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LE LITTORAL M . Gaot, ri Lrtv baud, maire de la Celle, vient d'être nommé juge de I SiX (lu canton de Cagnes. PETITE CAUSERIE Cette petite chronique — Causerie dune minute — pourrait s'intituler l,en rlcriijers échos du Jour de l'An. Dune, au Jour de l'An, il y rivait nu citez Mine X .. . (lin, d'itili'r'i'c- ti iii) Utie hue do bouquets tic citez Solignac, di' sacs tic boubous le chez Nègre et d'objets charmants de ohez llré,audv. Le lendemain, sou mari se rappela brusquement qu'il avait oublié dans sa ii-tri d'étrennes Mine Z .. . (toujours pas di urrhrsr'r'étroté la l ' etuurtir' de soit meilleur situ. Quelle iuua1rrui'dotittattle négligence Il l'allait la r,'1iari'r au plus tôt — Vite, ils châtie Marie, s'écria X .. . eut s'adressant â :L femme, vite, allons rendre visite ut Muni' Z . .. Et il pensa en lui-même ; — I)u diable, si, parmi tous ces arts 1r' brttthoiis (lue nia femme a reçus, je t'en trouverai pas un que toits puissions lui offrir Mme X .. . s'apprête doue t la huf,te, et, e r lai t cc temps , Monsieur prend ut i HSC de boubous toi t ouvert sut' la table de sa femme, l' eut sel, ippe et le ficelle d'une faveur rose. (tri fait lit visite . Oit offre le sac do boubous . Mine Z .. . remercie avec soit lIns gracieux sourire. Ici, préparez-vous au coup le tliéft- tre . Mine Z .. . défait la faveur, g ivre le sac p rur cii 'lTd r la primeur à ses visiteurs et trouve un écrit et uitt( carte 'ornée au nom de soit mari, avec ces mots : « A min adorable Marie, cii souve- nir de quelques heures de bonheur et eu espérance de quelque- autrr's. Tableau INDISCRET. IKPEIIE DELÀ N IT I- R .ATCE M . de Rotiisehilai Le bruitcourait hier ii la Bourse que M . de Rothschild usait t'uut,'niton de don- ner sa dt u iutissi,o, de régent de la Banque de Franco à la nuite des attaques anti- sémites. 1.e rc . .ipincatit de II, Marinai iiIalgr' les l,rtriis qui r,surerri couru, rien n'est encore déci ' i, au snil,'t li choix il,, l'snibossarlt'nr fraitrais à ltr,rtr,' oui rempla- cement rit' M . NI'iririu,t, décédé. Lia tempête à Parle Une terri l,lr. tempête souffle depuis hier matin sur Paris . 'l'ont,' la journée des dé- bris de toitures ont tr,ru,lr,i laits les luis, On signal ., plueieurs accidents. Le nouveau directeur des Postes et Télégraphes nouveau ,lirer'i,'er dis Postes et Té . 72 Feune.elos ou LITTORAL La LIEUE VINT M . \ FLUIDES yen PAUL SAUNIÈRE TROISIEME PARTIE Iit ((elisiai rai (juil Qui comment» à laisser deviner lei projets de Richelieu (estait. La tactique du cardinal était enfin connu' . S'il avait laissé à Paris le comte de Soissons, s' il s' était emparé de MM. de Vend,'itiu,', c'était pour disséminer et tenir t sa merci les principaux cli,'là de la conjuration et pour effrayer tes autres. En voulant atteindre son but, il le dé- passa ' Monsieur, à son tour, craignit pour lui-mûtes, et crut sa liberté menacée. Cette fois, le complot changea de nature, et prit des proportions inattendues . Gas- ton en restai le chef, mais le président rie Coigneux en devint le véritable instiga- teur. Une des choses les plus étonnantes, parmi toutes les conspirations ,1iie sou- iégrnjrlrcs 'et in homme jeune eneore. e't iré le 19 juillet 184$, ie 'l ' oiulot,se, t,iu il lit st's ei,irtes et mou ,Iroit A t i,,sr'rii iii l,arrerltm tIc Mr,ntnu- ha,,, il s'y fit remarquer par gis qualités d'orateur et fut choisi siemens bâtonnier. En mare 1880, M . Lej,è .ro, alors titi- nisrrr, !'i,,i,'ri''tur, le nomma jtri i ft•t 'l'ar,r-n'r .(i .rrrrrrit,' . li frit lait clive aber ri,, Ut Légion d'hormone par décret tbtté 11 ,tC Ire 1881, M . ni .' Selves devint s i ceetiv,'u,ient pré- fet t,. ' r) isr' ( uni 82), préfet rie Meurtl,e' et- M rr .r'llr' (avril 85), 't enfin préfet do la Girt,,t,l,, (s,'1rt,.urbri, li S) . Il a été flot officier t,, Ira Lgion d'honneur le 29 dé- cembre 1895. M . ri' Selves u la réputation d ' un a d— ministrateur linebile, travailleur tenace, d'un lrr,,o,,t,' aria relations aimables . Il rai 1rrrr,'nt ri' NI, ri,, F' csvr'ier-t. .%I,, .sI des la n',erve els Grèce ,lrJr,',re.r . — let r,is fl rs,, ' t,, iar,ure rie- tise est iej,},r'lr' r,Xrr,'1rtiO,t,iett,'nt,'nt pour le mois de Mers . Oit attribue une cr- t.aine i,,i[rrrrtnlntr,'r' 1e cette ,i,ssrir,,. Les journans Italiens et la France Jlo,tae . — Les journaux sont unanimes à reconnaître pin te 1rr'itpine italien ru saisi l' occasion leu funérailles de M . M neririni, notre ambassadeur, pour t,hiurrrr',rrr (le ses s e ntiments 'l'nitfl'u'tuont envers la France. DERNIÈRE HEURE >noce Serti ... eu M'ITOU Il. ii heures, matin. La réunion boulangiste tenue hier à La Villette a été tumultueuse . M . Marti- ' neau n été obligé de signer ta démission de député, mais il a déclaré ne signer que contraint et forcé au cours de la réunion il n annoncé qu'il enverrait ses témoins à M . Boulanger. A la suite d'une dépêche injurieuse adressée à la ('rrot,',/r', hier, par M. Edouard de Rothschild . M . le marquis De Gouy d'étant trouvé offensé par cette dé pêche, un duel a eu lieu . M. de Roths- child a été blessé légèrement à l'épaule. Les moulins de M . Leblanc, à Pantin, en été entièrement incendiés . Dans cet incendie quatre personnes ont été blessées . —ne Le J"rrrr'o raconte qu'un jeune mos- covite est arrivé à Paris et qu'il a offert, au nom des patriotes russes, une banière au générai Saussier . Le général s refusé pour raicon de discipline . On dit que le jeune russe va demander l'autori- sation à M . le ministre de la guerre. A la suite de l'acquittement de M Ma . gnier et du l'if,! l'os par la Cour d'As- sises du Var, M .Cluseret a adressé à ses électeurs une lettre de protestation di- sant que son comité décidera s'il doit démissionner. leva It ministère de Richelieu, c ' est la légèreté avec laquelle ces conspirations ont presque toujours été conduites. Ainsi, voilà un complot qui ee forme. II „'titlrl,' que le c,trrliurnil lois,' s'en 'tIra- ver, s 'il ,'ti u connaissance . l'as du tout. C'est lui qui te d irigi', et t1ut tait mouvoir à soir gré ce groupe de mécontents. Cela semblerait étrange, et serait à p, .i,rt' ,'r,rvat,l,, si l'histoire n ' était là 1,oitr l'attester. Le président de Coigneux, en qui Gus- ton avait 'use extrême confiance, qu 'il chargeait tnèine de toits ses intérêts, avait acquis par conséquent une assez grande importance . Richelieu s' iitragina, nuit seulement di' se l 'attacher, tuais encore d ' en faire, auprès lr Monsieur, le bouc émissaire de sa propre politique . Il par- s int. Crniiitient :a quelle ruse, quels moyens, r1nett,'s promesses , quilles fascinations sut-il exercer ? Nul le sait . Le président devint, sinon un ni' ses j,ttis celés parti- saris, du moins un de ses plus dévoués serviteurs . Ce fut tau qui conseilla à Monsieur 'le prendre la laite, de se ré- fugier auprès du roi d'Espagne ou du duc de Lorraine, et ,le revenir en France à ta tète d'une urinée, et d'arracher le sceptre ii Richelieu, j,rrur te retidr,, nui roi. C'était un projet absurde . Mettre en hostilité deux RIaIs amis, provoquer peut- être une guerre civile, pourquoi ? ou 1rinu- frit pour qui :' Pour tin irouutmu,r', un seul, le cardinal. Néanmoins ce projet fut discuté et ap- prouvé . Un seul gentilhomme proteste, BERLIN . — M . de Bismarck ne vies dra pas à Berlin de quelque temps. LONDRES . — L'ouragan d'hier à oc- casionné une marée extraordinaire qui a cause des dégato considérables . La ville ce Susiudgate n été couverte par la mer . Les hebitants se sont enfuis. Portsmouth a été inondé . Le Ssvern a déborde. Le lmn'Ijj L'/tn'on'r'/u' dit que de très importantes réformes vont être intro- duites dans les finasses turques . Agop . Pacha a soumis au Sultan des propo- sitions à cet effet le Sultan, donnant l'exemple des économies, consentirait à réduire sa liste civile de un million de livres sterling, le nombre des fonction- naires serait diminué, beaucoup d'em- plois supprimés, l'effectif de l'armée ne serait pas réduit, mais les marchés mi- litaires seraient sévèrement contrôlés en espère supprimer ainsi le déficit. Une depéche de New York au .S(,tn- dm1 dit que l'on ne croit pas à la con- clusion du traité d'extradition entre les Etate . Unie et la Russie, par ce que la Russie exclut les attentats contre le Tzar de la liste dos crimes politiques. Une dépêche de Lisbonne an dun',l parlant dut mouvement portugais contre les anglais dit que les Portugais cherchent à se suicider matériellement. A 'S - I BIERES de GRAZ et do PILSEN tu fouir :, i .e. L'Catrepit générai, 5, tee St Michel 't NICE .1e la prenne, fehriqtte heu .. de GRIL, „Styrie, . ancienne usor u, un F Sehreiter et fila, prévient en,,' Ires,,!, '' .i,,rns te leu de lui iarrrIrr erses u ,rirrrrvn-r . ,r,r,'n,,,'rr n' ., et eue meil- leures eusd,tieaa possibles q', l vient de collier sr . .0 dépôt teint peur astre cille ..ii ses. % ('ii :lU'lS ici : ('tE. Rus de, Marches pour -tee lete'a'e . aie ( .rc., et ais' I'i mcii BULLETIN FINANCER Parte . le 22 fa,,, 'cc 1590 Une grande activité ra régnéelurant toute la séance, sur le marché nies,,',, rentes et 't'atours. Le ,' lOjO aune de 8785 sC.'Jd mn 4 112 W0 s'inscrit à 106 .97. On srgs2e d,, uctuous n, (nr,r ,anrs sur le C redit l",n,ncee à 13127 eu LIlO et sur uon,i le groupe ries ,nI,l,gaunrrns à Irnua des empreins 1579, 18.50 et inc'S. ira Dengue rie t'arma rosie ferme à Ml) . i.o 1(as,jnn, .\'ai,or,r,Ie ria Bréal ne ir,'ni 5 615 . De nousoreuses demandes au comptant ont élevé la .Srrn'iéte Générale à 487 .50. La liru,n 2 r,eri' Ea- cs .,,p(e unie o23.75 . i.e L'ré,l,t 1,yosss,c lisit 712 .0 et In, S,,r'iété de, 1ifj,hs et t',,,,,j, ire i'set ranie à 0)5). Les l'on,,!, Portugais reviennent en faveur ci s,nai l'objet d” brus achats , le 3010 scia- min à 63 .75 sin hausse de 15 centuues. Le Pariante est à j. tes urinons de la (n,i,cini ont use s,,,,,hreuse clientèle dans les cours ri,' 23,50 ri 2 :1,7.1. >agnelons pour le samedi 25 courant, la arise en souscription publique de I)).).' parts de 3)5) (r . de ta ,m,auseu li,,'hurd .Scl,,re,der. ,u,vem,ueur et tabrn,',uui de', machines a,muér,. c.mn,,r's 'arItrrsinutrrles, 22, rue d Ar,,,ru,ll,, h Paris, (es titres remboursables lu à .100 tr, en 13 axis, rapportent 21 fr . d 'innerèr annuel. C 'est donc un placenuent de MOI)) sous aléa de pertes plus roi ,t,v,denri,' de ! )ip, déjà garanti . Crra1,sn lis courant rie 12 (r, 'bus c,,sergneu,eats seront adressés franco sur niais si humble, si obscur, tellement in- connu que l 'on daigna flaire â peine atten- tieti à tut, Non, disait-il jrouurinumut avine chia- leur, je n'a,tutun'ltral jamais ,1,ie 'oui aille à l'étranger solliciter des soldats pour faire une besogne qui nous pouvons faire mtous'nuèmcs . Avec-vous rien calculé la puiruuie d ' u 'te t,nll,, entreprise? Elle s tou- tes lis cluauuci's pour échouer ; mais, en unl,mu,'i)r,nrt niu' .'hIe réussi-se, ,1tmm vous dit que l'Espagnol ou 1e Lorrain vous baisse- ront ce royaume dont ils se seront rendus maîtres ? Et les traités que noue aurons, fit observer le président de Coigneux. — Les traités, lit le gentilhomme en haussant les é1,,,ules . Chimères que tout cela Croyez-vous qu ' on lem respectera ? La courontue rie F'raui,',' mue vtaut . ehli, }nas nt jrn'iiun, u l'riuu dér .'tirrr' un traité ? Or, si on le déchire, comment Io ferez-vous respecter ? Nous mourrons jusqu' au dernier 1,r,ttr dét ' srt,nlre ces droits, s ' écria ltnrclue- l'oct. — Je le crois, mais quand vous serez morts ., Personne ne répondit à cotte question concluante. C'est pourquoi, continua le gen- tilhomme, je soutiens que mauvais est le conseil et mauvaim l'action . blet-ce de ltiehun'hietm qnmur vous voittez vous défaire MIn rien ! amenez-Io moi, si vous doutez que o vous sois dévoué, mettez lui une u pénr rI nuis la Min, et sons vu re,,,,i jo Le mouvement de hausse s'areentue les rtrIrgatnrrr.n rie, (iie,,r,',ne :iryerrt,,,,s 11 'il)) ru sur les rrtr!rgstrens )'he,u,'n, de .Ssslrm- lé qui nuiostesi àli( .'i. L oblrgutnrrn d,ru r')re,san, cl3- untre à 339, +1+ THÉÂTRES ET CONCERTS Cannes, — A r,jnrrt rrl'i,nur, à 2 1, . 112, Concert h, tm,usnrj,i,, r'lassiqtue dans le sa- lon d'hiver de !listel Beau-Rivage. TttéiTuimc tic i'ANNE$.— CO soir, .ifrmdume JCa, .rmrt, „1,,ira_cotm,i,jue en 3 actes, muai- que ri 'Off,'nt,ncht. Distribution e flnarn MM Mar, Le ,nrarr1',rs 'li' i',nntsable, I ',nlanulm,'t Il ''n,, rie ttr.spreuu tt va en,,the I .e Inapte Cotignac Fleury Madame Favart M” Mont)raz,,s Suzanne J . 4 Orvrlle Jr,lrr',rur Parcourt Sous_Qua rturr J'astelly t,s,,noltr l'urei BOURSE DE PARIS du 2 :1 10011 s si e: t . L,,, t .ttLt lis t sut DurcI r cal. DIVERSES - . Suu . . te,, n,, r ',,, Sue . uSai, . , Es, Lue, 4 use 'l .'n .n. t r CHEMINS DE FER i .e . .. .. .. .. .. . . . . . ils' r s u, „ . a ,, us-s''. r n I r . 'e, e , un' - r t'T J 5,,,' .,. , .t ..0 , sfl cru, ,. 545)Ovt ut , ta O .' gis,. n, e 455'. k1e u,on .0 U 'O Crédit I,, r .? . i .e e'. Sui, '(r,., . .' 42 Crc,lit tir, . u,.n,.,i s un rnst r,.,-, et ., S,,.i 371 AI Si ri, n i 'r '0 . 't i” S .,.i1s te . ' 'r'i"" r VAL. Art CàIIT r'ihum, . Set OS utbi S'nilr.''r r' i, 'ara, „,, . . 5' lii r' ' (r 'acm eiu 5J t . .,1',nt Ilt pensée . n 'au Bene . Fr . Sel 55t', Eu-m' u 114 m On.' tra 451 , en,,, .,, 1, . ''bi.' s - r, tn(r, et 0hu} .r,,e4 î't sec -. VAL DIVERSES r c 'bi r et tA,",', l45 450 .1.,, t,,, u ., im Allumette. . . . ' aie Mn,,e,ii, itI mi mir PETITE BOURSE DU BOULEVARD Edt ."r,ei,re t trnngrors tCcy1 .re li 00 Banque Ottomane Alpine Rio Tinto BOURSES ETRANGERES 'n i',,n,' .,, 'lés )rrrrusr .'rns — 300 Russe, tiullr's 'le banque ru :tees, /t'eurent,— '1010 Belge, 102 10. Vienne . — Rente papier, » » — Rente or, 109 15) .\'err-t'ork . — Change sur Londres, 482 • — Change sur Paris, 521 25. — Petto intérieure . 7 .1 35 Gttttre . — 5 0”) mial,en, . . — Ut,e,i,,ss M,"rn,t,,rnaun, » - — Change sur France. Reine . — Banque Nationale, . Cheng . sur France . ., r,'l'rtse de srrrutr la cause de nuomm bienfai- teur. On voit que, chiez Renaud, car ce fut lui qui protesta, diplumetie et politique n'occupaient guère dr, place . II Cisait te- nir ces deux grands mute sur la pointe do son épée. Quant à Itieltetieti, les motifs qui te fai- saient agir u,,, s'écartaient pas du même h,mt n il voutnutt offr,tv,nr le roi et compro- mettre Gaston. Boisrobert était sois confident et sou né' grn'inttitm r dans cette circonstance. Louis XIII, lui disait-il, mue s'est mon- tré ,1ne médiocrement disposé à marier s,nuu l'rère . Nini volonté, mon habileté sur- tout, ont pu, seules, t'u,unen,'r à eus mani- fester le désir tuais au fond, je le sens, cetts, idée tut rulrugnr . Il trembles de soir grandir et s'élever la branche d'Orléans à ci'ité de e,,n rameau stérile . Ce n'est que par la ti'rr,',tr 'i 'te je liais l'uttuiemiar à le vouloir fermement. Oui, fit observer l'abbé, mais si Nln,u,si,'tur jrr,'ttrt na sérieux le conseil lue vous lui avez fait rlom,u,,'r, s'il s'é- chappe J'" aurai l',i'il l mimais s' n'ai pas à le redouter . Au premier mot quo je lui dirai, (bistotu restera, mmi, s'il ,'st rrn,rli r,'s't,'tu ira, ,J,' lui rendrai, s'il te huant, le uiu,tr,rli,,l (I'C)rnano et MM . de Vendôme, pourvu qu'il ,'rinsento à se marier . .. — Avec Mm,,' de (S,tuttrn,tlr't Bien „tit,'iudu, Mû's lors, il mie son- gerait plus ri troubler la paix d'un Etat ni,,trt son file sn'rnuti appelé lu devenir EU- rince . AUX FABRIQUES CÂNN OISES Anciennement tu,' 'I ,q,,n,},,'n 'Id Mile M QALMQN Maison de i” Ordre Parapluies . O,,r1,r,iI,'s, Cases — Spéeiatit4s pour Ganun eu Cenueares „r"' .il,',,re,s marque., PRIS Mrr,,rues. CANNES Rue d'Antibes, 82 CANNES eue_ GRANDE LIQUIDATION DE i'At'it(t,s t'tuiNTm) ExusTAtI'r as MAGASIN 'Pente de coutieurs, vernis ni voilures et .a devantures . Encaustique, ternis pour harnais . Pinceaux , brosserie, éponges, ,Sctut dépositaire du' Li plus parfaite imitation ,les u'itrama,v de (f . 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'ou net ce ri cahier nomme le frac- snsrle en-contre et e nss, des seuls fabricante: s JOSEPH BARDOU & FILS Fournisseurs de la Régie française et de plusieurs Ets. lr Cr'éov) S ItIilNAt,, Ume tee & 'isp . eus Je le comprends . Niais n'est-il pas possible que Louis XIII se rapproche l'Anne d'Autriche ' objecta le gros ab- . Cor, en tout ceci, la rein,, n'est pan coitu[nrn,rtuise. Elle le sera, répondit Richelieu en souriant, De quelle façon Un jour oit l'autre, tut le sauras, fit Son Eruuiutuuuce rI,int te visage se rembru- nit tout à coup. Pourvu que j'aie mon abbaye! mur- mura Boisrobert en joignant les mains. 1he la diffèrent» qu'il y & entre les oreilles d'm 5a,'Bratau si celle, d'un àae. I»s lendemain, remis XIII donna l'or- dre de partir pour la Bretagne. On 1mrét'xti, qu'en l'absence du gou- verneur de la jnrovi une, il était boa quo le roi se montrât pour contenir leu po- pulations. La moi, la relui,', Monsieur, les tttiuciu- tres, les grands oI'tiei,,rs, et tout ce qui composait la maison de Leurs Nlejeshés, desc,'mtrhir,'ttt la Loire sur rIre bateaux spécialement construits jour ta circons- tance. L,' bois eut avait été peint et doré avec soin tant à l'intérieur qu'à l'exté- rieur, et les balles étain,tt tapissée de cuir do Cordoue vermeil . (Lu ,u,,(c ni ,/,'m,,u,'n,) 57 ), .q 32 72 51) ui. 5)1 472 Ml 17 'trI 3:1,) 77 eu tlrl if

PETITE CAUSERIE - Cannesarchivesjournaux.ville-cannes.fr/dossiers/littoral/1890/Jx5_Littoral... · Leblanc, à Pantin, en été entièrement incendiés . Dans cet ... importantes

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LE LITTORAL

M . Gaot, ri Lrtv baud, maire de laCelle, vient d'être nommé juge deI SiX (lu canton de Cagnes.

PETITE CAUSERIECette petite chronique — Causerie

dune minute — pourrait s'intitulerl,en rlcriijers échos du Jour de l'An.

Dune, au Jour de l'An, il y rivaitnu citez Mine X . . . (lin, d'itili'r'i'c-ti iii) Utie hue do bouquets tic citezSolignac, di' sacs tic boubous le chezNègre et d'objets charmants de ohezllré,audv.

Le lendemain, sou mari se rappelabrusquement qu'il avait oublié danssa ii-tri d'étrennes Mine Z . . . (toujourspas di urrhrsr'r'étroté la l 'etuurtir' de soitmeilleur situ.

Quelle iuua1rrui'dotittattle négligenceIl l'allait la r,'1iari'r au plus tôt— Vite, ils châtie Marie, s'écria

X . . . eut s'adressant â :L femme, vite,allons rendre visite ut Muni' Z . ..

Et il pensa en lui-même ;— I)u diable, si, parmi tous ces

arts 1r' brttthoiis (lue nia femme areçus, je t'en trouverai pas un quetoits puissions lui offrir

Mme X . . . s'apprête doue t la huf,te,et, e r lai t cc temps , Monsieurprend ut i HSC de boubous toi t ouvertsut' la table de sa femme, l' eut sel, ippeet le ficelle d'une faveur rose.

(tri fait lit visite . Oit offre le sac doboubous . Mine Z . . . remercie avec soitlIns gracieux sourire.

Ici, préparez-vous au coup le tliéft-tre .

Mine Z . . . défait la faveur, g ivre lesac p rur cii 'lTd r la primeur à sesvisiteurs et trouve un écrit et uitt(carte 'ornée au nom de soit mari,avec ces mots :

« A min adorable Marie, cii souve-nir de quelques heures de bonheuret eu espérance de quelque- autrr's.

Tableau

INDISCRET.

IKPEIIE DELÀ N IT

I- R.ATCEM . de Rotiisehilai

Le bruitcourait hier ii la Bourse queM . de Rothschild usait t'uut,'niton de don-ner sa dtu iutissi,o, de régent de la Banquede Franco à la nuite des attaques anti-sémites.

1.e rc ..ipincatit de II, Marinai

iiIalgr' les l,rtriis qui r,surerri couru, rienn'est encore déci 'i, au snil,'t li choix il,,l'snibossarlt'nr fraitrais à ltr,rtr,' oui rempla-cement rit' M . NI'iririu,t, décédé.

Lia tempête à Parle

Une terri l,lr. tempête souffle depuis hiermatin sur Paris. 'l'ont,' la journée des dé-bris de toitures ont tr,ru,lr,i laits les luis,On signal ., plueieurs accidents.

Le nouveau directeur des Posteset Télégraphes

nouveau ,lirer'i,'er dis Postes et Té .

72

Feune.elos ou LITTORAL

La

LIEUE VINT M . \ FLUIDESyen

PAUL SAUNIÈRE

TROISIEME PARTIE

Iit ((elisiai rai (juil

Qui comment» à laisser deviner lei projetsde Richelieu

(estait.

La tactique du cardinal était enfinconnu' . S'il avait laissé à Paris le comtede Soissons, s' il s' était emparé de MM.de Vend,'itiu,', c'était pour disséminer ettenir t sa merci les principaux cli,'làde la conjuration et pour effrayer tesautres.

En voulant atteindre son but, il le dé-passa '

Monsieur, à son tour, craignit pourlui-mûtes, et crut sa liberté menacée.Cette fois, le complot changea de nature,et prit des proportions inattendues . Gas-ton en restai le chef, mais le président rieCoigneux en devint le véritable instiga-teur.

Une des choses les plus étonnantes,parmi toutes les conspirations ,1iie sou-

iégrnjrlrcs 'et in homme jeune eneore.e't iré le 19 juillet 184$, ie 'l' oiulot,se, t,iuil lit st's ei,irtes et mou ,Iroit

A t i,,sr'rii iii l,arrerltm tIc Mr,ntnu-ha,,, il s'y fit remarquer par gis qualitésd'orateur et fut choisi siemens bâtonnier.

En mare 1880, M . Lej,è.ro, alors titi-nisrrr,

!'i,,i,'ri''tur, le nomma jtri i ft•t'l'ar,r-n'r .(i .rrrrrrit,' . li frit lait

clive aber ri,,Ut Légion d'hormone par décret tbtté11

,tC Ire 1881,M . ni .' Selves devint s i ceetiv,'u,ient pré-

fet t,. ' r ) isr' ( uni 82), préfet rie Meurtl,e'et- M rr .r'llr' (avril 85), 't enfin préfet do laGirt,,t,l,, (s,'1rt,.urbri, li S) . Il a été flotofficier t,, Ira Lgion d'honneur le 29 dé-cembre 1895.

M . ri' Selves u la réputation d ' un ad—ministrateur linebile, travailleur tenace,d'un lrr,,o,,t,' aria relations aimables . Ilrai 1rrrr,'nt ri' NI, ri,, F' csvr'ier-t.

.%I,, .sI des la n',erve els Grèce

,lrJr,',re.r . — let r,is fl rs,, ' t,, iar,ure rie-tise est iej,},r'lr' r,Xrr,'1rtiO,t,iett,'nt,'nt pourle mois de Mers . Oit attribue une cr-t.aine i,,i[rrrrtnlntr,'r' 1e cette ,i,ssrir,,.Les journans Italiens et la France

Jlo,tae . — Les journaux sont unanimesà reconnaître pin te 1rr'itpine italien ru saisil ' occasion leu funérailles de M . M neririni,notre ambassadeur, pour t,hiurrrr',rrr (leses s e ntiments 'l'nitfl'u'tuont envers la France.

DERNIÈRE HEURE>noce Serti ... eu M'ITOU Il.

ii heures, matin.

La réunion boulangiste tenue hier àLa Villette a été tumultueuse . M . Marti-

' neau n été obligé de signer ta démissionde député, mais il a déclaré ne signerque contraint et forcé au cours de la

réunion il n annoncé qu'il enverrait sestémoins à M . Boulanger.

A la suite d'une dépêche injurieuseadressée à la ('rrot,',/r', hier, par M.Edouard de Rothschild . M . le marquis DeGouy d'étant trouvé offensé par cette dépêche, un duel a eu lieu . M. de Roths-child a été blessé légèrement à l'épaule.

Les moulins de M . Leblanc, à Pantin,en été entièrement incendiés . Dans cetincendie quatre personnes ont étéblessées .

—neLe J"rrrr'o raconte qu'un jeune mos-

covite est arrivé à Paris et qu'il a offert,au nom des patriotes russes, une banièreau générai Saussier . Le général s

refusé pour raicon de discipline . On ditque le jeune russe va demander l'autori-sation à M . le ministre de la guerre.

A la suite de l'acquittement de M Ma .gnier et du l'if,! l'os par la Cour d'As-sises du Var, M .Cluseret a adressé à sesélecteurs une lettre de protestation di-sant que son comité décidera s'il doitdémissionner.

leva It ministère de Richelieu, c ' est lalégèreté avec laquelle ces conspirationsont presque toujours été conduites.

Ainsi, voilà un complot qui ee forme.II „'titlrl,' que le c,trrliurnil lois,' s'en 'tIra-ver, s 'il ,'ti u connaissance . l'as du tout.C'est lui qui te d irigi', et t1ut tait mouvoirà soir gré ce groupe de mécontents.

Cela semblerait étrange, et serait àp, .i,rt' ,'r,rvat,l,, si l'histoire n ' était là 1,oitrl'attester.

Le président de Coigneux, en qui Gus-ton avait 'use extrême confiance, qu 'ilchargeait tnèine de toits ses intérêts, avaitacquis par conséquent une assez grandeimportance . Richelieu s' iitragina, nuitseulement di' se l 'attacher, tuais encored ' en faire, auprès lr Monsieur, le boucémissaire de sa propre politique . Il

par-s int.

Crniiitient :a quelle ruse, quels moyens,r1nett,'s promesses , quilles fascinationssut-il exercer ? Nul le sait . Le présidentdevint, sinon un ni' ses j,ttis celés parti-saris, du moins un de ses plus dévouésserviteurs . Ce fut tau qui conseilla àMonsieur 'le prendre la laite, de se ré-fugier auprès du roi d'Espagne ou du ducde Lorraine, et ,le revenir en France à tatète d'une urinée, et d'arracher le sceptreii Richelieu, j,rrur te retidr,, nui roi.

C'était un projet absurde . Mettre enhostilité deux RIaIs amis, provoquer peut-être une guerre civile, pourquoi ? ou 1rinu-frit pour qui :' Pour tin irouutmu,r', un seul,le cardinal.

Néanmoins ce projet fut discuté et ap-prouvé . Un seul gentilhomme proteste,

BERLIN . — M . de Bismarck ne viesdra pas à Berlin de quelque temps.

LONDRES . — L'ouragan d'hier à oc-

casionné une marée extraordinaire quia cause des dégato considérables . Laville ce Susiudgate n été couverte par lamer . Les hebitants se sont enfuis.Portsmouth a été inondé . Le Ssvern adéborde.

Le lmn'Ijj L'/tn'on'r'/u' dit que de trèsimportantes réformes vont être intro-duites dans les finasses turques . Agop .Pacha a soumis au Sultan des propo-sitions à cet effet le Sultan, donnantl'exemple des économies, consentirait àréduire sa liste civile de un million delivres sterling, le nombre des fonction-naires serait diminué, beaucoup d'em-plois supprimés, l'effectif de l'armée neserait pas réduit, mais les marchés mi-litaires seraient sévèrement contrôlésen espère supprimer ainsi le déficit.

Une depéche de New York au .S(,tn-dm1 dit que l'on ne croit pas à la con-clusion du traité d'extradition entre lesEtate . Unie et la Russie, par ce que laRussie exclut les attentats contre leTzar de la liste dos crimes politiques.

Une dépêche de Lisbonne andun',l parlant dut mouvement portugaiscontre les anglais dit que les Portugaischerchent à se suicider matériellement.

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L'Catrepit générai, 5, tee St Michel 't NICE .1ela prenne, fehriqtte heu .. de GRIL,„Styrie,. ancienne usor u, un F Sehreiter et fila,prévient en,,' Ires,,!, '' .i,,rns te leu de luiiarrrIrr erses u ,rirrrrvn-r . ,r,r,'n,,,'rr n'., et eue meil-leures eusd,tieaa possibles q', l vient de colliersr . .0 dépôt teint peur astre cille

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ses. % ('ii :lU'lS ici : ('tE.Rus de, Marches

pour -tee lete'a'e . aie ( .rc., et ais' I'i mcii

BULLETIN FINANCER

Parte . le 22 fa,,, 'cc 1590

Une grande activité ra régnéelurant toute laséance, sur le marché nies,,',,rentes et 't'atours.Le ,'lOjO aune de 8785 sC.'Jd mn 4 112 W0s'inscrit à 106 .97.

On srgs2e d,, uctuous n, (nr,r ,anrs sur leC redit l",n,ncee à 13127 eu LIlO et sur uon,i legroupe ries ,nI,l,gaunrrns à Irnua des empreins1579, 18.50 et inc'S.

ira Dengue rie t'arma rosie ferme à Ml). i.o1(as,jnn, .\'ai,or,r,Ie ria Bréal ne ir,'ni 5 615 . Denousoreuses demandes au comptant ont élevéla .Srrn'iéte Générale à 487 .50. La liru,n 2 r,eri' Ea-cs .,,p(e unie o23.75 . i.e L'ré,l,t 1,yosss,c lisit

712 .0 et In, S,,r'iété de, 1ifj,hs et t',,,,,j, irei'set ranie à 0)5).

Les l'on,,!, Portugais reviennent en faveurci s,nai l'objet d” brus achats , le 3010 scia-min à 63 .75 sin hausse de 15 centuues.

Le Pariante est à j. tes urinons de la(n,i,cini ont use s,,,,,hreuse clientèle dans lescours ri,' 23,50 ri 2 :1,7.1.

>agnelons pour le samedi 25 courant, laarise en souscription publique de I)).).' partsde 3)5) (r . de ta ,m,auseu li,,'hurd .Scl,,re,der.,u,vem,ueur et tabrn,',uui de', machines a,muér,.c.mn,,r's 'arItrrsinutrrles, 22, rue d Ar,,,ru,ll,, hParis, (es titres remboursables lu à .100 tr, en13 axis, rapportent 21 fr . d 'innerèr annuel.

C 'est donc un placenuent de MOI)) sous aléade pertes plus roi ,t,v,denri,' de ! )ip, déjàgaranti . Crra1,sn lis courant rie 12 (r, 'busc,,sergneu,eats seront adressés franco sur

niais si humble, si obscur, tellement in-connu que l 'on daigna flaire â peine atten-tieti à tut,

— Non, disait-il jrouurinumut avine chia-leur, je n'a,tutun'ltral jamais ,1,ie 'oui ailleà l'étranger solliciter des soldats pourfaire une besogne qui nous pouvons fairemtous'nuèmcs. Avec-vous rien calculé lapuiruuie d ' u 'te t,nll,, entreprise? Elle s tou-tes lis cluauuci's pour échouer ; mais, enunl,mu,'i)r,nrt niu' .'hIe réussi-se, ,1tmm vous ditque l'Espagnol ou 1e Lorrain vous baisse-ront ce royaume dont ils se seront rendusmaîtres ?

— Et les traités que noue aurons, fitobserver le président de Coigneux.

— Les traités, lit le gentilhomme enhaussant les é1,,,ules. Chimères que toutcela Croyez-vous qu ' on lem respectera ?La courontue rie F'raui,',' mue vtaut . ehli, }nasnt jrn'iiun,

u l'riuu dér.'tirrr' un traité ? Or,si on le déchire, comment Io ferez-vousrespecter ?

— Nous mourrons jusqu' au dernier1,r,ttr dét 'srt,nlre ces droits, s ' écria ltnrclue-l'oct.

— Je le crois, mais quand vous serezmorts .,

Personne ne répondit à cotte questionconcluante.

— C'est pourquoi, continua le gen-tilhomme, je soutiens que mauvais est leconseil et mauvaim l'action . blet-ce deltiehun'hietm qnmur vous voittez vous défaireMIn rien ! amenez-Io moi, si vous doutezque o vous sois dévoué, mettez lui uneu pénr rI nuis la Min, et sons vu re,,,,i jo

Le mouvement de hausse s'areentueles rtrIrgatnrrr.n rie, (iie,,r,',ne :iryerrt,,,,s 11'il)) ru sur les rrtr!rgstrens )'he,u,'n, de .Ssslrm-lé qui nuiostesi àli( .'i.

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Gttttre. — 5 0”) mial,en, . . — Ut,e,i,,ssM,"rn,t,,rnaun, » - — Change sur France.

Reine . — Banque Nationale,

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—Cheng . sur France .

.,

r,'l'rtse de srrrutr la cause de nuomm bienfai-teur.

On voit que, chiez Renaud, car ce futlui qui protesta, diplumetie et politiquen'occupaient guère dr, place . II Cisait te-nir ces deux grands mute sur la pointe doson épée.

Quant à Itieltetieti, les motifs qui te fai-saient agir u,,, s'écartaient pas du mêmeh,mt n il voutnutt offr,tv,nr le roi et compro-mettre Gaston.

Boisrobert était sois confident et sou né'grn'inttitm r dans cette circonstance.

Louis XIII, lui disait-il, mue s'est mon-tré ,1ne médiocrement disposé à mariers,nuu l'rère . Nini volonté, mon habileté sur-tout, ont pu, seules, t'u,unen,'r à eus mani-fester le désir tuais au fond, je le sens,cetts, idée tut rulrugnr . Il trembles de soirgrandir et s'élever la branche d'Orléans àci'ité de e,,n rameau stérile . Ce n'est quepar la ti'rr,',tr 'i 'te je liais l'uttuiemiar à levouloir fermement.

— Oui, fit observer l'abbé, mais siNln,u,si,'tur jrr,'ttrt na sérieux le conseillue vous lui avez fait rlom,u,,'r, s'il s'é-

chappe— J'" aurai l',i'il l mimais s' n'ai pas

à le redouter . Au premier mot quo je luidirai, (bistotu restera, mmi, s'il ,'st rrn,rlir,'s't,'tu ira, ,J,' lui rendrai, s'il te huant, leuiu,tr,rli,,l (I'C)rnano et MM . de Vendôme,pourvu qu'il ,'rinsento à se marier . ..

— Avec Mm,,' de (S,tuttrn,tlr'tBien „tit,'iudu, Mû's lors, il mie son-

gerait plus ri troubler la paix d'un Etatni,,trt son file sn'rnuti appelé lu devenir EU-rince .

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E,pesru,on ri,' Tantouse,Nevers . '1» Le Havre . 'I .' Heu.iogne-s .-Mer — Membre du Jure.

Fumeur .! pore éviter la contrefaçonrungez l . 'ou net ce ri cahier nomme le frac-snsrle en-contre et e nss, des seuls fabricante:s JOSEPH BARDOU & FILSFournisseurs de la Régie française et deplusieurs Ets.

lr Cr'éov)

S ItIilNAt,,

Ume tee & 'isp .

eus

— Je le comprends . Niais n'est-il paspossible que Louis XIII se rapprochel'Anne d'Autriche ' objecta le gros ab-bé . Cor, en tout ceci, la rein,, n'est pancoitu[nrn,rtuise.

— Elle le sera, répondit Richelieu ensouriant,

— De quelle façon— Un jour oit l'autre, tut le sauras, fit

Son Eruuiutuuuce rI,int te visage se rembru-nit tout à coup.

— Pourvu que j'aie mon abbaye! mur-mura Boisrobert en joignant les mains.

1he la diffèrent» qu'il y & entre les oreilles d'm5a,'Bratau si celle, d'un àae.

I»s lendemain, remis XIII donna l'or-dre de partir pour la Bretagne.

On 1mrét'xti, qu'en l'absence du gou-verneur de la jnrovi une, il était boa quole roi se montrât pour contenir leu po-pulations.

La moi, la relui,', Monsieur, les tttiuciu-tres, les grands oI'tiei,,rs, et tout ce quicomposait la maison de Leurs Nlejeshés,desc,'mtrhir,'ttt la Loire sur rIre bateauxspécialement construits jour ta circons-tance. L,' bois eut avait été peint et doréavec soin tant à l'intérieur qu'à l'exté-rieur, et les balles étain,tt tapissée de cuirdo Cordoue vermeil .

(Lu ,u,,(c ni ,/,'m,,u,'n,)

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