peut être localisé.

Uplink Time of Arrival. Le schéma est quasi-identique au précédent, mais c'est le terminal de l'utilisateur qui joue le rôle de miroir à la place des antennes relais.

Ce temps de réponse calculé est fonction de la vitesse de propagation du signal dans l’air. Cette vitesse de propagation peut être affecté selon l’environnement (mur, bâtiment, tunnel, colline, grillage, …).

Représentation d’un mobile déterminant le différentiel de temps :

Figure n° 9: Zone de localisation par calcul de différentiel de temps.


Signal transmis

Zone de localisation.


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5.1.3.3 La triangulation :

La troisième méthode de localisation d'un mobile consiste à utiliser les informations

provenant d'un contrôleur d’antenne relais (Base Station Controller). Il s'agit d'établir un rapport de distance d'un mobile entre trois antennes BTS. Le mobile évalue l'intensité des signaux qu'il reçoit en provenance des relais et peut ainsi déterminer sa position. Ce calcul s'effectue par la valeur de la puissance du signal radio reçu du mobile, ce qui permet d'évaluer la distance qui le sépare des trois BTS. Elle a pour avantage de positionner un mobile de manière plus précise qu'une adresse BTS. Toutefois, la précision va dépendre de la densité des antennes.

Cette technique nécessite l'installation préalable d'un programme java sur la carte SIM du portable. Le terminal mobile doit envoyer le résultat de cette information à un serveur qui calcule la localisation dans le réseau. La localisation s'effectue en environ cinq secondes et est plus précise que le Cell-ID : de l'ordre de 150 mètres en zone urbaine et 5 kilomètres en zone rurale.

Figure n° 10: Zone de localisation par triangulation.



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5.1.3.4 Triangulation combinée (EOTD)

Cette autre méthode permet d’être encore plus précis que les 3 précédentes car elle combine la méthode de triangulation et la méthode de différentiel de temps.

La méthode de triangulation nous permet de déterminer les 3 antennes les plus proches du mobile ce qui nous donne une première zone où se situe le mobile. Ensuite le mobile envoie un signal au trois antenne. Celles-ci lui retournent ce même signal. C’est la méthode de différentiel de temps sur les 3 antennes. On calcule donc une nouvelle zone triangulaire beaucoup plus petite. La précision offerte par cette méthode va de 50 à 100 mètres.

La zone en violet représente la première zone de localisation à partir de la l’étape de triangulation :

Figure n° 11: Zone de localisation par EOTD.

Zone de localisation du mobile.


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5.2 Solution applicative étudié

5.2.1 Méthodes de localisation centralisée (mode Cell-Id) :

Actuellement les opérateurs utilisent la méthode cellulaire, c'est-à-dire l’identification de cellule (réf. : 3.1.1.1 Cell ID). Cette méthode est peu coûteuse, elle ne demande aucune installation auprès du client et elle n’est pas restreinte au type du mobile du client.

Chaque opérateur fournis une API ou interface pour utiliser leur service de localisation. Il s’agit d’un service web utilisable via une connexion web et chaque opérateur à sa tarification selon son utilisation.

On peu ainsi à partir d’une application web utiliser l’API d’un opérateur pour localiser un mobile. Il suffit simplement de connaître son numéro de téléphone mobile. La personne localisée par son mobile n’est pas censé savoir qu’elle est en train d’être localiser. En effet aucune action de la part du mobile n’est a effectué pour être localiser. Le mobile doit seulement être allumé et connecté à un réseau d’opérateurs mobiles. Certaines APIs envoient un message de confirmation au mobile localisé.

Dans les zones en vert sur le schéma suivant, on retrouve les 2 types d’utilisation des applications de géolocalisation. L’utilisation la plus standard se fait à partir d’un ordinateur via le navigateur web et l’autre utilisation se fait directement sur mobile. Les utilisateurs doivent posséder une connexion web et exécuter l’application à partir de leur navigateur web dans la plus part des cas.


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Figure n° 12: Architecture de localisation par méthode centralisée.

Les applications de géolocalisation viennent récupérer les informations de positionnement sur le web service d’un opérateur mobile selon le mobile à localiser. Elles retournent l’information de positionnement du mobile avec les données géographique pour faciliter la localisation. Les informations envoyées aux utilisateurs de type mobile sont traduites différemment selon le type de mobile de l’utilisateur.

Exemple d’un résultat de localisation d’un mobile sur une application de géolocalisation cliente pour mobile :

Application de géolocalisation cliente.

Navigateur web

Web service de localisation mobile.

Opérateur Mobile 1

Opérateur Mobile 2

Opér …

Middleware de l’application de géolocalisation

Passerelle Applicative

Passerelle Opérateur

Passerelle SIG

Passerelle Mobile

Passerelle Administration

Système d’information géographique

Système d’information Utilisateur

Internet Internet

Application de géolocalisation cliente pour mobile.

Navigateur web Mobile à localiser

Réseau GSM


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Figure n° 13: Application de localisation sur mobile.

La zone bleu claire centrée par le point bleu représente une approximation de la zone de localisation du mobile.

5.2.2 Méthode de localisation répartie sur mobile - Mode Cell-ID

Cette méthode permet d’être complètement indépendant de l’opérateur. En effet,

chaque mobile est connecté à une antenne relais (cellule) pour entrer en communication. Le numéro de cette cellule est enregistré dans les propriétés du mobile. Le numéro Cell-ID est accessible via une API standard en J2ME maintenant implémentée sur de nombreux mobiles. Il suffit de bien connaître les noms des propriétés disponibles de chaque constructeur de mobile. Exemple de propriétés pour Sony Ericsson :

Cell-Id : System.getProperty("com.sonyericsson.net.cellid")

Local Area Code (LAC) : System.getProperty("com.sonyericsson.net.lac")

Pour localiser maintenant la cellule sur laquelle le mobile est connecté, il suffit d’utiliser un service web de localisation de cellule GSM. Le premier service web étudier a été celui d’OpenCellId.org (réf. : http://www.opencellid.org/). Cette API offre malheureusement une base de cell-ID incomplète.

L’étude a donc été portée vers une autre API, celle de Google Maps Mobile. Son utilisation ne demande aucune authentification ou clé d’accès au service. La base de cell-


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ID semble plus complète. (3 tests ont été réalisé : en zone urbaine, extra urbaine et zone rurale. Ils se sont réalisés avec succès.) La requête vers cette API, nous retourne les coordonnées GPS de la cellule.

Exemple de coordonnée pour la cellule n° 327880 :

Latitude : 47.2712 et Longitude : -1.519831

La localisation peut être poussée plus loin, en utilisant un géocodeur pour transformer les coordonnées GPS en adresse postale. Le service web de Google Maps offre une api pour géocoder une adresse ou des coordonnées GPS.

Remarques : Son utilisation demande une clé d’accès au service, il y a aussi des limitations d’accès. L’accès est limité à 15.000 requêtes / 24H et par IP.

En zone rurale, les antennes sont souvent implantées dans des champs ou des zones sans adresses précises, contrairement en zone urbaine où les antennes se trouvent directement sur les bâtiments. Dans ce cas, le géocodeur retourne une adresse soit avec le nom de la route la plus proche ou sinon simplement le code postale et le nom de la commune où l’antenne se situe.

Voici le résultat du géocodeur pour les coordonnées de la cellule n° 327880 :

- 491 Route de Saint Joseph, 44300 Nantes France


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Voici l’architecture du système de localisation Cell-Id répartie sur mobile :

Figure n° 14: Architecture de localisation par méthode répartie sur mobile.

5.2.2.1 Utilisation détaillée de la solution

Cette étude de faisabilité sur la méthode de localisation embarquée sur mobile a été réalisée à partir d’une Midlet J2ME. L’utilisation de cette méthode de localisation via un site mobile ne serait pas une solution favorable pour l’utilisateur. En effet celui-ci serait dans l’obligation de télécharger la Midlet à chaque utilisation comme une applet dans un site traditionnel. Les coûts en terme de communication réseau Internet deviennent donc trop importants. De plus, il n’existe encore aucun autre moyen de récupérer les propriétés du mobile qu’au travers l’API système en J2ME.

API de géolocalisation www.google.com/glm/mmap

API de géocodage http://maps.google.com/maps/geo?

Geocode Système d’information géographique

GetInfoCell Système d’information Cellule

Réseau GSM

Interface Web

Firmware

GetProperty (Cell-Id, LAC)


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1ère étape : Récupération du numéro Cell-ID

La Midlet récupère le numéro de Cell-Id enregistré dans le mobile ainsi que le numéro LAC (Local Area Code). Ces informations sont des propriétés du mobile. Chaque constructeur de mobile à ses propres propriétés. Exemple :

Mobile Sony Ericsson Supporté par tous les mobiles possédant la plateforme Java 7.3 minimum

2nd étape : Coordonnées de la cellule

Cette seconde étape permet de localiser la cellule sur laquelle le mobile est connecté. Pour cela, on se connecte à un service web de localisation de cellule. Celui-ci doit nous retourner ensuite les coordonnées géographiques de la cellule passée en paramètre. Exemple avec l’API OpenCellId :

Utilisation de l’API OpenCellId:

http://www.opencellid.org/cell/get?key=myapikey&mnc=1&mcc=2&lac=200&cellid=234

Détails des paramètres à fournir: - key = clé d’accès à l’api - mnc = Mobile Network Code (numéro stocké dans les propriétés du mobile) - mcc = Mobile Country Code (numéro stocké dans les propriétés du mobile) - lac = Local Area Code (numéro stocké dans les propriétés du mobile) - cellid = numéro de cellule (numéro stocké dans les propriétés du mobile)

Valeur de retour:


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3ème étape : Transformation des coordonnées en adresse postale

A partir des coordonnées GPS (Latitude et Longitude), on peut déterminer l’adresse postale correspondante la plus proche de ces coordonnées. Pour cela, la Midlet utilise une seconde API.

Utilisation de l’API GeoCodeur: http://maps.google.com/maps/geo?q=47.23568,-

1.5975&output=csv&oe=utf8&sensor=false&key=ApiKey Détails des paramètres à fournir: q = Latitude,Longitude output = format de la réponse (valeur possible : xml, kml, csv) oe = encodage de la réponse sensor = Indique si la demande de géocodage vient d'un GPS key = clé d’accès à l’api

Valeur de retour: 200, 8, ‘’491 Route de Saint Joseph, 44300 Nantes France’’ 200 : code de retour (ici : l’adresse a été trouvé avec succès) 8 : Précision de l’adresse retournée (valeur de 0 à 9) ‘’Adresse’’ : adresse postale correspondant aux coordonnées, elle dépend de la

précision.


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Résultat sur émulateur

Figure n° 15: Emulateur mobile.


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5.3 Activation de la localisation à distance

5.3.1 Méthode d’activation par SMS ”Push Registry”.

Le « Push Registry » est mécanisme puissant ayant la capacité de recevoir et d’agir sur des évènements asynchrone. Cela évite de garder des applications en attente d’évènement et d’utiliser des ressources systèmes inutilement.

Le système de Push Registry s’active sur les Midlets de façon statique ou dynamique.

Plusieurs méthodes de Push existent : - Alarme (minuterie) - Démarrage automatique (au démarrage du mobile) - Sms (lors de la réception d’un sms) - Socket (connexion tcp) - Datagram (connexion udp)

Diagramme de séquence du réveil des applications :

Figure n° 16: Diagramme de séquence du mécanisme Push Registry.

L’activation du « Push Registry » sur une Midlet en mode statique s’effectue lors de l’installation de midlet. La midlet s’enregistre au près de L’API PushRegistery. Le système de management d’application se met ensuite en attende de connexion entrante. Ensuite dès l’interception d’une connexion entrante, il démarre la Midlet correspondant à cette connexion.

5.3.2 Scénario d’activation à distance de notre midlet MobileGeoloc.

Le scénario suivant montre comment le module de géolocalisation (Midlet

MobileGeoloc) se comporte de façon autonome. C’est grâce à son démarrage à distance par l’envoi d’un sms.

Le démarrage automatique de la Midlet par le service de message permet de ne consommer aucune autre ressource système supplémentaire. Le seul inconvénient est le


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coup du sms à chaque démarrage de la Midlet. En revanche, la connexion par socket serait moins avantageuse car elle demanderait une connexion internet en permanence et des ressources systèmes supplémentaires.

Figure n° 17: Architecture de localisation par méthode répartie sur mobile.

1 - Téléchargement de la Midlet

2 - Installation de la Midlet

SMS Push Registry 3 – La Midlet active le démarrage

automatique par sms suivant un port spécifique. L’AMS est en écoute sur le port spécifié par la Midlet.

sms

4 – Le mobile se connecte au serveur et s’identifie avec son numéro de téléphone.

Application Management System

Internet

4

5

3 2

1

5 – Le serveur envoie un sms au mobile.

6 – Le Système de Management d’Application démarre la midlet de géolocalisation MobileGeoloc.

6

HTTP


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5.4 Résultat des tests pour la méthode de localisation répartie sur mobile.

La midlet de localisation a été testé sur 4 mobiles différents et avec 2 opérateurs différents.

1er test sur un mobile Orange :

Mobile Sony Ericsson W910 Opérateur mobile Orange type de réseau 3G Service d’activation Push SMS Ok Service d’activation Push Socket ou Datagram

Nok

Accès au à la propriété cellid du mobile Ok Accès à l’API web de localisation cell-Id Ok Réponse du service Ok Accès à l’API web géocodeur Ok Réponse du service Ok Temps de réponse globale <9s

2nd Test connecté directement à Internet par le réseau Wifi: (l'opérateur ne dépend

pas de ce type de réseau) :

Mobile Nokia N95 Opérateur mobile Orange type de réseau Wifi Service d’activation Push SMS Ok Service d’activation Push Socket ou Datagram

Nok

Accès au à la propriété cellid du mobile Nok Accès à l’API web de localisation cell-Id Ok Réponse du service Ok Accès à l’API web géocodeur Ok Réponse du service Ok Accès à l’API web check IP Ok Accès à l’API web localisation IP Ok Temps de réponse globale <9s

3ème Test sur mobile d’un autre opérateur :

Mobile Sony Ericsson W595 Opérateur mobile Bouygues Telecom Type de réseau Edge Service d’activation Push SMS Ok Service d’activation Push Socket ou Datagram

Nok

Accès à la propriété cellid du mobile Ok Accès à l’API web de localisation cell-Id Ok Réponse du service Ok Accès à l’API web géocodeur Ok Réponse du service Ok Temps de réponse globale <9s


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4ème Test sur mobile connecté au réseau Wifi :

Mobile LG KF757 Opérateur mobile Orange Type de réseau Wifi Service d’activation Push SMS Ok Service d’activation Push Socket ou Datagram

Nok

Accès à la propriété cellid du mobile NoK Accès à l’API web de localisation cell-Id Ok Réponse du service Ok Accès à l’API web géocodeur Ok Réponse du service Ok Accès à l’API web check IP Ok Accès à l’API web localisation IP Ok Temps de réponse globale <9s

On remarque que tous les mobiles ne peuvent pas être géolocalisés par la méthode

de Cell-Id. Il est utile d’utiliser d’autre moyen de localisation si le mode Cell-Id ne fonctionne pas. Le service d’activation par Push Sms reste le seul moyen efficace d’activer un programme Java à distance.

5.5 Les solutions existantes de géolocalisation par mobile.

Tableau n°3: Solution de géolocalisation du marché

Société API utilisé Opérateur utilisé

Etat de service

Moyen d’autorisation

Mode de localisation

Type de mobile

Orange OK 1 sms d’activation 1 sms de désactivation

Bouygues Telecom

Stoppé depuis 2009

Formulaire

Vodafone Inconnu Inconnu

ilico.net - Ootay

API opérateur

SFR Pas de solution technique

Formulaire

Cell-Id

tous

Orange OK Bouygues Telecom

OK Google - Google Maps Mobile

mmap

SFR OK

Acceptation des conditions générales lors de la 1ére utilisation

Cell-Id

Liste disponible sur le site officiel

Webtiss - Geofleet

API opérateur

Orange OK Cell-Id

Tous

Orange ? Formulaire

Bouygues Telecom

? Formulaire

Deveryware - DeveryLoc (locgsmpro)

Geohub + API opérateur (à confirmer)

SFR ? Formulaire

Cell-Id tous


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6 SPECIFICATIONS FONCTIONNELLES

6.1 Présentation du système

6.1.1 Définition du service à offrir par le système (Portail web mobile) Le système est en faite un nouveau support d’information touristique. Ce nouveau support sera

un portail (site web) pour mobile. Il apportera une multitude d’information nécessaire aux touristes (utilisateurs) pour découvrir des lieux touristiques, participer à des activités, connaître les produits du terroir…

6.1.2 Environnement du système Le système à concevoir fonctionnera sur un environnement de téléphone mobile. L’utilisation du

portail mobile nécessitera un navigateur web pour mobile.

6.1.3 Rôle du logiciel dans le système

Le portail touristique a pour rôle de diffuser des informations touristiques classé sous différent thèmes. Ces informations sont à destinations des touristes et des professionnels du tourisme. Le portail permet aux touristes de trouver facilement des renseignements suivant une ville qu’il choisi ou directement à proximité de l’endroit où il se trouve. La localisation automatique du touriste lui facilitera sa recherche de lieux touristiques, de restaurants et de bien d’autres activités.

Le portail apportera dans son contenu des illustrations, des commentaires et des guides interactifs sous forme de séquence vidéo et audio.

Toutes les données mises à disposition sur le portail seront mises à jour par les providers en temps réels. Par exemple pour ajouter un nouvel évènement à venir, pour modifier des horaires d’ouverture d’une activité…


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6.2 Présentation globale des E/S du logiciel

Les entrées du système sont les thèmes touristiques, les rubriques et les contenus des rubriques. Ces données au format brut sont transmises au système d’information du portail touristique. On retrouve aussi les données du profile de l’utilisateur du portail lors de son inscription au service touristique.

Les sorties du système sont des pages web mobiles composées des thèmes touristiques, des rubriques et des contenus des rubriques.

Figure n° 18: Représentation des E/S du logiciel

Portail Mobile Touristique

Système d’information touristique

Provider d’informations touristiques

Touristes et professionnels du tourisme.

Thèmes et rubriques

Thèmes et rubriques

ENTREES : Données au format brutes

SORTIES : Page web mobiles

ENTREES : Données du profile de l’utilisateur

FrontOffice

BackOffice


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6.2.1 Composition des E/S :

Figure n° 19: Composition des thèmes et des rubriques

Exemple d’un élément d’une rubrique :

Figure n° 20: Contenu d’une rubrique

Thème 1

Rubrique 1

Contenu 11

Contenu 12

Contenu 13

Rubrique 2

Contenu 21

Contenu 22

Contenu 23

Le Mont Saint Michel

Le Mont Saint-Michel, au milieu de la baie, accueille chaque année près de 3,5 millions de visiteurs, pèlerins ou simples touristes.

A l’entrée de cette cité médiévale, l’ancien Corps de Garde des Bourgeois, face aux canons, abrite l’office de tourisme. En passant la porte du Boulevard, puis celle du Roy munie d’un pont-levis, vous rencontrez la Grande Rue avec ses musées, ses commerces et ses maisons du XV et XVIème siècles (le passage du pont-levis conduit également sur votre droite, au chemin des remparts). L’Eglise Paroissiale, petit édifice du XV et XVIème siècles est dédiée à Saint-Pierre, patron des pêcheurs.

Enfin, l’ascension du Grand Degré est un prélude à la Merveille et à la visite de l’Abbaye. Après avoir admiré l’Abbaye, vous pourrez contempler la beauté incomparable de la Baie en descendant le chemin des remparts, ou en choisissant le chemin de ronde, sur votre gauche, jalonné de petits jardins, auquel vous avez également accès par le porche des Fanils.

Contenu 11 : Elément d’une rubrique


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Donnée du profile utilisateur :

Figure n° 21: Données du profile utilisateur

6.3 Présentation des fonctionnalités du logiciel

6.3.1 Classement par familles de fonctionnalités :

• Gestion des comptes utilisateurs. Création d’un compte

L’utilisateur doit s’inscrire à la première connexion pour accéder au reste des fonctionnalités du portail touristique. Il renseigne les champs correspondant à son profile et définis un identifiant et un mot de passe de connexion.

Identification (login)

Pour se connecter, l’utilisateur entre son identifiant et son mot de passe qu’il a définit lors de son inscription.

Déconnexion

Une fois que l’utilisateur est connecté au portail, il peut se déconnecter à tout moment. La fermeture du portail entraîne aussi la déconnexion de l’utilisateur.

Suppression du compte

Pour supprimer son compte utilisateur, l’utilisateur doit être identifié avant de procéder à la suppression de son compte. La suppression de son compte entraînera sa déconnexion.

Champs à renseigner correspondant au profile de l’utilisateur lors de son inscription sur le portail.


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• Recherche d’information touristique.

Moteur de recherche L’utilisateur peut utiliser le moteur de recherche pour trouver un ou des éléments d’une rubrique. Par exemple si le touriste fait une recherche sur « restaurant », le portail va lui retourner tous les éléments de la rubrique Restaurants selon la localisation choisie.

Parcours thématique

L’utilisateur peut naviguer dans le portail et trouver des informations touristiques sans utiliser le moteur de recherche. Les contenus fournit par les providers sont classés par thèmes puis diviser en rubriques.

Favoris

Pour retrouver plus facilement un élément dans une rubrique et gagner du temps, l’utilisateur peut mettre en favoris un élément d’une rubrique.

• Géolocalisation. Géolocalisation automatique

Lors de la recherche d’information, l’utilisateur peut autoriser le système à géolocaliser son mobile.

Géolocalisation manuelle

Lors de la recherche d’information, l’utilisateur peut sélectionner une ville pour spécifier la zone de recherche.

• Outil d’accessibilité. Click to Call

Certains contenus d’information touristique permettent de joindre des personnes. Par exemple pour réserver des places dans un restaurant, l’utilisateur fait une recherche de restaurant sur le portail puis il utilise le numéro indiqué pour appeler le restaurant. La fonctionnalité click to call évite à l’utilisateur de retaper le numéro de téléphone du restaurant pour l’appeler. Un simple click sur le numéro de téléphone lance l’appel.

Click to Phonebook

Même fonction que le Click to Call mais cette fois-ci, le numéro est automatique enregistré dans le carnet de contact du téléphone. Le numéro est enregistré avec comme nom de contact : le nom du contenu de la rubrique.

Click to Map

Certains contenus d’information touristique indiquent des adresses postales. Par exemple pour se rendre dans un lieux touristiques ou pour connaître l’adresse d’un restaurant. Avec la fonction click to map, le touriste n’a plus besoin d’utiliser une carte ou un autre outil pour connaître la position du restaurant sur une carte. Un simple click et sans retaper l’adresse postale, la position de l’adresse apparaît sur


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une carte. L’utilisateur peut ensuite zoomer ou se déplacer sur la carte pour avoir plus de précision. Avec le mode géolocalisation activé, une fonction permet de calculer l’itinéraire depuis la position localisée vers l’adresse du lieu sélectionnée.

• Gestion des Providers. Gestion des thèmes

Au niveau du système d’information touristique du portail, les Providers peuvent ajouter, modifier et supprimer des thèmes selon leurs droits d’accès.

Gestion des rubriques

Au niveau du système d’information touristique du portail les Providers peuvent ajouter, modifier et supprimer des rubriques selon leurs droits d’accès.

Gestion des contenus des rubriques

Au niveau du système d’information touristique du portail les Providers peuvent ajouter, modifier et supprimer des contenus aux rubriques selon leurs droits d’accès.

Gestion des droits

Des restrictions de droits d’accès en lecture et écriture pour les différents thèmes et rubriques sont appliquées pour chaque Providers.

6.4 Présentation des composants logiciels intégrés

• API de localisation Cell-Id. Google Mobile Map

L’API Google Map Mobile permet de localiser les téléphones mobiles. La méthode de localisation utilisée est celle de la localisation par Cell-Id. Cette méthode permet d’être complètement indépendant de l’opérateur. En effet, chaque mobile pour communiquer est connecté à une antenne relais (cellule). Le numéro de cette cellule est enregistré dans les propriétés du mobile. Il faut aussi récupérer le numéro de région local LAC associé à la cellule. L’utilisation de l’API ne demande aucune authentification ou clé d’accès au service. La requête vers cette API, nous retourne les coordonnées géographiques de la cellule.

Exemple de coordonnée pour la cellule n° 327880 : Latitude : 47.2712 Longitude : -1.519831


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Figure n° 22: API Google Map Mobile.

• API de géocodage.

Google Geo

Cette seconde API transforme les coordonnées géographiques en adresse postale et inversement elle peut fournir les coordonnées géographiques à partir d’une adresse.

En zone rurale, les antennes sont souvent implantées dans des champs ou des zones sans adresses précises, contrairement en zone urbaine où les antennes se trouvent directement sur les bâtiments. Dans ce cas, le géocodeur retourne une adresse avec le nom de la route la plus proche ou simplement le code postal et le nom de la commune où l’antenne se situe.

Exemple de résultat de géocodage pour les coordonnées suivantes : Latitude : 47.2712 Longitude : -1.519831

Figure n° 23: API Google Geo.

API de localisation cellulaire Numéro de

cellule

Cell-Id : 327880 LAC : 25348

Latitude : 47.2712 Longitude : -1.519831

Coordonnées Géographiques

API de Géocodage Coordonnées géographiques

Latitude : 47.2712 Longitude : -1.519831

491 Route de Saint Joseph, 44300 Nantes France

Adresse Postale


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6.5 Architecture fonctionnelle

6.5.1 Descriptions des blocs fonctionnels :

• Gestionnaire de comptes utilisateurs : Ce bloc représente la gestion des comptes utilisateurs du portail touristique. On

retrouve les fonctions principales de gestion de compte : - Création du compte (données du profile de l’utilisateur) - Identification - Déconnexion - Suppression du compte

• Recherche d’information Touristique :

Ce bloque contient les fonctions principales du portail touristiques. Il permet de faire des recherches rapides grâce au moteur de recherche. Ce bloque gère aussi la fonction favoris qui permet de garder une trace des recherches importantes.

• Géolocalisation :

Ce bloque gère les fonctionnalités de géolocalisation.

• Outil d’accessibilité : Ce bloque contient les systèmes utiles à l’utilisateur. On retrouve la fonctionnalité du

click to call qui permet d’appeler un numéro, afficher sur une rubrique, seulement par un seul click. Il y a aussi le click to map qui affiche la localisation d’une adresse sur une carte sans avoir à recopier l’adresse sur un autre outil.

• Gestionnaire de Providers :

Ce bloque gère les fonctionnalités pour la gestion du contenu du portail fournit par les Providers d’informations touristiques.

6.5.2 Comportement dynamique du logiciel

Ce chapitre montre le comportement dynamique du portail mobile touristique.

1 - Les providers d’information touristiques ajoutent, mettent à jour ou suppriment les

thèmes, les rubriques et les éléments des rubriques au niveau du gestionnaire de providers. 2 - Le touriste (utilisateur) crée un compte et s’identifie à l’aide de son identifiant et mot de

passe. 3 - Le touriste peut autoriser à être géolocalisé de façon automatique par le système de

géolocalisation ou il peut directement spécifier sa ville de recherche. 4 - Le touriste lance une recherche selon un thème choisi. Il peut aussi faire un parcours

thématique sur le portail pour trouver un lieu touristique, un restaurant, une activité… 5 - Le gestionnaire de recherche utilise les données de géolocalisation pour cibler les

recherches du touriste. Les contenus des rubriques diffusés sur le portail sont toujours restreints à une ville déterminée par le système de géolocalisation (manuel ou automatique).


12 JUIN 2009


6 – Le gestionnaire de recherche récupère les contenus des rubriques demandés par le touriste au niveau du gestionnaire de Providers.

Figure n° 24: Décomposition en blocs fonctionnels

Touristes

Gestionnaire de Providers

Gestion des Thèmes

Gestion des Rubriques

Gestion des contenus des Rubriques

Gestion des droits

Géolocalisation

Géolocalisation automatique

Géolocalisation manuelle

Recherche d’Information Touristique


Moteur de recherche

Favoris

Gestionnaire de comptes utilisateurs.

Déconnexion

Suppression du compte

Identification

Création d’un compte

Outil d’accessibilité

Click to PhoneBook

Click to Map

1

2 3

4

5

6

7

Click to Call

Provider d’informations touristiques


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6.6 Interfaces

6.6.1 Arborescence des écrans

Figure n° 25: Arborescence des écrans du portail

6.6.2 Définition des écrans

La définition des écrans sera faite à partir d’écran prototype pour faciliter la description et montrer les fonctionnalités de chaque écran. Ces écrans représentent les pages web mobiles du portail touristiques. On pourra voir sur chaque maquette d’écran les boutons et les liens correspondant aux fonctionnalités attendues par l’utilisateur.

Ecran de connexion

Page d’accueil

Moteur de Recherche


Mes Favoris

Mentions légales

Liste de Rubriques

Contenu

Liste de contenus

Contenu

Liste de contenus

Contenu

Liste de contenus

Formulaire d’inscription

Transition géolocalisation automatique ou manuelle

Backup Identifiant


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6.6.2.1 Page d’accueil

Cet écran sera la page d’accueil et la page de base de l’utilisateur lors de sa navigation dans le site mobile.

On y retrouve les 4 fonctionnalités importantes pour le touriste : 1. un lien vers le moteur de recherche 2. un lien vers le parcours thématique 3. un lien vers les favoris 4. un lien vers les mentions légales

La fonctionnalité déconnexion sera représentée par un lien en haut de l’écran. Les

boutons lien sont très larges, cela facilite ainsi leurs accessibilités pour les mobiles ayant une souris. En effet, une simple descente ou montée de la souris, quelque soit sa position, permet de sélectionner une des fonctionnalités.

Maquette de présentation :

Figure n° 26: Page d’accueil du portail

> > > >

Option Retour Sélection

Bienvenue sur Pays de la Loire Tourisme Mobile, votre guide des sorties et loisirs …

< Déconnexion


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Figure n° 27: Bas de page d’un contenu d’une rubrique

Option Retour Sélection

< Infos pratique :

Le Cargo Horaires : Lundi - Vendredi12:00 - 14:30 Mercredi - Jeudi19:00 - 23:00 Vendredi - Samedi19:00 - 00:00 Dimanche12:00 - 21:00 Seulement la crêperie

Adresse :

Quai des Antilles 44200 Nantes Tél. : 02 51 82 86 12

> Plan d’accès > Ajouter en favoris du portail > Ajouter le contact dans le répertoire

Click to Call

Click to Map

Ajoute le contenu en favoris

Click to Phone book


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7 AUTRE PROJET : WEB MOBILITY

7.1 Site d’information mobile du PMU : BackOffice

7.1.1 Rappel du Besoin du BackOffice

Le back office sera utilisé par les équipes d’exploitation. Ils pourront accéder à ses

fonctionnalités pour : • Gestion des droits des utilisateurs, Connexion sécurisé. • Activer et personnaliser le message flash info • Activer et personnaliser les messages d’actualité • Autoriser l’accès au site * • Consulter les statistiques* • Administrer et suivre l’exploitation. • Configurer les opérateurs et leurs kiosques* (* En option)

7.2 Conception du backoffice :

7.2.1 Résumé des fonctionnalités

• Mise en place du module de sécurité (Spring security) pour sécuriser l’accès au Back Office. (Connexion par login et mot de passe)

• Configuration du serveur web Tomcat en https. • Persistance du message FlashInfo et des Actualités sur fichiers XML. • Edition du message flashinfo et des actualités. • Personnalisation du style sur le message flash info et les actualités. • Panneau de contrôle pour l’activation et la désactivation du message FlashInfo

et des actualités. • Design du Back Office.


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7.2.2 Arborescence du site

Le site du back office est accessible à l’adresse http://XXXX/pmuInfosBackoffice/. La

redirection vers la page sécurisé en https:// sur le port 443 est automatique. Une page de connexion permet aux utilisateurs de s’identifier. Après authentification,

une page de supervision permet d’utiliser les différentes fonctionnalités du back office : • Edition du message Flash Info. • Activation et désactivation du message. • Ajout, édition et suppression des actualités. • Activation et désactivation des actualités.

Figure n° 28: Arborescence des pages du site

Ecran de connexion

Page d’accueil - Superviseur

Edition du Flash Info

Edition d’une actualité

Confirmation de l’édition

Activation/désactivation d’une activité

Activation/désactivation d’un Flash Info.

Confirmation de l’édition

Page d’accueil Page d’accueil

Page d’accueil Page d’accueil Page d’accueil

Suppression d’une activité


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7.2.3 Architecture du BackOffice :

Les actualités et le message Flash Info sont stockés sur des fichiers XML par le

backoffice. Les Web App du site mobile pmusiteinfos accèdent régulièrement (suivant une tempo) à ces fichiers (réf: Flux d’entré et de sortie du backoffice).

Figure n° 29: Architecture du système

L’architecture logicielle de la Web App du Back Office est développée en Java J2EE. Celle-ci est basé le concept Spring MVC (modèle, vu, contrôleur). Le module de sécurité de Spring permet de sécuriser l’accès aux pages du site. Les utilisateurs doivent s’authentifier pour accéder aux pages.

Chaque formulaire d’édition est contrôlé avant la sauvegarde des données (Validator). Pax exemple, on ne peut pas sauvegarder une actualité vide.

Actualités et flash Info

Back Office

Persistance des messages édités.

Serveur Web Tomcat 6

Connexion sécurisée (https)

Editeurs du pmu

Web App pmuSiteInfos

Mise à jour des données toutes les 1mn.


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7.2.4 L’architecture Spring MVC

Au sein de l'architecture 3tier, l'architecture Spring MVC implémente l’architecture du

le pattern MVC de la façon suivante :

Figure n° 30: Architecture Spring MVC.

1. le client fait une demande au contrôleur. Celui-ci voit passer toutes les demandes

des clients. C'est la porte d'entrée de l'application. C'est le C de MVC. Ici le contrôleur est assuré par une servlet générique :

org.springframework.web.servlet.DispatcherServlet 2. le contrôleur principal [DispatcherServlet] fait exécuter l'action demandée par

l'utilisateur par une classe implémentant l'interface : org.springframework.web.servlet.mvc.Controller A cause du nom de l'interface, nous appellerons une telle classe un contrôleur

secondaire pour le distinguer du contrôleur principal [DispatcherServlet] ou simplement contrôleur lorsqu'il n'y a pas d'ambiguïté. Le schéma ci-dessus s'est contenté de représenter un contrôleur particulier. Il y a en général plusieurs contrôleurs, un par action.

3. le contrôleur [Controller] traite une demande particulière de l'utilisateur. Pour ce

faire, il peut avoir besoin de l'aide de la couche métier. Une fois la demande du client traitée, celle-ci peut appeler diverses réponses. Un exemple classique est :

• une page d'erreurs si la demande n'a pu être traitée correctement • une page de confirmation sinon

Dispatcher Servlet


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4. le contrôleur choisit la réponse (= vue) à envoyer au client. Choisir la réponse à envoyer au client nécessite plusieurs étapes :

• choisir l'objet qui va générer la réponse. C'est ce qu'on appelle la vue V, le V de MVC. Ce choix dépend en général du résultat de l'exécution de l'action demandée par l'utilisateur.

• lui fournir les données dont il a besoin pour générer cette réponse. En effet, celle-ci contient le plus souvent des informations calculées par la couche métier ou le contrôleur lui-même. Ces informations forment ce qu'on appelle le modèle M de la vue, le M de MVC. Spring MVC fournit ce modèle sous la forme d'un dictionnaire de type java.util.Map.

L'étape 4 consiste donc en le choix d'une vue V et la construction du modèle M

nécessaire à celle-ci. 5. le contrôleur DispatcherServlet demande à la vue choisie de s'afficher. Il s'agit

d'une classe implémentant l'interface org.springframework.web.servlet.View Spring MVC propose différentes implémentations de cette interface pour générer des

flux HTML, Excel, PDF, ... Le schéma ci-dessus s'est contenté de représenter une vue particulière. Il y a en

général plusieurs vues. 6. le générateur de vue View utilise le modèle Map préparé par le contrôleur Controller

pour initialiser les parties dynamiques de la réponse qu'il doit envoyer au client. 7. la réponse est envoyée au client. La forme exacte de celle-ci dépend du générateur

de vue. Ce peut être un flux HTML, PDF, Excel, ...


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7.2.5 Architecture Spring MVC appliqué sur le backoffice du pmu

On retrouve le package Controler contenant les contrôleurs du modèle MVC, ainsi que

le package contenant les vues et le package Entiy contenant le modèle à fournir à la vue.

Figure n° 31: Architecture logiciel de la Web App siteInfoBackOffice.

Web App - pmuInfosBackoffice

Controler

Connection

BackOffice

FlashInfoEditor

TopicalityEditor

Command

ConnectionCmd

SupervisorCmd

FlashInfoEditorCmd

TopicalityEditorCmd

ExceptionCmd

View

connection.jsp

home.jsp

FlashInfoEdit.jsp

TopicalityEdit.jsp

ConfirmationTopicality.jsp

ConfirmationDeletedTopicality.jsp ConfirmationFlash.jsp

ConfirmationHomeTopicality.jsp ConfirmationHomeFlash.jsp

Parser

FlashInfoParser

TopicalityParser

Validator

ValidateHome

ValidateFlashInfo

ValidateTopicality

Entity

TopicalityForm

FlashInfoForm

HomeForm


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7.2.6 Flux d’entré et de sortie du BackOffice :

Le back office sauvegarde les données éditées par les exploitants du PMU. Il y a 2 types de données : les actualités (pas de limitations du nombre d’actualités) et le message Flash Info (unique). Le back office a un accès en lecture et écriture sur ces fichiers.

Figure n° 32: Flux d’entré et de sortie du backoffice.

Back Office

ActivityData.xml

FlashInfoData.xml

Persistance des messages édités.


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7.3 Site de prise de pari du PMU

7.3.1 Rappel du Besoin de prise de pari

Le site de prise de pari est un site web dédié au utilisateur de mobile IPhone et Androïde. Ce site offrira des fonctionnalités plus évoluées que le site d’info actuelle pour mobile. Il aura un design plus attrayant avec fonctionnalités en javascript et en AJAX.

7.3.2 Environnement de travail

L’environnement de travail est fourni sous forme d’un « bundle », on y trouve :

• Eclipse 3.4 • Java 6 • Tomcat 5 • Maven 2

Divers plugins viennent se greffer sur Eclipse pour l’intégration continue (checkstyle,

SVN). Un jar (iv4global.jar) permet de communiquer avec le service en relation avec le système d’informations central du PMU (SIC) et la base de données commune.

7.3.3 Schéma d’architecture applicatif

Le schéma d’architecture suivant est présenté d’un point de vue fonctionnel uniquement. Aucune notion de dimensionnement de l’architecture n’est prise en compte.


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Figure n° 33: Architecture applicative « Web kit ».


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7.4 Architecture orientée service

7.4.1 Principes généraux

L’architecture reprend les principes généraux des architectures SOA, en particulier la structuration en hiérarchie de services.

Figure n° 34: Architecture SOA.

La déclinaison de SOA dans le cadre du site de prise de pari PMU ‘Webkit’ reprend

les principes précédents dans une architecture à quatre couches principales.

Figure n° 35: Architecture en couche de « Web kit ».


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Le rôle de couche de l’architecture n-Tiers et des services de la décomposition SOA est détaillé et à but de référence :

1) La couche présentation a pour charge de présenter les donnés aux utilisateurs (HTML) à partir du modèle d’échange transmis par la couche application (la technologie utilisé est ici des pages JSP avec utilisation du pattern Composite View).

2) La couche application gère les requêtes effectuées par un agent extérieur (browser Web, browser WAP, application Web Services …). Au sein de cette couche, on effectue la séparation fonctionnel / technique :

o l’aspect technique (Java EE, Web Service, Spring MVC) est porté par un contrôleur.

o l’aspect fonctionnel est porté par les services centrés processus, dits Services Utilisateurs – SU. Ils contiennent la logique de séquencement des appels aux services de la couche métier et aux services dit « technique ».

3) La couche métier qui contient la logique de traitement liée aux applications. Cette couche est séparée en 2 regroupements majeurs :

o Les services métier (dits intermédiaires dans la nomenclature SOA) – SM. Ils contiennent les objets de la logique applicative en faisant appel aux primitives de services élémentaires (fournies par les Services de Base).

o Les services de Base (SB) qui offrent les primitives élémentaires du SI. Ils se veulent les briques atomiques, métiers et réutilisables.

4) La couche d’accès aux données qui permet d’accéder aux serveurs de données, cette couche regroupe des services d’accès aux données simples qui reprennent le pattern DAO.

A ces quatre couches, on ajoute un ensemble de services techniques transverses -

ST. Cette couche regroupe notamment : la gestion de la configuration, la gestion des logs, l’envoi d’email, l’accès à des ressources externes, via http par exemple), etc…

Les définitions des Services Métier, des Services de Base et des Services

Technique seront réalisées lors des phases de phase conception de la plate-forme et de la définition de l’architecture de service fonctionnelle.

Aucun service ne doit être à la fois fonctionnel et technique.

Cette séparation par couche apporte les avantages suivants :

• Indépendance des couches

• Flexibilité (ajout ou modification d’une couche sans impacter les autres couches)

• Augmentation de la testabilité des composants de chaque couche


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7.4.2 Vu objet de l’architecture en couche du site de prise de pari

Figure n° 36: Exemple de découpage et d’interaction des objets des différentes couches


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8 PLANNINGS

8.1.1 Planning du projet « Portail d’information touristique »

Figure n° 37: Planning des projets


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9 CONCLUSION

Durant cette période de cinq mois, dans le centre de compétence Web Mobility, j’ai eu un nouvel aperçu de ce que pouvait être le métier de chef de projet. La création d’un portail web pour mobile à l’aide d’un outil CMS m’a fait traverser un certain nombre d’étapes.

Ces étapes étaient intégrées dans une démarche méthodologique qui a conduit mon projet à terme.

Ce stage au sein du centre opérationnel Portal d’Orange Business Services m’a permis de mettre en application mes connaissances acquises tout au long de mes études, de les approfondir et d’en acquérir de nouvelles.

Dans ce genre de grande structure, on retrouve des projets à grande échelle et à les concevoir en équipe. Ceci rend très intéressant et plus motivant l’envie de réussir son projet. L’esprit d’équipe apporte beaucoup au sein d’un service et il est important que la motivation de chacun soit présente.

De plus, outre le sujet qui entre bien dans le cadre de ma formation, l’entreprise Orange Business Services a été un choix. En effet, je possédais déjà une expérience professionnelle dans le secteur de la téléphonie mobile. Et Orange Business Services m’a permis de garder un pied le monde de la téléphonie mobile. Car ce secteur très enrichissant englobe de nombreux métiers mais aussi de nombreuses technologies innovantes et en perpétuelles évolutions.

Enfin je pense avoir atteint mon objectif puisqu’ Orange Business Services m’a proposé un contrat à durée indéterminée. Et je suis ravi de continuer ces expériences professionnelles avec les collaborateurs du centre opérationnel Portal de Nantes.


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10 GLOSSAIRE Apache : L'Apache Software Foundation (Fondation Apache) est une organisation à but non lucratif qui développe des logiciels libres sous la licence Apache, dont le célèbre serveur web Apache HTTP Server. Elle a été créée en juin 1999 dans le Delaware aux États-Unis.

API : Une interface de programmation (Application Programming Interface ou API) permet de définir la manière dont un composant informatique peut communiquer avec un autre. C'est donc une interface de code source fournie par un système informatique ou une bibliothèque logicielle, en vue de répondre à des requêtes pour des services qu'un programme informatique pourrait lui faire. BTS : Base Transceiver Station Station émetteur et récepteur du réseau GSM souvent nommé antenne relais. BSC : Base Station Controller Système de contrôle d’une station de base de transmission (antenne relais). CELL-ID : Identification Cellule Identification d’une antenne relais. Utilisé pour localiser un mobile connecté à cette antenne. EOTD : Enhanced Observed Time Difference C’est une différence de temps observé lors de l’envoie d’un message et sa réception cela entre le mobile et une antenne relais. Utilisé pour localiser un mobile.

Emulateur : Système qui se comporte comme le logiciel ou le matériel d'une autre marque.

Framework : Bibliothèque de classes fournissant une ossature générale pour le développement d'une application dans un domaine particulier.

HTML : Le Hypertext Markup Language, est un langage informatique de balisage conçu pour écrire les pages web, et notamment pour créer de l’hypertexte, d’où son nom.

HTTP : Le Hypertext Transfer Protocol (littéralement le « protocole de transfert hypertexte ») est un protocole de communication client-serveur développé pour le World Wide Web. IMEI : International Mobile Equipment Identity Numéro à 15 chiffres permettant d’identifier exclusivement tous les équipements mobiles sur n’importe quel réseau GSM.

IHM : Tout moyen matériel ou logiciel permettant à une personne de communiquer avec un programme. Des exemples d'IHM sont les fenêtres, les boutons et menus déroulants.

Java EE : Java Enterprise Edition, ou JEE (anciennement J2EE), est une spécification pour le langage de programmation Java de Sun plus particulièrement destinée aux applications d’entreprise.

Java ME : Java Micro Edition (anciennement J2ME) est le framework Java spécialisé dans les applications mobiles. Des plates-formes Java compatibles avec Java ME sont embarquées dans de nombreux téléphones portables et PDA.

Javascript : C’est un langage de programmation de scripts principalement utilisé pour les pages web interactives.

JSP : C’est une technologie basée sur Java qui permet aux développeurs de générer dynamiquement du code HTML, XML ou tout autre type de page web


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LAC : Local Area Code Identifiant de la zone localisée

Open Source : Logiciels dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire la possibilité de libre redistribution, d'accès au code source, et de travaux dérivés. GPS : Global Positioning System Système qui permet de localiser, avec son accord, un utilisateur grâce à son téléphone mobile. GSM : Global System for Mobile communications Système de téléphonie mobile terrestre de seconde génération utilisé notamment en Europe. SMS : Short Message Service Appelés "texto" en France, ils s’agit de messages entre mobiles dont le texte est limité à 160 caractères. TOA : Time of Arrival Temps de réponse d’un mobile lors de l’envoi d’une trame. Ce temps augmente en fonction de la distance du mobile par rapport à l’antenne relais. Utilisé pour localiser un mobile.

Tomcat : est un conteneur de servlet J2EE et inclut un serveur HTTP.

URL : De l'anglais Uniform Resource Locator, littéralement « localisateur uniforme de ressource », est une chaîne de caractères utilisée pour adresser les ressources du World Wide Web.

Web-App : Désigne une application Web déployé sur un serveur Web.

XML : De l’anglais Extensible Markup Language, littéralement « langage de balise extensible », est un langage de balise générique recommandé par le W3C.


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11 WEBOGRAPHIE User Agent http://www.developershome.com/wap/detection/detection.asp?page=intro http://wurfl.sourceforge.net/

Best Practices in XHTML Design http://developer.openwave.com/dvl/support/documentation/guides_and_references/best_practices_in_xhtml_design/index.htm

Outil de géolocalisation mobile du marché http://www.locgsmpro.fr/ http://www.ootay.com/Accueil.asp Géolocalisation http://www.inrets.fr/ur/leost/themes/localisation.htm http://www.awt.be/web/mob/index.aspx?page=mob,fr,100,020,004 API de localisation http://www.opencellid.org/ http://www.easywms.com/easywms/?q=en/node/3589 http://mobilepit.com/10/how-to-get-imei-number-in-j2me-javame.html http://cbandiera.free.fr/parcours/communes-74/gps http://www.openstreetmap.org/?lat=47.271347&lon=-1.520103&mlat=47.271347&mlon=-1.520103&zoom=16&layers=B0TT http://www.touraineverte.com/aide-documentation-exemple-tutoriel-didacticiel/api-google-maps/geocodeur/geocoder-une-adresse-postale-au-format-csv/transformer-en-coordonnees-gps-latitude-longitude-csv/rue-ville-avenue-boulevard-chemin.htm http://code.google.com/intl/fr/apis/maps/documentation/services.html http://www.touraineverte.com/aide-documentation-exemple-tutoriel-didacticiel/api-google-maps/itineraire/GDirections-google.maps.Directions-GEvent.addListener/options-load-addoverlay-error-observateur-auditeur-evenement/calcul-calculer-itineraire-direction.htm http://code.google.com/intl/fr/apis/maps/documentation/staticmaps/ http://www.ip-adress.com/ip_tracer/ J2ME http://www.jmdoudoux.fr/java/dejae/chap028.htm http://www.scribd.com/doc/8595702/j2me http://java.sun.com/products/sjwtoolkit/download-2_2.html http://www.dotnetguru.org/articles/J2MEvsSDE/J2MEvsSDE.htm http://jp-clair.developpez.com/articles/Java/J2ME/ota/ http://java.sun.com/javame/reference/apis.jsp http://developers.sun.com/mobility/midp/articles/pushreg/


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Serveur sms http://f-marx.developpez.com/tutoriels/webservices/sms-email/ CMS http://luxpopuli.fr/eZ-Publish/Pour-debuter/eZ-publish-les-siteaccess http://ez.no/ http://ezpedia.org/en/snippets/creating_new_content_objects_with_php Serveur web et sécurité http://java4it.blogspot.com/2007/01/how-to-configurer-tomcat-avec-https.html http://zekey.developpez.com/tutoriel/apache/tomcat/ http://static.springsource.org/spring-security/site/ http://www.jtips.info/index.php?title=Spring_Security