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TEMPS FORT CRÉATION DOCUMENTAIRE RENCONTRE AVEC LES RÉALISATEURS DE LA COMPÉTITION DOCUMENTAIRE: Priscila Padilla La eterna noche de las doce lunas Marcela Lordy Ouvir o rio Everardo González Cuates de Australia Lorena Di Natale productrice de Buscando al huemul ANIMÉE PAR EMMANUEL DENIAUD, ÉQUIPE DE PROGRAMMATION DOCUMENTAIRE. LUNDI 18 MARS _ 19H00 TERRA NOVA 19H45_CINÉMATHÈQUE 1 RETOUR SUR HAÏTI Stones in the sun de Patricia Benoit AUTRES FILMS EN COMPÉTITION PROJETÉS AUJOURD’HUI EL IMPENETRABLE de Daniele Incalcaterra et Fausta Quattrini [Argentine, France - 2012 - 1h35] 13H30_ ABC 1 LA PISCINA de Carlos Machado Quintela [Cuba, Venezuela - 2011 - 1h05] 14H10_CINÉMATHÈQUE 1 PROGRAMME COURTS-MÉTRAGES 1 [O duplo, Don Sabás, Rodri et Feijoada completa - 1h25] 15H45_CINÉMATHÈQUE 1 HABI, LA EXTRANJERA de Maria Florencia Alvarez [Argentine, Brésil - 2013 - 1h32] 16H_GAUMONT WILSON Retrouvez tous les jours sur le blog, en vidéo, des anecdotes sur les débuts du festival! www.arcalt.fr/blog ADRIáN SOLAR, ALEJANDRO DíAZ, ANNE-LAURE BELL, CATHERINE BERREST, CHE SANDOVAL, CHRISTOPHE KENDéRIAN, EDGARDO ARAGóN, EITHNE O’NEILL, FERNANDO GUZZONI, FIORELLA MORETTI, FRANçOIS QUENIN, MAGALI VAN REETH, MARIA FLORENCIA áLVAREZ, RAFAEL AIDAR, SAMANTHA YéPEZ, TATIANA FUENTES, TIN DIRDAMAL. ILS SONT ARRIVÉS LA VIE À VAU-L’EAU FERRARI, ARTISTE CORROSIF INTIME ET POLITIQUE Rencontre “Dictatures et violences d’État” Lundi 18 mars_17h_Cave Poésie Invités : Carmen Castillo, réalisatrice, Marco Bechis, réalisateur et Aline Pailler, journaliste à Radio France. (p.56 du catalogue) LA PELíCULA www.cinelatino.com.fr Les 25 es Rencontres de Toulouse le quotidien de Cinélatino La « chupilca del diablo » est une boisson préparée à base d’eau de vie et de poudre. La légende raconte que les soldats chi- liens la buvaient pendant la Guerre du Pacifique ; ses effets leur donnaient des pouvoirs magiques qui les rendaient invin- cibles dans la bataille. Le film nous raconte l’histoire d’Eladio, un vieil homme solitaire qui vit dans sa fabrique d’eau de vie délabrée, en compag- nie de son employé, qui l’aide dans la fabri- cation artisanale de cet alcool. Son négoce ne marche plus comme avant, incapable de s’adapter à la production en série. La rencontre avec son petit-fils pour- rait être l’opportunité de sauver sa fabrique et se rapprocher de sa famille. Civilización retrace l’œuvre de León Fer- rari, « l’artiste argentin vivant le plus important aujourd’hui, de par sa tra- jectoire et son œuvre » explique le réalisateur argentin Rubén Guzmán. Entre images d’archives et entretiens por- tés par la voix de l’actrice Cristina Bene- gas, c’est l’œuvre engagée et politique de l’artiste, aujourd’hui âgé de 93 ans, que le réalisateur a souhaité révéler. Si Ferrari admet avoir été un artiste de l’esthétique, à présent, il ne saurait quali- fier son travail : art ? « politique » ? ou « critique corrosive » ? Il ne cherche plus la beauté mais « l’efficacité du message ». Face à la caméra, il nous confie : « la seule chose que je demande à l’art est de me Au Costa Rica dans les années 1980, en pleine révolution sandiniste, deux fillettes, Claudia et Antonia, passent la frontière qui sépare le Nicaragua du Costa Rica avec leurs parents, activistes révolution- naires. Le récit est construit unique- ment selon le point de vue des enfants, ce qui fait d’un film qui aurait pu être poli- tique une œuvre avant tout émotionnelle. « J’ai voulu lier le politique et l’intime », déclare la réalisatrice Laura Astorga qui reconnaît qu’une grande partie de l’histoire est autobiographique. Tourné en quarante- deux jours, le film doit beaucoup aux liens établis entre les petites filles et l’ensemble de l’équipe. « Les deux enfants n’avaient pas lu le scénario. On leur expliquait au fur et à Cependant, l’écart générationnel fait que cette rencontre se déroule difficilement. La caméra observe et restitue le déve- loppement des personnages et de l’action, nous révélant l’histoire de la résistance impuissante d’un ancien face à l’inexorable passage du temps. Réfugié dans sa maison/fabrique, il affronte la menace de la modernité ; son univers est une île solitaire et dégarnie, entou- rée de gratte-ciel au cœur de Santiago. Ce premier film du jeune réalisateur chilien Ignacio Rodríguez a obtenu le prix du Jury au 19 e Festival International de Valdivia. P.O. permettre de condamner la barbarie avec la meilleure clarté possible ». Entre sculptures, peintures, héliographies et collages, le travail de l’artiste plasticien est global, empreint de sa vie person- nelle et de grands moments d’Histoire. Des moments qui l’ont marqué autant dans son intimité que dans sa vie d’artiste. Pas seulement un film biographique, un chef- d’œuvre, un documentaire plein d’agitation et d’humanité, qui laisse sans voix ! S.C. mesure ce dont il s’agissait et on tournait la scène. C’était aussi un jeu pour elles. » Laura Astorga regrette que le cinéma cos- taricain soit encore balbutiant, avec cinq à dix films par an en raison de financements publics très restreints ; elle espère ce- pendant un tournant grâce à la création d’un fonds de développement de l’audiovisuel en Amérique centrale, Cinergia. Elle pré- pare une autre histoire de femme, intime, « émotionnelle dans un contexte politique ». MF.G. LA CHUPILCA DEL DIABLO IGNACIO RODRÍGUEZ/CHILI 2012/1H42 18 mars_20h_Gaumont Wilson PRINCESAS ROJAS LAURA ASTORGA CARRERA/COSTA RICA 2013/1H49 18 mars_21h25_Gaumont Wilson CIVILIZACIÓN RUBÉN GUZMÁN/ARGENTINE 2012/0H57 18 mars_17h30_ABC 1 Autre projection : Ven 22 mars_12h15_ABC 1 [COMPÉTITION FICTION] La chuplica del diablo est un film de fin d’études. Il a été intégralement réalisé par des élèves de dernière année de l’école universitaire du cinéma. [COMPÉTITION DOCUMENTAIRE] Documentaire produit par Gastón Duprat et Mariano Cohn, réalisateurs de El Artista et L’Homme d’à côté, chacun ayant reçu le Prix du public lors de leur sélection en compétition fiction à Cinélatino 2009 et 2010. [COMPÉTITION FICTION] Un film documentaire sur la révolution sandiniste est programmé les lundi 18, jeudi 21 et samedi 23 mars à la Cinémathèque : Nicaragua… el sueño de una generación de Roberto Persano, Santiago Nacif et Daniel Burak, Argentine, 2012. APÉRO CONCERT 18H30_COUR DE LA CINÉMATHÈQUE JOANDRE CAMARGO TRIO Samba alternatif n ° 3 lundi 18 mars 2013 en partenariat avec 25 ANS DE CINÉLATINO

Pelicula du 18 Mars 2013

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Page 1: Pelicula du 18 Mars 2013

T E M P S F O R T

CRÉATION DOCUMENTAIRERencontRe avec les RéalisateuRs de la compétition documentaiRe:

Priscila Padilla La eterna noche de las doce lunas

Marcela Lordy Ouvir o rio

Everardo González Cuates de Australia

Lorena Di Natale productrice de Buscando al huemul

animée paR emmanuel deniaud, équipe de pRogRammation documentaiRe.

LuNDi 18 MArs _ 19h00

Terra Nova

19H45_CINÉMATHÈQUE 1

RETOUR SUR HAÏTI stones in the sun de Patricia Benoit

A U T R E S F I L M S E N C O M P É T I T I O N P R O J E T É S A U J O U R D ’ H U IEL IMPENETRABLE de Daniele Incalcaterra et Fausta Quattrini [Argentine, France - 2012 - 1h35] 13h30_ ABC 1LA PISCINA de Carlos Machado Quintela [Cuba, Venezuela - 2011 - 1h05] 14h10_CiNéMAthèquE 1PROGRAMME COURTS-MÉTRAGES 1 [O duplo, Don Sabás, Rodri et Feijoada completa - 1h25] 15h45_CiNéMAthèquE 1HABI, LA EXTRANJERA de Maria Florencia Alvarez [Argentine, Brésil - 2013 - 1h32] 16h_GAuMONt WiLsON

Retrouvez tous les jours sur le blog, en vidéo, des anecdotes sur les débuts du festival!

www.arcalt.fr/blog

Adrián SolAr, AlejAndro díAz, Anne-lAure Bell, CAtherine BerreSt, Che SAndovAl, ChriStoPhe KendériAn, edgArdo ArAgón, eithne o’neill, FernAndo guzzoni, FiorellA Moretti, FrAnçoiS Quenin, MAgAli vAn reeth, MAriA FlorenCiA álvArez, rAFAel AidAr, SAMAnthA YéPez, tAtiAnA FuenteS, tin dirdAMAl.

ils sont arrivés

L a v i e à v a u - L ’ e a u

Ferrari, artiste corrosiF

i n t i m e e t p o L i t i q u e

rencontre “Dictatures et violences d’État” Lundi 18 mars_17h_Cave PoésieInvités : Carmen Castillo, réalisatrice, Marco Bechis, réalisateur et Aline Pailler, journaliste à Radio France. (p.56 du catalogue)

LA PELíCuLA

www.cinelatino.com.fr

Les 25es rencontres de toulouse le quotidien de Cinélatino

La « chupilca del diablo » est une boisson préparée à base d’eau de vie et de poudre. La légende raconte que les soldats chi-liens la buvaient pendant la Guerre du Pacifique ; ses effets leur donnaient des pouvoirs magiques qui les rendaient invin-cibles dans la bataille. Le film nous raconte l’histoire d’Eladio, un vieil homme solitaire qui vit dans sa fa brique d’eau de vie délabrée, en compag-nie de son employé, qui l’aide dans la fabri-cation artisanale de cet alcool. Son négoce ne marche plus comme avant, incapable de s’adapter à la production en série. La rencontre avec son petit-fils pour-rait être l’opportunité de sauver sa fa brique et se rapprocher de sa famille.

Civilización retrace l’œuvre de León Fer-rari, « l’artiste argentin vivant le plus important aujourd’hui, de par sa tra-jectoire et son œuvre » explique le réalisateur argentin Rubén Guzmán. Entre images d’archives et entretiens por-tés par la voix de l’actrice Cristina Bene-gas, c’est l’œuvre engagée et politique de l’artiste, aujourd’hui âgé de 93 ans, que le réalisateur a souhaité révéler.Si Ferrari admet avoir été un artiste de l’esthétique, à présent, il ne saurait quali-fier son travail : art ? « politique » ? ou « critique corrosive » ? Il ne cherche plus la beauté mais « l’efficacité du message ». Face à la caméra, il nous confie : « la seule chose que je demande à l’art est de me

Au Costa Rica dans les années 1980, en pleine révolution sandiniste, deux fillettes, Claudia et Antonia, passent la frontière qui sépare le Nicaragua du Costa Rica avec leurs parents, activistes révolution-naires. Le récit est construit unique-ment selon le point de vue des enfants, ce qui fait d’un film qui aurait pu être poli-tique une œuvre avant tout émotionnelle. « J’ai voulu lier le politique et l’intime », déclare la réalisatrice Laura Astorga qui reconnaît qu’une grande partie de l’histoire est autobiographique. Tourné en quarante-deux jours, le film doit beaucoup aux liens établis entre les petites filles et l’ensemble de l’équipe. « Les deux enfants n’avaient pas lu le scénario. On leur expliquait au fur et à

Cependant, l’écart générationnel fait que cette rencontre se déroule difficilement. La caméra observe et restitue le déve-loppement des personnages et de l’action, nous révélant l’histoire de la résistance impuissante d’un ancien face à l’inexorable passage du temps. Réfugié dans sa maison/fabrique, il affronte la menace de la modernité ; son univers est une île solitaire et dégarnie, entou-rée de gratte-ciel au cœur de Santiago. Ce premier film du jeune réalisateur chilien Ignacio Rodríguez a obtenu le prix du Jury au 19e Festival International de Valdivia. P.O.

permettre de condamner la barbarie avec la meilleure clarté possible ».Entre sculptures, peintures, héliographies et collages, le travail de l’artiste plasticien est global, empreint de sa vie person-nelle et de grands moments d’Histoire. Des moments qui l’ont marqué autant dans son intimité que dans sa vie d’artiste.Pas seulement un film biographique, un chef-d’œuvre, un documentaire plein d’agitation et d’humanité, qui laisse sans voix ! s.C.

mesure ce dont il s’agissait et on tournait la scène. C’était aussi un jeu pour elles. » Laura Astorga regrette que le cinéma cos-taricain soit encore balbutiant, avec cinq à dix films par an en raison de financements publics très restreints ; elle espère ce-pendant un tournant grâce à la création d’un fonds de développement de l’audiovisuel en Amérique centrale, Cinergia. Elle pré-pare une autre histoire de femme, intime, « émotionnelle dans un contexte politique ». MF.G.

LA ChuPiLCA DEL DiABLOIGNACIO RODRÍGUEZ/CHILI 2012/1H42

18 mars_20h_gaumont Wilson

PriNCEsAs rOjAsLAURA ASTORGA CARRERA/COSTA RICA 2013/1H49

18 mars_21h25_gaumont Wilson

CiviLizACióNRUBÉN GUZMÁN/ARGENTINE 2012/0H57

18 mars_17h30_ABC 1

Autre projection : ven 22 mars_12h15_ABC 1

[compétition fiction] La chuplica del diablo est un film de fin d’études.

Il a été intégralement réalisé par des élèves de dernière année de l’école universitaire du cinéma.

[compétition documentaire] Documentaire produit par Gastón Duprat

et Mariano Cohn, réalisateurs de El Artista et L’Homme d’à côté, chacun ayant reçu le Prix du public lors de leur sélection en compétition fiction à Cinélatino 2009 et 2010.

[compétition fiction] Un film documentaire sur la révolution

sandiniste est programmé les lundi 18, jeudi 21 et samedi 23 mars à la Cinémathèque : Nicaragua… el sueño de una generación de Roberto Persano, Santiago Nacif et Daniel Burak, Argentine, 2012.

APÉRO CONCERT18H30_COUR DE LA CINÉMATHÈQUE

JOANDRE CAMARGO TRIOSamba alternatif

n°3 lundi 18 mars 2013

en partenariat avec

25 ans de cinélatino

Page 2: Pelicula du 18 Mars 2013

ConCeption graphique : MArtinA SAntuAriMise en page : MArtinA SAntuAri et SilviA CABACophoto : niCo FroMent et niCo PArent

Loin de ses racines

Ha ï t iens en ex i lEntre raisons économiques, politiques, sociales ou encore familiales, forcée ou choisie, la migration latino-américaine représente 13% des flux migratoires dans le monde aujourd’hui. Le cinéma offre alors un regard intimiste et politique, à mi-chemin entre réalité et fic-tion, emportant le spectateur dans l’univers particu–lier des migrants. Avec une dizaine de films, la Muestra Migra tions invite ainsi à suivre le quotidien de personnes déracinées, souffrant d’un déchirement affectif, à tra-vers leur voyage à la recherche d’un nouvel El Dorado. Un voyage semé d’embûches dans Sin nombre où deux drames sont subtilement liés : une famille qui traverse le Mexique pour rejoindre la terre promise des États-Unis et un membre du gang la Mara, connu pour sa violence, qui tente de lutter contre sa condition de “pandillero”. Le documentaire Le Rideau de sucre, quant à lui, dresse le portrait de toute une génération mélancolique de la belle époque de Cuba. La Terre des hommes rouges amène le spectateur au Brésil chez les indiens Guaranis qui ten-tent de récupérer les terres ancestrales qui leur ont été spoliées. Toute une série de documentaires et de fiction sur des sujets qui ne laissent pas indifférent. A.C.

Stones in the sun raconte les effets de la dictature sur ceux qui l’ont fuie : trois histoires d’Haïtiens confrontés à un pas-sé violent dans un présent de luttes et d’espoir. Dans les années 1980, Duvalier est encore au pouvoir mais les opposants, soutenus par la diaspora, engagent des luttes qui sont violemment réprimées. Le film a été tourné à Jacmel, centre de la culture en Haïti, avec les étudiants du Ciné Institut. « Ils ont trouvé des acteurs, des lieux de tournage, ils ont fait les costumes et les décors aussi bien qu’un assistant metteur en scène et un machiniste », s’enthousiaste la réalisatrice Patricia Benoit. Histoire de dictature et histoire de migrations, Stones in the sun vient faire écho aux films programmés dans la Muestra Cinéma et politique. MF.G.

CHANGEMENT

AGENDA DES RENDEz-vOUS

lundi 18 mars à 14h20 à la Cinémathèque : le film el sonido del eco en version originale sera sous-titré en espagnol et non pas en anglais.

en Amérique latine, la fréquentation des salles de cinéma est d’environ 0,6 entrées par personne par an, alors qu’en France, en moyenne, elle est de 3 entrées par personne par an.

Pour en savoir Plus : revue Cinémas d’amérique latine n°20.

Tous les jours à l’eNTrée de la CiNémaThèque

les médiaTeurs de l’aCCueil publiC soNT heureux de vous iNformer,

vous CoNseiller eT éChaNger aveC vous. ILS vOUS ATTENDENT !

06 48 01 73 43

MAtAr A todoS « C’est incroyable que ça soit vrai. » Ben

lA PiSCinA « un film très humain. » Marcel

lA ChuPilCA del diABlo « ça pourrait tellement être vrai. » Clémence

don SABAS (Court 1.) « Superbe film, on comprend tout sans aucune explication. » Françoise

el iMPenetrABle « un film kafkaïen. » Alexandre

L ’ A v I S D E S S P E C T A T E U R SSaviez-vouS que ?

P a L a B R a S :

Diana au bord de la piscine :“ Hoy es un buen día

para hablar. ”

“ Aujourd’hui c’est un bon jour pour discuter. ”

DireCteur De publiCation : FrAnCiS SAint-dizier CoorDination générale : Muriel juStiSCoorDination : lAurA Sol, MArie-FrAnçoiSe govin et SoniA Conti

assistants De réDaCtion : MArie-FrAnçoiSe govin et CédriC léPineréDaCtion : AnAïS ChAtellier, PAulA oroStiCA, MArie-FrAnçoiSe govin et SAlSABil ChellAli

14h GAuMONt WiLsON enfance clandestine pRésenté avec un sous-titRage spécifique enRichi, vsm (veRsion souRds et malentendants).

soirÉe

c i n É L a t i n o

dAnS le FilM LA PISCINA

impRimé paR nos soins. ne pas jeteR suR la voie publique!

MuEstrA MiGrAtiONs

uN évéNEMENt EN PArtENAriAt AvEC riO LOCO

stONEs iN thE suNPATRICIA BENOIT/HAÏTI - ÉTATS-UNIS 2012/1H35

18 mars_19h45_ABC 1

Présence de l’acteur, le poète James Noël qui a écrit récemment La Migration des murs. Rencontre à la librairie Terra Nova le mardi

19 mars à 19h pour la sortie de son livre Le Pyromane adolescent.

leS ChAnSonS PoPulAireS « encore une réussite de nicolás Pereda. » Cédric