51
14 Octobre 2016 ¡ 3e « Business Dialogue » sur le triple A avec la CGEM à Nairobi ¡ CGEM : L’Observatoire des branches démarre ¡ La valorisation des déchets permettra de créer 70 000 emplois d’ici 2020 ¡ Impôts : Des mesures de simplification ¡ Le PLF 2017 met le paquet sur l’investissement ¡ Foncier : Obstacle structurel à l’investissement ¡ L’informel, 40% du PIB ! ¡ - Permis de construire : C’est l’impasse Sommaire REVUE DE PRESSE L’ INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

REVUE DE PRESSE - cgem.ma · Le résultat de cette politique est que le Maroc est cité comme modèle de réussite dans plusieurs domaines et notamment l’automobile, l’aéronautique

Embed Size (px)

Citation preview

14Octobre

2016

¡ 3e « Business Dialogue » sur le triple A avec la CGEM à Nairobi ¡ CGEM : L’Observatoire des branches démarre ¡ La valorisation des déchets permettra de créer 70 000 emplois d’ici 2020 ¡ Impôts : Des mesures de simplification ¡ Le PLF 2017 met le paquet sur l’investissement ¡ Foncier : Obstacle structurel à l’investissement ¡ L’informel, 40% du PIB ! ¡ - Permis de construire : C’est l’impasse

Sommaire

REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

FAAPA 12/10/2016 22h08 – 0116MAROC-AFRIQUE-AGRICULTURE

"Business Dialogue" de la CGEM: L’adaptation de l’agriculture africaine au changement climatique au centre

d'une rencontre à Nairobi

Rabat, 12/10/2016 (MAP)- L'adaptation de l’agriculture africaine au changement climatique a été au centre de la troisièmerencontre du "Climate Finance Business Dialogue", organisée mercredi à Nairobi, par la Confédération générale desEntreprises du Maroc (CGEM), dans le cadre de son programme d’activités pour la 22è conférence de l'ONU sur le climat(COP22), qui aura lieu en novembre à Marrakech.

Initiée en partenariat avec le ministère marocain de l’Agriculture, la Banque africaine de Développement (BAD), l’OfficeChérifien des Phosphates, le Crédit Agricole du Maroc ainsi que la KEPSA - l’alliance patronale kényane, sous le thème"L’Agriculture et l’Adaptation en Afrique (Triple A)", cette troisième session du Business dialogue concerne principalement lessecteurs de l'agriculture, l’agroalimentaire, l’élevage, l’eau, les fertilisants et finance climat.

Cette rencontre a été l’occasion pour le président du Conseil général du développement agricole, Mohamed Ait Kadi deprésenter, dans un exposé, les principaux axes et les objectifs de l’Initiative marocaine "Triple A".

De son côté, le vice-président de la CGEM, Faïçal Mekouar a indiqué que l'initiative "Triple A" ambitionne notamment derenforcer la place de l'agriculture dans l'agenda des négociations et de promouvoir, favoriser et faire financer des solutionsinnovantes pour une agriculture moins consommatrice de ressources et adaptée à son climat.

Les pays d'Afrique, à l'instar de plusieurs autres nations, sont dans "l'obligation forcée de s'adapter à la nouvelle donnemondiale" en matière de climat, a-t-il souligné, notant que l'essentiel du débat porte sur l'atténuation des émissions du gaz àeffet de serre (GES) alors que l'Afrique n’en émet que moins de 4 pc.

"L'Afrique a plus besoin d'outils pour l'adaptation que pour l'atténuation", a-t-il estimé, expliquant que "l’Afrique, l’Agriculture etl’Adaptation sont trop peu prises en considération dans les négociations internationales et dans l’allocation des fonds climat,alors que le continent et ses écosystèmes agricoles sont vulnérables au changement climatique".

Au cours de cette réunion, à laquelle ont pris part des représentants de la BAD et des secteurs privé et public venus dedifférents pays de la région de l’Afrique de l’Est, notamment du Kenya, du Rwanda, de l’Ouganda, de la Tanzanie et duSoudan, les participants ont débattu notamment des mesures d’adaptation prioritaires pour le secteur agricole africain.

Ils ont également discuté du besoin du secteur agricole africain en termes d’appui technique et financier et du rôle du secteurprivé dans le développement de solutions innovantes ainsi que du rôle de la recherche et du savoir-faire local (capitalimmatériel).

Les intervenants se sont attardés sur la problématique d’accès aux financements en particulier pour les petits agriculteurs,ainsi que sur la question du transfert de technologies.

Ils n’ont pas manqué de se féliciter de l'initiative de la CGEM d’organiser cette rencontre à Nairobi pour favoriser l’échange surles préoccupations des investisseurs et des professionnels africains du secteur agricole et enrichir le débat sur cette questioncruciale de l’adaptation de l’agriculture africaine au changement climatique.

Cette troisième session, qui intervient après les rencontres tenues en juin dernier à Londres sur "Finance climate" et en juillet àTanger sur l’eau, s’inscrit dans le cadre d’un programme élaboré par la CGEM pour la COP22 en vue de sensibiliser lesentreprises au défi du changement climatique, les accompagner dans leur transition vers des systèmes productifs à bascarbone et d’identifier les opportunités de business qui naîtront de la nouvelle économie verte.

Ont également pris part à cette rencontre, du côté marocain, des représentants de l’OCP, du Crédit agricole du Maroc, de laSNTL, de COSUMAR et d’autres opérateurs privés.

MK--EN

© MAP-Tous droits réservés 122, Avenue Allal Ben Abdellah B.P. 1049 - Rabat- 10000 Téléphone : 037.27.94.00 E-mail : [email protected]

MAPINFO - La valeur de l'information. http://www.mapinfo.ma/imprimer-depeche/43889768

1 sur 1 14/10/2016 10:35

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

FAAPA 13/10/2016 10h14 – 0004MAROC-BENIN-COOPERATION

Les hommes d'affaires marocains et béninois prospectent à Casablanca les moyens de promouvoir la coopération

économique

Casablanca, 13/10/2016 (MAP), Une délégation d'hommes d’affaires béninois a tenu, mercredi au siège de la Confédérationgénérale des entreprises du Maroc (CGEM) à Casablanca, une séance de travail avec le patronat marocain axée sur lesopportunités d’investissement au bénin et dans le Royaume et le renforcement des relations économiques bilatérales.

Dans une allocution à cette occasion, la présidente de la CGEM, Mme Miriem Bensalah Chaqroun a assuré que laConfédération a à cœur de construire des relations économiques solides entre le Maroc et le Bénin, eu égard aux atouts dontdisposent les deux pays.

"Ce développement, nous devons le chercher dans les complémentarités qui pourraient exister entre nos économies et quisont autant de ponts que nous pouvons jeter pour construire des partenariats industriels fructueux", a-t-elle dit, déplorant lafaiblesse des liens économiques entre les deux parties, alors que les deux pays ont un grand potentiel à exploiter.

Evoquant les atouts du Maroc, Mme Chaqroun a rappelé qu’au cours de la dernière décennie, le Royaume a opéré denombreux choix stratégiques visant le développement de son attractivité économique. Le pays s'est ainsi doté de stratégiessectorielles ambitieuses en modernisant des secteurs traditionnels comme l’agriculture, la pêche ou encore les mines et enpariant sur des secteurs innovants tels que l’industrie automobile, l'aéronautique, les énergies renouvelables, la logistique etles services.

Aujourd’hui, l’environnement macroéconomique du Maroc s’est largement amélioré. En effet, le pays connaît un taux decroissance plus soutenu et moins irrégulier, une plus grande diversification de l’économie et une politique monétaire etbudgétaire stable.

Par ailleurs, le Maroc a signé des accords de libre-échange avec 55 pays, dont l’Union Européenne, les Etats-Unis, les paysarabes, les Emirats Arabes Unies et la Turquie. "Nous avons également intensifié nos relations avec l’Afrique, où nosentreprises sont aujourd’hui des champions régionaux dans la finance, l’assurance, les télécoms, le BTP, l’agroalimentaire etbien d’autres domaines et nous sommes devenus un véritable hub vers les pays d’Afrique subsaharienne", s’est-elle réjouie.

Le résultat de cette politique est que le Maroc est cité comme modèle de réussite dans plusieurs domaines et notammentl’automobile, l’aéronautique et l’électronique. Ainsi, ce n’est pas pour rien que des géants comme Renault, PSA, Boing, Airbus,Safran, Yazaki, Delphi, Sumitomo, Mitsubishi ont investi dans le Royaume, relève-t-elle.

Et la présidente de la CGEM de faire remarquer qu’en matière d’énergie, le Maroc s’est positionné avec des plans trèsambitieux sur le solaire et l’éolien et prévoit de porter, en 2030, la part des renouvelables dans le mix électrique à 52 pc.

"Nous sommes déjà à près de 900 MW de capacité éolienne opérationnels et nous sommes en train de construire la plusgrande ferme solaire au monde", retient-elle, notant que de son côté, le Bénin connaît également des changementsstructurants et sa croissance a été dynamique ces dernières années, son inflation maîtrisée en 2015 et un secteur agricole encours de diversification et de modernisation.

Elle a saisi cette occasion pour rappeler que la CGEM est la principale association d’hommes d’affaires du Maroc, puisqu’ellecompte 88.000 membres, emploient 2,9 millions de personnes et participent à hauteur de 55 pc au PIB du Royaume.

La CGEM, dit-elle, c’est également 31 fédérations sectorielles couvrant toutes les branches économiques, 24 commissionsthématiques transversales dédiées à des questions telles que l’emploi, la fiscalité, l’investissement, la compétitivité, laformation ou autres, outre des représentations régionales à travers tout le territoire du pays.

De leur côté, l’ambassadeur du Bénin à Rabat, Dagnon Serge et le chef de la délégation béninoise, Borna Claude, ont mis enexergue l’importance de cette visite qui, disent-ils, s’inscrit dans le cadre des préparatifs de la prochaine visite du président duBénin, Patrice Talon, dans le Royaume, ainsi que pour la consolidation des relations bilatérales.

Les discussions entre les hommes d’affaires marocains et béninois ont également porté sur les atouts économiquesindéniables dont dispose le Bénin, particulièrement en matière agricole et des infrastructures. Le chef de la délégationbéninoise a, à ce propos, rappelé la mise en place par le Gouvernement du Bénin du Guichet Unique comme moyen pourfaciliter la création d’entreprises et promouvoir les investissements.

La délégation béninoise est composée de représentants de plusieurs départements, dont la présidence de la République, leministère des Affaires Etrangères, celui de l’Industrie, les énergies renouvelables, les chambres de commerce et les agencesde développement des exportations et du tourisme.

MAPINFO - La valeur de l'information. http://www.mapinfo.ma/imprimer-depeche/44136542

1 sur 2 14/10/2016 10:35

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR

14octobre

2016REVUE DE PRESSEL’INF ORM ATION ÉCONOMIQUE DU JOUR