CONSTRUCTION, INSTALLATION ET AMENAGEMENT DANS LE SECTEUR DES SOINS

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Solutions systèmes innovantes pour des générations: un système sanitaire universel, disponible dans les variantes de matériaux chromeet polyamide, permet de nombreuses applications. La gamme de produits comprend des accessoires sanitaires, des éléments de confort, des produits adaptés aux personnes handicapées, des lavabos et des miroirs, pour un équipement résolument uniforme des sanitaires.Pour de plus amples renseignements, votre personne de contact HEWI est: Didier Kistemann/courriel: dkistemann@hewi.be

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PROJETLe CSR Stede Akkers à Hoogstraten: Match à domicile

REPORTAGESLa sécurité, le soin et le zinc vont de pair

Un système de parking performant génère du chiffre d’affaires et accroît le confort du visiteur

GEA CAIRplus: fiable, durable et économe en énergie

Une entreprise multidisciplinaire de finitions intérieures pour le secteur des soins de santé

La biotechnologie a aussi du potentiel dans les soins de santé

Une nouvelle dimension pour l’hygiène dans les maternités

Un plafond lumineux LED interactif aide les patients aux soins intensifs

EVENTEXPO60+: Une plateforme de choix pour le professionnel des soins de santé

NEWS

Periodicité: Trimestrielle

Envoyé gratuitement aux chefs de département des services

techniques des centres de soins résidentiels, des hôpitaux et CPAS.

Rédaction: Philip Declercq, Rudy Gunst, Colette Demil & Staf Bellens

redactie@fcomedia.be - T + 32 (0)56 77 13 10

Publicité - conseil: Filip Cossement,

T +32 (0)56 77 13 10, filip.cossement@fcomedia.be

Verantwoordelijke uitgever: Filip Cossement,

Boulevard des Canadiens 118, B-7711 Dottignies

Conception graphique: marieke.veys@fcomedia.be

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Aucune partie de cet ouvrage ne peut être reproduite et/ou pu-

bliée par impression, photocopie, microfilm ou de quelque

manière que ce soit, sans accord écrit préalable de l’éditeur.

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Membre de l’union des editeurs

de la presse periodique.

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Dans l’édition précédente de TechCare - n°03 - une légère erreur s’est glis-sée dans l’article “Le nouveau groupe d’hôpitaux AZ Delta se sent comme un poisson dans l’eau”. Les références citées ont été réalisées par la société Goddeeris.Stijn Goddeeris: «Nous avons déjà effectué des travaux pour l’hôpital de Menen, pour Sint-Augustinus à Veurne et pour Jan Palfijn à Gand. De plus nous sommes aussi actifs dans le secteur alimentaire par exemple chez Alpro et à Westvlete-ren. Quand un client nous confie un projet, nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour obtenir un résultat parfait. »

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Un concept aéréLe CSR Stede Akkers possède une longue histoire. Voici quinze ans, le CPAS de Hoogstraten souhaitait remplacer le centre de soins résidentiels existant par un bâtiment neuf qui occuperait partiellement le même emplacement. Suite à diverses objections et après avoir mûrement pesé le projet, celui-ci a été déplacé dans le jardin situé à l’arrière, ce qui a permis de faire passer le nombre de lits à 150, la capacité maximale autorisée.Le CSR Stede Akkers se compose de quatre blocs distincts de sept niveaux chacun, dont le premier se trouve enfoui sous le niveau du sol. C’est un choix qui a notamment été dicté par la portance médiocre du sol, qui aurait imposé la nécessité de couler de coûteuses fondations sur pieux et une lourde chape. Les concepteurs ont préféré excaver plus profondément et implanter l’immeuble plus en profondeur, et il s’avère que cette solution offre de nombreux avantages: elle rend les tours plus légères et donne au site une trans-parence et une accessibilité étonnantes, qui laissent toute leur place aux usagers faibles. Un patio empli de verdure relie les divers sous-sols, tandis que des passerelles et esca-liers extérieurs créent une dynamique qua-

si-urbaine. Les concepteurs ont aussi réussi à séparer les fonctions propres du CSR et les services annexes: les niveaux situés au-des-sus du sol ont été réser-vés au logement et aux fonctions connexes, et les sous-sols aux autres fonc-tions: un centre de soin de jour de douze places, une consultation de Kind & Ge-zin (équivalent flamand de la Ligue des Familles), un guichet de soin à domicile, des locaux destinés à une équipe paramédicale et aux réunions, les bureaux de la direction et de l’administration, des salles de classe et la cafétéria du centre de services local, une salle silencieuse, une cui-sine et les locaux techniques.

La finition extérieure reflète clairement la répartition fonctionnelle. Comme l’explique l’architecte Hannelore Thoelen (osar archi-tectes): «Les niveaux 0, +2 +3 et +5 hébergent les chambres et ont reçu une finition an-

ti-poussière. Les deux étages intermédiaires regroupent les pièces de vie, qui desservent chacune deux étages de logement et se re-connaissent aux façades de verre en retrait. Deux terrasses améliorent le confort. Grâce au plan de site carré, avec ascenseur et es-caliers centraux, il n’y a que quatre chambres par couloir à chaque étage, ce qui crée une certaine intimité et évite que les résidents ou les visiteurs ne soient désorientés face à une

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Le CSR Stede Akkers à HoogstratenMatch à domicile

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Escaliers extérieurs, pentes verdoyantes, sentiers de prome-nade et passerelles suggèrent une dynamique quasi-urbaine et séparent les fonctions spécifiques du CSR et les services complémentaires.

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batterie de portes. Les coins salle à manger et salon des espaces de vie, cossus, invitent les résidents à sortir de leur chambre.» L’immeuble est le fruit d’un travail d’équipe. Aussitôt le permis délivré, l’entrepreneur a rejoint l’équipe des concepteurs, du maître d’ouvrage et de l’utilisateur. Hannelore Thoe-len: «En général, ce type de projet passe en cours de route par des modifications qui im-pactent le coût; c’est pourquoi l’entrepreneur doit pouvoir réfléchir en équipe aux solu-tions les plus réalistes sur le plan budgétaire.»Grâce à son implantation non loin du centre, le site occupe une place pertinente au sein du tissu urbain. Le terrain du club de football local se trouve derrière le site, et l’école avec son infrastructure sportive est à côté. Les chemins qui parcourent la zone résidentielle

attirent de nombreux jeunes et cyclistes, et sont faciles à emprunter pour les personnes qui utilisent un fauteuil roulant ou un déam-bulateur. Un complexe sportif urbain équipé d’une piscine et d’un grand parking viendra également s’ajouter à terme; il sera aussi ac-cessible aux visiteurs du CSR.

Contrôle des accès: équilibre délicatDans le nouveau CSR, les résidents atteints de démence ne sont plus hébergés dans des sections séparées. Els Timmermans, secré-taire du CPAS: «Les 8 salles de vie sont sub-divisées en recoins agréables où les résidents peuvent prendre place en toute intimité avec leur famille. Grâce à notre concept de soins mixtes, ils peuvent se déplacer libre-ment dans tout l’espace de vie, ce qui les

apaise énormément.»Bien entendu, ce choix a affecté le contrôle des accès. Il a surtout fallu chercher un bon équilibre entre un contrôle suffisant et un lieu aussi ouvert que possible. Jan Kenis, di-recteur de l’infrastructure: «Les soins souhai-taient un minimum de portes avec contrôle d’accès, mais aussi des espaces de vie que l’on puisse fermer. Nous y avons installé des

Depuis peu, le CPAS de Hoogstraten dispose d’un centre de soins résidentiels flambant neuf qui rassemble un centre local de services, des services de soin à domicile intégrés, une administration, des soins de jour et des séjours courts. Le complexe est situé sur le

site du CPAS, entre le centre-ville et le terrain de football. Avec les immeubles avoisinants - 25 appartements pour seniors, 43 appartements supervisés, le CPAS et l’ancienne maison de repos à réaffecter -, le CSR Stede Akkers constitue une agréable zone résidentielle réalisée d’après un projet d’osar architectes.

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L’attention à la lumière, à l’espace et à la vue sur la verdure se perpétue dans la cafétéria. Des plafonds acoustiques atténuent le bruit. Grâce à Digidak, un accès Internet gratuit, la cafétéria reçoit la visite de nombreux voisins et de jeunes.

Vue sur la cuisine compacte à côté de la salle à manger, où les repas sont distribués après avoir été réchauffés en bas, dans la cuisine. Pour les repas, le CPAS travaille avec un fournisseur externe sur le principe de la ligne froide.

© Sven van Baarle© Osar architecten

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claviers à code. Au besoin, les soignants peuvent verrouiller les chambres de l’exté-rieur à l’aide de serrures à solénoïdes, ce qui permet de limiter au maximum la contention des patients présentant des comportements problématiques. Bien entendu, ce blocage s’ouvre automatiquement si l’alarme incen-die se déclenche.»Els Timmermans: «Les badges que nous utili-sons pour l’accès servent aussi à l’enregistre-ment du temps, c’est pourquoi ils sont per-sonnalisés. Il est toujours possible de vérifier qui est entré dans telle ou telle pièce.»Jan Kenis: «Les visiteurs ont librement accès aux chambres entre 8 et 20 heures. Ils ne doivent taper un code qu’en quittant le bâti-ment. Après les heures de visite, tout se ver-rouille automatiquement, y compris les accès aux caves entre les blocs, et pour l’extérieur, les contacts ne sont plus possibles que par le parlophone. De cette façon, nous pou-vons accueillir des activités ou des consulta-tions dans le centre de services pendant ces plages horaires.»

Pour éviter les fugues des personnes présen-tant des risques d’errance, toutes les sorties et les sous-sols sont équipés d’un circuit qui, combiné à un bracelet, prévient automati-quement le personnel soignant lorsqu’un de ces résidents tente de quitter le bâtiment. C’est une intervention qu’il faut prévoir à temps, car le dispositif est difficile à intégrer après la construction, souligne le directeur de l’infrastructure.Pour éviter les vols, les résidents se voient proposer des séances d’information, et chaque chambre est équipée de son propre coffre, dont seuls le résident ou sa famille connaissent le code. Jos Matthé, président du CPAS: «Nous étudions actuellement la pertinence d’une surveillance vidéo aux en-trées. Non que nous soyons souvent victimes de vols, mais chaque infraction est une in-fraction de trop.»

D’excellentes performances énergétiquesLes immeubles, construits dans une structure de béton de colonnes et de dalles de sol avec maçonnerie de remplissage, sont très bien

isolés. Les étages à façade vitrée sont en re-trait, de façon à limiter la lumière solaire. Des pare-soleil automatiques commandés par le rayonnement solaire, la température et la vitesse du vent permettent de lutter contre les températures excessives. Pour le contrôle du climat, les concepteurs ont eu recours à la pointe de la technologie: stockage froid/chaleur combiné à une pompe à chaleur, plus une chaudière à gaz à condensation pour le chauffage d’appoint (voir encadré). Ce passeport énergétique est complété par un éclairage commandé par des détecteurs de mouvement dans les toilettes, les pièces sanitaires des chambres, les rangements et les cages d’escalier. La nuit, on passe à un éclairage de base, quitte à activer d’autres

points lumineux grâce aux détecteurs.Sur les toits plats, l’eau de pluie est récupé-rée et réutilisée pour les toilettes de deux blocs. Les toits des caves sont aménagés en toitures vertes, qui évoluent avec les saisons et prolongent agréablement la verdure du patio.Compte tenu de la mauvaise portance du sol, il a fallu prévoir pour les caves une protection suffisante contre les infiltrations d’eau. Sous la dalle de sol et autour des murs en béton préfabriqué, des tapis d’argile font tampon, stockant l’eau et la libérant progressivement.

Sur les toits plats, l’eau de pluie est récupérée et réutilisée pour les toilettes de deux blocs. Les toits verts évoluent avec les sai-sons et constituent un agréable prolongement de la verdure.

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Technologie pratiqueDu point de vue technologique, le déména-gement du CPAS a marqué un grand pas en avant. Le système d’appel des soignants (Te-levic) a été couplé à une application mobile, ce qui permet aux appels et aux messages d’alarme d’arriver sur dix smartphones via le réseau wi-fi. Le système permet la com-munication entre l’appelant et le soignant. Chaque chambre est équipée d’un terminal à écran tactile, de trois boutons d’appel et d’un cordon. Dans l’avenir, ces terminaux permet-tront de mettre le système d’enregistrement des soins à jour. Els Timmermans: «Le sys-

tème d’appel est aussi utilisé dans les appar-tements supervisés, et de ce fait, le CSR est aujourd’hui à la pointe de l’offre en matière de soins, puisque les repas, le nettoyage et divers services comme le salon de coiffure, la wasserette, l’atelier de repassage, la cafétéria etc. sont partagés.»Les résidents ont également accès au ré-seau wi-fi. Pour l’instant, les (petits-)enfants forment l’essentiel du groupe-cible, mais à terme, il est probable que l’utilisation aug-mente. Dans les chambres, les résidents disposent d’un choix de chaînes télévisées numériques et, bien entendu, d’un téléviseur

Stockage d’énergie thermique et activation de la masse thermique du bétonL’énergie produisant la température de base est d’origine géothermique, et est générée par un stockage thermique à source ouverte. L’excédent de chaleur (en été) ou de froid (en hiver) est stockée dans des couches d’eau souterraine, via deux puits, à 120 mètres de profon-deur. Lorsque c’est nécessaire, la chaleur ou le froid sont pompés et distribués par activation de la masse thermique du béton. Au total, le sol en béton des chambres et des espaces de vie est parcouru par environ 38 kilomètres de tuyaux en polyéthylène fixés aux armatures et par-dessus lesquels le béton a été progressivement coulé. De l’eau passe par ces tuyaux, délivrant chaleur ou fraîcheur par le sol. Ainsi, toute la masse du bâtiment est chauffée ou rafraîchie en permanence, y compris pendant la nuit et le weekend, de sorte que la température intérieure ne varie pratiquement pas. C’est une pompe à chaleur qui assure le chauffage, en portant la chaleur prélevée à une température plus élevée. Le refroidissement ne fait pas appel à la pompe à chaleur car la température ne doit pas tomber trop bas pour éviter tout risque de condensation. En cas de demande supplémentaire de chauffage, ou pour chauffer l’eau sanitaire (afin d’éviter la légionnellose), deux chaudières à gaz à condensation peuvent prendre intégralement le relais en cas de déséquilibre du système de base. Les radiateurs à vanne thermostatique des chambres, qui permettent aux résidents de régler eux-mêle la température, sont directement alimentés par une de ces deux chaudières. Un système de circulation d’air à récupération de chaleur garantit un climat intérieur sain, les planchers surélevés sous-traient tous les dispositifs techniques à la vue, et les fenêtres des chambres ont fait l’objet d’un soin particulier. Pour éviter que les habitants ne les mettent en position oscillante par les jours plus chauds, ce qui dérèglerait la climatisation, des fiches expliquant le système ont été attachées aux poignées. Cette mesure s’est avérée suffisante.

Pour créer une ambiance sympathique, les résidents sont accueillis en petits groupes. Un espace de vie séparé, avec coin télévision et salon, les invite à bavarder ou à regarder la télévision ensemble. Le parquet à lamelles assure une touche chaleureuse.

Le centre de services qui occupe le sous-sol est organisé au-tour d’une place intérieure centrale et d’un jardin d’intérieur. Les baies vitrées garantissent une luminosité, une aération et une vue suffisantes.

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à écran plat. La cafétéria propose Digidak, un accès gratuit à Internet que de nombreux jeunes utilisent volontiers. Grâce à cette in-teraction et à une offre d’activités diversifiée, le centre de service est devenu une véritable maison de quartier.

Jan Kenis: «Lors du déménagement, nous sommes passés à un partenariat avec Hospi-tal Logistics pour la gestion des stocks. Cela nous a permis de limiter ceux-ci à un mini-mum, de lutter contre les stocks dormants et d’économiser sur l’espace de stockage. Les stocks sont aussi gérés par le système vide/plein, qui permet l’envoi électronique de commandes par scannage des codes-barres. Grâce à cette simplification, les chefs de services n’ont plus à se soucier du réappro-visionnement: les collaborateurs de la logis-tique se chargent de tout. Nous pouvons aussi comparer la consommation des divers produits, ce qui peut à la longue nous ame-ner à adopter de meilleures pratiques.»Depuis que le chef coq a rendu son tablier, le CPAS travaille avec un fournisseur externe sur le principe de la ligne froide. C’est au CSR que les repas sont réchauffés à l’aide de cha-riots de régénération. Els Timmermans: «Nous avons donné la préférence à cette formule, plutôt qu’à une cuisine, car cela nous évitait de devoir prévoir une compartimentation anti-incendie supplémentaire dans l’espace de vie, ce qui aurait nui à l’ouverture et à l’ac-

cessibilité tout en représentant un surcoût considérable.»

Parcours de changementL’un dans l’autre, le déménagement a repré-senté une transition d’envergure qui a jus-tifié l’élaboration d’un parcours interne de changement. Des groupes de travail rassem-blant des délégués de chaque bloc ont mis le schéma de travail théorique à l’épreuve de la pratique concrète. La formation nécessaire a également été prévue. Els Timmermans: «Auparavant, nos collaborateurs travaillaient dans de longs couloirs sur trois niveaux, et il était facile de transmettre des messages ora-lement. Aujourd’hui, ils sont répartis sur 24 étages, dans des couloirs compacts où ils sont souvent seuls. C’est le changement majeur.»Jan Kenis: «Nous dépendons aussi beaucoup

plus de la technique. Avant, il y avait toujours un soignant dans le couloir lorsqu’un ré-sident avait un problème. Aujourd’hui, il peut s’écouler un temps assez long sans présence dans le couloir.»Pendant la réalisation, on a consacré beau-

Le site du nouveau centre de soins résidentiel est un repère architectural, la vieille chapelle constituant une relique du temps jadis. Toutes les chambres donnent sur la verdure, le terrain de football ou l’environnement bâti.

«Auparavant, nos collaborateurs travaillaient dans de longs couloirs, et il était facile de transmettre des messages orale-ment. Aujourd’hui, ils sont répartis sur 24 étages, dans des couloirs compacts où ils sont souvent seuls. Nous dépendons aussi beaucoup plus de la technique. Il faut se préparer soigneusement à ce changement de méthode de travail», expliquent (de gauche à droite) le directeur de l’infrastructure Jan Kenis, la secrétaire du CPAS Els Timmermans, le président du CPAS Jos Matthé et l’architecte Hannelore Thoelen d’osar architectes.

Plan d’implantation © Landinzicht

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• Plafond cafétéria: plafond acoustique, Heradesign superfine• Sols: sols surélevés aux étages. Dalles de céramique 60 x 60 en sous-sol, parquet en chêne à lamelles verticales dans le centre local de services et les espaces de vie, Marmoleum Forbo dans les chambres et les couloirs, PVC Forbo Surestep Star dans les cellules sanitaires, dalles de moquette Desso Reclaim Ribs dans les bureaux et la partie administrative.• Ascenseur: Kone• Chauffage: Stockage thermique (IFTech) avec pompe à chaleur (Viessmann); chaudière à gaz à condensation (Viessmann)• Ventilation: ventilation contrôlée à récupération de chaleur, par bloc• Pare-soleil extérieurs: screens, Harol• Éclairage: principalement néons Zumtobel• Cuisine: matériel Rubbens• Buanderie: machines et séchoirs Miele Professional• Gestion des stocks: Hospital Logistics• Contrôle des accès: système central avec badges personnalisés; circuits de détection à toutes les entrées et au sous-sol• Système d’appel: Televic• Portes coulissantes automatiques entrée: Kone

Sanitaire salle(s) de bains commune(s)• Lavabo: Sphinx• WC: Delta• Chasse: Geberit

Sanitaire couloir et WC visiteurs• WC: Delta• Chasse: Geberit• Lavabos: Keramag• Robinets: Ideal Standard

Chambres individuelles • Éclairage: Zumtobel• Lavabo: Keramag• Robinets: Grohe (douche) / Ideal Standard (lavabo)• WC: Delta • Accoudoirs WC: Linido• Pare-soleil extérieurs: screens, Harol• Meubles: contreplaqué + HPL, conception osar / exécution Vanhout.pro• Finition sols: Marmoleum Forbo• Finition sols dans les cellules sanitaires: pvc Forbo Surestep Star

Généralités• Maître d’œuvre: Belfius• Porteur d’initiative et utilisateur: CPAS Hoogstraten• Architecture et aménagement d’intérieur: osar architects sa Architecture paysagère et aménagement des environs: Landinzicht • Consultant climatisation: BOTEC• Étude géothermique: Terra Energy• Coordination sécurité: Bopro

Bâtiment• Superficie: 15.500 m²• Coefficient K: 37• Nombre de lits: 150 dans le centre de soins résidentiel + 4 en séjour court + 10 en accueil de jour• Durée des travaux: juillet 2010 – mai 2012• Coût: 25 000 000 d’euros, y compris TVA et honoraires

Entrepreneurs• Entreprise générale: THV Zorgcentrum Hoogstraten (Vanhout / Van Roey /Antwerpse Bouwwerken)

Matériaux et équipement• Système de construction: structure autoportante de colonnes et de sols en béton armé coulé sur place Les dalles en béton renferment des plaques de soubassement EPS et des tuyaux en plastique pour l’activation thermique du béton• Fondations: sur pieux avec pieux vissés pénétrants, chape portante de 45 cm d’épaisseur et tapis d’argile• Murs des caves: éléments en béton préfabriqués, tapis d’argile et dalles de 9 cm XPS.• Murs extérieurs: briques Snelbouw 14 cm, isolation 20 cm EPS, Enduit de façade à effet lotus antipoussière K 1.5 de STO• Menuiseries extérieures: aluminium, Reynaers CS 77• Vitrage: verre à haut rendement 1.1, AGC Thermobel TOP N• Toitures plates: isolation Unidek EPS 100 et étanchéité roofing APP Roofing systems• Toiture verte: intensive au-dessus du sous-sol et du rez-de-chaussée - extensive pour la cage ascenseur-escalier• Murs intérieurs: parois en plaques de plâtre acoustiques à double cloison 12,5 cm, Gyproc• Enduit murs intérieurs: Knauf MP75• Plafonds: faux plafond Eurocoustic tonga/Eurocoustic Neptune/ Clini’Clean

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coup d’attention à l’implication des habitants du quartier, notamment sous la forme d’une participation à la journée chantiers ouverts, d’une communication dans les conseils de village, et de reportages dans le mensuel local. C’était un choix conscient car par dé-finition, l’architecture contemporaine mar-quante et l’ampleur du projet ne plaisent pas à tout le monde. Les résidents n’ont pas eu besoin de parcours de changement: ils se sont habitués d’emblée à leur nouveau chez-eux. En dépit de l’augmentation du nombre de lits (150 chambres particulières + 4 chambres pour séjour court), il fait beau-coup plus calme car seules les équipes de nettoyage passent avec des chariots dans les couloirs. Toutes les chambres ont la même superficie, environ 30 m², ce qui simplifie les soins et l’utilisation du lève-personnes.Grâce à la pièce sanitaire individuelle avec douche assise qui équipe les chambres, les résidents n’ont plus besoin de traverser le couloir pour leur toilette quotidienne. Le choix des matériaux et des couleurs privilé-

gie la neutralité et le sentiment d’être chez soi, avec dans les espaces de vie et la cafétéria un parquet à lamelles chaleureux et résistant à l’usure, et dans les chambres et couloirs un Marmoleum facile à entretenir. Les rideaux aux couleurs claires chassent les idées noires et sont complétés par des stores occultants pour les personnes qui ont le sommeil fra-gile. Les résidents peuvent amener leurs propres petits meubles et leurs effets person-nels. Ainsi, bien qu’ils aient dû quitter leur en-vironnement familier, ils peuvent encore se sentir chez eux pendant leur séjour au CSR.

Rédaction: Colette Demil et Staf Bellens - Photos: osar archi-tecten, Landinzicht, Michiel De Cleene, Sven van Baarle

Chaque tour abrite des espaces de vie et des locaux de soins pour 38 résidents. Les terrasses panoramiques avec coins salon protégés offrent un agréable espace extérieur. La verticalité et la compacité de l’ensemble donnent à chaque bâtiment l’allure d’un immeuble d’appartements.

Pour maximiser le confort d’utilisation, les ascenseurs oc-cupent le centre de l’immeuble; ils sont vastes et équipés d’un siège. Le sol est revêtu de Marmoleum facile à entretenir.

L’an dernier, le CSR St. Petrus (Turnhout) a été livré. Le complexe, qui rassemble

32 lits et un centre de soins local, est bâti à partir d’une structure portante

en béton permettant un aménage-ment flexible. L’activation de la masse thermique du béton constitue la base du chauffage et du refroidissement de

l’immeuble.

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A l’endroit du CSR existant de Merksem se dressera un nouveau complexe prévu pour 180 résidents, combiné à 80 appartements supervisés, un centre de services et un parc. Chaque niveau du CSR, subdivisé en trois entités de 60 résidents chacune, offre place à 15 personnes. Sur le plan du concept, osar architectes a opté pour des immeubles compacts donnant sur la rue et le jardin intérieur collectif.

OSAR - ‘Open Studio voor Architectuur’Le bureau d’architectes osar mise sur la recherche, la connais-sance, l’expertise, l’innovation et la qualité. Avec des bureaux à Anvers, Gand et Hasselt, il est surtout actif dans le secteur des soins de santé. Ses références incluent des hôpitaux, des établis-sements psychiatriques, des maisons d’accueil pour jeunes, des centres de soins résidentiels et des formes de logement collectifs pour seniors. A partir de son expertise, osar a développé une vi-sion claire des soins de santé pour les personnes très âgées qui doivent emménager en CSR, et qui sont de plus en plus souvent atteintes de démence. Le projet s’articule autour du résident, ce qui explique la préférence accordée aux petits groupes (8 à 15 per-sonnes au maximum), un environnement où l’on se sent chez soi, de grandes chambres individuelles avec leur propres sanitaires, de la place pour quelques meubles et objets familiers, suffisamment de lumière naturelle et vue sur la rue ou un environnement vert. On évite au maximum les couloirs, qui désorientent et inquiètent les personnes démentes. Les chambres donnent sur un espace commun (salon, salle de télévision, cuisine). Les soins sont inté-grés aussi discrètement que possible. L’immeuble doit offrir une plus-value esthétique et qualitative.Cette approche influence la règle du ‘1:5:200’ qui fait le lien entre les coûts de construction et d’investissement, le coût d’utilisation et le coût d’exploitation. Le facteur 1 renvoie au coût de la construc-tion et de l’infrastructure. L’entretien, l’énergie, le nettoyage etc. se chiffrent à cinq fois les coûts de construction. L’organisation, le personnel etc. représentent un multiple 200 de ces mêmes coûts. L’architecture prend une part relativement modeste du coût total, mais peut influencer fortement le facteur 200. Par exemple, si le projet réduit l’angoisse des résidents déments, cela influencera positivement la charge de travail du personnel._________________________________________www.osar.be

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REPORTAGELa sécurité, le soin et le zinc vont de pair

Un centre de psychiatrie pénitentiaire est un établissement fermé, destiné à abriter des patients internés qui ne peuvent se retrouver en prison puisqu’ils ont été déclarés irrespon-sables. Toutefois, ils ne peuvent pas non plus être internés dans un établissement psychia-trique courant pour des raisons évidentes de sécurité. La Belgique compte deux hôpitaux à Tournai et à Mons. Cependant, nos prisons abritent encore un groupe d’environ 690 per-sonnes qui auraient besoin d’un meilleur ac-compagnement psychiatrique. La décision a donc été prise de construire deux centres de psychiatrie pénitentiaire, entre autres à Gand. En 2007 la Régie des Bâtiments a confié la ré-alisation de ce projet à l’équipe multi-discipli-naire ABSCIS - dJGA - INGENIUM - DERVEAUX - AT OSBORNE. La Régie a confié l’entreprise à la firme Denys de Wondelgem. Les travaux de construction ont démarré en octobre 2011. La réception par la Régie des Bâtiments est prévue pour mars 2014, l’ouverture défi-nitive fin 2014.

Un exercice d’équilibre architectural « Le concept architectural a été confié au bu-reau de Jong Gortemaker Algra de Rotterdam » explique Pieter De Smet de Abscis Archi-tecten. « Abscis s’occupera des réalisations techniques, de la coordination de l’équipe du projet et du suivi des travaux. Les exigences sont très spécifiques car elles combinent les besoins du secteur des soins, dans ce cas la psychiatrie, aux problèmes de sécurité d’un établissement pénitentiaire. Le secteur des soins met l’accent sur un concept architec-

tural ouvert où la lumière et l’ouverture vers l’extérieur sont primordiaux tandis que le Service public fédéral préfère le concept ar-chitectural fermé. Réunir les exigences de ces deux camps est un véritable défi à relever. Le processus architectural vise à fusionner deux options apparemment inconciliables: d’un côté une sécurité maximale, et de l’autre, un contexte thérapeutique qui offre un espace permettant une vie agréable et normale dans une petite communauté protégée. Le but final de ce centre est la réinsertion des patients internés dans la société.

Des pavillons d’habitation de petite tailleCette double fonction se retrouve déjà dans le plan. L’établissement comprend diffé-rents pavillons, répartis sur deux étages de construction, reliés grâce à et par le bâtiment central qui comprend, lui, trois étages. Le bâ-timent central abrite les services d’aide, les espaces de loisirs et de travail, les locaux de thérapie et les pièces pour les entretiens. De grands patios permettent d’admirer le pay-sage et la lumière peut pénétrer à flots. De grandes vitres éclairent aussi les couloirs qui relient les espaces pavillons d’habitation. Ces espaces ont tous leur propre identité, ils sont disposés autour de la partie centrale en forme

d’éventail. Ces pavillons sont de petite taille, tout y encourage un certain climat de séjour. Les bâtiments sont partiellement entourés de murs d’enceinte. Le souci de sécurité se remarque encore par la présence de grillage d’enceinte et d’un système de caméra.

Le zinc: esthétique et sûr Le double problème d’ouverture et de sécuri-té se manifeste aussi dans le choix des maté-riaux. «Pour des raisons thérapeutiques, nous avons opté pour la présence importante du verre. Dans les pavillons, nous employons au maximum les avantages du patio où trans-parence et lumière jouent avec l’espace » ex-plique Pieter De Smet. «Nous avons choisi le meilleur vitrage existant du point de vue de la sécurité. Le choix du VMZINC se motive par sa qualité et sa longévité. Les toits des pavil-lons et les parties supérieures des façades en sont couverts. Le choix est esthétique car le zinc s’harmonise avec la brique choisie. Mais il est aussi un bon choix en matière de sécu-rité car les systèmes de revêtement en VM-ZINC n’ont pas de fixations apparentes et ne se démontent pas sans outils adéquats. Un autre aspect, c’est la durabilité. Tous les ma-tériaux utilisés doivent résister à la corrosion et être inusables. Nous avons aussi employé des matériaux recyclables lorsque c’était pos-

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Le nouveau Centre de Psychiatrie Pénitentiaire de Gand verra l’installation de plus de 6.000 m2 de VMZINC sur les toits et les façades. Un choix évident pour le maître d’ouvrage car le projet devait réconcilier deux extrêmes: rencontrer un haut degré de sécurité et favoriser

un climat chaleureux encourageant l’amélioration de la santé mentale du patient. Le choix pour le zinc reflète ce but. Le zinc est sûr, écarte le problème de vandalisme, et est en même temps esthétique, chaud et durable.

sible. Les solutions VMZINC répondent à ces différents cri-tères. Elles demandent peu d’entretien, elles sont étanches, résistantes aux assauts de la nature et recyclables à 100 %. Elles ont aussi une durée de vie longue. »

Planifié avec minutie, plus rapide que prévuLe coordinateur du chantier, Freek Van Vlaenderen de Denys, raconte: « Lorsque le projet nous a été confié, nous étions certains que le Centre de Psychiatrie Pénitentiaire serait un grand défi pour différentes raisons. D’abord le bâtiment a une valeur de 60 millions d’euros. Et surtout, le centre a été construit sur un ancien dépotoir, il a donc fallu se pencher sur tous les problèmes de subsidence.Le plus grand défi fut, le fait que nous devions employer des matériaux résistants au vandalisme et que le délai d’exécution était limité à 2,5 ans. Grâce aux 120 personnes qui travaillent quotidiennement sur le chantier, nous respectons le schéma. Il en va de même pour le partenaire installateur Verhoye-Dult qui pose le zinc. Il doit poser du VMZ Joint Debout en toiture sur une surface de 5.000 m2, du VMZ Joint Debout sur 800 m2 de façade et du VMZ 333 Profil à Emboîtement ST sur 300 m2 de façade.

La pose du zinc fut plus rapide que prévu« Nous avons choisi de travailler avec lui parce que nous avons compris qu’il jouissait d’une grande expérience et d’une excellente connaissance dans le domaine du zinc » explique Van Vlaenderen. « Il nous a montré les dangers possibles: il savait que si l’isolation n’était pas assez plane, le recouvrement de zinc serait difficile à placer. Et la pose du zinc fut plus rapide que prévu. Le temps était le seul facteur imprévisible. Il a consacré environ 1.200 heures de travail au placement de l’isolation sous les profils de façade et 3.000 heures à la pose du VMZ Joint Debout sur une surface de 5.000 m² pour le toit et à la pose des VMZ 333 Profils à Emboî-tement ST sur une surface de 300 m².»

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Avec son savoir-faire technologique, Scheidt & Bachmann est actif dans quatre domaines du marché, dont celui des systèmes de ges-tion de parking. Plus de 2000 personnes à travers le monde conçoivent, construisent et entretiennent chaque jour des systèmes et des applications high-tech pour la mo-bilité. Le département R&D de Scheidt & Bachmann se situe au QG de l’entreprise, à Mönchen-Gladbach (Allemagne). Le fait que la conception et la production s’effec-tuent en interne permettent à l’entreprise de commercialiser des équipements person-nalisés, comme par exemple des automates de paiement de couleur spécifique. Les ac-tivités des diverses filiales sont étroitement liées aux pays où elles sont présentes. En Belgique, Scheidt & Bachman se concentre sur les systèmes de parking intelligents qui trouvent notamment leur application dans les hôpitaux, les aéroports, les grandes villes, les centres commerciaux etc. L’univers hospitalier, tout particulièrement, s’intéresse de plus en plus aux systèmes de parking, car la possibilité de se garer fa-cilement est un élément qui contribue au confort. Dans notre pays, Scheidt & Bach-mann possède sa propre filiale depuis 2000,

lorsque les projets de Brussels Airport et des parkings en périphérie d’Anvers se sont concrétisés. En tant que spécialiste des systèmes de gestion de parking, la filiale de Zaventem se concentre sur les études préalables, le consulting et l’installation de systèmes de parking. La maintenance pré-ventive et le service de réparation font égale-ment partie de ses activités. La filiale dispose d’un large stock de pièces de rechange in-dispensables, calculé en fonction de la base installée (environ 120 systèmes) en Belgique. Ces dernières années, un vent nouveau souffle sur Scheidt & Bachmann Belux. Son directeur général, Eddy Croes, entend amé-liorer en permanence la structure de la filiale et continuer à exploiter le potentiel du sec-teur des soins de santé.

L’ordinateur au coeur du système de parkingL’ordinateur forme le coeur de tout système de parking moderne, car c’est lui qui pilote et contrôle l’ensemble de l’activité du site. Scheidt & Bachmann dispose d’une vaste gamme de produits tant logiciels que ma-tériels. Il peut s’agir de barrières, mais aussi de bornes de contrôles d’accès, de lecteurs

de badges, d’automates de paiement et de poteaux escamotables. De plus en plus sou-vent, le système de contrôle des accès de l’immeuble proprement dit est couplé à celui du parking, afin d’éviter l’utilisation de deux badges différents. Un réseau informatique permet de relier les divers appareils. Le logi-ciel Entervo, développé par Scheidt & Bach-mann, exporte même certaines applications dans le ‘cloud’, le nuage informatique. « Pour aider les clients qui ne souhaitent pas investir dans une infrastructure IT pour leurs parkings, nous proposons une solution au niveau du matériel, qui consiste à utiliser un serveur distant pour la gestion. Cela peut s’avérer in-téressant, y compris pour le secteur des soins de santé, en permettant de limiter le nombre de serveurs (personnel, fournisseurs, parking) dans le hall d’entrée », explique Croes.

Pour une communication optimale des donnéesDans les hôpitaux, l’importation et l’exporta-tion de toutes sortes de données conservées dans ces systèmes sont de plus en plus im-portantes. Ainsi, les données du système de gestion, par exemple, peuvent être échan-gées avec celles de la comptabilité. Scheidt &

Un système de parking performant génère du chiffre d’affaires et accroît le confort du visiteur

Haute technologie et champ d’application diversifié vont de pair chez Scheidt & Bachmann, le seul fabricant parmi les grands acteurs du marché de la technologie pour parkings qui offre un très large

portefeuille de solutions propriétaires. A côté du ticket à code-barres et à bande magnétique, l’entreprise a également commercialisé un système de jetons à puce qui limite au strict minimum l’appareillage pour l’utilisateur.

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Bachmann a mis au point un module logiciel spécifique à cette fin. En effet, un système de parking performant permet de générer un chiffre d’affaires considérable. Les demandes de communication de données avec un pa-quet ERP externe sont fréquentes. Les don-nées dans le système de parking peuvent être interfacées avec un système SAP, Navision ou People Soft. Là aussi, une interface universelle fluidifiant permettant de lisser la communica-tion entre les systèmes (Entervo et autres) a été développée. « On oublie souvent à quel point le fait d’ajouter l’une ou l’autre fonc-tionnalité peut impacter le confort d’utili-sation au quotidien, tant pour le personnel que pour les visiteurs d’un hôpital. S’il s’agit d’un groupe d’hôpitaux ayant chacun leur propre parking, il peut être utile d’installer un système de type ‘salle de contrôle’. On a ainsi accès non seulement au contrôle et aux com-mandes, mais aussi aux recettes de chaque parking. Généralement, nous conseillons au service technique certaines fonctionnalités auxquelles il n’avait pas pensé ou dont il ne connaissait pas l’existence », précise Tom Goossens, Regional Sales Manager.

La troisième voie: le jeton à puce intelligentDans sa gamme de solutions pour le parking de courte durée, Scheidt & Bachmann pro-pose trois possibilités: le ticket à code-barres, le ticket à bande magnétique, et le jeton à

puce intelligent. Le fabricant allemand est le seul acteur du marché à proposer cette troisième possibilité. Le système est encore relativement peu connu dans les soins de santé, mais il équipe depuis plusieurs années d’autres parkings en Belgique. Ceux du She-raton Brussels Airport, de l’Airport Ostend-Bruges et du Shopping de Genk ont été équipés d’un système de gestion du parking à jetons à puce intelligents. Au Royaume-Uni, c’est même la technologie qui équipe en standard la plupart des parkings. Un jeton à puce est un support d’information composé d’un corps en plastique dans lequel est coulé un microprocesseur sur lequel des informa-tions sont stockées grâce à un code unique. « Le système présente de nombreux avan-tages », poursuit Croes. « D’abord, il est réu-tilisable presque indéfiniment. Au lieu d’un ticket, l’utilisateur (du parking) reçoit un je-ton à puce qu’il doit conserver pour le pré-senter à la caisse automatique au terme de sa visite. Le système permet d’économiser, et pas seulement au niveau de la consomma-tion de papier. En effet, les tickets en papier doivent aussi être stockés, ce qui implique qu’ils doivent rester au sec pour ne pas coller les uns aux autres. Ce n’est qu’un des défauts les plus fréquents des caisses automatiques. Notre système de jeton à puce est étanche et fonctionne sur le principe de la gravité. Le jeton tombe dans un bac ou un réservoir de réception et est présenté à l’utilisateur. L’in-

formation est stockée sur le jeton pendant sa chute. Le mécanisme de transport, d’impres-sion et de traitement du ticket, indispensable dans les autres systèmes, disparaît ici com-plètement. Le nombre de pièces mobiles est moins important, ce qui se traduit par un processus exempt de tout contact. »

Jeton à puce contre jeton en cuivre« En développant notre appareillage de par-king, nous misons avant tout sur l’ergonomie et la facilité d’utilisation. La robustesse est une autre caractéristique clé de ces pro-duits allemands. Le jeton à puce offre des avantages à plusieurs niveaux: écologique (aucune consommation de papier), opéra-tionnel (moins de pannes) et économique (coût d’exploitation moins élevé). Le risque de perte du jeton a également été pris en compte. c’est pourquoi il possède une cer-taine épaisseur, et donc un certain poids, ainsi qu’une couleur bien visible. Le jeton à puce est souvent associé, à tort, au jeton de cuivre. Or, contrairement à ce dernier, le jeton à puce est un composant intelligent », pré-cise Tom Goossens.

La détection des plaques minéralogiques, une technologie qui progresseScheidt & Bachmann a également mis au point une station de péage sans barrières dans laquelle une seule caisse automatique sert à la fois les personnes valides et celles qui présentent un handicap physique, malgré l’absence d’une législation belge vraiment claire », signale Croes. « Pour l’instant, nous développons une autre technique inédite qui enregistre les entrées et les sorties de vé-hicules au moyen d’un système de caméras. Celui-ci peut également s’installer dans les parkings à ciel ouvert. Il y a aussi la technolo-gie LPR, qui photographie les plaques miné-ralogiques; elle est surtout intéressante pour permettre au personnel d’accéder à une zone déterminée du parking. » Récemment, Scheidt & Bachmann Belux a notamment ré-alisé des projets pour les Cliniques Saint-Jean et Edith Cavell à Bruxelles.

______________ www.scheidt-bachmann.beDe gauche à droite: Tom Goossens, Regional Sales Manager, et Eddy Croes, Managing Director de Scheidt & Bachmann Belux

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L’hôpital Sint Andries a connu ces dernières années une rénovation approfondie. L’hôpital compte 266 lits avec en plus 36 lits pour la clinique de jour. Grâce à la nouvelle aile et la rénovation des ailes existantes, où sont localisés surtout les services médicotechniques,

l’hôpital Sint Andries veut maintenir dans les décennies à venir son rôle important en tant qu’hôpital régional. RE

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Pendant les travaux d’extension, la durabilité et l’efficience énergétique étaient les points d’attention les plus importants pour les tech-niques d’installations, sans oublier la fiabilité, l’hygiène et la facilité d’entretien. Il n’est donc pas étonnant que le choix pour les groupes d’air s’est porté sur les groupes modulaires de traitement de l’air GEA CAIRplus de GEA Happel.

L’hôpital Sint Andries a ouvert le nouveau bloc au mois de mars 2013, trois ans après le commencement des travaux. Agrandir n’est pas un luxe mais une nécessité pour un hôpital. La demande en soins a augmentée à cause du vieillissement de la population. Malgré que le temps d’hospitalisation ait été sensiblement raccourci, l’occupation de l’hô-pital Sint Andries est montée d’environ 5500 hospitalisations en 1980 (sans clinique de jour) à 10.000 hospitalisations en 2012, avec en plus 14.500 patients en clinique de jour.Il est clair qu’une sérieuse extension et réno-vation demandent un investissement impor-tant: 68 millions d’euros, dont près 11 millions pour le sanitaire et toutes les techniques HVAC. Une société temporaire, Declercq nv-Beltherm nv, a été créée pour l’implémenta-tion de toutes ces techniques. Studiebureau

De Klerck Engineering de Bruges a mené à bonne fin le projet. LLOX architecten de Wilrijk était chargé des aspects pratiques et esthétiques. « Du point de vue HVAC, c’est de loin sur le traitement de l’air dans le bloc opératoire que s’est focalisée l’attention », explique Eddy Vancompernolle, senior project mana-ger chez Chauffage Declercq d’Izegem. «Au total, 28 groupes d’air ont été placés, dont 9 pour les différentes salles d’opération et un pour les espaces polyvalents du bloc opéra-toire. Pour être complet, voici la destination des dix-huit autres groupes d’air: hottes du restaurant et de la cuisine centrale, entrée, polyclinique, urgences, récupération, phar-macie et restaurant (nouveau bâtiment), stérilisation, isotopes, bain thérapeutique, physiothérapie, laboratoire, stérilisation, po-lyclinique, soins intensifs, cuisine centrale et imagerie médicale (rénovation). Chaque ap-plication est caractérisée par des paramètres spécifiques déterminant le débit d’air: vo-lume dans l’espace et les activités. Il va de soi que, dans la cuisine, l’air est rafraîchi plus fréquemment qu’à l’entrée ou dans la divi-sion infirmerie. Les différents groupes d’air sont adaptés le mieux possible à leur tâche spécifique ».

Les groupes modulaires de traitement de l’air GEA CAIRplus de GEA Happel ont été sé-lectionnés, notamment pour leur fiabilité et à leur efficience énergétique. La modularité permet d’adapter parfaitement des groupes de traitement de l’air à une application spéci-fique. « Le concept de modularité permet de réaliser un GEA CAIRplus spécifique à partir d’une gamme standard »,précise André Van Lerberghe, sales engineer chez GEA Hap-pel Belgium nv. « En outre, les dimensions standard sont tellement nombreuses qu’un groupe à air peut être construit sur base de 62 dimensions de construction disponibles en fonction des dimensions des espaces à traiter. La qualité «sur mesure» est basée sur: la mise en œuvre de moteurs IE (IE2, IE3, EC), les systèmes de récupération de l’humidité avec 90% de rendement (pas d’application dans ce cas), les ventilateurs et batteries de haute qualité, etc. L’unité est équipée d’un ventilateur performant, disponible pour débits d’air entre 740 et 320.000 m3/h. En standard, les parois intérieures sont en Alu-zink 185 g/m² (dans ce projet, surtout en inox pour une meilleure hygiène et une plus grande facilité de nettoyage). Les parois ex-térieures sont recouvertes d’une couche de polyester. En standard, c’est le RAL 9002 que

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nous utilisons, mais pour une meilleure inté-gration dans les divers environnements, les parois extérieures sont disponibles dans les diverses couleurs RAL selon les demandes. Autoportante, la construction ne comporte pas de pont froid et répond aux normes eu-ropéennes EN 13053, EN 1886 et EN 13779. Plus l’appareil répond aux besoins, plus la facture finale sera avantageuse. Pas de puis-sance ni de débit superflu!»

«Les différents modules sont assemblés ra-pidement et hermétiquement au moyen de raccords. Le transport et le placement sur chantier se font de manière simple et sûre au moyen d’anneaux de levage. Ce n’est qu’un des détails pratiques de construction per-mettant de réaliser les montages de manière rapide et de faire les entretiens de manière simple. La modularité permet une construc-tion verticale ou horizontale, l’une à côté de l’autre, ou l’une derrière l’autre. Les trois dif-férentes versions – unités extérieures, unités intérieures et groupes hygiéniques – sont implantées à l’hôpital Sint Andries de Tielt ».

Grâce à leur hygiène et à leur entretien, les groupes de traitement de l’air GEA CAIRplus conviennent particulièrement bien aux hô-

pitaux, blocs opératoires, maisons de repos, etc. Comme tous les composants sont amo-vibles, les unités GEA CAIRplus se nettoient et s’entretiennent facilement. Les récipients de récupération de la condensation en inox, lé-gèrement inclinés vers le bas et qui, comme tous les autres composants sont parfaite-ment lisses, donnent lieu à une hygiène par-faite et une chute de pression faible côté air. Les panneaux et les portes sont entièrement démontables.

Comme nous l’avons déjà montré, les groupes modulaires de traitement de l’air de GEA Happel ne présentent pas seulement des avantages pour l’utilisateur final mais aussi pour le secteur de l’installation. « Dans la phase de la conception on attache parfois trop peu d’importance à l’exécution pratique par l’entreprise d’installation », explique Eddy Vancompernolle. « Mais l’étude de Studiebu-ro De Klerck en a tenu compte. Dans beau-coup d’autres cas, nous sommes toujours confrontés au défi de placer les appareils et les techniques dans un ordre déterminé pour que le service et l’entretien restent possibles. En collaboration avec Studieburo De Klerck, GEA Happel et en concertation avec les en-trepreneurs nous sommes parvenus à éviter

cet écueil. Il faut absolument veiller à ce que dans les hôpitaux, les groupes de traitement de l’air soient encore parfaitement en ordre de marche après dix ans ». Les groupes de traitement de l’air de GEA Happel peuvent être adaptés de telle sorte que le service d’entretien ait toujours accès à tous les com-posants. Autre condition pour avoir une installation performante: l’expertise et l’expé-rience de l’entreprise d’installation. Considé-rons par exemple l’isolation des canaux à air. Quels seront la température, l’humidité et le débit de l’air à travers les canaux? Il est abso-lument indispensable que l’installateur sache ce qu’il fait. Mais il faut aussi qu’il soit bien accompagné, un point auquel les collabora-teurs de GEA Happel Belgium NV accordent toujours une grande attention.

____________________www.gea-happel.be

GEA a adhéré à Blue CompetenceGrâce à ses connaissances techniques et à sa longue expérience, GEA Happel est en mesure de développer des pro-duits écologiques. Dans tout projet, l’entreprise examine la manière de résoudre le problème de l’efficience énergétique, par exemple, en récupérant l’énergie ou en mettant en œuvre le refroidissement libre.www.bluecompetence.net

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Une entreprise multidisciplinaire de finitions intérieures pour le secteur des soins de santé

Le Groupe Sanakor, membre de la première heure du PRoF, se spécialise dans la finition et l’aménagement intérieurs des hôpitaux et des centres de soins résidentiels. Grâce à ses départements spécialisés et à son approche multidisciplinaire, cet entrepreneur, qui est

aussi une entreprise du savoir, propose des solutions sur mesure pour la construction neuve et les rénovations. Plus spécifiquement, pour le secteur des soins de santé, le Groupe Sanakor dispose d’une expérience et de connaissances très vastes en matière de finitions et d’applications d’intérieur ignifuges et antibactériennes.

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pour laquelle le Groupe Sanakor rassemble plusieurs départements spécialisés qui offrent toute une gamme d’activités: transformations, menuiserie, finition des sols et des murs, tra-vaux de peinture, faux plafonds en dur ou en tissu, mobilier sur mesure, décoration des fenêtres, parois de séparation, systèmes de compartimentage, techniques (électricité, climatisation...) Grâce à l’actualisation perma-nente de ses connaissances des techniques

et des produits, l’entreprise est à même de proposer systématiquement les solutions et les matériaux les plus récents. Par ailleurs, le Groupe Sanakor dispose du know-how requis en matière de finition d’intérieur antibacté-rienne, ce qui est bien entendu un élément crucial pour le secteur des soins de santé.

Le Groupe Sanakor, qui est une entreprise agréée de catégorie D, classe 6, dispose lui-

PLAFONDS INTELLIGENTSLes départements spécialisés du Groupe Sanakor lui donnent accès à de nombreuses solutions intéressantes. A titre d’exemple, les smartcei-lings® sont des faux plafonds multifonctionnels intelligents intégrant de manière invisible éclairage, chauffage, climatisation, insonorisation et acoustique. Le plafond climatique assurant le chauffage et la climatisation est de plus en plus souvent utilisé dans les projets de construction neuve et de rénovation,et pour remplacer les radiateurs. Le plafond climatique smartceiling® diffuse une chaleur homogène et apporte un sen-timent d’intimité, permet d’économiser jusqu’à 12 à 15% d’énergie, tout en assainissant l’environnement grâce à un flux d’air entrant exempt de poussière. De par sa hauteur totale réduire (8 à 10 cm), il laisse de l’espace technique libre au-dessus du plafond. Le plafond climatique peut se combiner à un plafond acoustique et/ou lumineux à technologie LED. Dans ce cas, les fonctions de divers besoins d’éclairage, commande DMX ou commande à distance par domotique, iPad, smartphones... peuvent éventuellement faire l’objet de solutions sur mesure.En ce qui concerne l’écologie, les smartceilings® sont bons élèves, notamment grâce à une utilisation réduite des matières premières, une durée de vie prolongée et des films, des profilés en aluminium et des structures de fixation recyclables à 100%. Bien entendu, les plafonds smartcei-ling® répondent aux exigences en matière d’efficacité énergétique, de performance lumineuse, de respect de l’environnement et de normes anti-incendie. Sur le plan esthétique, ils sont disponibles en 175 couleurs et des finitions diverses, dans un dégradé qui va de mat à brillant, ou avec impression numérique décorative.

La finition et l’aménagement d’un hôpital ou d’un centre de soins résidentiel sont com-plexes, prennent du temps, et exigent le souci de la qualité, de la durabilité, de la fonctionna-lité, de l’esthétique, de la facilité d’entretien et des délais d’exécution. Le processus se trouve simplifié lorsqu’un partenaire multidiscipli-naire est chargé de coordonner et de réaliser la totalité des finitions d’intérieur, ce qui en fait un interlocuteur unique. C’est la raison

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LE PRoF: UNE PLATEFORME POUR L’INNOVATION OUVERTELe Groupe Sanakor est membre du PRoF, un consor-tium d’utilisateurs, d’établissements d’enseignement, de centres de connaissances, concepteurs, fabricants et as-sociations professionnelles. En rassemblant savoirs-faire, expérience et aptitudes, il fonctionne comme un groupe de réflexion qui étudie et aborde diverses thématiques spécifiques inhérentes aux soins et au logement sous plusieurs angles d’attaque. Ses conclusions se traduisent par des concepts, technologies, services et prototypes innovants qui répondent à des besoins concrets et sont immédiatement applicables en pratique. Ainsi, la col-laboration multidisciplinaire entre concepteurs, fabri-cants, exécutants et acteurs de secteurs diversifiés s’est traduite par le développement de concepts d’habitat et de soins innovants pour les séjours dans les hôpitaux et les centres de soins résidentiels. Trois prototypes ont déjà été développés: la Patient Room of the Future, la Personalized Residence of the Future, et la Private Care Room of the Future. Un quatrième projet est en prépa-ration. En complément, le PRoF organise des journées thématiques portant sur l’architecture, la technologie et les services liés aux soins de santé.

__________________________ www.prof-projects.com

même de chefs de projet professionnels expérimentés et de 85 ouvriers qualifiés. De plus, la firme travaille avec quelques sous-traitants soigneu-sement sélectionnés. Ceux-ci assurent l’intégralité des finitions intérieures, ou certains aspects spécifiques comme la peinture, la finition des murs, les plafonds intelligents etc. Le choix des matériaux et des couleurs fait l’objet d’une étroite concertation, éventuellement dans les salons d’exposition situés à Courtrai et Anvers. Dans ce cadre, l’entreprise expose clairement les frais d’entretien liés au choix des matériaux. Les capacités de facility management garantissent au maître de l’ouvrage un entretien efficace et abordable du concept réalisé.Pour mener ses missions à bien, le Groupe Sanakor travaille en étroite col-laboration avec les concepteurs et/ou le service technique de l’hôpital ou du centre de soins résidentiels. C’est là que le groupe se révèle être un partenaire motivant qui participe à la réflexion conceptuelle et apporte une valeur ajoutée grâce à des solutions et des choix innovants.

_______________________________________www.groepsanakor.comRédaction: Colette Demil

Maternité de l’hôpital Sint- Rembert à Torhout. AAPROG Architectes.

Le CSR H. Vander Stokken à Pepingen. Eskape Architectes Le CSR Sint-Anna à Bulskamp. DB-Architectes.

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La biotechnologie a aussi du potentiel dans les soins de santé

Metatecta Biotechnology a récemment décerné, lors d’une séance académique à Malines, les premiers labels Biobalance Quality d’Europe. « Le 3D-Cleaning utilisant

la technologie biomatique peut créer une biodiversité positive et une qualité de l’air naturelle dans tous les immeubles », explique son administrateur Koen De Koster.

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Metatecta, l’entreprise qui a posé, avec le principe Biobalance, les bases scientifiques de l’utilité de la biotechnologie dans notre environnement intérieur, a récemment dé-ménagé vers un immeuble flambant neuf du Waterfront Science Park à Niel. Avec BioOrg, l’entreprise propose une application produit qui concrétise le principe du bio-équilibre. La technologie brevetée biomatique 3D-Clea-ning inclut trois étapes. Durant la première - la complexation -, les particules de poussière sont complexées dans l’air intérieur. L’étape 2 englobe la précipitation, au cours de laquelle la gravité fait tomber les poussières au sol. L’étape 3, enfin, est la métabolisation qui per-met aux Tectobiotiques® de faire disparaître la saleté en la métabolisant. Comme l’explique Koen De Koster de BioOrg, « Les Tectobio-tiques® sont des organismes positifs qui sont naturellement présents dans notre environ-nement. Ces organismes sont connus pour leur pouvoir assainissant naturel sur la saleté, les odeurs et les biofilms dans les bâtiments. L’application des Tectobiotiques® implique la suppression de toutes les substances chimiques agressives et toxiques dans l’envi-ronnement intérieur. Les hôpitaux - comme récemment l’AZ Sint-Jozef de Malle - et les

centres de soins résidentiels font de plus en plus souvent appel à la biotechnologie. »

Stimuler le contact avec les micro-organismes positifsLe premier orateur de la séance académique, la Professeure Sarah Lebeer de l’Université d’Anvers, a expliqué les avantages de l’utili-sation des micro-organismes positifs dans le milieu intérieur: « Dans les années 1950, on est parvenu à éliminer une série de maladies infectieuses bactériennes. Mais en parallèle de cette ‘guerre aux bactéries’, on a vu se mul-tiplier le nombre de maladies immunes - in-flammations chroniques comme la sclérose multiple, le diabète de type 1, la maladie de Crohn, etc. Les études épidémiologiques ont démontré que ce phénomène est surtout dû à la diminution de notre exposition aux micro-organismes, qui est pourtant indis-pensable au bon fonctionnement de notre système immunitaire. Celui-ci se construit graduellement, dès la naissance, et a besoin de ‘s’entraîner’ au contact des bactéries. La plupart des micro-organismes ne sont pas dangereux; au contraire, ils sont utiles et offrent un vaste potentiel de bioremédiation pour les environnements intérieurs. L’ur-

banisation, ainsi que la manière dont nous construisons des maisons, sont également défavorables pour notre exposition aux mi-cro-organismes. »

Le lien avec les particules finesEnsuite, le Dr. Filip Willocx, CIO et partenaire de Metatecta, a parlé des systèmes de ges-tion des immeubles dans BioBalance. Il a fait le lien avec la problématique des parti-cules fines. « Un environnement intérieur sain ne doit pas comporter plus de 10 mi-crogrammes de particules fines par mètre carré. La mise en oeuvre d’un système de gestion augmente considérablement les chances d’atteindre un équilibre BioBalance à l’intérieur de l’immeuble. » Le Dr. Roland Vermeiren, Head Medical Services & Principal Medical Officer chez Eurocontrol, a quant à lui mis en lumière les effets positifs des mi-cro-organismes sur la qualité de l’air intérieur par brumisation dans le système de climati-sation d’Eurocontrol à Bruxelles.

Labels de qualité BioBalance C’est la Secrétaire d’État Maggie De Block, par ailleurs médecin, qui a décerné les premiers labels de qualité BioBalance. Les lauréats: IBM pour les Belux Headquarters à Evere, Brussels Airport Company Zaventem pour les termi-naux, le complexe hôtelier Stayen à Saint-Trond, Eurocontrol pour la climatisation, et Intervest pour l’immeuble RE-Flex Mechelen Campus.

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Une nouvelle dimension pour l’hygiène dans les maternités

Spécialiste en sanitaire et en revêtement de toituresVarosan (l’abréviation de Van Roosbroeck Sanitair) est une entreprise familiale de deu-xième génération, créée en 1963 par Jos Van Roosbroeck. Cette entreprise de Berlaar-Hei-kant a fêté ses 50 ans cette année et a reçu notamment la visite de personnages aussi illustres que le ministre-président flamand Kris Peeters et le ministre Philippe Muyters. Spécialisée dans les installations sanitaires et les revêtements de toiture, Varosan, qui em-ploie 21 personnes, dispose d’une agréation de classe 5. Une procédure visant à l’obten-tion d’une classe 6 est en cours. « On ne peut pas se spécialiser dans toutes les techniques, notre cœur de métier reste le sanitaire et le revêtement de toitures », explique Jef Van Roosbroeck, actuel gérant.

Travail en équipeDans un premier temps, Varosan ne réalisait que des projets résidentiels, mais aujourd’hui, l’activité privilégiant presque exclusivement les soins de santé prend le dessus. « La pro-blématique de l’hygiène prend de plus en plus d’importance dans un environnement hospitalier », explique Van Roosbroeck. Actuellement, Varosan installe les équipe-ments sanitaires de l’hôpital Sint-Jozef à Malle.

Les travaux s’inscrivent dans le cadre d’un projet de rénovation qui verra l’infrastructure existante adaptée en trois phases. Suite à la croissance constante de son activité, l’éta-blissement compte aujourd’hui 250 lits re-connus et 33 lits de jour. C’est AAPROG archi-tectes de Wetteren qui s’est chargé du projet, avec Ingenium (Bruges) comme bureau d’études techniques. Le projet a été mené à bien en équipe, une expérience positive pour Jef Van Roosbroeck. « Pour attribuer les derniers travaux - le bloc F - nous avons dans une large mesure travaillé avec les mêmes entrepreneurs que pendant la phase précé-dente, réalisée voici trois ans. Sur la base du plan élaboré par le bureau d’architectes, les divers entrepreneurs qui prenaient part au projet ont eu la possibilité de faire certaines propositions et de les réaliser. Tout était du sur-mesure, et les décisions ainsi que l’exécu-tion se faisaient en concertation et en colla-boration très étroite avec le bureau d’étude. Varosan était notamment responsable des équipements sanitaires pour les visiteurs, le personnel, les postes de soins et les locaux utilitaires. Nous avons notamment installé un lave-bassins avec désinfecteur. »

Rénovation de la maternitéLa maternité a elle aussi été entièrement

rénovée. Les chambres relativement vastes disposent d’une kitchenette en plus de la salle de bains. Les porteurs du projet ont cherché à y créer une ambiance agréable, et les finitions ont fait l’objet de beaucoup d’attention. Ainsi, le mobilier est fabriqué dans une essence de bois durable, et les murs ont été non pas peints mais revêtus de papier peint. Les colonnes de lit, auxquelles sont raccordés des appareils médicaux, sont soustraites aux regards, et une liseuse a été intégrée au mobilier. Il en va de même pour les raccordements pour l’air comprimé et les gaz médicaux.

Système de WC-doucheDans cette maternité de 17 lits, Varosan a posé les installations sanitaires, dont le sys-tème de WC-douche Geberit AquaClean est la pièce maîtresse. C’est à l’occasion d’une rencontre des professionnels des soins de santé que le système a attiré l’attention du bureau d’étude technique et du maître de l’ouvrage. Le service technique de l’hôpital n’était pas hostile à l’idée, mais ne voulait pas se lancer à la légère. José Wyns, Sales Manager Geberit AquaClean: « Pendant les entretiens préliminaires, nous avons d’abord proposé à l’hôpital d’installer deux systèmes de WC-douche distincts à titre d’essai. Nous

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Chez nous aussi, de plus en plus d’établissements de soins optent pour une hygiène des WC délicate et naturelle utilisant de l’eau au lieu de papier. Dans une maternité, c’est une forme de confort moderne particulièrement appréciée. A l’hôpital Sint-Jozef de Malle, la

firme Varosan a équipé la maternité entièrement rénovée du système douche-wc Aquaclean de Geberit, le WC qui vous nettoie à l’eau.RE

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avons donc placé le système full options Geberit AquaClean 8000plus dans une chambre, et le Geberit AquaClean 5000plus, également full options, dans une autre. Dans un deuxième temps, les deux systèmes ont été utilisés pendant environ trois mois par de jeunes accouchées, de manière à évaluer la valeur ajoutée. C’était la seule manière de tester véritablement le confort de ces sys-tèmes. Les deux modèles sont de plus équi-pés d’une douche pour l’hygiène intime fé-minine. En plus d’un nettoyage avant et d’un nettoyage après l’utilisation du pommeau de douche, le modèle 8000plus est équipé d’une troisième fonction de nettoyage utili-sant un liquide spécial. »

Test comparatifPour le Geberit AquaClean 8000plus, pro-duit-phare des systèmes de WC-douche de Geberit, les raccordements pour l’électricité et l’eau sont intégrés dans la porcelaine de la cuvette. En revanche, ils sont visibles sur le Geberit AquaClean 5000plus. Dans ce deu-xième cas, c’est donc uniquement l’assise (et non un appareil complet) qui est placé sur un WC et remplit pratiquement les mêmes fonc-tions. En fin de compte, l’hôpital Sint-Jozef a choisi le premier modèle. « Le principe est identique: la jeune maman peut se nettoyer avec de l’eau à température du corps, et ne doit plus utiliser de papier ou de lingettes humides. La durabilité et l’aspect énergé-

tique ont également été pris en compte. Les deux systèmes sont entièrement conformes à la nouvelle législation européenne. Par exemple, les systèmes Geberit AquaClean 8000plus de l’hôpital de Malle sont constam-ment en stand-by. L’eau n’est chauffée que lorsqu’une occupante prend place sur la lu-nette. Même si l’on chauffe l’eau en perma-nence, le coût énergétique (eau + électrici-té) n’atteint même pas 2,5 euros par mois », précise José Wyns.

Alimentation électrique intégrée Jef Van Roosbroeck, de Varosan, nous confie quelques précisions relatives aux aspects liés à l’installation du Geberit AquaClean >>>

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8000plus: « L’installation d’un WC-douche Ge-berit AquaClean prend un peu plus de temps que celle d’un WC suspendu conventionnel. La principale différence consiste à prévoir l’alimentation électrique en concertation avec l’électricien. Sur le Geberit AquaClean 8000plus, tous les raccordements pour l’élec-tricité et l’eau sont intégrés à la cuvette pro-prement dite, et à la lunette pour le modèle 5000plus. De plus, chaque chasse Geberit intégrée est équipée en standard d’un tu-bage en attente pour un raccordement d’eau supplémentaire. Les instructions pour le rac-cordement électrique sont fixées à chaque élément. Pour nous, il est aussi important que les systèmes soient parfaitement en ordre du point de vue de l’eau, et qu’ils soient certifiés Belgaqua, surtout lorsqu’il s’agit d’applications

en milieu hospitalier. Une fois nos travaux ter-minés, les menuisiers puis les carreleurs sont venus poursuivre la finition des chambres. »

Choix fonctionnel et qualitatif L’entretien d’un système de WC-douche Ge-berit demande une attention particulière. « Le pommeau qui fait saillie vers l’avant a été conçu spécialement. Dans le système Geberit, le pommeau de douche peut être remplacé après chaque séjour en maternité. L’expérience montre que c’est souvent un point délicat dans les maternités: en règle générale, c’est le personnel d’entretien qui démonte le pommeau, le lave dans le sys-tème de nettoyage des bassins puis le re-met en place. C’est une façon de faire qui demande pas mal de travail. Or, Geberit pro-

pose un kit de remplacement grâce auquel le remplacement du pommeau s’effectue plus facilement, sans être plus coûteux. L’hôpital Sint-Jozef a voulu investir dans un confort sa-nitaire de qualité. Avec le Geberit AquaClean 8000plus, le maître de l’ouvrage a fait un choix intelligent », conclut José Wyns.Les travaux de la maternité de Sint-Josef sont à présent terminés. Ici aussi, les canalisations d’alimentation et d’évacuation ainsi que les chasses intégrées sont de conception Gebe-rit. La firme Varosan se procure les modèles Geberit AquaClean par l’intermédiaire de la filiale de Desco (grossiste spécialisé en sani-taire et chauffage) à Wijnegem.

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EXPO60+: Une plateforme de choix pour le professionnel des soins de santé

La dix-septième édition d’EXPO60+, le salon du professionnel des soins de santé, offrait un mélange d’information, d’innovation et de formation. Parallèlement au salon, plus de 70 sessions de formation avaient été organisées, et des awards récompensant les innovations

en matière de soins et de produits ont été décernés. Le Nekkerhal a accueilli 7374 visiteurs, une légère progression par rapport à l’édition 2011 qui avait recensé 7183 professionnels du secteur.RE

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C’est du 2 au 4 octobre que le Nekkerhal (Malines) a accueilli EXPO60+ 2013. Ce ren-dez-vous du secteur des soins de santé a ras-semblé un aperçu à la fois vaste et diversifié des innovations dans le secteur des soins de santé et des produits qui s’y rattachent, no-tamment en matière de Care & Hospitality, de Facility Services, de Building Projects et de Management & IT. Sur une surface d’ex-position d’environ 20.000 mètres carrés, plus de 260 exposants ont présenté leurs inno-vations, produits et services. C’est au cours des deux premières journées - mercredi et jeudi - que l’événement a accueilli le plus de visiteurs (respectivement 31,14 pour cent et 40,50 pour cent). Vingt-deux pour cent d’entre eux environ venaient de Wallonie.

Information, innovation et formationCette fois encore, le salon a exclusivement rassemblé des visiteurs professionnels ve-nant dans un but précis, comme le démontre l’étude de Probis (Geel), l’organisateur du Sa-lon. Il s’agissait bien souvent de profession-nels du secteur ayant des projets d’investisse-ment concrets. Les (para)médicaux (37,78%) et les directeurs et administrateurs d’établis-sements de soins (35,05% en tout) étaient les groupes les mieux représentés. Quinze pour cent des visiteurs provenaient des services facilitaires et hôteliers. Les achats et les HR &

QC représentaient respectivement 5,41% et 3,41%. En queue de peloton, on trouvait les services administratifs et les départements IT (1,94%) et les bureaux d’architectes, d’in-génieurs et d’étude (0,41%). Selon l’organi-sateur, le score moyen attribué à l’exposi-tion par les visiteurs s’élevait à 8 sur 10. Les formations constituent aussi un ingrédient récurrent d’EXPO60+. Plus de 70 sessions de formation s’articulaient autour d’une série d’évolutions (para)médicales, architecturales, administratives, facilitaires et techniques liées ou apparentées au secteur belge des soins de santé.

Le mobilier urbain se personnaliseDans les couloirs de l’exposition, Techcare a récolté les impressions de quelques ex-posants nouveaux venus ou habitués. Les établissements de soins accordent actuel-lement une importance croissante au mo-bilier urbain. Quelles sont les tendances qui marquent aujourd’hui l’aménagement extérieur des établissements de soins? Kris-tof Deman, collaborateur commercial et administratif Mobilier urbain de l’entreprise Claerbout Metaalwaren (Hooglede-Gits), une entreprise du groupe Meno, répond à la question: « Nous avons de plus en plus de clients provenant du secteur des soins de santé, qu’il s’agisse de projets de construc-tion neuve ou de transformations. Nos pro-

duits les plus courants pour ce secteur sont les bancs et les poubelles, en métal ou en acier inoxydable, toujours sur mesure pour le client. En ce qui concerne le choix des ma-tériaux, on optait jadis principalement pour le métal à cause de son prix peu élevé, mais aujourd’hui, l’inoxydable est en forte progres-sion. » Il n’y a pas que la durabilité, les raisons d’hygiène interviennent également. Pour les centres de soins résidentiels, le travail sur mesure peut, par exemple, prendre la forme de bancs ayant une assise surélevée, un dos-sier plus haut ou des accoudoirs. A côté du sur-mesure, le fait de faire figurer le logo de l’établissement sur divers éléments du mo-bilier urbain constitue une autre tendance forte. Tout comme les communes, les éta-blissements de soins sont demandeurs d’un cachet unique et personnalisé, qui leur per-met notamment de se démarquer de leurs ‘concurrents’.

Marché en croissanceClaerbout Metaalwaren a récemment pris un charge un projet de mobilier urbain com-plet - tous les bancs, bornes, poubelles... pour le parvis de l’hôpital Damiaan à Ostende. Récemment, l’environnement extérieur de l’hôpital psychiatrique de Pittem (près de Tielt) a également été équipé de poubelles et de cendriers. Dans le pipeline se trouvent actuellement le CSR Zorgzaam (Eeklo), qui >>>

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prévoit d’entourer un vieil arbre d’un banc d’acier inoxydable, et le CSR Bethlehem à Herent avec un projet de renouvellement des bancs. « Pour certains établissements de soins, le mobilier urbain n’est qu’une donnée accessoire. Ils ne réfléchissent pas encore dans le cadre d’un concept de construction ou de transformation global; mais les choses changent peu à peu. L’an dernier, nous avons participé au salon Healthcare à Bruxelles, un événement qui s’adresse principalement aux hôpitaux, alors qu’EXPO60+ est surtout tourné sur les centres de soins résidentiels. Notre évaluation est positive. Il n’y a pratique-ment rien à redire à l’organisation du salon », conclut Deman.

Voiles acoustiques La présence de dessins apportant un certain look & feel constitue une tendance certaine dans la niche du revêtement mural. Vescom se spécialise depuis les années 1970 dans le développement et la production de vinyles et de revêtements muraux textiles; l’entre-prise propose une gamme de revêtements de meubles et, depuis peu, des tissus pour ri-deaux et des voiles acoustiques. Aujourd’hui, ce fournisseur - une entreprise familiale néerlandaise de Deurne (Pays-Bas), est bien implanté dans le secteur belge des soins de santé. Evelyne Decavele, account mana-ger de Vescom Belgium: « Dans la niche du revêtement mural en vinyle, les dessins au look textile, qui sont aujourd’hui facilement lavables, sont en forte progression. Il y a une évolution évidente en faveur des ambiances accueillantes. Le secteur des soins de santé évolue d’ailleurs vers une approche ‘hôte-lière’, une donnée qui n’a pas échappé à Ves-

com. Les couleurs douces ont la cote, tout comme l’utilisation d’imprimés photo sur mesure qui ajoutent une touche décorative supplémentaire. Par rapport au marché néer-landais, je ne constate pas vraiment de rup-ture de style, même si nos voisins du Nord choisissent parfois des couleurs plus vives. Chez nous, ce sont toujours les tons naturels et chauds qui prédominent. Bien entendu, beaucoup de choses dépendent du choix de l’architecte, qui adoptera une approche plu-tôt minimaliste ou plus audacieuse. »

Questions pratiquesParmi les réalisations récentes de Vescom dans les soins de santé, citons l’Hôpital St-Eli-zabeth (Namur), AZ St-Jan (Bruges), l’hôpital et la Clinique OLV d’Alost, l’hôpital Jan Pal-fijn (Gand), la maison de soins et de repos De Notelaar à Beveren et le CSR de Zoersel. « Dans certains projets, il s’agit d’une com-binaison de plusieurs de nos groupes de produits; dans d’autres, cela se limite à un ou deux segments spécifiques. Ainsi, dans le service VIP de la clinique Sainte-Elisabeth (Uccle) du groupe Europa, nous avons utilisé un revêtement vinyle Vescom à la fois dans les chambres des patients VIP, les couloirs et les salles d’attente. » Vescom Belgium est un client habitué d’EXPO60+ depuis plusieurs années déjà, où il reçoit surtout la visite de directeurs techniques d’hôpitaux et de mai-sons de soins et de repos. « Les questions que l’on nous pose sont souvent d’ordre pratique et concernent le traitement, l’entretien et les réparations. Il s’agit de personnes qui posent des questions étroitement liées à leur activi-té quotidienne et réfléchissent en termes de solutions », conclut Evelyne Decavele.

Vers une situation win-winL’entreprise Curatech de Susteren, près de Maastricht, participait pour la première fois à EXPO60+. Cette petite PME se spécialise dans les systèmes d’alarme pour les personnes. Comme l’explique son administrateur, Huub Salden, « avec cette première participation, Curatech voulait surtout explorer le mar-ché belge des soins de santé et gagner en notoriété. Nous avons bien entendu réali-sé une étude préalable du marché belge, notamment par internet, et préparé notre participation au salon avec un maximum de soins. Sachant que nous sommes implantés non loin de la frontière belge, il était intéres-sant pour nous de participer et d’examiner le potentiel commercial. Nous sommes une entreprise axée en priorité sur la technique, et par conséquent, nous sommes plutôt à la recherche d’un partenaire disposant du ba-gage commercial pour créer une véritable situation win-win. Nous sommes bien posi-tionnés sur le marché du point de vue tech-nique, mais une combinaison idéale nous permettrait de développer certaines activités complémentaires. »

Un marché n’est pas l’autre« Le marché belge des soins de santé ne se présente pas de la même façon qu’aux Pays-Bas. Des institutions comme par exemple la Croix Jaune et Blanche n’existent pas aux Pays-Bas; chez nous, il s’agit d’établissements de soins privés tout court », poursuit Salden. « Ce qui n’empêche pas que les demandes que nous adresse le secteur belge des soins de santé soient largement similaires. On nous demande des informations spécifiques dans le cadre d’un projet de construction neuve

Kristof Deman, collaborateur commercial et administratif Mobilier urbain de l’entreprise Claerbout Metaalwaren Evelyne Decavele, account manager de Vescom Belgium Huub Salden, administrateur Curatech BV

ou de rénovation concret, ou on passe pour demander une offre supplémentaire, afin de pouvoir comparer les prix. EXPO60+ est l’exemple-type du salon professionnel qui attire plus les soins in-tra-muros (centres de soins résidentiels) qu’extra-muros. Aux Pays-Bas aussi, nous participons chaque année à deux ou trois salons comparables. Pour ce qui est du public-cible, les proportions sont plus ou moins équivalentes: 70 à 80 pour cent des visiteurs sont orientés dans les soins intra-muros, le reste se concentre sur les in-frastructures extra-muros. Sur le marché néerlandais, il existe plus de formules de salons «mixtes» pour le secteur des soins de santé. »

Innovation awardsCette année, pour la sixième fois, les Innovation awards I2C ont été distribués dans 3 catégories: I2C concept, I2C Tools et I2C Industry. Tant le jury professionnel que le jury du public ont pu désigner un vainqueur dans chacune des catégories. I2C Concept est ouvert aux projets innovants dans les centres de soins résidentiels (ou de cer-tains de leurs espaces). Il s’agit de concepts d’ensemble privilégiant le confort, l’ambiance, le sentiment d’être chez soi et la durabilité de l’espace. Les prix sont allés au jardin Low Vision multisensoriel de l’hôpital universitaire de Gand et aux soins intensifs néonataux du campus du Gasthuisberg à Leuven. I2C Tools cherche des res-sources ou découvertes spécifiques susceptibles de faciliter le quotidien des résidents ou le travail du personnel et non encore commercialisés, mais susceptibles de l’être. Les initiatives «l’enca-drement de groupe pour les (petits-)enfants de patients cancéreux fournit un filet émotionnel» et «le jeu interactif stimule l’autonomie des résidents du CSR Witte Meren» ont été récompensées. I2C In-dustry, enfin, s’intéresse à des innovations d’entreprises spécifiques pertinentes pour le secteur des soins de santé, qu’elles soient déjà commercialisées ou encore à l’état de prototype. Ces derniers awar-ds ont été remportés par «Kleancast élimine les inconvénients du plâtre» et «My Cerussa: à chacun sa tâche, à chacun son appli».

EXPO60+ est organisé en alternance avec le salon Healthcare, du même organisateur. Celui-ci se tiendra les 1, 2 et 3 octobre 2014 à Brussel Expo. La prochaine édition d’EXPO60+ aura lieu en 2015.

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Philips a mis au point un grand plafond lu-mineux interactif destiné aux hôpitaux, qui peut imiter la lumière naturelle revitalisante et diffuser un contenu apaisant sur une sur-face représentant le ciel. Basé sur la techno-logie LED, ce système s’adapte à la situation médicale du patient. Il vient d’être lancé pour un usage clinique dans l’hôpital académique Charité Campus Virchow de Berlin, dans le cadre d’un concept de réduction du stress baptisé «Parametric Spatial Design».

Projet pilote dans 2 chambres de soins intensifsLa clinique a mis le concept en service dans deux chambres de soins intensifs, dans le but de renforcer l’environnement thérapeutique pour les patients gravement malades. Dans ces nouveaux locaux, les équipements médi-caux ont disparu et les nuisances sonores ont été limitées. Le plafond lumineux LED s’adapte à l’état de santé du patient et à ses souhaits. Le méde-cin traitant entre des paramètres relatifs à son bien-être sur une tablette. Ainsi, il pro-cède à une évaluation de la respiration et du

niveau de douleur, et saisit également des données qui décrivent l’état de santé actuel. Un programme conçu par ART+COM permet de commander l’écran de façon à ce que le patient puisse profiter d’un éclairage d’am-biance personnalisé.

Les concepts d’éclairage individuels prouver leur valeur Des études cliniques ont démontré que le risque que les patients d’un service de soins intensifs se retrouvent en état de choc était accru par des facteurs comme des bruits forts, un éclairage sobre et l’isolement social. On dispose de peu de données sur les effets sur la santé d’unités où l’ambiance peut être personnalisée. C’est la raison pour laquelle les médecins des soins intensifs, psychologues et experts du sommeil de l’hôpital Charité, en collaboration avec le bureau d’architectes GRAFT et les designers de ART+COM, vont étudier davantage, au cours des douze pro-chains mois, ce concept intégral de chambre.

Comme l’explique Roger Karner, directeur de Philips Lighting Allemagne, Autriche et

Suisse: «Nous constatons que les concepts d’éclairage individuels pour l’environnement du patient gagnent en importance dans des domaines critiques comme le service des soins intensifs.»

Éclairage LED Philips dans le plafond lumineuxLe concept de «plafond lumineux» de Phi-lips allie le rythme dynamique naturel de la lumière du jour aux effets d’une lumière et d’illustrations et colorées. Contenant 15.400 LED, il court du plafond jusqu’au mur situé face au lit du patient, dont il élargit le champ visuel. Des LED à haut rendement, émettant des teintes de blanc chaudes et froides, ont également été intégrées. Il est ainsi possible de générer des puissances lumineuses supérieures à 20.000 lux, com-parables à la lumière du soleil en été. Seule une intensité lumineuse aussi élevée peut garantir l’efficacité biologique de la solution d’éclairage, qui soutient ainsi le rythme circa-dien du patient.

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Un plafond lumineux LED interactif aide les patients aux soins intensifs

Pour les patients des services de soins intensifs, Philips a mis au point un plafond lumineux LED réglable à distance, avec contenu adaptable. Ce plafond émet une lumière naturelle dynamique et énergisante et un contenu visuel apaisant. Le système fait partie d’un

concept novateur - conçu par l’hôpital académique Charité Berlin en collaboration avec les architectes GRAFT -, destiné à étudier les effets d’une ambiance adaptable dans les chambres d’hôpital sur la santé des patients.

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Avec BEALSTONE®, une alternative au béton de type granito/terrazzo, BEAL présente un revête-ment personnalisable permettant d’insuffler une vie nouvelle aux sols, aux murs et au mobilier. L’ambiance minérale originaire de la Venise ita-lienne fait son grand retour. Granito/terrazzo res-pire cette atmosphère et s’intègre parfaitement à la transformation de zones industrielles en lieux d’habitation. Avec BEALSTONE®, une nouvelle génération de revêtements a vu le jour. Outre le marbre, d’autres granules peuvent être ajoutés à la préparation: éclats de miroir, verre, cailloux... A l’origine, granito/ terrazzo était uniquement utili-sé pour les sols des nouvelles constructions. Avec BEAL, le produit peut être poncé à sec et donc, placé dans un bâtiment occupé. Grâce à sa faible épaisseur (dès 3 mm selon le choix des agrégats), BEALSTONE® offre un avantage esthétique. Au-cun joint n’est nécessaire si ce ne sont peut-être ceux de dilatation du support existant.

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Beal: BEALSTONE®, une alternative contemporaine

Les bureaux d’architectes Boeckx et De Vloed se renforcent mutuellement

Les bureaux d’architectes Boeckx (Ostende) et De Vloed (Destelbergen) ont décidé de dessi-ner leur avenir ensemble. « Un élargissement innovant pour relever les défis en Belgique et à l’étranger », commentent les administrateurs. Le nouveau groupe compte 90 collaborateurs, et les deux partenaires réalisent déjà un tiers des hôpitaux de Flandre. La structure de direc-tion compte quatre associés: Albaan Tas, Jan De Vloed, Johan Cogge et Serge Lefevere. Selon ce dernier, ce saut d’échelle et une spécialisation poussée sont les clés de l’avenir, surtout dans les soins de santé. « Notre but est d’offrir la meilleure expertise possible, » conclut Jan De Vloed.

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La chaudière avec échangeurs en alliage aluminium-silicium Riello Alu Pro POWER V est un générateur de chaleur à condensation modulaire pour instal-lations à rendement élevé (rendement utile jusqu’à 108 %), à haute modulation. La chaudière module de 15 kW jusqu’à sa puissance maximale, et est équipée d’un caisson latéral d’entrée d’air comburant facilitant le raccordement de l’air extérieur, et renferme donc une cascade de modules thermiques indépendants de 15 à 75kW. La version étanche compte 6 modèles de 115 à 375 kW, pré-équi-pés pour un fonctionnement en cascade pour atteindre une puissance jusqu’à 3 MW. Le (dé)montage des éléments thermiques est aisé, permettant ainsi l’ins-tallation dans des chaufferies difficilement accessibles (escalier, petite ouverture de porte, etc.).

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Riello lance l’Alu Pro POWER V

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Avec le système ‘Viega Eco Plus’ Viega lance un mo-dule WC réglable avec montage en bâti-support, dont la hauteur peut être réglée d’une simple pression sur un bouton, sans nécessiter d’électronique, ceçi par le biais d’un vérin à gaz. En utilisant son propre poids, l’utilisateur peut modifier la hauteur entre 40 et 48 cm. Les cotes du système - une largeur de 490 mm et une hauteur de 1130 mm - sont les mêmes que d’autres modules Viega Eco Plus. Après le montage le carreleur peut achever l’ouvrage avec le carénage fourni jusqu’à l’ouverture de la plaque de commande. L’installateur place le capot en plastique avec son joint, puis le pan-neau vitré.

www.viega.be

C’est le vendredi 25 octobre 2013 que Duco Ventilation & Sun Control a organisé le séminaire « Rafraîchissement par ventilation ». L’après-midi s’est avérée particulièrement enrichissante dans les agréables locaux de la Voka Box à Gand. Les quelque 80 participants ont pu s’informer sur cette forme de ventilation intensive qui consiste à faire passer des débits élevés d’air extérieur (plus) froid dans un bâ-timent pour transformer sa masse en un réservoir de froid.Kim Goethals de l’Université de Gand a entamé la séance par un premier exposé intitulé « Rafraîchissement par ventilation: comment concevoir correctement un bâtiment, compte tenu des principes du rafraîchissement par ventilation et de la législation à venir ». Il a été suivi par Dimitri Nicolivan Duco, qui a démontré comment une solution d’ensemble peut contribuer à créer un climat sain et confortable en combinant ventilation diurne naturelle, pare-soleil extérieurs et ventilation intensive (nocturne).

www.ventilatieberekening.be

DRT Gietvloeren: Living Concrete, le béton ciré autrement…

DRT Gietvloeren est depuis plus de 30 ans spécialiste dans le do-maine des chapes fluides dont Living Concrete.Living Concrete est un sol sans joints doté d’une base naturelle en ciment; robuste, à la fois osé et soigné. La nature chez soi de manière unique…Le sol Living Concrete est un sol naturel et durable qui ressemble beaucoup à du béton ciré non seulement de manière visuelle mais également au toucher.Il s’agit d’une chape fluide, à base de ciment, polie à plusieurs re-prises, puis faisant l’objet d’une finition avec une huile et une cire spéciales. Le mode d’application artisanal donne au sol son aspect, avec de légers mouvements et de subtiles différences de couleurs rendant ainsi chaque sol Living Concrete unique.

www.drtgietvloeren.be

Viega WC réglable en hauteur

Duco: Rafraîchissement par ventilation

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KUVENT: Une nouvelle gamme de ventilation non-résidentielle de Ventilair

Ventilair Group, un acteur novateur dans le domaine de la ventila-tion (non-résidentielle), présente une nouvelle gamme pour projets. Kuvent a été spécialement développé sur base de l’expertise de terrain combinée au savoir-faire du département R&D. Il en est résulté une gamme de ventilateurs gainables, de caissons, de tourelles, de contrô-leurs flexibles et une multitude d’accessoires. La série KUVENT est très large, polyvalente et en développement continue. Ainsi la série com-porte une lignée de ventilateurs gainables, de caissons et de tourelles, en version AC et EC avec un débit pouvant atteindre 13.000 m³/h. Les nombreuses fonctions des contrôleurs KUVENT invitent à travailler à la demande, et sont déjà prêtes à faire face aux défis futurs. Le système se prête en outre à la rétro-ingénierie: les installations existantes peuvent être équipées des solutions basées sur la demande.Grâce à une série d’accessoires, allant des commutateurs de fonction-nement aux grilles, il est possible de faire des sélections et de construire tout un projet sans perte de temps. La gamme est complète au point de renforcer le caractère guichet unique de Ventilair Group. Les spé-cialistes HVAC ne peuvent qu’apprécier ce support solide de la part d’un partenaire possédant le savoir et les produits qui conviennent. « Kuvent offre des solutions conformes aux exigences et à la réglemen-tation en vigueur sur le marché européen, tout en proposant les va-leurs ajoutées de Ventilair: guichet unique et support empreint de nos connaissances spécifiques. Nous facilitons et clarifions la sélection et l’installation, de manière compétitive et illimitée dans la régulation ». Le site internet propose des fiches détaillées de produits, cahiers des charges en une fonction conviviale de navigation.

www.kuvent.eu

Fermacell lance la plaque à base de ciment Powerpanel H2O à bords amincisFermacell est le premier fabricant aux Pays-Bas qui a produit une plaque à base de ciment et à bords amincis (40 mm). La plaque est imperméable à l’humidité et donc très appropriée pour la finition des murs intérieurs, des plafonds et des finitions en bois des piscines, des centres de thalas-sothérapie, des cuisines collectives et des sanitaires. Les panneaux à bords amincis permettent de faciliter le montage des plaques apposées l’une à l’autre avec lesquels un mur plat peut rapidement être fait. Les plaques Powerpanel H2O sont mises ensemble à froid. La partie biseautée permet une jointure rapide en série, et peut être jointoyée de sorte qu’une transition sans couture se produise entre les parties plats de la paroi.

www.fermacell.be

Des barres relevables mobiles HEWI offrent un maximum de flexibilité et plus de sécurité et de soutien en cas de force et de mobilité réduites. En raison de leurs dimensions et de leurs rayons importants, les barres d’appui permettent une prise optimale. Il suffit d’encastrer la barre d’appui relevable mobile - disponible en acier, polyamide, chrome et WARM TOUCH - dans la plaque murale fixe. Le siège de douche mobile de HEWI s’intègre simplement dans la douche et dispose d’un système de fixation qui permet d’accrocher le siège de manière sûre. L’assise et le dossier sont fabriqués en polyamide renforcé de fibres de verre.

www.hewi.de

Hewi: Des solutions adaptées aux personnes handicapées

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RENSON® vous présente la grille brevetée type 450. Cette grille combine un passage d’air important avec un très haut degré d’imperméabilité, testée selon la classe HEVAC - classe A2 jusqu’à une vitesse de l’air de 3 m/sec. La grille type 450 est une grille murale, fabriquée en profils d’aluminium extrudés et comportant d’origine un profil ré-cupérateur d’eau sous la lame inférieure et au-dessus de la lame supérieure. Cette grille est composée de lames offrant une très haute étanchéité à l’eau (RENSON® Linius® L.050W), testées selon la classe HEVAC, classe A2 jusqu’à 3 m/sec. Le pas de lame est de 50 mm, la profondeur d’encastrement est de 159 mm et le recouvrement du cadre de 38 mm. Cette grille est fournie avec une moustiquaire en inox 304 (2,3 x 2,3 mm), mais peut aussi être obtenue avec un treillis (6 x 6 mm) sur demande. La grille 450 peut être laquée dans toutes les teintes de la gamme RAL. Elle est idéale pour des applications dans des banques de données, des locaux IT, des cabines haute tension et des centres d’appel.

www.renson.be

La collection PURITY® de Reynaers Aluminium combine design de pointe et ergonomie écologique optimale pour les poignées de portes et de fenêtres. Pour la conception, le constructeur a fait appel au designer italien Leo De Carlo. Le matériel choisi est le Pura™, pour lequel Reynaers a l’exclusivité dans la fabrication de poignées de portes et de fenêtres. Il s’agit d’une variété non-toxique d’acier inoxydable dont les particules de chrome ont été extraites. Combinée à la méthode de traitement des surfaces Bioecologic Ion Overlay™, le système donne des poignées inoxy-dables, hypoallergiques et 100% recyclables. PURITY® convient à tous les types de fenêtres (coulissantes) et de portes.

www.reynaersPURITY.be

Reynaers Aluminium: Collection PURITY®

Grâce à la conception modulaire de l’opérateur de portes coulis-santes Besam SL500, le client détermine lui-même la composition du système. Le système est adaptable à l’évolution des besoins. Le sélecteur de programme avec écran tactile et affichage LED peut être intégré dans un interrupteur de lumière. Le Besam SL500 - conçu conformément à la norme EN16005:2012 - manoeuvre de lourdes portes jusqu’à 400 kg. La fonction “infirmière”, qui ouvre la porte partiellement, ou le bouton “dernière personne”, avec lequel la porte s’ouvre encore une fois après l’heure de fermeture pour la personne qui part le dernier, sont des exemples des fonctions pratiques.

www.besam.be - www.assaabloyentrance.com

Besam Le SL500, un nouvel opérateur de portes coulissantes

Renson: Nouvelle grille avec imperméabilité maximale, type 450

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