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JOURNAL DU 8ME DISTRICT SENATORIALR IX DU NUMERO :— D IX CENTS. JOURNAL OFFICIEL BE LA VILLE DE TE 1B ODA UX. ABO NNEM ENT:—$3.00 PAR AN
VO L T H I B O D A U X , L —, S A M E D I 2 2 J U I L L E T 1 8 7 6 . N O 5 1A v i * .
Une Nouvelle Infamie._ ________ ces divins quoique de ohez eux tôt le policetntiu Dickerson est j souscription pour l'enterrementcroyons (Wotr nifonnerL-publie j i ils entendent distinctement le son sorti, marqnaut son passage par d'Elsden, dont la mort laisse sans
nueTous lus av'is" de* candidature -lusqnes â quand le gouverne Aies cloches de leur église. une traîné de sang. Il avait reyu ressources une veuve, un petit garent «ire payé a l ’avance L -prix inenI judical sous lequel gémit la | Nous connaissons un proprié une balle dans le dos. Sou colle-|çon et une petite fille.
$i5,w<) «n A n g la is e t tu F ra n ç a is , | Louisiane, continuera-t il d'amas j taire demeurant à moins de trois gue, Elsden, ainsi qu'ou l'a su John Albers, qui s'était marié
Jïesoht en outre Que, dans cette lu tte La toure lle se m ontrera (Jigiie de s<»i\ passt*.tpu*
ilo IValuca opposes l*ig!
à-la corruption . élit* démontrera
par ses efforts sérieux en faveur tio n et de la vertu ,
en tie r quo notre Paroisse
.$io.oo dana l’une de ces deux lau- j ser contre lui toutes les humes odile de Thibodaux qui refusa de plus tard, avait été tué raide. j tout récemment, laisse une veuve ! JMumirV'de' J’aw '* ’ L"
uorance et m ontrera au monde
est réellement ee Pai ointe Porte
Canéiciaînres Democratizes !1 8 7 6 .
DUR PRESIDENT des Etats-Unis :
A M I J . TILDEN,de New-York.
OCR V jc e -P k e s id e x t :
OS. A. HENDRICKSde l’Indiana.
our Secretaire a’Etat,
JULIEN MICHEL,
) e l a N o u v e l l e O r l e a n s ,
populaires ? I l semble que plus il sa propriété il y a trois ans, trois Les frères Thiclhorn, ayant eha ! enceinte. i Jtj* Q«’"10 *i sapproche de sa fin, plus il redou «"lie piastres comptant et qui dé cnn un pistolet a la main, se sont Fisher était âgé de 63 ans. 111 la' skxuskl^ b!e d'efforts pour écraser le pan 1 sb'ant la vendre l'année dernière : élancés hors de la maison immédi laisse une veuve et deux tilles J’otiomn «t ,v 6. nmyunc avec prière de
j vre peuple sous le poids de «e put; en trouver même quatorze : atement après le policeman blés ; mariées. | pfVf„ gnc |(,s n,im.lvi.: toutes les exactions imaginables.1 cents. Il en est ainsi pour chaque | sé, et l’un d‘eux a tiré un coup de Parmi les personnes blessées ; ments de cette convention'soient offerts k
Le commerce se meurt (Finaui parcelle de terre de cette section, pistolet, en arrivant dans la nie, par ces forcenés, on cite, imlépen e"SUss'aheri ' 'Y " " ‘ t'11"; tion, la propriété succombe sous | Depuis les limites et même en; sur un passaut, M. John Cahill, ; damment de celles nommées plus ihùui pouVses préiie^ le taix de taxes onéreuses, Fou » dedans des limites de la ville de résident du n. 103 Jackson street. I liant, John Collins et miss Marga ca2,ion.
i vner réclame en vain de 1‘ouvra j Thibodaux jusqu’à la Station de j Un nombreux rassemblement s'é ! ret Rudolphe. On espère les sauver ! tiim'i'sILméiîi^lt'donS ^C^'gUnieu"I ge que le capitaliste ne peut lui I Terrebonne, sur le côté Est du j ta it déjà formé,mais les Thiclhorn j tous deux. : porte drapeaux dans la piéscnte campagne
manque de | Kiyon, la moitié des terres ara-! ont traversé les groupes de eu-1 II est probable que l'enquête i a 'Vkmkhi«'1fflq'1,1 ' N , , w V o , k ct T,‘"accorder à cause duconfiance dans Favettir et jiar-des ! blés et quelquefois plus, cultivés rieux eu menaçant de mort quicon i ne commencera que quand-oîi au
en I860, est maintenant lo ju t r i | que essaierait de les arrêter, et ils j raretronvé les’coipsdestroisassas moine des grenouilles, des caï I ont pris rapidement le chemin de ! sins. Le seul repêché jusqu'à maris et autres habitants aquati : la tannerie Dawson & Cie, suivis i présent.—celui de Charles—est quos, l'autre moitiéet si mal égou par une grande foule, au milieu ! dans la Morgue Compton, qui a téc qu’une bonne récoltes dans j de laquelle i ls ont fa it teu tout en ! été assiégée hier tout le jour, ces conditions est impossible, sur marchant, blessant grièvement I mais où on ne laisse pas pénétrer
t «i i i pluvieuse. I deux citoyens. j le publie.—Courrier des Etat-' *— ' 1 Arrivés à la tannerie, ils ont Unis, 15 juillet \
parcouru le rez de chaussée en ap pelant à grands cris le coutre- maitre Meyer,Fauteur de la [»lain te déposée contre eux. Ne le trou vaut pas au rez-de chaussée, ils sont montés au premier étage, et Adolf, en sortant, a tiré un coup de pistolet sur un groupe d‘ou-
tivable serait accrue en propor vriers dont Fu«, George Schrei tion, de bons chemins augmente ber, a reçu ia balle dans le bras, raient la valeur des produits en j Au premier étage ils ont recoin leur donnant un accès plus facile r ' r
le 1 lud iana.
ses tout à cause de la stagnation I des atf lires. Eii bien / cvst dans ! mi pareil moment que ce même gouvernement vient ajouter de nouvelles charges à celles qui nous oppressent déjà. Une circu luire signée G. B. Johnson, Audi teur d'Etat, adressée aux Collée teins des taxes, leur enjoint de faire payer à tout marchand qui vend des médecines, c'est à-dire, du sel (Fépsom, du castor oil, qui nine, etc. etc., une license adili tiounelle de 830. Ainsi donc vous voila bien prévenus. iSi vous avez
La ('(inven tion s’est ensuite ajourne« dans un p a rla it accord.
tout si la Saison est Neuf mois sur douze le chemin est impraticable, le bayou s’em parant du chemin pour égouter les eaux fangeuse qu’i l charie.
Le drainage ainsi que le creu sage convenable du bayou Terre bonne, donnerait une valeur don ble et même triple aux propriétés
besoin de cinq grains de quinine j riveraines l'étendue des terres cul ou de quelques petits médica meats pour vos enfants ou pour
l * o u r K h c i ' i l ' .
ie u r l'E d ite u r de la Sentinelle.
vous même, il vous faudra faire cinq, dix, vingt et même cinquau te milles si vous restez je suppose J ;" 1 marché, de même à la côté des Guidry, (jar le petit ! jets de consouiation«mrchaud de la campagne, qui
l'o ffice <le slid ' reste dans votre voisinage et chezliminalei<:ci' ! *C(l ucl vuus HVk‘z habitude de .."ii.i.ii-., 1 vous fournir ne pourra plus en
vendre sans payer 850 de lieen se additionnelle qui, ajoutes aux 8145 qiFil paie déjà, dép isse raient certainement les bénéfices clairs et net de la plupart d'en t i ‘eux.
Nous défions un marchand,quel qu'il soit, dans notre paroisse,sauf les pharmaciens, de nous prouver qu‘ i! puisse faire dans le ••ourant (l'une année assez de bénéfices sur les médecines vendues pai lui, pour jiayer cette license. S'ils en vendent c'est plutôt pour rendre service aux habitants,aux pauvres (pii n'en achètent que par nécessi té et en très petites quantités,que pour happât du gain (pii, nous le savons par expérience.est négatif.
Nous n'avons pus l ’intention de rondie notre collecteur responsa ble (Fune pareille coquiuerie, c'est [lias liant que remoute cette res pousabilité et tout particulière ment, à la fameuse Législature panachée de 1872.
e comme ca u ilid a t pour l'o ffice de Slid e la Paroisse Latourehe, du pcuplo »i 1 élection pi('•inninai**c.
TH KO FH J LE THIBODAUX doux, 21 J u ille t, 1876.
rotant* de la Paroisse Lafourche : m'annonce comme cand idat pour l'o ff i Shérif, sujet à la décision du peuple il io» p ré lim ina ire .
L A. W KBHF.
l * o u r .1 i i { j e « le I H k t r i c t .
teupie du lôeiue D is tric t Jud ic ia ire . suis candidat pont- lit ré-éleoMon A la
de ,1 uge île Dist rie t, iivainc.u d ’avo ir ta it tous mes efforts
m p lir l'o ffice avec ju s je soumets l'ave II i l
vos mains, sans courtise r la nomiua- d'aucun p m ti politique. ou coterie per- «11e.
T A Y L O R B E A T T IE , ihndnnx, 23 Ju in , 1876.
Iv passé poiet im p a itiu lité , je soumets l'a ve n ir
Informations Locales.OLLEOE DE THIBODAUX—La jribution des prix et l'exhibi- I annuelle de cette excellente Ration auront lieu le 27 du rant à 74 heures P. M.
ompaoniE des Echelles.— tompagnie Home Hook &, Lad sortira demain matin pour •ciees mensuels. js membres de cette compa- sont invités à être exacts au
ting de lundi soir, des aftai- d’une grande itti[>ortaiice de- t y être discutées. V
Price—Tonnelier à Tiger- parois.se Terrebonne, pré-
t le public (ju 'il a toujours en i un grand stock de barils, ves, etc., qu 'il vendra à des très modérés. Voir l'annonce.
MITE DEMOCRATE CONKER- eur de Paroisse—Les ittctii de ce comité sont prévenus
Is auront une réunion à Thibo le 29 juillet, afin de. proty:
à l'organisation définitive de Tinté. Voir l'avis.
Marchand Commissionnaire —Mr. J. N. Bourgeois, ci-devant de Lafourche, maintenant établi an No 107 rue Vieille Levée, Non velle Orléans, comme marchand commissionnaire publie sa carte dans une autre colonne.
Mr. Bourgeois est trop bien connu de notre population pour qu'il soit nécessaire de le recommander.
Drainage !P A R L ’O N C L E S IL A S .
uvent du Mont Carmel— istributioT des prix et l'exhi il annuelle de cette institu a eu lieu le 17 du courant, ut une nombreuse assistance, s y avons remarqué nombre
Dans le dernier numéro de ia S e n t i n e l l e nous avons fait res sortir qu'il n’était guère possible que Fou fut dans la nécessité de lever une taxe sur tes propriétés de la corporation pour subvenir aux paiements des bondi? que la ville se propose d'émettre pour l ’achat de 700 actions du stock du Thibodaux (F Terrebonne Drainage and Navigation Company.
L'émission de ces bons, réalise
rneneé à courir eu tous sens en que les ob appelant Meyer, et ne le voyant locale sc pas ils ont déchargé leurs armes
au hasard sur les ouvriers. Charles Fisher, aiile-contre-mai tie et beau frère de Meyer, a reçu deux balles dans la tête et deux dans l'abdomen. John Albers a eu le corps troué de six projectiles, mais il s'est vengé eu s'escri niant du couteau contre les trois assassins, (Font l'un a eu la main presque entièrement tranchée.
Les ouvriers delà tannerie, un moment paraljsés par la soudai neté de l'irruption, ont poussé des cris de fureur à la vue de leurs camarades morts ou mou
raient dégrevés des frais extraor dinaires de transportation qu'ils supportent aujourd’hui.
Toute personne qui possède un terrain dans les limites de la ville de Thibodaux ou aux environs est essentiellement interressés a cette entreprise, beaucoup ont abandonné la culture de leu rja r din, parce que chaque pluie vient détruire le fru it de leur travaux.Il est même hazardeux d’élever des volailles car elles risquent d'être noyées au moindre orage.
Rour accomplir cet objet, il doitêtre fourni d-abord par ceux qui j rants, et saisissant le premier ob en retirent un léger bcnitico immé j je t qu'ils ont tiouvésous la main,(liât et aussi par ceux qui en pro fiteront indirectement. Dans le premier cas sont les propriétaires qui, outre la plus value des pro priétés, trouveront un loyer plus avantageux pour ces mêmes pro priétés aujourd'hui dépréciées. Dans le second, sont les marchands dont les ventes s'accroi- tion t considérablement et aussi les ouvriers dont les services seront d'autant pins recherchés que les affaires seront meilleures.
Les directeurs sont détérmiués de pousser cette affaire àfond et ils y parviendront sûrement s'ils sont secondés dans leurs entreprise par tous ceux qui y ont iu térêt. Ainsi ou ne peut hésiter à faire un placement de dix piastres pour une seule action qui en rap portera vingt, mais ne dut-elle rien rapporter on serait déjà très dédommagé par le néuéfice locale quelle procurera à la communauté route entière.
Le Drame de Newark.Il s'est déroulé avant-hier à
Newark une sérier de scènes sanglantes et sauvages telles qu'on en signale quelquefois dans les villages perdus de la frontière, mais que l'on croirait absolument impossible dans une ville c iv ilisée et policée. Les tristes héros dej la succession de drames que nous allons retracer étaient trois frères, Charles, A lbert et Adolf Thiel- horn, natifs de Magdebourg, eu' Finisse. I l y a un au et demi en-*rsonues veuues des parois
oisines, malgré un temps me : ra probablement unesomme assez | viron que Charles était sorti de la ! George Schreiberut et une chaleur torride. j élevée pour permettre aux direc- j prison d'Etat, »[très y avoir subi us ne saurions trop coinpli- j teurs de payer les dépenses néces une condamnation de six mois,
ter les bonnes soeurs pour les «aires ponr organiser et incorpu ! pour tentative de vol à main arès réels de leurs éiéves. ; rer la compagnie et acheter ou j niée. Depuis, les trois frères a-
8 les d iv e r s merceaux récités, faire construire un dredge boat cou j voient travaillé quelque temps
couteaux, marteaux, etc., ils se sont précipités sur h s assassins.
Ceux-ci se sont enfuis vers la rivière, Passaic, poursuivis par une foule indignée qui faisait pleuvoir sur eux une grêle de pierres. Parfois un ouvrier rejoi gnait un instant les fugitifs, et alors c'était un échange rapide de coups d'assommoir et de couteau. Blessés, mutilés, ensanglantés,les assassins ont atteint la rivière et se sont jetés à l'eau ; mais, épuisés par la perte du sang, ils nageaient avec nue extrême difficul té et il était évident qu'ils n'arri veraient jamais au bord opposé. Toutefois la foule continuait à les poursuivre de ses imprécations et à les cribler de projectiles. Pan e mis environ au milieu de la rivière, les trois frères ont été englou tis presque simultanément, et les nombreux témoins de leur mort l’ont saluée par des hourrahs de triomphe.
La tragédie dont nous venons de donner les détails a coûté la vie à sept personnes, savoir : les trois frères Thiclhorn ; le policeman Elsden, tué raide en essay u ut de les arrêter ; le policeman Dickerson,qui a succombé à 5 lieu res du soir à sa blessure ; le sons- contre maitre Charles Fisher, mort quelques minutes après son tranfert à l'hôpital Saint-Micliael; et John Albers, qui n'a survécu qu'nn instant à ses six blessures.
John Cahill, sur qui les Thiel- horu ont tiré en sortant de chez eux, est, dans une condition déses pérée. Enfin deux autres hommes,
° i—~:1 et Frederick
«le S licv lf
Charles F. O'audr rs. Au 1 ttil Protiaudé. MM
En ve rtu il 'u n w r it de ti fa., le td ié r ifa Baini e t otl'riru eu vente devan t la Maison de (,'our iV riiilio d a u x , le samedi é août 1870, entre onze heurt s A. M.. e t -1 heures P. M., les propriétés su ivante :
U Un certa in morceau de. te rre situé dans cette paroisse su r la r ive fjauehe du Bayou l.u fou rrhc . n environ un m ille en lias de la v ille de Thihodau.v mesurant environ
otondeur. te rre , situé
dans cette paroisse, en a rriè re de la d ite u ta tiou , it iu s i toutes les hati ations, m ulets.eharettes et charrues cet,
. , ditlivre; la balle,qui pesait 420 livres,! "vois camié dans h» récolte aetm tie- •i /.iii.m-nn V/**«. ?- * nient «m* pied cultive*« par Augt. loumcr.‘ ‘ " 1 C ond ition s• Com ptant.
Succession de Michel Pubs et M arie
L a P R E M IE R E B A L L E D E CO
T O N —La première balle de coton du Texas de la récolte de cette année est arrivée à Galveston le , , ..^ ju illet) expeuiee p<ir Mme lÎQ U S j 'ZJ U n ce rta in morceau de seiuan de Meversville, Comté de ,laUK cette paroisse,en nrnèr W ilt. Ce « t o i a été c lan* “ s tr i. it: t t f t    S Ï * low m iddling’ et vendu 25 cents 1 1 M"i y Bout attachées, e t l'in té rê t du
a été envoyée à New York.— ——
T l UK s .71 ir«; U i l g .
Paro issi: L a fo u k c iic , là J u ille t ’7(1.Conform ém ent il une convocation du Co
m ité E x é c u tif de Paroisse, les citoyens démocrates de la Paroisse Lafourche ce sont assemblés ee jo u r, sur l'h a b ita tio u de M r. L . M a rtin , près Kaeclaud, dans le b u t de chois ir i l ix délégués il la Convention de llà ton- Rouge, cinq délégués à celle de D is tr ic t et les membres devant composer le nouveau Com ité E vé cu tifd e Paroisse.
L ’as semblée a été appelée il l ’ordre par L S. A llu iu , qu i a proposé pour hop résidence M r. J. S. P e rk ins e t M M . U . N? Coulou et. A . M . Folse [Secréta ires.
Sur m otion ees nom inations ont été r a t i fiées e t déchirées défin itives.
Les Vices Présidents élus sont : M M. I I. E Ledet, Ed- Meeguel, L . M a rtin Sr., Ed. Bourgeois, M a rtia lÔ ge rou , Sosthèuc Folse, Ueuj. Folse. Nap. Bourgeois.
Le Président annonce que l ’ob je t du meet in g est de désigner des délégués pour repré senter la Paroisse Lafourche dans les divers conventions, savoir :
lie
(M illeO ru ln rt, sa femme, Ions de tu décidéS
ï'.n vertu d 'un ordre de Cour le sh é rif o ff r ira en vente Samedi In Août 18711. l ’ n lot de te rre situé en 11: i s de la v ille de Th ibo daux et près des lim ite de la d ite corpora tiou , r ive d ro ite , avec les bâtisses et am éliorations qu i s'y trouvent
Conditions : Com ptant.
V e i l l e * « lu 4 ’ o l l c c t e u r .
Le m ercredi 26 ju ille t 187C, i l sera vendu par le C o llecteur des taxes, devant la M aison de Cour <le Thibodaux, h 12 M .
Un certa in lu t de, te rre situé it I a fourche Crossing, r ive d ro ite , mesurant nu demi a r pent, avec toutes les am éliorations qu i s’y trouvent-
Cette propriété est bornée eu lia n t par celle de Mme- N. L e lb rt, e t est assessée au nom de Harumgèuu Ayo.
C ond itions: Comptant-
L o C o lle c te u r des taxes ve n d ra le
le momie n pu retmirquiT maintien aisé et naturel, leur e diction dans les deux Litt Le même compliment est
l'éminent professeur de mu Mr. E. Chol ; si toutes ses
s ne sont, pas de première ceqiPou ne saurait exiger.
venable pour creuser le canal du bayou Terrebonne.
Pour ee (pii concerne la main- d'œuvre, la compagnie ne devrait pas avoir (l'argent à débourser. Elle cherchera F argent uécessai re non dans la poche, mais bien
dans la tanuerie de Dawson et Cie, River street,mais ils s’étaient fait renvoyer par leur inconduite et n'avaient [»as cherché d'occu pat ion autre part. Buveurs, joueurs, querelleurs, leur existence était une débauche continuelle,
SI n te, sont grièvement blessés.Ou a fouillé la rivière poor re
trouer les corps des assassins, mais un seulement a été repêché dans la soirée ; il était couvert de contusions et perforé de plusieurs coups de couteau.
Nous avons encore à signaler un incident caractéristique. Pendant que tout était seus dessus dessous à la tannerie où les assas sins déchargeaient leurs armes à
dans les bras des personnes inter ; variée à intervalles par quelques ; tort et à travers, quelqu'un a promtoi . 'n . ' kL. i ■» i t a Î i > h i L i / i d u m n l u * / « n f n u i i n ' O l o « » t u n e I L i i ' i n ù i u i m o n f î l e ? F, » / . . 1 . « ! . . . . . . . . i ' . . £.. f i:Iu que les aptitudes sont di i ressées à voir s'accomplir cet
, et que les plus anciennes élè ‘ ouvrage. En effet, si ceux qui souf ‘tint pas au delà de deux ans freut fie Fêtai actuel des égouts
ns.Ou reconnaît néanmoins i et n*out pas de capital a investir het du maitre dans les moin dans !'eut reprise, ils ont leur tra
détails, et dans eet art aussi j vail qui vaut un capital, qu'ils que pour toutes les sciences, i donnent au lieu d'argent une eer incipcs sont la base sur la ( taine quantité de journées d'ou repose toute bonne édttea- ! vrage et ils soient par le tait aus-l . . . . __ _ k » , C. . . . . . . . . v * t - î I k . i . l» i k f u n i ' *: A l l i t V
fité de la confusion générale ponr s'approprier le paletot du proprié taire de la tannerie, M. Thomas Dawson, dans les*poches duquel
mauvais cotijis. Dernièrement ils avaient arrêté sur la voie publique M. Meyer, contt e maître de la tannetie Dawson, et avaient essayé ___ ___ _________ ___de lui extorquer de l'argent sous i il y avait 82,250 de chèques’sur menaces de mort. M. Meyer ayant j diverses banques, porté plainte au juge Jessup, ce- { Los frères Thiclhorn, tous trois lui ci a délivré un mandai (barres ; Tncieus soldats de l'armée puis tation contre les trois Prussiens,1 sienne, étaient âgés respective
Ou un mot cette journée a si bons souscripteurs que ceux j et les policemen Elsden et Angus | ment de 26, 32 et 43 ans. Aucunarmante et agréable â tous, qui ont payé en argent, ils y sont te Dickerson—ce dernier homme ! d'eux n'était marié. Ilsétnientlies que soient lee opinions ! même [»lus interressés (pie les j de couleur—ont été chargés de iaux Etats Unis depuis un an seule
s de ehajeup.il est impos autres, puisque de cet égout dé l ’exécution du mandat. 'mentet ils comptaient retournerne pas adresser à notre pend leur bien être et leur pros- Eu conséquence les deux police dans quelques jours en Prusse,
b^e pasteur le Rev. Chas, périté augmenteraient «le cinquau men sont allés avant-hier, vers 2 où ils venaient défaire nu héri î, la somme d'éloges et de i te pour cent immédiatement. S'ils heures de l'aprés midi, dans la tage. La police a trouvé et saisi 'merits qui lu i sont dûs ont des malades il leur est impos résidence des frères Thielhorn, n. | dans leur résidence une cible trouzèle et lp persistance qu'il sible d'avoir le secours d'un nié- 101 Jackson street, au 2e étage. >jée de [»lus de cent balles, preuveé- pour doter notre parois decin quoiqu'ils en aient nue de- On ignore ee qui s'est passé,mats ; qu’ils s'étaient exercés pour se ’ excellentes institutions ; mi douzaine à moins de deux au bout de quelques minutes ou a j faire la main avant la tragédie
effets commencent a être milles de distance, ils ne peuvent ; entendu plusieurs détonations : d’avant d’hier, s de'tout le monde. i pss d'avantage assister aux ot£- d'armes à feu, et presque aussi i| La police de Newark a fa it une
l ’o u r celle de l'E ta t, celle du D is tr ic t Cou- j m ercred i 26 ju i l l e t JH76, d e va n t la M a i- greBsiuuucl e t Jud ic ia ire et. aussi [»oui é lire sou de C o u r do T h ib o d a u x A 12 heures uu Comité E.xécutifde Paroisse | M. /
Sur m otion de M r. J . S- (tonde, un comité ; U n c e r ta in m orceau de te rre , s itu é de c inq est a|»i»omté et autorisé do désigner dans la paroisse L a fo u rch e , r iv e d ro ite ,a
‘ ™'i™' » ..... „„a«,,. * *«1«,Convention de Bâtou Bouge qu i d o it avo ir m e su ra n t(• a m o n ts de lace lia i' 40 de l.ro lieu le 24 du courant.
Pour désigner également cinq délégués A la C onvention de D is tr ic t qu i sera tenu à
mesurant6 arpents de face par 40 de pro tondeur, ussesséo sous le nom do P. R. Mélaeçon.
Cette vente est faite pour recouvrer les taxes d'Etat et. de Paroisse dues par la dite propriété ainsi que les Irais.
Conditions : Comptant.
Th ibodau x à une époque qu i sera fixée posté rieurem ent, et aussi pour nom m er v ing t- doux citoyens qu i com poseront lo Comité E x é c u tif de Parusse- «
Le Président appo inte pour ces comités MM. J . S Goode, C. Lagardc, Sosthèuc Folse, V . V ic k n a ire t O. Barrios.
Le Comité s’é tan t re tiré pour délibérer, d iffé rents orateurs o u i harangué l'assem blée. M r. I. I). Moore dans un discours très é loquent a exposé toutes les fraudes don t a souffe rt l 'E ta t et la Paroisse sous le gouvernem ent rad ica l e t ees révéla tions out fa it une grande im pression sur l ’aud ito ire . M r. j <1*> >,M doivent se ré un ir surnom v j uu eou I l ls ly appelé à l ’ im prov is te a prononcé en ! l'othee de P. E. Lo rio Esq.. dans la
i v il le de T Idhodaux, A I I heures À. M., dans
Comité Démocrate Conscrealeur de la 7 PuroitHe Lafourche , 20 ju ille t 1876. j
Les membres du Comité de Paroisse Démocrate Conservateur de la Paroisse La four ehe. appointés au mass m eeting de L . Mart in , le samedi 15 ju i l le t 1876. sont notifiés
u ’ils doivent se ré un ir samedi 21» du eou
- "P I1français un p e tit discours de circonstance qu i a été fo r t goûté du publie.
Le Président du Com ité pour cho is ir les délégués aux d ifférentes conventions e t du Com ité E x é c u tif de Paroisse, présente les noms suivants.
E ta t e t Cougressionm.l :V a le ry V ickn a tr i'ras im om l Forest Oscar Lépiao L . A . W ehreL. S- A lia i u H . N. Couh.nlio n . J. S. B ill iu J- S P erkinsI. D . Moore J . ,S. ( ioo ilu
C onvention de D is tr ic t :Ernest Rogers Sostbène FolseI I . W . Tabor T lio inas Roussell
J- S. Good«.Com ité B xé cu tifd e Paroisse :
O. Harang James MoranM ereelin Forest Ed. MeeguelM erv ille Rome C. C. W illia m sThomas J. Johnson J S. Perkins
aix. .. ......... I.nle h n t de s'organiser et reeevoir les livres et doeuinents nécessaires pour la d ite o rgan isation et les procédures.
Par ordre ifu Président.S. T. G R IS A M O l’.E, Secrétaire.
W . Prier ,
Clay Knobloeh Arsène Bergeron Hermogène B ernard James Lat'orest
1t. H .A lle n J. S. Goode James W h ite Maj. C. L igardo
Tonnelier, Ti^ei-ville Station, Terre- bonne, Lne.
S o lic ite le p a tn m a g ■ des p la n te u rs e t j du com m erce en géné ra l.
T o u jo u rs e i m a in . Im ueants, l ia r r i ls . I dem i l ia r r i ls . et un g ra n d u s -m lim e n t de ! douves, le to u t A des p r ix trè s m odérés.
2 2 jii ly 6 m
igarMaj. S. T. Grisamoro John S. i ï i l l iu Ernest Rogers Capt. Lew is G niu iiCapt. I I. H. M ichelet V a le ry V ick lia i r.
Le vote ayant été p ris pour chaque délégation, les choix du Comité ont été r a t i fies et les d ites personnes déclarées élues par la Convention.
Sur m otion chaque délégué A la C onvention d ’E ta t est autorisé en cas d ’cm piehe- u ieu t personnel de donner son vote par délé ga lion .
Le Comité E x é c u tif de Paroisse est in fo r mé que c ’est la volonté de cette convention »tue les candidats pour les d ifférents offices de Paroisse soient choisis pur une é lection p ré lim ina ire .
.Mr. H I I. M ichelet offre ensuite les résolu tions suivantes qu i on t été unanimement adoptées.
Attendu Que l'incapac ité et la co rru p tion qu i ont caractarisé l'a dm in is tra tion du p a rt i Républicain depuis les dernières d ix années, o n t enfin éveillé dans l'e s p rit de tons eeux qui désirent le bien de [no tre gou- Vf rnem eut, des craintes sérieuses pour sa perpétu ité , et
A ttendu , Que les masses conservatrices 6e la nation sont m aintenan t convaincues qu ’un changement radica l et im m édia t dans le personnel de l ’adm in is tra tion nationale est absolum ent et indispensablement nécessaire
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