20
Visite du général WALL - CEMAT britannique Visite du général WALL - CEMAT britannique Edito du chef de corps N° 21 septembre. novembre 2012 Encore une fois, le trimestre de rentrée a été par- ticulièrement intense et dynamique. Une nou- velle phase de projection vient de débuter. Cent cinquante sapeurs parachutistes sont déployés sur les cinq continents. Essentiellement armés par la 3e compagnie de combat, les principaux détache- ments œuvrent au Liban, en Côte d’Ivoire et en Nou- velle-Calédonie. Un cycle d’exercices avec la brigade d’assaut par air britannique a commencé en septembre. Il doit s’achever par la certification d’une force expédition- naire commune en avril 2013. Dans le domaine du génie, les échanges entre sapeurs parachutistes ont pris la forme d’une participation britannique à une de nos rotations au CENZUB et d’une participation française à l’exercice EAGLE SAPPER en Angleterre. Le CEMAT britannique, ancien sapeur parachutiste, a pu découvrir les capacités du régiment au mois d’octobre. Si l’inspection du régiment est venue pimenter le début de cet automne, notre effort se porte sur la préparation opérationnelle décentralisée. Il s’agit d’entretenir nos fondamentaux et de nous réap- proprier des savoir-faire que les récentes opérations extérieures nous avaient contraints de délaisser. Le rallye groupe du mois d’octobre a permis de dresser un constat initial pour bien cibler nos efforts. Il sera complété par un rallye section à la fin du mois de février 2013. D’importants travaux vont être entre- pris sur nos sites d’instruction en garnison (terrain de Montbéton et usine de la SEITA). Ils vont nous permettre de travailler sur des parcours C-IED et ZUB, sur des pistes d’audace, des points d’appui, un pont de charpente, etc. Le spectre de nos missions sera mieux couvert et nous pourrons continuer à améliorer notre capacité opérationnelle. Je vous souhaite à tous d’excellentes fêtes de fin d’année. Col Stéphan VALES 25 e chef de corps

Le 17 repart au Levant - Amicale 17 RGP · certains confectionnaient un abri à l’aide d’un jeu de parachute et d’autres faisaient mijoter des orties ... Ont suivies trois semaines

Embed Size (px)

Citation preview

Visite du général WALL - CEMAT britanniqueVisite du général WALL - CEMAT britannique

Edito du chef de corps

N° 21

sept

embr

e. n

ovem

bre 2

012

Encore une fois, le trimestre de rentrée a été par-ticulièrement intense et dynamique. Une nou-velle phase de projection vient de débuter. Cent cinquante sapeurs parachutistes sont déployés sur les cinq continents. Essentiellement armés par la 3e compagnie de combat, les principaux détache-ments œuvrent au Liban, en Côte d’Ivoire et en Nou-velle-Calédonie.Un cycle d’exercices avec la brigade d’assaut par air britannique a commencé en septembre. Il doit s’achever par la certifi cation d’une force expédition-naire commune en avril 2013. Dans le domaine du génie, les échanges entre sapeurs parachutistes ont pris la forme d’une participation britannique à une de nos rotations au CENZUB et d’une participation française à l’exercice EAGLE SAPPER en Angleterre. Le CEMAT britannique, ancien sapeur parachutiste, a pu découvrir les capacités du régiment au mois d’octobre.

Si l’inspection du régiment est venue pimenter le début de cet automne, notre eff ort se porte sur la préparation opérationnelle décentralisée. Il s’agit d’entretenir nos fondamentaux et de nous réap-proprier des savoir-faire que les récentes opérations extérieures nous avaient contraints de délaisser. Le rallye groupe du mois d’octobre a permis de dresser un constat initial pour bien cibler nos eff orts. Il sera complété par un rallye section à la fi n du mois de février 2013. D’importants travaux vont être entre-pris sur nos sites d’instruction en garnison (terrain de Montbéton et usine de la SEITA). Ils vont nous permettre de travailler sur des parcours C-IED et ZUB, sur des pistes d’audace, des points d’appui, un pont de charpente, etc. Le spectre de nos missions sera mieux couvert et nous pourrons continuer à améliorer notre capacité opérationnelle.Je vous souhaite à tous d’excellentes fêtes de fi n d’année.

Col Stéphan VALES25e chef de corps

En brefEn bref

Entre le 15 et le 26 septembre, une soixantaine de sa-peurs parachutistes du 17e RGP ont été déployés pour six mois à la frontière israélo-libanaise et dans le cadre de la force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL).

En appui d’un bataillon composé en majorité de parachutistes de la 11e BP et aux ordres du 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes, les Montalbanais sont aussi ac-compagnés de leurs camarades du GSBdD de la caserne Guibert. Le détachement, sous la responsabilité du lieutenant-colonel FINI-DORI, commandant en second du 17, se com-pose de cadres pour l’état-major, de sapeurs de la 3e compagnie de combat aux ordres du capitaine ANDRIOT et de diff érents spécialistes de la compagnie d’appui et de la compagnie de commande-ment et de logistique.

Tous sont en mesure d’apporter leur expertise en tant qu’unité de réaction rapide du général Italien commandant la FINUL. Le 17e RGP renoue ainsi le fi l de son histoire avec le «pays du cèdre», où passèrent de nombreux détachements Montalba-

Le 17 repart au Levant...

nais qui marquèrent souvent de leur empreinte cette terre en-tre 1978 et 1983, puis en 2003.

Avant de partir vers cet « Orient compliqué » en pleine muta-tion, les sapeurs paras ont reçu les dernières consignes de leur chef de corps le colonel Stéphan VALES.

aine de sa-ployés ss s e eeeeeet tt tt tt

ononononons s s s ss s s s

é é

-rs du t d

Levanttt.... ......... ..........

Remise des maillots de rugby...

Les nouveaux maillots de l'équipe de rugby ré-gimentaire, sponsorisés par M. CHOUQUET, ont été dévoilé et distribué. Cela a été l'occasion de présenter à l'équipe le nouveau parrain, M. Philippe DINTRANS ( an-cien capitaine de l'équipe de France).

En brefEn bref

Saut de la St MICHEL...

Soirée des nouveaux arrivants...

Les invités en tandem...

Excellente soirée qui s'est poursuivie tard, mais tard...

... les paras en OAEn brefEn bref

Célébrations de la St MICHEL ...

"Entre eff orts et encouragements..."

Le bureau des sports ne nous a pas épargné encore cette année. De nombreux challenges en relais, de la vitesse, de la technique, de la puissance et de la

fi nesse... félicitation à la "FIRST" qui remporte cette édition des jeux de la St Michel 2012 !

Présentation au drapeau du contigent du Ltn GILBERT et remise de décorations.

Dépot de gerbes aux pieds des monuments.

Remise du drapeau "section UNP-Tarn et Garonne"par le général CHAZARIN.

Remise de la coupe "Challenge ST Michel 2012" à la "FIRST"Sequelle des jeux pour le PEVAT...

méfi ance, il rumine sa vengeance...

Inspection du régiment

Une inspection de l'armée de Terre n'est jamais de tout repos pour un régiment. Conduite par le général de division RASTOUIL, elle a mis en exergue les bons résultats du régiment. Félicitations à tous...

Visite du CEMAT britanniqueVisite du CEMAT britanniqueLe mercredi 10 octobre, dans le cadre du partenariat entre la 11e brigade parachutiste et la 16th air assault brigade britannique, le régiment a eu l’honneur de recevoir dans ses murs, le chef d’état major de l’armée de Terre britannique, le général WALL.En eff et, ancien sapeur parachut-iste, il était hors de question pour lui de venir en France, sans faire de crochet par notre régi-ment.Le défi pour nous était de taille puisque, dans une visite de 1h45 calibrée à la minute, il s’agissait de présenter l’ensemble des ca-pacités opérationnelles du régi-ment : le GUEPARD dit de «nou-velle génération», les engins de travaux ainsi que les composantes de génie combat et celles plus spéci-fi ques de nos commandos, plongeurs et groupe EODD.Après une présentation statique sur la place d’armes de nos équipements et du concept de GUEPARD en alerte 12h par le Lcl BOYER-VIDAL (in english of course !), les autorités ont assisté à un exercice de débarquement d’une compagnie inter-armes sur portière MLF intégrant l’ensemble des capacités de la SLRO à celle de nos groupes de combat en ouverture d’itinéraire sur un axe piégé.

Enfi n, après une rapide visite de la salle mines, le gé-néral WALL est reparti vers Toulouse, ravi d’avoir vu, en si peu de temps, la diversité de nos savoir-faire et pu échanger quelques mots avec plusieurs de nos sa-peurs parachutistes.

Cne RANSONOffi cier adjoint de la compagnie d’appui

WALL.t-

e es spéci

Rallye groupe régimentaireUn rallye groupe régimentaire s’est déroulé les 23 et 24 octobre. Au programme : 30 groupes ont été mis en situation sur 18 ateliers entre Mon-tauban, Montbeton et Montech pour 30 à 40 kilomètres de marche.

Mobilisant environ 350 personnels, il était l’occasion d’évaluer les groupes et leurs chefs de groupes aux savoir-faire génie, TAP et toutes armes. Il permis également de recentrer les activités d’instruction individuelles et collectives des prochains mois qui agré-menteront les entrainements en garni-son.Ce rallye a préfi guré la tenue d’un rallye de niveau section en février 2013.

Vie des unités...

CME de l'adjudant BARBIERVie des unités...

Le CME a débuté sur de bonnes bases... dès la pre-mière heure avec deux étourdissements suite à un renforcement musculaire... le ton est donné !Première semaine : consacrée aux diff érents tests initiaux sportifs et écrits. Certains s’estimant trop vieux pour continuer (25 ans) ont préféré ne pas aller plus loin. Ceci malgré l’intervention du docteur «HOUSE». Deuxième semaine : à Corde Tolosane, a permis a tous d’être qualifi é du module alpha au module delta. Certains ont du utilisé plus de car-touches que d’autres en raison d’un strabisme déconcertant.

Troisième semaine : mission "HAAGEN-DAZS" à Mont Louis, acceuilli par un déluge de neige dès notre arrivée... Au menu du CNEC : piste indivi-duelle, escalade, rappel, TIOR, VEC, cours de survie et enchainement de marche topo, 8 km commando et piste groupe violette, le tout assaisonné inévi-tablement par la leçon du Sgt CREPIN, la mise en pratique du "devenez vous-même.com." L'initiation a la survie a été une formalité pour certains qui de leur propre initiative et avec les moyens du bord (un tee shirt et deux bouts de bois) ont attrapé une tru-ite (Sp 1re classe BRUNIQUET et CARRE). En parallèle certains confectionnaient un abri à l’aide d’un jeu de parachute et d’autres faisaient mijoter des orties et des aiguilles de pins. Avant notre retour à Mon-tauban nous avons pu profi ter de la visite guidée de la citadelle.

Ont suivies trois semaines à CAYLUS, «c’est ça qui veut le jeune para» consacrées à mettre en pratique les cours de combat : parcours groupe, trînome et

village de JEAN COUSI. Les marches et les courses d’orientations ont complété les cours topo et nous avons pu profi ter du Roc d’Anglars et de la mairie de JEAN COUSI pour perfectionner nos techniques de rappels. Nous avons également passé notre CATI PAMAC 50 avec l’instruction du Sgt OUARY.

Avant-dernière ligne droite en semaine 46 avec les tests fi naux ou nous avons pu constater, sur les épreuves physiques, les progrès de l’ensemble de la section. 300m gagnés pour certain au cooper et jusqu’à une minute sur le PO. Cette semaine, c’est achevée par la restitution de l’ensemble de l’instruction à Montbéton lors du rallye.Et là, "CLIC CLAC KODAK", dernière semaine qui a commencé par le RAID dont le but était de réaliser un coup de main sur l’antenne du Roc d’Anglars au départ de JEAN COUSI. Après une journée de surveillance de l’objectif, le groupe assaut a pu neutraliser les sentinelles et placer les charges sur l’antenne. Après récupération par les jalons du groupe appui, l’exfi ltration a débuté par la descente en rappel du roc pour mener ces deux groupes à la grotte de la vipère ou les attendait le troisième groupe chargé de la couverture. Une fois la section réarticulée nous avons rejoint le dernier point de rendez vous au village de PENNE.

Jeudi 22 novembre, les résultats ont été proclamé, et le premier galon de caporal a été remis par le chef de corps, au major de la promo, le Sp 1re classe Nico-las FREMAUL de la 1re compagnie.

Mission "Cluédo"

Vie des unités...

Jeudi 8 Novembre 2012, un groupe de la 2 est en mission à Barèges. Ce n’est pas pour dévaler les pistes de ski de la sta-tion mais par ordre de réquisition, pour assister la Gendarmerie, que nos sapeurs sont sur place. Suite à un homicide commis quelques mois plus tôt, les gendarmes ont fait appel à notre compétence de détection électromagnétique pour tenter de re-trouver l’arme du crime.

La première matinée de recherche, nos sapeurs re-trouvent une grande quantité d’objets métalliques en tout genre, les gendarmes nous affi rment que nous travaillons dans l’ancienne décharge du vil-lage. Ce n’est qu’en fi n d’après midi après des trou-vailles de toute sorte, que le 1Sp ALVES découvre un couteau qui pourrait correspondre à l’arme du crime.Le travail du groupe du sergent WIGNANITZ au profi t de la Gendarmerie a permis de rapidement faire avancer l’enquête.

CENZUBA peine sa FSI terminée, la section du Ltn LAMBERT s’est plongée dans la préparation du CENZUB afi n d’appuyer la 1re Cie du 2e REP. Durant 15 jours, la sec-tion a profi té de la SEITA pour parfaire son entraîne-ment : déplacement en ZUB, eff raction chaude et froide, ouverture d’angle, pénétration dans une pièce, réalisation de check point, sauvetage au combat… Puis une journée au village de combat de Caylus a permis de faire la synthèse de tous ces pré-requis nécessaires avant de rejoindre Sissonne.Dès la première semaine, les groupes sont détachés au profi t des sections du 2e REP permettant ainsi aux automatismes entre les sapeurs parachutistes et les légionnaires de se créer rapidement et aux chefs de groupe de travailler le dialogue interarmes. L’exercice de synthèse a fait mesurer à tous l’intensité du combat en zone urbaine. Les sapeurs ont été confrontés aux combats de contact dans un cadre d’exercice très réaliste. Les chefs d’équipe ont exercé à fond leurs responsabilités et les chefs de groupe ont su se positionner comme des con-seillers directs des chefs de section infanterie.

Au fi nal, tous et particulièrement les plus jeunes ont pu voir que l’entraînement prenait tout son sens dans cet environnement interarmes.

Mission "SERTAP"

Vie des unités...

La 2e compagnie de combat a participé à un SERTAP du 12 au 16 novembre 2012 à l’ETAP.Cette semaine aura été très enrichissante pour tout de monde. En eff et, une grande partie du dé-tachement a pu fi naliser la remise à niveau EPC (Ensemble de Parachutage du Combattant) tandis que d’autres s’alignaient en EPI. Un exercice de ré-articulation au niveau section et compagnie a été eff ectué après chaque saut. De plus, la zone de saut de WRIGHT a été propice à un assaut vertical sur la tour du marqueur.Les plus jeunes ont découvert les équipements spécifi ques comme l’EL 34 avec FRF2 ou ANF1 mais aussi l’équipé en FAMAS assujetti, cela permettant à tous de se remettre à jour.Même si les sauts de début de semaine ont été an-nulés, nous avons pu passer la porte du CN 235 CASA au moins 3 fois.Cet exercice a aussi été l’occasion d’accroître la co-hésion régimentaire grâce à la présence de person-nels de la 1re et 3e compagnie.

L'OT en chantierDu 20 août au 15 novembre 2012, la section Organi-sation du Terrain s’est rendue sur le camp de Villem-aury du 3e RPIMA à Carcassonne afi n d’eff ectuer une rénovation complète de trois champs de tir.Les travaux, dont la valeur totale s’élève à 300 000 euros, ont consisté en la remise aux normes ISTC de deux champs de tir et la réfection d’un pas de tir grenade. Les enginistes de l’OT ont remodelé en profondeur ces champs de tir en utilisant des mil-liers de mètres cubes de sable et de grave. Les phas-es principales de travaux se sont organisées autour de la construction de buttes de tir, de zones de foulées et d’un réseau performant d’évacuation des eaux pluviales compte-tenu des pluies violentes qui tombent ponctuellement sur le pays Minervois. La section est intervenue avec la plupart de ses en-gins (3 bennes, 3 EGRAP, un chargeur, une nivele-use, 2 bulldozers, un compacteur). Nous avons, par ailleurs, bénéfi cié pendant un mois de la location d’une pelle lourde à chenille. Ceci n’a pas manqué de susciter l’enthousiasme de la section tant les per-formances de cet engin, en terme de rendement, sont importantes. Nous avons été renforcés par des sapeurs de la SAD et de la SAEP dont le travail a été apprécié.Cette mission confi ée à la section depuis plusieurs

années est extrêmement intéressante. Elle permet d’entretenir les savoir-faire acquis au cours de l’année lors des formations, de montrer aux plus jeunes les missions de la section et de progresser dans la con-duite des engins. Ce chantier, techniquement pointu et devant répondre à des normes strictes en terme de planimétrie et de granulométrie, permet de progress-er à tous les niveaux et augmente le niveau de compé-tences de la section.

Enfi n, ces travaux sont l’occasion de resserrer les liens et de démontrer l’étendue de nos savoir-faire aux mar-souins parachutistes.

Le 3e RPIMA dispose, à présent, de champs de tirs re-faits à neuf et d’infrastructures de qualité afi n de con-duire son instruction en garnison.

Découverte de la spéléo pour la CCLVie des unités...

En préambule de la Sainte-barbe ce mardi 27 no-vembre, un groupe de la CCL, chapoté par le bureau des sports, a participé à une sortie spéléologie aux abords de la commune de Bruniquel.Tout juste après avoir revêtu des combinaisons adap-tées à l’activité et après une marche d’approche de quinze minutes, nous voilà à l’entrée de cette cavité pour le moins pas très chaleureuse…Après avoir évolué dans des galeries plutôt vastes, refuge de quelques chauves-souris en hibernation, nous voilà confi nés dans un goulet vertical extrêmement étroit, lequel débouchait sur une galerie beaucoup plus « aérée ». Ce ne fût qu’un piètre répit, car nous revoilà replongé dans des interstices si étroits que les casques n’étaient plus sur la tête, mais au bout des doigts…Une fois à l’air libre, les visages sont marqués et les traits tirés par l’eff ort mais aussi le stress…Cette activité si particulière, dans un milieu com-plètement inhabituel, nous a permis également de

travailler sur ces qualités si chères à notre métier : la gestion du stress et la confi ance en soi.

Soirée "Gangster des années 30" pour la CCLLa CCL ne s’est manifestement pas convertie dans un syndic du crime organisé et la méthode corse n’est pas d’actualité. Simplement une soirée accompa-gnée de nos conjoints qui se devait d’être un mo-ment convivial et sympathique autour d’un buff et dansant, annoncé des plus copieux.Un groupe de musiciens bien entrainé a apporté de façon certaine, toute l’ambiance attendue. "Chapeau noir, cravate noire, attributs du gangster, mais che-mise blanche", telle était la tenue des nombreux invi-tées pour cette soirée.

LibanEn direct de...

Les sapeurs français et libanais s’entraînent ensemble.Du 20 au 22 novembre 2012, la Force Commander Reserve (FCR) a conduit un exercice génie, mené conjointement par les sapeurs français et libanais.Dans le cadre de la coopération franco-libanaise, un groupe génie composé de 9 militaires français et de 8 sapeurs libanais de la 9e brigade des forces armées libanaises (FAL) a été formé pour partici-per à un exercice de perfectionnement aux procé-dures de déminage. Les militaires des deux na-tions se sont retrouvés sur le camp de Marjayoun, appartenant à la 9e brigade pour participer à des séquences d’instruction et des exercices pratiques sous la houlette des sapeurs français: dégagement d’obstacles, mise en œuvre d’explosifs et ouverture d’itinéraires. Ils ont revu les fondamentaux du démi-nage et l’ensemble des règles de sécurité. Ces trois jours d’exercice ont permis aux soldats français et libanais d’échanger leurs savoir-faire et de mieux connaitre leurs procédures et méthodes de travail respectives. Respect, partage et cohésion furent au cœur de cette formation conjointe génie, contribuant ainsi à la montée en puissance des FAL. Dans les semaines à venir, les sapeurs de la FCR, provenant du 17e régiment du génie parachutiste, reconduiront cette même coopération au sein de la 8e et de la 5e brigade FAL.

La France, engagée au Liban depuis 1978 dans le cad-re de la FINUL, a notamment pour mission de soutenir les forces armées libanaises (FAL) afi n qu’elles pren-nent en compte la sécurité du Sud Liban. La France est le cinquième pays contributeur de la Force intéri-maire des Nations unies au Liban (FINUL), avec près de 900 soldats. La grande majorité arme la FCR qui est en mesure d’agir en moins de trois heures au profi t de tous les contingents déployés sur l'ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolu-tion 1701. Elle est dotée de capacités uniques sur le théâtre, en termes de détection d’aéronefs ou de pro-jectiles. Basée à Dayr Kifa, elle est le principal moyen de réaction, de dissuasion et de coercition de la FINUL. Robuste, souple et réactive, elle constitue une vérita-ble force au service de la paix au Sud Liban.

NaissanceToute la famille du 17 présente ses félicitations aux parents et les meilleures choses possibles aux nou-veaux nés...

- BERTRAND Eva, le 07-02-12 - CCL- LEHNOFF Jade Isabelle Norma, le 31-01-12- CCL- LEGUIEL Thelio, le 08-05-12 - CCL- BAKA Lenny, le 30-01-12 - CCL- GATTO Eléanore, le 30-04-12 - CCL- LATOUR Sacha, le 20-10-12 - CCL- QUINIOU Flamine, le 22.08.12 - CCL- DINGUIRARD Lilou, le 16.11.12 - CCL- HALIDI Imran, le 02.12.12 - CCL- RIVOLIER Théo, le 11.11.12 - CCL- GESTEL Ilan, le 27.10.12 - CCL- ABDOU Yanil, le 07.09.12 - CCL- CHAROZE Chloé, le 14-10-12 - CCL- DAMAY Alice, le 19-09-12 - CCL

- LOAN, le 13 avril 2012 famille de l’Adj FIALOUX - 2e Cie- CHIARA, le 18 mai 2012 famille du Cch CLAVIER - 1re Cie- MARYLOU, le 7 juillet 2012 famille de l’ADJ GENS - 3e Cie- EWEN, le 5 aout 2012 famille du Sch LACOMBE - 1re Cie- LOUIS,le 25 aout 2012 famille du Cpl COUVRAND - 3e Cie- JULIA, le 28 septembre 2012 famille du CCH KAUFFMAN - 1re Cie

Quoi de mieux que d'aller se dé-gourdir les jambes sur un petit cross... Oui mais voilà : base de loisir de La FRANCAISE, temps clair mais pelouse trés humide, voir glis-sante, découverte des sous bois et des prairies, 7.2 kms, +200m de dénivelé, oui, le BDS a encore frap-pé en nous découvrant un site à la hauteur de nos crampes à venir. Qu'importe, l'Adc EVEN remporte ce cross d'automne en 30" 22'... même pas mal ...

Le coin des sportifs

Cross d'automne

Le bureau des sports : l'heure c'est l'heure, n'est ce pas .....

Le coin des sportifs

Départ pour Millau le vendredi après-midi avec mon accompagna-teur à vélo le Cch WILSON. (Nous avons raté le show du Sgt DANSIN au repas de la Saint Michel. C’est dommage !).Arrivés au Parc de la Victoire, nous récupérons nos dossards et participons à la pasta party (un verre de vin, pas plus !). Nous passons la nuit sur un lit picot dans le boulodrome cou-vert. Nous faisons connaissance d’un Cch du 31 qui va courir avec sa femme : cela frôle l’inconscience car les 100 km doivent paraî-tre longs surtout pour les oreilles !Nous nous préparons méticuleusement dès 7 heures (gourdes, barres énergé-tiques). A 9 h 30, Wilson rejoint le rassem-blement des accompagnateurs vélos situé à 7 km de ma ligne de départ.Dès le départ de la course à 10 h, je décide de gérer la première partie, celle nommée la partie marathon, comme un échauff ement. Quand je parviens au parc vélos qui se prolonge sur 1,5 km environ, j’ai un peu de stress car je n’aperçois pas rapidement mon coéquipier Wilson... Grand soulagement ! Au cours de la course, je m’hydrate chaque dix minutes avec un mélange de Coca et d’eau ou bien avec du produit isoto-nique. Je me force à avaler des barres énergétiques ou des pâtes de fruits. Je n’ai jamais mangé autant de pâtes de fruits de toute ma vie ! A chaque ravitaillement tous les 5 ou 6 km, c’est Wil qui récupère pour moi et me rejoint ensuite. Tout se passe à merveille jusqu’à l’entrée dans Millau après avoir par-couru 40 km. Les calculs sont vite faits : il me reste 60 «bornes». Cela fait encore beaucoup.Je passe le marathon en 3 heures 19 et en 22e position. J’entame la partie la plus dure de l’épreuve en me dirigeant vers le viaduc. A côté, le Fau, c’est de la rigolade !Je n’ai plus le blues lorsque j’atteins la barre des 50 km. Je garde le même régime alimentaire. Arrivée à Saint Rome soit 60 km, le plus dur reste à venir. Il faut monter le col pour rede-scendre sur Saint Aff rique. Vers 15 heures, nous avons droit à la pluie. Le col est enfi n franchi et je ne me suis pas arrêté. Lors de la descente, nous avons froid. Je jongle entre les fl aques d’eau mais j’ai tout de même les pieds trempés.

" 100 km de MILLAU " Nous croisons les premiers concurrents qui remontent de Saint Aff rique. Il me tarde de grimper car la descente me donne mal au dos. Après un petit tour dans Saint Aff rique, je suis en 18e position. Les chaussettes mouillées m’ont provoqué une ampoule sous le pied. A un rythme de 10 km à l’heure, je croise à mon tour ceux qui descendent de Saint Aff rique. Je reçois des félici-tations auxquelles je ne réponds pas. C’est Wil qui s’en charge. Au milieu de la côte, Wil crie sous la douleur d’une crampe. Je ne l’attends pas et il me rattrape dans la descente

sur Saint Rome.A 20 km de l’arrivée, je calcule régulièrement le temps pour fi naliser ce parcours : le temps estimé est de 8 h

40. Je ne m’alimente presque plus. Je croise le Cch du 31 avec sa femme sous le viaduc. Il leur reste 50 km et je leur souhaite bon courage. Sur les 5 derniers kilomètres, je décide enfi n d’accélérer pour dépasser les deux concurrents qui sont en ligne de mire. Je les double à 13,5 km à l’heure. Sous les informations de Wilson, je sais que je ne suis plus en proche compétition avec d’autres coureurs et je ralentis mon allure.Une fois la ligne d’arrivée dépassée, je m’arrête mais mes jambes veulent continuer à courir. J’ai mal. Je me restaure en continuant ma cure de pâtes de fruits puis je rejoins la salle de massage. J’ai besoin d’aide pour quitter mes baskets et mes chaussettes.Lors du retour sur Montauban avec Wil au vo-lant, je ne sais plus comment me mettre pour soulager mes jambes. C’est horrible.

En guise de bilan, je dirai que je ne me suis pas arrêté et que j’ai bien géré mes eff orts (pas comme lors

du Marathon de Montauban !).

J’ai facilement surmonté cette épreuve «mythique» alors que je ne me croyais pas capable de tenir un tel eff ort. Au fi nal je suis 12e en 8 heures 32 .

Je tiens à remercier particulièrement le Cch WILSON pour son engagement à mes côtés car cela n’a pas été de tout repos pour lui. J’exprime aussi ma reconnaissance au bureau des sports qui m’a soutenu dans cette initiative.

Sgt IMART Eric

ons s de la

cupérons sta party

passons la rome cou-n Cch du ela frôlet paraî-

ement ergé-sem-situé

sur SaintA 20 km pour fi na

40. Jedu 50 Sud’aqukmsaisaveUnemamapâtJ’amLlas

du Ma

En direct de CAYLUSEn direct de CAYLUS

Un barbecue cohésion a eu lieu le mardi 11 septembre 2012 sur le camp de Caylus. Le lieutenant-colonel CHILLOU, chef de détachement a présenté les objectifs de l’année pour les person-nels du camp. Un repas convivial et dans la bonne humeur.

Barbecue cohésion

L’exercice comprenait un accident de véhicule avec une désincarcération de 2 victimes, un feu de bâti-ment avec une évacuation par échelle, une autre par la fenêtre à l’aide d’un lot de sauvetage puis extrac-tion des plusieurs victimes dans un couloir et une chambre enfumée. Enfi n une évacuation d’une vic-time dans un local de chlore.Cet exercice s’est bien déroulé. L’objectif pour les pompiers de Caylus était de mieux connaître leur domaine d’intervention et aux pompiers du camp de faire un maintien des acquis, hors domaine feux de forêt.

Exercice incendie sur le camp avec le centre de secours de Caylus

CohésionCohésionJournée Halloween pour les enfantsJournée Halloween po

RDV etait donné le mercredi 14 novem-bre.

D é g u i s e m e n t obligatoire, les enfants ont par-couru le ré-

giment pour une chasse

aux bon-bons.

Les com-pagnies ont

joué le jeu en dé-corant un espace afi n de recevoir "les diablotins" qui réclamaient leur

due... La récolte eff ectuée, ils avaient rendez-vous au foyer ou les attendait un goûter et le chocolatier deNeuville pour une dégustation.