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L’édito h ADN impact La lettre d’info de l’Agence du Don en Nature n°6 - Mai 2012 Actus ADN Appel à la solidarité des entreprises : Charte du Partage et du Don de Produits A l’occasion de la première Journée du Partage et du Don de Produits,initié le 12 avril dernier à l’occasion de ses 3 ans, ADN a fait appel à la solidarité des entreprises en lancant une charte destinée à toutes les entreprises qui souhaitent s’engager dans une solution solidaire d’écoulement de leurs surplus. Retour sur la Première Journée du Partage et du Don de Produits Afin de gagner en notoriété, un spot insti- tuionnel de 30 secondes à été diffusé sur plusieurs grandes TV et radios nationales. ( LCI , BFMTV, BFM business, RMC,etc.) Retrouvez le spot institutionnel en cliquant sur l’image ci-contre. Deux grands témoins ont apporté leur éclairage sur l’innovation sociale d’ ADN. Nous remercions chaleureusement Thierry de la Tour d’Artaise, Président Directeur Général du Groupe SEB et Hugues Sibille, Vice-Président du Crédit Coopératif. A l’occasion de ses 3 ans, l’Agence du Don en Nature a souhaité réunir l’ensemble de ses partenaires : associa- tions, bénévoles et entre- prises mécènes. Près de 300 invités sont venus passer un moments convivial au CENTQUATRE à Paris. Retrouvez toutes les photos de la soirée en cliquant sur les images. Découvrez la vidéo de leur intervention en cliquant ici Lors de cette soirée, nous avons diffusé les résultats de l’étude sur la précarité réalisée par le cabinet de conseil A.T. Kearney pour ADN en 2012. Retrouvez l’étude et son documentaire sur www.adnfrance.org Les Visages de la précarité en France : Bousculons les idées reçues ! Chers tous , Devant le triste constat d’une pauvreté crois- sante en France, notre combat continue, avec vous. Il y a 3 ans déjà, l’Agence du Don en Nature démarrait. Notre vocation était de créer une chaîne de générosité entre les industriels et les associations, en favorisant le mécénat produit. A ce jour, cette initiative se traduit par un impact concret au service des plus démunis. ADN a ainsi redistribué plus de 15 millions d’euros de produits neufs (gels douche, lessives, casseroles, sous vêtements, fournitures scolaires etc…) à près de 300 associations sur toute la France. Tout ceci n’aurait pas été possible sans nos partenaires, qu’il s’agisse de soutien financier, de dons de produits ou de mécénat de com- pétence. Ils sont tous garants du professionna- lisme de notre organisation. Je tiens à remercier également nos bénévoles, des personnalités généreuses, enthousiastes et impliquées, et l’équipe d’ADN, qui s’est étoffée à 6 salariés à ce jour. Tous s’attèlent à servir au mieux notre réseau d’associations, associations à qui je rend hommage pour leur travail de terrain à la fois crucial et formidable. Mais le combat continue, nous devons encore retrousser nos manches. Le fait le plus mar- quant de l’actualité d’ADN ces derniers mois est l’accroissement du réseau d’associations béné- ficiaires, autrement dit de la demande. C’est pourquoi nous avons initié le 12 avril dernier, lors de nos 3 ans, la première journée du par- tage et du don de produits, afin de mobiliser le tissu industriel non alimentaire. Aujourd’hui nous avons besoin de vous pour faire connaître notre initiative solidaire et inno- vante à de nouvelles entreprises. Tous les produits de nécessité courante sont concernés , et particulièrement le linge de mai- son, la vaisselle, la petite puériculture… Je rap- pelle qu’ADN s’est fixé l’objectif d’avoir redonné 100 millions d’euros de produits neufs à l’hori- zon 2015, et cela ne sera possible que si de nou- veaux donateurs nous rejoignent. Merci pour votre mobilisation solidaire, merci de relayer l’action d’ADN autour de vous. Jacques-Etienne de T’Serclaes Conformément à l'article 34 de la Loi 'Informatique et Libertés' n°78-17 du 6 janvier 1978, vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent. Vous pouvez l'exercer en nous adressant une demande écrite à [email protected]

Newsletter ADN#6

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ADN Impact n°6 : Newsletter Mai 2012, Les actualités de l'Agence du Don en Nature

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Page 1: Newsletter ADN#6

L’édito

hADN impactLa lettre d’info de l’Agence du Don en Nature n°6 - Mai 2012

Actus ADN

Appel à la solidarité des entreprises : Charte du Partage et du Don de Produits

A l’occasion de la première Journée du Partage et du Don de Produits,initié le 12 avril dernier à l’occasion de ses 3 ans, ADN a fait appel à la solidarité des entreprises en lancant une charte destinée à toutes les entreprises qui souhaitent s’engager dans une solution solidaire d’écoulement de leurs surplus.

Retour sur la Première Journée du Partage et du Don de Produits

Afin de gagner en notoriété, un spot insti-tuionnel de 30 secondes à été diffusé sur plusieurs grandes TV et radios nationales. ( LCI , BFMTV, BFM business, RMC,etc.)Retrouvez le spot institutionnel en cliquant sur l’image ci-contre.

Deux grands témoins ont apporté leur éclairage sur l’innovation sociale d’ ADN.

Nous remercions chaleureusement Thierry de la Tour d’Artaise, Président Directeur Général du Groupe SEB et Hugues Sibille, Vice-Président du Crédit Coopératif.

A l’occasion de ses 3 ans, l’Agence du Don en Nature a souhaité réunir l’ensemble de ses partenaires : associa-tions, bénévoles et entre-prises mécènes.

Près de 300 invités sont venus passer un moments convivial au CENTQUATRE à Paris.

Retrouvez toutes les photos de la soirée en cliquant sur les images.

Découvrez la vidéo de leur intervention en cliquant ici

Lors de cette soirée, nous avons diffusé les résultats de l’étude sur la précarité réalisée par le cabinet de conseil A.T. Kearney pour ADN en 2012.

Retrouvez l’étude et son documentaire sur www.adnfrance.org

Les Visages de la précarité en France :Bousculons les idées reçues !

Chers tous ,

Devant le triste constat d’une pauvreté crois-sante en France, notre combat continue, avec vous. Il y a 3 ans déjà, l’Agence du Don en Nature démarrait. Notre vocation était de créer une chaîne de générosité entre les industriels et les associations, en favorisant le mécénat produit. A ce jour, cette initiative se traduit par un impact concret au service des plus démunis. ADN a ainsi redistribué plus de 15 millions d’euros de produits neufs (gels douche, lessives, casseroles, sous vêtements, fournitures scolaires etc…) à près de 300 associations sur toute la France.

Tout ceci n’aurait pas été possible sans nos partenaires, qu’il s’agisse de soutien financier, de dons de produits ou de mécénat de com-pétence. Ils sont tous garants du professionna-lisme de notre organisation. Je tiens à remercier également nos bénévoles, des personnalités généreuses, enthousiastes et impliquées, et l’équipe d’ADN, qui s’est étoffée à 6 salariés à ce jour. Tous s’attèlent à servir au mieux notre réseau d’associations, associations à qui je rend hommage pour leur travail de terrain à la fois crucial et formidable.

Mais le combat continue, nous devons encore retrousser nos manches. Le fait le plus mar-quant de l’actualité d’ADN ces derniers mois est l’accroissement du réseau d’associations béné-ficiaires, autrement dit de la demande. C’est pourquoi nous avons initié le 12 avril dernier, lors de nos 3 ans, la première journée du par-tage et du don de produits, afin de mobiliser le tissu industriel non alimentaire.

Aujourd’hui nous avons besoin de vous pour faire connaître notre initiative solidaire et inno-vante à de nouvelles entreprises.

Tous les produits de nécessité courante sont concernés , et particulièrement le linge de mai-son, la vaisselle, la petite puériculture… Je rap-pelle qu’ADN s’est fixé l’objectif d’avoir redonné 100 millions d’euros de produits neufs à l’hori-zon 2015, et cela ne sera possible que si de nou-veaux donateurs nous rejoignent.

Merci pour votre mobilisation solidaire, merci de relayer l’action d’ADN autour de vous.

Jacques-Etienne de T’Serclaes

Conformément à l'article 34 de la Loi 'Informatique et Libertés' n°78-17 du 6 janvier 1978, vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent. Vous pouvez l'exercer en nous adressant une demande écrite à [email protected]

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Zoom sur les partenaires donateurs

Procter & Gamble, un géant industriel à nos côtés depuis notre création

Comment s’est initié votre partenariat avec ADN ?

ADN est venu nous voir dès ses débuts. Nous n’avons pas hésité à nous lancer dans l’aventure à ses côtés car cette mécanique de dons en nature correspondait parfaitement à la démarche que nous souhaitions mettre en place chez P&G : simplification de nos dons de produits, traçabilité, sé-rieux des associations partenaires, utilité sociale évidente…

Comment le partenariat avec ADN s’intègre dans votre dé-marche de RSE?

Le mécénat en nature est une véritable opportunité pour P&G et fait partie intégrante de notre stratégie de déve-loppement durable. Il nous permet d’écouler nos pro-duits utilement, en répondant à un besoin social criant.

Quelles sont les valeurs promues par le groupe P&G et com-ment le partenariat avec ADN y répond ?

Les valeurs qui caractérisent tous les engagements de notre groupe en matière de mécénat sont la proximité, la pérennité et l’innovation, valeurs qui se retrouvent au cœur du partenariat avec ADN.

Quel est le processus du don de produits chez P&G ?

Nous passons régulièrement en revue la rotation de nos stocks, ce qui nous permet de déceler des stocks dormants ou délistés que nous pouvons proposer aux associations. Ceci s’organise par vagues. En plus, nous récupérons les produits dont les emballages sont abi-més par le transport et donc plus vendables. Si le pro-duit à l’intérieur est indemne, nous les mettons de côté afin de les redistribuer aux associations partenaires.

A quelle fréquence P&G effectue des dons de produits à ADN ?

Pour les stocks dormants, nous travaillons par vagues qui sont généralement espacées de 4 à 6 semaines selon les cas et la conjoncture. ADN est l’un de nos partenaires clés et nous essayons donc de proposer des produits à ADN au minimum tous les 3 mois. En ce qui concerne les autres pro-duits nous faisons une proposition dès que nous avons une quantité suffisante (une vingtaine de palettes en général).

Comment le partenariat avec ADN facilite l’écoulement de vos sur-stocks ?

Nous priorisons la donation pour tous nos produits des-tinés au marché français. Le partenariat avec ADN nous permet de réorienter des produits que nous destinions à la destruction sur une multitude d’associations. Cela sim-plifie la chaine logistique, en faisant d’ADN un relais clé.

En savoir plus sur Procter & Gamble

Appel à produits !

Nous cherchons toujours des articles de puériculture, dentifrice, duvets, linge de maison, fournitures scolaires, vaisselle ...

Implanté en France depuis 1954, Procter & Gamble commercialise aujourd’hui de nombreuses marques de produits de grande consommation (Ariel, Mr Propre, Pampers, Duracell, Gillette, head&shoulders, Always, Tampax…), des médicaments délivrés sans ordonnance (Vicks, Fluocaril 250), des parfums (Hugo Boss, Gucci, Lacoste, Dolce & Gabanna, Escada) et des produits capillaires destinés aux salons de coiffure (Wella, Sébastian…). La Société compte environ 2 900 salariés.

Céline Chartier et Hélène CensierDistribution Center

Re t ro u vez l’interview en vidéo en cliquant ici !

Ségolène Moreau et Mireille le ChanuCommunication Corporate & Mécénat

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Coup de projecteur sur Les Petits Frères des Pauvres

Plein feu sur les partenaires associatifs

Depuis 2009 , notre réseau s’est agrandi à près de 300 associations partout en France !

Pourquoi avez vous accepté d’accompagner ADN sur la réalisation de cette étude ?Nous accompagnons ADN depuis sa création pour des missions de nature diverses dont des études et des analyses. La volonté d’ADN de remettre en cause un certain nombre d’idées reçues, de mieux décrire les populations en situation précaire et d’essayer de dégager quelques chiffres clés qui contribueraient à faire passer votre message auprès des entreprises nous semblait la bonne. Il était également opportun de profiter de la soirée anniversaire d’ADN et de la journée de la précarité pour faire la synthèse des études publiées par ailleurs par les associations.

Comment vos collaborateurs sont-ils impliqués?Nos consultants, toujours très enthousiastes pour ce type d’initiatives, participent en complément des projets en cours. C’est une charge supplémentaire et donc évidemment un choix personnel mais c’est également une grande fierté pour notre cabinet de contribuer, modestement, au développement d’ADN. Aussi très nombreux sont ceux qui s’im-pliquent en interne. Cela donne beaucoup de sens à notre action et renforce notre identité. De plus, nous essayons de mettre ADN en relation avec les direc-tions de grandes entreprises auxquelles un cabinet comme le nôtre a plus facilement accès.

Quels ont été vos constats concernant les personnes âgées ?Cette étude pour ADN a fait écho à une autre étude que nous avons menée sur les conséquences du vieillissement de la population concernant les modes et habitudes de consommation. Ici, il s’agis-sait plutôt de montrer que malheureusement, pour un trop grand nombre d’entre eux, le reste à vivre* demeure souvent trop faible même s’ils sont pro-priétaires de leur logement et donc échappent aux statistiques. Contrairement aux idées reçues, un très grand nombre de seniors se retrouvent en situation de précarité...

Olivier Salomon,Directeur chez A.T.

Kearney

Le vieillissement attendu de la population a conduit à faire de l’isolement et de la soli-tude des personnes âgées un enjeu de société (aujourd’hui, les personnes âgées de plus de 65 ans représentent 1/6ème de la population française). En 2011, le gouverne-ment avait nommé la lutte contre la solitude comme Grande cause nationale.Plusieurs études ont été réalisées dans ce domaine afin de mieux appréhender le phé-nomène. Nous souhaitions revenir sur les données consolidées par le cabinet de conseil A.T. Kearney (cf interview ci-contre).En 2011, ce sont plus de 580.000 retraités qui touchaient les minimas sociaux d’un montant inférieur au seuil de pauvreté. D’avoir récemment renommé le « minimum vieillesse » ne change pas la réalité : le minimum garanti aux personnes agées en situa-tion de précarité est actuellement de 777 euros par mois. Ce minimum est inférieur de 18 euros au seuil de pauvreté (égal à 50% du niveau de vie médian - chiffres 2009).

Témoignage de Jean-Louis Moyen, bénévole dans l’association des Petits Frères des Pauvres.

«Le minimum vieillesse ne permet pas à l’heure actuelle de se loger et de vivre. A part une catégorie de retraités qui est propriétaire de son loge-ment et qui peut survivre avec ce minimum, aucun bailleur n’acceptera de recevoir une personne avec un revenu aussi bas. Un hébergement précaire en chambre d’hôtel est déjà trop cher, sans aide. Cette évolution négative est en partie liée à l’évolution du prix du logement. Là où il était encore possible de se loger avec le revenu minimal il y a une bonne

dizaine d’années, aujourd’hui c’est totalement impossible. Il précise : « Les personnes que nous accompagnons ont eu des parcours accidentés : leur car-rière professionnelle a été hachée et incomplète. Bien souvent aucun document n’a été conservé car lorsque l’on est à la rue on perd tout ! Jamais une personne n’a l’ensemble de tous ses trimestres. Je pense en particulier à la situation d’une personne qui lors d’un entretien me disait : «Cela me rappelle l’époque où je partais aux sports d’hiver, j’avais un appartement à la neige… Aujourd’hui, une fois qu’il a versé sa participation finan-cière pour sa chambre d’hôtel, il lui reste environ 300 € par mois pour vivre.»

Le passage à la retraite entraîne ainsi une baisse importante du niveau de vie et du «reste à vivre»* pour ces personnes non propriétaires et sans capital personnel. Cette précarité nouvelle entraîne l’isolement et la réclusion. De plus en plus de personnes âgées se retrouvent peu à peu seules du fait de l’éloignement géographique de la famille et des amis, des décès de l’entourage et d’une mobilité restreinte. Selon une enquête menée en 2007 par le collectif «Combattre la solitude des personnes âgées », 74% de cette catégorie de personnes souffrent du sentiment de solitude lié à l’isole-ment relationnel et/ou géographique.

* Le reste à vivre (également appelé Résiduel) désigne la part des revenus restant à la disposition d’un emprunteur une fois soustrait les charges de remboursement des emprunts.

Retrouvez l’étude «Les Visages de la Précarité : Bousculons les idées reçues» en cliquant sur le logo ci-contreDécouvrez la vidéo de l’étude en première page de notre site internet www.adnfrance.org

DOSSIER SPECIAL PERSONNES AGéES

3 questions à...

Depuis 1946, Les Petits Frères des pauvres accompagnent dans une relation fraternelle, des personnes, en priorité de plus de 50 ans, souffrant de solitude, de pauvreté, d’exclusion, de maladies graves. ADN a choisi de mettre en exergue la problématique de la pauvreté et de l’isolement chez les personnes âgées.

ADN a commandité une étude auprès du cabi-net de conseil A.T. Kearney pour consolider des données existantes et donner un visage aux 8 millions de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté en France.

La précarité des séniors mise en lumière dans une étude réalisée par le cabinet de conseil A.T. Kearney.

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Gros plan sur l’organisation d’ADN

Le suivi des associations du Réseau ADN : un processus rigoureux !

Un contrôle rigoureux s’effectue auprès des associations qui souhaitent rejoindre le réseau d’ADN.

Le processus se décompose en plusieurs étapes :

1 Les associations candidates remplissent un dossier d’adhésion soumis aux chargés de partenariats d’ADN. Ces derniers vérifient le sérieux et la transparence des associations.2 Le Comité d’engagement d’ADN, composé d’adminis-trateurs, de permanents et d’un ancien Commissaire aux Comptes, se réunit toutes les 6 semaines et valide les candidatures.3 Les associations reçoivent ensuite un code leur per-mettant de commander leurs produits via le catalogue en ligne de manière simple et rapide.4 La commande est mise à disposition ou livrée sous 10 jours ouvrés maximum.5 Les permanents ou les bénévoles d’ADN visitent et inte-rogent alors les associations afin d’évaluer leur satisfac-tion et de vérifier que les redistributions s’effectuent bien dans le respect de la convention signée. Dans cette op-tique, ADN s’est dotée d’un nouvel outil : le guide visite qualité.

L’équipe «Partenariats associatifs»

Le multigénérationnel est une valeur au cœur de la philosophie d’ADN. L’association fonctionne par bi-nômes ou trinômes afin qu’il y ait un partage d’expé-riences. C’est un encadrement original et efficace, rassemblant des connaissances et des compétences complémentaires. Voici un exemple avec le pôle parte-nariats associatifs qui rassemble des profils différents.

Frédéric est le doyen du Conseil éco-nomique, social et environnemental. Après une carrière de banquier, de promoteur et de gestionnaire immo-bilier au sein du groupe de la Com-pagnie Bancaire et de la Caisse des Dépôts (Président de la SCIC deve-nue ICADE), il a pris des responsa-bilités dans le secteur associatif et notamment pendant 9 ans celles du Président du Comité de la Charte de Déontologie, des organisations fai-sant appel à la générosité du public.

Issue d’un master en économie so-ciale et développement solidaire, Julie fait partie de l’équipe des chargés de partenariats associatifs d’ADN. A ce titre, elle développe et entretient les relations avec les associations par-tenaires. Son engagement la pousse tout particulièrement vers les problé-matiques liées à l’enfance et à l’ado-lescence, ainsi que vers l’engagement humanitaire plus globalement.

Directeur de la Publication : Jacques-Etienne de T’SerclaesConception, réalisation : Timothée Petitprez

Agence du Don en Nature - 35 Avenue d’Eylau 75116 PARIS Tél : 01 76 21 10 50

Des associations accompagnées par des jeunes en Service Civique

Depuis décembre 2010, ADN est agréée par la Direction Régio-nale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion sociale d’Ile-de-France pour accueillir des jeunes en service civique. Le sta-tut service civique, créé en mars 2010, a pour but de mieux intégrer à la vie citoyenne les jeunes de 16 à 25 ans, en leur propo-

sant des missions de 6 à 12 mois au sein d’associations ou d’établissements publics.Actuellement, Fanny Ollivier et Raphaël Hebenstreit sont en mission chez ADN. Ils sont chargés d’identi-fier des nouvelles associations partenaires et sont régulièrement amenés à se déplacer sur le terrain afin d’établir un suivi personnalisé et créer du lien avec ces associations.

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