Mammites bovines: germesMammites bovines: germesMammites bovines: germes Mammites bovines: germes responsablesresponsables

Etude préliminaire au nord du Etude préliminaire au nord du LibanLibanLibanLiban

Présenté par:Présenté par:

Monzer HAMZEMonzer HAMZEMonzer HAMZEMonzer HAMZE

Université LibanaiseUniversité Libanaise

Faculté de Santé Publique Faculté de Santé Publique -- 33

Mammite= inflammation de la glande mammairemammaire

Maladie la plus répandueûla plus coûteuse--- qui afflige

les vaches laitières à travers le monde.

Provoquées par :Bl h i-Blessure physique,

-Ou invasion de la glande Mammaire (Fréquence+++) par des

bactéries (++++) ou d’autres micro-( )organismes : champignons- levures et peut-être des virus ,p ,

Mammites cliniques et sub cliniquesMammites cliniques et sub cliniques

Si mammite clinique le quartier infecté est souvent gonflé douloureux auinfecté est souvent gonflé,douloureux au toucher et le lait est d’une constitution visiblement anormale.

Si mammites sévères (mammite aiguë signes d’une réaction généralisée: fièvre, rythme cardiaque élevé,

t d’ étit t éd ti é i ité d lperte d’appétit et réduction précipitée de la production laitière.

la mammite sub clinique pratiquement “invisible” difficile à détecter.

La vache apparaît en bonne santé; le pis et le lait apparaissent normal.

Le seul signe d’infection =

é d l l d’ b él é d.présence dans le lait : -d’un nombre élevé de micro-organismes -et de cellules blanches du sang (cellules

somatiques) qui combattent les infections.

-La grande majorité des mammites sont Sub cliniques (en moyenne, pour h it li i il 20 àchaque mammite clinique, il y a 20 à

40 mammites sub cliniques).

-Le contrôle des mammites sub cliniques est tout aussi (sinon plus) important que le traitement des cas cliniques parce que:traitement des cas cliniques parce que:

Les vaches infectés : -sont des réservoirs d’organismes qui peuvent

d ll i f i hprovoquer de nouvelles infections chez d’autres vaches;

-La plupart des mammites cliniques démarrentLa plupart des mammites cliniques démarrent de manière sub clinique;

NB l t ôl d itNB : le contrôle des mammites Sub cliniques est le meilleur moyen de contrôler les mammites cliniques.

origine et mode deorigine et mode de transmission des micro-organismes

L’environnement (matières fécales, litière, la peau de l’animal, etc.) abrite de nombreux organismes quiabrite de nombreux organismes qui peuvent provoquer la mammite.

L’hygiène générale des vaches et de leur environnement immédiat ainsi que de bonnes pratiques, spécialement lors de la t it t d i l t ffitraite, sont des moyens simples et efficaces pour contrôler la transmission des mammites.

Mammites à Streptocoques

I - Définition

• Cocci• Cocci • Gram positif • Chaînettes Chaînettes• Immobile• Catalase -• Aéro anaérobies• Métabolisme fermentatif

II Classification :II - Classification : 1: aspects de l’hémolyse sur gélose au sang

β complète α - viridans

• γ : absence d’hémolyse

Structure pariétale des streptocoques

Couche protéinique (antigènes M)

polysaccharide C

tid

acide teichoïque

mucopeptide

cytoplasme

paroi cellulaire

capsule d’acide hyaluronique

II- Classification 2: Sérogroupes de Lancefield

• Propriétés antigéniques du polysaccharide C ou polyoside C• Immuno précipitation ou• Immuno-précipitation ou agglutination

18 groupes sérotypiques :• 18 groupes sérotypiques : de A à H et de K à T

• Streptocoques ingroupablesDépourvus de polysaccharide C( tè bi hi i )

Typage par agglutination sur lame

(caractères biochimiques)

Streptocoque agalactiae

Le Streptocoque agalactiae mammites sub p q gcliniques(+++) , et mammites aiguës(+).

NB: Cet organisme vit uniquement dans le pis de la vache et ne survit que quelques minutes à l’air libre.

Moyen de propagation : pendant la traite par l’intermédiaire d’une p pcontamination de la machine à traire, des mains du trayeur, ou du tissu utilisé pour nettoyer le pis .

NB: Le Streptocoque agalactiae peut être éradiqué d’un élevage grâce à un traitement approprié des vaches et une bonne hygiène de traite. Cependant, cet organisme

t f il t “ l i ”peut facilement “recoloniser”

Au sein de cette espèce, on connaît des souches d'origine humaine et dessouches d origine humaine et des souches d'origine animale qui diffèrent entre elles par quelques caractèresentre elles par quelques caractères bactériologiques

Caractères bactériologiques

la principale caractéristique de Streptococcus agalactiae est de posséder l'antigène du groupe B de LancefieldLa présence d'antigènes polysaccharidiques (Ia, Ib, II, III, IV, V, VI, VII et VIII) et d'antigènes protéiques (c, R et X) permet de définir des sérovarsdéfinir des sérovars.

Un caractère positif est noté pour les tests hydrolyse de l'hippurate

Un caractère négatif est obtenu avec les tests sensibilité à l'optochine (éthylhydrocupréïne), hydrolyse de l'esculine, hydrolyse de la gélatine,hydrolyse de l esculine, hydrolyse de la gélatine, hydrolyse de l'amidon, pyrrolidonyl arylamidase, acidification de l'arabinose, de l'inuline, du mannitol, du raffinose, du sorbitol et du xylose.du raffinose, du sorbitol et du xylose.

Une réponse variable est observée pour le test de CAMP ,

et pour les tests hyaluronidase, DNase, bêta-p y , ,galactosidase, bêta-glucuronidase, hémagglutination des globules rouges de l i (l i i i é lié à l é dlapin (la positivité est liée à la présence de l'antigène X), acidification du lactose, de la salicine et du tréhalosesalicine et du tréhalose

Sensibilité aux antibiotiques q(Streptococcus agalactiae )

Streptococcus agalactiae est généralement p g gsensible à la pénicilline et à la majorité des bêta-lactamines ainsi que, le plus souvent, à la lincomycine et à l'érythromycine. La sensibilité est variable selon les souches vis-à vis des tétracyclinesà-vis des tétracyclines.

Streptocoque uberis et Streptocoque

dysgalactiae

Se trouvent matériaux organiques utilisés comme litière (la paille et la sciure de bois par exemple) + le sol etsciure de bois, par exemple) + le sol et l’eau contaminés par des matières fécales.fécales.

Aussi sur la peau de la vache (lesAussi sur la peau de la vache (les mamelles et l’abdomen) et dans le système reproducteur.

Transmission de l’environnement aux mamelles entre deux traites, mais le transfert peut aussi se produire à la traiteaussi se produire à la traite.

. Le nombre d’infections provoquées par ces p q pbactéries tend à augmenter lorsque les condition hygiéniques ou Climatiques favorisent leur croissance, par exemple a o se t eu c o ssa ce, pa e e p ependant les mois chauds et humides.

En plus de ces deux espèces bactériennes, il y a de nombreux autresbactériennes, il y a de nombreux autres streptocoques dans l’environnement (Strep. bovis, Strep. fecalis) qui(Strep. bovis, Strep. fecalis) qui peuvent provoquer les mammites.

Caractères bactériologiques ( g q (S uberis)

les souches de Streptococcus uberissont non groupables (environ la moitiésont non groupables (environ la moitié des souches) ou réagissent avec un sérum anti-groupe E de Lancefieldsérum anti groupe E de Lancefield (environ le tiers des souches),

plus rarement, avec un sérum anti-groupe C, D, G, P ou U et,groupe C, D, G, P ou U et, exceptionnellement, avec un sérum anti-groupe B ou K. Certaines souchesanti groupe B ou K. Certaines souches réagissent avec plusieurs anti-sérums (par exemple, E et U).(par exemple, E et U).

Sensibilité aux antibiotiques ( S uberis )

Streptococcus uberis généralement sensible aux bêta-lactamines (pénicillinesensible aux bêta lactamines (pénicilline G, ampicilline, céphalotine), à la novobiocine, à la lincomycine et aunovobiocine, à la lincomycine et au chloramphénicol.

Des résistances sont observées vis-à-vis de la streptomycine, de la gentamicine,de la streptomycine, de la gentamicine, de la kanamycine, de la spectinomycine, des tétracyclines et despectinomycine, des tétracyclines et de l'érythromycine. Aucun plasmide de résistance n'a été identifiérésistance n a été identifié

Caractères bactériologiques g q(Steptococcus dysgalactiae )

Streptococcus dysgalactiae porte les antigènes des groupes C, G ou L deantigènes des groupes C, G ou L de Lancefield

Streptococcus dysgalactiae : hémolyseStreptococcus dysgalactiae : hémolyse alpha, sorbitol -, tréhalose +, responsable de mammites chez lesresponsable de mammites chez les bovins ;

Caractères bactériologiques* permettant de distinguer Streptococcus uberis sensulato (Streptococcus uberis et Streptococcus parauberis) de Streptococcus agalactiaelato (Streptococcus uberis et Streptococcus parauberis) de Streptococcus agalactiae

et de Streptococcus dysgalactiae subsp. dysgalactiae

Tests S. uberis, S. parauberis S. agalactiae S. dysgalactiae subsp. dysgalactiae

(n = 36) (n = 5) (n = 5)( ) ( ) ( )

Alpha-glucosidase 100 100 100

Bêta-glucosidase 100 100 100

Bêta-glucuronidase 75 60 100

Alpha-fucosidase 0 0 0

Bêta-N-acétyl-glucosaminidase 100 0 20

Arginine di-hydrolase 100 100 100

Tétrationate réductase 0 0 0

Alpha-galactosidase 11 0 0

Bêta-galactosidase 100 100 100

Bêta-xylosidase 0 0 0

Sérine aminopeptidase 0 40 60

Proline aminopeptidase 0 0 0

Pyrrolidonyl aminopeptidase 92 0 0

Arabinose 100 100 100

Mannitol 100 0 0Mannitol 100 0 0

Sorbitol 100 0 40

Tréhalose 100 100 100

Raffinose 8 0 0

Inuline 100 0 0Inuline 100 0 0

Phosphatase alcaline* 0 100 100

Bile esculine 83 0 0

Hydrolyse de l'hippurate 97 100 0

DNase** 0 100 100

Sensibilité aux antibiotiques q(Streptococcus dysgalactiae )

Streptococcus dysgalactiae est sensible à êl'ensemble des bêta-lactamines et notamment

à la pénicilline G. Des résistances acquises vis à vis desDes résistances acquises vis-à-vis des aminosides (rendant illusoire l'association avec une bêta-lactamine car on n'observe plus de synergie), du chloramphénicol, des macrolides et surtout des tétracyclines sont possiblespossibles

Mammites à Staphylococcus aureusMammites à Staphylococcus aureus

Staphylocoque aureus vit à l’extérieur du pis, à la surface des mamelles, etpis, à la surface des mamelles, et provoque de nombreuses mammites cliniques et sub cliniques.cliniques et sub cliniques.

Résultats d'analyses biologiques réalisés chez des travailleurs dans le secteur alimentaire

au Nord du LibanH é M N j M t M ll t HHamzé M1 ,Naja M2 et Mallat H 3

1: Faculté de Santé Publique Université Libanaise section 3 PO Box 246 Tripoli Liban1: Faculté de Santé Publique-Université Libanaise –section 3 .PO.Box 246 Tripoli –LibanMobile : +961 3 22 888 Fax : +9616626986. E mail :mhamze@inco.com.lb2: Médecin généraliste. Enseignante à la Faculté de Santé Publique – section 3 - Université Libanaise –Tripoli –Liban3: Infectiologue, hôpitaux du Nord du Liban; enseignant à la Faculté de Santé Publique–section 3 - Université Libanaise, Tripoli- Liban.

Tableau 1: Pourcentage de résistance des S. aureus isolées aux Cette recherche est effectuée chez 196 fonctionnaires

Pourcentage de Résistance

oxacilline 6.50%

pénicilline G 98 70%pénicilline G 98.70%

amoxiclave 6.50%

gentamycine 2.60%

vancomycine 0%

teicoplanine 0%

cotrimoxazole 5.20%

acide fusidique 24.70%

tétracycline 14.30%tétracycline 14.30%

minocycline 0%

rifampicine 2.60%

érythromycine 11.70%

Pefloxacine 14.3

Bactéries coliformes

Se trouvent dans le sol et dans l’intestin des animaux.

Elles se multiplient dans le fumier et sur les litières contaminées par des matières fécalesmatières fécales.

Les coliformes provoquent des mammitesLes coliformes provoquent des mammites seulement si une particule contaminée vient en contact avec une mamelle dont l lle canal est ouvert.

Contrairement aux bactéries décrites précédemment les coliformes neprécédemment, les coliformes ne peuvent pas s’attacher au tissu mammaire mais se multiplientmammaire, mais se multiplient dans le lait rapidement et y libèrent

édes toxines qui sont absorbées dans le courant sanguin. g

Les coliformes peuvent donc provoquer des mammites cliniques aiguës.des mammites cliniques aiguës.

La température de la vache peutLa température de la vache peut dépasser 40°C et le quartier infecté devient gonflé et sensible au toucherdevient gonflé et sensible au toucher.

Etude bicentrique sur la résistance des E. coli aux antibiotiques isolées dans la flore intestinale des étudiants de la Faculté de Santé Publique,des étudiants de la Faculté de Santé Publique, sections 3 et 4 de l'Université Libanaise

Monzer HAMZE1, Fadwa ABOU-BAKER1, Zaynab KHAZMA1, Wahiba FLLITTY2 et Hazar SAAFIAN2Faculté de Santé Publique – Section 3 – Université Libanaise – Hôpital de Tripoli – B.P.: 246, Tripoli –Liban.

mhamze@inco.com.lbFaculté de Santé Publique – Section 4 – Bekaa – Liban.

RESUMÉEntre avril et juin 2003, nous avons analysés les

selles de 382 jeunes étudiants sains à laselles de 382 jeunes étudiants sains à la Faculté de Santé Publique section 3 à Tripoli et section 4 au Bekaa.

Au total 382 E.coli sont isolées, identifiées, puis leur sensibilité aux six moléculespuis leur sensibilité aux six molécules antibiotiques est déterminée par la méthode des disques.

Les résultats obtenus montrent que sur les 382 souches, 44,4% résistantes à l'ampicilline, l'acide clavulanique a restauré l'activité chezl acide clavulanique a restauré l activité chez 20,1% des souches.

Le pourcentage de résistance observé avec les autres molécules était respectivement: cefalexine (9,3%), cotrimoxazole (30,7), ce a e e (9,3%), cot o a o e (30, ),tétracycline (19,1%) et acide nalidixique (10,8%).

Antibiotiques

Sensible Intermédiaire Résistant

Total S Total I Total RTripoli Bekaa Tripoli Bekaa Tripoli Bekaa

Ampicilline 43.80% 43.20% 11.60% 12.60% 44.50% 44.20% 43.50% 12.10% 44.40%

Amoxiclave 64.50% 62.80% 23.20% 30.20% 12.30% 7.00% 63.60% 26.70% 9.60%

Cefalexine 73.50% 82.40% 13.50% 12.10% 13% 5.50% 77.90% 12.80% 9.30%

Cotrimoxazol 18.10% 69.80% 49.60% 1% 32.20% 29.10% 44% 25.30% 30.70%e

Tétracycline 69% 72.40% 19.30% 1% 11.60% 26.60% 70.70% 10.20% 19.10%

Acide Nalidixique

76.70% 82.90% 16.10% 2.50% 7.10% 14.80% 79.80% 9.30% 10.80%

Autre germes?

LES ESPÈCES DE MYCOPLASMES QUI SE RENCONTRENTQUI SE RENCONTRENT CHEZ LES BOVINS

Mycoplasma (M.) bovis est le principal agent responsable des mammites àagent responsable des mammites à

mycoplasmes chez les vaches laitières, partout dans le mondepartout dans le monde.

11 autres espèces de mycoplasmes sont isolées à partir de cultures de lait.isolées à partir de cultures de lait.

M bovis reste la principale espèce deM. bovis reste la principale espèce de mycoplasme isolée lors de ce type de mammites de plus c’est la plusmammites , de plus c’est la plus pathogène.

MYCOPLASMES SONT-ELLES

FRÉQUENTES?

Les pertes occasionnées par les mammites à M. bovis aux États-Unismammites à M. bovis aux États Unis sont estimées à 10E8 millions de dollars par an.par an.

Aux-USA 1,2 % à 6 % des troupeaux présentent des mycoplasmes lorsque des cultures sont faites à partir du réservoir à lait.

Une étude menée dans l’État de Washington montre que le pourcentage de troupeaux dé l é i if é d 2 % à 6 %déclarés positifs a augmenté de 2 % à 6 % de 1998 à 2000.

LES MAMMITES À

MYCOPLASMES?

La contamination des animaux se fait à partir des animaux porteurs. Lepartir des animaux porteurs. Le mycoplasme pénètre dans la glande mammaire par voie ascendante via lemammaire par voie ascendante via le sphincter du canal

du trayondu trayon.

M. bovis peut survivre jusqu’à un mois dans l’environnement.mois dans l environnement.

La contamination se fera donc de vacheLa contamination se fera donc de vache à vache par du matériel contaminé, principalement au moment de la traite,principalement au moment de la traite, mais aussi lors d’un traitement intrama-mmaire.

La contamination par dissémination de mycoplasmes dans le sang à partir d’un y p g pautre site d’infection, par exemple respiratoire, serait aussi possible et

tt it d’ li t ipermettrait d’expliquer certaines épidémies de mammites à mycoplasmes survenant sans introduction de nouveaux animaux dans l’élevage.

COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON

CE TYPE DE MAMMITE?

Le diagnostic des mammites à mycoplasmes repose principalement sur la mise

en évidence des mycoplasmes dans le lait. Cela peut se faire de deux façons : soit par p ç pculture bactériologique, soit par Polymerase Chain Reaction (PCR). C a eact o ( C )

EXISTE-T-IL UN TRAITEMENIl n’existe à l’heure actuelle aucun traitement reconnu

comme efficace pour les mammites à mycoplasmes.

De nombreux traitements ont été essayés, avec des résultats controversés Certaines guérisons sontrésultats controversés. Certaines guérisons sont

rapportées sur une période de plusieurs semaines ou mois, particulièrement avec d è d l tdes espèces de mycoplasmes autres que

M. bovis, comme M. bovigenitalium.

S / SSource / Source2002, vol. 19, no3, pp. 219-226

Antimicrobial susceptibility of Streptococcus i i l t d f li i l titi i d ispecies isolated from clinical mastitis in dairy

cows

Auteur(s) / Author(s)GUERIN-FAUBLEE Véronique (1) ; TARDY Florence (2) ; BOUVERON Clarisse (1) ;

CARRET Gérard (3) (1)CARRET Gérard (3) (1)Département de Santé Publique, Laboratorie de Bactériologie, Ecole Nationale Vétérinaire de Lyon, BP 83, 69280 Marcy l'Etoile, FRANCE(2) AFSSA-Lyon, RESABO, 31 avenue Tony Garnier, 69364 Lyon, FRANCE(3) Faculté de Médecine Lyon sud, UMR CNRS 5558, BP 12, 69921 Oullins, FRANCERésumé / AbstractRésumé / Abstract

S / SSource / Source2002, vol. 19, no3, pp. 219-226

Th ti i bi l tibilitThe antimicrobial susceptibility was determined for 50 Streptococcus b i 42 S d l ti buberis, 42 S. dysgalactiae subsp.

dysgalactiae and eight S. agalactiaet i i l t d f titistrains isolated from cow mastitis.

Only 27% of the strains were susceptible to all antimicrobial compounds tested.to all antimicrobial compounds tested. Resistance to tetracycline was most frequent (particularly for S. dysgalactiaefrequent (particularly for S. dysgalactiaestrains), then macrolide and/or lincomycin resistance.lincomycin resistance.

High level resistance to streptomycin and kanamycin was detected.

All S. dysgalactiae and S. agalactiae strains were susceptible to β-lactams but 44% of the p βS. uberis strains showed an elevated penicillin G MIC.

All strains were susceptible to chloramphenicol and rifampicin.

PROJET : Matériels et méthodes

-Au total 31 prélèvements (mammites)-Effectués par des vétérinaires-Effectués par des vétérinaires-dès réception , les échantillons sont

ensemencés sur :ensemencés sur : GS/GS+CNA/DRIGALSKI/BEA/CHAPMENN/SABOURAUDN/SABOURAUD

-Incubations à 37ºC – (Les GS+CO2)

Les bactéries sont identifiées selon les protocoles standard pratiqués dans leprotocoles standard pratiqués dans le laboratoire ( GRAM/Catalase/oxydase/API Strep/APIGRAM/Catalase/oxydase/API Strep/API 20EAntibiogramme méthode des disquesAntibiogramme méthode des disques

Résultats

31 prélèvements dont 11 sont positives 35.5%

Escherichia coli: 4

Streptococcus dysgalatiae: 2

Streptococcus aglactiae: 1

Streptococcus uberis: 3p

Comomonas sp: 1

Résultats

souche

AM

TIC

PIP

AM

C

TCC

TZP

CN

CX

M

FOX

CFM

CTX

CA

Z

FEP

IPM

ATM

SXT

CS

GM

NN

AN

NET

OFX

CIP

FOS

e

1 R R R S S S S S S S S S S S S R S S S S S S S S2 R R R S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S3 I S S S S S S S S S S S S S S R S S S S S S S SS S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S4 S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S

Germe isolée: Escherichia coli

souche

TIC

PIP

TCC

TZP

CX

M

FOX

CFM

CTX

CA

Z

FEP

IPM

ATM

SXT

CS

GM

NN

AN

NET

OFX

CIP

FOS

1 S S S S R S S S S S S S R S S S S S S S S

Germe isolée: Comononas sp

souche

OX

E L PT C TE RA

VA TEC

SXT

SP LVX

AM

CTX

GEN

KA

N

STR

CF

MO

X1 S S S S R S S S S I S S S S S S S S S

2 S R S S R R S S S S R S S S S R R S S

Germe isolée: Streptococus dysgalactiaeGerme isolée: Streptococus dysgalactiae

souche

OX

E L PT C TE RA

VA TEC

SXT

SP LVX

AM

CTX

GEN

KA

N

STR

CF

MO

X

1 R S R S S R S S S R S S I S S S R S S1 R S R S S R S S S R S S I S S S R S S

2 R R S S I R S R R R R R I S R R R S R

3 R R R S S R S S S R R S I S S S R S S

Germe isolée: Streptococus uberis

souch

OX

E L PT C TE RA

VA TEC

SXT

SP LVX

AM

CTX

GEN

KA

N

STR

CF

MO

Xhe

X

1 S S S S S S S S S R S S S S S S S S S

Germe isolée: Streptococus agalatiae

MerciMerci pourpour votrevotre attentionattention