NOVEMBRENaissaNcEsLe 22, Tilann Decaux

DécèsLe 27, Georges Petit

DécEMBRENaissaNcEsLe 2, Inès YchéLe 3, Emma BaillyLe 6, Elouen BrasseletLe 6, Leandra DuboisLe 8, Pierre-Louis LamyLe 10, Elio AndreoLe 12, Gwendal Blochet GaultierLe 14, Manon ChauviereLe 16, Pauline GuillemerLe 16, Nolan Leboidre TruffertLe 21, Timéo DubusseLe 24, Kayron BonelloMaRiagELe 24, Jean-Christophe Archer & Florence FormentelliDécès Le 7, Martine Bouvier épouse LagadecLe 19, Rachelle Privat veuve CaillardLe 20, Emile Giquel

JaNViERNaissaNcEsLe 9, Côme Bazin- - FénéronLe 17, Chloé LegrainLe 19, Matéo MillotLe 22, Firdaws AzzouLe 24, Lola NéeLe 26, Amjad LambarkiLe 26, Juliette DuperronLe 28, Mila Mellier- -Le BorgneDécès Le 4, Auguste NouetLe 14, Yvette Legrand veuve LouvelLe 14, Hélène Martin veuve JouanLe 15, Simone Brier épouse FréreuxLe 17, Roger DenieulLe 18, Marcel BarbotinLe 21, Madeleine Daniel veuve Guimond

FéVRiERDécèsLe 1er, Marie Gabillard veuve SimonneauxLe 5, Thérèse Richer veuve Bertault

Etat Civil Sommaire

Rencontrez vos élus

VIE MUNICIPALE 4-6Conseil municipal des 3 décembre 2010 et 7 février 2011

VIVRE À PACÉ 7-21Vœux aux forces vivesRévision simplifiée du PLUExtention des vestiaires et des tribunesGendarmerie de PacéSyndicat intercommunal du bassin de La FlumeConvention des mairesEpicerie socialeLes espaces verts communaux

VIE SCOLAIRE 22-23Restauration scolaire

VIE CULTURELLE 27-31Libre en fête à la médiathèqueEcole de musique et de danseConcert de ZAZ

VIE SPORTIVE 32-3312ème trophées sportifsTournoi international de basket les 26 et 27 marsCross Rennes Métropole - Pacé

L’EXPRESSION DE L’OPPOSITION 34

Le Maire, Paul Kerdraon : sur rendez-vous

Les adjoints : le samedi à la mairie de 10h à 12h

26 février Jean-Paul Lefeuvre (voirie, transport et bâtiments)

5 mars Jacqueline Langé (vie associative)

12 mars Hervé Depouez (finances et sports)

19 mars Michel Garnier (conseiller délégué aux transports)

et Jean-Pierre Chuberre (conseiller délégué aux économies d’énergie et déplacements doux)

26 mars Jacques Aubert (urbanisme et développement durable)

2 avril Philippe Rouault (développement économique et prospective)

9 avril Ingrid Simonessa (affaires scolaires et de la jeunesse)

16 avril Hervé Depouez (finances et sports) et Michel Garnier (conseiller délégué aux transports)

23 avril Jean-Paul Lefeuvre (voirie, transport et bâtiments)

30 avril Jacqueline Langé (vie associative)

Le jeudi de 10h à 11h30 : Agnès Danset (action sociale)

Les élus de l’opposition : à la mairie de 10H30 à 12 H

16 mars Nelly Beteille-Oellers

2 avril Gil Desmoulin

François André, Conseiller Général : permanence à la Mairie de Pacé

les mercredis 23 février, 6 avril et 18 mai, de 17h à 18h.

Vivre à PacéDirecteur de la publication : Paul KerdraonRédacteur en chef : Alain ChaizeMairie de Pacé : 11, avenue de BrizeuxBP 94138 • 35741 Pacé Cedex • Tél. 02 23 41 30 00 Imprimerie GPO - Pacé • ISSN 1269 - 5254Imprimé sur papier 100 % recyclé.

www.ville-pace.fr

Don du sangCollecte de sang : lundi 18 avril à la Grange du Logis de 14h30 à 19h.

ViVRE À Pacé i Février 20114

VIE MUNICIPALE

Débat d’orientations budgétaires : trois grands axes d’ investissements

Les conseillers ont pris acte des orientations budgétaires 2011, présentées par Hervé Depouez, adjoint aux sports, finances et administration générale. Dans son préambule, Hervé Depouez a rappelé le contexte économique actuel difficile, avec une crise toujours présente, et a insisté sur la nécessité pour la commune d’être vigilante vis-à-vis de la gestion des finances locales.Les recettes de fonctionnement liées aux impôts locaux vont augmenter en 2011 en raison de l’actualisation des bases, décidée au niveau national, de l’ordre de 2% et de l’augmentation du nombre de biens assujettis à Pacé. Pour les recettes pro-venant de l’Etat et des autres collectivités, une grande prudence s’impose. A ces recettes s’ajoutera un legs exceptionnel d’un montant de 360 000 €. L’évolution des taux des impôts locaux sera examinée dans le cadre du budget. L’objectif est de ne pas les augmenter. Si une augmentation est nécessaire, elle sera modérée.Au niveau dépenses de fonctionnement, le principal poste concerne les frais de personnel qui représentent plus de 46% des dépenses, le rapporteur souhaite que son taux d’accroissement soit compris entre 3 et 3,5%. Concernant les autres dé-penses, leur taux d’accroissement sera de l’ordre de 2 à 3% mais Hervé Depouez a d’ores et déjà a précisé que certaines associations devront être plus aidées du fait de la disparition des subventions versées par certaines collectivités.

Concernant les investissements, il a précisé qu’ils porteront sur trois grands axes :4 L’enfance, la jeunesse et les sports avec la création entre autres d’un préau et l’extension des sanitaires à l’école Guy Gérard, l’extension des vestiaires tribunes au COSEC… 4 Des déplacements facilités et sécurisés avec les voiries et réseaux autour de l’EHPAD de la Touche Milon, plusieurs aménagements de voiries importants no-tamment rues des îles Kerguelen, de l’Herbager, de la Planche Fagline, bd Dumaine de la Josserie,…4 La sécurité avec l’extension rénovation de la GendarmerieIl a ajouté que la commune continuera ses acquisitions foncières, notamment dans le bourg et ce afin d’assurer la maîtrise nécessaire à son futur réaménagement.« Nous devons répondre aux besoins nécessaires pour que le service public dont nous avons la charge soit assuré » dit Hervé Depouez « Mais les moyens dont nous dis-posons nous rappellent qu’il y a lieu de faire des choix et que nous devons préserver l’avenir, en n’oubliant pas que nous sommes des citoyens et contribuables ».Le maire remercie Hervé Depouez pour cette présentation complète et claire. Concernant les augmentations des demandes de subvention des associations, Ca-therine Sinquin souhaite savoir si le montant global a été chiffré et poursuit en di-sant qu’elle s’inquiète du gel des dotations de l’Etat. Hervé Depouez répond que ce

sera aux élus de savoir ce qu’ils peuvent accorder aux associations et il ajoute que si l’on veut maintenir un tissu associatif pacéen, il faudra obligatoirement aider plus certaines associations. Concernant les gels des dotations, il rappelle que le Conseil Général a déjà baissé l’ensemble de ses subventions de 10% l’an dernier.« Avec seulement 2,4 M€ de dépenses réalisées sur le budget investissement en 2010 par rapport au 7,7 M€ prévus, votre budget manque de sincérité », dit Gil Desmoulin qui ajoute que cette présentation n’est que comptable.

Hervé Depouez répond qu’il ne faut pas confondre le DOB avec le débat sur le bud-get qui lui va dans le détail de toutes les dépenses. Concernant la différence entre l’investissement prévu et le réalisé en 2010, il précise que certaines opérations ont dû être retardées pour des questions entre autres techniques, mais que la plupart des gros travaux ont été engagés durant le second semestre 2010 ou le seront pro-chainement. Le Maire poursuit en précisant que tous les budgets sont préparés et réalisés très honnêtement. Il ajoute que concernant les grands projets, un délai de 2 à 3 ans est quasi incontournable entre leur lancement et la livraison

aménagement de voiries rues des iles Kerguelen, Herbager, Planche Fagline, Bd Dumaine de la Josserie

Jacques Aubert a présenté l’opération d’aménagement des rues des îles Kerguelen, Planche Fagline, Herbager avec le Boulevard Dumaine de la Josserie. Il précise que ces aménagements sont liés au développement de la ZAC de Beausoleil, qui en-traîne une surcharge du trafic sur l’avenue de Beausoleil. Il rappelle que la concep-tion de cette ZAC prévoit le principe de répartition des flux entre les grands axes (Champalaune, Beausoleil, Crespinière et future zone de la Touraudière).

Cette opération consiste à réaménager l’intégralité des voiries, à construire un nouveau réseau d’eau pluviale (diamètre 1200) en remplacement du diamètre 800 actuel et à effacer les réseaux aériens (télécom, basse tension, éclairage public).Il a précisé que les largeurs des chaussées et conditions de circulations retenues sont les suivantes : 4 rue de l’Herbager : maintien du sens unique entrant, largeur de chaussée de 4 mètres et trottoir en rive sud,4 rue de la Planche Fagline : maintien du sens unique entrant, largeur de chaus-sée de 3,50 mètres et trottoir en rive est,4 rue des Iles Kerguelen : mise à double sens, largeur de chaussée de 5.50 mètres et trottoir en rive ouest,4 boulevard Dumaine de la Josserie / Iles Kerguelen : aménagement d’un double carrefour giratoire.Le coût au stade d’avant-projet est estimé à 1 127 221.00 € HT.

Il conclut en disant que ces aménagements, qui devraient faciliter la sortie de la rue des îles Kerguelen sur le boulevard Dumaine de la Josserie, devraient inciter les automobilistes à utiliser l’avenue de la Crespinière, récemment réaménagée.Jean-Pierre Chuberre dit qu’il lui semble dangereux de vouloir régler les problèmes actuels sans avoir esquissé d’autres solutions. « Il faut répartir le trafic sur les différents axes de la ZAC de Beausoleil, notamment sur celui Crespinière – Kerguelen qui a un trafic de sorties important du fait du secteur est de Beausoleil, des déplacements vers l’école privée et de la Touraudière », dit le Maire. Il poursuit en indiquant que l’étude faite par la SETUR montre que la création d’un double giratoire à la sortie de la rue des îles Kerguelen, minimisera l’emprise au sol et que cette technique fonctionne très bien ailleurs.Vote 23 pour et 6 abstentions

Conseils municipaux des 13 décembre 2010 et 7 février 2011poursuite des investis sementsLors du dernier conseil municipal de 2010, trente trois dé-

libérations ont été présentées. Plusieurs concernaient les fixations des tarifs 2011 pour la restauration scolaire, les garderies d’enfants et études, les tarifs du centre de loisirs, la location des salles communales, le marché, la médiathèque entre autres. Lors du conseil du 7 février, le débat d’orienta-tion budgétaire a permis de dessiner les grandes lignes du budget 2011. Les conseillers ont aussi pris acte des rapports 2009 relatifs, au centre Communal d’Action Sociale, aux ac-tivités de Rennes Métropole et à la collecte et traitement des déchets. Au début de ce conseil, le capitaine L’Huillier, com-mandant la brigade de Pacé, est venu présenter le rapport d’activités 2010 de la Gendarmerie de Pacé qui vous est pré-senté page 13 de ce bulletin.

ViVRE À Pacé i Février 2011

VIE MUNICIPALE

Médiathèque : nouveaux tarifsPar 26 voix pour et 3 abstentions, les conseillers ont approuvé l’augmentation des tarifs de la médiathèque (limitée à 1 € pour les adultes), proposée par Gaëlle Gué-rin, adjointe à la vie culturelle et présentée ci-dessous.Gaëlle Guérin a rappelé que la dernière augmentation des tarifs remonte à 2003 et qu’en 2009 le conseil avait été décidé la gratuité pour les 18-25 ans et pour les as-sistantes maternelles de la commune. Elle a précisé que sur ces 7 dernières années les charges financières de la médiathèque avaient augmenté de 30%.Loïc Le Fur dit qu’il trouve, qu’à prestations identiques, les prix des abonnements à la médiathèque de Pacé sont supérieurs à ceux des communes extérieures. Le Maire lui répond que ces tarifs sont plutôt attractifs et qu’ils favorisent ainsi l’accès à la médiathèque. Gaëlle Guérin ajoute qu’au niveau national, 18% de la popu-lation fréquente les médiathèques ou bibliothèques, alors qu’à Pacé, 50% de la population y vient. « Ce taux prouve sans doute l’intérêt supplémentaire des Pacéens pour leur médiathèque » conclut-elle.

Ecole guy gérard : construction d’un préauIngrid Simonessa a donné connaissance du projet de construction d’un préau et du réaménagement des sanitaires au groupe scolaire élémentaire Guy Gérard.Ce projet consiste à construire un préau d’une surface d’environ 170 m2 dans le pro-longement de l’auvent existant et à réaménager les sanitaires afin d’en augmenter le nombre, aujourd’hui insuffisant au regard des effectifs de l’école.Le coût prévisionnel des travaux pour cette opération est estimé à 150 000 € HT.Elle a informé que cette opération pouvait être subventionnée par le ministère de l’Intérieur à hauteur de 10 000 € HT.Le financement de cette opération sera donc assuré de la manière suivante : sub-vention de l’Etat : 10 000 € et participation de la commune : 140 000 € Vote à l’unanimité

Zac de Beausoleil : compte-rendu 2009Les conseillers ont pris acte du rapport 2009, présenté par Jacques Aubert et Jé-rôme Launay, concernant la ZAC de Beausoleil.Au 31 décembre 2009 :4 880 autorisations de construire ont été délivrées sous la forme d’habitat collec-tif (667), intermédiaire (127) ou individuel groupé aidés (86) et 313 pour les lots individuels. Ces 1 193 autorisations de construction représente 73% du nombre de logements de la ZAC.4 462 logements aidés ont été autorisés soit environ 76% des logements aidés prévus.4 825 logements sur les 1 631 prévus ont été livrés, soit 51% du nombre prévi-sionnel des logements de la ZAC. En 2009, ce sont 172 logements qui ont été livrés soit 10,5% du nombre total.Jérôme Launay a précisé que ces données sont conformes aux objectifs définis lors de la contractualisation de la convention d’aménagement signée le 3 juillet 2003.

Conseils municipaux des 13 décembre 2010 et 7 février 2011poursuite des investis sements

Revalorisation des tarifs

scolaire et périscolaireQuatre délibérations fixant les tarifs 2011 pour le restaurant scolaire, les garderies et études d’enfants aux groupes scolaires, l’accueil au centre de loisirs et les tarifs des sorties proposées par ce dernier ont été adoptés.Tous ces tarifs vous sont présentés page 23 de ce bulletin.Votes : 28 pour et 1 contre pour les tarifs de la restauration scolaire. A l’unanimité pour les autres.

Marché hebdomadaireLes tarifs passent de 0,92 à 0,93 € le mètre linéaire, pour les commerçants dont la présence est régulière et de 1,30 à 1,32 pour ceux de passage. Pour ces derniers, les frais de branchements électriques passent à 1,02 €. Pour les abonnés le prix du branchement trimestriel passe de 12 à 12,18 €.Vote à l’unanimité.

Travaux de voirie et busage, raccordement à l’égoutLes montants de la participation et frais de raccordement à l’égout, sont réévalués (tarifs sont disponibles en Mairie ou sur le site internet de la commune).Vote à l’unanimité.

Location de remorqueLe tarif de location des remorques passe de 35 à 36 €. Au 31 octobre 2010, la remorque avait été louée 77 fois.Vote à l’unanimité.

cimetièreLes nouveaux tarifs concernant les concessions de terrain et cinéraire au cimetière ainsi que les coûts de location de caveau communal. Ils sont dis-ponibles en Mairie ou sur le site internet de la commune.Vote à l’unanimité

salles communalesLes nouvelles grilles tarifaires de locations des salles du Ponant, de la Grange du Logis, de l’Espace Le Goffic et de la Métairie sont disponibles en Mairie ou sur le site internet de la commune.Vote à l’unanimité.

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VIE MUNICIPALE

ViVRE À Pacé i Février 2011

Rapport d’activités 2009 du centre communal d’action sociale

En préambule à la présentation du rapport d’activités 2009 du CCAS, Agnès Danset, adjointe à l’action sociale, a rappelé que cet organisme est un établissement public administratif dont la présence est de droit dans chaque commune ou en intercom-munalité. Ensuite elle a présenté le compte administratif 2009. Les dépenses de fonctionnement qui se sont élevées à 104 359 € concernent principalement l’at-tribution de bons alimentaires, le repas des aînés, les logements d’attente et les subventions aux associations (notamment à la crèche parentale « Pomme d’Api »). Les recettes de fonctionnement se sont élevées à 131 996 € et proviennent princi-palement de la subvention communale. Agnès Danset a ensuite présenté les quatre misions obligatoires du CCAS :4 En destination des personnes âgées et handicapées, pour lesquelles le CCAS participe à l’instruction des dossiers d’aide sociale légale en liaison avec le CDAS. 4 Concernant le logement social, pour lequel 31 logements locatifs HLM ont été attribués en 2009. Elle a précisé que sur Pacé, le parc locatif social comporte 326 lo-gements auxquels s’ajoutent 15 autres logements sociaux, 13 logements conven-tionnés et les 46 logements de la résidence du Parc, soit un total de 400, ainsi que 114 logements en accession sociale.4 Pour la gratuité des transports, avec 200 dossiers traités.4 Pour l’attribution des coupons sports.Ensuite elle a présenté les missions municipales qui concernent :4 Les bourses d’activité attribuées à 48 familles pour un montant de 5 038,68 €.4 Le repas des aînés, auquel ont participé 375 personnes pour un coût de 10 752 €.4 La gestion des trois logements d’attente.4 Les subventions aux associations à caractère sociale pour 34 490,73 €.4 Les bons alimentaires attribués à 33 familles pour un montant de 3 352,27 €En 2009 a été créé l’espace jeux, mis à la disposition des assistantes maternelles et des familles, accompagnées des enfants de moins de 3 ans dont elles ont la respon-sabilité. Une animatrice anime cet espace dans lequel les enfants peuvent jouer avec des jouets mis à disposition par le CCAS. Ce rapport est disponible en mairie.

Haut débit : installation d’une antenne WimaxLe Conseil Général souhaitant développer l’accès internet haut débit pour tous, et lutter ainsi contre les « zones blanches », Alain Chaize, conseiller délégué à la communication et au multimédia, informe qu’une demande d’implantation d’une antenne Wimax, au lieu dit « Le Patis – la Taillanderie », a été sollicitée. L’emprise au sol de cette installation technique, qui sera gérée par Altitude Infrastructures,

sera de 1 m2. Une antenne d’une hauteur d’environ 15 m permettra de couvrir un rayon de 20 km tout autour. Le niveau d’émissions de cette antenne est compris entre 0,14 et 0,2 volt/mètre soit très inférieur à la norme de 0,6 volt/mètre. Vote à l’unanimité.

Rapports 2009 de Rennes MétropoleJean-Paul Lefeuvre, adjoint a la voirie, transports et bâtiments, a présenté le rap-port d’activités 2009 relatif au prix et à la qualité du service public d’élimination des déchets de Rennes Métropole. En 2009 196 372 tonnes de déchets ménagers, soit 476 kg par habitant ont été collectés sur l’ensemble de la métropole rennaise, soit une augmentation de 4% par rapport à 2008. Il a ensuite présenté les chiffres 2009 de la collecte sur Pacé (en kg/hab/an).

Moyenne Rennes Métropole

Pacé Evolution Pacé (2008/2009)

Ordures ménagères 210 201 - 15%

Collecte sélective 53 62 - 16%

Collecte verre 32 39 + 5%

Jean-Paul Lefeuvre a fait remarquer que la quantité d’ordures ménagères produites par les Pacéens était pour la première fois, depuis plusieurs années, en dessous de la moyenne métropolitaine, ajoutant que cela correspondait à l’un des objectifs fixé par Rennes Métropole qui est de réduire en 5ans, la quantité des déchets pro-duits de 7%.Paul Kerdraon a présenté le rapport d’activités 2009 de Rennes Métropole.Ces deux rapports sont consultables en mairie

installation d’un parc à vélos avenue d’OuessantMichel Garnier, conseiller délégué aux transports a indiqué qu’un abri vélos ouverts, d’une capacité de 10 places, sera installé courant février à l’arrêt de bus Ouessant.Il a indiqué que cet investissement d’un montant de 12 941 € HT sera financé à 50% par le Conseil Régional et à 25% par Rennes Métropole, le reste étant à la charge de la commune.Vote à l’unanimité

Conseils municipauxsuite

Emplois d’été à la mairie de Pacécandidatures à adresser dès maintenantaccueil de loisirsLes animateurs stagiaires ou titulaires du BAFA, qui souhaitent travailler ou ef-fectuer leur stage pratique à l’accueil de loisirs de Pacé pendant les vacances sco-laires de cet été, doivent faire parvenir leur candidature au plus tard le 25 mars.

services techniquesDans le cadre des besoins saisonniers d’été (période juillet - août 2011), la ville de Pacé recherche des jeunes gens motivés, hommes ou femmes, âgés d’au

moins 18 ans, pour effectuer des travaux d’entretien auprès des services muni-cipaux des Bâtiments, Espaces verts, Complexes sportifs et Accueil de loisirs.

Si vous êtes intéressé(e), merci d’envoyer une lettre de motivation + C.V. en précisant vos dates de disponibilité en juillet et en août.

Date limite d’envoi : le 31 mars 2011. Les lettres de motivation, accompagnées d’un C.V,

sont à adresser à Monsieur le Maire : Mairie de

Pacé, BP 94138, 35741 PACÉ Cedex.

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 20117

VIVRE À PACÉ

Au cours de cette soirée qui a rassemblé plus de 400 personnes, le Maire a pré-senté les différentes réalisations 2010, particulièrement dans les domaines de l’enfance, du social et du développement durable. Il a notamment rap-

pelé la construction du nouveau préau du groupe scolaire du Haut Chemin, la mise en service du portail famille, la création d’une épicerie sociale et le développement des pistes cyclables avec la présentation du plan vélo.En 2010, le Ponant a fêté son dixième anniversaire : « Le Ponant a accueilli de nom-breux artistes. Les associations pacéennes avec notamment l’école de musique, la

MJC, la Rassemblée ainsi que « La Compagnie de l’Etourdi » et « Les Flagrants Délires » pour le théâtre, ont marqué ce dixième anniversaire avec des évène-ments très appréciés du public. La 15ème Semaine des Arts a été également un succès avec une semaine des arts des enfants très réussie ».Le Maire a également évoqué le dynamisme du centre bourg avec l’arrivée de cinq nouveaux commerçants : Coiffure « Imp’Hair et Pace », le tabac-presse, le bar PMU le Pacéen, le salon de coiffure « Unic Eco » et l’opticien « Où sont mes lunettes ? ». Les projets 2011 ont également fait l’objet d’une présentation, avec notam-ment l’extension de la gendarmerie, la construction du nouvel EHPAD (Etablis-sement d’Hébergement pour les Personnes Agées Dépendantes), l’extension des vestiaires et des tribunes et la construction du village des artisans sur Rive Ouest. Il a aussi évoqué les projets et les services mis en œuvre en partenariat au sein de Rennes Métropole et du SYRENOR (Syndicat de Recherche et d’Etu-de du Nord-Ouest de Rennes). « La commune ne vit pas seule dans son coin, ce serait impossible. Rennes Métropole exerce des compétences importantes telles

que les transports collectifs, la collecte et le traitement des déchets, la politique du logement... Nous travaillons dans le cadre du SYRENOR, avec les communes de Betton et Saint-Grégoire, au projet de de piscine intercommunale. »Le Maire a rappelé que les 40 ans de l’intercommunalité rennaise ont été célébrés en 2010 et que le Docteur René Léon, Maire de Pacé a joué un rôle très actif lors de la création du District en 1970, tout en veillant à préserver l’identité des com-munes.

Vœux aux forces vives poursuite des projets

Le Maire, Paul Kerdraon, entouré de ses conseillers munici-paux, a présenté ses vœux aux acteurs économiques, éduca-

tifs, sociaux, associatifs et administratifs lors de la tradition-nelle soirée qui s’est déroulée le jeudi 13 janvier au Ponant.

David Rué, Sergent-chef et chef du service des sapeurs-pompiers volontaires, a présenté le SDIS avec quelques chiffres évocateurs.

Le SDIS comprend 93 CIS (Centres d’Incendie et de Secours) dont le centre de Pacé. 2 900 sapeurs-pompiers volontaires et 620 sapeurs-pompiers professionnels assu-rent les secours sur le département d’Ille-et-Vilaine. Le CIS de Pacé appartient au groupement Nord-Ouest, compagnie Rennes Beauregard. Les pompiers assurent 47 000 interventions chaque année, soit 125 par jour au niveau du département. 70% des interventions se déroulent dans la journée. Les secours à personnes repré-sentent 70% des interventions. Les incendies nécessitent 3 650 interventions.

Les Pacéens sont venus à la rencontre des sapeurs-pompiers volontaires le samedi 11 décembre, dans le cadre de la Sainte Barbe (patronne des sapeurs-pompiers). A cette occasion, un rassemblement a eu lieu devant l’espace Le Goffic pour une revue du matériel et des pompiers. En 2010, les pompiers de Pacé sont intervenus

313 fois dont 218 secours à victimes, 38 accidents routiers, 37 incendies, 6 apidés et 14 opérations diverses.Le Maire a ensuite récompensé le sergent Cyrille Béliard et le caporal-chef Alain Besnard de la médaille d’argent pour leur 20 années de service accomplies. Le Ma-jor Roger Letué, chef de centre depuis 1998 et qui avait débuté sa carrière comme pompier volontaire à Pacé en 1983, a fait part de sa décision de mettre un terme à ses fonctions à compter du 1er janvier 2011pour raisons personnelles. Il poursuit néanmoins son engagement en tant que pompier volontaire jusqu’en 2013. Il est remplacé à la tête du centre de Pacé par l’adjudant-chef Pascal Philoux.

Les promotions grade de caporal-chef : Charles Alban Legoff, Nicolas Godart, Fabien Renardgrade de caporal : Kevin Le Hello, Yoann MarionLes recruesFabien Chales, Mikaël Rault, Nicolas Mauriaucourt, Claude Rot.

Le SDIS (Service Départemental d’Incendie et de Secours) d’Ille-et-Vilaine a organisé le 21 septembre une réunion au

centre de secours de Pacé (place de la Chalotais), afin de ren-contrer et d’échanger avec de futurs pompiers volontaires.

Sapeurs-pompiers de Pacé 313 interventions en 2010

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

Révision simplifiée du PLUmise en compatibilité avec le SCoT

Lors de la révision du PLU, le projet urbain validé par le Conseil municipal n’avait pas pu être fidèlement traduit dans son Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) et au règlement graphique dans la mesure

où le Schéma Directeur alors en vigueur ne le permettait pas. En effet, le projet urbain prévoit un projet d’extension urbaine au nord et à l’ouest de la commune, dans les secteurs de Champagne et de La Pie Neuve.Depuis, le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) du Pays de Rennes approuvé le 18 décembre 2007, rend possible ces opérations. Par ailleurs, ce SCoT a identifié des « champs urbains » dont la vocation est de :>>> Protéger les sites agricoles et naturels les plus convoités pour les pérenniser et les conforter dans leur espace et leurs fonctions,>>> Favoriser le développement des usages de loisirs verts intercommunaux de proximité, compatibles avec l’activité agricole et les enjeux écologiques au cœur de réseau de communes qu’ils contribuent ainsi à renforcer.

Protéger les champs urbainsLes « champs urbains » doivent ainsi être préservés durablement en les protégeant intégralement de toute urbanisation future.

Sur le territoire communal, il existe deux « champs urbains », à savoir ceux de Champalaune et de la Flume. Or, il s’avère que celui de Champalaune comprend des terrains qui sont classés au Plan Local d’Urbanisme en zone 2AU sur le secteur de La Touraudière.Afin de mettre le PLU en compatibilité avec le SCoT, il est donc nécessaire de res-treindre ce zonage sur l’emprise de ce champ urbain de Champalaune.Il s’agit donc à la fois de restreindre la zone 2AU de La Touraudière et d’augmenter les zones potentiellement constructibles sur le secteur de Champagne et de La Pie Neuve, sans toutefois porter atteinte à l’économie générale du PADD ni aggraver les risques de nuisance, tout en restant dans l’enveloppe maximale d’extensions urbaines autorisés au SCoT.

Cette procédure répond ainsi à l’article L. 123-13 du Code de l’Urbanisme qui pré-voit qu’une révision simplifiée peut être mise en œuvre lorsque la procédure a pour seul objet la réalisation d’une construction ou d’une opération à caractère public ou privé présentant un intérêt général ou encore d’extension des zones construc-tibles.L’objectif affiché est donc de « mettre le PLU en compatibilité avec le SCoT du Pays de Rennes ».

La révision du Plan local d’Urbanisme (PLU) de la commune de Pacé a été approuvée par une délibération du Conseil

municipal en date du 2 mars 2007 puis a fait l’objet de mo-difications approuvées les 15 juin 2009 et 17 mai 2010 et de révisions simplifiées approuvées les 15 juin et 14 décembre 2009.

Carte de la commune de Pacé

secteur du Bois de champagne

secteur de la Touraudière

secteur de la Pie Neuve

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

Une réunion publique le 28 janvierUne réunion publique a été organisée à l’Espace Le Goffic le 28 janvier afin d’ex-pliquer les différents points de cette révision simplifiée. En introduction, le Maire, Paul Kerdraon, a rappelé le cadre de cette révision simplifiée : « Le SCoT est établi à l’échelle du Pays de Rennes qui comprend 67 communes. Cette révision fait l’objet d’une enquête publique, comme le projet de modification, du lundi 14 février au ven-dredi 18 mars. Les Pacéens auront donc la possibilité d’exprimer leurs points de vue et aussi de rencontrer le commissaire enquêteur ».

Jacques Aubert, adjoint au maire chargé de l’urbanisme et du développement dura-ble a rappelé la nécessité de poursuivre le développement de Pacé tout en économi-sant le foncier : « A l’horizon 2020, il est prévu d’accueillir 60 000 nouveaux habitants sur le Pays de Rennes, il est important de faire un effort de densification afin notamment d’économiser les espaces ruraux. Le SCot préconise de réaliser 25 logements à l’hectare (45 logements à l’hectare à Rennes). Les projets d’extensions urbaines au nord et à l’ouest de la commune, ont pour vocation d’accueillir de nouveaux habitants sur le secteur de Champagne et de nouvelles activités sur le secteur de la Pie Neuve » (à l’horizon 2020).

secteur de la Touraudièreavant modifications

Zone agricolechamps urbains

Nouvelle limite au Nord de la zone urbanisable

après modifications

Enquêtes publiques : Modification et révision simplifiée du PLU

Par arrêtés du 25 janvier, le Maire de Pacé a ordonné l’ouverture de l’enquête publique sur le projet de modification n°3 (règlement littéral et documents graphiques) et celle du projet de révision simplifiée n°4 (mise en compatibi-lité avec le SCoT du Pays de Rennes) du Plan Local d’Urbanisme (PLU).A cet effet, M. Yves Monnier, chargé de direction à l’Institut Régional du Pa-trimoine, a été désigné en qualité de commissaire-enquêteur par le président du tribunal administratif de Rennes.Ces deux enquêtes se déroulent à la mairie de Pacé depuis le lundi 14 février

et jusqu’au vendredi 18 mars inclus, aux jours et heures ha-bituels d’ouverture.Le commissaire-enquêteur recevra en outre personnellement en mairie, les lundi 14 février de 9h à 12h, samedi 5 mars de 9h à 12h, vendredi 18 mars de 14h30 à 17h30.Pendant la durée des enquêtes, les observations sur le projet de la modification n°3 ou sur celui de la révision simplifiée n°4 du Plan Local d’Urbanisme pourront être consignées sur le registre d’enquête afférent déposé en Mairie. Elles peu-vent également être adressées par écrit au commissaire-enquêteur à la Mairie.Le rapport et les conclusions du commissaire-enquêteur relatifs à ces enquê-tes pourront être consultés à l’issue de ces dernières.

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

L’extension des vestiaires et des tribunes du centre sportif Jean-Paul Chasse-bœuf va prochainement débuter. L’extension de la tribune représente la créa-tion de 60 places (dont 4 places pour personnes handicapées). Il est prévu

également de créer deux vestiaires pour les joueurs de football et un vestiaire pour les arbitres.A l’étage, un foyer sera aménagé avec une vue directe sur le terrain. Cet espace pourra aussi être utilisé par les associations sportives pour tous types de réunions. Sous les tribunes, des espaces de rangement seront aménagés. Une buvette de 22m² sera créée ainsi que des sanitaires publics.La livraison de ce chantier est prévue en fin d’année,

construction d’un local de rangement supplémentaire

Un local de rangement supplémentaire est également en cours de réalisation au complexe sportif Chassebœuf. Les tra-vaux ont débuté en décembre et seront achevés au deuxième trimestre.

D’une superficie de 120 m², sur deux niveaux, ce nouveau local remplacera à terme les deux structures en tôle situées le long de la piste cyclable qui seront démontées. Il servira en partie à entreposer les matériels nécessaires à l’entretien des espaces verts du complexe sportif. L’autre partie sera utilisée par les footballeurs comme local de rangement.

A l’issue de ce chantier, l’ensemble des containers, installés provisoirement pour ranger du matériel, seront supprimés.

Le recensement permet de connaître la population résidant en France. Il four-nit des statistiques sur le nombre d’ha-

bitants et sur leurs caractéristiques : âges, profession exercée, déplacements quoti-diens, conditions de logements…Le recensement INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques) s’est déroulé à Pacé du 21 janvier au 20 fé-vrier 2010. Seize agents, employés par la Mairie, ont été mobilisés pour se rendre au domicile des Pacéens et remettre les documents nécessaires à la mise en œuvre du recensement. Les réponses sont restées confidentielles. Elles ont été transmises à l’INSEE et ne peuvent pas faire l’objet d’un contrôle administra-tif ou fiscal.

Mesurer la vitalité d’une commune

Les résultats de ce recensement de la population ont été communiqués à la Mairie par les services de l’INSEE mi-décembre. La population recensée s’élève à 9 961 habitants. Mais ce n’est pas ce chiffre qui est retenu pour la population légale au 1er janvier 2011. En effet, afin d’assurer une égalité de traitement en-tre les communes, la population de chacune d’elles est calculée à une même date : celle du milieu de la période 2006-2010, soit le 1er janvier 2008. Par consé-

quent, le chiffre de la population qui a été publié par décret au journal officiel est de 9 366 habitants au 1er janvier 2011 et non de 9 961 habitants. Pour la commune de Pacé, depuis le recensement de la population effectué en 2005, la population lé-gale est actualisée tous les ans, par l’INSEE, en tenant compte notamment des permis de construire accor-dés. En conséquence et par extrapolation, l’INSEE aboutit à un chiffre de 9 366 habitants au 1er janvier 2008. La validation du recensement de 2010 devrait être effective au 1er janvier 2013. Le recensement permet de mesurer la vitalité d’une commune, de fournir des statistiques précises qui permettent notamment de mieux adapter les infras-tructures aux besoins de la population et qui servent au calcul des aides financières de l’Etat (dotation for-faitaire,…).

Extension des vestiaires et des tribunes, local de rangementde nouveaux espaces pour les sportifs

Recensement 2010 de la population Pacé compte 9 961 habitants Etat civil 2010

Le tableau de l’état civil démontre une certaine stabilité depuis 2008. C’est le nombre de maria-ges qui fluctue le plus.

Naissances Mariages Décès

1990 66 34 20

1991 76 38 32

1992 78 26 40

1993 75 28 48

1994 83 30 51

1995 73 27 35

1996 107 43 56

1997 97 37 46

1998 118 39 48

1999 116 40 49

2000 115 35 50

2001 90 44 47

2002 79 42 64

2003 68 28 57

2004 68 31 48

2005 84 28 51

2006 94 20 53

2007 104 24 39

2008 112 29 47

2009 106 43 41

2010 106 32 46

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

Gendarmerie de Pacé une équipe efficace et disponible

En 2010 la gendarmerie a traité 798 délits et crimes, dont 316 en délinquance de proxi-mité sur la circonscription. Les faits délictueux

sont en hausse par rapport à l’année 2009 :> 53,72% des faits sont commis sur Pacé, soit 383 faits (332 faits en 2009)> 10,52% des faits sont commis sur L’Hermitage, soit 75 faits (69 faits en 2009)> 10,52% des faits sont commis sur la Chapelle des Fougeretz, soit 75 faits (84 faits en 2009)> 9,11% des faits sont commis sur Montgermont, soit 65 faits (86 faits en 2009)> 16,13% des faits sont commis sur Saint Gilles, soit > 115 faits (109 faits en 2009)Au cours de l’année 2010, la brigade a constaté 6 ac-cidents (6 blessés, aucun mort). En 2009 le bilan était de 6 accidents (6 blessés et 1 mort).

356 arrestations et 81 gardes à vue

Le capitaine François L’Huillier a souligné la progres-sion du taux de résolution des faits constatés en ce qui concerne la délinquance de proximité : « Le taux de résolution de 41,77% pour la délinquance de proxi-mité est une grande satisfaction (17,2% au niveau national). En 2010, nous avons procédé à 356 arresta-tions et 81 gardes à vue. L’équipe de la brigade de Pacé compte 23 agents pour une circonscription de 23 760 habitants ».Pour l’ensemble des crimes et délits, le taux de résolu-tion des faits constatés est de 51% en 2010 (41,6% au niveau national). La Brigade de gendarmerie de Pacé s’illustre par son efficacité et sa disponibilité. « Je suis

fier de commander une équipe aussi efficace. Les taux élevés de résolution sont le résultat d’un investissement et d’une disponibilité importants de la part de tous les gendarmes », souligne le capitaine François L’Huillier.Le capitaine Marc de Rémond du Chelas a tenu égale-ment à féliciter la brigade de Pacé : « Le travail accom-pli est remarquable et je félicite les gendarmes de Pacé pour ces très bons résultats ».

Les gendarmes de Pacé intègreront prochainement de nouveaux espaces qui permettront de travailler dans de meilleures conditions.

Au nom des maires présents, Paul Kerdraon a remer-cié les gendarmes pour leur efficacité et leur dispo-nibilité.

Les 23 gendarmes de Pacé travailleront, dans quelques mois, dans un nouvel espace beaucoup plus confortable et bénéficieront de 9 nouveaux logements. Outre la rénovation des anciens locaux, 184 m² supplémentaires sont en cours

de réalisation.

Pour compléter les 10 logements déjà existants et permettre la résidence des gen-darmes sur place, 9 logements T4 et T5 seront réalisés par l’organisme Aiguillon Construction. Leur construction vient de démarrer. Cinq petits logements, pris en charge par la commune, sont aussi en cours de construction pour les gendarmes adjoints.

Les 184 m² supplémentaires ajoutés aux locaux actuels rénovés amélioreront les conditions de travail des gendarmes et leur offriront des locaux fonctionnels.Ce projet s’inscrit dans une démarche d’économie d’énergie et de respect de l’en-vironnement. Les toitures de l’extension seront ainsi végétalisées, le plafond de la partie existante isolé et les menuiseries extérieures changées. L’eau chaude des 5 logements des gendarmes adjoints sera produite par l’énergie solaire.Les travaux débutés en mai seront totalement achevés au printemps prochain.

Extension de la gendarmerieles travaux achevés au printemps

Le capitaine Marc de Rémond du Chelas, Commandant de la com-

pagnie de Rennes, a procédé à une inspection de la gendarmerie de Pacé, le jeudi 27 janvier. A cette occa-sion, le capitaine François L’Huillier a présente le bilan des activités de la brigade de Pacé pour l’année 2010.

Logements en construction.

Locaux de la gendarmerie en chantier.

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

Syndicat intercommunal du bassin de la Flumeun contrat territorial pour la qualité de l’eau

Le contrat territorial de bassin versant est l’outil privilégié pour mettre en place des actions multi-thématiques, cohérentes à l’échelle du bassin versant. Il s’agit d’un engagement sur 5 ans entre le porteur de projet, le Syndicat In-

tercommunal du bassin de la Flume d’une part, et les partenaires techniques et

financiers à savoir l’Etat, la région Bretagne, le département d’Ille-et-Vilaine et l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne d’autre part. Le contrat territorial du bassin versant de la Flume est conclu pour la période 2010-2014. Il a été signé officiellement le 1er février à la mairie de Pacé en pré-sence du Maire, Paul Kerdraon, de Jean Paul Lefeuvre, Président du syndicat inter-communal du bassin de la Flume et des représentants des partenaires financiers et de l’Etat : Jean-Louis Rivoal, délégué régional de l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne, Thierry Burlot, vice-président chargé de l’environnement du Conseil Régional de Bretagne, Christian Couet, vice-Président chargé de la qualité de vie et du dévelop-pement durable du Conseil Général d’Ille-et-Vilaine, Jean Cezard, directeur dépar-temental des Territoires et de la Mer d’Ille-et-Vilaine.

Le syndicat intercommunal du bassin de la Flume porte le projet

Le bassin versant de la Flume couvre une superficie de 135 km2 et s’étend sur 13 communes, toutes situées dans le département d’Ille-et-Vilaine. La Flume est un affluent rive droite de la Vilaine. D’une longueur totale de 35 km, la Flume prend sa source au nord-ouest de Rennes, à la limite entre les communes de La Chapelle-Chaussée et Cardroc, et se jette dans la Vilaine en amont des Landes d’Apigné, sur la commune du Rheu. En comptant les affluents, le bassin versant est drainé par 113 km de cours d’eau.Le Syndicat Intercommunal du bassin de la Flume a été créé en 1980. Douze com-munes adhèrent actuellement au Syndicat dont six qui ont rejoint le syndicat en 2009. Le Syndicat a pour mission d’assurer ou de promouvoir toutes les actions nécessaires à la conservation, à l’amélioration et une meilleure utilisation du pa-trimoine hydraulique.

Ses actions consistent notamment à :4 Restaurer et entretenir les cours d’eau du bassin versant, 4 Réaliser tout ouvrage de lutte contre les inondations,4 Engager, initier toutes les actions de reconquête de la qualité de l’eauLes principaux enjeux du bassin versant sont la reconquête de la qualité de l’eau, La préservation et la restauration des milieux aquatiques, La lutte contre les inon-dations.

Les volets d’actions du contrat territorial du bassin versant de la Flume

Le Contrat territorial du bassin versant de la Flume est constitué de plusieurs volets d’actions :Volet agricole :> Réduire les quantités de produits phytosanitaires utilisées pour la protection des cultures : promotion des techniques de désherbage mécanique, diagnostic initial

La directive européenne cadre sur l’eau donne la priorité à la protection des milieux aquatiques, en demandant de

veiller à la non-dégradation de la qualité des eaux et d’at-teindre d’ici 2015 leur bon état général. Afin d’atteindre les objectifs de qualité fixés par la directive européenne, des ac-tions de reconquête de la qualité de l’eau et des milieux aqua-tiques doivent être menées sur l’ensemble du bassin versant de la Flume et ciblant toutes les activités à l’origine de cette dégradation.

De gauche à droite : Jean-Louis Rivoal, Thierry Burlot, Christian Couet, Jean-Paul Lefeuvre et le Maire, Paul Kerdraon.

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

des exploitations pour réduire de 40 à 50 % sur 5 ans les quantités de produits phytosanitaires utilisées (dans le cadre des mesures agro-environnementales) ;> Optimiser la fertilisation azotée des cultures : il s’agit principalement de réaliser différents types d’analyses pour aider les agriculteurs à ajuster leurs plans prévi-sionnels de fumure aux besoins des cultures (analyses des reliquats azotés dans les sols, analyses de fumiers, pesées d’épandeur) ;Volet actions des collectivités (Projets collectifs communaux de développement durable) :> Réduire les quantités de produits phytosanitaires utilisées par les collectivités et les particuliers : promotion des techniques de désherbage alternatives, de jar-dinage sans produits phytosanitaires, mise en place d’une charte communale de désherbage ;> Améliorer la gestion des eaux pluviales : promotion des bonnes pratiques de gestion des bords de route, des dispositifs d’infiltration pour la gestion des eaux pluviales pour limiter les rejets directs dans les cours d’eau ;> Améliorer l’efficacité des équipements d’assainissement collectifs et non collec-tifs : suivi des améliorations engagées par les communes, communautés de com-munes et/ou syndicats d’assainissement.Volet milieux aquatiques : > Restaurer et entretenir les cours d’eau et zones humides : La Flume et ses prin-cipaux affluents sont concernés par ces travaux de restauration-entretien, soit 94 km de cours d’eau.

actions d’accompagnement :> Suivre et exploiter les indicateurs de la qualité de l’eau,> Coordonner l’ensemble des actions,> Communiquer sur les actions mises en place dans le cadre du contrat.

Le contrat territorial du bassin versant de la Flume est un contrat multi-financeur. Le montant total de mise en œuvre des ac-tions inscrites au contrat territorial s’élève à 1 148 496 €. > L’agence de l’eau Loire-Bretagne sub-ventionne à hauteur de 45 % les actions du contrat, soit plus de 510 000 €.> La région Bretagne à hauteur de 15 %, soit près de 170 000 €.> Le conseil général d’Ille-et-Vilaine à hauteur de 14 % pour un montant de 162 500 €.

Le restant, soit 26 %, est financé par le Syndicat Intercommunal du bassin de la Flume et potentiellement d’autres financeurs tels que la fédération de pêche et l’Europe.

L’association «Terres en Villes» a organisé le mardi 30 novembre une rencontre nationale sur le thème des formes agricoles et urbaines dans la ville terri-toire en partenariat avec notamment Rennes Métropole, le Pays de Rennes

et la Chambre d’Agriculture d’Ille-et-Vilaine. En préambule de cette rencontre, une délégation d’élus et d’agriculteurs a été reçue par Annie et Bertrand Sauvée pour une présentation de leur exploitation. Plusieurs débats-ateliers et tables rondes à l’Hôtel de Rennes Métropole ont été organisés le mardi à l’Hôtel de Rennes Mé-tropole.

Rencontre internationale « Terres en Ville »visite d’une exploitation agricole

Le nouvel Établissement d’Hébergement des Per-sonnes Agées Dépendantes (EHPAD) sera achevé au printemps 2011.

L’EHPAD, construit par la SA HLM Les Foyers, et géré par l’association « Les Chenus », regroupera sur le site du château de la Touche Milon, les établissements de Pacé, de Gévezé et de La Chapelle-des-Fougeretz. Ce projet répond aux besoins de vie spécifiques de per-sonnes âgées. 107 places ont été prévues : 92 places d’hébergement, dont une unité Alzheimer. 15 places supplémentaires pour les accueils de jour et les tem-poraires.

Les travaux de réseau dans l’allée de la Touche Milon ont été effectués en octobre et novembre. Les travaux

de surface dans l’allée et le parc de la Touche Milon / Avenue Pinault sont en cours de réalisation depuis le mois de décembre et se prolongeront jusqu’à la fin du premier trimestre 2011. La voirie et le traitement paysager sont pris en charge par la commune.

EHPADle nouvel établissement livré au printemps

Annie et Bertrand Sauvée présentent leur exploitation.

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

Convention des Mairesdes logements basse consommation

à l’été 2012

En France, l’habitat et le secteur tertiaire représentent 21% des émissions de gaz à effet de serre et 45% de la consommation d’énergie finale (dont les 2/3 pour le chauffage). Les énergies finales sont les énergies se situant en fin de

chaîne de transformation de l’énergie.En moyenne, un logement construit ces dernières années a une consommation de 110 kWh/m²/an contre 300 kWh/m²/an pour les logements construits avant 1980. L’objectif BBC (Bâtiment Basse Consommation) signifie une consommation maximum de 55 kWhep*/m²/an pour un logement neuf (88 kWhep/m²/an pour les logements anciens) et doit être mis en œuvre en 2012. L’objectif à moyen terme est de concevoir et construire des bâtiments à énergie positive.Cela constitue un défi de taille puisqu’il s’agit, d’une part de construire pour tous et à des coûts supportables des logements rejetant moins de gaz à effet de serre et moins consommateurs en énergie. D’autre part, il faudra adapter l’ensemble du parc immobilier existant à ces nouvelles exigences et au changement climatique par : 4 la rénovation, 4 l’amélioration de l’isolation, 4 l’adaptation des moyens de chauffage...

Il conviendra également que chacun adopte de nouveaux comportements plus économes en énergie.Par rapport à un objectif global de diminution de 20% des rejets de CO2 et d’écono-mies d’énergie, le parc des logements existants à rénover représente un potentiel de plus de 20 millions d’habitations. L’effort doit donc porter principalement sur le logement existant puisque, en moyenne, 400 000 logements neufs voient le jour chaque année.

« BBC pour tous » sur la tranche 4 de BeausoleilDans le prolongement des engagements pris par la commune à travers la conven-tion des Maires, signée en 2010, Pacé s’est fortement engagée dans la démarche

initiée au niveau de Rennes Métropole pour un habitat moins « énergivore ». Un programme dénommé « BBC pour tous à partir de 2012 : construire ensemble la qua-lité ordinaire de demain » a été élaboré et vise quatre objectifs principaux :4 construire des bâtiments « Basse consommation » reproductibles et généralisa-bles à partir de 2012 pour les constructions neuves et les bâtiments anciens,4 concilier performance énergétique, prise en compte de l’évolution des modes de vie et maîtrise des coûts dans un processus de qualité,4 mettre en place de nouvelles méthodes de travail, en intégrant davantage la chaîne de construction,4 renforcer le rayonnement de l’agglomération rennaise.

L’aménagement de la tranche 4 de la ZAC de Beausoleil a été retenu pour intégrer cette opération ainsi que sept autres réalisations sur le territoire de la métropole.La tranche 4 de la ZAC de Beausoleil, en cours de viabilisation, comportera donc un programme de maisons et de logements intermédiaires basse consommation. Il sera lancé au printemps et les premières maisons livrées pour l’été 2012.

* ep : énergie primaire

Par délibération en date du 14 mai 2009, le Conseil Mu-nicipal, à l’unanimité, a décidé de s’engager résolument

dans la voie de la réduction de ses émissions de CO2, à la de-mande de l’Union Européenne et comme de nombreuses cités et collectivités de l’espace Européen. La commune a pris des engagements précis répertoriés dans un Plan d’Engagement Énergie Durable (PAED) qui regroupe différents domaines d’action.

Image virtuelle de Bâtiment Basse Consommation (BBC).

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

Epicerie sociale inaugurée le 17 décembre

Les bénévoles de l’association L’Escale, les mem-bres de la commission des affaires sociales, du CCAS, du CDAS et différents représentants d’as-

sociations de solidarités sont également venus pour s’associer à cette initiative de solidarité alimentaire visant à aider les Pacéens en difficulté.L’épicerie sociale est ouverte depuis le mercredi 24 novembre et, lors de cette inauguration, Michel Gais-lin a rappelé son fonctionnement : « Pour bénéficier de cette aide alimentaire, les personnes doivent contacter les services sociaux, CCAS ou CDAS afin de constituer les dossiers et ouvrir les droits. L’épicerie sociale est appro-visionnée par la banque alimentaire et nous revendons les produits 10% du prix en magasin ».

Fort investissement des bénévoles

Cette initiative est le fruit d’une réflexion coordonnée par Agnès Danset qui a souligné l’importance de cette aide pour les personnes en difficulté : « L’épicerie socia-le distribue des denrées alimentaires avec des participa-tions minimes qui permettent d’éviter l’assistanat. C’est aussi un lieu de rencontres, d’échange et d’écoute ».Le Maire Paul Kerdraon a tenu à remercier tous les partenaires qui ont permis de mettre en œuvre l’épi-cerie sociale : « Cette initiative a vu le jour grâce notam-ment à l’investissement des bénévoles de l’association à laquelle se sont jointes les associations de solidarité de la commune. Des enseignes commerciales ont aussi apporté une aide matérielle très appréciée pour l’amé-nagement de l’épicerie. »L’épicerie sociale est ouverte le mercredi tous les 15 jours de 14h30 à 17h30, dans l’ancien restaurant sco-laire, rue Chateaubriand.

L’épicerie sociale, appelée « L’Esca-le », installée dans l’ancien restau-

rant scolaire, avenue Chateaubriand, a été inaugurée le vendredi 17 dé-cembre par Michel Gaislin, président de l’association dont la vocation est de gérer ce service, en présence du Maire Paul Kerdraon, de Agnès Dan-set, adjointe au Maire chargée des af-faires sociales, et de nombreux élus.

> contact :

CCAS – Mairie de Pacé, 11 avenue Brizeux

35740 Pacé. Tél. : 02.23.41.30.00.

Crèche parentale « Pomme d’Api »mise en place d’un accueil occasionnel

La crèche Pomme d’Api est une crèche paren-tale. Elle est en effet gérée par une associa-tion formée par les parents.

La mise en place de la Prestation de Service Unique (PSU) par la CAF (Caisse d’Allocations Familiales) instaure un nouveau mode de calcul du financement de la crèche et incite à plus de souplesse pour l’accueil des enfants. En conséquence, un fonctionnement d’accueil oc-casionnel est mis en place (en plus du fonction-nement habituel) pour des enfants extérieurs à l’association, en particulier pendant les vacances scolaires.Les renseignements sur les places disponibles ainsi que les modalités d’accueil sont à deman-der à Emilie Desdoit, directrice de la crèche (02-23-41-39-55).

L’enseigne « Où sont mes lunettes ? » a ouvert ses portes dans le centre bourg le mardi 23 novembre. Magali Guillet, opticien-ne, n’a pas hésité lorsque le local situé à côté du tabac-presse

s’est libéré : « J’ai voulu saisir cette opportunité pour ouvrir un com-merce proche des gens. Le centre bourg est dynamique et regroupe de nombreux commerces, on est dans le cœur de Pacé ».Magali Guillet travaille avec Céline Le Roux également opticienne, dans un magasin à la décoration à la fois contemporaine et chaleu-reuse. Les Pacéens y trouveront une offre élargie de lunettes pour hommes, femmes et enfants, ainsi que des lentilles (la deuxième paire de lunettes est acquise pour 1 €). Les dernières nouveautés en marques et en design séduiront certainement bon nombre de clients.

Où sont mes lunettes ?une nouvelle enseigne dans le centre bourg

Infos-Parentspermanences au CDAS

Les Infos-Parents sont des réunions d’infor-mations collectives, animées par Véroni-que Le Boulc’h-Duault (environ 2 heures)

et organisées pour apporter des réponses à vos questions :4 Qui peut accueillir votre enfant ?4 Comment préparer cet accueil ?4 Quel est le coût ?4 Quelles sont les aides ?4 Quelles sont les démarches à effectuer ?

Les enfants sont les bienvenus !

calendrier des permanencesLes mercredis à 18h00 au CDAS (Centre Dépar-temental d’Action Sociale), boulevard Dumaine de la Josserie (entrée rue Jean-Baptiste Guérin) à Pacé : 23 février, 30 mars, 13 avril, 25 mai, 22 juin.

Permanence téléphonique le mardi de 9h

à 12h au 02 99 27 61 50.

Accueil le jeudi de 14h à 17h : uniquement

sur rendez-vous au 02 99 27 76 41.

Magali Guillet et Céline Le Roux

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VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

16 agents entretiennent les 75 ha d’espaces verts communauxune équipe polyvalente pour une gestion durable

Pacé, deuxième commune de Ren-nes Métropole par sa superficie, possède 75 ha d’espaces verts.

Leur gestion au quotidien nécessite les interventions d’une équipe polyvalente et compétente. Sous la responsabilité de Yannick Lecoq, 15 agents sont en charge de l’entretien de ces espaces naturels et urbains. Les missions qui incombent à cette équipe, répartie en trois zones géographiques (Nord, Sud et Est), sont de cinq ordres :4 L’entretien des espaces verts (tonte des gazons, taille des arbustes, désherbage des massifs...),4 L’amélioration et la restructuration des espaces verts (engazonnement, planta-tion, clôtures, murets, dallages...),4 Le fleurissement urbain (annuelle, bisannuelle, bulbes, mélange fleurie),4 Les petits travaux d’élagage et d’abattage4 La maintenance des espaces sportifs (terrains de football en herbe et stabilisé, piste d’athlétisme...)

Respect de l’environnement et réduction des coûtsLe développement durable est au cœur de toutes les actions menées par le service des espaces verts. « Ces dernières années, nous avons par exemple réduit de façon significative les volumes de déchets verts déplacés et ce en investissant dans des ton-deuses mulching et des broyeurs de branches », explique Yannick Lecoq. D’autres actions ont intégré le fonctionnement quotidien du service qui s’est totalement réorganisé ces dernières années. Pour gagner en efficacité, des outils ont été réa-lisés en interne :

1. Un plan de désherbageIl permet d’organiser la réflexion de la commune sur la définition de secteurs où le désherbage est nécessaire. Depuis plusieurs années, les techniques de désherbage non polluantes (sans utilisation de pesticides) ont été généralisées, aboutissant à une réduction de 91,5 % des surfaces traitées. 2. Un plan d’entretienIl définit des objectifs d’entretien. La technique de désherbage est adaptée au ni-veau de tolérance de la végétation spontanée. Trois types de zone ont ainsi été établis avec chacune sa préconisation de traitement spécifique.3. Un plan de gestion différenciéLa mise en place de ce plan pour l’ensemble des espaces verts a pour objectif de faire évoluer les pratiques horticoles standard en intégrant un souci écologique à la conception et à la gestion de ces espaces. Cela se concrétise par exemple par la

réduction du nombre de fauchages des bords de route ou encore le développement des prairies fleuries dans un souci de respect de la biodiversité. Les eaux pluviales récupérées à l’espace Le Goffic et au complexe sportif sont, quant à elles, utilisées pour l’arrosage des massifs et des terrains de football. Toutes ces actions font réali-ser des économies substantielles à la collectivité.

Des surfaces à traiter en pleine croissanceDu fait du fort développement que connaît la commune, notamment dans le quar-tier de Beausoleil ou sur Rive Ouest, le service des espaces verts doit s’occuper de surfaces en constante augmentation. Pour faire face à ce surcroît de travail, la com-mune doit nécessairement faire appel à des sous-traitants. Ainsi, les travaux d’en-tretien des chemins de randonnées et des zones naturelles sont principalement confiés à un chantier local d’insertion (Espace Emploi) qui travaille en collaboration avec un agent de la voirie propreté.Certains travaux de tailles et de tontes sont eux réalisés par une entreprise sous-traitante, principalement dans les derniers lotissements rétrocédés à la commune (notamment les premières tranches de la ZAC Beausoleil).Quant à l’entretien des grands alignements d’arbres et le nettoyage d’arbres re-marquables, c’est une entreprise possédant la certifi-cation « Qualipaysage » qui intervient en com-plément du travail réalisé par l’équipe communale d’élagage.

Les espaces verts en chiffressurface totale : 75 ha (divisée en 3 zones géographiques : Nord, sud et Est) 4 Espaces verts urbains : 45 ha 4 Espaces naturels : 30 ha 4 40 000 m² d’arbustes 4 500 m² de fleurs (annuelles et bisannuelles) 4 5 000 arbres environ (d’alignement et isolés)

Tonte des gazons, taille des arbustes, élagage, fleurisse-ment urbain, maintenance des espaces sportifs exté-

rieurs... les tâches des agents de l’équipe d’entretien des espaces verts sont nombreuses. Vous les avez d’ailleurs forcément vus à l’œuvre sur la commune. Voici un petit tour d’horizon de leurs actions afin de mieux cerner l’importance de leurs missions qui s’effectuent avec le souci permanent du respect de l’environnement.

> contact : Services techniques de la mairie

Tél : 02 23 41 30 20 - st.pace@ville-pace.fr

En haut, de gauche à droite : V.Larivière-Gillet, T. Berthelot.

En bas, de gauche à droite : Y. Lecoq, D. Lelu, J. Samson, B. Dupuits,

F. Jamier, E. Hamon, M. Bossard, R. Apert.Accroupi : K. Boutet.

Absents : T. Malagré, G. Da Silva, J.-M. Meslé, F. Belhâche, J.-P. Ruelloux.

19

VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

16 agents entretiennent les 75 ha d’espaces verts communauxune équipe polyvalente pour une gestion durable

Effectif 4 10 agents titulaires 4 4 apprentis 4 2 CEC (contrat emploi consolidé)

équipement4 Matériel de tonte : Tondeuses à conducteur marchant largeur 53cm, tondeuses autoportées largeur 1.80m, débroussailleuses à dos et à conducteur marchant.4 Matériel de taille et d’élagage : sécateurs électriques, tailles-haie, tronçonneu-ses, nacelle, broyeurs de végétaux.4 Matériel de désherbage, d’entretien et de nettoyage : souffleurs à dos et à conducteur marchant, aspirateurs à feuilles, balayeuse de voirie autotractée, bros-se désherbeuse automotrice, désherbeuses thermiques directes et à infrarouge.4 Matériel de transport et de traction : camionnettes, tracteurs vigneron, transpor-teurs électrique et classique (essence, diesel), tracteur avec fourche, fourgonnettes.4 Autres matériels spécifiques : motoculteurs, houe rotative à axe horizontale, re-garnisseur de gazon, scarificateur, aérateur à lames, sableur, rouleaux, etc.

Budget : 4 Fonctionnement : 210 000 € 4 Investissement : 50 000 €

Taille de haies, d’arbustes, élagage… : conseil et règles à respecter

Les haies vives, les arbres ou arbustes, les lierres ou toute autre végétation plantés en bordure des voies publiques ou privées peuvent être source de danger. Ils peu-vent masquer la visibilité pour les automobilistes, cacher des panneaux de signali-sation routière ou gêner la libre circulation des véhicules ou des piétons.Aussi, en respect de la réglementation en vigueur, vous est-il demandé de veiller à la taille ou à l’élagage de toute végétation plantée en bordure de route ou de trottoir afin qu’elle ne dépasse pas l’aplomb en limite du domaine public et qu’elle ne touche pas de fils conducteurs aériens (EDF, Télécom, éclairage public).Si des branches des arbres voisins dépassent la limite séparative, vous pouvez exi-ger de votre voisin qu’il coupe ses branches. Vous ne pouvez toutefois pas les couper vous-même sans son autorisation.En matière de plantation, une distance minimale de 0,50 m de la limite séparative des deux propriétés doit être respectée pour les plantations ne dépassant pas 2 m. Cette dis-tance est de 2 m minimum pour les arbres destinés à dépasser 2 m de hauteur. Il est interdit d’abattre des arbres répertoriés en espace boisé classé au Plan Local d’Urbanisme (renseignements en mairie).Par ailleurs, par un arrêté préfectoral d’avril 2005, il est interdit d’appliquer tout pesticide à moins d’un mètre des cours d’eau, fossés, points d’eau, caniveaux, ava-loirs et bouches d’égout.. Pour limiter votre exposition au pesticides, et ainsi pré-server votre santé, jardinez au naturel : utilisez les techniques comme le paillage, les plantes couvre-sol, le compost ou d’engrais vert... pour entretenir et protéger votre jardin et vos cultures potagères.

La taille des arbustes d’ornement à fleursPourquoi tailler ?4 stimuler la végétation (aider la reprise, favoriser la croissance, renouvellement

des branches),4 garder une forme harmonieuse et bien équilibrée,4 stimuler la floraison,4 garder un bon état sanitaire,

4 donner une forme particulière (art topiaire).Quelques principes de base :Il est indispensable d’intervenir régulièrement tout au long de l’année pour supprimer les rameaux inutiles, gênants, morts, abîmés ou malades, c’est également un bon moyen de se débarrasser des pucerons. Une branche bien taillée doit être coupée en biseau quelques millimètres au-dessus d’un œil extérieur. Avant de tailler, commencer toujours par observer l’aspect général de l’arbuste...4 Enlever les parties inutiles : • rameaux défleuris (les graines épuisent l’arbuste devenu inesthétique) à moins que l’on veuille garder les fructifications (Pyracantha, Rosiers…). Quand on coupe un rameau défleuri, il ne faut pas se contenter d’enlever les fleurs mais rabattre la branche à une longueur appropriée à la forme de l’arbuste. • branches abîmées, malades, mortes ou rachitiques.4 Enlever les parties gênantes : • les drageons, • les branches trop basses qui pourraient se marcotter, c’est à dire s’enra-ciner dans le sol (à moins que l’on recherche à faire des marcottes), • les branches qui traversent l’arbuste (risque de frottements qui occa-sionnent des plaies sources de maladies), • les branches qui nuisent à l’harmonie (d’où la nécessité de prendre du recul). Cette taille de nettoyage qui doit toujours précéder la taille proprement dite peut se faire tout au long de l’année (en plein été, on repère facile-ment les branches inutiles ou gênantes). Quelle que soit la taille choisie, il faudra toujours penser à aérer la partie centrale de l’arbuste de façon à laisser pénétrer l’air et la lumière.

Travail d’élagage d’arbres.

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21

VIVRE À PACÉ

ViVRE À Pacé i Février 2011

Pour plus de sécurité82 automobilistes contrôlent leurs éclairages

La Prévention Routière et la Police Municipale ont organisé des contrôles d’éclairage gratuits les vendredis 10 décembre et 14 janvier aux

ateliers communaux situés sur le parc d’activités de la Teillais.

Quatre-vingt-deux automobilistes ont souhaité faire contrôler les phares de leur véhicule. Jean-Paul Lefeu-vre, adjoint au maire chargé de la voirie, a souligné la

nécessité de renforcer la sécurité des usagers sur les routes : « Cette opération, organisée en collaboration avec François-Xavier Gadras, directeur du comité dé-partemental de la Prévention Routière, est avant tout un service rendu aux automobilistes qui souhaitent vérifier le bon réglage de leur éclairage. C’est aussi une occasion de sensibiliser les conducteurs à la plus grande prudence sur la route qui fait encore trop de victimes. »

Sécurité à proximité des collègesaction de prévention pour les cyclistes

La gendarmerie et la police municipale ont procédé, le jeudi 16 décembre au ma-

tin, au contrôle des éclairages des vélos des élèves des collèges Françoise Dolto et Saint Gabriel. Ces contrôles ont été réalisés en présence d’Ingrid Simonessa, adjointe au Maire chargée des af-faires scolaires et de la jeunesse, de Michel Garnier, conseiller mu-nicipal délégué aux transports, de Anne Vernay, principale adjointe du collège Françoise Dolto et de Christophe Divet, cadre d’éducation du collège Saint Gabriel. Au total, une centaine de vélos ont été contrôlés et 60% posaient des problèmes de sécurité. Cette action de prévention avait pour but de sensibiliser à la fois les élèves et les parents. En effet, les collégiens dont les vélos présentaient un défaut d’éclairage ont dû présenter leurs vélos à la Police Municipale ou à la gen-darmerie après remise en état. Cette action vise, bien sûr, à prévenir les accidents, à sensibiliser les collégiens mais aussi à rappeler aux parents leurs responsabilités quant à la sécurité de leurs enfants.

Marché du 8 décembre visite des lutins

Trois lutins de la compagnie de spectacles de rue « Sonjeveyes » ont égayé de leur présence le marché du 8 décembre dernier.

Pour le plaisir des petits et des grands, ces trois êtres facétieux ont déambulé en chansons au milieu des Pacéens qui préparaient les fêtes de fin d’année. Le marché hebdomadaire, très apprécié des ha-bitants de la commune pour sa convivialité, offre toujours aux Pacéens une large diversité de pro-duits de qualité proposés par des producteurs et artisans de la région.

Marine Nationaledes recrutements pour 35 métiers

La marine nationale assume quatre grandes fonctions stratégiques : la dissuasion, la pré-vention, la protection et la projection. Mais

c’est aussi des hommes et des femmes qui ont fait le choix de la servir.Du pilote de chasse au cuisinier, de l’électronicien au secrétaire en passant par le pompier ou le détecteur anti-sous-marin, la Marine Nationale propose chaque année environ 3000 emplois dans de multiples domaines d’activités compre-nant pas moins de 35 métiers. Ces postes sont ouverts aux jeunes hommes et jeunes femmes de 16 à 29 ans, suivant les filières et ayant un niveau de 3ème à BAC +5. La mer, la vie en équipage, les séjours outre-mer constituent un environnement propice à l’acquisition d’une riche expérience hu-maine et professionnelle.

> Renseignements :

centre d’information et de recrute-

ment des forces armées :

Bureau Marine - 49, mail François Mitterrand

BP 34 - 35998 Rennes Armées

Tel : 02.23.46.47.48.

www.cirfa.rennes@marine.defense.gouv.fr

Joël Daugan et Stéphane Bigot (Police Municipale), Jean-Paul Lefeuvre, adjoint au maire, chargé de la voirie, François-Xavier Gadras, directeur départemental Prévention Routière et Laurent Bourdois, services techniques.

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VIE SCOLAIRE

ViVRE À Pacé i Février 2011

La commune de Pacé dispose de locaux de cui-sine et de restauration récents, modernes et bien équipés. La cuisine centrale (ouverture en janvier

2003) est située au sein du groupe scolaire du Haut Chemin. Les écoles maternelle et élémentaire de Guy Gérard disposent également de salles de restaurant (septembre 1999) adaptée et conforme aux nouvelles normes. En ce qui concerne l’école Ste Anne-St Joseph, les locaux sont pratiquement neufs (septembre 2007).Les enfants et les équipes de restauration évoluent donc dans des équipements accueillants et conçus notamment pour l’organisation de self-service pour les élèves des écoles élémentaires.

Entre 900 et 950 repas chaque jour

Entre 900 et 950 repas sont préparés chaque jour à la cuisine centrale du Haut Chemin par une équipe de cinq agents, dont Lionel Allais, le responsable. Il est secondé par Hervé Decommunier qui travaille avec deux agents au restaurant Guy Gérard. Pour la res-tauration de l’école Ste Anne-St Joseph, trois agents assurent le service. Chaque matin, c’est l’ébullition à la cuisine centrale avec, pour démarrer, la réception des denrées. Ensuite, les bat-teries de cuisine sont vite mises en route pour que les repas soient transportés dès 11h30 vers les deux autres écoles. Il faut que tout soit prêt, dès midi, pour assurer les deux services des enfants des maternelles et la mise en route du self pour cinq services sur chaque site.Lionel et ses équipes s’affairent chaque midi pour réserver le meilleur accueil aux enfants sur les trois structures. Chaque agent conseille et sensibilise les enfants afin que les plateaux du self soient diversifiés et équilibrés, tout comme les assiettes des plus petits. Ce travail de sensibilisation, de pédagogie, est pré-conisé par Annie Erussard, pour qui les agents de la restauration scolaire ont un rôle prépondérant à jouer pour inciter les enfants à diversifier leur alimentation :

« Les équipes de restauration permettent d’orienter les choix afin que les enfants puissent goûter aux différents mets. J’établis un plan alimentaire avec le chef pour huit semaines de menus. Ensuite, Lionel traduit ces orienta-tions d’équilibre avec des plats. Ce travail avec Lionel est efficace et profitable aux enfants, grâce notamment à l’action des équipes de restauration ».

Le bio a fait sa rentrée officielle en janvier

Annie Erussard conçoit des menus appréciés des en-fants et s’attache à une logique et une méthode de préparation. Par exemple, deux choix sont proposés en entrée, le deuxième choix est constitué de produits que les enfants ont moins l’habitude de consommer (des légumes notamment). La démarche est la même pour le dessert qui comporte trois choix (avec laitage ou fruit). La recherche de la qualité alimentaire et de l’équilibre repose aussi sur le respect des saisons : « Je suis très attachée aux saisons. Nous évitons par exemple de consommer de la courgette ou des fraises en hiver. Ce principe permet également d’inscrire notre démarche dans un cadre plus large de développement durable. Importer des produits de pays lointains coûte cher et produit du CO2. A notre niveau, nous devons prendre en compte ces principes et contribuer ainsi à la préservation de notre planète ».Ingrid Simonessa a engagé une démarche globale de réflexion avec les représentants de parents et des professionnels avec pour objectif un travail sur le fond et sur la forme. L’aspect environnemental s’inscrit également dans cette démarche. C’est dans ce cadre que Lionel Allais recherche aussi les meilleurs produc-teurs de fruits et légumes par exemple : « Nous nous efforçons de travailler avec des commerces et des pro-ducteurs locaux, afin d’éviter au maximum les circuits longs. C’est vrai notamment pour les légumes, les fruits et la viande fraîche ».

Dans le cadre de ces orientations, la restauration scolaire a intégré les produits bio au sein des menus. Dès le mois de janvier, les enfants ont pu découvrir le pain bio et Annie Erussard souhaite poursuivre cette démarche : « L’objectif est d’introduire progressivement les produits bio. Il serait intéressant de parvenir à un taux de 20% d’ici 2012. Par exemple, l’utilisation d’hui-le biologique (colza et olive 1ère pression à froid) sera en-visagée prochainement. Les produits bio sont bien sûr importants pour la qualité des repas. Cependant des producteurs n’ayant pas le label bio fournissent aussi des produits de très haute qualité grâce notamment à des méthodes de travail naturelles ».Le bio fait donc sa rentrée officielle dans les menus de la restauration scolaire. Ces évolutions s’inscrivent dans deux démarches : celle du Grenelle de l’environnement qui, fin 2007, recommandait l’introduction de 20% de produits issus de l’agriculture biologique dans les menus de la restauration collective d’ici 2012, et celle du Plan National Nutrition Santé, plan de santé publique visant à améliorer l’état de santé de la population en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs : la nutrition.

Restauration scolairedes produits frais pour une alimen tation saine et équilibréeDepuis plus de deux ans, des ac-

tions sont mises en place afin de poursuivre l’amélioration de la qua-lité de la restauration scolaire. Cette volonté des élus se traduit concrète-ment par de nombreuses initiatives pilotées et coordonnées par Ingrid Si-monessa, adjointe au Maire chargée de la vie scolaire et de la jeunesse. L’arrivée en juillet de Annie Erussard, diététicienne libérale, concrétise cette volonté de renforcer la qualité et l’équilibre des menus, tout comme l’introduction du bio au quotidien de-puis le mois de janvier.

> sitewww.mangerbouger.fr

Rentrée 2011/2012 Pensez-y maintenant !Les parents souhaitant inscrire leur enfant pour la prochaine rentrée scolaire sont invités à contacter dès maintenant les directions des écoles publiques concernées : Guy Gérard Maternelle 02.23.41.30.44 / Guy Gérard Elémentaire 02.23.41.30.45 / Haut Chemin 02.99.60.27.60.

Lionel Allais, responsable de la restauration scolaire et Annie Erussard, diététicienne avec les enfants.

Les enfants au self du restaurant du groupe scolaire du Haut Chemin.

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VIE SCOLAIRE

ViVRE À Pacé i Février 2011

Restauration scolairedes produits frais pour une alimen tation saine et équilibrée

Les parents se mettent autour de la table !En mars 2010, a été créé un groupe de réflexion sur la restauration. « C’est un enjeu d’éducation et un sujet qui intéresse beaucoup les parents. Nous avons donc mis en place ce groupe pour échanger sur différents thèmes en faisant parfois appel à des intervenants extérieurs. Bien sûr le Grenelle, le Plan National Nutrition Santé sont des moteurs, mais la qualité de la restauration à toujours été une préoccupation de la commune» explique Ingrid Simonessa. La première rencontre a été l’occasion de visiter la cuisine centrale et d’échanger pour lister les thèmes à aborder autour d’un déjeuner, le même que celui servi ce jour là aux enfants : l’équilibre des repas, les quantités, l’introduction du bio et les circuits courts, l’information sur les Projets d’Accueil Individualisé pour les enfants allergiques, le confort des salles de restaura-tion ou bien encore l’attitude des équipes d’encadrement… Les comportements de l’enfant face à son assiette seront le sujet de la prochaine réunion, co-animée par Anne Legen-dre, psychologue en milieu scolaire.

La sensibilisation sera aussi renforcée auprès des enfants, avec des animations ou expo-sitions autour de la santé, du bio, de la faim dans le monde, de l’eau… Autant de projets qui rendront l’action globale cohérente et qui seront intégrés dans le projet éducatif local.

Quelques chiffres (référence 2009)

4 1 cuisine centrale4 2 cuisines satellites4 4.08 € encaissement moyen d’un repas4 5.09 € coût moyen d’un repas 4 47 pers. travaillent sur le temps du midi4 950 repas par jour4 116 725 € de subvention municipale4 118 098 repas par an4 601 000 € budget annuel

VAP n° 88 - édition de février 2011

Recettes de fonctionnement

Subventions

diverses

2186 / 1%

Subvention

municipale

116 725 / 19%

Participations des

familles

482 314 / 80%

Dépenses de fonctionnement

Denrées167 811 / 28%

Fluides35 795 / 6%

Matériel25 781 / 4%

Entretien,charges diverses19 813 / 3%

Personnel352 025 / 59%

De gauche à droite : Lionel Allais, responsable de la restauration scolaire, Co-rinne Delon-Desmoulin, parent d’élève groupe scolaire du Haut Chemin, Corinne Granier, parent d’élève Guy Gérard élémentaire, Ingrid Simonessa, adjointe au maire, chargée des affaires scolaires, péri-scolaires et de la jeunesse, Josette Le Gall, conseillère municipale, Chrystèle Rouault, parent d’élève école Sainte-Anne/Saint-Joseph, Hélène Coopman, parent d’élève Guy Gérard maternelle et Annie Erussard, diététicienne.

Venez découvrir le site et

le fonctionnement de la cuisine centrale

P O R T E S O U V E R T E S

SAMEDI 16 AVRIL

9H30-13H00 Découverte du site et du

fonctionnement de la cuisine centrale

10H30-11h30 Interventions

Lionel ALLAIS, Responsable de la cuisine

Annie ERUSSARD, Diététicienne

Echanges avec les visiteurs

La visite sera suivie

d’une dégustation de produits servis à la cantine

Cuisine centrale - 36 avenue Paul Sérusier (Groupe scolaire du Haut Chemin)

accUEiL DE LOisiRs a B c D

saNs DéFaLcaTiON caF - Msa

QF < 442,30 9,49 8,71 7,65 5,00

442,30 ≤ QF < 618,09 11,71 9,59 9,59 6,23

QF ≥ 618,09 13,90 11,28 11,28 7,13

MONTaNT DéFaLcaTiON caF OU Msa 3,68 3,68 1,84 1,84

QF < 442,30 5,81 5,03 5,81 3,16

442,30 ≤ QF < 618,09 8,03 5,91 7,75 4,39

QF ≥ 618,09 10,22 7,60 9,44 5,29

Enfants Gens du Voyage 5,81 5,03 5,81 3,16

REsTaURaNT scOLaiRE TaRiFs

QF < 377,92 1,58

377,92 ≤ QF <475,68 2,18

475,68 ≤ QF <519,70 2,88

519,70 ≤ QF <629,49 3,59

629,49 ≤ QF <874,68 4,08

QF ≥ 874,68 ou famille non domiciliée sur la commune

4,83

a Journées complètes avec repas

B Journées complètes sans repas

c 1/2 journéesavec repas

D 1/2 journéessans repas

Pour les enfants bénéficiant d’un Projet d’Accueil Individualisé (PAI) et fournissant leur panier repas, une déduction de 1.42 € sera effectuée sur le tarif qui leur est applicable.

garderies

Matin 7h30 - 8h20 1,25

Soir jusqu'à 18h30 1,37

Etudes

Soir jusqu'à 18h30 2,33

Sainte-Anne / St-Joseph : Brigitte Jouin, Nathalie Gougeon, Cécile Apert

Haut Chemin : Hervé Decommunier, Catherine Allal, Sylvie Roncière, Georgette Deshommes, Lionel Allais

Guy Gérard : Madeleine Heurtault, Anne-Marie Guillet, Joëlle Georgeaux

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ViVRE À Pacé i Février 2011

L’idée de créer un village des artisans vise à répon-dre aux besoins de développement d’entreprises artisanales et aussi de regrouper des activités

dans des locaux à la fois fonctionnels et peu consom-mateurs d’espace. Ce principe permet également, pour les artisans, de partager les espaces verts et les parkings et donc de réduire les coûts d’entretien. C’est dans cet esprit que la communauté d’agglomération Rennes Métropole, maître d’ouvrage de Rive Ouest, Territoires, maître d’ouvrage délégué, et la commune de Pacé ont lancé ce projet.

Livraison au printemps 2012La parcelle de 6 000 m², située sur «Rive Ouest», Bou-levard de l’Odet, permettra de réaliser au total 2 379 m² de SHON (Surface Hors Œuvre Net), 1 707 m² de voirie (parkings compris) et 1 914 m² d’espaces verts.La société FIMOREN va réaliser ce projet qui compren-dra 8 cellules de 300 à près de 400 m². Cinq artisans (dont des entreprises pacéennes) se sont positionnés pour intégrer ce village et ont exprimé leurs besoins aux aménageurs de FIMOREN.

Le permis de construire doit être déposé fin mars, le terrassement doit être réalisé au mois de juin et la construction des bâtiments doit débuter au mois de septembre. Les cellules pourront être livrées au prin-temps 2012.Les entreprises pourront être propriétaires de leur cel-lule, voire locataires si elles le souhaitent. Les cinq en-treprises intéressées s’orientent sur des acquisitions.

L’organisation de ce village se mettra en place dans le cadre d’un syndic dont la vocation sera notamment de gérer les parties communes. Un règlement sera également établi afin de définir les droits, et les de-voirs de chaque propriétaire au locataire.Trois autres parcelles sont également en cours de commercialisation sur le même secteur que le village des artisans, auprès d’entreprises plus importantes.

Rive Ouestcréation d’un village des artisans

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VIE ÉCONOMIQUE

Après l’implantation de l’enseigne Ikéa, en novembre 2008, des études routières ont été engagées afin de mesurer la capacité des infrastructu-

res routières avant de poursuivre l’aménagement d’une partie de Rive Ouest. Ces études ont été concluantes et la commercialisation du secteur artisanal a été lancée.

Cette aide vise à financer une partie des investissements d’EPI dans l’agran-dissement et la modernisation de ses locaux, actuellement en cours de réa-lisation. Ce chèque a été remis par Sophie Ricordel, secrétaire générale de la

FAPE, à Patrick Blot, directeur d’EPI, le mercredi 12 janvier à la Grange du Logis. La FAPE était également représentée par Vincent Denby-Wilkes, délégué régional EDF et par Gérard Yvé, délégué régional GDF Suez.La FAPE a été créée en 1995 par EDF et GDF. Elle a pour objectif de contribuer au développement de l’emploi et de favoriser l’insertion professionnelle de personnes en difficulté. Elle agit grâce aux dons annuels de plus de 13 500 salariés et retraités des deux groupes et aux versements complémentaires des entreprises.

Parmi les associations soutenues en Bretagne, la FAPE a choisi l’association pacéen-ne EPI. Cette association, créée en 1992, propose des prestations d’entretien et de création d’espaces verts auprès des collectivités, des entreprises, des syndics, des particuliers et des bailleurs sociaux. Son jardin de Cocagne, « Les Jardins du Breil », produit des légumes bio et les propose sous forme de paniers hebdomadaires aux particuliers. Elle emploie 43 salariés dont 31 en insertion. Son action permet de lutter contre l’exclusion et la précarité en mobilisant les conditions de retour à l’em-ploi durable par une activité de travail valorisante.

Entreprise Pour l’Insertion (EPI)« Agir Pour l’Emploi » offre 20 000 €

L’association EPI (Entreprise Pour l’Insertion), dont les locaux se situent sur le parc d’activités de la Teillais, a reçu un chè-

que de 20 000 euros de la part de la FAPE (Fondation Agir Pour l’Emploi).

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VIE CULTURELLE

ViVRE À Pacé i Février 2011

Libre en fête à la médiathèqueune « cartopartie » pour couvrir et redécouvrir Pacé

A l’instar de l’encyclopédie libre Wikipédia, le projet OpenStreetMap fait appel aux nouvelles technologies et aux bonnes volontés pour constituer un bien commun librement réutilisable : une base de données géographique.

Il n’est désormais plus nécessaire d’attendre que des entreprises fassent les mises à jour de leurs cartes, ni de leur demander leur accord pour toute reproduction ou réutilisation. OpenStreetMap permet en effet à tout un chacun d’améliorer la carte mondiale et de la réutiliser selon ses propres besoins.Dès maintenant nous pouvons donc contribuer à ce projet en ajoutant des infor-mations de notre commune : routes, chemins, bâtiments publics, commerces, parkings, pistes cyclables... C’est dans cet esprit qu’une première cartopartie est organisée à Pacé le samedi 19 mars, dans le cadre de Libre en Fête. Lors de cette journée conviviale, des contributeurs chevronnés se retrouveront pour parcourir la commune munis de GPS enregistreurs, d’appareils photos et de bloc-notes. Une fois les données collectées, celles-ci seront intégrées à la base de données d’OpenStreetMap à l’aide d’un logiciel spécifique.Le jeudi 24 février à 20h30 en mairie, réunion de présentation de la cartopartie pour toutes les personnes qui le souhaitent. Rendez-vous est pris samedi 19 mars

dès 10h, à la Médiathèque, salle André Dumaître. N’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations !> Quelques liens :www.openstreetmap.org/ (le site du projet)wiki.openstreetmap.org/wiki/FR:Main_Page (le wiki Français)rennes.carte-ouverte.org/ (un exemple de réutilisation des données d’OpenStreet-Map pour le projet rennais Carte OuVerte, porté par la Maison de la Consommation et de l’Environnement)également dans le cadre de Libre en Fête :Du 18 au 26 mars : familiarisez-vous avec la philosophie du Libre en parcourant les expositions « Logiciels Libres « et « Œuvres Libres «, à l’intérieur de la Médiathèque.Mardi 22 et jeudi 24 mars à 20h30, salle André Dumaître: découvrez plusieurs logi-ciels libres, dans des domaines variés (bureautique, multimédia...) lors de ces deux soirées de présentation.

La Médiathèque participait pour la première fois l’an der-nier à « Libre en Fête », une manifestation nationale vi-

sant à mettre en avant les logiciels et œuvres libres au travers d’événements de découverte. Lors des stands présentés pour l’essentiel par des membres de l’association Gulliver (Groupe des Utilisateurs de Logiciels et œuvres Libres d’Ille-et-Vilaine et des Environs de Rennes), un projet avait attiré les curieux : la carte coopérative libre « OpenStreetMap ». samedi 19 mars,

venez compléter la carte de Pacé sur OpenstreetMap !

L’Assemblée Générale de la MJC de Pacé du 10 décembre dernier a élu

un nouveau conseil d’administra-tion. Ce dernier accueille un nouvel arrivant, Jean-Marc Gautier.

Aujourd’hui le conseil d’administration de la MJC réunit 21 membres, dont 18 élus par l’Assem-blée Générale auxquels s’ajoutent statutaire-

ment 3 membres de droit (le Maire ou son représen-tant, le Président de la FRMJC ou son représentant et le directeur de la MJC de Pacé).Le niveau de fréquentation du conseil d’adminis-tration demeure un sujet de satisfaction car il reste important. Cela démontre l’intérêt porté par les ad-hérents au projet associatif.Par ailleurs, le conseil d’administration réunit toutes

les tranches d’âge, de 20 ans à plus de 70 ans. Cela fa-vorise le partage d’expérience et l’échange de savoirs entre génération dans un espace d’échange nécessi-tant la prise de décision. La MJC continue à remplir une fonction éducative en formant de jeunes citoyens aux prises de décision.

Programme des vacances d’hiver4 Pour les 12 à 17 ans : Vacances d’hiver du lundi 28 février au vendredi 11 mars inclus :4 Accueil informel : Au sein des espaces jeunes de la MJC de Pacé, les jeunes sont accueillis de 13h30 à 18h30 du lundi au vendredi inclus. A disposition : billard, baby-foot, tv, console de jeux vidéo, pc, jeux de société, canapés... Un animateur y est présent afin de recueillir les demandes de jeunes.4 Programme d’activités : Plusieurs sorties à la de-mi-journée seront proposées pendant les vacances parmi lesquelles : bowling, patinoire, cinéma, sports collectifs, jeux de société...

4 concert du samedi 2 avril : La commission mu-sique organise un concert à la salle de la Métairie le samedi 2 avril de 20h à 0h. Les groupes issus de Pacé : Wits (electro-rock), Mantra (Metal Progressif), Kevin Kay (Pop) et Cross the Crowd (pop rock).Tarif unique : 3 €. Bar, restauration sur place.4 séjour d’été pour les12/15 ans : Un séjour nau-tique est proposé aux jeunes âgés de 12 à 15 ans du lundi 4 au dimanche 17 juillet inclus. Au programme : baignade, catamaran... Possibilité de choisir des ac-tivités. Hébergement en camping. 4 animateurs, 15 jeunes. Tarif : 550 € tout compris (+adhésion 6.50€ ).Hors vacances, le local est ouvert les mercredis et samedis de 13h30 à 18h30.

Renseignez-vous...

Infos MJCun programme varié pour les jeunes

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VIE CULTURELLE

ViVRE À Pacé i Février 2011

Diplômé du CFMI (Centre de Formation des Musiciens Intervenants), les mu-siciens intervenants ont une formation spécialisée pour intervenir auprès des jeunes publics des écoles, les sensibiliser à la pratique artistique, les

éveiller à l’exigence technique de la musique, les éduquer au sens critique.A travers une multitude de projets souvent transversaux, aussi variés que la pra-tique du chant choral, l’écriture de contes musicaux, la découverte du répertoire classique ou des musiques du monde, l’approche de la musique se veut adaptée au niveau des différentes classes.

Un orchestre à l’écoleUne nouvelle déclinaison de ce travail s’est concrétisée cette année sur notre territoire. Un projet «d’Orchestre à l’école » est né. Un instrument est prêté à chaque enfant de la classe. Le travail instrumental, encadré par Philippe Le Cacheux, professeur de clari-nette et tuba, se déroule de manière collective sur le temps scolaire. Pour progresser, des temps de travail individualisés sont proposés en complément sur le temps péris-colaire. Les enfants pratiquent ainsi leur instrument plusieurs fois chaque semaine.Chaque semaine, dans la classe, lorsqu’ils sont tous réunis, c’est un véritable or-chestre (débutant) qui se retrouve pour jouer ensemble un répertoire adapté.

Cet orchestre se produira le jeudi 24 mars 2011, lors de la « Semaine de l’Enfance » à La Chapelle des Fougeretz, et au mois de juin pour présenter ‘’Le Vampire & Le Homard’’, une histoire écrite, interprétée et mise en scène par les élèves.

Les petits solistes devant les petitsUne autre aventure pour les jeunes élèves de l’école de musique, les instrumentistes de première année se produiront en solistes, accompagnés par un orchestre de profes-sionnels (les enseignants de l’école de musique). Ce concert sera l’occasion de voir que, quel que soit son âge ou son niveau, la musi-que réunit dans un même enthousiasme tous ceux qui s’y consacrent.A découvrir lors de la Semaine de l’Enfance à La Chapelle des Fougeretz, le samedi 26 mars 2011 dans le hall de l’école Georges Martinais.

Ecole de musique et de danse « Accordance SYRENOR » de la musique en classe

Ce sont plusieurs centaines d’enfants qui bénéficient, cha-que année scolaire, des interventions de musiciens spé-

cialisés dans leur classe. Ce dispositif, voulu et soutenu par le Conseil Général d’Ille et Vilaine et le SYRENOR permet, à la demande des équipes pédagogiques des écoles primaires, et en concertation avec les inspections de l’Education Natio-nale et l’Ecole de Musique, l’accompagnement de projets mu-sicaux par les musiciens intervenants.

Groupe vocal « Alternance »en concert le 20 mai à l’église

Après une fin d’année 2010 riche en rencontres (participation au festival mondial de chant choral Polyfollia à Saint-Lô fin oc-tobre et au concert de Noël de l’école de musique et de danse

Accordance) le groupe vocal Alternance, dirigé par Isabelle Nué et vous invite à venir découvrir son répertoire varié et dynamique.Le 20 mai, à 21 h à l’église de Pacé, en compagnie du groupe «Dames

de choeur», un ensemble de 12 femmes dirigé par Francine Gédéon rattaché à l’école de musique de Guichen et dont les points forts

sont recherche de la couleur et de la justesse des voix, homogé-néité du son et travail du phrasé musical, avec un répertoire qui se veut délibérément éclectique, de la Renaissance à nos jours:

En juin, Alternance se produira, comme tous les ans, à la fête de la musique, dans le cadre des représentations organisées par l’école de musique, la date et le lieu seront précisés d’ici quelques mois.> Pour suivre tous les événements :

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VIE CULTURELLE

ViVRE À Pacé i Février 2011

Mercredi 26 janvier au Ponant, plus de 600 personnes ont

pu assister au premier concert de ZAZ dans le département. Cette jeune chanteuse à la voix cassée a su enthousiasmer son public durant les une heure trente du concert. Fort sympathiquement avant son concert, ZAZ a accepté de répondre aux questions du « Vivre à Pacé ». Merci aussi à Emilie pour son accueil.

Théâtre« La boîte à biscuits » par la Compagnie de l’EtourdiUn jeune garçon s’est enfui du toit familial à 16 ans, en emportant les maigres

économies de ses parents cachées dans une boîte à biscuits.Beaucoup de quiproquos et de rebondissements dans cette charmante comédie campagnarde. Tarif : 9 € / 6 € (réduit).4 Vendredi 11, samedi 12 mars, 20h30 à la Métairie4 Vendredi 18, samedi 19 mars, 20h30 et dimanche 20 mars à 15h au Ponant

Plus de 600 spectateurs au concert de ZAZ

VàP : comment est né votre album ?>>> ZaZ : J’ai toujours aimé chanter, que ce soit dans des bals au Pays Basque, en Egypte en Colombie, en Russie, place du tertre à Paris, ... Alors pour concevoir cet album, je me suis aidée de ces voyages et des dif-férentes rencontres que j’ai faites et aussi de différentes influences jazz, scat, chanson française, blues, swing, latino, afro, ... J’ai aussi eu la chance de rencontrer Ra-phaël à Paris qui m’a écrit trois chansons (Eblouie par la nuit, Port Coton et La Fée).

VàP : a ce jour vous avez vendu plus de 500 000 albums en France et 150 000 à l’étranger. comment vivez-vous ce succès ?>>> ZaZ : C’est agréable mais aussi fatiguant. Depuis 4 mois, je fais plus de 15 concerts par mois, sans compter la promo de l’album auprès des différents médias. Ce qui me fait du bien, c’est de rencontrer mon public lors des concerts, notamment dans une belle salle comme le Ponant, car j’apprécie beaucoup l’intimité qui en ré-sulte.

VàP : « Je veux » est une chanson un peu autobiographi-que. Quel message souhaitez-vous faire passer :>>> ZaZ : Je souhaite me servir de ma notoriété pour « ré-veiller les consciences » notamment sur des sujets comme la terre et l’éducation. Pour ce faire, je soutiens fermement des associations telles que « Colibri » qui représente un mouve-

ment pour le terre et l’humanisme (www.colibris-lemouve-ment.org) et Kokopelli qui œuvre pour la cause de la biodiver-

sité et de la préservation des semences (www.kokopelli.asso.fr). Je trouve qu’aujourd’hui l’écologie est devenue uniquement un mot.

Je pense que le monde pourra changer lorsque les individus changeront.

VàP : a quand le second album ? Et pourquoi pas un album live ?>>> ZaZ : J’y pense et j’ai très envie. Mais avec la nouvelle tournée qui se pré-pare en France, en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Angleterre je n’ai pas beaucoup de temps pour écrire et composer. J’espère tout de même pouvoir sortir un album live d’ici la fin de l’année ou au début 2012.

Les prochains spectaclesau Ponant 4 « La Boîte à Biscuits » : vendredi 18 & samedi 19 mars à 20h30, dimanche 20 mars à 15h, ainsi que les vendredi 11 & samedi 12 mars à 20h30 à la Métairie. Tarif plein 9€ / réduit 6€.4 « Les Monologues du Vagin » : mercredi 23 mars à 20h30. Tarif plein 40€ / réduit 37€.4 Michèle Laroque : vendredi 25 mars à 20h30 - Complet4 Elisabeth Buffet : vendredi 1er avril à 20h30 - Complet4 « No bro ar c’hap » (Les nuits de Pays) Musiques et danse tradition-nelles bretonnes : Samedi 9 avril à 20h30. Tarif plein 14€ / -12 ans 8€ / Adhérent La Rassemblée 12€.4 Histoire de tango : dimanche 10 avril à 17h. Tarif unique : 35€.4 anthony Kavanagh : vendredi 15 avril à 20h30 - CompletProchaine date : vendredi 7 octobre à 20h30. Tarif unique 38 €.4 Régis Mailhot : samedi 16 avril à 20h30. Tarif plein 28€ / Réduit 25€ / Sur place 30€.4 Patrick Timsit : mercredi 20 avril à 20h30. Tarif unique : 42€.4 « Paulo, à travers champs » : vendredi 20 mai à 20h30. Tarif 20€ / Groupes et CE 18€. Réservations et billetterie à Pacé :

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VIE SPORTIVE

ViVRE À Pacé i Février 2011

Les personnes récompensées s’illustrent particu-lièrement par leur implication et leur investisse-ment dans leurs clubs respectifs. Elles ont toutes

en commun la même passion du sport.

La Mairie soutient les sportifs de la commune et a mis en place, en juin 2010, la première fête du sport. Les bénéfices de cette manifestation ont été reversés à l’association « Handisport Rennes Club » à l’occasion de cette soirée des Trophées sportifs.Le président du COP, Jean-Christian Saucet, a donné un chèque de 300 € à la vice-présidente de l’associa-tion Georgette Péniguel.

Les lauréats :• Jean-claude geslin, 73 ans, course à pied (COP

athlétisme), 123 courses depuis 12 ans• Emile et Michèle corbes, 67 et 61 ans, cyclotou-

risme (COP cyclisme), 14 000 km parcourus en 2010. Tour de France cyclo (3 400 km), Le Puy – St-Jacques de Compostelle (1530 km) et diverses randonnées.

• Elsa Lasalle (17 ans), Maxime chevallier (15 ans) et Quentin calvar (15 ans) COP judo. Ils ont obtenu la ceinture noire 1re dan en même temps à l’issue d’une préparation commune.

• collège saint-gabriel, 5 titres de champion de France par équipes aux championnats de France d’athlétisme UGSEL à Dreux (Challenge Bouvier).Le collège totalise le plus grand nombre de points cal-culé à partir du nombre de participants aux finales.

• Magdaléna Jouhier, Maëlle Dumitru-Marin, cécile Daumas, clémentine Lecuyer, Jann Le-comte (équipe benjamine du COP Gymnastique), championnes départementales, 6e régionale, 3e zone ouest et participation aux championnats de France à Châlons-en-Champagne.

• guillaume Bodson, 17 ans, COP badminton, parti-cipe activement à la vie de la section (encadrement des jeunes, aide lors des tournois adultes…)

• Pascal gaignoux, 38 ans, COP football, diri-geant depuis 7 ans. Encadrement des U15B et des seniors A.

• cOP boxe anglaise, labellisé Gant de bronze par la Fédération française de boxe notamment pour les résultats sportifs de M. Ozdemir (médaille d’argent aux championnats de France BEA) et M. Reichmuth (médaille de bronze aux championnats de France pré-combat).

12èmes Trophées sportifsla performanceet l’investissementrécompensés

Le Maire avec l’adjoint chargé des sports, Hervé Depouez, a remis

les trophées sportifs aux lauréats de cette 12e édition, le vendredi 4 février à l’espace Le Goffic. Cette remise de trophées a été l’occasion de mettre en exergue la vitalité de la commune en matière de pratique sportive. Cette manifestation, bien ancrée dans le paysage sportif pacéen, ré-compense chaque année des sportifs en activité et des bénévoles. Les can-didats aux récompenses sont propo-sés par des représentants de leur club et sont départagés par un vote en commission des sports.

Pacé en Courantpremier titre départemental senior

Les athlètes du club d’athlétisme « Pacé en Courant » ont brillé lors du championnat d’Ille et vilaine de cross-country disputé le diman-

che 9 janvier à Rennes.

Pour la première fois depuis la création du club en 2003, le titre départemental senior a été rempor-té par Christopher Yris, athlète âgé de 25 ans du club pacéen. Après une course très bien menée, prenant plusieurs fois la tête du peloton, Christo-pher a su résister sur le final et offrir cette belle victoire à son club.

Dans la même course, David Munyutu a pris la 5ème place, Mickaël Abraham a terminé à la 49ème place et 8ème espoir et Dominique Jacob 60ème. Ils ont permis à l’équipe de se classer à la 6ème place et de se qualifier pour les championnats régionaux.

Les féminines, emmenées par Gaëlle Houitte 6ème et 2ème vétéranes, Virginie Ringenbach Santos 23ème, Valérie Nogues 43ème et Caroline Pinsault 53ème, ont permis la qualification de l’équipe à la 9ème place. Tom Birien 2ème de la course Junior homme, Safwane Mahi 7ème chez les minimes ont complété le palmarès individuel.

Christopher Yris et David Munyutu en tête du champion-nat d’Ille et Vilaine

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VIE SPORTIVE

ViVRE À Pacé i Février 2011

Les conditions climatiques relativement clémentes ont permis à cette nouvelle édition de connaître à nouveau une forte participation. Les plus jeunes ont notamment répondu présent, puisque 176 poussins, 52 benjamins, 35 mi-

nimes et 20 cadets étaient inscrits au départ des différentes épreuves. Ils ont été encouragés par le public venu nombreux le long du parcours.

Au niveau des résultats, Pacé se porte bien avec la première place de Tom Birien chez les cadets (4 km), qui renouvelle son exploit de l’an passé, et Safwane Mahi qui termine second chez les benjamins (2,140 km).Dans la course des as, le Kényan Abel N’Demiqui s’est imposé, pour la troisième année consécutive, au sprint devant Simon Munyutu et Joseph Muragat. Chez les femmes, la favorite Martha Komu s’est imposée assez facilement.

Randonnée et marche nordique au programmeDeux nouvelles disciplines étaient proposées lors de cette 6ème édi-tion : une marche de 10,5 km ouverte à tous a été organisée par la sec-

tion randonnée de la MJC. Une épreuve de marche nordique avec bâ-tons sur 5 km et un atelier d’initiation ont été mis en place par le club « Pacé en Courant ». Le canicross a, pour sa part, encore une fois rencontré un beau succès, notamment auprès des enfants.

Les résultats :• cross des as hommes (9,850 km) : 1. Abel Maina N’Demiqui (Kenya) ; 2. S.

Munyutu (Clermont) ; 3. J. Muragat (Kenya) ; 4. D. Munyutu (Pacé en courant) ; 5. S. Descormiers (Brécé 35).

• cross des as femmes (5,670 km) : 1. Martha Komu (Clermont) ; 2. C. Berthelot (Chartres de B.) ; 3. M. Barre (Rance Jogging) ; 4. S. Phelippeau (Vannes) ; 5. E. Ruel (St-Malo) ; 6. G. Houitte (Pacé en Courant).

• Trail court de 16,2 km : 1. Sébastien Louvel (EA Pays de Brocéliande) ; 2. A. Lavergne (Rance Jogging) ; 3. O. Chantrel (ind.) ; 4. A. Le Caer ; 5. F. Adam.

• Trail long (31,5km) : 1. Cédric Aubert (Saint-Gilles) ; 2. C. Baton (Vitré) ; 3. Y. Gabriel (Pays de Brocéliande) ; 4. V. Laporte (Allonnes) ; 5. S. Busnel.

Cross Rennes Métropole-Pacéparticipation massive des jeunes coureurs

Dimanche 12 décembre a eu lieu la 6ème édition du cross Rennes Métropole Pacé sur le site de l’Étang. Plus de 750

coureurs ont participé aux douze épreuves au programme de cette journée.

Lors du dernier week-end de mars, les bénévoles de l’Euro Pacé Association, organiseront la 27ème édition du tour-

noi international basket ball benjamins de Pacé. Lors de cette compétition, plus de 250 jeunes âgés de 12 à 13 ans ainsi que des adultes seront accueillis sur la commune.

Ce tournoi débutera le samedi 26 mars à partir de 12h et se clôturera avec la cérémonie finale le dimanche 27 mars en fin d’après-midi. Les matchs se dis-puteront dans les salles du complexe sportif Chassebœuf et à Louison Bobet

(jusqu’au quart de finale dans cette dernière salle).

Première participation de l’angleterreAprès la première participation d’une équipe chinoise en 2010 et son retour cette année, c’est au tour d’une équipe anglaise de participer pour la première fois à ce tournoi. La Suisse, après 14 ans d’absence, revient aussi. A ces trois pays s’ajoute-ront l’Algérie, la Belgique, L’Espagne, L’Italie, le Maroc, la Lituanie, la République Tchèque, la Tunisie, et la France avec des équipes de Pacé, Mordelles, Chartres de Bretagne, Vitré, Charenton, Liffré, des sélections de Mayenne et des Deux-Sèvres, et deux délégations de l’île de la Réunion.Comme tous les ans, un chapiteau sera installé au complexe sportif Chasseboeuf, sous lequel vous pourrez découvrir certains des pays participants.

Côté animation, deux groupes folklo-riques de Chine et de Roumanie ont fait part de leur souhait de participer, ainsi qu’un groupe de Réunionnais résidant en Loire-Atlantique, aux-quels il faut rajouter quelques grou-pes locaux, dont La Rassemblée.L’entrée pour les deux jours est de 6€ par personne. Un service de restauration est proposé sur place ainsi que de nombreuses animations sous chapiteau.

appel aux familles d’accueilCe tournoi de basket est l’un des rares en Europe où les jeunes sont hébergés en familles. Cet accueil est très apprécié des participants et aussi des familles d’accueil car il permet de nombreux échanges et partages culturels. Dès à présent, les familles pacéennes sont sollicitées pour l’accueil et le logement des joueurs, groupes folkloriques, entraîneurs et interprètes, durant 2 ou 3 jours. L’organisation générale est présentée sur le site www.europace.fr

La pérennité de ce tournoi est rendue possible, depuis de nombreuses années, grâce à vo-tre investissement.

Les 26 et 27 marsTournoi International de Basket

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