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LE U3T0RAL
où le travail était fait par le proprié-taire, on laissait les gosses abîmer lelogement tandis que dans le cas con-traire ils reçoivent des baffes car onaime bien que ce que l'on a fait soi-même.
La deuxième œuvre est une so-ciété d'habitation à bon marché etmême deux. On y construit en ce mo-ment un village à Vitry.
Le troisième moyen d'exécution,c'est une section de la Ligue natio-nale contre le taudis de Mme Legg,qui a fondé une Ligue nationale con-tre le taudis, laquelle Ligne doit avoirdes sections de lutte et de combatcontre le taudis dans toute la France.
Maintenant nous avons une sectionde santé et voici comment nous nousy prenons. L'idée maîtresse c'est d'a-voir par l'Association une consulta-tion d'orientation, c'est-à-dire faiteaprès le diner par un médecin quiconnaît très bien les différents cas demaladie et quand l'ouvrier vient aprèsson travail il ira très facilement. Lagrande affaire c'est d'examiner soncas et de l'orienter soit vers le méde-cin, le dispensaire, si c'est un casgrave qui demande une spécialité, si-non on le soigne sur place.
Nous avons un service d'achats encommun, ce sont des commandes d'as-sociations et on distribue à l'Associatlon des denrées qui ont été achetéesen commun. Une pensée que je croisféconde .constituerait à organiser laprévoyance de la famille par la con-sommation, c'est-à-dire de lui donnerdes ristournes sous forme, de bons.Je voudrais qu'au lieu de leur don-ner des ristournes en argents, on leurdonne des bons, lesquels bons seraienttransformés en cotisations diverse."ensuite pour accumuler lentementpour la famille un petit capital, demanière à ce que la prévoyance sefasse automatiquement et que l'on nesoit pas obligé de dire à l'ouvrier•s. Tu viens de toucher ton salaire, tudois retenir ceci ou cela x il vousdonnerait une minime cotisation, tan-dis que si on lui dit « Bois, manges,achètes, tu n'auras plus à t'occuperde rien », c'est l'idéal. C'est une idéequ'il faudrait réaliser avec le com-merce existant, même avec un agentd'automobiles t Tu veux acheter uneautomobile, parfait! Au contraire,cela te fera 200 francs d'argent so-cial >•.
Je voua demande un petit conseil,
puisque nous sommes jeunes... Par oùfaut-il commencer et faut-il qu'il yait un effort du côté patronal ou quenous créions une organisation auto-nome?
Je créerai une organisation can-noise par apécinquemnt patronale. Sivous créez une organisation cannoisedans laquelle tous les patrons et ou-vriers collaborent, cela ira tout seul.Si vous ne faites pas cela en fonctionfamiliale, dans troia ans vous aurezdes difficultés. J'en suis venu au boutde quinze ans à reconnaître que par-mi les œuvres les plus puissantes etcelles qui ont le meiux réussies cesont les associations familiales; aanscela on peut vous dire •< Cette œuvre,dernière née, c'est elle qui veut, etc. ,•>ils auraient raison.
Il faut procéder par ordre, si vouspartez avec le cadre d'Association fa-miliale et que vous constituez à me-sure des besoins des commissions,l'Association familiales étant de cefait déclaré légale, vous pourrez de-mander des subventions, avoir un or-ganisme financier et vous aurez l'uni-té. Notre Confédération est reconnued'utilité publique, si à Cannes on veutvous faire un legs, vous n'avez qu'à
Taire faire le îegs pour rAssociationfamiliale, seulement ii fe.ut qa'iomette dans le legs « nom itgiions dla Confédération générale des Fa-milles 500,000 francs pour l'Associa-tion familiale cannoise ». Nous som-mes obligés, nous, de voua donnerla'rgent qui a été légué.
Quand j'ai fondé des Associationsfamiliales, le quartier ouvrier étaitbeaucoup plus actif pour se dépenserque la bourgeoisie. Vous trouverezdans la classe ouvrière des types quivous donneront toute leur âme et quis'occuperont de votre trésorerie et del'œuvre en général san3 restrictionen s'y dévouant tout entier. Chez lesjeunes filles du cours ménager, vousen trouverez également qui seront deszélatrices dévouées et feront marcherle cours tandis que du côté bourgeoisil y a beaucoup moins d'élan.
600 fr. récompensePerdu le 3 janvier au bar de l'hôtel
Majestic, Cannes, un étui à cigarettesen or. J.W. Bell et Cie, experts d'as-surances, 23, rue de la Paix, Paris, j
Fantaisie, ô divin mensongeLa mode féminine a vraiment des
innovations saugrenues.On a abandonné depuis quelques
années la bottine qui s'accommodaitmal de la jupe courte. Les femmesont adopté le soulier bas au risquede dévoiler des attaches souvent tropsolides.
Mais comme il pleut à Londres, etqu'il neige à Paris, il n'aurait pasparu de bon ton de s'en aller sur no-tre pavé, léché par la bise, sanschaussons.
Ainsi l'on découvre, depuis ce\ hi-ver, la mode des petites chaussettesau col rabattu qui n'ont rien d'esthé-tique.
Telles des pigeonnes pattues, lesfemmes ont peut-être trouvé unmoyen pour cacher des chevilles tropépaisses dont l'été nous rendra tou-jours trop vite la vision pénible.
Et voilà pourquoi la mode méritepeut-être des félicitations passagères.
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ETUDEde M" CAMATTE Etienne,licencié en droit, notaireà Grasse (Alpea - Mariti-mes), 4, place de la Foux.
VENTE VOLONTAIREaux Enchères Publiques
Le Mercredi 30 Janvier1929, au Cannet, boule-vard Carnot, au siège del'immeuble à vendre, àquatorze heures, il seraprocédé, par le ministèrede M' Camatte, notaire àGrasse, à la vente aux en-chères publiques de :
1°TJN IMMEUBLE
compesé d'un grand bâti-ment élevé d'un rez-de-chaussée pouvant être sur-élevé et construit en pier-res, couvert en tuiles àusage de garage, situé auCANNET, quartier Sainte-Catherine, en façade aur leboulevard Carnot, prèsl'hôtel Grande - Bretagne,couvrant une superficie de552 mètres carrés environ.Mise à prix : 150.000 fr.
2"UN FONDS
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composé notamment demoteurs électriques et àgaz, tour parallèle, dyna- •mo, perceuses à colonneset sensitives, gonfleurs,moules, palan, forge, postede soudure autogène, outil-lage complet et deux voi-: Tes automobiles, exploité'ans l'immeuble sus dési-
gné, connu sous le nom de: Garage du Cannet ».",1'rc à Prix : 100.000 fr.
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VILLA L'EGLANTIERsise â Cannes, rue Cam-pestra, quartier du Boule-vard Carnot, constructiontrès soignée, onze pièces,confort moderne, jardin de1.000 mètres carrés envi-ron. Pavillon de thé.
Mise à prix:400.000 Francs
Consignation pour en-chérir : 50.000 francs.
Jouissance immédiate.Faculté de traiter à
l'amiable avant l'adjudica-tion.
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jîtué à CANNES, rue desAnémones, villa Le Nid,avec téléphone et eau,composé de voitures auto- :mobiles marques Délace(20 C.V.), Panhard (16C.V.) et Delaunay-Belle-vîlle (15 C.V.), droit aubail.Mise à prix :- 75.000 fr.
Faculté de réunion deslots.
Pour tous renseigne-ments et pour consulter lecahier des charges, s'a-dresser à M" Camatte, no-taire à Grasse.
On peut traiter avantadjudication par totalitéou par lots, soit :
1" Chez M" Camatte, 4,place de la Foux, à Grasse.
2" Chez Monsieur Nur-din (Agence Immobilière)2 rue Chabaud, à Cannes
ETUDEde M1' Jean VIAL, docteuien Droit, notaire à Can-nes, 3, me d'Antibes.
ADJUDICATIONVOLONTAIRE
le murrii 2» Jfinvler 1929,à 11 heures, en l'étude
ETUDEM- F. DESTELLE,
j avoué près le Tribunal ci-vil départemental des Al-
^Maritimes (arrondis-sement de Grasse) sise àGrasse, 16, boulevard Vic-
-Hugo, et à Cannes, 2,boulevard Carnot.
VENTEaux Enchères Publique»
sur saisie immobilièreDE TROIS IMMEUBLES
les mises à prix sui-
IMMEUBLEau CANNET, quartier du
Riou15.000 francs
2" :IMMEUBLE
MOUGINS, quartier deCampane lieu dit :
<. Le Claux >1.000 Francs
3- : 'IMMEUBLE
à MOUGINS, quartier deCollombe
500 Francs
ADJUDICATION : leercredi trente janvier
mil neuf cent vingt-r-RU f,à huit heures du matin, àl'audience des criées duTribunal civil départemen-tal des Alpes-Maritimes,au Palais de Justice à Ni-ce, Place du Palais.
mil neuf cent vlngi^neuf,à huit heures du matin, àl'audience des criées duTribunal civil départemen-tal des Alpes-Maritimes,au Palais de Justice à Ni-ce, Place du Palais.
Pour renseignements,s'adresser à M- F. DES-TELLE, avoué à Grasse,16. boulevard Victor-Hugoet à Cannes, 2, boulevardCarnot.
ETUDE__._ Mr Jean VIAL, doc-teur en Droit, notaire àCannes,- 3, rue d'Antibes.
A VENDREpar adjudication
le 30 janvier 1929, à 10heures, en l'étude
La villa
LES RAINETTESsise à Cannes, chemin desVallergnes, comprenant :maison d'habitation, gara-ge, et dépendances, terrainde 1.503 mètres carrés,eau, gaz, électricité, chauf-fage central.
Mise à prix :
200.000 Francs
'acuité de traiter avantl'adjudication.
Pour renseignements,s'adresser à M- F. DES-TELLE, avoué à Grasse,
boulevard Victor-Hu-go et à Cannes, 2, boule-vard Carnot.
ETUDEde Mu F. DESTELLE,avoué près le Tribunal Ci-
il départemental des Al-es-Maritimes (arrondisse-îent de Grasse), sise à
Grasse, 16, boulevard Vic-tor-Hugo, et à Cannes, 2,boulevard Carnot.
ETUDEe M" F. DESTELLE,voué près le tribunal ci-il départemental des Al-
pes-Maritimes l arrondis-_iment de Grasse), sise àGrasse, 16, boulevard Vic-tor-Hugo, et à. Cannes, 2,boulevard Carnot.
VENTEx Enchères Publiquessur «citation et après
surenchèreD'UNE PROPRIETE
connue sous le nom de :VILLA BELLEVILLE
wee maison d'habitationït dépendances, située àGOLFE-JUAN, route deVallauris.
Superficie : un hectaresoixante-douze ares trente-sept centiares environ.
Mise à prix:292.600 Francs
ADJUDICATION ': le jmercredi trente janvier,
j nul neuf cent vingt-neuf,à huit heures du matin, àl'audience des criées duTribunal Civil départe-mental des Alpes-Mariti-mes, au Palais de Justiceà Nice, Place du Palais.
Pour renseignements,s'adresser à M- F. DES-TELLE, avoué à Grasse,16, boulevard Victor-Hu-£0, et a Cannes, 2, boule-vard Carnot.
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D'UNE PROPRIETEconsistant en deux terrainssitués à ANTIBES,quartier de la Brague.
Superficie : vingt nmètres carrés.Mise k prix; 50.000 francR.
ADJUDICATION : leiiercrotli trient* jnnvle
ETUDEie W F. DESTELLE,.voué près le Tribunal Ci--il Départemental des Al-
pes-Maritimes (arrondisse-ment de Grasse), sise àGrasse, 16, boulevard Vic-tor-Hugo, et à Cannes, 2,boulevard Carnot.
VENTEsur saisie immobilière
et après surenchèreD'UNE PROPRIETE
avec RTiiiulc VILLA et dé-
pendances, à ANTIBES,quartier du Cap, dénom-mée :
LOGIS DIVINappartenant aux épouxWAIN-M1YARES, d'unecontenance de cinquante-quatre ares, quatre-vingt-cinq centiares.
Mise à prix:846.000 Francs
ADJUDICATION : letrente janvier mil neufcent vingt-neuf, à huitheures du matin, à l'au-dience des criées du Tribu-nal Civil Départementaldes Alpes-Maritimes, auPalais de Justice à Nice.
Jours de visite de l'im-meuble : les mardi et sa-medi, de 10 heures à 12heures, et de 14 heures à16 heures.
S'adresser à M" DES-TELLE, avoué à Grasse,16, boulevard Victor-Hu-go et à Cannes, 2, boule-vard Carnot.
Et à M- NEVEU, avouéà Nice.
Société Immobilièredu Quartier St-Pierre
Aux termes d'un acteîx minutes de M" Gaza-îaire, notaire à Cannes,î date du 27 décem-
bre 1928.Monsieur Paul - Pierre
REYNARD, propriétaire,Madame Julie-Léo-
nie CHICHILLIANE, sonépouse, demeurant ensem-ble à Cannes, rue du Port,N» 1, ont cédé à compterdu jour de l'acte,
A Monsieur Gaston-Hip-polyte CHESNEAU, admi-nistrateur de sociétés, de-meurant à Cannes, rueJean-de-Riouffe, Nu 2.
Les deux cent dix partsde mille francs chacuneleur appartenant, de laSociété à responsabilité li-mitée dite « Société Immo-bilière du quartier Saint-Pierre », dont le siège està Cannes, rue des Etats-Unis, N" 21.
Aux prix, charges etconditions énoncés dansl'acte,
Audit acte sont interve-ius :Monsieur Charles -Ar-
thur LACOSTE, proprié-.aire, demeurant à Paris,:-uc du Fochtr.
Et Monsieur Gustave -Eugène NOYER et Ma-dame Marie-Félicie LAU-ZIER, son épouse, demeu-rant à Cannes, rue Jean-de-Riouffe. N" 2,
Agissant comme seulsmembres et porteurs avecMonsieur et Madame REYNARD des parts compo-sant le capital social dtla Société Immobilière duluartier Saint-Pierre.
Lesquels après apris connaissance de l'acte
cession qui précède ontdéclaré y donner leur agré-ment et dispenser Mon-sieur et Madame Reynardde la déclaration prévueaux articles II et 21statuts de la Société.
Et, en outre, ledit M. La-coste, agissant en sa qua-lité de gérant a déclaré ac-cepter la cession qui pré-cède uu nom de ladite So-
ciété et dispenser le ces-sionnaire de la faire signi-fier par huissier.
Une expédition de cetacte de cession a été dépo-sée à chacun des greffesde la Justice de Paix etdu Tribunal de commercede Cannes, le 14 janvier1929.
Pour extrait et mention,Félix GAZAGNAIRE,
ETUDEde M- Jean VIAL, docteuren droit, notaire à Can-nes, 3, rue d'Antihes.
2* AVIS
Aux termes d'un acte re-çu par M1' Jean Vial, no-taire à Cannes, le 28 dé-cembre 1928, enregistré àCannes (A.C.l volume 254bis, le 2 janvier 1929, fo-lio 99, case 72S :
onsieur Maurice PE-QUIGNOT, industriel, de-meurant à Cannes, rueLouis-Blanc, n" 17, a ven-
à Monsieur EdmondDEVAYE,propriétaire, de-meurant à Mougins, Ha-
u des Earaques, tousles droits, soit la moitié
appartenant dans lefonds de commerce ci-pprès désigné, dont l'au-tre moitié appartient déjà
Monsieur DEVAYE, sa-voir :
Un fonds de commerce; construction mécani-
que et garage, exploité àCannes, rue de la Pompe,n" 5, comprenant : l'ensei-gne, le nom commercial etla clientèle et l'achalan-dage y attachés, et les ob-jets mobilier, matériel ser-vant à son exploitation.
L'insertion au «c BulletinOfficiel des ventes et ces-sions de fonds de com-merce » a été publiée dansle numéro du 12 janvier1929.
Les oppositions, s'il y alieu, seront reçues dansles dix jours de la présen-te insertion, en l'étude deM' Jean Vial, notaire àCannes, domicile élu.
Pour deuxième insertion.Signé :
Jean VIAL.
ETUDEde M" GUERIN - LONG,notaire à Cannes, 43, rued'Antibes.
2 AVIS
Suivant acte reçu parM1' Jean Guérin-Long, no-taire à Cannes, le 27 dé-cembre 1928, enregistréCannes (A.C.), le 28 dé-cembre 1928, folio 97, ca-se 706, volume 254 bis :
Madame Colombe MAGNASCO, commerçante,veuve de Monsieur JacquesBARBERO, demeurantCannes, avenue des An-glais, maison BarberoMonsieur Paul EdouardLouis CUQ, mécanicien, etMadame Jeanne MariBARBERO, son épousedemeurant à Cannes, ruBorniol, maison Ra"rni, ontvendu à Monsieur CharlesFrédéric MULLER, rveur de tramways, et Ma-dame Augustine HélèneDULICK, son épouse, de-meurant ensemble au Cau-m:t, le fonds île commerced'épicerie sis a Cannes,
avenue des Anglais, dé-nommé
EPICERIE BARBERO
L'insertion au •< BulletinOfficiel des ventes et ces-sions de fonds de com-merce » a été publiée dansle numéro du 12 janvier1929.
Les oppositions, s'il y alieu, sont reçues jusqu'audixième jour après la pré-sente publication, à Can-nes, en l'étude de M" Gué-rin-Long, notaire.
r deu:
J. GUERIN-LONG,notaire.
ETUDEde Mr GUERIN-LONG, no-taire à Cannes, 43, rued'Antibes.
lr" AVIS
Suivant acte reçu parM" Jean GUERIN-LONG,notaire à Cannes, les 10décembre 1928 et 10 jan-
1929, enregistré àCannes (A.C.) le 17 jan-vier 1929, folio 110, case818, volume 254.
Mademoiselle Louise RE-VERDY, commerçante, cé-)bataire majeure, demeu-rant à Cannes, 12, rueHoche, a cédé et transpor-té à la Société des Etablis-sements H. FRAISSINETet Cie Teinturerie et Blan-
serie, société en com-mandite par actions ayantson siège à Marseille, 137,chemin Saint-Jean du Dé-sert, tous ses droits aubail d'un magasin et arriè-re-magasin à usage deCommerce exploité à Can-nes, rue Hoche, numéro
ie.es oppositions, s'il y aseront reçues jusqu'au
dixième jour après la se-conde publication, à Can-nes en l'étude de M' GUE-RIN-LONG, notaire.
Pour première inser-tion :
GUERIN-LONG,notaire.
ETUDEde M- F. GAZAGNAIRE,docteur en droit, notaire àCannes, rue des Etats-Unis, n" 7.
1" AVIS
Suivant acte aux minu-3 de M1' Gazagnaire, no-
taire à Cannes, du dix-sept janvier mil neuf cent
ingt-neuf, enregistré àCannes, le dix-huit'janvier
[il neuf cent vingt-neuf,vol. 254, folio 101,case 825,Mademoiselle Marie GOI-TSCHEL, commerçante, de-meurant à Aix-les-Ea29, rue du Casino, et àCannes, villa Eglantinc,rue Sergent - Bobillot, avendu à Monsieur LéonceBaptiste CARTRON, cfeur - posticheur, derrrant à Paris, rue Saint-Honoré, n" 229, un fondsde commerce de
Coiffeur - Parfumeurconnu sous le nom de
MYRIAMexploité à Cannes, squareMérimée et place des Ile;et comprenant tous lesdroits corporels et incor-porels en dépendant auxprix et eomlltlona («primésnu dit acte,
Oppositions, s'il y a lieu,Cannes, au fonds cédé,
domicile élu, dans les dixjours de la deuxième in-sertion.
Félix GAZAGNAIRE.
Petites AnnoncesHrix : 1 franc la hgne
Demois. dist. inst. con-nais, coutur. serv. dem. pi.gouver, ou pr. f. de cham.Ecr. L. B. Case A AgenceHavas. Nice.
Dissolution de SociétéPar acte sous seing
rrivé en date à Cannes du2 janvier 1929 enregistré
Cannes, le 8 janvier1929, folio 43, case 356,aux droits de 56 tv. 20.
La société" ETABLISSEMENTS r
J. SPRUYTTEsociété à responsabilité li-
itée au capital de cin-quante mille francs ayantson siège à Cannes, 38.
aue de Provence etayant pour objet toute ex-ploitation commerciale lalite société constituée paricte sous seing privé àCannes, du 25 janvier1927, enregistré à Cannes,,e 26 janvier 1927, déposéït publié, entre :
Monsieur J. SPRUYT-TE, demeurant et domici-lié à Cannes, 38, avenuede Provence.
Monsieur A. MANI-ÎAND, demeurant et de
micilié à Mâcon, 1, rueFrancklin ;
A été dissoute à la datei 15 janvier 1929.Monsieur SPRUYTTE a
été désigné comme liquida-. teur de la Société avec lespouvoirs les plus étendussuivant les lois et usageslu commerce.
Un original dudit acte aSté déposé au Greffe duTribunal de Commerce deCannes et au Greffe de laJustice de paix de Cannes
18 janvier 1929.Pour extrait :
J. SPRUYTTE.
ETUDEM' Félix DESTELLE,ncié en droit, avoué
près le Tribunal Civil dé-partemental des Alpes-Maritimes (arrondisse-ment de Grasse) séant àNice, sise à Grasse, boule-
ard Victor-Hugo, n" 16.
Départementdes Alpes-Maritimes
VILLE DE CANNES
PURGEDES HYPOTHEQUES
Extrait dressé en confor-nité des'articles 6, 15 et
19 de la loi du 3 mai 1841,modifiée par les lois des22 avril 1914, 5 novembre1918 et 17 juillet 1919.
Suivant acte administra-tif de cession amiable pas-se le seize novembre milneuf cent vingt-huit, eni>ue du prolongement duchemin vicinal n" 15 ditd'Alsace, en vertu d'uneLUtorlsation préfectorale;n date du vingt-cinq sep-tembre mil neuf cent'Ingt-nult.
1" Monsieur Antony Jo-seph Charles GALVAING,propriétaire, demeurant àAntibes, 6, place de la Vic-toire.
2" Monsieur Jean-Bap-tiste Eugène MARMOI-TON, époux de MadameCatherine BURNOT, pro-priétaires, demeurant tousdeux à Vichy, 36, rue del'Etablissement.
Monsieur EugèneMarie DUITTOZ, ingé-nieur architecte.
' Madame Eugéniemne FELIX, épouse du-
dit Monsieur DUITTOZ,tous deux, demeurant en-
ible à Cannes, 60, rued'Antibes.
Ont vendu à la VILLEDE CANNES (Alpes-Ma-itimes) et pour elle à[onsieur André CAPRON,
officier de la Légiond'honneur, son Maire enexercice, y demeurant et
îicilié.>iverses parcelles de
terre ci-après désignées :Cadastre. Section E. N->i6 p, 387 p, 387 p. Natu-; des parcelles: bois, con-
tenance totale par parcel-le: 55 m2 - 1.769 m2 - 88m2. Total : 2.407 m2.Prix du mètre : 30 francs,montant de l'indemnitépour le sol : 72.210 francs.
n totalité : 72.210 fr.Le présent avis qui se-
ra inséré dans le journalLe Littoral » qui s'im-•ime à Cannes, est donné: exécution de la loi du
3 mai 1841 afin que les in-téressés au .règlement del'indemnité, puissent se
e connaître dans lahuitaine de la publicationet pour prévenir les per-sonnes ayant des privilè-ges et hypothèques con-ventionnelles judiciairesDU légales sur les parcel-les de terre vendues etdont s'agit que le contrat:i-dessus énoncé va être
immédiatement transcritet qu'à l'expiration de laquinzaine qui suivra cettetranscription, le prix de
:nte sera payé aux ven-deurs, s'il n'existe ni ins-
•iption sur les parcellesde terre dénommées ni au-cun obstacle au paiement.
Le Maire, Officier de laLégion d'honneur.
Signé :CAPRON.
Pour copie certifiée con-forme.
Signé :F. DESTELLE.
Tribunal de CommerceDE CANNES
Les créanciers présumésde la faillite du sieurFRATO, photographe àCannes, rue Grande, n" 66,sont convoqués en réunionpour le 28 janvier 1929, à14 heures 30, au Tribunalde Commerce de Cannes,à l'effet d'être consultéstant sur l'état des créan-ciers présumés que sur lanomination du syndic dé-finitif.
Le greffier :
Tribunal de CommerceDE CANNES
Les créanciers présumésde la faillite des damesBRIZIO et EPITONI, bar-restaurant du Garage, auFour-à-Chaux, Le Cannet,sont convoqués en réunionpour le 28 janvier 1929, à14̂ heures, au Tribunal deCommerce de Cannes, àl'effet d'être consultés tantsur l'état des créanciersprésumés que sur la nomi-nation du syndic définitif.
Le greffier :
L. AUBIN.
Tribunal de CommerceDE CANNES
Les créanciers présumésde la faillite du sieur GI-NO Vegni, hôtelier àThéoule, sont informés quele procès-verbal de vérifi-cation de créances seraouvert le 21 janvier 1929,à 14 heures 30, au Tribu-nal de Commerce de Can-
En conséquence, ils sontinvités à se rendre à cetteréunion.
Le greffier :
L. AUBIN.
Tribunal de CommerceDE CANNES
Par jugement en datedu 16 janvier 1929, le Tri-bunal de Commerce deCannes a déclaré en étatde faillite les dames BRI-ZIO Adélaïde et EPITONIErnesta, bar-restau rant du
| Garage, au Four-à-Chaux,Cannet.
Le greffier :
L. AUBIN.
VENTE DE FONDSDE COMMERCE
La loi du 17 mais 1909.modifiée par l'art. 27 de ialoi du 22 mars 1924, a réglementé les formalités àaccomplir.
Elle a prescrit la publi-cation d'un résiuaé ducontrat, à deux reprises.dans un journal de la lo-calité autorisé par les Tri-bunaux, à publier es an-nonces légales.
" L E LITTORAL^figure parau ces journaux "~
Nous rappelons IUX in-téressés :
1" Que l'extrait c"oit contenir : la date de >cte et:elle de l'enregif * lenlavec volume et ni L -;,-O dp
perception : les nomsprénoms et donx elles duvendeur et de l'acquéreur;la nature et le siège dufonds vendu ; le délai flxépour les oppositions et uneélection de domicile dansle ressort du Tribunal di- •Commerce. :
2° Que la première pu-blication doit être faitedans la quinzaine qui suitla signature de l'acte, etla deuxième, du huitièmeau quinzième jour après Inpremière publication. , >•
LE LITTORALest en vente à CANNES.è la Librairie Perrier. dé-pôt général de journaux •dans tous les kiosquesmarchands de journauxbureaux de tabacs :
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