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Avec le soutien
41 MUSÉES RÉUNIS EN RÉSEAU AUTOUR DU NUMÉRIQUE
En 1994, les conservateurs de seize musées de l’ancienne région Poitou-Charentes ont souhaité se réunir afin de mutualiser leurs moyens pour réaliser des outils de valorisation et de gestion de leurs collections et de leurs musées.
Le réseauLe Conseil des musées regroupe à ce jour quarante-et-un musées labellisés Musées de France , des plus importants (Poitiers, La Rochelle, Angoulême ou Niort) jusqu’aux plus modestes.
Les objectifs Ì Valoriser les musées et les collections sur Internet
Ì Mutualiser les moyens des musées pour développer des outils communs de gestion, d’étude et d’inventaire des collections
Ì Fédérer les musées autour de projets numériques innovants (RFID, réalité augmentée, 3D...) et développer des synergies
Ì Faire rayonner le patrimoine culturel régional auprès de tous les publics
Ì Aider les musées à entrer de plain-pied dans l’ère du numérique en adaptant des technologies émergentes au monde des musées
Les moyensL’association est financée par :
Ì les adhésions des collectivités terri-toriales adhérentes au titre de leur(s) musée(s)
Ì les subventions de la Direction régionale des affaires culturelles
L’association est dirigée par un conseil d’administration constitué de personnels des musées.
Le réseau est animé par une équipe de quatre salariés : deux webdesigners, un
développeur web et un administrateur.
Alienor.org, le site du réseau des muséesLe site Alienor.org présente les musées, leurs actualités (expositions temporaires, informations pratiques, collections...) et regroupe 40 000 pages de contenus (presque 200 publications : expositions virtuelles thématiques, retour sur des expo-sitions temporaires, catalogues numérisés, vidéos, etc.) ainsi qu’une base de don-nées de 27 700 notices d’œuvres.
Il regroupe également des ressources à destination des professionnels des musées.
L’associationAlienor.org, Conseil des musées
Avec le soutien
Le Conseil des musées s’appuie sur les collections des musées du réseau pour concevoir une dizaine de publications chaque année. Avec plus de 185 publica-tions, le site Alienor.org est le site le plus riche en expositions virtuelles, zoom sur une œuvre en particulier, retour sur une exposition temporaire, dossiers thématiques, vidéos de présentation de métiers de la conservation des collections ou de la médiation culturelle, captations de conférence, ouvrages numérisés, etc.
Élaborées par le Conseil des musées en étroite collabora-tion avec le ou les musées d’où sont issues les œuvres sélection-nées, un texte destiné au grand public et validé scientifique-ment est rédigé pour asseoir le propos de l’exposition virtuelle. Les œuvres et le texte sont ensuite mis en page dans une interface attractive et spéci-fique pour chaque exposition virtuelle.
Chaque objet présenté dans les expositions virtuelles est en lien avec sa notice dans la base de données des collections Alienorweb.
Bornes interactivesCertaines de ces expositions sont mises à disposition du public au sein d’un musée par le biais de bornes interactives, leur donnant accès soit à un complément d’infor-mation, soit à l’ensemble d’une collection trop importante pour être exposée en totalité.
Les publications duConseil des musées
Exposition virtuelle : Le microcosme des netsuke
Un regard, une œuvre : deux symbole de la république, le buste de Marianne et le panneau mémorial d’Airvault
Retour sur une exposition : Patagonie, hommage aux indiens disparus de Patagonie et de Terre de Feu, masques de Hervé Haon
Un regard, une œuvre : zoom sur Cérès ou l’Allégorie de la terre
Vidéo : La restauration point par point d’un bonnet rond dit de touraine
Ouvrage numérisé : L’Empire des sciences... naturelles
Borne interactive dédiée au fonds de 300 photographies d’E.S. Curtis du musée du Nouveau Monde de La Rochelle
Avec le soutien
LE PORTAIL DES MUSÉES DU RÉSEAU
Ce portail regroupe l’ensemble des musées du réseau et donne ainsi accès sur un même site Internet :
Ì à la présentation du musée
Ì à son actualité (expositions, animations, conférences, évènements, etc.)
Ì à toutes les informations pratiques (horaires, tarifs, acces-sibilité...)
Ì à la base de données de ses collections
Ì à l’ensemble des contenus publiés sur le site Alienor.org relatifs à leurs collections
Les musées bénéficient ainsi du référencement du site Alienor.org, et ce qu’ils soient gros ou petits, leur offrant ainsi la même visibilité.
Une interface fédéréeLes informations du portail sont renseignées par les musées eux-mêmes qui tiennent ainsi à jour leurs informations et leur agenda. Le portail est traduit en anglais ainsi qu’en espa-gnol.
Ce portail unifié peut être la source d’information pour d’autres sites (offices de tourisme, sites de villes, etc.) ou bien récupérer ces informations sur une autre source externe. Une API permet de récupérer les informations et ainsi n’avoir qu’une seule et unique source d’information à maintenir à jour.
Une newsletter régulièreAfin que le public n’ait pas à s’abonner à autant de news-letter que de musées l’intéressent, toutes les informations relatives à l’ensemble des musées du réseau sont envoyées dans une seule et unique lettre d’information mensuelle.
L’internaute peut également s’inscrire à un flux RSS en choisissant précisément les news des seuls musées qui l’inté-ressent, soit sur une aire géographique, soit par thématique par exemple.
Découverte des musées
Découverte des collections
Actualité du musée
Horaires, tarifs, plan d’accès
Services proposés, accessibilité
Avec le soutien
Conseil, recherche et développement
Le Conseil des musées assure un rôle de conseil, veille tech-nologique, recherche et développement pour les musées. Il aide ainsi les musées dans leurs projets de mise en place d’outils numériques, développe des prototypes et teste la pertinence, les avantages et les inconvénients de nouveaux outils.
Le Conseil des musées a ainsi précédemment apporté au monde des musées des technologies issues de l’avia-tion (système vérificateur expert), de la pharmaceutique (système d’interrogation simultanée de plusieurs bases de données) ou de la grande distribution et du colisage (identi-fication RFID).
Réalité augmentéeCette technologie permet de superposer des contenus multimédia à l’image réelle captée par l’appareil photo d’un smartphone ou d’une tablette. Le Conseil des musées, en partenariat avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles, a élaboré une expérimentation de mise en valeur des collections muséales au moyen de la RA.
3DLe Conseil des musées élabore également plusieurs dispositifs autour de la 3D :
W La numérisation en 3D avec rendu de surface des œuvres les plus emblématiques des collections
Ainsi qu’un dispositif immersif en 3D nommé
L’impression en 3D afin de constituer des mallettes pédagogiques ou des reproductions d’objets à destina-
tion des publics en situation de handicap u
La réalisation d’une application pour visualiser des objets en 3D au moyen de lunettes 3D type
Oculus Rift ou Google CardBoard (très acces-sibles financièrement si l’on dispose déjà d’un
smartphone). u
Casque immersif de réalité virtuelle Google Cardboard
Imprimante 3D
Objet numérisé en 3D au moyen d’un scanner
eBeaconRéalité augmentée
3D
RFIDimprimante 3D Réalité virtuelle
FlashCodeExperrience immersiveApps
Titre
Texte
Avec le soutienAvec le soutien
Le musée
Un cabinet de curiosité du 21e siècle41 musées, des collections extrêmenent variées, il faut donc susciter la curiosité du visiteur en lui proposant une approche différente et intrigante des collections. L’ambition est de faciliter le dialogue entre les œuvres en révélant notamment les particularités régionales (coiffes, collections de Pierre Loti, BD, Cognac…) et leur richesse (les musées de Poitou-Charentes regroupent en leurs seins la 1ère collection extra-européenne après celle du quai Branly) et en revendiquant la pluridisciplinarité des musées participants (un muséum d’Histoire Naturelle, une maison d’artiste, un musée technique dédié à l’automobile et aux cycles, à l’industrie papetière, etc.). Les œuvres les plus emblématiques des musées ont donc été sélectionnées afin de bâtir un parcours représentatif de l’intérêt des collections régionales.
Les visiteurs-internautes pourront ainsi évoluer dans un environnement en 3D et découvrir au gré de leur visite les collections des musées de la région. La scénographie et la navigation sont étudiée pour concilier plaisir de visite et soif de savoir.
Ce projet vise à créer de toutes pièces un musée en 3D, un environne-ment virtuel regroupant les plus belles œuvres des musées de la région.
L’objectif est de bâtir un dispositif culturel et scientifique mais aussi un réel outil de valorisation du patrimoine et des musées de la région. Destiné à faire connaître ce patrimoine auprès de tous, de tous âge, urbains ou ruraux, habitant la région ou touriste de passage, il vise aussi à atteindre un public plus jeune et plus technophile généralement peu enclin à visiter les sites de ressources patrimoniales plus classiques et vient en cela compléter le site Alienor.org.
Inscrit au protocole numérique État-Région ainsi que dans la note stratégique de la nouvelle grande région ALPC, ce dispositif pourra progressivement s’étendre aux musées qui souhaiteront rejoindre le réseau du Conseil des musées.
Des thématiques croisant les disciplines standards (arts, ethnographie, histoire naturelle...)
Recréer un musée dans le monde virtuelRecréer l’accueil où s’informer sur les musées du réseau et les expositions en cours in real life, recréer une salle de conférence où difuser la captation de la dernière conférence ayant eu lieu dans un vrai musée, faire vivre le musée 3D avec des expositions temporaires, recréer un environnement vivant avec des bruits d’ambiance, d’autres visiteurs fictifs ou réels, utiliser son propre avatar...
73% des français jouent à des jeux vidéos
*source ministère (en Poitou-Charentes) ** source IFOP
80% ont plus de 15 ans !
Les joueurs visitent davantage les musées !**
600.000 visites sur le site Alienor.org en 2014
LE PROJET : réaliser un grand musée virtuel en 3D dans lequel seront réunies les collections de 41 musées de la région
Les arts de vivre
L’environnement, l’histoire L’Homme, la Femme
Les ailleurs
1,78 millions de visiteurs dans les musées d’ALPC en 201318% de visiteurs étrangers*
14% de scolaires*
De la numérisation à l’impression en 3D
La création du musée 3D sera l’occasion pour les musées de la région de se doter de scanners 3D parmi les plus performants afin de numériser les œuvres les plus embléma-tiques des musées du réseau. Les scanners actuels permettent en effet d’obtenir une très grande précision, ainsi que la capture de la matière de l’objet.
Le Conseil des musées va également se doter d’une imprimante 3D et ainsi propo-ser aux musées de réaliser des facsimilés de leurs œuvres à partir des modèles 3D numérisés.
Chacun pourra s’imprimer les objets du musée 3DDans très peu de temps, les imprimantes 3D seront des outils accessible au grand public. Le musée 3D anticipe cette révolution technologique en proposant en télé-chargement les modèles 3D des objets numérisés.
Un véritable outil de médiation à destination de publics prioritairesLa reproduction des œuvres en 3D apporte une réponse novatrice à de vrais besoins en terme de médiation pour les musées.
En disposant de reproductions, les médiateurs des musées pourront inviter les scolaires et les mal-voyants et non-voyants à manipuler, toucher, appréhender les formes et les détails des objets de leurs musées. Libérés des nécessaires contraintes de préservation, ces facsimiliés –artefacts archeologiques, osse-ments, des miniatures de scultpures, etc.– offriront un appui précieux à la compréhension de ces derniers.
Une acquisition mutualiséeChaque musée ne pouvant se doter d’une imprimante 3D, ni des compétences pour s’en servir, le Conseil des musées fera l’acquisition d’une imprimante mutualisée pour l’ensemble des musées de son réseau qu’il mettra à leur disposition.
Un financement participatifL’acquisition d’une imprimante 3D sera financée par la mise en place d’une opération de crowdfunding, un financement participatif reposant sur les contributions volontaires des inter-nautes, fans, amis de musées, etc.
L’opération, lancée avec le concours d’étudiants de la filière Masertic (IUT de La Rochelle), sera proposée sur la plateforme associative de financement participatif régionale
Des reproductions tactiles pour les publics mal et non-voyants
Des mallettes pédagogiques pour les scolaires
Ci-dessus, deux objets imprimés en 3D.
Le buste Jeune fille aux yeux clos de Camille Claudel imprimé en 3D
Avec le soutien
Un musée évolutif et participatifL’internaute aime s’approprier les outils qu’on met à sa disposition. c’est pourquoi la « salle blanche » per-mettra à tout un chacun de se créer sa propre exposition virtuelle. En partant d’un espace vierge, il pourra piocher dans la base de données et ses 28 000 œuvres ou télécharger ses propres objets et proposer son propre accrochage.
Les musées du réseau pourront très facilement s’approprier ce dispositif pour concevoir des expositions virtuelles thématiques complémentaires au parcours permanent du musée 3D.
Des jeux et interactivités utilisant la 3D seront également pro-gressivement proposés, permettant de comprendre le fonc-tionnement d’un objet, son rôle ou son utilité, les techniques employées, etc., afin de rendre le dispositif plus ludique et pédagoque.
Le musée
Des parcours à la carteChaque visiteur est différent ; il peut donc choisir de suivre un des parcours proposés ( : l’homme, la femme, les ailleurs, vivre au quotidien...) ou bien naviguer à sa guise selon des questions suggérées croisant les thématiques () ou d’œuvre en œuvre (). Le musée devient alors protéiforme et chaque visiteur découvre un musée sur mesure...
Les internautes sont souvent adeptes du zapping, ils peuvent ainsi passer d’une œuvre à une autre ou d’une salle à une autre au gré de leurs envies et de leur curiosité.
Le mur des collectionsFort de 41 musées, les collections sont très variées. En disposant à l’ « accueil » du musée 3D des objets très disparates, l’objectif est de donner un aperçu de la diversité des collections et d’attiser la curiosité du visiteur. Des questions d’ordre général invitent le visiteur à trouver la réponse en parcourant le musée 3D. Le visiteur se crée alors son propre parcours.
Une approche multithématique pour créer des liens...Chaque thématique est déclinée en 5-6 sous-thèmes illustrés par 4 à 5 oeuvres et accompagnée d’un texte.
Ces sous-thèmes permettent de bâtir d’autres parcours croisant les thématiques générales, offrant ainsi d’autres modes de navigation.
Des niveaux de lecture adaptésLe visiteur se lasse plus vite en virtuel ; plusieurs niveaux de lectures succes-
sifs lui sont donc proposés autour d’une sélection de 140 œuvres.
Les points les plus intéressants de l’objet sont ciblés sur
l’objet mis en avant avec de courtes explications.
L’apport de la 3DLe visiteur plongé dans
un environnement en 3D peut évoluer autour de
l’œuvre et appréhender ses proportions, ses formes. Il peut
également manipuler l’objet, le pivoter dans tous les sens et ainsi
en dévoiler les faces habituellement cachées dans la vitrine d’un véritable
musée.
Une ouverture sur de multiples ressourcesChaque œuvre est aussi une porte d’accès sur de multiples ressources annexes : vidéos, expositions virtuelles, catalogues, documents pédago-giques, exposition annexes thématiques, scénarisation et jeux...
Avec 40.000 pages, le site Alienor.org compte déjà énormément de ressources à relier aux œuvres qui seront présentées dans le musée 3D.
Éveiller la curiosité de tous les publics Le virtuel permet de s’affranchir des contraintes propres à un bâtiment réel.
Il devient possible de passer d’une œuvre ou d’une salle à une autre sans contrainte et ainsi ne pas suivre un parcours linéaire.
Pour éveiller la curiosité du visiteur, on juxtapose des œuvres sans rapport appa-rent, le poussant ainsi à découvrir l’objet et tenter de comprendre la relation
avec les autres œuvres.
Des interactions avec les œuvres seront également proposées afin de rendre la découverte des objets à la fois ludique et pédagogique.
Permettre ce qui ne serait pas possible dans un musée
Dans un musée, il n’est pas possible de manipuler les oeuvres, d’accèder aux réserves ou de placer un même objet dans plu-
sieurs salles d’exposition. Tout cela sera possible. Les grandes collections, les objets multiples
seront « mis en réserve », les objets auront le don d’ubiquïté...
ŒUVRE
ŒUVRES EN RELATIONS
EXPOSITIONS VIRTUELLES
VIDÉOS
RESSOURCES PÉDAGOGIQUES
EXPOS ADDITIONNELLES SALLE BLANCHE
INTERACTIVITÉS
IMPRIMER L’OBJET
MANIPULER L’OBJET EN 3D
NOTICE D’ŒUVRE
INFOS MUSÉE D’ORIGINE
L’HOMME, LA FEMME
SAUVAGE, CIVILISÉ
HOMME ET POUVOIR
SENTIMENT OU RAISON
HOMME / DIVIN /ANIMAL
HOMO FABERFEMMES IDÉALES
IMAGES ET REPRÉSENTA-
TIONS
ÂGES DE LA VIE
POUVOIR
L’homme, la femme
Vivre au quotidien
Les ailleurs
Histoire & environnement
1
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Titre
Texte
Avec le soutienAvec le soutien
Le musée
Un cabinet de curiosité du 21e siècle41 musées, des collections extrêmenent variées, il faut donc susciter la curiosité du visiteur en lui proposant une approche différente et intrigante des collections. L’ambition est de faciliter le dialogue entre les œuvres en révélant notamment les particularités régionales (coiffes, collections de Pierre Loti, BD, Cognac…) et leur richesse (les musées de Poitou-Charentes regroupent en leurs seins la 1ère collection extra-européenne après celle du quai Branly) et en revendiquant la pluridisciplinarité des musées participants (un muséum d’Histoire Naturelle, une maison d’artiste, un musée technique dédié à l’automobile et aux cycles, à l’industrie papetière, etc.). Les œuvres les plus emblématiques des musées ont donc été sélectionnées afin de bâtir un parcours représentatif de l’intérêt des collections régionales.
Les visiteurs-internautes pourront ainsi évoluer dans un environnement en 3D et découvrir au gré de leur visite les collections des musées de la région. La scénographie et la navigation sont étudiée pour concilier plaisir de visite et soif de savoir.
Ce projet vise à créer de toutes pièces un musée en 3D, un environne-ment virtuel regroupant les plus belles œuvres des musées de la région.
L’objectif est de bâtir un dispositif culturel et scientifique mais aussi un réel outil de valorisation du patrimoine et des musées de la région. Destiné à faire connaître ce patrimoine auprès de tous, de tous âge, urbains ou ruraux, habitant la région ou touriste de passage, il vise aussi à atteindre un public plus jeune et plus technophile généralement peu enclin à visiter les sites de ressources patrimoniales plus classiques et vient en cela compléter le site Alienor.org.
Inscrit au protocole numérique État-Région ainsi que dans la note stratégique de la nouvelle grande région ALPC, ce dispositif pourra progressivement s’étendre aux musées qui souhaiteront rejoindre le réseau du Conseil des musées.
Des thématiques croisant les disciplines standards (arts, ethnographie, histoire naturelle...)
Recréer un musée dans le monde virtuelRecréer l’accueil où s’informer sur les musées du réseau et les expositions en cours in real life, recréer une salle de conférence où difuser la captation de la dernière conférence ayant eu lieu dans un vrai musée, faire vivre le musée 3D avec des expositions temporaires, recréer un environnement vivant avec des bruits d’ambiance, d’autres visiteurs fictifs ou réels, utiliser son propre avatar...
73% des français jouent à des jeux vidéos
*source ministère (en Poitou-Charentes) ** source IFOP
80% ont plus de 15 ans !
Les joueurs visitent davantage les musées !**
600.000 visites sur le site Alienor.org en 2014
LE PROJET : réaliser un grand musée virtuel en 3D dans lequel seront réunies les collections de 41 musées de la région
Les arts de vivre
L’environnement, l’histoire L’Homme, la Femme
Les ailleurs
1,78 millions de visiteurs dans les musées d’ALPC en 201318% de visiteurs étrangers*
14% de scolaires*
De la numérisation à l’impression en 3D
La création du musée 3D sera l’occasion pour les musées de la région de se doter de scanners 3D parmi les plus performants afin de numériser les œuvres les plus embléma-tiques des musées du réseau. Les scanners actuels permettent en effet d’obtenir une très grande précision, ainsi que la capture de la matière de l’objet.
Le Conseil des musées va également se doter d’une imprimante 3D et ainsi propo-ser aux musées de réaliser des facsimilés de leurs œuvres à partir des modèles 3D numérisés.
Chacun pourra s’imprimer les objets du musée 3DDans très peu de temps, les imprimantes 3D seront des outils accessible au grand public. Le musée 3D anticipe cette révolution technologique en proposant en télé-chargement les modèles 3D des objets numérisés.
Un véritable outil de médiation à destination de publics prioritairesLa reproduction des œuvres en 3D apporte une réponse novatrice à de vrais besoins en terme de médiation pour les musées.
En disposant de reproductions, les médiateurs des musées pourront inviter les scolaires et les mal-voyants et non-voyants à manipuler, toucher, appréhender les formes et les détails des objets de leurs musées. Libérés des nécessaires contraintes de préservation, ces facsimiliés –artefacts archeologiques, osse-ments, des miniatures de scultpures, etc.– offriront un appui précieux à la compréhension de ces derniers.
Une acquisition mutualiséeChaque musée ne pouvant se doter d’une imprimante 3D, ni des compétences pour s’en servir, le Conseil des musées fera l’acquisition d’une imprimante mutualisée pour l’ensemble des musées de son réseau qu’il mettra à leur disposition.
Un financement participatifL’acquisition d’une imprimante 3D sera financée par la mise en place d’une opération de crowdfunding, un financement participatif reposant sur les contributions volontaires des inter-nautes, fans, amis de musées, etc.
L’opération, lancée avec le concours d’étudiants de la filière Masertic (IUT de La Rochelle), sera proposée sur la plateforme associative de financement participatif régionale
Des reproductions tactiles pour les publics mal et non-voyants
Des mallettes pédagogiques pour les scolaires
Ci-dessus, deux objets imprimés en 3D.
Le buste Jeune fille aux yeux clos de Camille Claudel imprimé en 3D
Avec le soutien
Avec le soutien
Les musées de Poitou-Charentes, désireux de disposer d’un outil répondant précisément à leurs besoins et permettant de mettre en commun leurs ressources, ont souhaité faire développer une base de données qui leur soit spécifique.
C’est ainsi qu’a été créée la base de données régionale des collections Alienorweb.
Un outil d’inventaire et de gestion sur mesureChaque fonctionnalité a été définie collectivement par les personnels des musées, en fonction de leurs besoins et de leurs souhaits. L’application a ensuite été développée en interne par l’équipe du Conseil des musées qui a ainsi la main sur tous les aspects de cet outil.
Une base de données mutualiséeChaque information entrée dans la base de données par un musée est vouée à être partagée avec les autres musées du réseau. Les notices biographiques des auteurs, les fiches des sites de fouilles, les ressources documentaires, etc. sont communes et profitent à tous : elles peuvent être consul-tées, voire complétées par tous les membres. Le choix des informations partagées restent toutefois à la discrétion des musées.
Les thesaurus et listes de vocabulaire sont gérés collégiale-ment par les personnels scientifique du réseau et basés sur les références nationales (Rameau, Garnier, Ethnophoto, Joconde ?…).
Une base de données en ligne sur InternetLes notices d’œuvres de la base de données peuvent également être partagées avec les internautes sur Internet, rendant ainsi accessible à tous les collections. Ces notices peuvent être documentées, accompagnées d’images en haute définition et prochainement de scans 3D texturés.
Les musées décident au cas par cas quelles fiches d’œuvres, notices biographiques, images ou documenta-tions sont rendues accessibles au grand public.
FonctionnalitésLa base de données permet notamment :
Ì l’inventaire des objets, à l’aide de canevas de saisie diffé-renciés par discipline ou domaine
Ì la dématérialisation de l’ensemble du dossier d’œuvre
Ì la conservation de l’historique des constats d’état succes-sifs et de tous les mouvements d’œuvres ainsi que leur suivi
Ì l’édition de l’inventaire juridique et de nombreuses autres listes (cartels, objets en dépôts, en mouvements, listes du PV de récolement…)
Ì l’édition et report des bordereaux de récolement
Ì la documentation des œuvres (images avec zoom HD, références bibliographiques, expositions, correspondance, etc.)
Ì informatisation et suivi des contrats d’acquisition et de cession de droits d’auteur ou d’images
Ì sauvegarde de paniers d’objets et partage avec d’autres utilisateurs, y compris d’autres musées
Ì saisie des fiches avec étapes successives de validation selon les niveaux d’autorisations données aux utilisateurs
Ì la gestion des autorisations utilisateur (consultation, création, modification, mise en ligne, etc.) permettant de donner de définir l’accès de chaque utilisateur (agent d’accueil, médiateur, chercheur, conservateur…)
Ì 3 formulaires de recherches, simple, avancée et par équation
Base de données des collections
Grille de résultat d’une recherche d’objets
Notice d’un objet
Zoom en haute définition sur l’image d’un objet
Historique de gestion de l’objet
Avec le soutien
Base de données publique des collections
La base de données des collections Alienorweb est un outil d’inventaire, de docu-mentation et de gestion des collections des musées. Mais elle est également un outil de diffusion des collections puisqu’elle permet de rendre tout ou partie de ces collections consultable par le grand public.
Intéressant à la fois le grand public, les enseignants et les chercheurs, la base de données ainsi constituée est l’une des plus importantes de France avec 25 000 fiches d’inventaire à la disposition du grand public sur Internet. Avec un potentiel de 150 000 œuvres dans la base de données qui peuvent être publiées, et encore bien davantage à saisir, beaucoup plus de notices seront progressivement mise en ligne au public, ce qui en fera une des trois bases de données les plus importantes, derrière la base nationale Joconde regroupant tous les musées de France et la base de données du Centre Pompidou.
C’est également la seule base de données réunissant autant de musées et de dis-ciplines différentes : beaux-arts, ethnographie, histoire naturelle, sciences et tech-niques, bande dessinée, automobile…
Chaque notice d’œuvre peut être accompagnée de la notice biographique de son auteur, d’images en haute définition et de l’ensemble de son dossier documentaire.
Cartel QRcodeUn QRcode peut être automatiquement édité pour chaque notice d’œuvre de la base de données publique. En ajoutant ces flashcodes à leurs cartels, les musées permettent ainsi aux visiteurs d’obtenir très simplement plus d’informations sur les œuvres exposées.
Cartel d’une œuvre flashé sur un smartphone
Tableau - Environs de La RochelleBalande Gaston (Madrid 1880 - Paris 1971)Charente-Maritime, en 1934toile (support) - peinture à l’huilemode d’acquisition inconnu en 1962inv. D.962.2.1
Avec le soutien
En 2006, sous l’impulsion de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Poitou-Charentes, dans le cadre des opérations d’inventaire et de récolement des collections, le Conseil des musées a développé une version simplifiée de sa base de données des collections Alienorweb profession-nel.
Cette application permet aux musées n’ayant pas les moyens d’accéder à un logiciel d’inventaire professionnel de disposer malgré tout d’une application d’inventaire de leurs collections hebergée et maintenue par le Conseil des musées. Elle est également un premier pas vers la participa-tion au réseau des musées, voire un préalable à une future adhésion et vers l’application Alienorweb professionnel.
L’application reprend le schéma de la base de données mutualisée Alienorweb professionnel, gardant la structure
des informations en base de données relationnelle. Elle bénéficie également des thesaurus développés par le Conseil des musées. Toutefois, cette application abandonne certains des grands principes de l’application maîtresse : la mutualisation des informations entre musées, la mise en ligne au public, certaines fonctionnalités évoluées comme l’his-torique de gestion de l’objet, la dématérialisation du dossier d’œuvre, la gestion des contrats d’acquisition de droits d’auteur ou de cession des droits photo ou le stockage et la visualisation des images en haute définition.
Elle est en outre limitée à une volumétrie de collections inférieure à quelques milliers d’objets (3 à 5000 œuvres au maximum).
Web-application d’inventaire des collections
Les différences entre Alienorweb libre et Alienorweb professionnel
Alienorweb associé Alienorweb professionnel
Inventaire des objets
Gestion de plusieurs inventaires
Notices biographiques des auteurs
Fiche toponymiques des lieux
Fiches documentaires
Intégration des images (en HD, envoi en lots)
Thesaurus et listes d’autorité
Recherches 1 mode de recherche 3 modes, dont un simplifié et un par équation
Édition de l’inventaire juridique aux normes Musées de France
Édition des bordereaux de récolement
Gestion du dossier d’œuvre dématérialisé (images, PDF, .doc, etc.)
Gestion de l’historique des mouvements d’œuvres
Suivi des mouvements par tags RFID
Gestion des constats d’état successifs
Gestion des contrats d’acquisition et de cession de droits d’auteurs
Publication sur Internet
Export Joconde
Listes pré-paramétrées (objets en mouvement, en dépôt…)
Profil utilisateur personnalisé
Gestion des droits utilisateurs avancée
Formations (sans surcoût, hors frais de déplace-ment)
Avec le soutien
Le Conseil des musées développe de multiples outils destinés au grand public mais également aux professionnels des musées du réseau. Une de ses missions essentielles est donc de former les agents des musées à ces outils. De nombreuses formations sont ainsi proposées chaque année, sur des thématiques liées à l’inventaire des col-lections, à leur numérisation et à d’autres thèmes en lien avec les métiers des musées et les nouvelles technologies.
Formations aux outilsOn trouve ainsi des thèmes aussi variés que :
Ì la consultation et l’inventaire des collections dans la base de données développée par le Conseil des musées, Alienorweb professionnel
Ì la photographie et plus spécifiquement la prise de vue photographique des collections patrimoniales
Ì la numérisation des collections et des fonds photographiques anciens
Ì la création en toute autonomie de supports de médiation et de communi-cation de qualité
Ì l’alimentation du portail de présentation des musées et de leurs actualités (évènements, expositions, horaires, tarifs…)
Ì le marquage et la traçabilité des collections par la RFID
Ì etc.
Ce sont ainsi une dizaine de formations qui sont proposées à leurs adhérents chaque année.
Le Conseil des musées organise également des journées professionnelles sur des thématiques liées au droit d’auteur et de la propriété intellectuelle, la réalisation d’outils de médiation numérique, etc.
Ces formations en groupe permettent en outre de se rencontrer et faire connaissance avec les collègues des autres musées et ainsi tisser le réseau, échanger entre professionnels. C’est également l’occasion de faire profiter à tous des problématiques rencontrées et que chacun bénéficie des solu-tions proposées.
En 2013, le Conseil des musées a dispensé des formations auprès de 93 agents des musées de Poitou-Charentes.
Formation continue et assistance à distanceLa formation ne s’arrête pas à la fin des sessions de formation qui sont orga-nisées ; l’équipe du Conseil des musées assure pour les musées adhérents une permanence téléphonique afin de répondre aux questions pratiques des utilisateurs lorsqu’ils se retrouvent seuls face à ces outils.
La formation des agents ainsi que l’assistance à distance sont comprises dans la cotisation d’adhésion ; seuls les frais de déplacements et de restauration des agents restent à la charge des musées.
Formation des agents
Formation à la numérisation des collections
Formation à la prise de vue photographique des collections
Formation à la création de supports de médiation et de communi-cation
Avec le soutien
La RFID dans la gestion des collections muséalesLa technologie RFID (identification par radiofréquences) est très employée dans de nombreux secteurs comme la grande distribution (antivol), les services de messa-gerie (traçage des colis), les autoroutes (badges de télépéage) ou les vétérinaires (identification sous-cutanée des animaux domestiques).
Cette technologie permet l’identification des objets par détection à distance. Contrairement au code-barres, elle ne nécessite pas qu’on puisse voir l’éti-quette ; on peut ainsi identifier un objet à traver la matière, sans avoir besoin de le voir, de le manipuler ou de le sortir de son contenant. L’étiquette peut également être nettement plus petite qu’un code-barres puisqu’elle n’a pas besoin d’être scannée.
En outre, servant de longue date d’antivol dans les supermarchés, une identi-fication RFID permet de réduire les risques de vol en installant des portiques à la sortie du musée.
Tous ces avantages ont donné envie aux musées de Poitou-Charentes de s’emparer de cette technologie pour identifier leurs œuvres, en l’adaptant aux contraintes très spécifiques des musées : discrétion, réversibilité, conserva-tion préventive…
Nous avons ainsi sollicité des restauratrices spécialisées dans différentes typologies d’objets pour déterminer les contraintes que devraient respecter les étiquettes RFID. Ces contraintes ont ensuite été imposées aux fabricants de tags. Nous avons réalisé une application permettant d’identifier les objets, de suivre chaque mouvement d’œuvre et enfin de pouvoir retrouver un objet par détection. Cette application fonctionne sur tablette de façon déconnec-tée, sans accès Internet.
Afin de rendre possible l’achat des tags RFID, dont les commandes ne sont possibles qu’en grandes quantités, et réaliser des économies d’échelles, c’est le Conseil des musées qui en fait l’acquisition et les fournit ensuite aux musées dans le cadre de leur cotisation d’adhésion.
La RFID dans les musées
Des tags en papier, sans aucun solvant, pour la pose sur les objets
Des tags spécifiques pour les objets en métal et le mobilier métallique
Des tags en tissu pour les collections textiles
L’application mobile de suivi des mouvements d’œuvres, la tablette tactile, le lecteur RFID et deux tags.
Avec le soutien
Adhésion plate-forme de médiationNous proposons aux musées de fournir tous les outils pour qu’ils soient en capacité de produire des supports de médiation (fiches pédago-giques, de visite, jeux...) ou de communication (affiches, flyers...) de qualité professionnelle
Ì la suite logicielle de référence en création graphique Adobe Crea-tive Suite
Ì un poste informatique double écran de création graphique PAO en capacité de supporter les logiciels fournis
Ì la formation initiale (9 jours) et l’assistance à distance des per-sonnes qui seront amenées à se servir de ces outils**
Cotisation complémentaire annuelle : +3 100 € / site
Adhésion à la plate-forme d’inventaireEn plus de la plate-forme de diffusion des collections, la plate-forme d’inventaire permet :
Ì d’effectuer l’inventaire, le récolement, la gestion des mouvements et la documentation des collections dans la base Alienorweb professionnel aucune limitation dans le nombre d’accès utilisateurs, le nombre de notices, d’images, etc. la récupération de l’inventaire existant et son intégration dans Alienorweb sont prises en charge
Ì la formation et l’assistance à distance des utilisateurs à l’utilisation de l’application**
Ì la fourniture d’une solution RFID de suivi des mouvements d’œuvres et de récolement des collections (tablette tactile RFID, application Alie-norweb mobile et étiquettes RFID)
Ì la fourniture d’un scanner à plat et documents transparents (diapositives, plaques de verre...)
Ì les formations métiers complémentaires (numérisation des collections, couverture photographique des collections, etc.)**
Cotisation d’adhésion annuelle : 4 900 €
L’association au réseauLa simple association permet :
Ì d’être référencé dans le portail de décou-verte des musées du réseau
Ì de bénéficier des outils de communication (liste de diffusion pour les échanges entre professionnels) et des ressources profes-sionnelles (intranet, annuaire, modèles de contrats, etc.)
Ì de participer aux journées d’études-métier organisées par le Conseil des musées (droit d’auteurs, outils de médiation numériques, etc.)
Cotisation d’adhésion annuelle : 500 €
L’adhésion au réseau
L’adhésion est ouverte à tous les musées qui souhaiteraient s’associer au réseau. L’acceptation est toutefois soumise à cooptation par le Conseil d’administration de l’association. L’adhésion peut prendre différentes formes.
* Sous réserve d’existence d’un connecteur et de données compatibles** Les formations dispensées sont comprises dans le coût de l’adhésion, sans supplément de prix, hormis les frais de déplacement et d’hébergement des stagiaires qui restent à la charge des adhérents
Option « multisites »Si la collectivité dispose de plusieurs musées avec des inventaires distincts, la cotisation d’adhésion prévoit un supplément pour les formations complémentaires et la fourniture de matériel et tags RFID supplémentaires.
Ì création d’un inventaire supplémentaire dans la base de données
Ì fourniture d’une solution RFID supplémentaire (matériel et tags)
Ì fourniture d’un scanner supplémentaire
Cotisation complémentaire annuelle : +2 900 € / site supplémentaire
Adhésion à la plate-forme de diffu-sion des collections En plus de la plate-forme ressources, la plate-forme de diffusion des collections permet :
Ì de diffuser les collections du musée au grand public sur le site Alienor.org, le moteur national Collections et la base Europeana via un entrepôt OAI*
Ì de valoriser les collections dans le cadre de publications régulières, d’expositions vir-tuelles, dans le Musée 3D et d’adapter ces expositions virtuelles en bornes interactives
Ì de faire numériser des objets des collec-tions en 3D
Ì de faire imprimer des objets des collec-tions en 3D
Ì de disposer des conseils techniques et juridiques sur la diffusion et l’exploitation numérique
Cotisation d’adhésion annuelle : 1 900 €
Adhésion à la plate-forme ressourcesEn plus de l’association au réseau, la plate-forme ressources permet :
Ì de diffuser les informations et actualités du musée (horaires, tarifs, expos. tempo-raires...) dans le portail Découverte des musées et la newsletter mensuelle
Ì d’interconnecter le portail Découverte des musées (DDM) avec d’autres plateformes (OT, site ville) pour mettre à jour les infor-mations de ces plateformes depuis DDM ou l’inverse*
Ì d’effectuer l’inventaire des collections de son musée dans Alienorweb associé (accès, hébergement et sauvegarde)
Ì de s’approprier les applications mobiles modélisables proposées (Visite Patrimoine, parcours guidés sur tablette...).
Cotisation d’adhésion annuelle : 800 €
