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Le Nouveau Genevois NOVEMBRE 2012 Budget: Le coup de semonce du PLR au Conseil d’Etat P11 Interview: Guillaume Barazzone P4-5 Vos candidats à la Cour des comptes P8-9 Double élection le 4 novembre: Votez Guillaume Barazzone au Conseil administratif de la ville de Genève & les 6 candidats soutenus par le PLR à la Cour des comptes Novembre 4

Le Nouveau Genevois, novembre 2012

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Organe officiel du PLR genevois

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Page 1: Le Nouveau Genevois, novembre 2012

Le Nouveau Genevois novembre 2012

Budget: Le coup de semonce du PLR au Conseil d’Etat

P11

Interview: Guillaume Barazzone

P4-5

Vos candidats à la Cour des comptes

P8-9

Double élection le 4 novembre:votez Guillaume barazzone au Conseil administratif de la ville de Genève & les 6 candidats soutenus par le PLr à la Cour des comptes

Novembre

4

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ENSEMBLE ÉCHANGEONS NOS PASSIONS

Genève Û Nyon Û Lausanne Û Montreux Û SION Û SIERRE

www.comptoir-immo.ch

ENSEMBLE ÉCHANGEONS NOS PASSIONS

Genève Û Nyon Û Lausanne Û Montreux Û SION Û SIERRE

www.comptoir-immo.ch

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L e N o u v e a u G e N e v o i s | N o v e m b r e 2 0 1 2 | 3

SommaireP. 4-5 InterviewGuillaume Barazzone Candidat au conseil administratif de la Ville de Genève

P. 6-7 Election au Conseil administratif de la Ville de Genève De la reconquête de l’Exécutif de la Ville de Genève _ Incarner les valeurs de l’Entente _ «E» comme Entente _ L’agenda

P. 8-9-10 Election à la Cour des comptes Candidats aux postes de magistrats titulaires _ Candidats aux postes de magistrats suppléants _ Compétences Indépendance Responsabilité _ Des compétences pour un meilleur fonctionnement de notre République! _ La Cour des comptes a besoin de stabilité _ Pour la confiance entre la population et ses institutions

P. 11 Actu cantonaleBudget 2013: Le coup de semonce du PLR au Conseil d’Etat _ Soutien de l’emploi dans les milieux bancaire et financier _ Pour une maturité gymnasiale de qualité et cohérente

P. 13 Actu fédéraleDure mais juste _ Gripen: Le PLR attend toujours des réponses à ses questions

P. 14 PLR du tempsUn jeu de miroir

Alors que nous nous apprêtons à voter pour les élections de la Cour des comptes et du Conseil administratif de la ville de Genève, le 4 novembre, il est important de revenir ici sur la stratégie établie par le PLR, au lendemain des élections au Conseil national, il y a tout juste un an.

Le PLR et le PDC ont clairement exprimé leurs volontés communes de travailler ensemble et de trouver, chaque fois que cela est possible, des solutions permettant d’aborder les élections de façon unie. Cela n’est pas toujours aisé, car les alliances imposent parfois de se retirer au profit d’un seul afin d’assurer sa victoire. Le choix du candidat unique de l’Entente, Guillaume Barazzone PDC, pour la ville de Genève répond donc à cette logique.

Souvenons-nous que le soutien des PDC constituait un atout lors de l’élection partielle du 17 juin, qui a permis à Pierre Maudet d’être élu avec 40% des suffrages. Il n’a pas été évident pour le PDC de ne présenter aucun candidat à cette partielle. D’autant que ce parti présente en son

sein des candidats potentiels de qualité. La tentation de faire un tour permettant à l’un-e ou à l’autre de tester sa notoriété à l’aune des urnes aurait mis en danger notre alliance et sa victoire.

De l’élection politique de la Ville de Genève, nous passons à une élection d’experts pour les magistrats de la Cour des comptes. Avec des CV impressionnants, l’équipe des 6 candidats retenus par les partis gouvernementaux donnera toutes les garanties de bon fonctionnement. Ils sont complémentaires et entièrement dévolus aux missions qui les attendent. Là encore, la stratégie de l’Entente de privilégier un choix stratégique gagnant l’emporte sur les volontés individuelles.

C’est unis que nous gagnerons le 4 novembre en votant compact la liste pour la Cour des comptes et la liste Guillaume Barazzone pour la Ville de Genève afin de poursuivre nos victoires électorales, et défendre ainsi les valeurs que nous partageons pour une société libre, responsable, solidaire et égale en droits et en devoirs.

editoPar alain-Dominique mauris

PRESIDENT DU PLR GENEVE

Rédaction :Le Nouveau Genevois est l’organe officiel du PLR. Les Libéraux-Radicaux Genève. Les articles ne reflètent toutefois pas nécessairement l’opinion du parti. 13, boulevard Emile-Jaques-Dalcroze 1205 Genève [email protected] Tél : 022 310 37 11

Abonnement : Abonnement (1 an) : Fr. 60.– Abonnement de soutien : Fr. 200.– Paraît 10 fois par an CCP : 01-47300-5

Editeur responsable : PLR Genève

Rédacteurs en chef :Geoffroy de Clavière : [email protected] Rolin Wavre : [email protected]

Marketing & publicité : Publi Annonces SA Chemin de la Charpente 3 1219 Le Lignon [email protected]

Conception et réalisation : Alternative

Concept couverture : Enigma

L’Entente: une stratégie d’alliance qui porte ses fruits

Le 27 septembre, aux Halles de l’Ile, Guillaume Barazzone, entouré de très nombreux militants PDC et PLR a démarré sa campagne. Dans un discours volontaire, ambitieux et sincère, Guillaume a dévoilé ses priorités, sa vision de la Ville et comment il compte faire progresser Genève. Nous avons pu voir et entendre un homme à l’écoute du citoyen, réaliste dans ses propositions et jouissant d’une expérience politique incontestable. Bref, l’homme qu’il faut pour compléter le Conseil administratif de la Ville de Genève.

La magnifique élection de Pierre Maudet le 17 juin a démontré que l’Entente gagnait lorsqu’elle unissait ses forces. C’est dans cet élan qu’est élaborée la stratégie de collaboration entre le PDC et le PLR, avec une vision

à court terme: l’élection en Ville de Genève et l’élection à la Cour des Comptes, ainsi qu’une vision à moyen terme: les élections cantonales de 2013. Certes, nos deux partis ne sont pas toujours d’accord. Nous avons nos divergences et nous ne cherchons pas à les effacer, tant il est vrai que nos visions de la société sont très proches, nos convergences nombreuses: Nous partageons plusieurs objectifs et, en particulier, le renforcement du centre-droit. Alors n’hésitons pas, nous avons jusqu’au 4 novembre pour nous mobiliser, aller chercher les voix, convaincre les électeurs de la Ville:

votons ET faisons VOTER pour GUILLAUME BARAZZONE>> www.barazzone.ch

editoPar Béatrice HirscH

PRESIDENTE PDC

Unie, L’Entente gagne

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iNterVieW

Guillaume Barazzone

Candidat au conseil administratif de la Ville de GenèveGeoffroy de Clavière: Guillaume barazzone, pourquoi se présen-ter au Conseil administratif de la ville?Guillaume Barazzone: Avant de ré-pondre à cette question, je souhaite remercier le PLR et ses militants car sans eux, sans votre soutien, cela n’aurait pas été envisageable. C’est une grande fierté mais c’est égale-ment une responsabilité car je dois prendre en compte des sensibilités très larges.

Pour revenir à ta question, c’est tout d’abord parce que j’aime ma ville et que j’ai vraiment envie d’améliorer la qualité de vie. J’ai le sentiment que depuis plusieurs années les budgets augmentent mais la qualité de vie baisse. Il y a là un réel enjeu, une réelle attente de la part des ci-

toyens. Une des premières raisons de cette situation c’est l’insécurité. La commune de Genève est une des plus criminogène de Suisse. Les infrac-tions, les cambriolages ont explosé: +22% en 2011. On ne pourra pas ga-rantir la qualité de vie souhaitée par les citoyens si les préaux des écoles deviennent les terrains de jeux des dealers et si les parcs se transforment en coupe gorge après 22 heures. La sécurité, c’est notre première liberté. Ensuite, je suis préoccupé par l’équi-libre des finances publiques. Il faut mieux gérer, effectuer des économies car les nuages s’amoncellent sur notre économie et d’énormes défis nous attendent. Les questions fiscales comme l’imposition sur le lieu de domicile, l’imposition des personnes morales, la suppression des statuts des sociétés auxiliaires ou mixtes me paraissent important et cela aura des répercutions sur la ville et sa fiscalité.

Les artisans, les commerçants et toute l’économie genevoise ont be-soin d’un bol d’air afin de soulager leurs charges. Ces réformes ont un coût et les finances publiques doi-vent être bien gérées. Le Conseil ad-ministratif n’a pas l’air d’avoir pris conscience de ces enjeux et je trouve cela très inquiétant. Il est inadmis-sible de présenter un budget défi-

citaire de 23 millions en 2013 et de creuser la dette à hauteur de 93 mil-lions. Les générations futures n’ont pas à assumer ces erreurs. Enfin, j’estime que le centre droit doit être représenté en ville.

Cette élection n’est pas ponctuelle, c’est une aventure collective, le dé-but d’une reconquête de la ville de Genève par l’Entente et il est donc fondamental d’être ambitieux. J’ai enfin la conviction qu’il faut un changement d’état d’esprit. Défendre un autre point de vue, celui du centre droit doit être entendu. Le Conseil administratif doit changer d’état d’esprit et s’ouvrir aux autres, col-laborer et ce soucier des problèmes quotidiens des gens. Aller à Berne pour défendre des projets d’infras-tructures est plus important que d’aller donner des leçons de droit in-ternational à New-York. Je souhaite incarner cet état d’esprit.

GdeC: Quelles sont tes proposi-tions en matière de sécurité?Guillaume Barazzone: L’essentiel en terme de sécurité se joue sur le plan fédéral. Il faut réformer le code pénal et notamment les jours amendes et les accords de réadmissions. Sur le plan cantonal, Pierre Maudet est en train de définir ses priorités. Concer-nant la ville, celle-ci doit jouer un rôle important dans le dispositif de la chaîne en jouant un autre rôle que celui de la police cantonale. Ce rôle est complémentaire avec une po-lice de proximité. Il faut, à l’horizon 2015, augmenter le nombre d’îlotiers sur le terrain avec 200 agents au lieu des 116 actuels. Augmenter les pa-trouilles, renforcer les compétences pour lutter contre les nuisances so-nores par exemple. Un dialogue doit s’instaurer entre la ville et le canton. Le Conseil administratif rend res-ponsable l’Etat de tous les problèmes en matière de sécurité, c’est trop fa-cile. Je vois très clairement une col-laboration efficace entre le Conseiller administratif en charge de la sécurité et Pierre Maudet, en charge du dicas-tère cantonal.

GdeC: Tu parles de la qualité de vie, cela peut paraître un peu vague, quelques exemplesGuillaume Barazzone: La niveau d’insécurité, comme expliqué plus haut péjore la qualité de vie, idem pour les nuisances sonores, par

exemple. On a besoin d’agents mu-nicipaux sur le terrain, qui patrouille la nuit, voire 24/24 surtout durant le week-end. En outre, je considère que la ville s’est enlaidie. Il n’y a pas de projet urbanistique clair et cohérent. Certains aménagement comme la gare de Cornavin ou la place Bel-Air sont des échecs flagrants. Cela doit changer. Genève est (était?) une belle ville. Il faut redéfinir les espaces pu-bliques au travers de concours et d’ouverture avec les architectes de la cité. L’éclairage doit être revue car il remplit un rôle sécuritaire mais éga-lement esthétique. Une ville comme Lyon est un exemple à suivre dans ce domaine. Certains quartiers pour-raient être plus arborisés.

GdeC: la dernière votation sur le projet de rues piétonnes a été rejetée en ville. Quel projet de zone piétonne souhaites-tu?Guillaume Barazzone: C’est un vote sanction contre un projet mal ficelé. Je suis convaincu qu’une majorité des citoyens souhaitent un vrai quar-tier piéton, celui du centre ville, par exemple. En cela le projet de Pierre Maudet en 2009 était très intéres-sant. Un projet éclaté n’a aucun sens. Un des éléments qui n’a pas convain-cu était le caractère provisoire du projet. Ca n’est pas sérieux. Seul un projet qui implique les commerçant, les habitants et les différents acteurs de la citée, tous consultés, peut voir le jour.

GdeC: Comment envisages-tu, si tu es élu, ta collaboration avec un exécutif de gauche?Guillaume Barazzone: Quand tu es élu, tu es le magistrat de tous avec la responsabilité de faire avancer les projets de façon collégiale. Mais il faut également faire entendre un autre point de vue, celui du centre droit. C’est un équilibre subtil dont il faut faire preuve. Par exemple, je refuse-rais toute augmentation d’impôt.

GdeC: Pour terminer, quel est le dernier livre que tu as lu?Guillaume Barazzone: The Foun-tainhead de Ayn Rand, un roman culte qui raconte l’histoire d’un architecte qui se rebelle contre les conventions traditionnelles et conservatrices de son époque et qui milite pour des projets audacieux.

ProPos recueillis Par Geoffroy De clavière

seCréTaire GéNéraL

Les artisans, les commerçants et toute l’économie genevoise ont besoin d’un bol d’air afin de soulager

leurs charges.

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iNterVieW

Livre: The FouNTaiNheadThe Fountainhead est un livre culte américain qui narre l’histoire d’un architecte visionnaire qui se révolte contre les approches conventionnelles et traditionnelles urbanistiques de ses paires. adapté au cinéma sous le titre français, Le rebel, c’est Gary Cooper qui interprète le rôle principal.

Guillaume Barazzone

Faisonsprogresser Genève !www.barazzone.ch

Guillaume Barazzone, 30 ans, né à Genève, il obtient son master en droit à l’université de Columbia à New York et sa licence à l’université de Genève et de Zurich. ancien conseiller municipal de la ville (2003/2006), puis député depuis 2005, il exerce comme avocat au sein de l’étude schellenberg Wittmer. il vit en couple et est passionné par les voyages, la musique, et la politique, bien sûr.

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electioNaucoNSeiladmiNiStratifdelaVilledeGeNèVe

De la reconquête de l’Exécutif de la Ville de GenèveLa candidature unique de L’entente à La succession de Pierre Maudet s’inscrit dans La PersPective d’une

stratégie de reconquête Progressive du conseiL adMinistratif. en soutenant guiLLauMe Barazzone, Les

éLecteurs de La viLLe de genève téMoignent de Leur attacheMent aux vaLeurs défendues Par Le centre

droit ; fédérant nos forces Pour faire Barrage au PoPuLisMe déMagogique et au dogMatisMe Manichéen,

nous PréParons ainsi Le terrain Pour Les victoires à venir du PLr.

A l’issue d’une Assemblée géné-rale (aussi fréquentée que pas-sionnée), tenue le 16 août dernier, les membres de l’Association PLR de la Ville de Genève ont exprimé leur large soutien à une candida-ture unique de l’Entente, en la personne de Guillaume Barazzone, en vue de l’élection complémen-taire au Conseil administratif du 4 novembre prochain  ; ce faisant, ils ont légitimé l’approche défendue et plaidée par les instances diri-geantes du PLR.

Un choix dont chacun(e) apprécie pleinement la difficulté dès lors qu’il impliquait le renoncement aux candidatures «  maison  » incarnées notamment par Olivier Fiumelli, Chef du Groupe PLR municipal de très grande compétence, et Jean-Marc Froidevaux, ancien Conseiller municipal doté d’une riche expé-rience, ensuite du retrait de celle du talentueux Adrien Genecand pour des motifs professionnels. En ad-hérant ainsi à la stratégie élaborée au plan cantonal et validée à l’éche-lon communal, nos miliants ont fait preuve d’une maturité politique remarquable ; privilégiant une can-didature unique issue des rangs du PDC, au détriment de la stricte cou-leur politique, ils ont souscrit à une option raisonnable et responsable.

Un choix que justifiait la nécessité de partir en rangs serrés pour as-surer à l’Entente de regagner pro-gressivement sa place au sein de l’instance exécutive municipale, actuellement dominée par quatre magistrats de gauche.

Il convient de saluer le courage de nos membres, auxquels il fut de-mandé de substituer à une vision à court terme, une équation pragma-tique en associant nos forces avec celles de notre allié, le PDC, pour garantir toutes nos chances de suc-cès lors du scrutin du 4 novembre prochain ; il importe également de souligner la grande sportivité de nos candidats PLR, qu’honorent leur sens de la priorité politique et l’engagement public.

Cette victoire du bon sens est na-turellement aussi attribuable à la personnalité de notre excellent candidat. Citoyen engagé depuis toujours, politicien expérimenté, professionnel aguéri, Guillaume rempli tous les critères nécessaires à l’exercice de la fonction (exigeante et exposée) de Conseiller adminis-tratif; associant visiblité et crédibi-lité, il dispose de toute la légitimité requise. Ainsi, au gré de diverses manifestations auxquelles il a été convié au sein de notre Associa-tion (notamment, notre Assemblée générale du 1er octobre, plusieurs «  caucus  » et diverses séances de Comité), Guillaume a démontré sa solide maîtrise des dossiers, sa volonté de faire progresser notre Cité, sa force de conviction en conjuguant fermeté et aptitude au compromis (sans compromission, toutefois), en particulier quant à la sécurité. Nul doute que son sens du contact et sa maîtrise du discours feront également de lui un candidat de grande valeur, à même de dé-faire nos adversaires, en particulier l’indépendant Didier Bonny, dont la récente candidature implique un engagement électoral encore plus marqué.

De façon à permettre son élection dans quelques jours seulement, c’est à nous, militants, qu’il importe de nous mobiliser ; ainsi, nous don-nerons corps à cette politique am-bitieuse de reconquête qui verra un candidat de l’Entente l’emporter, avant d’être suivi par d’autres, per-mettant ainsi aux idées du PLR de s’imposer en Ville de Genève.

Dans l’immédiat, il est essentiel de nous battre avec conviction et détermination; c’est en tirant à la même corde (plutôt qu’en nous tirant dans les pattes) que nous ferons la démonstration de la per-tinence d’une stratégie qui s’af-franchit des clivages partisans pour

faire prévaloir une vision raisonna-blement audacieuse.

La candidature de Guillaume désor-mais légitimement validée et large-ment plébicitée, mettons tout en œuvre pour permettre au premier chapitre de la reconquête d’être écrit, le 4 novembre prochain.

Notre union - au sein de l’Entente - fait notre force, en Ville de Genève !

Par vincent suBilia

PrésideNT du PLr - viLLe

de GeNève eT CoNseiLLer

muNiCiPaL (viLLe de GeNève)

Faisonsprogresser Genève !

Guillaume Barazzone

LISTE N°1 : Candidat au Conseil administratif

de la Ville de Genève

4 NOVEMBRE 2012

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electioNaucoNSeiladmiNiStratifdelaVilledeGeNèVe

Le 4 novembre prochain, il ne s’agi-ra pas seulement d’élire un nou-veau conseiller administratif parmi cinq autres.

Celui ou celle qui sera élu aura en effet un rôle prépondérant à jouer au sein d’un collège pour l’heure monocolore, où il devra incarner et faire respecter les valeurs de l’En-tente.

Capable de compromis mais sans jamais tomber dans la compromis-sion, le nouvel élu devra trouver des terrains d’entente avec ses col-lègues, tout en freinant les élans et les velléités dogmatiques et doctri-naires de certains d’entre eux.

Ces capacités, Guillaume Ba-razzone les possède toutes et est notre meilleur atout pour ramener un peu d’équilibre dans un Conseil administratif sans contre-balan-cier depuis que la Présidence du

Département de l’environnement urbain et de la sécurité a été laissée vacante, suite à l’élection complé-mentaire au Conseil d’Etat.

La tâche qui attend celui qui re-prendra les rênes de ce Départe-ment est d’envergure.

Il s’agira en effet de poursuivre les efforts entrepris depuis 2007 pour élever le niveau de sécurité et de

propreté sur le territoire de la Ville de Genève, ces deux domaines fai-sant partie des premières préoccu-pations de la population.

Dans le domaine de la sécurité, il est capital que l’Entente puisse compter sur un conseiller admi-nistratif fort, capable notamment de défendre la montée en puis-sance de la Police municipale et d’atteindre l’objectif de 200 APM à

l’horizon 2015. La récente décision du Conseil administratif de suppri-mer 20 nouveaux postes d’APM au budget 2013 montre qu’il faudra sans cesse se battre pour qu’une vi-sion réaliste des besoins en matière de sécurité ne soit pas sacrifiée au profit d’une vision angéliste.

Le nouveau conseiller administratif en charge de la sécurité sera éga-lement un interlocuteur privilégié

pour le Conseil d’Etat, qui a besoin d’un partenaire de confiance pour mener à bien sa politique de lutte contre la criminalité.

De par sa rigueur, sa détermination et sa vision, Guillaume Barazzone saura, j’en suis convaincu, se mon-trer à la hauteur de ces défis et mé-rite ainsi la confiance des électeurs .

Par Pierre mauDet

CoNseiLLer d’eTaT

Incarner les valeurs de l’Entente

«e» Comme eNTeNTe

«Guillaume barazzone, G comme Genève, b comme bosseur» l’extrait d’un soutien qui image parfaitement notre candidat.

Le PLr a choisi de soutenir Guillaume barazzone, candidat de l’entente le 4 novembre prochain à la mairie de Genève. et Guillaume de me choisir comme présidente de campagne, entourée d’un autre PLr adrien Genecand, vice-président, aux côtés de marie Chappuis, PdC, vice-présidente. Pour une entente, on ne peut pas mieux faire!

a l’image de Guillaume, c’est une campagne très dynamique qui a démarré le 24 septembre dernier. une campagne d’affichage très axée sur le roulant, bus et tram, qui sillonnent la ville de part et d’autre. Guillaume est aussi très présent dans les médias locaux, du blog à l’interview, du Face à Face de la TdG à une demi page dans le Temps, les différentes émissions de télé et j’en oublie certainement. il n’est un jour sans qu’on le lise ou le voie.

mais on le croise aussi. Car Guillaume a choisi d’aller à la rencontre de la population genevoise à travers tous les quartiers de la ville. des Pâquis à Champel, en passant par la servette, pour redescendre à la Jonction, sans oublier les eaux-vives où il vit. Les marchés de Liotard, saint-Jean, Plainpalais, rive, rien ne lui échappe. il est à l’écoute des habitantes et habitants de notre ville, il les retrouve aussi souvent que l’occasion lui est donnée dans les nombreuses associations de quartier. il échange avec eux et leur fait part de la qualité de vie qu’il a envie que Genève retrouve. Comment il compte améliorer la situation actuelle non seulement pour les habitants mais pour toutes les personnes qui travaillent à Genève et qui sont les acteurs de notre ville.

Guillaume s’approprie sa ville, notre ville.

en surfant sur le site du PLr, vous découvrirez jour après jour où Guillaume se trouve. Je vous encourage vivement à venir le soutenir un de ces matins à 7 h, vous joindre à lui et offrir des croissants à celles et ceux qui se lèvent tôt. et n’oubliez pas de lire son programme sur www.barazzone.ch

Le 4 novembre 2012, votez et faîtes voter «Guillaume Barazzone».

Par faBienne Gautier,

déPuTée

l’aGeNdaLe comité des Genevoises PLR est heureux de vous convier à sa désormais traditionnelle conférence de l’Escalade qui nous présentera des:«actesdebravoureetd’héroïsmeauféminin»le vendredi 7 décembre 2012 au siège du PLRG Le programme est le suivant: 18 h Accueil 18 h 30 Conférence donnée par le lt-col EMG Norberto BIRCHLER 19 h 15 Traditionnels bris et dégustation de la marmite de l’Escalade Les enfants dès l’âge de 10 ans sont les bienvenus. Nous nous réjouissons de partager ce moment en votre compagnie, Nathalie SCHNEUWLY, Présidente des Genevoises PLR, députée Norberto BIRCHLER, Membre du comité, conseiller communal (C-B)

fêtedel’escaladeducerclelibéralLundi 3 décembre à 19 h Info à suivre sur: www.plr-ge.ch

fêtedel’escaladeduPlràlamèreroyaumeMercredi 5 décembre à 19 h Retrouver toutes les infos sur: www.plr-ge.ch

>> www.plr-ge.ch/agenda

Pour tout renseignement et pour vous inscrire, une seule adresse:

Le nouveau conseiller administratif en charge de la sécurité sera également un interlocuteur privilégié

pour le Conseil d’Etat.

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electioNàlacourdeScomPteS

Le PLr et Le Pdc Présentent 6 candidats à L’éLection de La cour des coMPtes, Le Prochain 4 noveMBre: 3 tituLaires dont 1 sortant, stanisLas zuin et 3 suPPLéants dont 1 sortante, MyriaM nicoLazzi.

sTaNisLas ZuiN

Magistrat à la Cour des comptes (président 2011-2012)

Economiste, expert financier, master en lutte contre la crimi-nalité économique, certificat en études du développement. Précé-demment, expert financier indé-pendant; Vice President Corporate Finance de Firmenich Intl SA; ana-lyste financier chez MM. Darier, Hentsch & Cie. Membre fondateur de la Chambre de l’économie so-ciale et solidaire. Ancien membre du comité de l’Association Réalise et du Théâtre en Cavale.

isabeLLe Terrier

Avocate, collaboratrice de l’Etude Monfrini Crettol & Associés

Diplôme d’études approfondies en droit européen. Précédemment, collaboratrice de l’Etude Ziegler Poncet & Grumbach. Présidente de la Commission externe d’éva-luation des politiques publiques (CEPP). Présidente de l’Association des Amis Montagnards Ancien membre du comité de l’Associa-tion du scoutisme genevois.

FraNçois PaYChère

Juge à la Cour de justice

Titulaire du brevet d’avocat, docteur en droit, diplômé en phi-losophie du droit et en sciences politiques Précédemment, président du Tribunal adminis-tratif; substitut du Procureur général; greffier du Tribunal fédéral Expert du Conseil de l’Europe (président du groupe de travail sur la qualité de la justice). Chargé d’enseignement à l’École d’avocature et à l’Académie suisse de la magistrature

marCo ZieGLer

Avocat

Précédemment associé au sein du Collectif de defense. Magistrat suppléant à la Cour des comptes. Administrateur des TPG. Membre du comité de Pro Senectute. An-cien conseiller municipal en Ville de Genève.

mYriam NiCoLaZZi

Associée de l’Etude Gillioz Dorsaz & Associés

Economiste, avocate, expert-fiscal dipl. Précédemment, associée de Arthur Andersen SA. Magistrat suppléant à la Cour des comptes. Membre du Conseil d’éthique cli-nique des HUG Genève. Membre du Comité Directeur de la Fédé-ration des Entreprises Romandes Genève.

haNs isLer

Consultant et Administrateur

Economiste, expert-comptable dipl. Précédemment, associé de Ernst & Young SA et d’Arthur Andersen SA; délégué du CICR. Co-auteur du Manuel suisse d’audit

Ancien conseiller municipal de la commune de Confignon.

Candidats aux postes de magistrats titulaires

Candidats aux postes de magistrats suppléants

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electioNàlacourdeScomPteS

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Née de la volonté populaire et entrée en fonction le 1er janvier 2007, la Cour des comptes est reconnue comme un acteur essentiel de la vie institution-nelle genevoise. Les dizaines de millions d’économies identi- fiées et les 57 rapports publiés à ce jour, dont les recommandations font l’objet d’un suivi auprès des entités contrôlées, contribuent de toute évidence à une amélio-ration du fonctionnement de l’Etat.

La Cour des comptes est totalement indépendante dans le choix et l’exé-cution des missions de contrôle qui lui incombent; aucun autre organe de l’Etat ne peut lui donner des instructions. Elus, ses membres répondent de-vant les citoyennes et les citoyens de la bonne exécution de leurs missions.

avec la confiance du peuple, nous entendons:l contribuer à un Etat qui a les moyens d’assurer la pérennité de ses actions:

> il s’agira notamment, dans le contexte de déficits importants prévus au cours des prochaines années et de la possible mise en œuvre des méca-nismes de frein à l’endettement, d’entreprendre des audits d’efficience et d’identifier des économies de fonctionnement dans l’administration générale de l’Etat, des communes ainsi que des établissements publics autonomes;

l donner la priorité à la qualité des prestations de l’Etat;

> il s’agira notamment d’entreprendre des audits conduisant à des amé-liorations des relations entre les citoyens/entreprises et les pouvoirs pu-blics;

l veiller à ce que le secteur public et parapublic soit structuré de ma- nière fonctionnelle et efficace:

> il s’agira notamment de mener des audits impliquant l’ensemble des entités cantonales et communales concernées par un thème commun, tel que par exemple la sécurité, le logement ou la culture.

a cette fin, nous offrons les garanties suivantes:compétences

Nous disposons de compétences solides et reconnues en matière juri- dique, économique, financière, comptable et d’évaluation de la qualité des prestations publiques. Nous sommes ainsi à même de garantir au mieux le bon accomplissement des missions légales dévolues à la Cour des comptes.

De plus, la complémentarité de nos compétences est un atout essentiel et indispensable compte tenu du caractère collégial de l’institution.

En outre, nous disposons également des compétences et de l’expérience nécessaires pour assumer les nouvelles tâches qui seront confiées à la Cour des comptes au vu des modifications constitutionnelles ou législatives attendues à court terme:

> l’expertise comptable et financière indispensable à l’exercice de la révi-sion des comptes de l’Etat;

> la pratique et l’expérience de l’évaluation des politiques publiques.

Indépendance

Notre indépendance est un gage de notre crédibilité et de notre force:

l Envers les partis politiques : nous ne rendons pas de comptes aux partis qui nous présentent;

l Envers le Conseil d’Etat: la Cour des comptes ne reçoit pas d’instruc- tions du Conseil d’Etat.

Par ailleurs, en tant que magistrats élus, nous veillerons à défendre l’indé-pendance organisationnelle et budgétaire de la Cour des comptes dans le cadre des projets parlementaires en cours. Nous nous récuserons dans tout dossier où nous aurions un lien d’intérêt.

responsabilité

Nous agirons comme magistrats responsables en menant les actions sui-vantes, dans la cohérence de la pratique de la Cour des comptes menée de-puis 2007:

l Envers les citoyens: examiner toutes leurs demandes, dûment motiver les éventuels refus d’entrer en matière et améliorer la communication re-lative à l’activité de la Cour des comptes;

l Envers les autorités législatives: les assister dans leurs travaux en menant des audits sur des thématiques qui les préoccupent (sécurité juridique des lois et règlements, examen critique de projets de loi impliquant des dépenses importantes ou ayant un fort impact sur la vie des citoyens);

l Envers les autorités exécutives: se tenir à leur disposition pour mener des audits nécessitant un regard critique et indépendant sur la mise en appli-cation d’une politique publique.

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electioNàlacourdeScomPteSLe bonheur d’une naissance

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des ComPéTeNCes Pour uN meiLLeur FoNCTioNNemeNT de NoTre réPubLiQue!

dès le début de nos discussions, la collaboration entre le PLr, le PdC, les verts et le Ps a été facilitée par la mise en commun d’un principe fondamental. Nos candidates et candidats devaient posséder des compétences reconnues et complémentaires.

La Cour des Comptes n’est pas un organe politique. son rôle central dans le bon fonctionnement des institutions exige de ses magistrats une maîtrise parfaite de compétences juridiques, économiques et financières, sans oublier une connaissance exhaustive de notre etat.

Nos candidats possèdent des compétences en matière juridique, économique, financière, comptable et d’évaluation des politiques publiques. en outre, ils disposent de l’expérience nécessaire pour assumer les tâches que leur a confié la nouvelle Constitution.

La qualité, l’expérience et la complémentarité de nos magistrats sont la garantie du bon fonctionnement de la Cour des Comptes. ils sont nos meilleurs ambassadeurs pour porter notre vision d’un etat fonctionnel, efficace et pérenne.

sans hésitation, nous vous invitons donc à accorder votre confiance à nos six candidats et à voter compact le 4 novembre prochain!

Par soPHie BucHs

SECRéTAIRE GéNéRALE DU PDC

La Cour des ComPTes a besoiN de sTabiLiTé

Le PLr et le PdC font cause commune avec le Ps et les verts. C’est l’entente et la gauche gouvernementale unies pour une cause commune: celle de l’équilibre de l’etat, en toute indépendance, en toute transparence. a l’heure où les partis ont l’habitude de s’opposer par doctrine et postures inflexibles, il est bon de souligner ici, la qualité du projet qui nous rassemble autour de candidats aux compétences complémentaires et indéniablement reconnues. en face, le camp des populistes et des excès. Celui de la course aux jetons de présence, avec le serial candidat, celui qui se présente

partout mais est rarement élu. d’ailleurs il est seul alors que nous présentons une équipe, un projet. Ci-après vous aurez un bref aperçu des profils et compétences que nous proposons aux genevois. des poids lourds du droit, de l’audit et de l’économie. une équipe cohérente qui saura remplir sa tâche dans la dignité et le respect des institutions.

La Constituante ayant été acceptée le 14 octobre, la Cour constitutionnelle devrait succéder à la Cour des comptes, mais nous en reparlerons prochainement.

en attendant, le 4 novembre, n’hésitez pas: votez pour la stabilité, l’efficacité, la compétence et l’indépendance.

Par Geoffroy De clavière

SECRéTAIRE GéNéRAL

Pour La CoNFiaNCe eNTre La PoPuLaTioN eT ses iNsTiTuTioNs

Promis, je ne squatterai pas vos colonnes trop longtemps. Promis, je ne citerai pas l’internationale et ne ferai pas référence au marxisme. Promis, je ne donnerai aucune leçon. Promis, je ne défendrai pas le monopole du cœur… ni celui de l’etat. Promis, je ne m’appesantirai que sur ce qui nous préoccupe tous aujourd’hui, à savoir la confiance des citoyennes et citoyens genevois dans les institutions.

L’enjeu politique actuel est de rétablir la confiance de la population en les institutions et de combattre les raisons objectives de cette méfiance.

Pour quiconque arpente le bitume de nos rues, l’enjeu est d’une clarté inquiétante. il revient aux partis gouvernementaux

d’entendre le message populaire afin de relever le défi et de restaurer la confiance. C’est ce que nous faisons en présentant une liste commune de candidates et candidats complémentaires et extrêmement compétents : expertises en audit, en droit, en finances, en administration publique. Les cordes à l’arc sont multiples, la cible est claire : soutenir l’etat dans ses efforts continus d’amélioration de ses prestations aux citoyennes et citoyens.

Le rôle de la Cour des comptes est à ce titre fondamental. elle garantit la transparence sur ce qui est fait de l’impôt, permet aux pouvoirs exécutifs de décider des actions à entreprendre pour améliorer les prestations publiques et, in fine, restaure la confiance, dont la population et ses institutions ont tant besoin.

Par arnauD moreillon

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actucaNtoNale

L’union et la cohérence au service de la rigueur budgétaire. D’«inaccep-table en l’état» aux yeux du président du PLR lors de son dépôt, à la mi-sep-tembre, le budget est devenu «inacce ptable pour l’Etat», selon l’analyse de la députation PLR unanime. Cette dernière s’est en effet opposée, avec succès, au Grand Conseil, à un vote d’entrée en matière sur le projet de budget 2013. Ce qui équivaut en clair à son renvoi à son rédacteur collectif, le Conseil d’Etat, pour une révision sérieuse, c’est-à-dire la suppression d’un déficit arrêté à 278 millions. Ce renvoi à l’expéditeur, une nouveauté absolue dans l’histoire parlementaire genevoise, mérite explication, l’ob-jectif visé aussi.

Mais d’abord un rappel. Sentant ve-nir la bise noire, le Conseil d’Etat avait reçu, avant l’été, les différents partis gouvernementaux pour leur présenter ses intentions et entendre leurs propositions. Le PLR en espé-rait beaucoup. Et de présenter plu-sieurs mesures courageuses, dont un passage de la durée du travail de 40 à 41 heures valant 150 millions et une augmentation de la taxe per-sonnelle rapportant 70 millions. Sa

désillusion a été à l’aune de ses es-poirs. Estimant que le gouvernement avait pris ses responsabilités en ne les écoutant pas, il revenait aux dé-putés du PLR de prendre les leurs. La première étant d’éviter une paralysie de l’action publique due au recours au mécanisme des douzièmes provi-soires, une solution expérimentée au début de la décennie.

Reste au gouvernement de présen-ter une nouvelle mouture entendant cette fois-ci en tout plutôt qu’en par-tie les motifs du refus exprimé par le PLR. Car avec un taux de croissance nettement plus élevé que celui du PIB cantonal, avec une croissance nette des effectifs de la fonction publique à hauteur de plusieurs centaines de postes, avec, en arrière-plan, une in-capacité à diminuer la dette, contrai-rement à d’autres cantons, avec des projets de loi fiscales frappant cette fois-ci les propriétaires immobiliers, avec un horizon financier chargé dès 2014 par une hausse des dépenses de 130 millions pendant 40 ans afin d’éviter la liquidation des caisses de pension publiques et, dès 2017, par une baisse de plusieurs centaines de millions des recettes pour rendre la fiscalité des entreprises euro-compa-tible, les motifs ne manquaient pas pour rendre impossible l’atterrissage budgétaire en douceur rêvé par le conseil d’Etat. Un atterrissage sans cesse éloigné dès lors que le mot ma-

gique «équilibre» est prononcé, avec pour conséquence que les plans fi-nanciers quadriennaux se succèdent pour s’annuler.

A court terme, le conseil d’Etat serait aussi bien inspiré de lancer un nou-veau programme de rationalisation de son administration: après P1 et P2, le temps de P3 est venu. Certes, telle n’est pas l’opinion d’un David Hiler qui prétend qu’«à force de pas-ser plusieurs fois le râteau au même endroit, il n’y a plus rien à ramasser». La députation PLR est convaincue du contraire, au vu de la création et de la croissance de services ne répondant à aucune exigence législative, mais à la seule logique bureaucratique. Chaque automne amène donc la nécessité de

nouvelles remises en question, de nouveaux coups de râteau pour les Sisyphe du budget.

Et seuls ces efforts forts d’élagage permettront de créer les nouveaux postes, nécessaires pour répondre non seulement aux exigences légales dans le domaine de la formation, par exemple, mais surtout aux priorités du PLR. Pour le plus grand bénéfice de la sécurité et la justice, dans le res-pect d’un objectif de croissance nulle des effectifs.

Puissent les conseiller d’Etat de l’En-tente, et notamment les élus du PLR en son sein, entendre et cet appel pour plus de rigueur, et une disponi-bilité renouvelée au dialogue.

Par Pierre weiss

déPuTé, membre de

La CommissioN des FiNaNCes

Budget 2013:

Le coup de semonce du PLR au Conseil d’Etat

souTieN de L’emPLoi daNs Les miLieux baNCaire eT FiNaNCier

Le député Pierre Weiss a déposé lors de la session d’octobre une motion invitant le Conseil d’etat à soutenir l’emploi dans les secteurs bancaire et financier de la place genevoise.

La motion invite le Conseil d’etat à défendre durablement ces deux secteurs, qui à eux deux représentent pas moins de 25 à 35 mille emplois dans le canton selon quels établissements sont pris en compte, ce qui représente 11% du secteur tertiaire. en terme de valeur ajoutée, les secteurs financiers et d’assurance génèrent quasiment 20% du Pib cantonal. en termes de recettes fiscales, cela représente 30% de l’impôt courant sur les personnes morales et 40% des revenus fiscaux du secteur tertiaire.

Ces secteurs constituent des piliers pour l’économie locale mais également pour la société genevoise puisqu’ils contribuent de manière importante au bien être à la réalisation de celle-ci.

dans l’optique de l’échec récent du référendum sur les accords «rubik», tout porte à croire que ces accords entreront en vigueur prochainement. il convient donc que le Conseil d’etat se saisisse rapidement de ce dossier, afin d’établir une politique fiscale transfrontalière efficace et durable, favorable à notre canton et aux partenaires étrangers.

Par lucien scHerly

assisTaNT ParLemeNTaire

Pour uNe maTuriTé GYmNasiaLe de QuaLiTé eT CohéreNTe

Le postulat de la motion du député Jean romain part d’un constat alarmant : les certificats de maturité délivrés actuellement par les collèges genevois n’ont plus de cohérence, ni avec le cycle d’orientation, ni avec les établissements d’études supérieures. une révision de l’ordonnance sur les certificats de maturité est nécessaire.

Ce qui est remis en cause ici, c’est l’offre (trop) abondante d’options pendant la maturité. si l’on combine toutes les options disponibles offertes aux collégiens, il en ressort qu’il existe 3000 profils potentiels de maturité différents.

Les conséquences pour les universités et hautes écoles sont regrettables parce que celles-ci peinent de plus en plus à se retrouver dans cette jungle de profils. Le coût de cette diversité des options est également perceptible pour le contribuable parce que cette variété a un coût.

La motion propose d’étudier la mise en œuvre de profils de maturité orientés selon des profils, de manière à opérer une continuité avec ce qui se fait au cycle d’orientation. Chaque élève devrait donc se conformer à un double principe : suivre un type de maturité orienté selon des profils et suivre des enseignements complémentaires à option en fonction d’une offre revisitée.

Par lucien scHerly

assisTaNT ParLemeNTaire

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Contrairement aux affirmations de la gauche, la réforme en cours du droit d’asile n’est pas inhumaine. L’essentiel est préservé, les de-mandes de l’UDC ont toutes été re-jetées. Il faut clairement distinguer le droit d’asile et la politique de la migration.

Sous l’impulsion du groupe PLR aux Conseil national, une révision des modalités de traitement des demandes d’asile a été adoptée par le Conseil national. Le but est de s’assurer que les véritables réfu-giés puissent jouir de ce qui est un droit absolu au sens du droit inter-national. Une modification de la loi suisse et surtout des pratiques ad-ministratives. Il faut combattre à la fois les abus du système mais aussi les inacceptables lenteurs qui amè-nent parfois à expulser des indivi-dus ou pire, des familles très bien intégrées, après de nombreuses an-nées. La même logique (ou absence de logique) conduit aussi à garder en Suisse des individus sans motifs d’asile, non coopératifs et parfois auteurs de délits, pour la seule rai-son qu’ils ne sont pas expulsables!

La révision, directement inspi-rée des réformes envisagées par la Conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, vise à pousser l’ad-ministration fédérale à traiter plus rapidement les dossiers, à exiger la conclusion impérative d’accords de réadmission avec les Etats pro-blématiques, notamment ceux du Maghreb et à diminuer l’attractivité des prestations offertes en Suisse. Il a été décidé de ne plus offrir l’aide sociale complète aux demandeurs

déboutés mais de les mettre au régime de l’aide d’urgence, qui re-présente bien plus que les 10.- par jour dont la majorité de la presse et la gauche a fait état. Cela inclut tout de même logement, nourriture, soins médicaux et assistance juri-dique. A noter que les familles avec enfants restent au bénéfice des prestations complètes.

Cette révision est né-cessaire car l’afflux de demandeurs en provenance d’Etats où les conditions éco-nomiques poussent la population à tenter sa chance en Europe et en Suisse s’est poursuivi. Le PLR est attaché à la défense du DROIT d’asile, qui n’est pas dérogeable. Par contre, la mi-gration est une POLITIQUE dont les Etats peuvent fixer les contours après un débat interne et, si pos-sible, démocratique. Il s’agit de ne pas confondre ces deux domaines qui reposent sur des logiques dif-férentes. Nombreux sont les mi-grants qui utilisent le droit d’asile, affaiblissant ainsi la position des véritables persécutés dans leur lé-gitime recherche de protection. La gauche cherche aussi à mélanger les deux domaines, par naïveté ou par volonté de brouiller les cartes du jeu politique.

Dure mais justeactufédérale

Seul un projet d’achat d’avions de combat convaincant permettra de réunir une majorité en cas de ré-férendum. Le PLR soutient une armée forte avec une composante

aérienne moderne et adaptée. Mais un hor-rible doute plane sur la capacité du Conseiller fédéral Maurer à gérer ce dossier au mieux de nos intérêts, militaires et économiques. Après

son médiocre Rapport sur la Sécu-rité de la Suisse et la manière peu convaincante dont il a présenté les résultats de l’évaluation des trois modèles d’avions en compétition, on peut craindre le pire.

Dans le dossier du Gripen, les ques-tions suivantes doivent être éclair-cies et la clarification sur ces points doit apparaître nettement dans un éventuel contrat d’achat:

l Est-on assuré que les avions se-ront livrés avec toutes les spé-cifications promises, à temps et au prix convenu? Des pénalités sont-elles prévues en cas de re-tard ou de non conformité?

l Comme le rapport de la sous-commission du Conseil national le démontre, les attentes concer-nant les offres compensatoires à l’achat d’un Gripen ne sont pas remplies (notamment en ce qui

concerne la Suisse romande). Quels accords de compensation le DDPS négocie-t-il actuelle-ment?

l Du fait que l’assemblage final ne sera pas réalisé en Suisse mais en Suède, la possibilité de transferts de technologies et de dévelop-pement en Suisse semble devoir être abandonnée. Quelle est la position du DDPS à ce sujet?

l Quelles conséquences cela a-t-il pour la Suisse que l’appareil ne soit produit qu’en version mono-place?

l Sur quelle base juridique, la Suède, en tenant compte des dé-clarations du chef du DDPS, pour-rait-elle refuser les demandes de la Suisse concernant l’achat du Gripen et ainsi mettre le parle-ment devant le fait accompli?

Une lettre commune du PLR, du PDC, du PBD et des Verts libéraux a été adressée à la présidente de la Confédération. Le PLR attend des réponses rapides et claires aux nombreuses questions encore ou-vertes.

Gripen: Le PLR attend toujours des réponses à ses questions

Par rolin wavre

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PlrSurterre

Après le succès de son premier ro-man Les derniers jours de nos pères, récompensé par le prix des écrivains genevois (déjà un avant goût des récompenses littéraires), Joël Dic-ker livre un deuxième roman, un Monstre de presque 700 pages.

A peine sorti de presse, l’encre en-core fraîche sur les pages tout juste brochées, c’est l’effervescence à Pa-ris, là où tout se joue et se déjoue dans les alcôves des prix littéraires, chez Drouant pour le Goncourt ou encore au Quai de Conti, le fameux n° 23, là où les immortels siègent de-puis 1643.

Construit comme un polar, La vérité sur l’affaire Harry Québert explore bien d’autres thèmes et ne saurait être circonscrit à la littérature de genre, souvent méprisée par les fai-seurs d’écrivains. Il n’aurait tout sim-plement pas sa place sur des listes aussi prestigieuses que les précitées, ainsi que le Fémina, L’Interallié ou encore le prix Jean Giono.

«Tout le monde parlait du livre…», c’est le début du roman de Joël Dic-ker, un incipit qui résonne comme un échos, un effet de miroir entre son personnage, Markus Goldmann dont le destin littéraire et le succès aussi foudroyant qu’imprévu de son pre-mier roman, ressemble étrangement à ce que vit notre jeune auteur, Joël Dicker. Harcelé par le succès alors qu’il était quasi inconnu au mois d’août, lu par vos amis et vos voisins qui en parlent avec enchantement dans les soirées genevoises ou pari-siennes, la singulière ressemblance entre l’auteur et son personnage est à la fois troublante et prémonitoire. Pourtant la différence existe entre ces deux qui ne font qu’un: le per-sonnage de Dicker est paralysé par le succès dantesque de son premier roman et se confronte avec douleur aux réalités de la page blanche, la crampe des écrivains. Il est incapable de trouver la moindre idée, incapable de coucher la moindre ligne sur le pa-pier blanc, vierge d’encre et d’inspi-ration. Notre écrivain genevois, lui, rencontre le succès grâce à son deu-xième ouvrage. Et quel succès. C’est une déferlante, un tsunami littéraire

plus que mérité. Même ceux qui ne l’on pas encore lu, l’adorent déjà.

Thriller, réflexion sur la difficulté d’écrire, Joël Dicker utilise avec brio la technique du roman dans le roman et observe avec subtilité les dérives d’une Amérique où le spectacle règne en maître absolu, toujours prête à saisir l’occasion pour détruire une personnalité, un auteur qui aurait, dans le passé commis une erreur. Car là-bas, de l’autre côté de l’Atlantique, le jugement est immédiat. C’est ce qui arrive à Harry Québert, accusé de meurtre et de pédophilie sur la jeune Dora Kellergan, adolescente de quinze ans, disparue en 1975 et dont le cadavre est retrouvé vingt cinq ans plus tard, enterrée dans son jardin, sous une plate-bande de fleurs, en compagnie d’un exemplaire de son manuscrit, Les origines du mal, avec lequel il connut son seul et unique grand succès d’auteur. Suffisant pour devenir un professeur de littérature émérite, mais également désabusé car il est douloureux de n’être l’auteur que d’un seul succès populaire.

Il ne le sait pas encore, le lecteur non plus, mais l’affaire Harry Québert

va permettre à notre jeune écrivain de 30 ans (Joël en a 27…), rongé par l’angoisse, écrasé par son premier triomphe littéraire, de retrouver l’inspiration. Partant du réel, il va prendre la défense de son mentor. Cela deviendra un livre, un deu-xième succès. Mais il faudra bien, par la suite en écrire un troisième… Tel est le destin des auteurs. Person-nage de fiction, Markus Goldmann ne produira, sans doute plus rien, alors que son père, Joël Dicker, qui lui ressemble comme un frère, est désormais promis à une longue et fructueuse carrière d’écrivain.

LA VéRITé SUR L’AffAIRE HARRY QUEBERT

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