33
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE -------------- DIRECTION DE LA PEDAGOGIE ET DE LA FORMATION CONTINUE -------------- COORDINATION NATIONALE DE MATHEMATIQUES REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE UNION-DISCIPLINE-TRAVAIL -------------- PROGRAMME DE MATHEMATIQUES

Programme de mathématiques: programme de seconde A · Il est à noter que, durant le cours, les ... 22 23 Révisions 24 25 12 heures . ... Produit scalaire

  • Upload
    ngodang

  • View
    215

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE

--------------

DIRECTION DE LA PEDAGOGIE ET DE LA FORMATION CONTINUE --------------

COORDINATION NATIONALE DE MATHEMATIQUES

REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE UNION-DISCIPLINE-TRAVAIL

--------------

PROGRAMME DE

MATHEMATIQUES

PROGRAMME DE PREMIERE A

Décembre 1991

COMMENTAIRE GENERAL La classe de Première A, prolongement logique de la Seconde A,

est aussi un lieu de découverte, d’exploration de situation concrètes, de

consolidation et d’utilisation des acquis antérieurs.

Tout en s’appuyant constamment sur les notions étudiées dans le

premier cycle et en Seconde, on développera, sans grosse théorie, chez

les élèves :

La formation personnelle : et principalement l’aptitude à

mathématiser une situation à travers l’utilisation de techniques

de présentation (schémas, graphiques), de codage

(organigrammes, diagrammes), activités qui développent

l’esprit critique, la curiosité,…

La formation sociale, économique et culturelle ; l’outil

mathématique mis en place doit permettre à un élève qui

poursuivra ses études dans les sciences humaines d’appréhender

de façon plus performante des phénomènes socio-économiques,

mais il est illusoire d’espérer qu’un élève fera de lui-même les

transferts nécessaires ; il faut l’y entraîner en introduisant les

différentes activités mathématiques par des motivations tirées

de l’environnement culturel, social, économique et en l’initiant

aux méthodes d’information, d’organisation, de traitement de

donnée…

Il donc souhaitable que le professeur ait toujours à l’esprit ces

objectifs qui, bien sûr, ne relèvent pas tous les contenus mathématiques,

mais plutôt de la façon de présenter certaines notions, de préparer, de

rédiger un travail, de mener une recherche.

Aussi, à l’exposé théorique, préférera-t-on une présentation sous

forme d’activités. Celles-ci seront motivées par des documents, des

enquêtes, des problèmes interdisciplinaires. Afin de ne pas réduire

l’enseignement des mathématiques à un bricolage désordonné, le

professeur veillera à :

dégager les concepts et les utiliser à l’aide d’exercices pris dans

le contexte d’étude des élèves ;

faire des synthèses après avoir fait comprendre l’utilité de ces

concepts.

Il est à noter que, durant le cours, les élèves doivent faire un

maximum d’exercices. La synthèse des résultats essentiels se fera

contrôlée régulièrement. Un exemple de trace écrite par chapitre est

d’ailleurs proposé dans le document EM telle qu’elle pourrait figurer

dans le cahier de cours des élèves.

Remarques

1) la progression proposée ne suit pas complètement l’ordre des

chapitres du livre. La présentation des différentes notions dans

le document EM correspond à cette progression mais la

numérotation des chapitres dans l’en-tête des pages rappelle

celle du livre.

2) Le programme qui suit est le même pour toutes les classes de

Première A de la République de Côte d’Ivoire. Cependant, les

élèves de la série A1 disposent d’une heure de plus que ceux

des séries A2 et A3.

En conséquence, les professeurs des classes de Première A1

sont invités à enrichir un peu plus leur cours de mathématiques en

utilisant, au bénéfice de leurs élèves, cette heure pour faire acquérir

non seulement les savoir-faire précisés dans le document EM et qui ne

concernent que les seuls élèves de cette classe, mais pour faire des

exercices ou des activités supplémentaires

d’un niveau supérieur à celui réservé aux séries A2 et A3.

I- ORGANISATION DE DONNEES ET DE TACHES

a) Les nombres réels Coder, classer, ranger, dénombrer, organiser : à partir de situation variées tirées des sciences économiques et sociales, de la géométrie ou de la vie courante, on montrera

la nécessité d’une organisation des données et des tâches à accomplir en utilisant codages, diagrammes, tableaux, arbres,

II- STATISTIQUES

Regroupement de modalités en classes ; représentations graphiques.

histogrammes, diagrammes cumulatifs.

Caractéristiques de position : mode, moyenne, médiane seulement dans le cas

d’un caractère quantitatif contenu.

Caractéristiques de dispersion : variance, écart-type

.

Exemples de séries chronologiques.

III- SUITES ET FONCTIONS NUMERIQUES

1. Représentations graphiques de fonctions numériques Etant donnée le représentant graphique d’une fonction f dans un repère

orthonormé, représentations graphiques des fonctions : x→ f(x – a) ;.

x→ f(x) + b ; x→׀x׀ où a et b sont des nombres réels donnés.

Parité, éléments de symétrie de la courbe représentative d’une fonction..

2- Fonctions polynômes du second degré

Divers schémas de calcul.

Représentation graphique.

Equations du second degré : diverses méthodes de résolution.

3. Fonctions homographiques

Signe de f(x) suivant les valeurs de x, f désignant une fonction polynôme

du second degré.

Inéquations du second degré.

Problème se ramenant à la résolution de contraintes du second degré.

Divers schémas de calcul.

Equations et inéquation associées aux fonctions homographiques.

Représentation graphique.

Signe de f(x) suivant les valeurs de x, f désignant une fonction homographe.

Problèmes se ramenant à la résolution de contraintes associées aux

fonctions homographiques.

4. Suites numériques

Etude de suites définies par uη = f(n) et par uη+¹= g(uη)exemples de

passage d’une définition à l’autre) ; cas particuliers de suites

arithmétiques et géométriques.

déterminations graphiques des termes d’une suite.

Comparaison de suites.

5. Dérivées

Suites monotones.

Problème se ramenant à l’étude de diverses suites numériques (intérêts

simples, intérêts composés, démographie,…)..

Approche intuitive de la notion de nombre dérivé ; équation de la tangente en

un point de la courbe représentative d’une fonction.

Fonction dérivée ; formules usuelles de dérivation (admises).

Utilisation de la dérivée dans l’étude et la représentation graphique de

fonctions polynômes, de fonctions homographiques*.

Aucune notion sur la limite d’une fonction en un point n’est au

programme de cette classe.

PROGRESSION DE PREMIERE A1, A2 ET A3

Semaine 2 heures par semaine 1 heure par semaine

1

Fonctions et représentations graphiques de

fonctions

Organisation des données

2

3

4

5 10 heures

6

Problèmes du second degré 7 9 heures

8

Statistiques

9

10

11 12 heures

12

Dérivées 13

14

15

16

17 12 heures

18 Fonction homographiques 2 heures

19 Suites numériques 20

21 6 heures 12 heures

22

Révisions 23

24

25 12 heures

PROGRAMME DE PREMIERES C ET E

Octobre 1998

ACTIVITES GEOMETRIQUES

I- GEOMETRIE DE L’ESPACE

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Orthogonalité

Droites orthogonales.

Droites orthogonales à un plan.

Plans perpendiculaires.

Propriétés liant l’orthogonalité et le

parallélisme.

Distance d’un point à un plan.

Utiliser les propriétés de l’orthogonalité et du

parallélisme pour démontrer que :

- deux droites sont parallèles ;

- deux droites sont orthogonales ;

- une droite est parallèle à un plan ;

- une droite est orthogonale à un plan ;

- deux plans sont perpendiculaires ;

- deux plans sont parallèles.

Démontrer que deux plans sont sécants.

Démontrer que deux droites sont sécantes.

Démontrer que trois points sont alignés.

Parallélisme dans l’espace a été étudié

en Seconde C.

On visualisera les définitions et

propriétés de l’espace à l’aide de

solides, de maquettes et de

l’environnement de l’élève.

Les dessins seront effectués en

perspective cavalière mais aucune

théorie sur ce point n’est à développer.

On étudiera le plan médiateur d’un

segment en travaux dirigés.

II- TRIGONOTRIE

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Angles orientés

Angles orientés de vecteurs.

- somme ;

- propriété ;

- relation de Chasles.

Angles au centre orientés.

Angles inscrits orientés.

Double d’un angle orienté.

Caractérisation du cercle.

Cocyclicité de quatre points

Exploiter la relation de Chasles dans diverses

situations.

Utiliser l’angle orienté double pour démontrer

l’alignement de trois points.

Démontrer que quatre points sont cocycliques.

Les angles

introduits en Seconde C ainsi que les

angles orientés. A partir d’exercices,

consolider ces acquis

On peut établir en travaux dirigés les

propriétés liant :

- les angles orientés et les tangentes ;

- les angles orientés et la bissectrice.

On peut établir en travaux dirigés le

lieu des points M tels que :

→ → → →

2)(MA,MB) = (OA, OB) où O, a et B

sont donnés.

Mesures d’un angle orienté

Définition

Un nombre réel étant donné, placer son point

image sur le cercle trigonométrique.

Un point étant donné sur le cercle

trigonométrique donner une mesure de l’angle

orienté associé lorsque cela est possible.

Déterminer la mesure principale d’un angle

orienté dont on connaît une mesure.

La notion de congruence n’est pas au

programme.

A partir des relations entre les angles,

on établit des relations entre les

mesures en ajoutant k2π (kєZ)

Lignes trigonométriques d’un angle orienté Déterminer le sinus, le cosinus, la tangente d’un

angle orienté de mesure donnée à l’aide du

cercle trigonométrique.

Formules trigonométriques

Lignes trigonométriques des angles

associées.

Formules d’addition ;

Formules de duplication et de linéarisation.

Réduction de a cosx + b sinx.

Retrouver les formules trigonométriques à l’aide

des formules d’addition.

Utiliser les formules trigonométriques pour

transformer des expressions trigonométriques.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Equations trigonométriques a étant un nombre réel donné, résoudre dans IR les

équations du type ;

cos x = cos a, sin x = sin a, tan x = tan a.

Résoudre dans IR les équations du type :

cos x = a, sin x = b , tan x = c.

a cos x + b sin x + c = 0 (a, b et c sont des nombres

réels donnés, (a, b , c) #(o, o, o)).

Représenter sur le cercle trigonométrique les

points images des solutions d’équations

trigonométriques.

On pourra à cette occasion résoudre

quelques équations trigonométriques se

ramenant aux cas ci-contre.

Inéquations trigonométriques

Résoudre les inéquations du type

sur un intervalle borné de IR.

Représenter sur le cercle trigonométrique les

points images des solutions d’inéquations

trigonométriques.

On pourra à cette occasion résoudre

quelques inéquations trigonométriques

se ramenant aux cas ci-contre.

Etude et représentation graphique des fonctions

circulaires

La fonction sinus.

La fonction cosinus.

La fonction tangente.

Etudier et représenter graphiquement les fonctions

numériques de la variable réelle du type :

x→ sin (ax +b)

x→ cos (ax +b).

C’est l’occasion de réinvestir les acquis

sur les fonctions associées et la derive

de la compose de deux fonctions.

III- OUTIL VECTORIEL

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Barycentre de 2, 3 ou 4 points

Définition.

Isobarycentre.

Propriétés :

- homogénéité (multiplication des

coefficients par un scalaire) ;

- réduction vectorielle ;

a MA + b MA = (a + ) MG (a + b # 0) ;

- barycentre partiel.

Coordonnées du barycentre.

Lignes de niveau de :

- -M→a MA², a + b # o ou a + b = 0 ;

- -M→

Traduire par une égalité vectorielle qu’un point

est le barycentre de 2, 3 ou 4 points.

Construire le barycentre de 2, 3 ou 4 points

pondérés.

Exprimer un point donné d’une droite graduée

comme le barycentre de 2 points par lecture

graphique.

Démontrer qu’un point est barycentre de 2, 3 ou

4 points à partir d’une relation vectorielle.

Utiliser la réduction vectorielle pour :

- simplifier des relations vectorielles ;

- construire un barycentre ;

- résoudre des problèmes de concours et

d’alignement.

Déterminer et construire les lignes de niveau de :

- -M→ a MA² + b MB², a + b # 0 ou a + b = 0 ;

- M→

Consolider les acquis des élèves sur le

calcul vectoriel par quelques exercices

(relation de Chasles, construction,

alignement,…).

Etablir à travers des exercices, le lien

avec les autres disciplines (sciences

physiques, statistiques).

Pour les lignes de niveau, se limiter

exclusivement aux lignes citées.

L’étude du barycentre de plus de 4

points n’est pas au programme de

Première C. Elle sera faite en

Terminale C.

On utilisera comme notation du

barycentre :

bar (A,a), (B,b) ou bar

Vecteurs de l’espace

Vecteurs coplanaires.

Vecteurs colinéaires.

Produit scalaire.

Démontrer que trois vecteurs sont coplanaires.

Il s’agit d’élargir, sans théorie, la

notion de vecteur du plan à l’espace.

On ne développera pas de calculs

formels sur les vecteurs de l’espace.

On ne s’étendra pas sur la définition et

les propriétés du produit scalaire dans

l’espace.

IV- TRANSFORMATIONS DU PLAN

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Symétries et translations

Composée de deux translations.

Composée de deux symétries orthogonales.

Homothéties

Composée de deux homothéties

Rotation

Composée de deux rotations.

Utiliser la composée de deux symétries

orthogonales ou de deux translations pour :

- démontrer une propriété ;

- construire une figure ;

- déterminer un ensemble de points.

Mettre en évidence une homothétie ou une rotation

pour :

- démontrer une propriété ;

- construire une figure ;

- déterminer un ensemble de points.

Utiliser la composée de deux homothéties ou de

deux rotations pour :

- démontrer une propriété ;

- construire une figure ;

- déterminer un ensemble de points.

Les symétries orthogonales et les

translations ont été étudiées au niveau 2

en Seconde C.

La décomposition d’une translation ou

d’une rotation n’est pas au programme

de Première C et sera faite en Terminale

C.

On en compose que des transformations

de même nature, en particulier les

similitudes ne sont pas au programme

de Première C mais seront vues en

Terminale C.

En exercice, on déterminera les

expressions analytiques d’une

translation, d’une symétrie orthogonale

d’axe parallèle aux axes de coordonnées

ou d’axe la première bissectrice. La

nation d’isométrie n’est pas au

programme ; elle sera étudiée en

Terminale C.

Dans l’utilisation des composées, les

transformations et leurs composées

doivent être suggérées.

V- GEOMETRIE ANALYTIQUE

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Géométrie analytique du plan

Vecteur normal à une droite.

Distance d’un point à une droite.

Déterminer un vecteur normal à une droite.

Déterminer une équation de la droite définie par un

vecteur normal et un point.

Calculer la distance d’un point à une droite

donnée.

C’est l’occasion d’entretenir les acquis

de Seconde concernant la géométrie

analytique, mais on n’en abusera pas.

Déterminer un repère de l’espace.

Déterminer les coordonnées d’un point dans un

repère donné.

Démontrer que deux vecteurs sont orthogonaux,

deux vecteurs sont colinéaires.

Démontrer que trois vecteurs sont coplanaires.

Utiliser les vecteurs de l’espace ou le repérage

pour :

- démontrer que quatre points sont coplanaires ;

- démontrer que deux droites sont parallèles ou

perpendiculaires ;

‘ démontrer qu’une droite est orthogonale à un

plan ;

- démontrer qu’une droite est parallèle à un plan :

- déterminer une équation cartésienne d’un plan

connaissant un point et un vecteur normal ;

- déterminer une représentation paramétrique d’une

droite connaissant un point et un vecteur directeur ;

- déterminer la position relative d’une droite et

d’un plan connaissant une représentation

paramétrique de la droite et une équation

cartésienne du plan ;

- déterminer la distance d’un point à un plan

connaissant une équation cartésienne de ce plan.

Les représentations paramétriques de

plans et les systèmes d’équations

cartésiennes de droites ne sont pas au

programme.

ACTIVITES NUMERIQUES

I- CALCUL LITTERAL

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Equations et inéquations du second degré

Discriminant.

Somme et produit des solutions d’une

équation du second degré.

Interprétation graphique.

Calculer le discriminant d’une équation du second

degré.

Utiliser le discriminant pour :

- prouver l’existence des solutions d’une équation

du second degré.

- factoriser un polynôme du second degré ;

- étudier le signe d’un polynôme du second degré ;

- résoudre une équation du second degré.

Utiliser la résolution des équations ou inéquations

du second degré pour résoudre des problèmes

concrets.

Déterminer deux nombres réels connaissant leur

somme et leur produit.

Utiliser la somme ou le produit des solutions d’une

équation du second degré pour déterminer une

solution connaissant l’autre.

Résoudre graphiquement une équation ou une

inéquation du second degré.

A propos des équations ou inéquations

paramétriques du second degré éviter

toute étude exhaustive du type

« discuter suivant les valeurs de m… »

et privilégier des situations portant sur

des cas particuliers tels que :

- déterminer les valeurs de m pour que

… »

Equations et inéquations se ramenant au second

degré

Equations et inéquation bicarrées.

Equations et inéquations irrationnelles.

Résoudre des équation ou inéquations bicarrées.

Résoudre des équations et inéquations

irrationnelles du type : √p(x) = q(x), √p(x.) ≤q(x),

√p(x) ≤q(x).

p et q sont des polynômes tels que d°(p)

≤ 2 et d°(q)≤ 1.

Systèmes d’équation linéaires dans IR³

Résoudre des systèmes de trois équations linéaires

dans IR³ ayant une solution unique :

- par la méthode de substitution ;

- par la méthode du pivot de Gaus.

La méthode de pivot de Gauss se fera

sur des exemples sans théorie.

II- ORGANISATION DES DONNEES

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Fonctions et applications

Restriction d’une fonction.

Prolongement d’une fonction.

Composée de fonctions.

Application injective.

Application subjective.

Bijection.

Bijection réciproque d’une bijection.

f étant une bijection de E sur G, f◦f‾¹ = IdG,

f‾¹◦f = IdE.

Opérations sur les fonctions numériques :

somme, produit et quotient de deux

fonctions.

Fonctions associées :

x→f(x-a) ; x→f(x) + b ;

x→ f(x-a) + b ; x→(-x) ; x→-f(x) ;

x→ f(x)׀.

Représentation graphique de la réciproque

d’une bijection dans un repère orthonormé.

Comparaisons de deux fonctions.

Majorant, minorant, fonction bornée.

Encadrement d’une fonction par deux

fonctions.

Déterminer la restriction d’une fonction à un

intervalle.

Déterminer un prolongement d’une fonction sur un

intervalle.

Déterminer l’ensemble de définition d’une

fonction composée.

Composer des fonctions.

Démontrer qu’une application est :

- injective,

- surjective,

Bijective.

Ecrire une fonction comme somme, produit ou

quotient de fonctions lorsque cela est possible.

Déterminer l’ensemble de définition de la somme,

du produit, du quotient de deux fonctions.

Connaissant la courbe représentative de f,

représenter graphiquement les fonctions associées :

x→ f(x-a) ; x→f(x) + b ; x→-f(x - a) + b ;

x→ f(-x) ; x→ - f(x) ; x→׀ f(x) ׀.

La représentation graphique d’une fonction

bijective étant donnée, construire la représentation

graphique de sa bijection réciproque.

Résoudre algébriquement et graphiquement

l’inéquation (f(x) ≤ g(x).

Interpréter graphiquement l’inéquation (f(x) ≤ g(x)

(position relative des représentations graphiques de

f et g)

La construction de quelques points de la

courbe représentative de la composée de

deux fonctions se fera en activité pour

initier les élèves à des manipulations

graphiques qui seront réinvesties dans

les suites numériques.

On fera remarquer qu’une application

bijective est à la fois surjective et

injective.

Démontrer qu’une application est

injective est une occasion d’introduire la

contraposée d’une implication.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Parité :

- définition ;

- interprétation graphique.

Périodicité :

- définition ;

- interprétation graphique.

Axe et centre de symétrie.

Démontrer qu’une fonction est paire ou impaire.

Connaissant la représentation graphique d’une

fonction paire ou impaire sur un ensemble d’étude,

la construire sur son ensemble de définition.

Conjecturer la représentation graphique d’une

fonction paire ou impaire.

Connaissant la représentation graphique d’une

fonction périodique sur un intervalle d’amplitude p

(p en étant la période) construire sa représentation

graphique sur son ensemble de définition.

Un nombre réel strictement positif p étant donné,

vérifier que p est une période d’une fonction.

Conjecturer la représentation graphique d’une

fonction périodique et en conjecturer la période.

Démontrer que la droite d’équation x = a est un

axe de symétrie de la courbe représentative d’une

fonction dans un repère orthogonal.

Démontrer qu’un point donné est centre de

symétrie de la courbe représentative d’une

fonction.

Conjecturer à partir de la courbe représentative

d’une fonction les éléments de symétrie.

Mettre en évidence l’existence de

fonctions ni paires ni impaires.

L’axe et le centre de symétrie seront

toujours donnés.

Limite et continuité

Limites des fonctions de référence : x→ k ;

x→ ab + b ; x→ xⁿ ; x→ (n є IN*) ;

x→ √x.

Théorèmes de comparaison.

Opérations sur les limites.

Limite d’une fonction en xο.

Limite à droite, limite à gauche.

Théorèmes : limite en l’infini des fonctions

polynômes et des fonctions rationnelles.

Notion d’asymptotes horizontale et verticale.

Conjecturer une limite sur une représentation

graphique.

Utiliser les théorèmes de comparaison ou les

opérations sur les limites pour déterminer des

limites de fonctions.

Calculer les limites de fonctions polynômes et des

fonctions rationnelles en l’infini.

Interpréter graphique : lim f(x) = b,

lim (f(x) = ◦◦ x→●

Dans l’étude introductive de la notion

de limite, on pourra utiliser la

calculatrice pour conjecturer des limites

de fonctions convenablement choisies.

L’unicité de la limite en un point fera

l’objet d’une remarque.

Pour les limites des fonctions

composées, on s’en tiendra aux

fonctions : x→ f(ax + b) où f est une

fonction de référence.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Continuité en un point

Définition de la continuité en un point

Les fonctions : x→ k, x→ ax + b,

x→ xⁿ, x→ (n є IN*), x→ √x, les

fonctions polynômes et rationnelles sont

continues en tout point de leur ensemble de

défini.

Prolongement par continuité.

Démontrer qu’une fonction est continue en un

point donné.

Prolonger par continuité une fonction en un point.

Les fonctions définies par raccordement

sont hors programme.

Tous ces théorèmes sont admis.

Dérivation

Nombre dérivé en un point.

Interprétation graphique du nombre dérivé

en un point.

Fonctions dérivables sur un intervalle :

- définition.

Tableau des dérivées des fonctions de

référence : x→ k, x→ ax + b,x→ xⁿ,

x→ (n є IN*), x→ √x, x→ cos x,

x→ sin x, x→ tan x.

Opérations sur les fonctions dérivables

(somme, produit, inverse, quotient).

Théorème (admis) donnant le sens de

variation d’une fonction dérivable sur un

intervalle à partir du signe de sa dérivée.

Extremum relatif d’une fonction.

Calculer le nombre dérivé d’une fonction en un

point.

Déterminer une équation de la tangente à une

courbe en un point donné.

Connaissant le nombre dérivé de f en xο, construire

la tangente à la courbe au point d’abscisse xο sans

utiliser une équation de cette tangente.

Utiliser la notion de dérivée pour résoudre des

problèmes d’optimatisation.

Déterminer la fonction dérivée d’une fonction sur

un intervalle.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Représentations graphiques de fonctions

Fonctions polynômes de degré inférieur ou

égal à trois.

Fonctions homographiques.

Fonctions du type x→ ax + b +

Notion d’asymptote oblique.

Représenter graphiquement les fonctions

polynômes de degré inférieur ou égal à trois.

Représenter graphiquement les fonctions

homographiques.

Représenter graphiquement les fonctions du type

x→ ax + b +

Donner l’allure de la représentation graphique

d’une fonction à partir de son tableau de

variation.

Dresser le tableau de variation d’une fonction à

partir de sa représentation graphique.

Démontrer qu’une droite donnée est asymptote

oblique à la représentation graphique d’une

fonction.

Interpréter graphiquement lim (f(x) – (ax + b) = 0 x→◦◦

Toute étude de fonction doit être guidée.

L’étude d’une fonction comprendre tous

les éléments utiles au tracé de sa

représentation graphique.

Dénombrement

Cardinal d’un ensemble fini.

Produit cartésien.

- p-listes.

- Arrangements.

- Permutations.

- Notation factorielle.

Partition d’un ensemble.

- combinaisons.

Propriétés :

-

-

- triangle de Pascal

Calculer Card (AUB).

Utiliser un arbre de choix, un tableau, un

diagramme,… pour dénombrer.

Calculer le nombre de p-listes d’un ensemble à n

éléments.

Calculer le nombre d’arrangements à p éléments

d’un ensemble à n éléments (n ≥ p).

Calculer le nombre de permutations d’un

ensemble à n éléments.

Utiliser à bon escient les trois notions

fondamentales : p-listes, arrangement,

combinaison.

Calculer : (n ≥ p).

Ce thème ne concerne que les ensembles

finis.

La théorie des ensembles n’est pas au

programme.

A travers des exercices simples, établir le

lien entre :

- le nombre de p-listes et le nombre

d’applications d’un ensemble de p

éléments dans un ensemble à n éléments ;

- le nombre d’arrangements et le nombre

bijections.

L’utilisation des n !, (n ≥ p). ne doit

pas faire l’objet de calculs formels mais

doit s’inscrire dans le cadre d’activités de

dénombrement.

Le triangle de Pascal est utilisé pour

calculer rapidement les C

La formule du binôme est hors

programme

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Suites numériques

Définition d’une suite numérique :

- par une formule explicite ;

-par une formule de récurrence.

Suites arithmétiques et suites géométriques :

- définition ;

- expression du terme général en fonction

d’un terme quelconque et de la raison ;

- somme de n termes consécutifs.

Calculer les premiers termes d’une suite.

Représenter graphiquement les premiers termes

d’une suite numérique.

Démontrer qu’une suite est arithmétique ou

géographique.

Calculer la raison d’une suite arithmétique ou

géométrique.

Connaissant un terme quelconque et sa raison,

calculer un terme de rang quelconque.

Calculer la somme de n termes consécutifs d’une

suite arithmétique ou géométrique.

La convergence d’une suite n’est pas au

programme de cette classe.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Statistiques

Séries statistiques représentant des

regroupements en classes.

- Effectifs cumulés.

- Fréquences cumulées.

- caractéristiques de position

- caractéristiques de dispersion : écart,

moyen, variance, écart-type.

Séries statistiques à deux caractères.

- Nuage de points.

- Ajustement linéaire.

Construire l’histogramme d’une série statistique

représentant un regroupement en classes données,

d’amplitudes différentes.

Déterminer les effectifs, les fréquences, les

effectifs cumulés, les fréquences cumulées d’une

série statistique regroupée en classes.

Construire les polygones correspondant aux

effectifs cumulés et aux fréquences cumulées.

Une série statistique représentant un

regroupement en classes étant donnée ;

- déterminer une classe modale ;

- déterminer la médiane :

- graphiquement,

- algébriquement (interpolation linéaire) ;

- calculer la moyenne ;

- calculer l’écart moyen, la variance et l’écart-

type ;

- interpréter ces paramètres.

Représenter une série statistique à deux

caractères par un nuage de points.

Représenter une série statistique à deux

caractères par un tableau à double entrée.

Calculer la covariance et le coefficient de

corrélation linéaire.

Déterminer les droites d’ajustement linéaire (les

droites de régression) par la méthode des

moindres carrés.

Construire les droites d’ajustement linéaire.

Apprécier la fiabilité d’une estimation en

fonction du coefficient de corrélation.

Les classes ne sont pas nécessairement de

même amplitude.

L’élève a déjà travaillé sur ces notions

dans le cas des séries à variables

discrètes. On lui fera remarquer qu’il

suffit ici de remplacer dans les calculs les

modalités par les centres des classes.

Ces séries seront étudiées sur des

exemples concrets.

Détermination des droites d’ajustement

linéaire (lorsque le nuage de points le

suggère) par la méthode des moindres

carrés sera privilégiée en première C.

PROGRAMME DE PREMIERE D

Octobre 1998

I- GEOMETRIE DE L’ESPACE

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Droites orthogonales Sur une configuration donnée ;

- conjecturer deux droites orthogonales ;

- justifier que deux droites sont orthogonales.

On visualisera les définitions et les

propriétés de l’espace à l’aide de solides,

de maquettes et de l’environnement de

l’élève.

Droites et plans orthogonaux

Propriétés.

Orthogonalité et parallélisme.

Sur une configuration donnée :

- conjecturer l’orthogonalité d’une droite et d’un

plan ;

- justifier qu’ne droite et un plan, ou deux droites

ou deux plans sont parallèles.

Les dessins seront effectués en

perspective cavalière mais aucune théorie

sur ce point n’est à développer.

Plans perpendiculaires Sur une configuration donnée :

- conjecturer la perpendicularité de deux plans ;

- justifier que deux plans sont perpendiculaires.

Projection orthogonale sur un plan

Image d’un point, d’une droite, d’un

segment.

Propriété de l’image du milieu d’un

segment.

Sur un pavé droit déterminer le projeté de points,

de droites, de segments.

II- TRIGONOMETRIE

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Mesures d’un angle orienté

Relation de Chasles.

Ensemble de mesures

Déterminer la mesure principale d’un angle

orienté dont on connaît une mesure.

Utiliser la relation de Chasles pour déterminer

une mesure de la somme de deux angles orientés.

Justifier que deux nombres réels donnés sont des

mesures d’un même angle orienté.

Les mesures des angles orientés sont

exprimées en radians.

Fonctions sinus, cosinus, tangente

Définition du sinus, du cosinus, de la

tangente d’un nombre réel.

Propriétés du sinus, du cosinus, de la

tangente d’angle orientés associés.

Représentation graphique des fonctions

sinus, cosinus et tangente.

Déterminer le sinus, le cosinus, la tangente d’un

nombre réel.

Utiliser les lignes trigonométriques des angles

associés pour :

- calculer de nouvelles mesures ;

- transformer des expressions trigonométriques.

Résoudre graphiquement les inéquations

trigonométriques du type : cos x ≤ a, sin x ≤b,

tan ≤ c (a, b, c sont des nombres réels donnés).

On entraînera les élèves à retrouver ces

formules d’angles orientés a l’aide du

cercle trigonométrique ou d’une figure.

Equations trigonométriques a étant un nombre réel donné, résoudre dans IR

les équations du type : cos x = cos a, sin x = sin a,

tan x = tan a.

Résoudre dans IR les équations du type ;

cos x = a, sin x = b, tan x = c (a, b, et c sont des

nombres réels donnés).

Représenter sur le cercle trigonométrique les

points images des solutions d’équations

trigonométriques.

,on pourra à cette occasion résoudre

quelques équations trigonométriques se

ramenant aux cas ci-contre.

Formules usuelles de transformation

Formules d’addition.

Formules de duplication.

Réduction de a cos x + b sin x.

Utiliser les formules d’addition et de duplication

pour :

- calculer des lignes trigonométriques ;

- transformer des expressions trigonométriques.

Résoudre l’équation a cos x + b sin x + c = 0

(a # 0 et b # 0).

III- OUTIL VECTORIEL

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Barycentre de 2 ou 3 points pondérés

Barycentre de 2 points pondérés.

Barycentre de 3 points pondérés.

- Barycentre partiel.

Isobarycentre :

- caractérisation vectorielle du milieu d’un

segment ;

- caractérisation du centre de gravité d’un

triangle.

Coordonnées du barycentre.

Construire le barycentre de 2 ou 3 points

pondérés donnés.

A partir d’une écriture vectorielle, nommer un

barycentre.

Justifier qu’un point donné est barycentre de 2 ou

3 points pondérés donnés.

Soit A, B et G trois points alignés.

Déterminer des nombres réels a et β pour que G

soit barycentre des points pondérés (A, a) et (B,β)

Calculer les coordonnées d’un barycentre dans un

repère donné.

Mettre en œuvre la notion de barycentre

dans des problèmes concrets.

IV- TRANSFORMATIONS DU PLAN

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Homothétie – Rotation

Translation.

Homothétie.

Rotation.

Composée d’homothétie de même centre.

Composée de rotations de même centre.

Utiliser l’homothétie ou la rotation pour :

- démontrer des propriétés ;

- résoudre des problèmes de construction ;

- déterminer des lieux géométriques.

Construire l’image d’un point, d’un segment,

d’une droite, d’un triangle par la composée de

deux homothéties de même centre ou de deux

rotations de même centre.

Utiliser les propriétés, pour justifier un résultat.

Reconnaître des images de points par la

composée de deux homothéties de même centre

ou de deux rotations de même centre sur des

configurations données.

Renforcer les savoir-faire de niveau 1 vus

en seconde en ajoutant les savoir-faire de

niveau 2.

ACTIVITES NUMERIQUES

I- CALCUL LITTERAL

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Equation et inéquation du second degré

Discriminant.

Somme et produit des solutions d’une

équation du second degré.

Interprétation graphique.

Utiliser le discriminant pour :

- résoudre une équation du second degré ;

- étudier le signe d’un polynôme du second

degré ;

- factoriser un polynôme du second degré.

Utiliser la somme ou le produit des solutions

pour trouver une solution connaissant l’autre.

Déterminer deux nombres connaissant leur

somme et leur produit.

Résoudre une inéquation du second degré.

Résoudre graphiquement une équation ou une

inéquation de second degré.

On préférera la terminologie « zéro »

d’un polynôme à « racine » d’un

polynôme.

Equation et inéquation irrationnelles

Résoudre une équation du type : √p(x) = q(x).

Résoudre une inéquation du type : √p(x) ≤ q(x).

P et q sont des polynômes tels que d°(p)≤

2 et d°(q) ≤ 1.

Systèmes de 3 équations linéaires dans IR³

Résoudre un système de trois équations linéaires

dans IR³, ayant une unique solution.

Aucune théorie sur la méthode du pivot

de Gauss n’est exigible.

On privilégiera la méthode de

triangularisation (ou trigonalisation).

Système d’inéquations dans IR³

On traitera 1 ou 2 problèmes de

programmation linéaire sans exigence de

savoir-faire.

II- ORGANISATION DES DONNEES

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Généralités sur les fonctions

Restriction d’une fonction : définition.

Comparaison de deux fonctions.

Extremums relatifs.

Opérations sur les fonctions : somme,

produit, quotient de deux fonctions.

Composition de deux fonctions : ensemble

de définition.

Bijection, bijection réciproque,

représentation graphique de la bijection

réciproque d’une bijection dans un repère

orthonormé.

Représentation graphique des fonctions

associées : x→ f(x – b) ; x→ f(x) + b ;

x→ f(x – a) +b . x→ f(-x) ; x→ - f(x) ;

x→ ׀f(x)׀.

Parité :

- définition ;

- interprétation graphique.

Comparer deux fonctions définies par leurs

représentations graphiques.

Comparer deux fonctions définies par leurs

formules explicite.

Déterminer les extremums relatifs d’une fonction à

l’aide de sa représentation graphique.

Interpréter graphiquement l’inéquation, f(x) ≤ g(x)

(positions relatives des représentations graphiques

de f et g).

Déterminer l’ensemble de définition de la

composée de deux fonctions.

Déterminer la formule explicite de la composée de

deux fonctions.

Conjecturer la représentation graphique d’une

bijection.

Construire la courbe représentative de la bijection

réciproque d’une bijection dans un repère

orthonormé.

Connaissant la courbe représentative de f,

représenter graphiquement les fonctions associées :

x→ f(x – a) ; x→ f(x) + b ;

x→ f(x – a) + b ; x→ f(-x) ; x→ - f(x) ;

x→ ׀ f(x)׀.

Démontrer qu’une fonction est paire ou impaire.

Connaissant la représentation graphique d’une

fonction paire ou impaire sur un ensemble d’étude,

la construire sur son ensemble de définition.

Conjecturer la représentation graphique d’une

fonction paire ou impaire.

Dans les composées de deux fonctions,

on se limitera à des fonctions simples.

On limitera les choix de la fonction f aux

fonctions de référence. Dans le cas

contraire, on fournira la courbe

représentative de f.

Mettre en évidence l’existence de

fonctions ni paires ni impaires.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Périodicité :

- définition

- interprétation graphique

Axe et centre de symétrie.

Connaissant la représentation graphique d’une

fonction périodique sur un intervalle d’amplitude p

(p en étant la période) construire sa représentation

graphique sur son ensemble de définition.

Un nombre réel strictement positif p étant donné,

vérifier que p est une période d’une fonction f.

Conjecturer la représentation graphique d’une

fonction périodique et en conjecturer une période.

Démontrer que la droite d’équation x = a est un

axe de symétrie de la courbe représentative d’une

fonction dans un repère orthogonal.

Démontrer qu’un point donné est centre de

symétrie de la courbe représentative d’une

fonction.

Conjecturer à partir de la courbe représentative

d’une fonction les éléments de symétrie.

L’axe et le centre de symétrie seront

toujours donnés.

Limite et continuité

Approche intuitive de la notion de limite

finie et infinie.

Opérations sur les limites.

Limites de fonctions de référence.

Continuités d’une fonction en un point.

Justifier qu’une fonction est continue en un point.

Conjecturer graphiquement qu’une fonction est

continue en un point ou non.

Utiliser les opération sur les limites pour calculer

les limites éventuelles de certaines fonctions.

La calculatrice peut être une aide pour

l’approche intuitive de la notion de limite.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Dérivée

Fonction dérivable en un point, nombre

dérivé.

Interprétation géométrique du nombre

dérivé, équation de la tangente.

Fonction dérivable sur un intervalle ouvert.

Fonctions dérivées des fonctions de

référence.

Opérations sur les fonctions dérivables

(somme, produit, inverse, quotient).

Fonction dérivée de la fonction

x→ f(ax + b) où f est une fonction de

référence.

Lien entre le signe de la dérivée et le sens de

variation d’une fonction sur un intervalle.

Lien entre dérivée et extremum.

Calculer le nombre dérivé d’une fonction en un

point ;

Déterminer une équation de la tangente.

Construire la tangente en un point de la courbe

représentative d’une fonction sans utiliser une

équation de la tangente.

Déterminer la fonction dérivée d’une fonction sur

un intervalle.

Utiliser les opérations sur les fonctions dérivables

et les dérivées des fonctions de référence pour

calculer des fonctions dérivées.

Utiliser le signe de la dérivée d’une fonction pour

déterminer son sens de variation sur un intervalle

donné.

Utiliser la dérivée pour chercher un extremum

d’une fonction.

Les fonctions de référence considérées ici

sont les suivantes :

x→ ax + b ;

x→√x ;

x→ xⁿ (n є IN*) ;

x→ ;

x→ cos x ;

x→ sin x ;

x→ tan x ;

x→ (n є IN*) ;

On ne demandera pas de justifier qu’une

fonction est dérivable sur un intervalle.

Extension de la notion de limite

Limite à l’infini d’une fonction polynôme,

d’une fonction rationnelle.

Asymptotes verticales et horizontales.

Démontrer qu’une droite donnée est asymptote

verticale ou horizontale à une représentation

graphique d’une fonction donnée.

Etude et représentation graphique d’une fonction

Fonctions polynômes de degré inférieur ou

égal à 3.

Fonctions rationnelles :

- fonctions homographiques ;

- fonctions du type x→ ax + b +

Asymptotes obliques.

Une fonction polynôme ou rationnelle f étant

donnée par une formule explicite, déterminer,

après avoir trouvé son ensemble de définition :

- le tableau de variation de f ;

- les extremums relatifs éventuels de f ;

- les asymptotes verticales ou horizontales à la

courbe de f.

Utiliser les représentations graphiques des

fonctions f et g pour résoudre graphiquement des

équations ou des inéquations du type : f(x) = gx),

f(x) ≤ g(x).

Lorsque la fonction est paire ou impaire,

on le suggérera à l’élève.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Suites numériques

Définition.

Suite déterminée par :

- une formule explicite ;

- une formule de récurrence.

Suites arithmétiques, suites géométriques.

- Expression du terme général en fonction

d’un terme quelconque et de la raison.

- Somme de n termes consécutifs.

Calculer les premiers termes d’une suite.

Représenter graphiquement les premiers termes

d’une suite.

Justifier qu’une suite est arithmétique,

géométrique.

Déterminer ma raison d’une suite arithmétique ou

géométrique.

Calculer une somme de termes consécutifs d’une

suite arithmétique, géométrique.

Les suites arithmétiques et géométriques

doivent être introduites à partir de

problèmes concrets (économie,

démographie, biologie, etc).

La convergence d’une suite est hors

programme.

Dénombrement

Card(A B) = Card(A) + Card(B) –

Card(A ).

Card (A x B) = Card (A) x Card (B).

Card (Ap) = (Card A)p, P є IN*.

Listes à p éléments : p-listes.

Nombre de p-listes d’un ensemble à n

éléments (répétition) : n°

Nombre de p-listes d’un ensemble à n

éléments (sans répétition) ou p-

arrangements) : A ,

Nombre de combinaisons à p éléments d’un

ensemble à n éléments (n ≥ p) :

Utiliser ces égalités pour résoudre des problèmes

de dénombrement.

Utiliser un arbre de choix, un tableau, un

diagramme, … pour dénombrer.

Résoudre un problème de dénombrement en

justifiant la démarche.

CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES

Statistiques

Séries statistiques regroupées en classes.

Représentation graphique : histogramme,

courbe cumulative, polygones des effectifs et

des fréquences.

Classes modales.

Caractéristiques :

- de position ( moyenne, médiane ) et de

dispersion (variance, écart-type) ;

- des séries statistiques regroupées en

classes.

Regrouper les modalités en classes données,

d’amplitudes différentes.

Construire l’histogramme des effectifs et des

fréquences d’une série statistique regroupée en

classes d’amplitudes différentes.

Construire des courbes cumulatives.

Construire des polygones des effectifs et des

fréquences.

Déterminer une classe modale d’une série

statistique regroupée en classes d’amplitudes

différentes.

Calculer les paramètres de position et de dispersion

d’une série statistique regroupée en classes.

Les séries statistiques à deux caractères

sont hors programme.