L’éclipse solaire au centre de l’attention. Un moment magique.(page 2)

Un événement qui éclipse les autresNotre Une, l’éclipse. Le 20 mars 2015, 9h22, attention les yeux ! Malgré un re-couvrement du Soleil d’environ 80%, vous serez tous éblouis par la féerie de ce phénomène si particulier. Mais alors, pourquoi mettre en lumière l’éclipse dans notre Une, tandis que le terrorisme obscurcit notre quotidien. Une tâche noire sur notre société, le terrorisme. Une tâche noire sur le Soleil, la Lune. La différence, c’est que l’éclipse adoucit les mœurs et apaise les tensions. Petits ou grands, nous sommes tous sensibles à ce type d’évènement, de part sa rareté qui plus est. Les regroupements à Paris sont limités depuis l’attentat à la rédaction de Charlie Hebdo. Pourtant, pour cet évènement, de très nombreux points de ralliement ont été organisés afin de partager ces quelques minutes de magie tous ensemble. Un retour à l’inconscience, à l’enfance et son atmosphère étoilée. C’est ici bien la preuve que l’éclipse suscite engouement et hâte, et n’est pas un évènement à négliger. Pourquoi se focaliser sur les choses pesantes, tristes, angoissantes ? Reconnaître les choses subtiles et envoûtantes, cela fait partie de notre âme d’enfant. Prendre du recul, regarder le ciel. Après tout, il est le même pour tous, quelque soit les nations, les religions... Par Alexandra HUREL

La culture, les entreprises, le foot, cela manque de cohérence à vos yeux ? Eh bien non ! Nous avons dans ce numéro, décidé de traiter des sujets importants de la vie de tous les jours, sous un angle bien ciblé. La part des femmes. Quelle est leur place dans notre société ? Y sont-elles négligées ?

Fait du jour

Les élections départementales et la parité homme/femme.(page 3)

Streetpresse, un nouveau journal satirique en ligne. (page 4)

Un officier des sapeurs-pompiers nous raconte son parcours. (page 5)

L’équipe de France pré-parait son mondial au Portugal. Retour. (page 6-7)

Comment profiter du retour du soleil ? Notre rédaction vous conseille.(page 8)

Société

Découverte

Portrait

Sports

Culture

Photo : BeGeek

Vendredi 20 Mars 2015

Fait du jour

Par Alexandra HUREL.

L’éclipse du 20 mars 2015 Aujourd’hui, vendredi 20 mars 2015 est un grand jour pour les curieux et amateurs d’as-trologie. En effet, à Paris de 9h22 à 11h40 nous pourrons assister à une éclipse solaire partielle.

La durée totale du phénomène sera de plus de deux heures, avec un apogée aux alentours de 10h29. Soyez attentif car l’éclipse sera totale pen-dant seulement 3 à 4 minutes.Le Soleil sera alors occulté par la Lune de 78%.

La question que grand nombre d’entre nous se posent est : Allons-nous être plongés dans le noir ? Eh bien, non ! Contrairement à certaines idées reçues, nous verrons comme d’habitude. Pour que nous remarquions quelque chose, il faudrait que le soleil soit éclipsé de plus de 98%.

Les éclipses dans le temps

Notez cependant qu’en 1999, à Paris, une éclipse surprenante avait plongé Paris dans une obscurité presque totale.

Raison de plus pour être attentif, la prochaine éclipse solaire totale et observable n’aura lieu qu’en septembre 2081.

Pourtant des éclipses ont lieu régulièrement car leur fréquence est estimée à deux fois par an. Cependant, en fonction du côté de la Terre où nous nous situons, nous ne pouvons pas toujours les observer. Par exemple, une éclipse solaire en

Australie ne sera pas visible car à ce même mo-ment en France, il fera nuit.

Précautions

Mais alors, que faire pendant une éclipse ? Nous insistons réellement sur la nécessi-té de vous protéger les yeux. Que ce soit en temps normal, mais davantage lors d’une éclipse, vous ne devez jamais fixer le Soleil.En effet, bien qu’indolores, les rayonnements du Soleil peuvent vous brûler la rétine de l’œil et par conséquent vous faire perdre la vue, ou du moins l’abîmer, de manière irréversible. Halte aux ama-teurs de risques, superposer plusieurs paires de lunettes ne vous avancerait à rien !

L’éclipse est capricieuse, vous ne pourrez pas non plus la prendre en photo. Du moins pas avec votre Smartphone. Même caché à 78% par la Lune, le Soleil est trop lumineux et la photo sera surexposée, vous ne verrez rien.C’est un instant éphémère et magique, à apprécier avec précaution.

Attention les yeux« Le jour qui s’assombrit, la température qui chute et, dans le ciel, un magnifique disque noir entouré d’une crinière de lumière.» Cela vous rappelle quelque chose ?

LSP - 2

SociétéInégalité salariale Homme/ Femme, parlons-en !

XXIème siècle et les inégalités Hommes / Femmes n’ont jamais été si faible. Pourtant certaines persistes. Pourquoi n’arrivons-nous pas y faire face ?

Ce dimanche 22 mars 2015, les élections départementales se dé-rouleront. C’est l’occasion de relancer le fameux débat sur la parité homme / femme dans les listes électorales.Rappelons que depuis le 27 janvier 2011, la loi (loi n°2011-103) exige une répartition équilibrée. Cela a pour but de favoriser la féminisation des instances dirigeantes et d’inciter les entreprises à respecter l’égalité des sexes dans le monde professionnel.

Vous n’êtes pas sans savoir que les inégalités hommes / femmes persistent en France dans le monde du travail. Cela se ressent dans les rému-nérations qui sont moins élevées pour les femmes dans le secteur privé, en effet les hommes gagnent en moyenne entre 20 et 30% de plus qu’une femme (l’observateur des inégali-tés ndlr), ainsi que dans l’accès aux postes de cadres. En effet, elles sont moins nombreuses à occuper des postes à hautes responsabilités : on parle de plafond de verre.

Quels sont les facteurs de cette inégalité ?

Malgré les évolutions sociétales et une diminution de ces inégalités, le cliché de la bonne mère de famille restant à la maison pour s’occuper de ses enfants persiste dans l’esprit de certains. C’est ce qui explique pour-quoi certains chefs d’entreprise hé-sitent encore à confier à des femmes des postes à hautes responsabilités car ils pensent qu’elles ont déjà beau-coup de contraintes familiales. De plus, la maternité effraie certains patrons qui craignent que leurs em-

ployées ne soient pas toujours pré-sentent dans leur travail (congés maternité, enfants malades), ce qui révèle un comportement sexiste.

La parité homme / femme, alors bonne ou mauvaise

idée ?

Certains diront que l’égalité de sexe dans le monde du travail n’est pas une bonne chose. En effet, elle pro-voque la ségrégation par le sexe c’est-à-dire que des chefs d’entreprise se-

ront obligés d’embaucher des femmes, pour respec-ter les quotas qui leur sont imposés, sans se préoccuper réellement de

leurs capacités. Cela va aussi les in-citer à embaucher des femmes qui ont moins de diplômes et de compé-tences que les hommes.

Toutefois, l’égalité des sexes permet une discrimination positive qui favorise des personnes victimes de discrimination en vue de rétablir l’égalité des chances comme la loi de la parité homme / femme en po-litique votée en 2000. Cela va avoir un effet incitatif puisque si davantage de femmes ont des postes à hautes responsabilité, d’autres pourront prendre exemple sur elles et avoir plus de confiance.

Mais que cela ne vous empêche pas d’aller voter dimanche ! Par Loïse NARDELLO et Justine PITOIS

BrèvesSnapchat une mise à jour rin-

gardisante :

L’application lance Discover, nouvelle fonction qui permet aux utilisateurs d’accéder à des contenus d’actualités de 11 chaines de médias.Cette dernière s’annonce payante et engendre de nom-breux dysfonctionnements. L’application mobile voit alors son image ternie et ne fait pas l’unanimité auprès des jeunes.

Fukushima 4 ans après ?

Le 11 mars 2011, le Japon est touché par un séisme suivit d’une explosion de la centrale nucléaire de Fukushima, la plus grande du pays. Quatre ans après, le pays est toujours en reconstruction et malgré des sondages et des avis négatifs de la population, le pays ne souhaite pas renoncer au nucléaire.

Les USA à prix low-cost :

D’ici quelques années il ne suf-fira que d’un simple billet de 20 euros pour s’envoler vers les Etats-Unis ! La société Ryanair prévoit d’organiser des vols entre 14 villes européennes et américaines. La compagnie explique ce projet vis-à-vis de la situation économique actuelle et de la recherche des bas prix par les voyageurs.

LSP - 3

Découverte« Nous ne sommes pas journalistes pour dire aux gens ce qu’ils pensent mais pour les influencer » (Johan WEISZ).

A la découverte de Streetpress.com

Johan WEISZ, jeune journaliste de 31 ans et auteur du livre d’enquête journalisme 2.0, a créé il y a cinq ans le journal web original et déca-lé : Streetpress.com. Nouveau sur ce marché, son équipe de rédaction de 11 salariés cherche à se démarquer avec des sujets qui ciblent les jeunes lecteurs (20-35 ans) dans Paris et sa banlieue. « En tant que jeunes, on ne se reconnaissait pas dans les journaux d’informations. On a donc dé-cidé de créer notre propre journal qui aborde des sujets que l’on ne trouve nulle part ail-leurs ou des sujets connus mais traités avec une approche différente. Notre priorité n’est pas de réaliser des « hard news » mais d’ap-porter une valeur ajoutée à des sujets du quotidien ».

Qui n’a jamais eu envie de voir appa-raître son nom en bas d’un article ?

Aujourd’hui, c’est possible et c’est ce que propose Streetpress. Ce journal se différencie des autres car 30 % des articles ne sont pas écrits par des journalistes professionnels. Des volontaires pro-posent des idées d’articles et de reportages. Le but est de faire en sorte que la rédaction soit ouverte et que ce ne soit pas uniquement des profession-nels qui prennent la plume. Le challenge que s’est lancé l’équipe de Streetpress est de rétablir un cercle de confiance entre les lecteurs et les jour-nalistes. Ils sont les précurseurs d’une nouvelle forme de journalisme : le journalisme participa-tif. Un principe qui plaît bien à notre rédaction.

Un journal décalé et proche de ses lecteurs…

La Street School, le LAB et les ateliers d’éduca-tion aux médias ne vous disent peut-être rien, mais c’est ce que propose le journal Streetpress ! L’équipe de rédaction vous donne la possibilité d’avoir une initiation au journalisme durant 15

semaines et de participer à des concours de pro-jets médias in-novants. L’équipe met aussi en place des interventions auprès de publics jeunes pour les initier au monde de la presse.Notre équipe de rédaction, a rencontré Johan WEISZ, fonda-

teur du journal Streetpress.com qui nous en a dit plus sur ces débuts dans le journalisme. « Au début, c’était compliqué. J’ai dû demander un prêt de 5 000€ à la banque sous prétexte de refaire ma salle de bain. Cet argent m’a en réalité permis de créer mon propre journal. Aujourd’hui, notre chiffre d’affaires s’élève à 500 000€ et nous sommes fiers de nos 40 à 50 000 lecteurs fidèles. Je suis la preuve qu’avec beaucoup de motivation et peu d’investissements, il est possible de réussir dans le journalisme ! »Motivez-vous, jeunes lecteurs et penchez-vous sur la question.

Par Justine PITOIS et Marie PASQUALINI. Le saviez vous ?

Les exemplaires invendus sont renvoyés aux jour-naux qui doivent alors rembourser les kiosques dis-tributeurs. Cela constitue un frein à l’exportation des journaux numériques vers une version papier.

LSP - 4

PortraitInterview de Valérie Payre, officier de sapeur-pompier à Versailles.Bonjour, pourriez-vous vous présenter ?Bonjour, je suis Valérie Payre, 41 ans, je suis lieutenant au sein des sapeurs-pompiers des Yve-lines.

Pourquoi avoir choisi ce métier ?J’ai toujours aimé rendre service et faire beau-coup de sport. J’ai pu rallier mes deux passions en devenant sapeur-pompier.

Comment y êtes-vous parvenue ?Après avoir passé de nombreux concours, ce qui ma permit d’évoluer au sein de la fonction publique.

A-t-il été facile de vous intégrer dans ce métier à prédomi-nance masculine ?Non. C’est compliqué car les barèmes pour le concours d’accès sont différents en fonction du sexe ce qui ne facilite pas l’intégration. Les casernes n’avaient pas été conçues pour accueillir des femmes donc mon intégra-tion dans ma première caserne a dû nécessiter des aménagements particuliers.

Est-ce un métier dur physiquement et psychologiquement ?Oui. Il est vrai que ce métier demande des capa-cités physiques importantes en raison du maté-riel que l’on doit emporter sur intervention.

Combien de femmes êtes-vous à tra-vailler dans ce service ?

Je suis la seule de mon entourage professionnel à avoir de lourdes responsabilités mais il y a des femmes à mon étage, seulement elles font partie du personnel administratif.

Comment se passe vos relations avec les hommes de votre service ?

Tout se passe bien car j’ai réussi à créer un climat de confiance entre eux et moi.

La présence d’une femme est-elle plus rassurante lors des interventions ?Oui selon le type d’interventions, notamment lorsque des femmes et des enfants sont impli-qués.

Quelle est l’image de la femme dans ce milieu ?Elle est masculine, malheureusement. Le milieu des pompiers reste un milieu d’hommes, et il est vrai que la condition physique est importante et fatalement pour un corps de femme cela fait tout de suite homme.

Comment réagissent les gens lorsqu’ils ap-prennent votre métier ?Ils sont admiratifs. Arriver à concilier votre vie de pom-pier et de maman n’est pas chose simple tous les jours. Cela demande des sacrifices

dans un couple et je vous confirme qu’il est im-portant d’avoir un couple solide.

Quel est l’impact de ce métier sur votre vie privée ?Il faut être très disponible, les gardes, les stages ainsi que les formations s’enchaînent. Il faut sa-voir qu’une garde c’est 24h sans revenir à la mai-son et les stages et formations durent plus de trois jours. Au final être marié à un pompier c’est épouser la caserne.

Pensez-vous percevoir le même salaire que les hommes ?Oui. Je suis fonctionnaire et la grille de sa-laire, dans la fonction publique ne prend pas en compte le sexe.

Par Julien JOUVE de GUIBERT. Photo : Loïse NARDELLO

La réussite au féminin

LSP - 5

Sports

Alors que se rapproche la Coupe du Monde 2015 au Canada (du 6 Juin au 5 Juillet), se déroulait l’Algarve Cup au Portugal du 2 au 12 Mars dernier. Très attendue pour ce rendez-vous aux allures de répétition générale avant la Coupe du Monde, l’Algarve Cup regroupait 12 nations, dont les 6 premières nations au classement FIFA, in-cluant la France. Cela faisait 8 ans que nos bleues n’avaient pas participé à la compétition et étaient donc très attendues pour ce retour à la compé-tition du fait de leur forme du moment (série de 11 matches sans défaites depuis 2013 ndlr.).

Retour sur ces 10 jours de compétition…

Le tirage a placé la France dans un groupe à sa portée, avec notamment le Da-nemark, le Japon et le Portugal. A noter tout de même que le Japon occupe la 4e place du classement FIFA, derrière la France. Nos bleues sont sorties victorieuses des poules avec facilité, totalisant 9 points (3 victoires, 8 buts inscrits et seulement 2 encaissés) ce qui a fait d’elles la meilleure équipe de la phase de poule, lui ouvrant les portes de la finale contre les Améri-caines (premières du groupe B avec 7 points ndlr.).

Les protégées de Philippe Bergeroo ont affronté les redoutables Américaines, 2e au classement FIFA, leur véritable bête noire. Les françaises sont

arrivées confiantes, fortes de leur dernier succès contre les ‘’Yanks’’ (le 08 Février dernier à Lorient, victoire 2-0 ndlr.). Cette finale avait donc des airs de revanche pour des américaines gonflées à bloc et soucieuses de reprendre l’avantage sur les françaises et de faire le plein de confiance avant le mondial. Après un match acharné avec beaucoup d’engage-ment des deux côtés, les américaines ont réussi à prendre le dessus sur l‘Equipe de France en s’im-posant 2-0 dès la mi-temps avec notamment le premier but de Julie Johnston en sélection. Malgré un grand nombre d’occasions, les françaises ne sont pas parvenues à les concrétiser par manque de réalisme, comme l’illustre le pénalty manqué en toute fin de match par Eugènie Le Sommer. Selon le sélectionneur, cet échec en finale est no-tamment dû à un important problème collectif et de concentration (le premier but est lié à un manque d’attention sur coup de pied arrêté et le se-cond à une mésentente collective en contre), mais il reste optimiste en vue de la Coupe du Monde.

Les américaines sont donc prévenues, les bleues arriveront au Canada en Juin le couteau entre les dents et déterminées à conquérir leur première étoile mondiale.

Les américianes célébrant la victoire. Photo : Francisco Lelong / AFP

Par Alexandre RABL.

A ne pas manquer cette année :

Retour sur la performance de nos bleues lors de l’Algarve Cup.

‘‘C’est un problème collectif’’

Dans le sillage de l’Equipe de France

Claire Lavogez félicitée par ses coéqui-pières après son but face au Danemark.

Photo AFP

LSP - 6

Lors de la rencontre opposant le Paris Saint-Germain à Caen (2-2) le 14 février dernier comptant pour la 25e journée de Ligue 1, l’attaquant vedette Zlatan Ibrahimovic a encore fait parler de lui, mais cette fois dans le bon sens du terme. En effet, après l’ouverture du score dès la deuxième minute de jeu, le suédois a oté son maillot, récoltant au pas-sage un carton jaune, afin d’exhiber ses nouveaux ta-touages. Jusque là tout parait pratiquement ‘‘normal’’, mais en réalité ces tatouages (au nombre de 50 ndlr.) sont les prénoms de 50 personnes. Ces prénoms ont donc suscité beaucoup d’intérêt et engendré beaucoup de questions pour l’ensemble des médias sportifs. Zla-tan a alors partagé une vidéo sur sa page Facebook, dans laquelle est expliquée la raison de ces tatouages temporaires … un hommage à 50 personnes luttant contre la famine, par le biais de l’organisme World Food Programme, appartenant à l’ONU, lui donnant la possibilité de faire parler de lui. En effet, la renom-mée du buteur parisien est mondiale et ses tatouages également, ce fut donc un bon coup de communica-tion pour l’organisme que de travailler avec le géant suédois.

Le but de cette campagne est de mettre en avant les quelques 800 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde et cela s’avère particulièrement réussi puisque l’ambassadeur a ex-hibé son torse devant les 45 000 supporters du Parc des Princes et les caméras du monde entier, s’attirant même les foudres de son entraîneur, Laurent Blanc, car ‘’stratégiquement le moment n’était pas bien choisi pour prendre un carton, dès la deuxième minute de jeu’’.

Zlatan Ibrahimovic et ses 50 tatouages.Photo : Purepeople

La rédaction souhaite rendre hommage aux 10 personnes disparues (09 Mars 2015) dans le crash des hélicoptères lors du tournage de l’émission Dropped de TF1. Les noms de ces per-sonnes resteront à jamais dans nos mémoires, et particulièrement ceux de nos champions nationales Alexis Vastine, Camille Muffat et Florence Arthaud.

Le saviez vous ? Dans chaque numéro, nous vous proposons une petite anecdote sport ayant marqué nos esprits. Retour aujourd’hui sur une nouvelle frasque de Zlatan Ibrahimovic, le buteur suédois du Paris Saint-Germain.

Hommage :

Par Alexandre RABL.

LSP - 7

CultureQue faire ce week-end ?

Voici la sélection de notre rédaction pour une sortie entre amis ou en famille, pour profiter de l’arrivée du printemps à Paris !

Cinéma - Divergente 2

Vous rêvez d’être un(e) héro(ïne) ?

Divergente 2, sortie officielle en France cette semaine satisfera vos at-tentes ! Tris, le personnage principal, joué par l’actrice Shailene WOODLEY devra libérer le monde d’un complot des Erudits et faire de sa différence sa force.

Note de notre rédaction : **** 4,1/5Note des spectateurs : **** 4,2/5Comptez 9 euros par entrée.

Débat - Printemps de l’optimisme

Vous souhaitez débattre de façon festive autour des énergies positives, du printemps, pro-fiter d’animations et d’une multitude d’ateliers ludiques.

Infos pratiques : Quand ? 21 Mars 2015 de 10h à 18h30.Où ? CESE, 9 Place d’Iéna - Paris 16eCombien ? Entrée gratuite

Littérature - Salon du livre

Vous avez toujours eu envie de rencon-trer votre auteur favori, avoir le privilège de par-ler de son œuvre avec lui  ? Venez découvrir les différents thèmes du salon  : art, bandes des-sinées, cuisine, jeunesse, manga, revue de créa-tion, numérique, ro-mance, savoir, sciences, tourisme et voyage.

Infos pratiques : Quand ? Du 20 au 23 Mars 2015.Où ? Porte de Versailles, Paris 15e - Pavillon 1. Combien ? Entrée 12€

Notre bon plan : 6€ sur présentation de la carte étudiant.

Festival - Les femmes s’en mêlent

Le festival des Femmes s’en Mêlent revient pour leur 18ème édition ! L’événement sillonne-ra plusieurs villes de France avant de clôturer en beauté dans notre capitale ! Nous y découvrirons de nouveaux artistes pleins de talents, affran-chies et surtout aux caractères bien trempés ! Des femmes fières de leur art, de leur musique et surtout d’être femme !

Infos pratiques : Quand ? Du 14 au 29 Mars 2015.Où ? Le Divan du Monde, 75 rue des Martyrs Paris 18eCombien ? A partir de 8€ l’entrée.

Par Guillaume BOULANGER

LSP - 8