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nde tm bon bon- retier. — Bons i du Journal. 551 IEL'X, entrepreneur ïe. des ouvriers J 41 aode un m é n i^ e Icourantdu service, Ine et l’intérieur, le xcQts et aider dans le service de deux l—Bons certificats. I., poste restante, à fnce (Oise). 557 ^RBET, 21, rue de Bs. demande u n e 559 ^cde un bon jar- I mains, célibataire nourri. — Gage» - Sérieuses réfé» |M.ilE\Ri MERCIER, lenüs, à Crépy-en- 565 lande jeune fiile I sachant couture et ferme de Seine- |u du Journal. 566 r.de I liOt.EH, l'hclioii, à k ^ ü R N A ü X | n état et Marchands le kilog. urrier de, l'Oite, IX PPRfiS pAAIGr. digestive, use, .Tiar- audesarthritiquetl ID E IO ISE L L IS rgesi Parte ielU. Couwturê noù, ! 15 de chaque moi» ar BUan à partir ha^e moi». liit frAQC». i4 - des sœurs, I is dÔTOuées ; ieat nie\i. <ls* în fam ille itJ-'f g:i.*r 4 r îivrcs — Ir ilOttbeQT nor leur esprit; |aoc«, tout eu le« ini> réconomie, aux '<ùl est le' but ijun «« toi des DemoweÜet ^ées d’au succès too' jautorisMit à croix* nais écarté. at dê posu à Ivrdr* *du Jo%tmal^ a-Qeorgts, t spKcinBi* iiW ESv «nia leiia A e)É rim kumumé. SÊ* A nnêè, ^ ^ T T O flR W T ÎlifR ,4 J iP w m itB fi iH m m ù $ S ,’n9<f t il . >Y1 T .i Ye «lèudi et le Dimancfie. : T ' i\ù Meudi et ïe Q lm aeçtÿl ‘SS ........ 4 *••••.. s W i >cb * Ih- ^ I lMhmmaixd.poite.T- L'Âbmnmapid I d’ATUO. ot oontulQ. d . plMik droil jiwiP A I *.Tii éontiSir.. " si. lîT is tew •- . . « , P im m ...lC B P A C g O II » A M m a stg A T iO N ’ S B 'K a iS - tC S B M E iX » : «i ÿli lîOiO- M8i.;. t* ti. poyteai. <fa i.tf» :Oyig»eHlffi^-nu 5tnio » tWBPae tl iiÜ t üîiTS 9 UCGIQI 0 ms&<. iÂif ua 'i..tauK|üT. .ûjpüppj ph în-; 1' '-f v m e xm m iiM ^eiiV tm i ■ '■ > 'V i l linV V absoiif jm s QtaiMtedte iwBlNs.iy. •‘liwJ -in! -T.-a_aLi(:-i!T»iailüf.tiii ftodse t ■-'— - - - ’- - - ------- SeiiliSt le 24 Juin Î 911. A près une pénible existence de courte durée, m ais suffisante pour dé m ontrer son, incapacité notoire, le m i nistère disparaît. C e n ’e s t u n e su rp ris e p o u r p ersonne ; ses jo urs étaient com ptés. Le gâchis- dans' lequel il pataugeait dépassait ce que l’im agination peut concevoir. Sans volonté et dans l ’i m possibilité com plète de form uler un jugem e n t , d e ’, prendre ane initiative,'-dé'fournir des' ex p licatio n s ’n ettes à la C ham bre,-il^ devait somlA-ef; '_S’it y-a'-ùne surprise pour nous c’est bietf le crédit dOiK'il’ a b é n ^ tîé a u ‘d ë t r i f f i e n t Id"'gestion des affaires pubË jûes. Lës .ràdicàB x euxm êm es, ce qui A.’ept pais peu diré< s ’e f f r a y a i e n t dei rincohérence., _ dé' l’anarchie et du désordre, qui élaiemt^ la caraetéristique des actes du m in isr , tëre M o o io . '‘> ' L a O iaoibre a enfin: com pris que c e tte situ a tio n n e p o u v a it s e proloi% er,, C’est la question dq haut com m ande m ent qui â’''fâit débordier la coupe. Le CaM net aurait pu, ü est vrai, tom ber an cours des récents débats son incapacité s’était affirm ée. , D epuis son arrivée ^ pouvoir p erf sonne ne se faisait d'illusion sur son, existence éphém ère :; il y a quelques jours, à cette m êm e piace,'nous dh sions que M . M onis et ses collabora teurs n ’a v a i e n t qu’un ■ objectif : la conservation de leur portefeuille. Tout dévoué et aux ordres 'des seiey taires du B loc, le m inistère Courait au devant des désirs d ’u n e m inorité, conduisant le pays et Ses institutions à la ruine, à la faillite. On a vu des C abi nets se lancer dans des aventures dan- geréU sés, m ais à un m om ent donné, üs avaient assez de courage et d’éner-^ gie pour refuser d’aller plus loin. Ils estim aient qu'ü était tem ps d’oppoSer une barrière à cette m in o rité d ’a v e n t u riers foulant aux pieds les sentim ents les plus sacrés, les intérêts les plus chers de la France. ■; ,M . M onis s’était jeté à plat ventre devant cette m inorité. « Je suis à vios ordres, avait-il déclaré, donnez-m oi des arm es et vous fw ez de m oi ce que, vous voudrez ». Tel est le chef du funt C abinet. ! Q uelles que soient les difficultés "du m om ent et la situation em barrassante due k l’.im péritie de ce gouV em em ént qui, à proprem ent parler; n ’e n éttiit p àsu iî; sâ ’Chûte est Un véritable sou lagem ent pour tous les R ép u b lic^ s eoucieux la sauvegarde de nos iùs- tituüons, de la prospérité d e nos affaires et de la défense nationale. L oup BEBTROZf Echos et Nouvelleki ret; des ^gpéâlleut? dj France a jtë. reçue îu . jo n r^u i jwu'lé.Grnùpe agricole du SêiieU Bile - éiidt composée dèrHH. Roas.Bèlle. Salmo'n-ve-, gagneur, René et Pierre LàvôBee.'Les D^é- r «t&:^«télénÀac<^^ 5 ana W - la-Scildâé éontee-leaiburtaxen me- eesepcaleB pcojetéei etdemandé. (pin,'Con&r- ' ‘ de»f w . ^ w dâM <^e V ^aeratettl» j)n ^i- - upsl 6ise0bsQrJallâne ^tquetletiR'd^sa^e é^ioQ » 4 e.lq.i»ftiièr 6 ip^o- *^.v: ---- 9 f v ' l J F i S o c i ^ , S u t ' p a r ’co n i •msfttS'pdnr/Vadoptron 'ae, 1 ‘a # § j a e n i e n f 'dnidtl<^fW -pàr'lésfc£aéa)feé;H ''l^n'(^^ BcehCdér «fV 'Béritteralâ'fsm U tér^ÿàyerfes t;dr<Bteaiigi«&nkléé, 'e«nnri ea'jfciB ^nè., .i Le w onpe agci«N>le<aÀill«nnina]eet ancàeit t;i^ss«;ïsîss» ï«rîj 6 .;Gâ 9Vjeraeœeni .. . . u r r ; » laterpéllatton, deM.AJMïnè®!SP8e ■u C’eSt avec surprise, dit en'Coimnen- çant, M- André' Hesse, que -irous àvbns appris qu'il o’y avait pas djgéû'éraltssime. 'Oà a toujours 'êru '“daiis lé pays' qu il y avait un,chef.suprême,charge éveliluelle- meot de la direction des .opérations/-M. Berteanx avait aflirmé deyaut la Chambre -qu'il y avait un.généralissime. Qui doit-on croire, maintenant, de M. Berteatix ou du t énéral Roiran f 11 n'y a-eu, ajoute-,t'il, ins l’histoire,‘de guerre Victorieuse que, .lorsqu’il .y, a en respon,sabilité,dlu,n,seul. » Intervention ‘dé-'M«. Blenalmé et Driant. U. VdtiA¥al’Èiélicmiii'\ia succède à la trîMïne. «- On n’improvise-pas'-leS- chefs' d’année,' ditûfriWaiBt lÉDetfireBtsoBnniqiie. ‘ 'Les'désastres ne sont veafus-quedal’eubli de'oe'prinoipe;’- H -finit" eni cas' db gserre, un chefqui supporte' tonteda-responeabi-.: lité et qui possède aussi toute sa liberté, d’action.,» Tel esïencoré r w s du génératPMova : 1 'tibn eeiiiëmèbt le ohef'suprffiie 'ijOTt désigné •èn''têmps''de'paii'i:j'Wâiré '{l'n'é^iMé, dëefiir^^l',''*»; S é u f’d é l t ^ l ' , doHJ'siüii ée'ici t R ÿ J ï i t ê ; ‘ÿ t r f aceepte< ; gou vernem ent è présenter'un projet basé sur .- oc priniâpe qué là direction dés fibrces e n ' tem ps de guerrajàe.peut être exercée que par une unité de com m andem ent préparée; dès le tempes de paix. Mauvais débuts: du- Ministre de lu Guerre* , Pour ces débuts 4 la -tribune-de la Gham bre,-te général Goiran, m inistre de la guerre, était entouré de ses collègues du cabinet. « On a mal interprété, a-t-il dit tout aussitôt,-æ s paroles au Sénat;; je n ’e x p r i m ais qu’une opinion personnelle.^ L’oàùvre de prêparatisn 414 gnertè est eU; bonne voie. J'achève 4 l'henre actuelle l ’o r g a n is a tie D d o m in e B c é e p a if M . B erteanx. Le Conseil supérieur aura-bièntôt an chefi d’état-m ajor général. Je prends-toute la responsabilité de la guerre. Je n’ai rien 4 ces déclarations. Les prdres du,,iour.^ ; :, M. Etienne, qui présidait la. séance, donne lecture désordres dU iour qu’il ye- naitde recevoir, signés de-; 4 lA l. l-eàniral Bienaimé, Driant, ‘ Camille Picard ei André Hesse, « satisfaits des déctaiations' de M. le m inistre de la G uerre et deman^ dant l’ordre du'jour pur et sim p l e . - » Intervention de M. Perrier, gardé des, sceaux,LeKouyeru£UflBent,,u’m it 4 ce mo- m ent qù ‘’4 accépter fordre du jour pur et ' sim ple qui lui laissait sa liberté - d’action. M ais Jf. Perrier-déclara ne pas accepter l’ordre du jour pur et sim ple, m ais celui de Ai. Picard, approuvantlesdéclarations du gouvernem ent. -Le prem ier ordre du jour ayant priorité, les - huissiers firent circuler les urnes et le prem ier vote donna lieu 4 nn pointage. - Le Hiolstère. est batjtu S A la reprise de la: séiançe, M- Etienne, fit connaître le résultat desyotes I:,,l’ordre du jour pur et sim ple repodssé pdr le gou v ernem en t était adopté p ar 248 voix contre 224 , so it u n e m a jo rité de 24 voix. Le minia:! tère était battu. V 'Sorn^n snfi. la.jpripfité^.dé .FprjË’e du jo'ur dé Jî.'Jau s , a in s i c onpii'(înterpella- trons reiaJiTes aùjt, affairaàjqq Mar^^^ : La GJianiloçè, - la .'pratique ànlidém opri^qüà.’ët ' dange-" é dés. traités,àeofèts;’ invite lë'goûverne- 4’}i'teavr'Âmvi &‘1 ^/hkâQivtrâM'}^ rff tre reusè _____ , __ ;'ra'ént'â'’fevénif àTobèémabe feracte du traité d’Algésiras, à résdécler WemémBnt’l’indépen-' aahce et l'intégnté dii BiaiÔc,;'a medré un terme à roccupatibn milStâlrel’du.-ieeritpire marocain, et à éviter ;toute:actiaii !^iipuisse laire courir un, risque à, (a nécessaire amitié du, peuple rraéçàis è't du 'nôhié peuple espa-,, giol, et passé à l’ordré du foür. ' '' La Mbrilé'est; refusée, 4 cet ordre du jour paf'4â9 voix contrpid&î. ; . : ' ; .Ont voté oôÂtre l'MMi'iBonffandeau,!. (3hof«o6tu Detpierre, Fourbier Saflovèze, Heuzé et Hucher."" S cru tin ’ s u r ’l â ' - t ^ ^ ^ â M d’de, l'dRJrè du jo u r- d e -M M . A b e l F è f iÿ f l^ m f d t', v icom te, delKeiga&asiefejVerloti M ea'Pôhço :? ; ,'"La‘,âiambre, approuvantles déclarations du’ gauvetitemsnt .... :: ;i iu, j . ,• -- ■ 'C étté'partie est adoptée p ar 464 yoist TÜnt vo^jgotîr t lÈ ïi RepffiîiidiWl'èhO"- ' ' B, Fourniér Ssüflovèze, linet, Dèlpièrfe leuzé et H ucberi g! uusit i '11 '; » ' , T,' - a, ,-dl tn .trr,u-i,- a»’ 1 sèi î r , b ^ d f e f t w t t ï u W B ’y à W tteig é o ^ âm ^disait le f|(MfrM>.-&iriMa, B ^ i tU fcW : ................................. ‘ C m p â lie s’avaiènt'l ner devant Jjt^Siujfaiisst dépoi«sarleb 3 % > H deiiiM #ll» 1 i*lllitiM i*diB »ve é L fSif egstpppu »“,?! .V -Ti’jt ’pj-iisLtÀ . -, JTamer « une ape. fions du gonverde- tM é^ p tèrè _ ^ a d ra l G m t ^ ' sur u ordre do «tisîBpia qui lui raBiaU -IpOvoix environ. AU PARLEMHST , , • ; !■ r-rlIU'U - I A o a x to te c . ,fSéon«. Jt'A n-i E n è o re a a ’ s iie e è s ipourvlM H . Pi, Une prem ière bataille^ acharnée, s ’e s t B v i ' é é s u r - l à ' ’W ëslîoh‘ dtf la g",']P; entre ttS préporfionnàlisiès et ies ërrènm sse- m entiers. Ces derniers ont été battus une îsd o 'p h » .' , - r . - i . " '' ' ;,, ; T rois orateurs o n t pùTisIa p a ro le jeudi : M. Thomstuti- arroinffieseineatier déter;; 3K. lautès a fortem en t m aunené % sys- tèm e'Jm âj^ia& êV jC es^ Ifirisy^ie, des- ... tT-_ dqs o p tio n s et 'Bn,irég 4H t é Y m pqué’des fisüisée' dans'Sn réaim e électbrara éàiiïétÿrdbe ».■ Ht’lil. Janrèk ébjecté'- 4 'M . Tfidfesbn* que Gam betta a toujours voulu 14'scfiitjh de diatei 0 r,-pour .fairo.-tivre. le aceutin de iisteilicilJant , 1 e. d em pérer parJanW préy M i^ tii» pcoportionneU eis^dtii perm et tra de se déV elop^r sans snqiritt;.»/' rrsas a æ 6 S ^ ^ ^ < N ii« r é u p H - #enci au s e r a ( i B . - . d e - t o n s 'v i e s s-Upcaridse'f I^unendenteot- 'Jbriarisdls'-aiSBÂirtnnçn eLa ChambreeU'^h^esâu'.ecojtf» moü?-! rümte »,„ast.- r e p o o ^ , p s r ^ vpi*. ,( â d tr e ! * B ^ '|B it.n n é niyoril 4. 0 ç:j:î.? VI m ica goiritub e envèiwitt' ■.■iÈfi s iiÆ dBoW eqfu-iitfinyaiw Le Msroe. —. acrutin sur | 8*Ÿèiivéi 4 vendredi de la ^ 9m de la discussion delBi iBterpiBiloebi»rrinWlvefr am niot^M lifl-OGl -'C -;-}!:! 'h I ■•'i .èlG'lleO rffL«i*i«ïi4*^edlb6Shr«o(Mrt. par QOK «ni* coobelîTaiimpiièStfflévifsunciiv, dente. tv*tl éi- ’>tlè 10B teiatf!s«»ifttto> oiliinéslourm eib aS»l«»èiisM 8naé St vniiç. Ont voté contre : MM. C hopinet et IM pierre. B oaffudea^ii Sorutlnfsnria ï» partie de l’ordre du jo u r-A b el E er^ : “ i-,. , '■ I , . , . ' . ' M flin£é' en.lut fine poliüclné • isontorme- aux .tew rlti;; sd éb iàte ?le, a FfàntféauM aroc et'à'uX'prlilÈmeS de faete ifA lgésiras,'et repoussant toute addition, passé; aroiidré(du']our. ' ' ,V ' , jCetté partie est adoptée par 432 voix contre 79 . - - , i -: Ont voté pour : M M ., Bouffandeàu, Chopinet, Delpierre, Fournier Sarlovèze; Heuzé et Rucher. ' {Séance du lundi 19, Juin). i Serutin sur-la diseussibn im médiate fie la,proposition de loi -de plurieurs.dépptés, d e m a n d a n tq u e ie s p ro p rié ta ire s . O uvriers, empioyés, com merçants- et' I n d u striejs,» -u i ont été victim e s d e s in ondations soiéntg ’ègfévés en totalité ou en p 4rtie.de leürs^ im pôts. ,, ' .Pour i’ad o p tio n .... , 198 . - C ontre . 364 j La Cham bre n’a pas adopté. -, ' ,j. O n t v otépour : M M .Fournier-Sarlovèze,,' H ''uzéet Huoher. ' ; Ont voté corifre : MM. B'ouffattdeau, Chopinet et D el^erre. ; f - Scrutin .sur l’article. A " , d o contee-' projet de M- th . ReinM h, au.projét deaoF tendaut .4 établir le scÊùtin de liste ayeti] représentation-progortienhelle. Cet article était ainsi 'coiiça : f - "« Léstiiem bréS üè'Tà Chém bre des 6 é-; putés Sont élus an sdrutin dé listè, par «if- conscriptionr 4 raison ' dé 1 député |>ar 80.000 habitante de nationalité française ou fraction; de 40.000 en sus. » Pour l’adoption .... 3 C ontre... ,.v .... vvc 558 ' La'CKamb're'n’apas adopté. " Les députés de 1 Oise ont voté contre. , .11 1 , ,e ' 1 '.» !, Séance dn SO- juin. \ Les incom patibilités psrlem iN it*i^.i Scrutin sur le renvoi 4 la Commission d'adm inistFation générale des ' {U’op^sir, tiens d e ’ r é s o l u t io n et d’une proposition de la.loi çi-après r ....................... ; ; .’.'i» F fo j& îtion'dê' rSsblutibu îè^SM .'Pe§rie; 'aôi^, Ringuieç, Conésnoû e t . a u tres,, aiusr (mnçùe'i"'.^ , ,I#Ç*fm *re»e#sa 8ui %oi par certiM ^, a d p û m stra tiW ,a v o a lepjfqn^o^dp, de;cons 4 te 4 / ¥ i iB m i> l!f t i M iM p^ 9iw iê ie s .p t finaacffîres^i; i i ^ J e gom rnej _ étumec,' les.; moyens, dq jpettre fis, fians plus b i^ 'délu, k c e s .fegpéttebles.pruiqùé ; 3 » Proposition de résolution de M . M reos, m nà'oonçnéc , : - ■ -,. ' ! ' L a; fflia d b m i n v t t ç l o g e a 'v ^ 4 'm efe Suan'cnm M 'deè^ipèttebt'-adMiiHiltra^ml s avëe'tageeB ànM ’e m reprisedprivées, soit w “V ^ âce' d’un m andat 'légiuatif, et pas» . jfdré'dd.’jto .* ! 3*^jPrpppè(tibii' de joi'lde'M iflb ajjasLcpbçue : , ... : , ! ailsm iqae; ;I^,& uc(iona (te: >UBesoiU'incompatifaIes«vaQ c c ^ _'eldu,Conseîldiaamii^tration d une ananoitee, iodastrieUef, .Commercialo génèBal; dé .toute Bométér. paiclalBioils bii| en eommandile faisant appel a: l’épargno et: ad crédit public. •„ - - ->■/; 'i \ juié'risnvéi de «es direfsétf'ÿïppOsitiohS,' qùï'yfebwnp M .;ljéj«tie,-pbéfetide-police,’ iest voté'pai ' 403 ,Voix contre J 4 T.' I 'Ù f l l ’i i v o t é l ô ’; i l e p ' v b j . ' ; . M M .-Del-i jpiérre, Fournier;SaripTèie, H et^-et Çur OheS. 7 â";''' -’- î -,i ' (Be-sont abstenus : MM-. BouSauieau eî t i b t q i i a e t . , ï« haut eommandsiiaM i^am' g n a m . ^ -/Soratin' suf) le .renVéi, 4 la, suite des inlerp^M îét^<sari lacc$iitiisie:'. :M œtiaterpM i«dions 'd» llIlL » M i^ H ésâr n e f q ’M M m l'Biaiaim é'garalBSBiiM O ^ons ’d u m iaiftrm de ta'gueriÿeBlce:'<raf 4 ouche PtinÿaB^atint^'i^b'G O iim M m Q naBnt en , 4em pbi(teEgwm teql'iiui!li'ih>oi^,-i!'; ^ Le renvoi est repoussé pmr , 314 voiiti ieeatowSBb. •,’i< 70 liti»l deam at loi '»■? âiiiq ., UéleVenVoi iJO L i Bedffaur et)d':ü'nu'^ JftUr d# .s'jiipi eh ÿ: coi liÿ ,y/V>. e-s'O^dlM s stn Sdm tim sae'dietiseftble dif ■rMBt -dm liaimennaeniaat)fitoiiT««ttiiB et au titre du budget génécalat; au titre des JiHdtidé « u ateaJan , .a^'ivm ei s.l ai Kj^bSuHBiblÿ est flreté.'pdr»l 4S 4 -«wim om b ateM Bft./'ticov .'eu'ioes Jsiè teo ansfc aie m n O « u aM d M « aito e M Ü ta is a # rètw bi^ .Stoiftèze, oi) 'An i ‘M iiirïjvl .eîi■ -Ti C hainpionnat IM ordr' - iB^i/mom^cs mrirouie ,, Indépendants ÜJV., F. “lia. GMhmisMéh èp 6rti^ ;'d e'T ü .'^ ''V ;'F .- a coidflé" cetfé 'ànnéë au ' chef.délégué spor-n tif de teW ffiffie'i'érgahîstfiîôn du C ham -. 'bt 6fiuM'Uj®iOaât:''d»'<Rca’(t‘de >100 « 0 - strf^'rtfltêv^ féSëW f ;qi;fx indépen- dants'dé'toffieëc'âtég^ïîés'lfèéiîéiés de l’IJ.-), V. F . h a b i t a n t l a ’' f ^ o n du Nord depuis plus.de six m o i s ; . .. ,< ’^ i ! % j ^ ^ , ‘’lT O r d W 6ôM ® te .ues d& tff-!' tèm ébte Suiyaùts'i 'âiSné, Nord, Oise, Pas-', • " ' ’ ■’ïpigÇf^^- Vf.r - ; -,î ! «ye ;a»râ ;tieu è'-Am iens âe; dim anche' 25 - jui 8 hldJl-sur- • Titinéraife! A m ie n s-B eau v ais ' irtlm vet-feteur. ,1 ,-.- i,-j,t p y -) Les S o ciété B fî^ 'éÿ m n aàiq u e f .-a*'-! ntisir .' i â ù ra B eU ^pau »4 Quelques sociétés de fD ise y prendront part.-Bes(m tt~ La Bépublieaim, de arandviliiers. la de-flwm ea, L a R oranatse,-deriloran. fc o u rd ^ À ^ is G S â e V ô ïs e , ^D pti^jtk SESS 19N. _ ! :W avijU u^!im ,ân'19JuinJ,. ■„ Affaire->Hoatëll^LiM<assenr, Le'GueB et'Petit. - i (Cambt^làge).\ , Les accusés sont au nom bre de quatie l°'M;cintiBil (l^oèit-TL épn), 4gé de 17 ans, garçon bo'ulanraf'â'NOybn. ; * , i ' 2 » LèVàèseûr'CGuslay^lémenJl), âgé de,. ÏS.ans, garçon boiilanger, dèm eurant 4 j_ N oyon.’ , 3» L e G n é n ( Y v e s - M aroel),âgéde 20 ans,. garçon boffiab^r, sané'domiciieffxév , dV/JPetib JEdmond»Norbert; ' 4de IT 'ans, jOufintdier, san»<ioinieile~fixe. . n'est ‘Vrâimenti 'iléplOFible-de>'Voir ees: jOuiaes'geBS, 4 là fig u re glM ire et im berbef s '- a s s e e i r - a u '' b a n c ‘de 4 ‘ ^ é v e n u s » R t ‘p o | i r - ‘ 9 tf>es^aa ^»b -.oo î»b ffélt uàe, œsâi-gettillie‘'ei;’^ è t ^ i l i i ÿ t m m t t . - 3é f i^ 'iW é V d r i^ ,’'l%9 dei39Màd;!ou- v rie r (f u sine, d’origine belge, -dém entant -4 iM éldÉtd»eptee»c(nfuM dim iÿ aux traite; "di^'W îK iI'aîri’énergique et 'riolènt. II est- atteint de calvitie. . .'/o -.h . M arie Gàiltot, dite'a'G eoégelte 4, fem-. ide 'VanèMeeheD',' âgée de 3 o> 4 nsj 4 ée -4 Nogent-les-'Vierges, n’a pas de doibicile 'fiSSStBÜ-,'!lï£ ,-;;-iii,;10ll .VSÏSirTt; ri : c u f i U r e s t i bM ee cet'■ h é b itté e 'frè s q l ’r o pre-j vm éèti useeàafttine'tétMttvrais^tdfèveux. '-Ëlldà la^tépiAation d’trne'professionneile-i aelè4i*eirten80n».’i‘ ,"î s!i'<-':Poa e,!U ÿ ‘lè-’éqieéS Mi: léOtiitieMe l’abte'Üilta 3 ^ « ia n ,,J M i'B eràB iv p iboeoedr' 4te!<4acllM akfi(|üeû 'mMeVÏe'^^pêlàtegévltfemieistéeéi'publIcli pPeA Éfiiiipéâùiirititnisafin^qoe ie'hhisctos ' 'toifipMSWnw.'icvftb 3-ïO 3 bJ ; ,, vB'iapCo'mpyiaâtitPèMÿKtweieiitAsit et lé" patdteutMtqebMFlaisMb^drbudtafcetT ; en i 2^ l B < £ iB r ( ^ e s l t n t e r p o g A I s ÿ b é m i è f e . ., /timë^AnesiâiBdéeâsi stmetem^nn leir' iffloyeneeiiiiplaydipim V pntiqaeT ^avdrterr m ent et sur le rôle jotcM ans eeefb ilepar icèieenfispeailuW everb^-et par la 'fem m e Van M eenen. .-ilov-fiq è .sis W e v e rb e g t eeP v eu f.Il h a b ite M o n ta ta ire . ' depuiaeiraaM nH IiilH alitdm ’egt pas sané'' repfochiM H ^il^idéjÿipnooam oertaioes;'' SfWffiMtti'mPW yio'', ^ e ï il se livre -detem ps mn tem ps ,4 la , ;Rniq;ayeof^Plé'l«4 fflan«BUTres'dont . 41'e^àcw teé.étjaceA V éé-us acÇent'be^e ;Jrès^bn o n cé, qu’il est com plètem ent in» Le président,japt en conteadiction lest -4?'» «P“ ' meane matupsea.de menteuse quand elle - déclaFe,qaelAi^'’Oia pratiqué sur elle des! manoeuÿpëf ^ O ^ v e s . > , La'.fèàûne/'Vanji^en'én adopte Je mêmet s ^ è m e de déîènse qüé'WeTerbegk et elle; amrm§^n innoopnce d’une voix trémblan-i teen ré |)e t^ toute la-responsabilité du crimeéür là fille Làroyri . , . ! -T Jamais, dil^ile Je n’ai pratiqué d'an vortement. ; v cetuii prévoit c^me-rapporteur detacommig g ^ d e s comptes et [budgets arole , fT H i^ital etÿu- Bur^u ' dB" bienfaisance. ;pour le premier d é ^ s’étabtissemebtslesccnïpteg de^JOlO'IIà'ôiient ; - , , aedeites ; . . . . . ..Sîtlîvtisi'à'às j . ... ” i39f?à89’2i ^ ijpa.Excétfént dârecèttes. '. 27.643 07 * B idgetebppfëm entaire de IfllO'S ;, .• dSilgiîi^^aÉL%M qiie àù jury les résultats -dë son oxament que M ,tant„deux de-..fiea,indi,vi*ia.,«»it'déjà de 9 > maffâteites 4 imgmle«x.^LeTlteseer/^ jL^ 1 ; 'Q uéùt 4 'M ontpflaet RèHt, ce- spptplÀ ôt i,deuMàïfstjSlOP%ibooogoiftatsamo»ràçtère .faibie-et qui sa sont .-laiesés entraîner par unemaiivaisefFéqMntatiôn., - 1 Jl&so'nt>us .inçulpéSj ,de', s’:«Fe -ihUor. duit-nuiiamm'ent; àu domicile de rarmu- rier Langlois, à-Noyori, par. çfrràôtion è ; d’y avpiy dérobé desrëvplvere et une peti te s o m m e ' ' d ' a r g e n t . ; : ' Les àc^'sés-avouent,'satis aucune diffi- ’cU lté et ' 'nlàm féStènt' leur intention d e ne iam âis rèèb'Bm léblôér. -ijÿfèrtifitéire'db M iBée, substitut, est pactibulièrem ent sévère‘pour learécidivis-' 'tesfiB ’Soe'ô etlievasiSeBra »-,"î=, i J P & a i# e rt,ia v o c a t,'d é f e n d lejeuneM on- teii, qur,daBncetteiSait% ' 4 agiiavecibeau- ooiq» dam aïveté. M enteilnlest sa sn n inab^' ’f H it e u r ç 'i b e s t plutôt-vêotim e delm anvaises fréquentations et' le défenseur trouve d es term es touchants, éviter 4 -cet m pispo dp/" f, à^iÿe 'tâché t .dé’ défënpeLeva|ip#r,e|lië.ti & ,avm \w û^n|,'lé;pëii^^^^ rep rp ^é aPeul,T ayocat selèTe cbn- I r é q u i s i to i r e sév ère p rraopce w le i B m t e t é r à Jinblio 3 aD^,cefte_^i&if(i.,.M 'M y s'aÙ aché'â'd em on trér'qU e l e R i m Jÿ Le-, vàsseur ne sont pas des. voleufS ae.proles- l^ -e t d^àttA e pour eux Un verdict de. boùnèétkbéju^cei;' : '■ -"i/i i'-..LaiJiOBr!m “ite FeM ifÿB tillM iM ^^e son et LevaBMiiiêAtit^àiu* j’ - -,:iiTir 'i, h.' /■ .(Audience > - ''ii'iAflSsIré BoasMiéMii'- - > ‘1 „ ' (AttOntat'-à-4a ^guéPmr),- ; 'Eêtÿp'Æ ftïihé' Hônrî”BÔiftfiûr6, ' ^ am s,‘ tdéCem etè|^ei--m sV «peaéé^dM fidr attiré -2ftieénttfttie>ffitettedé«iiMniib;Ferh4nd^ "itlàviH netet'dë sM treiIivre sutc'M ie' 4 des M tedôM iliehtii' éboénes.'i’Iiolnâait'' diémé tebti 4 dis liv-vtolëivcaass céiDtéie^M i& nt l^ u rM tjâl n ’o s a , p a s m e ttr e ' so n - p rojet 4 - asécutioh. •' - K Bernande rne,;voulot,;pa 8 Trévélepj tout ÿabojid:oe"iiui ;P in e iB tw a e e :d « sam èrei elte dévw la le rôis.; ,‘prbBureür de là République,) isbil‘réqmsitoirë une certaine modéràtîOii âH'égàid de-la'fllie Lèroy,nttûs triifiie Vàn M eeneh, ddat‘'là repütation est détestable. j ' Suzanne L eroÿ.est défendue par'M * tu 'M « e ilie a p d e 'pom ' W éverbegk et la ■f a ise u se 'd ’a n g e la fm nm e V an M eenen a . M*' Paintré eom macdéfeimeor. ' L e -V erdléi. j ' Le jury rend jm verdict affirmatif pour, les troie]^cu 8és..ai^uels il accorde les, circofistandes atténbantès'. ’ .' Les trois‘’dêfensenrs'detoabden£ i’indul- gehce d eS Copj'poiir léurs 'clients''et la ,'fille SuzàiineLerôy','qniJ'n’à' àùcinnb'cdut dam natibn '4 'soii àctif, 'prie jibm blenfent la COur de tiff ' accorder m~ loi ’dè' sursis, car elle estnnôré’ffimr jeune enfant. Mj le <PreoûreuS'‘oe'SioppeBe''pag '‘4 lâ‘requête form ulée par cette jeune fille.. Là,G Q a r :jm ndàmne alors : | , 1 . à dix*)m it; m otel de p i f t e o h ’a v e e biî M s ; ' | .JoM pli Vi'exynrbegk,; à tiote ans, de, ^ fem m e Tais M eenen', à, 'prteon. M .;le Présidenr dédare les rabats ier-; inines.étlà dènxièmé'SesSioii est'close. , ewntijvètm et son I»,' ll.t^ jp u c sajdéfensp la abandannépearae. ün diïOtObJlSUÎ^Mltiinjtgivén etBoifci haire était génarè femme et de ses enfante aü'MmeWPidl7|dtentat. , 4 »^ -u'fiertÿffîuiSi^BMiiBireèSt ea’if-Üâut ivrp •dtfiiWT'éiBBHat boisson spL'WF.ijioossé.é.i 3 -■éeeseettre'îolà orime'qual«nei-3’«*pl’— in||g[-«»”qii'i «h ae-iiiBc ^séesBbstttaepa foire et MiHïlUeSBilfi) f'WiUttocBàéq’-'J'K'Çi vtmauK ,«J i<>»manitir»a>st «ondamèd 4 vme< année, BÉneîrtqAfliii'S ii- ri{fi,;(U i ph » ; « '« ) •■(• tII ,1*4 i*4 ; -■cov'/UtiXiiPM afllIilmti iu;, '?■ « n e - M ’e x p l i q u a i -é a /(vgiMiaq ^ itpa'priihoiiflPéotéM gi- a^iM déTihileHreW HneBt,; (Avortement et eomplicité^i icltefillé SbzantimlfleSyA de Mefitatairep eesbmjtoaMted^vrirJailiaiipil*itl»Bid8 3 fd* '4 erç|eFiM lÉ»ite{ftanK déi<»^ La flUe Leroy Sazuûe^ ^ Ç^iksçïl 0 vUH :i:.J iS«tmee.duJFciidredt -»S Jutn). de raô lëfd e't dehUé dé M de,lW Btmëat anlt, Sainte-Benvej , . cOTldr.' Cultroj MoUret, Brènne, Pâlin ’m nteti.w r' iiSM i 9 io;'a '^vdttrmni lecture dë' probation demeTOmpte. Le Conseil r rmttehrtTmtltnr ». j , ... ^ABSSSffabordefiite o#»He ntiniatrotioa dftioet «tegMosyiteciGetiseil ;déign«'H<.Qt)teMi pour t^étider pendant -, ,JaaîéhifiS)éMit)MntPfef, ; i ine-safetom aj ;m^|}4jê»*>BBeBiaips«el«AjM*>p'àfiTàb ^ 3»ppnriieafiido»Jà cw inieâastîdu .contot» 4 V m ii*u^enr:reii)teT:i>a^^ M., le f pour l’exêroice , 1910 .- •; y, , 1 ^n^rJlV llgde$*làtom 'IV vn^lw difers !éiéiites,4ejSNiHnm{^^ . soniH en.fsitrea80BtttIaSi:^fH»s, s a ^ r i j s i wjftT'i • i .(SRuiff - Recettes 2644»97;:â4 iJà'e i-i9ui«BéPM«Çju-»i»l%i8l:8».J 1 sdOttBiait naxreHq^df 3|w nibie'de 48 jgl 4 “Mb M,ritti/iseeifinNi oénetoMani «paiproAse ih ^ g A Û iM M |^ ;r à t‘<)[db^e''A^ ni- uiq ^feiHmlMNase^dnii pnkidaacc t*fittiAttàC^RnttHit iticsi^tiereaoïkiiqii en ,;i K ? î 'c ; : ' m I-, Le budget primitif idniriaiS, 'é'frfiiéttes- 2llÉs8-74- >» , et en dépenses , 2 1 3 . ^ 44 Les'Cemimes.sp&àùx’éoncourant aux de 12 pour-ifiàssistahcélânx .et de 43 pour l’àmortissèment -Le Conseil, conformément aux propo sitions de^'sà’’cbmDiif,sion,' adopte lê s '^ d - gete en question, tels qu’ils sont 'pré sentés.- ............................. - M. Brivière' prend ensniiei la Ælxcédentde recettes. « 12 ; ....... 28.286 p7 - ...--ir-.ï-i ' .;-» < 53 60 •99-.992.85 ^ j 973 19-80 :Rxcédent.de recettes ....; die budget de 1910' du bureau de bien* faisandée solde ainsi : Recettes ..................... ; i:».731 74 'Dépenses' . . , , . . I-37;4o5 71 l)ExÇé^ni^ receUes. -.j : 1^326 03 Budget supplémentaire de « l l . i •Recettes....................... ! , 4.568'47 ...... ' 4.549 15 B.qdget de 1912 : .'Recettes . . 19 32 14.045, t»» 14.032 90 _ . 12 10 pansTa f u s s i o n ïnlérvfent M. Robert, membre dé' là commission,' qui signale ce qu'il y a d’anorinâl -4 son rmi'nt de vue, dans les dépenses des frais' pharmàceu- ' tiq’ues qui sont Tuniqué càtise des subven tions, 'relatrvëment coésid'âabl'es, .que le budget de là ville est conduit 4 allôuër au bureau de~bTetffâîS|roce. M. le Maire dit qu’en effet ilîyaliéu-âehe préoccuper de cet étatdRoho8es én qQ<iR-eerait bien né- aiessairedetpoVvoir-y remédier. . , Le GooBMl<'adoptè les conclusions du rappOTt dB'faïOoinmisMon.:.f; ...Lesipoifvpirsdë M.-Recoiog, adminis trateur de la Caisse d’Epargne,. sortant, Jui.sent.roaouvelés auiscruiên. : .’)M.-Veleatiir,' arobkeétede.ia; ville, est -'cbargé-de:visiterles fosses d’aisance:; ses vacations'sont;aiuH.fixées : visita-sans ebservatipa 6 fr*>,visite aveerappbrt 10 fr.; contre-visite &fri De.piuSj les propriétai res de constructions DOuveUes; sont tenus de.présepteri ua plan- dOBti-l’examén, par M..l’ài;énitecte,aetévateé-410 francs 4 la «hargedespropriétaires.',, ; : .Les.vàeài^, danslesiécolesm^ernel- les, sont fixeés aux trois dernières semai nes desea^mbre. L’adjudicatiop pour la-gontiractiop d’un pont; métritique sucJa.XpBette au Mon- Im dû’Roi.n’a- donné .qni’unifieûl seqmis- gmao%re,.|à .SoôiétAdes P{sa(&qt Travaux en fer^' de4hm.l-Montaimr%qu .demande -ane.augmentatioadeJ.O/Ùsqrile pri; pro- posé*i2.^.fr..'7(L Mu,^Averae6,consi- dérations dpnti.laTi^Be^âte esil qu’il y a «urgeim A i«QiBastroiroi^%oont; lêÂl^nseU .autpnse,M;,ie;jlliaire 4(trmier de grè,4gré aveCiOette Rpctété et la séance est levée à neuf heures etdemie.-' W a Goim (presritTGafè)' âdiundjs'ejüm 8fe àimancheSO Juillet „,l4 :sbéiéié. d'^MIèjè'do^rimdRdDrs a inonnéuridlnvitérttil. leé poj^étwes et Amateurs â.venir çoncqnrir-atiXTrhi qui isfflbitt 'tirés’.dh 'S6 Juin au Dirdàhe^ Zp JJAflet'J 9liJ~ ' 'iiA >: .<Ç^KPO^mtfN;|pS PBLX l<',Ptix(Esi^ees),«Ceièip8rik Ville :,d%^l8(..-,| .... 50 fr. canwbd^Cieil.. 40 offert par la Sodélà '40 — , 40 2* 3« — 4* — ‘S*-,-— lis». , - 7*-;.— 9* — 10* U* ...i.. :iP 43* ■f4' 40 ,.40 40 35 ,30 ■30 gSerte par ,-r- Unè liéctàuïëiâ . ’*^”'--qKMertV4H , iUCU llOUO I9CUUD . . -r- AUxçfitiitlë^.% paMaiaO^aes par . la ^ ,^T-.r-î, -■ÛC^àfflhilej'eraa'Nord. -*- ■Du' RtumMe' servaitte, offert par M.Fadtbat;<• ' L dunties-à calé, oflbrtes par par H^Durns,conaeU- 15* - U‘ 48» -i- of- seront décernées es sans .a«s i»*;i;e«arte «sieqwfHto aaroat MSI cinq , üî^--■ '-■/•''t';--'--' - préseate lÉesibBé TMiiiAimnttJUjl gfaelir i tiF s t i esg gW w rw * ^wapqiaiïMiràf w *. empnirt nééeMté jteiaàfhpci^tte tiHnwlerae;

Ye «lèudi et le Dim ancfie. Meudi et ïe Q lm aeçtÿlbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_06_25_MRC.pdf · 2014. 2. 18. · nde tm bon bon- retier. — Bons i du Journal

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nde tm bon bon- retier. — Bons

i du Journal. 551IEL'X, entrepreneur ïe. des ouvriers

J 41aode un m én i^e

Icourantdu service, Ine et l’intérieur, le xcQts et aider dans le service de deux l — Bons certificats. I., poste restante, à fnce (Oise). 557^RBET, 21, rue de Bs. demande une

559^cde un bon jar-I mains, célibataire

nourri. — Gage» - Sérieuses réfé»

|M.ilE\Ri MERCIER, l e n ü s , à C r é p y - e n -

565lande jeune fiileI sachant couture et

ferme de Seine-|u du Journal. 566

r.de I liOt.EH, l'hclioii, à

k ^ ü R N A ü X| n état

et Marchands le k ilo g .

urrier de, l'Oite,

IX PPRfiSp A A I G r . d i g e s t i v e , use, .Tiar- a u d e s a r t h r i t i q u e t l

I D E I O I S E L L I S

r g e s i P a r t e

ielU. — C ouw turê noù,

! 15 de chaque moi»

ar BU an à partir h a ^ e moi».

liit frAQC».i 4 -

des sœurs,I is dÔTOuées ; ieat

n i e \ i . <ls* în f a m i l l e itJ-'f ■ g:i.*r 4r îivrcs — Ir ilOttbeQT nor leur esprit;

|aoc«, tout eu le« ini> réconomie, aux

'<ùl est le ' but ijun «« toi des DemoweÜet

^ées d’au succès too' jautorisMit à croix* nais écarté.

at dê posu à Ivrdr* * du Jo%tmal

a-Qeorgts,

t spKcinBi*

i i W E S v

«niale i ia

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r i m

k u m u m é .

S Ê * A n n ê è , ^ ^T T O f l R W T Î l i f R ,4 J i P w m i t B f i i H m m ù k ù $ S

,’n9<f t

il . >Y1 T.i

Ye « lè u d i e t le D im a n c fie .: T ' i\ù

M e u d i e t ïe Q lm a e ç tÿ l

‘SS........4 *••••.. sW i > c b * I h -

I lMhmmaixd.poite.T- L'ÂbmnmapidI d ’A T U O . o t o o n t u l Q . d . p lM ik d r o i l j i w i P A I * . T i i é o n t i S i r . . "

s i . l î T i s t e w •-

. . « , P i m m . . . l C B P A C g O I I » A M m a s t g A T i O N

’ S B ' K a i S - t C S B M E i X »

: «i ÿli lîOiO- M 8i.;. t* ti.p o y t e a i . <fa i.tf» : O y i g » e H l f f i ^ - n u 5t n i o »

tWBPaetl iiÜ t •üîiTS 9U C G IQ I0ms&<.

iÂif u a ' i . . t a u K | ü T . . û j p ü p p j ph

în-;

1' '-f

v m e x m m i i M ^ e i i V t m i ■'■ >' V i l l i n V V a b s o i i f j m sQtaiMtedte iwBlNs.iy. •‘liwJ -in!

-T.-a_aLi(:-i!T»iailüf.tiii ftodse t ■-'— - - - ’- - - -------

S e ii l iS t le 2 4 J u i n Î 9 1 1 .

A p r è s u n e p é n i b l e e x i s t e n c e d e c o u r t e d u r é e , m a i s s u f f i s a n t e p o u r d é ­m o n t r e r s o n , i n c a p a c i t é n o t o i r e , l e m i ­n i s t è r e d i s p a r a î t .

C e n ’e s t u n e s u r p r i s e p o u r p e r s o n n e ; s e s j o u r s é t a i e n t c o m p t é s . L e g â c h i s - d a n s ' l e q u e l i l p a t a u g e a i t d é p a s s a i t c e q u e l ’i m a g i n a t i o n p e u t c o n c e v o i r .

S a n s v o l o n t é e t d a n s l ’i m p o s s i b i l i t é c o m p l è t e d e f o r m u l e r u n j u g e m e n t , d e ’, p r e n d r e a n e i n i t i a t i v e , ' - d é ' f o u r n i r d e s ' e x p l i c a t i o n s ’ n e t t e s à l a C h a m b r e , - i l ^ d e v a i t s o m l A - e f ; '_ S ’i t y - a ' - ù n e s u r p r i s e p o u r n o u s c ’e s t b i e t f l e c r é d i t d O i K ' i l ’ a b é n ^ t î é a u ‘d ë t r i f f i e n t d é I d " ' g e s t i o n d e s a f f a i r e s p u b Ë j û e s . L ë s . r à d i c à B x e u x m ê m e s , c e q u i A .’e p t p a i s p e u d i r é <

■ s ’e f f r a y a i e n t d e i r i n c o h é r e n c e . , _ d é ' l ’ a n a r c h i e e t d u d é s o r d r e , q u i é l a i e m t ^ l a c a r a e t é r i s t i q u e d e s a c t e s d u m i n i s r , t ë r e M o o i o . '‘> ' ‘■ L a O i a o i b r e a e n f i n : c o m p r i s q u e c e t t e s i t u a t i o n n e p o u v a i t s e p r o l o i % e r , , C ’e s t l a q u e s t i o n d q h a u t c o m m a n d e ­m e n t q u i â ’ ' ' f â i t d é b o r d i e r l a c o u p e . L e C a M n e t a u r a i t p u , ü e s t v r a i , t o m b e r a n c o u r s d e s r é c e n t s d é b a t s o ù s o n i n c a p a c i t é s ’é t a i t a f f i r m é e . ,

D e p u i s s o n a r r i v é e ^ p o u v o i r p e r f s o n n e n e s e f a i s a i t d ' i l l u s i o n s u r s o n , e x i s t e n c e é p h é m è r e : ; i l y a q u e l q u e s j o u r s , à c e t t e m ê m e p i a c e , ' n o u s d h s i o n s q u e M . M o n i s e t s e s c o l l a b o r a ­t e u r s n ’a v a i e n t q u ’u n ■ o b j e c t i f : l a c o n s e r v a t i o n d e l e u r p o r t e f e u i l l e .

T o u t d é v o u é e t a u x o r d r e s ' d e s s e i e y t a i r e s d u B l o c , l e m i n i s t è r e C o u r a i t a u d e v a n t d e s d é s i r s d ’u n e m i n o r i t é , c o n d u i s a n t l e p a y s e t S e s i n s t i t u t i o n s à l a r u i n e , à l a f a i l l i t e . O n a v u d e s C a b i ­n e t s s e l a n c e r d a n s d e s a v e n t u r e s d a n - g e r é U s é s , m a i s à u n m o m e n t d o n n é , ü s a v a i e n t a s s e z d e c o u r a g e e t d ’é n e r - ^ g i e p o u r r e f u s e r d ’a l l e r p l u s l o i n . I l s e s t i m a i e n t q u ' ü é t a i t t e m p s d ’o p p o S e r u n e b a r r i è r e à c e t t e m i n o r i t é d ’a v e n t u ­r i e r s f o u l a n t a u x p i e d s l e s s e n t i m e n t s l e s p l u s s a c r é s , l e s i n t é r ê t s l e s p l u s c h e r s d e l a F r a n c e . ■; ’

, M . M o n i s s ’é t a i t j e t é à p l a t v e n t r e d e v a n t c e t t e m i n o r i t é . « J e s u i s à v i o s o r d r e s , a v a i t - i l d é c l a r é , d o n n e z - m o i d e s a r m e s e t v o u s f w e z d e m o i c e q u e , v o u s v o u d r e z » . T e l e s t l e c h e f d u d é ­f u n t C a b i n e t . !

Q u e l l e s q u e s o i e n t l e s d i f f i c u l t é s " d u m o m e n t e t l a s i t u a t i o n e m b a r r a s s a n t e d u e k l ’. i m p é r i t i e d e c e g o u V e m e m é n t q u i , à p r o p r e m e n t p a r l e r ; n ’e n é t t i i t p à s u i î ; s â ’C h û t e e s t U n v é r i t a b l e s o u ­l a g e m e n t p o u r t o u s l e s R é p u b l i c ^ s e o u c i e u x l a s a u v e g a r d e d e n o s i ù s - t i t u ü o n s , d e l a p r o s p é r i t é d e n o s a f f a i r e s e t d e l a d é f e n s e n a t i o n a l e .

L o u p B E B T R O Z f

E c h o s e t N o u v e lle k ir e t ;

d e s ^ g p é â l l e u t ? d j F r a n c e a j t ë . r e ç u e î u . j o n r ^ u i j w u ' l é . G r n ù p e a g r i c o l e d u S ê i i e U B i l e

- é i i d t c o m p o s é e d è r H H . R o a s .B è l l e . S a l m o 'n - v e - , g a g n e u r , R e n é e t P i e r r e L à v ô B e e . ' L e s D ^ é -

r « t& :^ « té lé n À a c < ^ ^5 a n a W - l a - S c i l d â é é o n t e e - l e a i b u r t a x e n m e-

e e s e p c a l e B p c o j e t é e i e t d e m a n d é . ( p i n , 'C o n & r -

' ‘ d e » f w . ^ w d â M < ^ e

V ^ a e r a t e t t l » j ) n ^ i -- upsl6ise0bsQrJallâne ^ tq u e tle tiR 'd ^ sa^ e

é ^ i o Q » 4e . l q . i » f t i i è r 6 i p ^ o -* .v: ---- 9 f v ' l J F

i S o c i ^ , S u t ' p a r ’c o n i • m s f t t S ' p d n r / V a d o p t r o n ' a e , 1 ‘a # § j a e n i e n f ' d n i d t l < ^ f W - p à r ' l é s f c £ a é a ) f e é ; H ' ' l ^ n ' ( ^ ^ B c e h C d é r « f V ' B é r i t t e r a l â ' f s m U t é r ^ ÿ à y e r f e s

t ; d r < B t e a i i g i « & n k l é é , ' e « n n r i e a ' j f c i B ^ n è . , . i L e w o n p e a g c i « N > l e < a À i l l « n n i n a ] e e t a n c à e i t

t ; i ^ s s « ; ï s î s s »ï « r î j 6. ; G â 9V j e r a e œ e n i . . . . u r r ; »

la terp élla tton , deM.AJMïnè®!SP8e■u C’eSt avec surprise, dit en'Coimnen-

çant, M- André' Hesse, que -irous àvbns appris qu'il o’y avait pas djgéû'éraltssime. 'Oà a toujours 'êru '“daiis lé pays' qu il y avait un,chef.suprême,charge éveliluelle- meot de la direction des .opérations/-M. Berteanx avait aflirmé deyaut la Chambre

-qu'il y avait un.généralissime. Qui doit-on croire, maintenant, de M. Berteatix ou dut énéral Roiran f 11 n'y a-eu, ajoute-,t'il,

ins l’histoire,‘de guerre Victorieuse que, .lorsqu’il .y, a en respon,sabilité,dlu,n,seul. » In tervention ‘d é-'M « . B len a lm é

e t D riant.U. VdtiA¥al’Èiélicmiii'\ia succède à la

trîMïne. «- On n’improvise-pas'-leS- chefs' d’année,' ditûfriWaiBt lÉDetfireBtsoB nniqiie. ‘ 'Les'désastres ne sont veafus-quedal’eubli de'oe'prinoipe;’- H -finit" eni cas' db gserre, un chefqui supporte' tonteda-responeabi-.: lité et qui possède aussi toute sa liberté, d’action.,»

Tel esïencoré rw s du génératPMova : 1 'tibn eeiiiëmèbt le ohef'suprffiie 'ijOTt désigné •èn''têmps''de'paii'i:j'Wâiré

' { l 'n 'é ^ iM é , d ë e f i i r ^ ^ l ' , ' ' * » ; S é u f’d é l t ^ l ' , d o H J 's iü ii é e 'ic i t R ÿ J ï i t ê ; ‘ÿ t r f a c e e p te <

;

g o u ­v e r n e m e n t è p r é s e n t e r ' u n p r o j e t b a s é s u r .- o c p r i n i â p e q u é l à d i r e c t i o n d é s f i b r c e s e n ' t e m p s d e g u e r r a j à e . p e u t ê t r e e x e r c é e q u e p a r u n e u n i t é d e c o m m a n d e m e n t p r é p a r é e ; d è s l e t e m p e s d e p a i x .

M auvais débuts: d u -M inistre d e lu Guerre* ,

P o u r c e s d é b u t s 4 l a - t r i b u n e - d e l a G h a m b r e , - t e g é n é r a l G o ira n , m i n i s t r e d e l a g u e r r e , é t a i t e n t o u r é d e s e s c o l l è g u e s d u c a b i n e t . « O n a m a l i n t e r p r é t é , a - t - i l d i t t o u t a u s s i t ô t , - æ s p a r o l e s a u S é n a t ; ; j e n ’e x p r i m a i s q u ’u n e o p i n i o n p e r s o n n e l l e . ^ L ’ o à ù v r e d e p r ê p a r a t i s n 414 g n e r t è e s t e U ; b o n n e v o i e . J ' a c h è v e 4 l ' h e n r e a c t u e l l e l ’o r g a n i s a t i e D d o m i n e B c é e p a i f M . B e r t e a n x . L e C o n s e i l s u p é r i e u r a u r a - b i è n t ô t a n c h e f i d ’é t a t - m a j o r g é n é r a l . J e p r e n d s - t o u t e l a r e s p o n s a b i l i t é d e l a g u e r r e . J e n ’a i r i e n 4 c e s d é c l a r a t i o n s .

L es p rd res du,,iour.^ ; :,M . E t ie n n e , q u i p r é s i d a i t l a . s é a n c e ,

d o n n e l e c t u r e d é s o r d r e s d U i o u r q u ’ i l y e - n a i t d e r e c e v o i r , s i g n é s d e - ; 4 l A l . l-eà n ira l B ie n a im é , D ria n t, ‘ C a m ille P ic a r d e i A n d r é H esse , « s a t i s f a i t s d e s d é c t a i a t i o n s ' d e M . l e m i n i s t r e d e l a G u e r r e e t d e m a n ^ d a n t l ’o r d r e d u ' j o u r p u r e t s i m p l e . - »

I n t e r v e n t i o n d e M . P e rr ie r , g a r d é d e s , s c e a u x , L e K o u y e r u £ U f l B e n t , , u ’m i t 4 c e m o - m e n t q ù ‘’4 a c c é p t e r f o r d r e d u j o u r p u r e t

' s i m p l e q u i l u i l a i s s a i t s a l i b e r t é - d ’a c t i o n . M a i s J f . P e r r i e r - d é c l a r a n e p a s a c c e p t e r l ’o r d r e d u j o u r p u r e t s i m p l e , m a i s c e l u i d e A i . P ic a r d , a p p r o u v a n t l e s d é c l a r a t i o n s d u g o u v e r n e m e n t . - L e p r e m i e r o r d r e d u j o u r a y a n t p r i o r i t é , l e s - h u i s s i e r s f i r e n t c i r c u l e r l e s u r n e s e t l e p r e m i e r v o t e d o n n a l i e u 4 n n p o i n t a g e . -

Le H io ls tè r e . e s t batjtu S A l a r e p r i s e d e l a : s é i a n ç e , M - E t ie n n e ,

f i t c o n n a î t r e l e r é s u l t a t d e s y o t e s I : , , l ’o r d r e d u j o u r p u r e t s i m p l e r e p o d s s é p d r l e g o u ­v e r n e m e n t é t a i t a d o p t é p a r 248 v o i x c o n t r e 224, s o i t u n e m a j o r i t é d e 24 v o i x . L e m i n i a : ! t è r e é t a i t b a t t u .

V ' S o r n ^ n s n f i . l a . j p r i p f i t é ^ . d é . F p r j Ë ’e d u j o ' u r d é J î . ' J a u r è s , a i n s i c o n p i i ' ( î n t e r p e l l a - t r o n s r e i a J i T e s a ù j t , a f f a i r a à j q q M a r ^ ^ ^ :

L a G J ia n i lo ç è , • “ ■ -l a . ' p r a t i q u e à n l i d é m o p r i ^ q ü à . ’ë t ' d a n g e - " é d é s . t r a i t é s , à e o f è t s ; ’ i n v i t e l ë ' g o û v e r n e -4’}i'teavr'Âmvi & ‘1 /hkâQ ivtrâM '}^ r f f

trereusè _____ , __

; 'ra'ént'â'’fevénif àTobèémabe feracte du traité d’Algésiras, à résdécler WemémBnt’l’indépen-' aahce et l'intégnté dii BiaiÔc,;'a medré un terme à roccupatibn milStâlrel’du.-ieeritpire marocain, et à éviter ;toute:actiaii ! iipuisse laire courir un, risque à, (a nécessaire amitié du, peuple rraéçàis è't du 'nôhié peuple espa-,, giol, et passé à l’ordré du foür. ' ''

La Mbrilé'est; refusée, 4 cet ordre du jour paf'4â9 voix contrpid&î. ; . : •'; .Ont voté oôÂtre l'MMi'iBonffandeau,!. (3hof«o6tu Detpierre, Fourbier Saflovèze, Heuzé et Hucher.""

S c r u t i n ’ s u r ’l â ' - t ^ ^ ^ â M d ’d e , l ' d R J r è d u j o u r - d e - M M . A b e l F è f i ÿ f l ^ m f d t ' , v i c o m t e , d e l K e i g a & a s i e f e j V e r l o t i M e a ' P ô h ç o : ? ;, ' " L a ‘, â i a m b r e , a p p r o u v a n t l e s d é c l a r a t i o n s d u ’

g a u v e t i t e m s n t . . . . : : ; i i u , j . ,• - -■ ' C é t t é ' p a r t i e e s t a d o p t é e p a r 464 y o i s t

TÜnt vo^jgotîr t lÈïi RepffiîiidiWl'èhO"- ' ' B , F o u r n i é r S s ü f l o v è z e ,l i n e t , D è l p i è r f e

l e u z é e t H u c b e r i

g! uusiti '11'; » ' , T,'

- a , ,-dl t n . t r r , u - i , - a » ’ 1 s è i îr , b ^ d f e f t w t t ï u W B ’y à W t t e i g é o ^ â m ^ d i s a i t l e f | ( M f r M > . - & i r i M a , B ^ i

t U f c W : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ‘ “

‘ C m p â l i e s ’ a v a i è n t ' l n e r d e v a n t Jjt^Siujfaiisst

d é p o i « s a r l e b 3 % > H d e i i i M # l l » 1 i * l l l i t i M i * d i B » v e é L

f S i f e g s t p p p u

» “ , ? ! . V - T i ’j t ’p j - i i s L tÀ

. - ,J T a m e r « u n e a p e . f i o n s d u g o n v e r d e -

■ t M é ^ p t è r è _ ^ a d r a l G m t ^ 'sur u ordre do «tisîBpia qui luiraBiaU -IpO voix environ.

A U P A R L E M H S T, , • ; !■ r-rlIU'U - I ■

A o a x t o t e c . ’

, f S é o n « . J t ' A n - iE n è o r e a a ’ s i i e e è s i p o u r v l M H . P i ,

U n e p r e m i è r e b a t a i l l e ^ a c h a r n é e , s ’e s t B v i ' é é s u r - l à ' ’W ë s l î o h ‘ d t f l a g " , ' ] P ; e n t r e t t S p r é p o r f i o n n à l i s i è s e t i e s ë r r è n m s s e - m e n t i e r s . C e s d e r n i e r s o n t é t é b a t t u s u n e

î s d o ' p h » . ' , - r . - i . " ' ' ' ■ ; , , ;T r o i s o r a t e u r s o n t p ù T i s I a p a r o l e j e u d i :

M. Thomstuti- a r r o i n f f i e s e i n e a t i e r d é t e r ; ;

3K . l a u t è s a f o r t e m e n t m a u n e n é % s y s - t è m e ' J m â j ^ i a & ê V j C e s ^ I f i r i s y ^ i e , d e s -

. . . — t T - _ d q s o p t i o n s e t

' B n , i r é g 4H t é Y m p q u é ’d e s f i s ü i s é e 'd a n s ' S n r é a i m e é l e c t b r a r a é à i i ï é t ÿ r d b e ».■ H t ’l i l . J a n r è k é b j e c t é ' - 4 ' M . T f i d f e s b n * q u e G a m b e t t a a t o u j o u r s v o u l u 14' s c f i i t j h d e d i a t e i 0 r , - p o u r . f a i r o . - t i v r e . l e a c e u t i n d e

i i s t e i l i c i l J a n t ,1e . d e m p é r e r p a r J a n W p r é y M i ^ t i i » p c o p o r t i o n n e U e i s ^ d t i i p e r m e t ­t r a d e s e d é V e l o p ^ r s a n s s n q i r i t t ; . » / '

■ r r s a s‘ a æ 6 S ^ ^ ^ < N i i « r é u p H - ’

# e n c i a u s e r a ( i B . - . d e - t o n s ' v i e s s - U p c a r i d s e ' f I ^ u n e n d e n t e o t - ' J b r i a r i s d l s ' - a i S B Â i r t n n ç n e L a C h a m b re e U '^ h ^ e sâ u '.e c o jtf» m o ü ? - ! r ü m t e » , „ a s t . - r e p o o ^ , p s r . â ^ v p i * .

, ( â d t r e ! * B ^ ' | B i t . n n é n i y o r i l 4.0ç : j : î . ?

V I m i c a g o i r i t u b e e n v è iw i t t '

■.■iÈfi s i i Æ d B o W e q f u - i i t f i n y a i wLe Msroe. —. acrutin sur | 8*Ÿèiivéi 4

vendredi de l a ^ 9m de la discussion delBi iBterpiBiloebi»rrinWlvefr amniot^M lifl-OGl -'C -;-}!:! 'h I ■•'i .èlG'lleO

rffL « i* i« ïi4 * ^ e d lb 6Shr«o(Mrt. parQ O K « n i * c o o b e l î T a i i m p i i è S t f f l é v i f s u n c i i v , d e n t e . ■ t v * t l é i -

’> tlè10B t e i a t f ! s « » i f t t t o > o i l i i n é s l o u r m e i b a S » l « » è i i s M 8n a é S t v n i i ç .

O n t v o t é co n tre : M M . C h o p i n e t e t I M p i e r r e .

B o a f f u d e a ^ i i

S o r u t l n f s n r i a ï » p a r t i e d e l ’o r d r e d u j o u r - A b e l E e r ^ : ‘ “ i-,. , '■ I

, . , . ' . ' M f l i n £ é ' e n . l u t f i n ep o l i ü c l n é • i s o n t o r m e - a u x . t e w r l t i ; ; s d é b i à t e ? l e , a F f à n t f é a u M a r o c e t 'à 'u X 'p r l i l È m e S d e f a e t e

i f A l g é s i r a s , ' e t r e p o u s s a n t t o u t e a d d i t i o n , p a s s é ; aroiidré(du']our. ' ' ,V ' •, j C e t t é p a r t i e e s t a d o p t é e p a r 432 v o i x

c o n t r e 79 . - - ■ , ■ i - :O n t v o t é p o u r : M M . , B o u f f a n d e à u ,

C h o p i n e t , D e l p i e r r e , F o u r n i e r S a r l o v è z e ; H e u z é e t R u c h e r . '

{Séance d u lu n d i 19, J u in ) . i S e r u t i n s u r - l a d i s e u s s i b n i m m é d i a t e f i e

l a , p r o p o s i t i o n d e l o i - d e p l u r i e u r s . d é p p t é s , d e m a n d a n t q u e i e s p r o p r i é t a i r e s . O u v r i e r s , e m p i o y é s , c o m m e r ç a n t s - e t ' I n d u s t r i e j s , » - u i o n t é t é v i c t i m e s d e s i n o n d a t i o n s s o i é n t g

’è g f é v é s e n t o t a l i t é o u e n p 4r t i e . d e l e ü r s ^ i m p ô t s . ’ , , ' ■ ‘ ’

. P o u r i ’a d o p t i o n . . . . , 198 . - C o n t r e . 364 j

L a C h a m b r e n ’a p a s a d o p t é . -, ' , j . O n t v o t é p o u r : M M . F o u r n i e r - S a r l o v è z e , , '

H ' ' u z é e t H u o h e r . ' • ;O n t v o t é c o r i f r e : M M . B ' o u f f a t t d e a u ,

C h o p i n e t e t D e l ^ e r r e . ; f -

S c r u t i n . s u r l ’a r t i c l e . A " , d o c o n t e e - ' p r o j e t d e M - t h . R e i n M h , a u . p r o j é t d e a o F t e n d a u t .4 é t a b l i r l e s c Ê ù t i n d e l i s t e a y e t i ] r e p r é s e n t a t i o n - p r o g o r t i e n h e l l e .

C e t a r t i c l e é t a i t a i n s i ' c o i i ç a : f -" « L é s t i i e m b r é S ü è ' T à C h é m b r e d e s 6é - ;

p u t é s S o n t é l u s a n s d r u t i n d é l i s t è , p a r « i f - c o n s c r i p t i o n r 4 r a i s o n ' d é 1 d é p u t é |> a r 80.000 h a b i t a n t e d e n a t i o n a l i t é f r a n ç a i s e o u f r a c t i o n ; d e 40.000 e n s u s . »

P o u r l ’a d o p t i o n . . . . 3C o n t r e . . . ,.v....vvc 558 '

L a ' C K a m b ' r e ' n ’a p a s a d o p t é . "L e s d é p u t é s d e 1 O i s e o n t v o t é co n tre .

, .11 1, , e ' 1'.» ! ,S éa n ce d n SO- j u i n . \

Les i n c o m p a t i b i l i t é s p s r l e m i N i t * i ^ . i — S c r u t i n s u r l e r e n v o i 4 l a C o m m i s s i o n d ' a d m i n i s t F a t i o n g é n é r a l e d e s ' {U’o p ^ s i r ,t i e n s d e ’ r é s o l u t i o n e t d ’u n e p r o p o s i t i o nd e l a . l o i ç i - a p r è s r . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ‘ ; ;’. ’. ' i » F f o j & î t i o n ' d ê ' r S s b l u t i b u î è ^ S M . 'P e § r i e ;

' a ô i ^ , R i n g u i e ç , C o n é s n o û e t . a u t r e s , , a i u s r ( m n ç ù e ' i " ' . ^ ,

, I # Ç * f m * r e » e # s a 8u i % o ip a r c e r t i M ^ ,a d p û m s t r a t i W , a v o a l e p j f q n ^ o ^ d p , d e ; c o n s 4 t e 4 / ¥ i iB m i> l!f t i M i M p ^ 9i w

i ê i e s . p t f in a a c f f î r e s ^ i ; i i ^ J e g o m r n e j _ é t u m e c , ' l e s . ; m o y e n s , d q j p e t t r e f i s , f i a n s p l u s b i ^ ' d é l u , k c e s . f e g p é t t e b l e s . p r u i q ù é ; 3» P r o p o s i t i o n d e r é s o l u t i o n d e M . M r e o s , m n à ' o o n ç n é c , : - ■ - , . ' !

' L a ; f f l i a d b m i n v t t ç l o g e a 'v ^ 4 'm e f e S u a n ' c n m M 'd e è ^ i p è t t e b t ' - a d M i i H i l t r a ^ m l s a v ë e ' t a g e e B à n M ’e m r e p r i s e d p r i v é e s , s o i t w “ V ^ â c e ' d ’u n m a n d a t ' l é g i u a t i f , e t p a s ». j f d r é ' d d . ’j t o . * !

3* ^ j P r p p p è ( t i b i i ' d e j o i ' l d e ' M i f l b a j j a s L c p b ç u e : , ... : , !

a i l s m i q a e ; ; I ^ , & u c ( i o n a ( t e : > U B e s o i U 'i n c o m p a t i f a I e s « v a Q c c ^

_ ' e l d u , C o n s e î l d i a a m i i ^ t r a t i o n d u n e a n a n o i t e e , i o d a s t r i e U e f , . C o m m e r c i a l o g é n è B a l ; d é . t o u t e B o m é t é r . p a i c l a l B i o i l s b i i | e n e o m m a n d i l e f a i s a n t a p p e l a : l ’é p a r g n o e t : a d c r é d i t p u b l i c . •„ - - ->■/; ' i \‘j u i é ' r i s n v é i d e « e s d i r e f s é t f ' ÿ ï p p O s i t i o h S , ' q ù ï ' y f e b w n p M . ; l j é j « t i e , - p b é f e t i d e - p o l i c e , ’ i e s t v o t é ' p a i ' 403 ,V o i x c o n t r e J 4T . ' I

'Ù f l l ’i i v o t é l ô ’; i l e p 'v b j . ' ; . M M . - D e l - i j p i é r r e , F o u r n i e r ; S a r i p T è i e , H e t ^ - e t Ç u r O h e S . 7 â " ; ' ' ' -’ - î -,i ' ( B e - s o n t a b s t e n u s : M M - . B o u S a u i e a u e î t i b t q i i a e t . ,

ï « h a u t e o m m a n d s i i a M i ^ a m ' i ég n a m . ^ - / S o r a t i n ' s u f ) l e . r e n V é i , 4 l a , s u i t e d e s i n l e r p ^ M î é t ^ < s a r i l a c c $ i i t i i s i e : ' .

: M œ t i a t e r p M i « d i o n s ' d » l l I l L » M i ^ H é s â r n e f q ’M M m l ' B i a i a i m é ' g a r a l B S B i i M O ^ o n s ’d u m i a i f t r m d e t a ' g u e r i ÿ e B l c e : ' < r a f 4 o u c h e P t i n ÿ a B ^ a t i n t ^ ' i ^ b ' G O i i m M m Q n a B n t e n

,4e m p b i ( t e E g w m t e q l ' i i u i ! l i ' i h > o i ^ , - i ! ' ; ^L e r e n v o i e s t r e p o u s s é p m r , 314 v o i i t i

i e e a t o w S B b .•,’ i<7 0 l i t i » l

d e a m a t

l o i '»■? â i i i q ., U é l e V e n V o i i J O L i B e d f f a u r

e t ) d ' : ü ' n u ' ^

J f t U r d #. s ' j i i p i e h ÿ : c o i l i ÿ ,y /V > .

e - s ' O ^ d l M s s tn S d m t i m s a e ' d i e t i s e f t b l e d i f ■ r M B t - d m l i a i m e n n a e n i a a t ) f i t o i i T « « t t i i B e t

a u t i t r e d u b u d g e t g é n é c a l a t ; a u t i t r e d e s J i H d t i d é « u a t e a J a n , . a ^ ' i v m e i s . l a i K j ^ b S u H B i b l ÿ e s t f l r e t é . ' p d r » l 4S 4 - « w i m o m b

a t e M B f t . / ' t i c o v . ' e u ' i o e s J s i è t e o a n s f c a i e m n O « u a M d M « a » a i t o e M Ü t a i s a #

r è t w b i ^ .Stoiftèze,

o i ) 'An i ‘M i i i r ï j v l . e î i ■ - T i •C h a i n p i o n n a t I M o r d r '

- iB ^i/m om ^cs mrirouie ,, In d é p e n d a n ts ÜJV., F .

“ l i a . G M h m i s M é h è p 6r t i ^ ; ' d e ' T ü . ' ^ ' ' V ; ' F . - a c o i d f l é " c e t f é ' à n n é ë a u ' c h e f . d é l é g u é s p o r - n t i f d e t e W f f i f f i e ' i ' é r g a h î s t f i î ô n d u C h a m - .

' b t 6f i u M 'U j ® i O a â t : ' ' d » ' < R c a ’( t ‘d e > 100 « 0 - s t r f ^ ' r t f l t ê v ^ f é S ë W f ; q i ; f x i n d é p e n -

d a n t s ' d é ' t o f f i e ë c ' â t é g ^ ï î é s ' l f è é i î é i é s d e l ’I J .- ) , V . F . h a b i t a n t l a ’' f ^ o n d u N o r d d e p u i s p l u s . d e s i x m o i s ; . .. ,<

’^ i ! % j ^ ^ , ‘’l T O r d W 6ô M ® t e . u e s d & t f f - ! ' t è m é b t e S u i y a ù t s ' i ' â i S n é , N o r d , O i s e , P a s - ' , • " ' ’ ■ ’ïpigÇf^^- Vf.r - ; -,î !

« y e ; a » r â ; t i e u è ' - A m i e n s â e ; d i m a n c h e ' 25 - j u i 8 h l d J l - s u r - • T i t i n é r a i f e ! A m i e n s - B e a u v a i s ' i r t l m v e t - f e t e u r .

,1,-.- i ,- j ,t p y -)

L e s S o c i é t é B f î ^ ' é ÿ m n a à i q u e f

.- a * '- ! n t i s i r . ' i

â ù r a B e U ^ p a u »4

Q u e l q u e s s o c i é t é s d e f D i s e y p r e n d r o n t p a r t . - B e s ( m t t ~

L a B é p u b lie a im , d e a r a n d v i l i i e r s .l a d e - f l w m e a ,

L a R o r a n a t s e , - d e r i l o r a n .

f c o u r d ^ À ^ i s G S â e V ô ï s e

, D p t i ^ j t k S E S S 19N . _ !

: W a v i j U u ^ ! i m , â n '1 9 Ju inJ ,. ■„ Affaire->Hoatëll^LiM<assenr,

Le'GueB e t'P e tit . - i(Cambt^làge).\ ,

L e s a c c u s é s s o n t a u n o m b r e d e q u a t i e l ° 'M ; c i n t i B i l ( l ^ o è i t - T L é p n ) , 4g é d e 17 a n s ,

g a r ç o n b o ' u l a n r a f ' â ' N O y b n . ; * , i' 2 » L è V à è s e û r ' C G u s l a y ^ l é m e n J l ) , â g é d e , .

Ï S . a n s , g a r ç o n b o i i l a n g e r , d è m e u r a n t 4 j_ N o y o n . ’ ’ ,

3» L e G n é n ( Y v e s - M a r o e l ) , â g é d e 2 0 a n s , . g a r ç o n b o f f i a b ^ r , s a n é ' d o m i c i i e f f x é v ,■ d V / J P e t i b J E d m o n d » N o r b e r t ; ' 4g é d e I T ' a n s , j O u f i n t d i e r , s a n » < i o i n i e i l e ~ f i x e .

. n ' e s t ‘V r â i m e n t i ' i l é p l O F i b l e - d e > ' V o i r e e s : j O u i a e s ' g e B S , 4 l à f i g u r e g l M i r e e t i m b e r b e f s ' - a s s e e i r - a u ' ' b a n c ‘d e 4 ‘ é v e n u s » R t ‘p o | i r - ‘

9 tf>es^aa ^ » b - . o o î » bf f é l t u à e ,

œsâi-gettillie‘'ei;’ è t ^ i l i i ÿ t m m t t .- 3éfi^ 'iW éV dri^ ,’'l%9 dei39Màd;!ou-

v r i e r ( f u s i n e , d ’o r i g i n e b e l g e , - d é m e n t a n t -4 i M é l d É t d » e p t e e » c ( n f u M d i m i ÿ aux t r a i t e ;

" d i ^ ' W î K i I ' a î r i ’é n e r g i q u e e t ' r i o l è n t . I I e s t - a t t e i n t d e c a l v i t i e . . . ' / o - . h .

M a r i e G à i l t o t , d i t e ' a ' G e o é g e l t e 4, f e m - . i d e 'V a n è M e e h e D ' , ' â g é e d e 3 o >4n s j 4 é e -4 N o g e n t - l e s - ' V i e r g e s , n ’a p a s d e d o i b i c i l e

'fiSSStBÜ -,'!lï£ ,-;;-iii,;10ll .VSÏSirTt; ri :c u f i U r e s t i b M e e c e t '■ h é b i t t é e ' f r è s q l ’r o p r e - j

v m é è t i useeàafttine'tétMttvrais^tdfèveux. ' - Ë l l d à l a ^ t é p i A a t i o n d ’ t r n e ' p r o f e s s i o n n e i l e - i ■ aelè4i*eirten80n».’i‘,"î s!i'<-':Poa e,!U ÿ ‘l è - ’ é q i e é S M i: l é O t i i t i e M e l ’a b t e 'Ü i l t a 3 « i a n , , J

M i ' B e r à B i v p i b o e o e d r ' 4te!<4a c l l M a k f i ( | ü e û 'mMeVÏe'^^pêlàtegévltfemieistéeéi'publIcli p P e A É f i i i i p é â ù i i r i t i t n i s a f i n ^ q o e i e ' h h i s c t o s ' 'toifipMSWnw.'icvftb 3-ïO 3 bJ ; ,,vB'iapCo'mpyiaâtitPèMÿKtweieiitAsit e t l é "patdteutMtqebMFlaisMb^drbudtafcetT ;

e n i 2^ l B < £ i B r ( ^ e s l t n t e r p o g A I s ÿ b é m i è f e . . , /timë^AnesiâiBdéeâsi stmetem^nn leir'

i f f l o y e n e e i i i i p l a y d i p i m V p n t i q a e T ^ a v d r t e r r m e n t e t s u r l e r ô l e j o t c M a n s e e e f b i l e p a r

i c è i e e n f i s p e a i l u W e v e r b ^ - e t p a r l a ' f e m m e V a n M e e n e n . . - i l o v - f i q è . s i s

W e v e r b e g t e e P v e u f . I l h a b i t e M o n t a t a i r e . ' d e p u i a e i r a a M n H I i i l H a l i t d m ’e g t p a s s a n é ' ' r e p f o c h i M H ^ i l ^ i d é j ÿ i p n o o a m o e r t a i o e s ; ' ' SfW ffiMtti'mPW y i o ' ' ,l ë ^ e ï il s e l i v r e - d e t e m p s m n t e m p s ,4 l a

, ;Rniq;ayeof^Plé'l«4 fflan«BUTres'dont . 41' e ^ à c w t e é . é t j a c e A V é é - u s a c Ç e n t ' b e ^ e ; J r è s ^ b n o n c é , q u ’ i l e s t c o m p l è t e m e n t i n »

L e p r é s i d e n t , j a p t e n c o n t e a d i c t i o n l e s t-4?'» «P“ 'meane matupsea.de menteuse quand elle - déclaFe,qaelAi^'’Oia pratiqué sur elle des! manoeuÿpëf O ^ves.

>, La'.fèàûne/'Van ji^en'én adopte Je mêmet s^èm e de déîènse qüé'WeTerbegk et elle; amrm§^n innoopnce d’une voix trémblan-i teen r é |) e t^ toute la-responsabilité du crimeéür là fille Làroyri . , . !

-T Jamais, dil^ile Je n’ai pratiqué d'an vortement. ; v

c e t u i i

prévoit

c^me-rapporteur detacommig g ^ d e s comptes et [budgets

a r o l e

, f T H i ^ i t a le tÿu- B ur^u ' dB" bienfaisance. ;pour le premier d é ^ s ’étabtissemebtslesccnïpteg de^JOlO'IIà'ôiient ; - , ,

aedeites ; . . . . . ..Sîtlîvtisi'à'às j . . . . ” i39f?à89’2 i ^

i j p a . E x c é t f é n t d â r e c è t t e s . ' . 27.643 07 *B i d g e t e b p p f ë m e n t a i r e d e I f l l O 'S ; , . •

d S i l g i î i ^ ^ a É L % Mqiie àù jury les résultats -dë son oxamentque

M

, t a n t „ d e u x d e - . . f i e a , i n d i , v i * i a . , « » i t ' d é j à d e 9> maffâteites 4 i m g m l e « x . ^ L e T l t e s e e r / ^ j L ^

1; ' Q u é ù t 4 ' M o n t p f l a e t R è H t , c e - s p p t p l À ô ti,deuMàïfstjSlOP%ibooogoiftatsamo»ràçtère .faibie-et qui sa sont .-laiesés entraîner par unemaiivaisefFéqMntatiôn., - 1

Jl&so'nt>us .inçulpéSj ,de', s’:«Fe -ihUor. duit-nuiiamm'ent; àu domicile de rarmu- rier Langlois, à-Noyori, par. çfrràôtion è ; d’y avpiy dérobé desrëvplvere et une peti­te s o m m e ' ' d ' a r g e n t . ; :' L e s à c ^ ' s é s - a v o u e n t , ' s a t i s a u c u n e d i f f i -

’c U l t é e t ' ' n l à m f é S t è n t ' l e u r i n t e n t i o n d e n e i a m â i s r è è b 'B m l é b l ô é r .

- i j ÿ f è r t i f i t é i r e ' d b M i B é e , s u b s t i t u t , e s t p a c t i b u l i è r e m e n t s é v è r e ‘p o u r l e a r é c i d i v i s - '

' t e s f i B ’S o e ' ô e t l i e v a s i S e B r a » - , " î = , i J P & a i # e r t , i a v o c a t , ' d é f e n d l e j e u n e M o n -

t e i i , q u r , d a B n c e t t e i S a i t % '4 a g i i a v e c i b e a u - o o i q » d a m a ï v e t é . M e n t e i l n l e s t s a s n n i n a b ^ ' ’f H i t e u r ç ' i b e s t p l u t ô t - v ê o t i m e d e l m a n v a i s e s f r é q u e n t a t i o n s e t ' l e d é f e n s e u r t r o u v e d e s t e r m e s t o u c h a n t s , é v i t e r 4 - c e t m p i s p o d p / "

f, à^iÿe 'tâché

t . d é ’ défënpeL eva|ip# r,e |lië .ti & , a v m \ w û ^ n | , ' l é ; p ë i i ^ ^ ^ ^ r e p r p ^ é a P e u l , T a y o c a t s e l è T e c b n - I r é q u i s i t o i r e s é v è r e p r r a o p c e w l e

i B m t e t é r à J i n b l i o 3 a D ^ , c e f t e _ ^ i & i f ( i . , . M 'M y s ' a Ù a c h é ' â ' d e m o n t r é r ' q U e l e R i m J ÿ L e - , v à s s e u r n e s o n t p a s d e s . v o l e u f S a e . p r o l e s - l ^ - e t d ^ à t t A e p o u r e u x U n v e r d i c t d e . boùnèétkbéju^ce i;' : '■

- " i / i ‘i ' - . . L a i J i O B r ! m “ i t e F e M i f ÿ B t i l l M i M ^ ^ e

son et L evaB M iiiêA tit^àiu* j’- -,:iiTir 'i, h.' /■

.(Audience >

- ''ii'iAflSsIré BoasM iéM ii'- - >‘1 „ ' (A ttO n ta t '-à -4 a ^guéPmr),- ;

' E ê t ÿ p ' Æ f t ï i h é ' Hônrî”BÔiftfiûr6, ' ^ a m s , ‘ t d é C e m e t è | ^ e i - - m s V « p e a é é ^ d M f i d r a t t i r é -2ftieénttfttie>ffitettedé«iiMniib;Ferh4nd^ " i t l à v i H n e t e t ' d ë s M t r e i I i v r e s u t c ' M i e ' 4 d e s

M t e d ô M i l i e h t i i ' é b o é n e s . ' i ’I i o l n â a i t ' ' d i é m é t e b t i 4 d i s l i v - v t o l ë i v c a a s s c é i D t é i e ^ M i & n t l ^ u r M t j â l n ’o s a , p a s m e t t r e ' s o n - p r o j e t 4 - a s é c u t i o h . „ •' -

K B e r n a n d e r n e , ; v o u l o t , ; p a 8 T r é v é l e p j t o u t ÿabojid:oe"iiui

; P i n e i B t w a e e : d « s a m è r e i e l t e d é v w l a l e r ô i s . ;

,‘prbBureür de là République,) isbil‘réqmsitoirë une certaine

modéràtîOii âH'égàid de-la'fllie Lèroy,nttûs

t r i i f i i e V à n M e e n e h , d d a t ‘' l à r e p ü t a t i o n e s t d é t e s t a b l e . j '

S u z a n n e L e r o ÿ . e s t d é f e n d u e p a r ' M *

t u ' M « e i l i e a p i û d e ' p o m ' W é v e r b e g k e t l a ■ f a i s e u s e ' d ’a n g e s ç l a f m n m e V a n M e e n e n a .

M * ' P a i n t r é e o m m a c d é f e i m e o r .' L e - V e r d l é i . j '

L e j u r y r e n d j m v e r d i c t a f f i r m a t i f p o u r , l e s t r o i e ] ^ c u 8é s . . a i ^ u e l s i l a c c o r d e l e s , c i r c o f i s t a n d e s a t t é n b a n t è s ' . ’ .'

L e s t r o i s ‘ ’d ê f e n s e n r s ' d e t o a b d e n £ i ’i n d u l - g e h c e d e S C o p j ' p o i i r l é u r s ' c l i e n t s ' ' e t l a

,' f i l l e S u z à i i n e L e r ô y ' , ' q n i J ' n ’ à ' à ù c i n n b ' c d u t d a m n a t i b n '4 ' s o i i à c t i f , ' p r i e j i b m b l e n f e n t l a C O u r d e t i f f ' a c c o r d e r m ~ l o i ’d è ' s u r s i s , c a r e l l e e s t n n ô r é ’ f f i m r j e u n e e n f a n t . M j l e

< P r e o û r e u S ' ‘ o e ' S i o p p e B e ' ' p a g '‘4 l â ‘ r e q u ê t e f o r m u l é e p a r c e t t e j e u n e f i l l e . .

L à , G Q a r : j m n d à m n e a l o r s : | ,1.à d i x * ) m i t ; m o t e l d e

p i f t e o h ’a v e e b i î M s ; ' |. J o M p l i V i ' e x y n r b e g k , ; à t i o t e a n s , d e ,

^ f e m m e Tais M e e n e n ' , à, ' p r t e o n .

M . ; l e P r é s i d e n r d é d a r e l e s r a b a t s i e r - ; i n i n e s . é t l à d è n x i è m é ' S e s S i o i i e s t ' c l o s e .

, ewntijvètm et son I»,' ll .t^ jp u c sajdéfensp

la abandannépearae. ün diïOtObJlSUÎ^Mltiinjtgivén etBoifci haire était génarè femme et de ses enfante aü'MmeWPidl7|dtentat. ,4»-u'fiertÿffîuiSi^BMiiBireèSt ea’if-Üâut ivrp •dtfiiWT'éiBBHat boisson spL'WF.ijioossé.é.i 3 -■éeeseettre'îolà orime'qual«nei-3’«*pl’—i n | | g [ - « » ” q i i ' i « h a e - i i i B c -è^ sé e s B b s tt ta e p a foire et MiHïlUeSBilfi)

f'WiUttocBàéq’-'J'K'Çi vtmauK ,«J i<>»manitir»a>st «ondamèd 4 vme< année,

B É n e î r t q A f l i i i 'S i i -r i{ f i , ; ( U i p h » ; « '« ) •■(•t I I

,1*4 i*4 ;

- ■ c o v ' / U t i X i i P M a f l l I i l m t i i u ; , '?■

« n e - M ’e x p l i q u a i - é a / (v g iM ia q ^

i t p a ' p r i i h o i i f l P é o t é M g i - a ^ i M d é T i h i l e H r e W H n e B t , ;

(Avortement et eomplicité^i icltefillé SbzantimlfleSyA de Mefitatairep

eesbmjtoaMted^vrir Jailiaiipil*itl»Bid8 3 fd* '4 e r ç | e F i M l É » i t e { f t a n K d é i < » ^

La flUe Leroy Sazuûe^

^ Ç ^ i k s ç ï l 0vUH :i:.J

iS«tmee.duJFciidredt -»S Jutn).

d e r a ô l ë f d e ' tdehUé dé M de,lW

Btmëat

anlt, Sainte-Benvej , .cOTldr.' Cultroj MoUret, Brènne, Pâlin

’m n t e t i . w r 'i i S M i 9 i o ; ' a'^vdttrmni

lecture dë'probation demeTOmpte. Le Conseil r rmttehrtTmtltnr » . j , . . .

^ A B S S S ffa b o rd e f i i te o#»He ntiniatrotioa dftioet «tegMosyiteciGetiseil ;déign«'H<.Qt)teMi pour t^étider pendant

-, ,JaaîéhifiS)éMit)MntPfef, ; ii n e - s a f e t o m a j ;m^|}4jê»*>BBeBiaips«el«AjM*>p'àfiTàb

’ ■ ^ 3» p p n r i i e a f i i d o » J à c w i n i e â a s t î d u . c o n t o t »4 V m i i * u ^ e n r : r e i i ) t e T : i > a ^ ^ M . , l e f p o u r l ’e x ê r o i c e ,1910. - ’ •; y , , 1

^ n ^ r J l V l l g d e $ * l à t o m ' I V v n ^ l w d i f e r s !éiéiites,4ejSNiHnm{^^ .

soniH en.fsitrea80BtttIaSi:^fH»s, s a ^r ijs i wjftT'i • i .( S R u i f f -

Recettes 2644»97;:â4 iJà'e i-i9ui«BéPM«Çju-»i»l%i8l:8».J 1

s d O t t B i a i t naxreH q^df 3| w n i b i e ' d e 4 8 j g l 4 “Mb M,ritti/iseeifinNi oénetoMani «paiproAse ih^ g A Û iM M |^ ;rà t‘<)[db^e''A^ ni-

u i q ^ fe iH m lM N ase^d n ii p n k i d a a c c t*fittiAttàC^RnttHit iticsi^tiereaoïkiiqii

e n

,;i K ? î 'c ; : ' m I-,Le budget primitif idniriaiS,■ 'é'frfiiéttes- 2llÉs8-74- >»

, et en dépenses , 2 1 3 .^ 44 Les'Cemimes.sp&àùx’éoncourant aux

de 12 pour-ifiàssistahcélânx .et de 43 pour l’àmortissèment

-Le Conseil, conformément aux propo­sitions de 'sà’’ cbmDiif,sion,' adopte lês '^d - gete en question, tels qu’ils sont 'pré­sentés.- ............................. -

M. Brivière' prend ensniiei la

Ælxcédentde recettes. « 12 ; .......

28.286 p7-...--ir-.ï-i' .;-» <

53 60

•99-.992.85 ^ j 973 p»

19-80:Rxcédent.de recettes....; die budget de 1910' du bureau de bien*

faisandée solde ainsi :Recettes .....................; i:».731 74

'Dépenses' . . , , . . I -37;4o5 71l)ExÇé^ni^ receUes. -.j : 1^326 03

Budget supplémentaire de « l l . i•Recettes....................... ! , 4.568'47

. . . . . . ' 4 .5 4 9 15

B.qdget de 1912 : .'Recettes . .

19 32

14.045, t»» 14.032 90

_ . 12 10 pansTa f u s s io n ïnlérvfent M. Robert,

membre dé' là commission,' qui signale ce qu'il y a d’anorinâl -4 son rmi'nt de vue, dans les dépenses des frais' pharmàceu- ' tiq’ues qui sont Tuniqué càtise des subven­tions, 'relatrvëment coésid'âabl'es, .que le budget de là ville est conduit 4 allôuër au bureau de~bTetffâîS|roce. M. le Maire dit qu’en effet ilîyaliéu-âehe préoccuper de cet étatdRoho8es én qQ<iR-eerait bien né- aiessairedetpoVvoir-y remédier. .

, Le GooBMl<'adoptè les conclusions du rappOTt dB'faïOoinmisMon. :.f; ...Lesipoifvpirsdë M.-Recoiog, adminis­trateur de la Caisse d’Epargne,. sortant,Jui.sent.roaouvelés auiscruiên. :.’)M.-Veleatiir,' arobkeétede.ia; ville, est

-'cbargé-de:visiterles fosses d’aisance:; ses vacations'sont;aiuH.fixées : visita-sans ebservatipa 6 fr*>,visite aveerappbrt 10 fr.; contre-visite & fri De.piuSj les propriétai­res de constructions DOuveUes; sont tenus de.présepteri ua plan- dOBti-l’examén, par M..l’ài;énitecte,aetévateé-410 francs 4 la «hargedespropriétaires.',, ; :

.Les.vàeài^, danslesiécolesm^ernel- les, sont fixeés aux trois dernières semai­nes desea^mbre.

L’adjudicatiop pour la-gontiractiop d’un pont; métritique sucJa.XpBette au Mon- Im dû’Roi.n’a- donné .qni’unifieûl seqmis- gmao%re,.|à .SoôiétAdes P{sa(&qt Travaux en fer^' de4hm.l-Montaimr%qu .demande -ane.augmentatioadeJ.O/Ùsqrile p ri; pro- posé*i2.^.fr..'7(L Mu,^Averae6,consi- dérations dpnti.laTi^Be^âte esil qu’il y a

«urgeim A i«QiBastroiroi^%oont; lêÂl^nseU .autpnse,M;,ie;jlliaire 4(trmier de grè,4gré aveCiOette Rpctété et la séance est levée à neuf heures etdemie.-'

W a G o im(presritTGafè)'

âdiundjs'ejüm 8fe àimancheSO Juillet

„,l4 :sbéiéié. d'^MIèjè'do^rimdRdDrs a inonnéuridlnvitérttil. leé poj^étwes et Amateurs â.venir çoncqnrir-atiXTrhi qui

isfflbitt 'tiré s’.dh 'S6 Juin auDirdàhe^ Zp J J A fle t 'J 9liJ~' 'iiA > : .<Ç^KPO^mtfN;|pS PBLXl<',Ptix(Esi^ees),«Ceièip8rik Ville

:,d% ^l8 (..-,|.... 50 fr.

canwbd^Cieil.. 40 offert par la Sodélà '40

— , 40

2* —

3« — 4* —

‘S * - , - — lis». , - 7*-;.—9* —

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40 35 ,30■30

gSerte par,-r - Unè liéctàuïëiâ. ’* ”'--qKMertV4H, iUCUllO UO I9CUUD.. -r- AUxçfitiitlë^.% paMaiaO^aes par

. la^ , ^ T - . r - î , - ■ Û C ^ à f f l h i l e j ' e r a a 'N o r d .

-*- ■ Du' RtumMe' servaitte, offert par M . F a d t b a t ; <• 'L dunties-à calé, oflbrtes par

— par H^Durns,conaeU-

15* -

U ‘

48» - i - o f-

seront décernées

e s s a n s

. a « s i » * ; i ; e « a r t e

« sieq w fH to aaroatMSI cinq

, üî --■'-■/•''t';--'--' -

préseatel É e s i b B é

TM iiiA im nttJU jl g f a e l i r i t i F s t i e s g g W w r w *

■ ^ w a p q ia iïM irà fw * .

empnirt nééeMté j te ia à fh p c i^ t te tiH n w le rae ;

Page 2: Ye «lèudi et le Dim ancfie. Meudi et ïe Q lm aeçtÿlbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_06_25_MRC.pdf · 2014. 2. 18. · nde tm bon bon- retier. — Bons i du Journal

L& OUUiUli&P b U ld

~Soelé< 6 ^ jijer i c u H u r e J te S é tüiâ^T

LES ET 1^1

Samedi 1* Ju ille t, d iî^eu f. " à s i x k e i î ^ ' .

Essais (fuislrumâils et transmis-; sions par l’é i ë c ^ c i t ^ t e s les Ctrandes Ecuries. '

Concours d’habileté pour les Conducteurs de voitures et chariots, sur la petite pe­louse. • ^ ,

î)e ÜM heure â six heures Concours d’Habileté par les Bergers, sur

la petite pelouse.Montre des Chevaux et Bœufs-ayant pris

part au Concours d'Habileté.Dimanche 2 JiUUet, de d ix heures à m id i Concours de Chevaux, Bœufs, Vaches lai­

tières Moutons et Animaux divers de - basse-cours et Produits divers.

Continuation des expériences de trans- missioD-par l’électricité. - -

A m id i : Réunion des Jurys à la Mairie. A trois heures et demie : Distribution des

Prix dans les Grandes Ecuries du Châ­teau.

A six heures : Banquet. ,

La Compagnie du Chemin de fer du. l^ord mettra en marche les trains supplé­mentaires suivants :Les Sam edi 1” et Dimanche 2 Juillet :

matinCrépy..............................départ.. 7 h. 35Auger................................ — .. 7 44Le Luat............................ — . . 7 47Fresnoy............................ — . . 7 50R ully ................................ — 7 55Barbery............................ — 8 02B orest.............................. — . . 8 05Montlévêque.................... — 8 09Senlis.............................arrivée.. 8 13Départ pour Chantilly.................. 8 24Arrivée à Q iantilly ............... ..... 8 45

Le Dimanche 2 Ju illet :soir

Chantilly...................... départ.. 9 h. 20„ (arrivée. 9 43

®.......................... I départ. 9 47Montlévêque. . . . . . . . . arrivée. . 9 51B orest............................ — . . 9 54Barbery ........................ — . . 9 57Rully............................... - . . 10 03Fresnoy...................... . — . . 1 0 06l e L u a t ........................ — . . 1 0 08Auger.............................. — .. 10 11Crépy.............................. — . . 10 22

Le Sam edi i " Juillet.

Chantilly................... départ..Senlis........................ — . •Montlévêque.................. arrivée. .B orest...................... — . .Barbery.................... — ..R ully........................ - . .Fresnoy.................... — . .Le L uat.................... — ..Auger........................ — ..Crépy................ ............. — ..

Le Dimanche 2 Juillet

soir5 h. 286

061132024262938

Crépy.................Orriioy Villers .Nanteuil.. ........ .Le Plessis-BellevillèDammartin .Sevran ......................Paris..........................

. . départ.. .. arrivée..

soir 11 h. 02 11 081111111112

17253552H

’ c L * A v e n lr >.AssemUée générale.

Les membres participants et honoraires de la Société de secours mutuels VAvemr. se sont réunis en assemblée générale, à l’Hôtel-de-Vitle de Senlis, le 17 juin der­nier.

La séance est ouverte i 8 h. 1/2 du soir, sons la préâdenoe de M. Sommaire Emile, président de la Société, assisté de MM. Beanfort, vice-présidwit, Grison, secré-, taire, Vanaker Georges, trésorier. Marin, trésorier-adjoint et a o n Emile, trésorier spécial des retraites.

Le secrétaire procède à l’appel nominal. 11 donne ensuite lecture du procès verbal de la dernière assemblée, qui ne donne lien à aucune observaiion et est adopté A l’unanimité.

Sont présentés et-admis deux nouveaux membres participants.

L’assemblée est informée que M. Ee- conte, pharmacien à Senlis, a demandé son inscription comme membre hondraire; â l’unanimité des membres présents, elle adresse à'ce nouveau membre honoraire l’expresMon de sa vive gratitiide.

Le président adresse un dernier hom­mage à la inéinoire de M.-Arluison, décédé depuis l’assemblée précédente. 11 entre­tient ensuite les stwiétaires de certains détails d’application de la loi des retraites ouvrières et-du-semee de l'encaissement. Signalant l'abstention d'un grand nombre

' "d’intéressés, dô. déliors i l est vrâl de la So<:iété qrii a' donné le bon exemple: ap moment de l’établissement des listes d’as-

,.sitrés, .et qâi.â:ticaâvp. pour le : faire le concours le plus enipressé auprès du

' ’ seèrétàiré''dé J a ' mâîrîe; ‘èoncoufs dont il convient de lé rpmeroier publiquement, il p ropose..i'rai^b lée 'C rétire tâ-e le vœu Siilivànt’: ” ■

« Eu prëâè'nce du malehtéh'dk qui' seni- blé peser sur la foi des retraites ouvrières, la société tAvértir émet lë'Vœtt que les. Pouvdii’s publics àacortient libéralement de nouveaux délms aux assurés de la/pé- riode transitoire qui, mieux éclairés qu au . fflofnént de l’établissement des listes, vou­dront së sôninettre aux formalités qu’ils b n t ' . n ^ i g ^ dé ‘repaplir Jau te d’en avoir

. compris nm j^rtance ».Ce vœu,.mis aux voix, est adopté i la

majcrùé.et .sera, en conséquence, trans­mis â l’administration préfectorale.

' Après le contre appel, la séance est levée i & h. 1/ 2.

'♦A r à ^ l ^ G n m tM je r f .

Les frise» d’AJbert Guiiiaume, qni ont- été si âiüniréeé an Srioh, sont arrivées!

.et l’dn pràtsWe aetnelletEént à ia pose.;.Xe rMSdi'âtit'Sera ouvert .â la clientèle

dés saidedî'soir. ' " ,

I ^ e e « s t iN a 4 ,<a S « M > â a c r e i i i a i t JNous somoîes^prié d |p n o n cer que là

Prooessioo A|Mtirli&^làû)bédrale demain «sm ie, si le temps

le pennet,'e lom rA .4 henTes.

En publiant la lettre de M. le Colonel d u ÿ hussaiaipiîressée à VEchthgfimUi^ càSn, nous |Édns exposé rinoenvt|j||n? qu’il y avait de publier certaines i n f ^ 5|m' tiens avant l’enquèle ju d ic ia iu t^ t donné le» priffliers résultats. Nous a ^ s dit, d'une fapon générale et s a n s -v ^ r aucun éorre^iéndant de journaux g p - siens, :que j^ t^an d e pr»sse qootid^m e était pités e x p o ^ â commettre d e s e r r ^ ou des exagérations souvent très regrel tables. Nous n'avons visé aucun de nos confrères de Paris ou d'une région quel eon(^e.r .

En constatant un fait, nous sommes, répétons-le, resté dans la généralité.

Au sujet de l'incident des Hussards, ré- - d ^ -aujourdthét à-sa-phts-siB ^expres- sioiu noos avons dû emprunter un extrait an P etit Parisien, dont le récit était dé­gagé de toute exagération et présentait rdraire somme toute sous un jour assez vraisemblable. Nous n'hésitons pas â ren­dre hommage à la vérité.

H i s to i r e d e c o r d e c h a s s e .Des conscrits senlisiens :qni avaient joué,

du cor de chasse le lendemain du conseil' .de révision, à 7 heures du soir, dans l'hôtel Debressy, ont été l'objetd’une con­travention.. , . ;

Après sept semaines de délibéré, M. le Juge de Paix a rendu son jugement ven­dredi.

M. Chevaux a été acquitté.M. Barbier a été condamné à 1 franc

d'amende.M. Debressy, hôtelier, à 2 fr. d’amende.Nous avons dit ce que nous pensions de

cette contravention qui exhume, a/Sn gue nu l n ’en ignore un arrêté de i 835 11

Des conscrits retour de promenade.sous la conduite du président de leurs fêtes, jouent du cor de chasse à 7 h. du soir .dans un établissement place Henri IV. Personne ne les aentendus, lasalle étant bien close. La police a cru devoir verbaliser, c'est d’autant plus malheureux qu’elle n’avait été saisie d'aucune plmnte, et queles jours de fêtes de conscrits, de pompiers on de corporations, ii est d'ùsage, A Senlis, de laisser dormir le règlement — une fois n'est pas coutume.

Pour ces considérants,, un acquittement était à prévoir.

A n H u s s a r d s .A l’ordre du jo u r .

Nos lecteurs' n’ont pas oublié le drame qui se déroula le 28 mai, rue Vieille-de- Paris. Nous avons signalé en son. temps l'attitude courageux du maréchal des lo ^s Romani, du 2* hussards qui se jeta sur le meurtrier au moment où celul-ci se dispo­sait â pren Ire la fuite, et le conduisit au commissariat de police.

Informé de labelle conduite du sous- olBcier, en cette circonstance, lè’Géhéral commandant lè 2"* corps d’armée vient ie lui adresser une lèttre dé fénéitàtions en le citant à l'ordre du jour dii corps d’ar­mée.

Tous les gens de cœur se réjbüiront avec nous de la distinction dont est l'objet le maréchal des logis Romani. Ce nous est une preuve de plus, qùè dans notre armée — et au 2* régiment de hussards, eu parti­culier, le dévouement et le courage — vrais flis de l'honneur— sont toujours de tradition.: L’aide-maréçhal Laeputurer.dü'2* Hu&- sards a été classé premier au concours ouvert A Paris, le.15 juin, par.'Ies patrons maréchaux.de France et. a reçu,én récom- penseune médaille d 'à rgen t^ànd module, une montre « Maréchal » e t une paire de tricoises.

C o n c e r t d e t i^ o m p ^ te o .La fanfare des trompettes du 2° Hus­

sards reprendra la série de ses> concerts aukiosque de mimique, à les jeudis.29 ju in , 13 et août.

8 benréSidu soir, 27 juillet, 10 et 24

L e s d e n n e s L a u r é a t s .MM. René Dhallù, Qls du dévoué agent

de police eV Maximè Laurent, de Mo utlé- vèque viennent de subir avec succès les épreuves de brevet élémentaire.

Toutes nos félicitations.

l a V id a m é e .opéen gui retiéut aviateurs,- l’Aéro- n’a pas manqué

moteur Àn- £ 80 Idlom, &

' l^ -C h riM d V ^ : ; P e a ^Une ^ g j^ d e

. éB(eBue,épB. juger p K le s o M E ^ qài fw t le saràlgni,, ce sera.trés dur.

' ^ à u M iS is aura lieu hùsehBrinvéxhMMSé^- ;BiMnbntion dest

.dossetde tdhhs’2 /^ du Mord. r^Êes uteeeenéitte eeBt eeoBUjasqu’ao a i ^ i ^ a w éiiaant'IaeoeMnede ffrands

etéfraaospour les Ucenciés radé ■èttf-lêg-UMi’it i nuMi Sallot,

S73 ftt

A r A é r o d r o m e .d eMalgré le Circuit Sur

l'attention de tobs-les drome de -la Vidâmée d'activité.

Lesire fait- de très jolis vols sur;i3nGurtiss qui, avec un .sim "' “ ‘zani,-arhVe i'fairè; d i i '" l'heure. -

Lesire cumule ; en attendant la livrai- sou d'un canard Voisin i l s'entraine éga­lement sur.monoplan M|arane. Lesire ,esl un pilote série.ux qui nous réserve deb surprises ; înfàâgable. Il met au point et il pijpte.unbiplan d'jin système spéclal- le biplan Purjo-Stesoii qui a déjà donné d e^ésu 1 tats Jpto intéressants. '

L'Ecole né chôme pas ; Vq.drines Junior vient de passec très brillam­ment les épreuves du brévet de pilote. II est décidé âitiÿrJûi.'';o j;plütôt à. voler sur les t r a c é s /^ 'son'frèrej aîné, ses huits étaient inmeccâblës :pt,;gpfès avoir tenu l’air pendant, p r te .d ’.àôu.'he'nrie e t être m on(éà200m éirésilesfi^âescehdttea un superbe vol plahé. i . . . ;

Ih'ainbénoit et.Ioacfaim sé réyèleét dér Bditivement, encore deux ou trois lepons, et l’école Morane comptera deux, brevets’ déplus, liabrqusse,. De Voss et .Roux, et Mlle Damedo^ '. tôujo'qrs i e et Intrépide ,' 'font dé trè s .fa p id é s -ÿ rp g ïè s - / .

C e n ’e s t d o n e p n s iia n b ilu tre .Jeudi soir, vere 9 hewe» M. Taxil,

commissMre de polioéi se tronvmt A son buresu-lorsqu’u a ihdivida correotement- habillé, mai» qoi'déo#m it’déh>‘zîg zag*» inquiétants Mor^.SblbUité, StlSod^otùée^« BmijofeJa aompagniè,.L,,jéoria

Tiùtrus, yàmàilçR ps»i®0ÿes: raupirira canon? » jIt. Taxitt’àyiJA'dévisi 'avéC'Eiârprlse,

'ieipMVretfbwlter’-«’Beâotn, n'a'canon? c' 'pas oÿ| ibË({uitija'voU8 demandé, maiSun oaMfi dei hb.!. ffipi 'j’suis pas un mode, ce soirJ’TOuprégalp, j’suis u n f r t a ' e - L-gmrdëbmpiMFe: Guibert s'ébtnt

avancé 4 eu: moment: pour ’-nseonnattre. (m.joyeax,4imN0dbRaeohus, os dtmie/ aperputinyi jmpnésaiMMda'ia loi « Mince alors 1 c'est donc pas nqidHsirp,

ici:;...|sat que.j’aL uneitsdo-cpIIb rnup avoir cMifonda là laotanetdatoeams- sa iraw ap h n h«roaBd».tabea,..s» ,v.

La csAMDfipiL tto: cetta aventura fut.

Un jeune apprenti fumiste Lam ^;|i,L 'gui avait touc^’

s q ^ n ta n t à 30 frai ai^Mnicile paternel

gan;on qui se fï(li6m< : l^ c o u |g e s t âgé do 15 PTOeii^Jp pain chez M. alstioInmaDl désolé de cettëibrui

VpmUw.dSgnalement duiSpaH î.4 y .Taille 1“ . 55 environ, sourcils et che­

veux châtains, ces derniers consés .ras, î*^^tSTis b 1 ^ , 'te in t plutôt coIoik Com­plet en toile hleue, pé(m ne en d iiç n i# , coiffé d'une casquette en drap gris et chaussé detmttiBesA boutons.

' 'Etait elvU d e S en tis .do 17aa-a4juisl»ll,

Naisstttices.20. Hubert-Lucien Lemaire, rue de Mèanx:22. Anna-Marie Welzel, rue de la République^23. Tatiana-GUslaiiie Lecas, rue du Hoidin-

Saint-Trou.■ ■ Déeè*. .17. Marguerite Isambourg, 1 an, rue de la

République.22. Mme veuve Adam, née Louise-Victoire-

Saphie Delàchasse, rentière, 73 ans, rue dû CbancelieMiuérin.

23. H. Harc-Armand Hermans, cantonnier,.60 ans, nie du Faubourg-Saint-Martin.

Publieatioride mariage.23. M. Georges-Jules-Lueien Wilmet, employé

de commerce A Amiens, et Mlle Blancbe- Cbarlotte-Jeanne Rola de Rozycki, sans profession .i Senlis.

Mariages.24. M. François-Gaston Hodcent, cavalier au

2° hussards è Seniis, et Mlle Harie-Louise Legrand, fleuriste à Senlis.

24. M. Gaston-Alberi Domart, peintre en bâti­ment, et Mlle Mariei-Antoinette Viicocq, blanchisseuse a Senlis.

24. M. Lucien-Léon Reliant, memuisier à Sen­lis, et Mlle Valentine Brunet, femme de chambre & Senlis.

sàtoedi 17 jidp#ourai e ^ ^ e u toile

l ^ ^ n p a le GymniVtïo.î » à s^ q tè m b r^ i laRéurs. lit àlêis ami»./^ P S o n s ( t t ^ d quqJa salle regoi^ifit iHâA]p0 d e , j | t : ^ mplStènb ét a p t i s t^ ^ b été vivement et sincèreinent acclamés, o’étaUd'ailleprs justice, eaf il,est.difficile

It-fauf a j ^ o r qu ils* -été ti^" bien secondés par les gymnastes de la « Qui Vhtà? », u u lté s é t pupilles. L’émotioonante présentation du dra­peau, par la Société, restéralgravée au cœur

Concert,de,U. Société. La

iimjicipale de

f8Ër/0 dor-“ ’iéMi^deM.

Si La

npfeires et bi

rant du petit, la femme se dirigea vers

H a ls o n e u . T o u p e t , L . F é v r i e r , sn c e e e m e u r . C h e m is e s f a n t a i s i e a v e c p lis ,- e n z é p h l r e t t a s s e r .Dimanches et Fêtes, fermeture des Maga­sins â 1 heure.

Caatoa 4 e GreilOJRÉriu

La loi. sur les retraites. — Ce soir samedi, à huit heures et demie, à l’hôtel de Flandre, le citoyen Quillent, conseil judiciaire de l'Union des Syndicats de la Seine, président du Conseil des Prud'hom­mes de Paris (métaux), doit faire une conférence publique et contradictoire contre llmpopulaire loi des retraites. Les contradicteurs sont instamment priés d'y assister, ils auront toutes facilités d’y dé­velopper leurs arguments.

Les territoriaux. — La gare, de Creil _ été occupée militairement cette semaine par les hommes.de la territoriale, affectés a la garde des voies, et qui ont accompli mercredi et jeudi, une période de 2.jours

Les charpentiers. — Le syndical du bâtiment vient de publier une nouvelle

-affighe levant, pour les mgisansLepage et Germain, qni Auraient brisé iq . iockout formé par les. patrons, l’index 'qui était étendu, jusqu'alors â tous les patrons charpentiers de CrOil et de la f ^ o n .

. Passage daéroplanes. — Nos conci­toyens gui désirent Voir les aéroplanes, feront bien, cette semaine, d'observer le cier, il est probable qii’il én passera plu­sieurs au-dessus de la ville ou aux envi­rons, car outre le passage du circuit euro­péen le30,.dpntla dernière étape comporte le.trajet Amiens, Paris, des offioiersdoivent évoluer au cours dqs manœuvres. milf- taires dans .,1a répon au .commencement et dans (è conraht de la sêmàinè.

Auto en défau t. — Une double contra vention a été relevée jeudi dernier, t ue de la République, contre I’automobilé 340.-'W pour défaut de plaque avant et plaque arrière en bois.........................

Abus de confiance. — Un brave ouvrier qui prend pension à la maison Broucfae- reao,. avait chargé son camM-ade, de tbu- cher sa pme; mais il est depuis sans n'ou- vellede ce dernier, qui a bien touché lapaie mais a. Omis de la.rapporter.. Uné enquéteestouverte.: ' Amateurs de gibelotte. — M. Delaplace, dé Verneuil, a déclaré avoir été victime d’nq vol de deux lapins estiméq S francs. Les spnppoBs se,porient sur "plusieurs jeunes gens dé Creil giii auraient été vus la' huit du vol rôditàt pf,és'dé sa demeure, n ÿ éh a ’pàhni lés ànteçrs 'préénmés de ce làfcln qui h(eri sérqjsnt .pas 'ï leur coup d essai. Là justice s'emploie ,à M alrcir raffaire. ; " '

La.mendicité est isUerdite. -^.Ducoiù Charles-Philibert et, Ifanderstale Jeàn- Baptiste, ouvriers de batterie, sans domiV elle & e, originâires dé Lille, ont été jeudi dernier-'Tifhfét“.trdné contraventien poui' avoir'étélhrpris ad 'dbâtôàu' deTlaVérisines se iivraorft la mendicité:

Violences. — Dronion François, loueur de voitures â Nogent, a été frappé jeudi dernier, place do latGare, par le cocher d’un de ses concurrents, qui sera pour­suivi pour violences et voies de. fait.

Epouse vote^e. — MéG<;., fruitier, ruede MoBtataire, a-pevté-plàiote. contre safem m e, née Louise Ôevos, .qui a^qmtté jeudi dernier ie domicile conjugal, an em- poriaot une somme de 1^200 francs,

.'Objets perdus.'— MmeMoret; demeu­rant place de la Mairie, à HOUtataire, a perdu, en venant te jeudi de ta fête au bal d'enfants, anéPbroche en or mat avec pen-

- dént^ ét perles Sues d'une grande valeur. Prière de la rapporter'-au Commissariat contre bonne.iécoiBpeoso, ' ^

-^^.Le^IF R a ^ , i4< rue Lafayetle, â Paris •a jmrdtt vendredi matin,-entre L ii^ d ié s ' et Uéeil, i ia e bouteille acétylène-

om niniHar^-poiir un

P ïfiH ItW yi 3P ê te e n l ’/iarm eur'dupotironw m ent.

— Rwpelens qu» jeudi prochain, ^ juin; upe fête-sera-donnée dans l'enceinte du pesage. A-2 heures de i’après-midi- en llhoaéear du couronnement dk S. M.

sflewgBSiTifOtd'apgletsreBi;.. ; i : La musique munieiRiriB dé 6 haut|llydoRacohas, os dsriieri^ iqpréteia fimeqnoonis i^escOBiSM» serpji{

' oiganiséesetdesprixoSsrhtaimi^ngQaaté.une venlCLde .charité sera tenue au

prp&.de ('églispAtigliûae.IW . V a i ^ rowrede ( ^ t l U y ; Fleury,

consul BrioMittge-'assilteront » cette fêta. - :■..dion. - ^ A.L'oecamon -de ia victoire de Earpe-Diem d w s la 'grande.G oqnejde

de toutes les personnes pi^sentes. Dans un autre ordre d ldéés,'les poses plasti­ques et tableaux vivants n ont pas été moins intéressants.

Mais le clou de la soirée a été, de l'avis de tous, lé ballet, exécuté avec un brio remarquable par les pupUles de la Société, garçons etfllles. Ces uns ét lés ainlrés ont évolué sur la. scène très gracieusement, avec un ensemble qui faisait plaisir â voir pt qui a littéralement chariné toute Tassis- tance, laquelle à demandé une deuxième édition de ce spéctàcle si intéressant. Hon­neur aux'exëcûtants èf à leur'chef.

Monsieur Dapssin, mâifc.de Montataire et conseiller .général de l'Oise, n 'a pu résister au désir de complimenter chacun comme il le méritait e t a prononcé les paroles suivantes :

Mesdames, Messieurs,II m'est doublement agréable de prendre la

parole ce soir, pour vous remercier d’être ve­nus, en si grand nombre, témoigner de votre admiration et de votre sympathie à l’é^^d de nos jeunes gens de la « Qui Vive ? », et pour adresser ensuite à i’excelleni moniteur-chef, M. Carré, tous les remerciements que nous devons pour avoir su composer, d’une façon si artistique, les attractions qui font le charme de cette recréative soirée.

Ma qualité de maire et de président de la Société, me fait encore ut) devoir de déclarer, devant nos membres honoraires, devant les bienfaiteurs et les invités de la « Qui Vive ? », que si ia vaillante Société municipale de Gym­nastique a dù être, pendant quelque temps, arrêtée'dans son essor par suite du défaut de salle de répétitions et de changements dans le cadre 9e direction, nous devons être pleine­ment rassurés pour .le présentet pour l’avenir.

La nouvelle dirèctîon de la Société, conSée à M. Carré depuis le i*' avril dernier, nous a déjà permis d'apprécier ce qu'il est possible' d'exiger et d'obtenir de nos gymnastes, avec un peu de patience et d'éneipe. En effet, le concert d'aujourd'hui, par des exercices choi­sis, par l’exécution d'un, corps de ballet d’un effet ravissant, par différentes et très intéres-

poses plastiques, nous donne la mesure de la valeur d'un chef actif et entreprenant; aussi, ne doutons-nous pas qu'avec une telle méthode de travail, avec un entrainement ra­tionnel, nos gymnastes ne se fassent remar­quer par la population en exécutant, lors du 14 Juillet, sur la place de la Mairie, des exer­cices qui mettront en relief leur adresse et leur talent.

Celte rénovation de notre Société ne peut être que favoiàblement accueillie par le public, puisque cette œuvre à laquelle la Municipalité a le devoir dé s’intéresser, appartient tout en­tière à Montataire. »

C’est pour Montataire que « La Qui Vive ? » a été créée, c’est uniquement pour le bien de notre ville qu'elle se consacre à l'édaealion et au développement corporel des adultes et des enfants qui désirent-en faire 'partie.

Je'ne le répéterai jamais assez : Notre So­ciété est, avant tout, une œuvre municipale et locale; un groupement destiné à procurer à nos concitoyens une distracth» agréable, tout en mettant a la disposition des jeunes gens les moyens de devenir physiquement des hommes, et de justifier cet aittge, que je me plais à rééditer devant vous : « une saine mentalité d'esprit réside dans un corps sain ».

Voilà' pourquoi; sans trop nous préoccuper de ce qui se fait, de ce qui se passe à côté de nous, nos efforts sont et seront toujours orien­tés dans cet ordre d'idées. t,a Société munioi-

Bale « La Qui Vive ?-» se doit aux habitants de lontatMre, et ceux qui, ayant foi en elle,

n’ont rien ménagé pour lui assurer son exis­tence et sa prospérité, ne lui demandent d’au­tre but à atteindre que celui-là

11 est infiniment regrétiaisie; au pbinide vue du commerce local, que » L-a Qid Vive? » ait été mise dans l'absolue impossibilité d'accap- ter l'oâTe qui lui a.été faite tout.récemment d'organiser à Montataire, .avec la a Revanche ItepUblicaine », lé concours annuel de l’Asso- ciation des Sociétés de Gymnastique de l'Oise, qui aurai pu avoir lieu en septembre pro­chain (je ne parle pas de la réception de di- aanehe dernier, qai n’a aucun rapport avec ceconcours). ..............;( H est .tout, autant regrettable que certains adversaires mal intentionnés, en se rendant cer jours-ci chez divers commerçants,- aient cru devoir dire que le concours en qûestibn ne pourrait avoir lieu cette année à Honu- taire, è cause du m'aire qui s'y Serait opposé . Ces bruits sont absolument faux, et ceux qui ont' colporté ces' insinuations perfides doivent 'çértaibémebf ignorer les ntisOns dé' principe bOûr tebquëfié's à'L'a-"Qki''Vivé ? »''n’a pU don­ner sOlté "au'prdj^'iqûTIttl était sOnmis. ■

■ Jë'h'S'd dis 'pi,. . . --------- ---------------- r-ce-peudant'giie là raison de'.IHntérét Ohé he-cesae oétëmdignBr là müni<Sp81Hê,“tai)t' à la classe Idborieose qu'au'commerce, le Coifseil muni­cipal n'aurait pas hésité -à- voter les 2.000 fr., montant approximatif de la participatien de la ville, à ce.coacoursi s'il avait pu avoir lieu.

Excusez moi .dé. cétfé mise au point, mais elle était nécessaire, et j'aurai terminé ce dis-

uvanors qoe mais ia

;,^yant' 686 le pà

imeicinéÆ ____ .

cherches qni firent déconvrir la vérité et après une chaade alarme tout rentra dans le calme à la satiM^Uon g ^ é ra te .

Etat civil de Mbnîàtairé'dû 2 a ÿ tSjuin.'Nittstances. — 2 : Vangeel Juliette-Lucie ;

5 : Grébert Odette-Lucienne ; 4 : Lacroix Georges-Eùgêhe-Vîctor t-STi'ïandepsntaeele:. Yyonne-Blancbe; 5 : Tardif Edmond ; 6 : De- brie Paul-Léon ; H ; Jardiir Eugène; 13 rfirl--

.bert LéoneGimone; 13 : UoMét Manrice-Fer- âaiid,; l iT ;m u !e è m p a tJ u n ^

Décès. — '! : Demeurât jédn, Sfi aiis, coàtKe- maltre ; 2-; Godard EmilienneJlermaine, 1 ah;2 : Vermeulen Victor, 28 mis,'mafiouvrier ; 9 j sance eenaviève-SmoBe)-i5..^nn.:, i2 : Dé- moat JGustave-^phaèl-Atrgustê',' 37 ans, ou­vrier d usine ; 12 : Dura Louise-Rosine, veuve Hanot Frahçeie, 88 ans, sans profession ; 13 ; ^ i t Joseph, 16 ans, vannier ambulant; 13 : Çreil Jean, 11 ans, vannier ambulant; 14 : Tar­dif Edmond, 8 jours.

Mariages. — 3 : Entre : Côme Gaston-Ca-, mille, perceur, demeurant à Thiverny, et Baya Mane-Lurie, sans profession, domiciliée à Montataire.

3 : Schochaert Louis, ajusteur, et Populaire Hélène-Alexandrine, couturière, domiciliés à Montataire.

3 : Noël Marcel-Edouard, ouvrier d'usine, et Wattez Emilienne, couturière, domiciliés à Montataire.

14 : Decierck Georges, ajusteur, et Vanwyns- berghe Céhne, journalière, tous defe domi- cihés à Montataire.

N o g e n t-a o r-O Is e .Boite a u x lettres. — L'administration

des Postes vient de livrer â la commune la nouvelle botte aux lettres dont on avmt décidé la pose â l'intersection des rues de Bonvillers et Paul-Bert. Cette pose va avoir liéii incessamment.

manés ment n

S a ln t-H a x d u d ii .Vol d u n e itcyc/e«e. — Paul Letellier,

de Gouvieux, était venu dimanche dernier au bal.de Saint-Maximin, quand il voulut' repartir, il constata que sa bicyclette d' valeur de 200, fbancs, qu'il avait dépi

____Mnas ont amené 1 ^ invités iCoinpHiëna

l’hôtel de la a en f 'jeûner,

bus p rions. illes d’accej...

cères félicitatioi. é e y . — Im nl I Notre distio

. t Dhuicque, an Maire de Bnvage de d ish le^__succès cette année;

Prix d'ensemble : objet d'art.Chartres, 4 ju in .

- Grand concours spéctaldé dlshley-mérinoa' où toposaient les phis grands éleveurs de la Beauce.M M e p . , 1» section 3» prix 125 te.Mâles.. 2« ! — 5. _ 7S -_Femelles 1* i — 2* — -ISO__

— 2* ; — 1» — 150 —Prix d'ensemble : objet d 'A .

'■ Concours NîsttioiiM-de^orC, 8 f S n .Râles 1" section 1« prix 190 fr.

— i« i - _ • 3. _ 190 _— 2* — l«r _ 210 —— 2» ; ; 2« 4 — ' 210 -

FemBUes i>» section ’ l " prix '200 te.— 1" 1 ■- l 4* - J« e -

« 7 - . , 2* : — 2« — 180 fr.Prix d ensemble : objet d'art.

Concours de Beauvais, 1 i ju in . Mâles......,.:. 1™ éection 1" prix 60 fr.„ — . 2* ! — 2* — , 40 -Femelles i™ - - go_

— 2* ; — 2* '40 —Prix d'ensemble : objet d'art.

Concours général Paris, 17 ju in .Mâles............... i'* section 4* prix 120 te.

-- 2* ; — 5* — 120 —Femelles i-, - _ i,r _ 20O —

— 2* I — 1" — 200 —Prix de Championnat pour les femelles.Prix d'ensemble : objet d'atL Cinq prix d’ensemble (autrement dit prix

d^onnepr) sur cinq {expqsjfions, un prix de Irais prix dont onze, pre- ùccès 'qui vraiment sort

r, que ce succès a été roits, et partànt devant

dans la cour dé l’auberge avmt ^ p a r u . Auteur, inppnnn.

FAITS LOCAUXA a m o n t.

La fête patronale. — Demain diman­che 23 juin, fête patronale de lacommune d'Aumont : dans l’après-midi grand bal gratuit sous la tente!

Le lendemain lundi 26 juin,' jeux divers pour les demoiselles, les jeunes gens et les enfants.

B e a u r e p a i r e .Numéros gagnants de la tombola du

19 juin :4

141413331491812633

14181348

77780472

14501027294

1396473

1364804353948

596898172

1022355613

6441169800

1136441203776

107011631467115911431441151

1273 1486 1332 373 345

1367 ■ 1117 579

1394 23

1048 1165 1077 1434

7391099

170296

1432721367627

145112901263126

10151138

14021086577

1382351

14881181935

117746394

703635337

maiiif^ tioMOut eCiBaom

cours lorsque vous m'aurez permis. Mesdames Messieurs, d'adresqer ngg.plpç-yils e( sincères' -remereiements à ces excellents artistes, qui se sont réellement surpassés cé'éoir,' à-nos amis de l'Harmonie Municipale et- dé la Lyre Ami­cale, qni; par - esprit d’afiecloeuse solidarité envers a La Qui V-ive î »j n’ont pas’-hésité à irêterlcur gracieux'coneaun à celte sblrée,1 M:;Robert Heuzé; député, qui ne- manque

jamais l’ocbasidn de nous prouver son estime et d'éncourager nos œuvres locales parsa pré­sence au -miheu de nous, à Mme et M.Dunhar- Schullüe, lesquels méjilent, par leqr inlassable dévouement a nos sopielés, Ip. grande sympa­thie que nous nous' plaisons à leur témoigner chaque fois qu'il nous est'possible de le faire,

E 3n, puisque, dit-on, l’habitude est une seconde nature, ne perdons pas celle dé penser amc œuvres que'-nous avons tdus à- Cœur de stimuler, et je suis persuadé que nos quêteuses trouveront, auprès de chacun de vous, le hop ficeueil anpel elles ont droit.

A'tops, je me'pesmeis de -dire-mon recon-ofiiysapt et cordial merci;

De» braros noùrids/sooligDêreot â diffé­rentes reprises ces. eubstaotielles paroles. -i: Après la quête, les pupilles se grou- tèrentqtonr une, apothéose, pendanf-què

ma»?..Puis ce fut au tour des 'tbnsenrsdé se

livrer avec entrain â leur 'plaisir'-favori, dont ils ne s’arrachèrent quA regret.''

Àteident-. :r— Julieh E èh h o n ,'â^ de 62 ans; œaocéuyréa'qx'Fpr^VtlemêBrani

oontnfiB. su tiiéims en ^^1% relie d’i l

# iie » è^AsteaRj^M, Oh

a r m a , -li .-■i.t.S i .9; .-'ÿïlBiBliBÿiî.'.' .'qà.rOl'i.-:) ;‘■'tsia -u.'. sj îb , .il:; i'it: ih M itc m as c' T!.ï cl

lerer-aireiiis

balle. 20 jours de repos.i Petit-Dramte. — La rue de JaGare a éùS

mi8» ,jend i pojr en émoi par une wèns d ^ M m u e s'é it hmiFeittemeBt te rà i- néeaunuenx. ; , - . ■ ■

La femme D . . q n là ieto rt parjSoisdese Im » ' â .la bqisson e t qui Atait 6»soir.là

cet état anormal, voulut u im ée'de ifttttqiaots e m p ^ ^ r dp-brierle d s t )HU>tjili^«L SA qui

B é th i s y - S a ln t - P l e r r e ,A u ConioÙTs. — La fanfare d» Bélhisy-

Sainl-PiBrre a, comme itous l'avions d’ail­leurs annoncé, pris part dimanche dernier au cottcomie de Gonessé.

'Concourant en 2» division, l " section, elle a obtenue un véritable succès et s’est vu décerner en effet : .

Le 4" prix de lecture à vus, palme de vermeil.

Le l ’^prix d'exécution, couronne ver­meil et prime de 100 francs en espèces.

Le l*'' prix d ’honneur, palme de ver­meil.

Toutes nos félicitations aux membres de là fanfare e t'â ' leur dévoué chef M. Elysée Regnault.

Plainte: — Honorine Regnault femme Gerton; âgée de 33 ans, allumettière, dem ehraotfi Bélhigy-Saînt-Pierxè, par suite de mauvais traitements qu’il lui faisait subir avait quitté son mari. Ce derniefntôii content dé Itil avoir pris des effets d'habillement l'a menacée de lui faire son affaire. La femme Geiton a porté plainte â la gendarmerie,, contre sou iras­cible époux.

Béte. — La fête patronale, dite de la Saint-Pierre, aura lieu le dimanche 2 et le lundi 3 juillet.

A u Concours. — La société l'Union musicale prendra part demain, dimanche, au concours de Marly-le-Roi.

Le certificat d’études primaires.— W'i Cécile Baudequin et les jeunes Albeit Dufour et PaiU "Qaran, ont passé avec 5ttccès;lenr certificat d'étudés primaires, 'fous nos compliments à ces élèves ainsi qu'à leurs parents et maîtres.

Mariage. — Le mardi 37 jnin, â 11 h. 1/2 de matin, sera célébré en l'église de Béthisy-Saiut-Pierre, le mariage deM ”* Fernande Choron, avec M. Fernand Chrétien. '

Auis a u x Musiciens. — Aujourd'hui dimanche, â fO h. 1/2, â la mairie aura lieu l'adjudication pour le bal de la fêla Nationale;

Thé4 tre,.-é L® théâtre annonce ses der- nièreslrepréséntations,

,- '>.,-'iptéUil8y - S a ln t - U a r t I o . Première communion. — La céré­

monie de-la première, communion est fixée an dimanche 2 juillet.

Blavet André, âgé (je 2i ans, dememant â Crepy-en-'Valoi% conduisant une' vache â la bouchériê Lefèyre â Béthisy-Saint-Pierre, mercredi dernier, a été rencontré parles^ndannès, „n t ini « t s’il /porteur du

inf PSff 1 SriStS jù 'tf^ o ra l, 19W ;' concbrnant I4

circulation des aniinaux> Sfif sa réponse négtsSve, jffocèsiryephal a éH éossé contré lui jtottt; avoir oontrewhu â l’arrêté

iJtêriofit, -»•: ^Mororedi thm ier, a été

célébré, en l’édise deCâ>olsy-au-Bac,1e mariage de MUe Béjot,ffil6 d e M.’Béjpt, coitseufer momoipalpavec- M. Oeciry, de Betz. - . -

Unei-llrale nombreuse dlamis a féli(2té les noovemtz époux â l’issue de lacéré» monte, —

■ ' |. . : ,-... , . .

Championnat et vingt miers constitnehf un' de l’ordinaire.

n ne faut pas oubli remporté en elnq em jurys différents. ;

Nous' adressons nos plps vives félicitations k M. Constant Dhuicqué, qui dèstùainlénantvient prendre place .aux prèmiers.range de félevage de notee région agricole si riche déjà en célé­brités. ■ , i ■ — — — -

Crépy-kn-VStR>lsuPromenade, — j Profitant du jour de

congé les premiers communiants s’étalent donnés rendez-voiis jeudi dernier pourfaire leur prom ena^ habituelle.-SOus la conduite de M. l’abbé Bellanger, vicaire, iis prirent le train de 9 h. 09, (fesoendirent â la gare de Vaumdise et de lâ gagnèrent â pied lacave du Diable.

Après quelques ébats la faim se faisant sentir un très gai déjeuner champêtre ré­conforta les estomacs. L’après-midi fut employé par des jeux divers et le retour s’effectua àpied. Contents tous cés enfants ont remercié M. l'a|bbé avant de se séparer pour aller goûter un repos bien gagné.

Aviation miniature. — Sur le tet-rain de toot-bali de Merbiont la « Jeunesse de Crépy » organisera pour le seize juillet un grand concours de cerfs-volants et d'aéroplanes (biplans, monoplans.... res- tenplans etc.). " r

Nous donnerons: dàns notre prochain numéro lé règlement de ce concours.

La « Jeunesse de Crépy ». — La section de gymnastique dela« Jeunessede Crépy » se rendra le âimanche.9 juillet au grand Concours de Gymnastique de Gompiègne.

Nous espérons que nos jeunes conci- toyeus y représenléront dignément leur bonne vtUe de Crépiy.

Réunion de Gardes champêtres. __L’an mil neuf centlonze, le' ia juin, les membres do la Sôoiété fraternelle, des Gardes champâtres i du canton .de Crépy- ça-Valois, se sont:réunis dans la salle de M, Dufour, trésorier, 29, rue Natio­nale, à Crépy, pour : 1? paiement des coti- s.-Uions du premifjr semestre 19H, et 2° questions diverses.

Etaient préseiil s Boulanger Léo­nard, président; Pautré, médaillé mili­taire, vice-président, et MM. les gardes chmnpêfires suivants ; Legrand, de Crépy; Melaye, de Feigueù.t; Padieu, de Sery- Magneval ; Houpin, de Vauciennes; Caron, de Russy-Bémoüt ; Boaudequiu, d’Aoy-en- Mnltien; Ternizien.Jde Véz; Dùchoiselle, de Boooeuil-en-yalpis; Duhauvelle, de Feignenx; CuvUlierj de Brasseuse; Lue, de Rocquémonf (admis socié'tàire).

Excn^s : MM- ^ u la 'û ^ r 'Â c i^ e , de Boniteuil ; Lucet, de iLévignen ; Cihqueux, de yaumoise.: | , .

M. le président ouvre la séance e t pro­pose l’admission de M. Luc, nouvèliement promu garde champêtre à Rocquemont. Al'unauimtté, M- Lac est admis dans la ' soriélé S'comptêr ÿ l l ' ’ japy ièU 9il,' Sur la, demande de. M,le iPrésidept. â- l'unani- raitérabonnement akJaurnâld is Gardes cAtzmpéteês aété fenottvelé le Sâ.jauvier 1911 pour Fannée. Gé journid sera d ^o sé au siège cantonal; àj Crépy, chez M. Du­four, trésorier, où chaque sociétaire pourra en prendre (9onnaissance.

Sur la proposition i de. M. le .Président, et à, l'unanimité, un secours de 6 fr. 90 est accordé ét payé â M. Legrand, garda Crépy, et un autre.séeours de 26 fr> 70 à M. Duhauvelle, garde â Feignenx, pour soins pharmacentiqués. .

Tous lés membres présents adressent de vives félicitations à leur honorable pré­sident, M. Boulangerj pour la régtiiarité des seoours donnés- aux sociétaires mala­des et pour le zèle dcmt il fait preuve enses.fré^uppig dép lac^en ts n ^ s sH é s parlaaoci

Des remerciements également

m is que bientôt de Inouvelles adhésions viement encope 4 l'aide dp l'œmresr j -;MM, Legrimd'et uhattveH», remer­cient les membres de la Société pour les secours dont ils ont héoéBcié pendant le cours de l'année 49M; s , 1 L'ordre du jour étant époisé, ta séance est levée â trois heures.Pharmacie de s e r v i c e . di­

manche pharmacie ouverte : M, Bour- gpagnon,

Sêti. — La fête patronale est fixée an dimanche àj'niUeL; , -F ^ P M n ey v iip -R iid é ré ..

.Pite. — La'fête (patronate- a Heu le dimanche 25 et le Inndi 26 juin :Boutîqaep, cheuJt’dé'boià. Jeux, et chaque stur bafâ gndd ôr(Attob%.

i-,.-'--P m n ^ c o ia m tm ÿ m . ^M m o-

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kariés et leurs pnt nos bien

l è s d’éleisage. ^ n , M . CODS- leveur adjoint I avec sou ële-

plns grands

, 2 avril.

shley-mérinos 1 éleveurs de la

orix 125 fr.— 75 —— 150 —— 150 —

|o n , 8 juvn .190 fr. 190 — 210 — 210 — 200 fr. 200 — 180 fr.

pnx

prix

| / f ju in . prix 60 fr.

40 — 60 — 40 —

\ 17 ju in . prix 120 fr.

— 120 —— 200 —— 200 —

I femelles.

lent dit prix un prix de

dont onze pre- I vraiment sort

I succès a été partant devant

1 félicitations é linténantvient > de l’élevage

I déjà en célé-

I du jour de Qls s’étaient

ernier pour |lle. Sous la eer, vicaire,

^soendirent gagnèrent

I se faisant ampêtre ré- pès-midi fut pt le retour I ces enfants

i se séparer |n gagné.

le teirain Jeunesse de seize juillet i-volants et

Uans.... res­

te prochain iicours.- La section edeCrépy »

au grand ICompiégne. pues qonci- ernent leur

kpntres. — juin, les

prnelle: des de ürépy-

fis la salle 1 l ue Natio- nt des coti-

1911, et

anger Léo- daillé mili-

1 les gardes l-de Crépy ;

de Séry- Jes; Caron,, d’Aof-en- nchoiselle, uvelle, de

euse ; Luc, re).kchiUe, de I Cinqueuz,

nce èt.pro- pveltement equemont.

dans la ; 1911, Sur

[à- l’unani- £s Gardes 30 jaavier ^ra dtoosé lezM. Ou- sooiétaire

pgalement noraires,

^bue & la rvoBu est Adhésions

: f«Bier- I pour les

■ n t le

ladanca

uaiül di- Bbor-

1 fixée au

lieu le

ieuz j etIf ^

B f^xée

US COOKHUSR DIS L UiSlS

H orlen va l.{Nécrologie. — Vendredi 16 juin, ont

fiu lieu enTégtisede.Marienval, les obsè- flues du jeune Lelong Alfred, de la classe 1909, au 19‘ bataillon de chasseurs à pied, d é c é d é à Verdun, le 12 courant des suitesd'une méningite. ..................

Une foule considérable suivait le cer- fueil porté par les camarades du défunt g[ p a r une délégation de son bataillon.

\u cimetière, l’un des camarades du pauvre défunt lui a dit un dernier adieu,

Nous prenons part à l’immense douleur de M. Lelong père, et de sa famille, très ^prouvés depuis quelque temps et nous l e u r adressons nos compliments de con­doléance.

N epy .Ubsègues. — Lundi dernier ont eu

lieu au milieu d’une nombrense assistance en l’égliee de Néry, les obsèques de M. E u g è n e Dély, décédé le 16 courant dans sa 'i'i' année.

Nous adressons à sa veuve et a sa famille nos plus vives condoléances.

P la iU y .{Nécrologie. — Nous apprenons le décès

de M. A. Thuillier, conseiller municipal de Plailly, adjoint au maire. Il était d 'e x c e l le n t conseil et sa commune fait une grande perte. Ses obsèques ont eu lieu h i e r samedi à onze heures. Nous a d re s s o n s à sa veuve, à ses enfants, à son frère .M. Thuilier, conseiller municipal à N a n te u i l , nos vifs sentiments de condo­léance.

P o n t - S a in te - M a x e n c e .Dimanche dernier, le Cercle Catholique

de Pont-Sainte-Maxence s’est rendu en

excursion & Longueil-Annel. Les excur­sionnistes s’é l ^ n t embarqués de grand matin sur deux petits yachts blancs, pavoisés aux couleurs nationales.

Après cinq heures de navigation ils arri­vèrent à Longueil et se rendirent de suite À l’église, où la messe fut célébrée par M. le Curé de Longueil. Les jeunes gens, accompagnés par ,M. Ponsart, exécutent des chants, et M. Delvincourt joua plu­sieurs morceaux de violon..

La messe terminée, par la rue Barras et le canal, les excursionnistes s’ache­minaient vers l’hôtel Duprez-Desmarais où un excellent banquet lés attend. Des toasts sont portés par M. Augustin Cèler, président du Cercle, le directeur du Cer­cle et M. le Curé doyen de Pont-Sainte- Maxence.

Après le déjeuner, une séance de ciné­matographe est- offerte par M. Duprez- Desmarest. Les excursionnistes admirent notamment les films des fêtes de Jeanne d’Arc à Compiègne. Pendant que défilent' les vues, M. Ponsart accompagne au piano.

A 4 heures, les excursionnistes se rem­barquaient et regagnaient Pont, après la plus délicieuse des promenades.

La cérémonie de la première commu­nion des élèves de l’école secondaire a eu lieu jeudi dernier et fut suivie de la Confirmation donnée par Mgr Douais.

V e rb e r le .Conseil municipal. — Le Conseil mu­

nicipal de Verberie se réunira à la Mairie le mercredi 28 Juin 1911, à 8 heures du soir.

Ordre du jour : 1“ Budgets supplémen­

taire de 1911, et primitif de 1919.9»lj8gs Piatier. 3° Questions diverses., N écM ogie. — "Nous avons appris avecreg ■ ’ .............................................LeI àj ses obsèques ont eu lieu à PariS) imardi dernier 20 Juin 1911.

Nous adressons à toute la famille de M. Lefranc, l’expression de nos vives et Sincères condoléances.

Bureau de Placeiniiit gratuitlu

T ou tes le s com m u n ica tion s d e­vron t ê tr e a d r e s s é e s A H. A . G allé , 6 , Gour d u C hâteau , A CreSL (A vec la m en tion r PLA­CEMENT GRATUIT.)

DEMANDESM iP Une personne désire faire des

travaux de comptabité ou des écritures A domicile. 18j ' f l i i r ' Employé, ayant loisirs, prendrait à domicile tous travaux de copie à la main- bu à la machine à écrire, se cnargerait de la confection d’adresses sur bandes ou enveloppes. 20; Ménage retraité, très solide, de­mande place pouvant s’occuper du jar­dinage et soigner les chevaux. Concierge bu' g irde de propriété. ■ 96

o i|r~ Ménage à placer, le mari pour la conduite de chevaux et auto (brevet de capacité) ; la femme pourrait être em-

eoBtrae conoiecga, sloccoperaiMls. la b'asse-conr.

0 l j ir Ménage jardinier-cocher, femme cuisinière. 29.

t t r " Cuisinier demande i4ace, hStel ou maison bourgeoise, ferait les e^asi-!% :

d a r ' Commis actif, 21 ans, -mwé, '£ - . mande place commandes ou livriiiàins défis Epicerie détail, bonnes référefices’; Si

gST* Damé' demande place chez fine dame seule, un Monsieur seul ou Chez^nn Prêtre. ' 32 '

Adjudant d'artillerie oohmiale, retraité, demande place concierge de pro­priété ou d’établissement industriel. Peat ren^lir le s io n e tio ^ d e setpjétaire. {Trés : teéômmanSé fkcsois anèîen patron qu’il quitte pourgaisopjde santé la pléoe étàotf un peu forte pour lui). i ^ 1

Jeune méiiage demandé plaee i / toutes mains. ■ °,‘34“

A s s a r a n c e s .La C“ i a Préservatrice, la plus an

cienne des Cies 'françaises, Accidents,: demande un représentant à Creil. — Pro­duire références sérieuses.

O fTftE SdüT* même maison (épicerie),

on demanie un jeune homme pour lai livraison. 47 bis-.

On demande un ménage, le mari: chaufleur, pouvant s’occuper du jardin ;. la femme, bonne cuisinière. (L’hivep 4,Paris). ■' ^

0 ^ On demande jenne fille, bonne à tout faire, dans ménage bougeois sans enfants. (Reccmmandé). 49

un ienné hommie,

dans hôtel.lOin- dj^nafidé .pppi| _

-l’Oise, petit.-idoiMstique 'c b B i S ^ l À ^ ; peu; te serrice de tablei (BonnesTMlèreifirOe l-=: r,;, „ . ,8 0 ;

demande un domestiqaéi iiiwrli rié pour intérieur et-jardin, la femme Oô- ; cupee ou.oon. ' ' rst'j

On demande, des jeunes Btles-A Creil, pour apprendre l’industrie du gant. (Pi^esse). 69

C l!^ 'bourg, CtoumàygA

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h&ireimerie Administrative et Commeroiiie 9-li-, place de l'Eôtel-de-'Ville, Senlis.

A n n o n c e s J n d i c l a i r e s .ABTiaE l*'.

Étude de M” G e o i^ é s M ORAND, licencié en droit, poaê à Senlis, 10, rue Saint-Hilaire, successeur de M' L evteüx.

VENTE s u r s u re n c h è re d u six ièm e d e

U N E P R O P R I É T É

à usage d’entraînement de chevaux de coursesjtnée à GOUVIEUX, à l 'an g le de la rou te de C hantilly

à (îou-vieuxavec circonstances et dépendances.

DEUX T E R R A IN S B O IS É Sà C H A N TILLY , lien d it « Les Bois Salnt-Denis

d'wie contenance totale de 4 hectare 08 ares 08 centiares.

EN D E U X LOTS Le tout plus amplement désigné ci-après.

.'adjudication aura lieu le M A RDI H JU IL L E T 1 9 1 1 , à n eu f heures du m atin, en l’audience des criées du Tribunal civil de première instance de Senlis, séant au Palais de Justice de la dite ville, rue de la République. ■

Par suite de deux- surenchères ves d’un rez-de-chaussée et de deux — isiiième faites au Greffe du Tri- étages composée de :

anal civil de première instance de Au rez-de-chaussée : vestibule,sa- adis les vingt et un et vingt-deux ion, salle à manger, autre petite salle n m i l n e u f cent onze, enregistrées à manger, cabinet de travail, cuisi- (dénoacées conformément à la loi, ne, arrière-cuisine, et wator-closefs. a aux requête, poursuite et dili-, Au premier |étage ; quatre cham- pice de : j bres, cabinet de toilette et water-ïonsieur Eugène Colas, proprié- ; closets. ire, chevalier de la Légion d’bon- au second étage : salle de billard, r , ------ . T,..;. ..,.a'Ar._ chambres de bonnes et grenier.MF, demeurant à-Paris, rue d’An- gdême, numéro 23 ;

Surenchérisseur ; Ayant ponr avoué constitué, M' iotges Morand, demeurant à Sen- i, 10, rue Saint-Hiiaire ;Inprésence ou eux dûment appelés

Premièrement. — Monsieur Franck toto, entraîneur, demeurant à Gou-

Beuxièmement. — Monsieur Ber- mf-Audré Herz, propriétaire, de- Wirant à Paris, avenue du Troca-

numéro 38 ;Troisièmement. — Monsieur le

ittüite Louis-Emmanuel d’Harcourt, npriétaire, demeurant à Paris, rue (Coustantine, numéro 9 ;

Adjudicataires surenchéris ; ITayant pas d'avoué constitué ; Quatrièmement. — Monsieur Char-

It Vemon, brodeur, demeurant à litis, place Boîeldieu, numéro 1 ;

Kiursuivant la première vente ;Ayant pour avoué constitué .M«

Saorges Morand, demeurant à Senlis, lll,rue Saint-Hilaire ;GiiiquièmemenL— Monsieur Geor-

l«-ïmile, dit Edouard, Vemon, em- byé, demeurant à Paris, 122, bou- wrdPéreire ;

Poursuivant la première vente ; 'Ayant pour avoué constitué H*

k^Beuve, demeurant à Senlis ; Sixièmement.—Monsieur William-

ttward Cbesterman, propriétaire, teaeurant à Chantilly, rbesaint-Lau- leB;

« Agissant au no'm et com- K me tuteur naturel et légal « de : 1* Mademoiselle Gertru- « de-Marie Cbesterman ; 2"« Monsieur Tboaaa-George%« Cbesterman-A 3°, I|Ia4emok . e selle"Alice-Lume Cbeatër- « man ; 4“ et Monsieur Geor- « ges-Faraell Oiem.èrmàn.ses « quatre enfantamineurSïissus

' "Vt ae soir untoit'iBfeo- Msdaafe « Emilia Hurét,',ion éjioate « décédée ;

Présent à la première vente ; Ayant poiir avoué constiluô M* Os-

.fit Savary, demeurant à Senlis ;' Septièmement. — Éî Monsieur Wil-

Hnrst, entraîneur, demeurant à ■jlly, avenue  è' la' (tere t

V Agissant au nom et com- « me subrogéi-tuteur des qua- « tré min’enrirGhe8ibrma'n,8us- « noinmés_; j : ” *

U sera pro-iédé, le mardi' ortse "et mil neuf-cent onze, -à n m f

'es du matin,,en l’audience de* du Tribunal civil - dé première

ice de Senlis, séant au Palais Justice de la dite vSle, me de 1* PoiUgue, à la vente-sur aurencbè- dù sixièmel aiqx.'’feekèr^jiobli- "1, an plus offrant ef dérmer en- iaseur, à l’extinction des-feux,

deux lots, dès Inunéiibles dont la ion suit ,D S S lG W ji^o iN

8 TMISES A P R IX IMMEUBUSS A VENDBB

Premiar U>t<

Bâtiment en retour dans lequel un pavillon sur terre-plein d’un rez-de- chaussée et d’uu premier étage avec grenier au-dessus et coniprenant :

Au rez-de-chaussée ; remise, sel­lerie et cabinets pour les gens de service.

Au premier étage : deux chambres et une cuisine.

En suite dudit paviUon : quatre boxes et grenier au-dussuSi-

Aiitre bâtiment en face de la mai­son d’habilation compr.-naot :

Au rez-de-chaussée ; grande re­mise avec sellerie et buanderie, escalier et resserre.

Au premier étage : deux chambres de garçons.

Grenier sur le tout.A droite et à gauche de ce bâti-

meift, huit boxes avec grenier au- dessus.

Grande courau milieu -le ces bâti ments dans laquelle deux po'mpes.

Jardin potager au levant.Jardin d’agrément devant et der­

rière la maison d’habitation dans' lequel poulailler el cabanes à lapins.

Au midi de cotte propriété le long de la route de Chantilly à Gouvtebx.

Bâtiment élevé sur terre-(fiein comprenant douze boxes, cbamtees à grains et grenier â fourrages -aü- dessus coiivert en tuiles.

Un deuxième corps de'Sâtintents à J’ouest composé de onze b to s avec greniers au-dessus, büandwiej chambres de garçons au desssus.;,

Un'àutbe corps dé bâtiment CDin- prenant au rez-de-chaussée drsjze )Oxes avec passage de stfrvice de-" vant : au-dessus logements topre- mier garçon et-d’employé de-énaique

c h â tie s

Cour entre ces biitimen^^yiit entrée’iiir laïonte Uels USAnsé^

Pompe et réservoir etr ciment é e s ceÜecMr. / ^ j ' i j '

Ter/ain glerrière le bâiini|nt à 'ouest. t.! •

Au nord de cette pro.-'riété, pad­dock 'divisé en deux i-aities'"sépa­rées et entouré de clôture en bois.

cette propriété tient d'lin c |^ é s t au chemin de Gouvieux â la a|BUS- eée, d’antre côté à la eommü'nè de Gouvieux et par hache e x t^ e à Monsieur Ferdinand Lelelliemudîin bout â Madame Frémont et Odairs bbut à la route ue iCbanûtly à Jqiâm- bly. ■'

Louée Njour neuf années ediifirant

3° Et la totalité du sol du chemin parallèle à l’avenue Marie-Améliemir une longueur de trentmcinq mètres sept centimètres et demi et lune lar­geur de sept mètres.

Deuxièmement. — 1° Un te r r a in bo isé , situé à Chantilly, lien dit les Bois-Saint-Denis, avec façades sur les avenues de Joinville et. Marie- Amélie, de la contenance de cin­quante-quatre ares, quatre centiares tenant d un côté. au. .huitième lot cii- dessus, d’autre côté à Monsieur Richard Carter senior, d’ün bout l’avenue Harie-Amélie et d’autre bout l’avenue de Joinville.

2° La moitié du sol de l’avenue de Joinville attenant au terrain] Ci-des­sus sur une longueur de treiite-cinq mètres sept centimètres et demi et une largeur de cinq mètres, i

3° Et la totalité du sol du-cbemih parallèle à l’avenue Marie-Amélie sur une longueur de trente-cinq mè­tres sept centimètres et demi et une largeur de sept mètres.

Libres de location.

àprii: 35.350 îr.L’adjudication aura lieu sous les

charges, clauses et conditions du cahier des charges dressé par M* Henri Balézeaux, notaire à Chan­tilly, pour la première adjudication, duquel extrait est déposé au Greffe du Tribunal civil de première ins­tance de Senlis, oit toute personne peut en prendre connaissance.

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigue.

Seulis, le vingt-qualre juin mil neuf cent onzé.

(Signé) MORAND.Et enregistré.S'adresser pour tes renseigne,-

ments :A M* G eorges MORAND, avoué

à Senlis, poursuivant Ja vente ; ,A H‘* S a in te -B en v e et Sa.-

v a iy . avoués à Senlis, présents à la vente; ■ |

Et à H* H en ri B alézeanz,no - taire à Chantilly; rédacteur et dëpo-’ sitaire de la-minute d’enchèrçs.

Etude dé M" 0 . S A V ^ Y ,avoué à Senlis. '

V^ENTE SU R . U e i T A ^ N« u enchèrea pnliliiipuia,

au plus o/frant et dernier enchérisseur de :

ONUNE M A ISsise à"'

MOiGENT - S tiR T GISÈPlace de la Pète; n" lO.

L J te e p ro p r ié té k aaage d’s i^ t Wement de chevaint d# conraes sf-, Jowàgouvieux à'ITngle dé la ronté

'31y à Gonriedz et delà note «nx à la Omniiée, cqmpre-

’ 'ùoad’habitatioa éterée aàr «

L’acliiidl(SaÜoràuj« lien le Mardd 18 J u il le t tO l l ' . i neuf heures' du matin, en Faudience des criées du Tribunal civil de première, ins­tance de Senlis, au Palais de Justice de la dite"vilte. ' ' " ' '

« le vingt et un mars mil neuf " - îc oem dix, enregistrée j

Poursuivants.Ayant pour avoué- constitué M*

Oscar Savary, demeurant à Senlis, 15, place Henri-rv.

En présence de :Premièrement. —Monsieur Octave-

Joseph Rodde, demeurant à Nogentr sUr-Oise

Deuxièmement. — Monsieur. Ferr nànd-Eugène Rodde, demeurant à Creil ; (

Troisièmement. — Monsieur Al -' fred-Hippolyte-Victor Cartier, cocher, demeurant au Lys, commune de La- morlaye ;

0 Pris au nom et comme « tuteur du mineur Marie- « Pierre Cartier, fonctions aux-

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra :. . . .

Qu’en vertu et en .exécution: d’un, jugement contradictoirement rendu; par le Tribunal civil de Séniis, le quatre avril mil neuf cent onze, en­registré et signifié. |

•Usera aux requête, poursuites et ■diligences de ,

1® Monsfeur-Edouard; Rodde, de-|-- meurent à Nogeut-sur^ise j;

2° Monsieur Marie-Joselpb-Chéri Maillet, --pfopfiétajrer'demèurant à Nogent-sur-Oise, ci-devant et actuel­lement à Saint-Harcouf (Manche), veuf de Madame Marie-Victorine Wattebled, son épouse, dépédée au dit Nogent, le dix août miTneuf "cent neuf;» i.

« A^ssant tant efi son nom « personnel qu’au , nom et 0 comme tuteur naturel et Il légal de :

II 1» MarierVirginie-Gene- a viève Maillet, née le sept

novembre, mil neuf cent

a quelles il a été nommé par a délibération du conseil de a famille du dit mineur, tenp a sous la présidence de Mon- a sieur le Juge de Paix du a canton de Creil, le trente a août-mil neuf çent-neuf »;■

Présent à la vente ;Ayant pour avoué consiitné il»

Sainte-Beuve, demeurant à Senlis, rue Sainte-Geneviève ;

Et encore en présence ou eux dû­ment appelés de :

1» Monsieur Caplain Maxence-Roc, rentier, demeurant à Nogent-sur- Oise;

II Pris au nom et en sa quae a lité de subrogé-tuteur des a quatre mineurs Maillet sus- a nommés;

2» Monsieur Wattehled Maurice- Âlbert-Justin, maître maçon, demeu­rant â Nogeiit-sur-Oise ;

a Pris au nom et en sa qua-'. a lité de subrogé-tuteur dh a mineurCartièrsus-nommé »;

Procédé le Mardi dix-huit Juillet mil n-uf cent onze, à neuf heures du matin, en l’audience des criées

Tribunal civil dè Senlis sis aii .ja'is'dé Justice dè là dite ville, rite

de la République, à la vente et adju­dication publique au plus offrant et dernier ènciiérlsseoretàTextinctio'o -des’feux-dé l’immeubl'e dont la dési­gnation suit :

DÉSIGNATION'. --Une H slsô n sithéë à Nogent-sur-

Oise, place de la Fête, numéro 10, élevéueut terre-plein d’un rez-de- chaussée divisé en . Aiuatre pièces, premier étage divisé en cinq pièces.

Grehieran-dessiis couverféh tuiles.Cour derrière, dans laquelle sei

trouvent;Un petit bâtiment servant de cave

avec grenier au-dessus, petite buan-, derie, cabinets d’aisances.

Jardin derrière.Le tout d’une contenance de qua­

tre ares cinquante-neuf centiares en­viron, tenant d’un côté Monsieur Bu- naudier- d’a n ^ côté Bocquet. paf-' deweï iA-i>mce')de la République; par deirièrô'Monsieur Renaudier.

Mise à prix : 4 J9 0 0 fr.

Outre les .chargea, clauses et con­ditions insérées au cahier des chair- ges dressé par M* Savary, avoué foarsïlivant;' ei dêpoïé âu Greffe du. Tribunal civil de Senlis, où toute personne peut -en prendre connais­sance, les enchères seront reçues sur la miseè prix ci-dessus indicée fixée par le jugement sps-énoncé.

le'premier juillet 1914, m yén- « deux, à Nogent-sür-^qe ;naht,-outré l'aiguit des impôts, m ' •=" ' jo Ka'rre^raâc&pmile- Uryer annuel de 9.000 fram ^- - - ■■-i"-* <-*

1 ^ 8 'â p r t t :Deuxième Iml-

(Huifième el neuvième Léts de l’enchère).

b o isé situé àCbanfilfy, l®i dit les. BmmSaint-Denis, arec hga4M les avenues de Jotuville et Mene- Amélie, delacontenance deelnquan- t».qaahre ares quatre, centiares, te- nf irt li’nn côté "au neuviènie loT &-' -jMta, d'auln côté ^Méfpaiuur Je 'wbmte d’HsBCofBâ, A n nbutlaé^: Â e lisrie-Amélie, et d’atfire bonhis. l’ ivehne de Joinviile ;

*• La" nàWé du sol de l’avenue de Joinville nttenaat-mjegain fii-des-

,.sus sur une lengney de trente^wg.mèWMsert eeiiw w s* mt-sMant-aa

s ôndré Maillet, né|{p qfialre a juin miinenf cent quatre; '' n Nogent-sur-Oise ;|

« 3* Madeleine Maillet, née it le vingt novembrel mil neuf e cent cinq, à Nf^ent-snr- sOifint.- ' « i» Marie-Josefihrlmile « Maillet, né levin^tfois fé- a vrier mil neuf cent neuf, ’« yrogéut-supoiîie ;

a Ses quatre enfents ml- a nenrs issus e. 8oo léffitime à manftè' .avec) sa deffintè

'.a époulM -'eétehlWinia'yihalrie __ià de iSa-âbtomftTpubeljto '-ÿjd

d inrê ■nafé'' mil.iaeuf ce a deux, et spépialemeht.aol a risé aux fias-des-jbriientes a par délibération ou consei a de famille desdits mineurs, s leni»4Ae Monsieur le Juge s deriW dfiliniMOB d« Cred,

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné. ' - i

A Senlis, lu vingt-quatre juin mil neuf cent onze.-

- (sighéTNJr^tPARY.; S’adresser, pour les renseigne­

ments à;1» M* SAVARY, avoué à Senlis,

poursuivant la vente ;2° H* SrinleJ-B eave, avoué h

Senlis, présent à la vente ;a« H* Lêroy," notaire à Um -

court;4» M* Desabie, notaire à Creil ; 5° Et au Greffe du Tribunal ciVU

de-Senlis, où le cahier des charge est ” '

Senlis, au Palais de Justice de la dite ville, rue delà République.

En exécution : 1° d’une ordon­nance rendue par Monsieur le Juge- Commissaire de la liquidation judi­ciaire de MonsieurMunier, ci-après nommé ; 2° d’un jugemmct. rendu sur requête, par le . ‘nihunal çivU, .de Se.nlis, le., deux mai mil nfiiff..®.®W onze, enregistré.:. , ..,.c....] ..

Et aux requête, ppursuitesiet dHi- gences .de : . , ' . ’

PremTèremenL — M* Gaston Loié, avoué-agréé, demeurant à Senlis, fUe de la République, numéro 24,

II Agissant au nom et comme II liquidateur judiciaire de

. v. Monsieur. Emile-Louis Mn- « nier, ancien épicier-hôtelier Il à Oiry-la-Ville, place de la

- « Mairie(.nommé à Mtte fonc- II tion par jugement du *ïri- « hunal de Commerce de Sen- «,11s, en date du sept avril « mil neuf cent onze, enre- « gislré ;

Deuxièmement.—Monsieur Emile- Louis Munier, ancien épicier-hôtelier à Orry-la-Ville, place de la Mairie, et demeurant aeluelleinent k .Maisons- Lafflte (Seine-et-Oisp), rue du. Mes- nil, numéro 43 ;

Ayant pour, avoué consUtué -.M* Gaston Loir ;

Il sera procédé, le Mardi dixi-huit Juillet mil neuf cent onze, à neuf heures du matin, à l’oudience des criées du Tribunal civil de Senlis, au Palais de Justice de lad e vil e. aux vente et adjuiir .-:-. i-iu a-i ■-i --ffrant et dernier eDci-.n'isseur, -.c l’iiiiuieu- blo donlilatlésiguatiou suit : ,

d é s i g n a t i o n ' ’ ■telle qu'elle est insérée au cahier

des charges.Une fHâlson etses.défiendauces„

lises à Montfort-l’Amapry jSeine-et- Jiééj, rue fiaint-Niçolas, numéro 25, comprenant')]' '

Méison. consistant-on : uô-Corridot; à droitèj'dleiâ'cbmnbres et un cabi­net de toilette ; à gauche, une cui­sine etaune chambre, grenier sur le tout; cav^ dessous.. . . .

Ad couchant e^^-midi’de tâJinai- son; jardin clos de murs.

Le tout d’un seul ensemble, te­nant ; par devant la rue Saint-Ni-' colas,'par derrière-et d’un côté le cimetière dè Montfort,-d’autre côté Monsieur Simonet.,Cadastrès savoir: le solde la mai-

jMiSectiemA,:utim.éto:4e4;potm,uhe contenance de soixante-dix centiares, lé jarfilu section A, numéro 405 pour que cohténahc'è dèiixarés sommte- eteî^ cenfjiirés, smt-au total', uné, éOPteuance cadastràlé dé sept^âres tràstenripq cenfiares'l . ]]fH se à f i ^ : 2 .0 0 0 ' f r m s .

t é cahier 3es c h a r^ , chnses et .conditions atixqnellès'ffoii âvoirfiieu la venté, est d é ^ é aù Greffe du Tribunal civil de Sentis, jqû chacun peut éh jumédre çènnàtesance."

' t e et rédii vapt soussigni

ÀiSén]is,le]Wingf'm un . juin mil neuf cent Onze«. . ~ '

Signé : G. LOIR.' Et enregistré..- ,

S’adresser pour les renseigne­ments ;—1* 'A-M* G aston LOUt, avoiié 4 Senlis, poursuivant la vente ;

2® A H* HelUgymsteln, notaire à Montfort-ÜAmaury ;-, Au Qraffh,du -Tribunal ciÿii ^éiealis,>pour prendfé-oommunication du cahier dés charges ;

Et sur les lieux, pour visiter.

A u .'8.' ■Étude de M* G aston LOIR,

avoué à Senlis,24, rue de la République,

Aet. â. *

ÉtuSte de M» Georjgbs'iitikiitND,licencié en droit, avoué à Senlis,

;iO, rue Saïoï-Hitaicé, successeur d&M* Leyiesx... :

P - u i r ^ e i

;ène-Victor Ragot fils, contremattre, in«fliranl.ià ,MojUtsiC08uitljiH de Pontpoint ;

Huitièmement. — Monsteur Ale- xandre-Marie-Pierre,Davène de Ro- berval, propriétaire, demeurant- au château de Roberval ;

Neuvièmement.—Monsieur Alexis, dit Alexandre, Lavatlée, cultivateur, demeurant à Roberval

Dixièmement. — Monsieur Albert- Jean-Baptiste Bèrty, cultivateur, de- .méurant h Roberval'; '

OhzièmernenL . Et Monsienr Pierre-iAlhert Decorbie, propriétaire, demeurant à Saint-Pierre, commune de Pentpointf

Pour lesquels domicile est élu Senlis, .10,'rue-Saint-Ifilaire,: eu'I’é- tudè dé Georges Morand, avoué.

Notificifiion a été faite Ji : PremièremenL — Monsieur Phili-

bert-Julien.Guénard, maràicher, de­meurant à Saint-Nicolas, commune, de Gourteuil.

« Agissant au nom et comme « subrpgé-tuteur de JaCqhes- « Pierrè-Bd'mondRogeret, en « faut mineur issu du mariage, II de Monsieur Georges-Ecl- II mondRogeret et de Madame « Hargùerite-Nathalie Sou- « pault, ea première épousé

Deuxièmement. — Monsieur Dé­siré Tellier, cantonnier, demeurant àCramoisy;

« Agissant au nom et Il comme subrogé-tuteur de : « 1» Simone-Berthe TeHier ; « 2» Pâquerette teUier ; 3“ II Thérèse-Germaine Tellier ; 10 4» Fernand-Eéphir TeHier; 0 5“Blancbe-FrancineTellier,;

■ «_6» et Marie-Antoinéfte Tet « lier, enfants minéumissns.du « mariage de Monsieur Pierre « Tellier,dêcédé, . et de Ma­il] damé .'.'Marïé-Slttôader, son

- « 'épousé,épôuâe en deuxièmes « noces de MÔDsiè'urGeùrges- « Edmond Rogeret >.

Troisièmement. — Et Monsieur le Procureur de la' République près h- Tribunal civil de première instande de Senlis.

De l’expédition d’un acte dressé au-greffe-du-iTribuDal. civil-de-pre­mière instance de Senlis, le six juin mil neuf cent onze, enregistré, cens» tatant le, dépôt effcçlué api dit greffe,- Icptème jo|ir,dB IpqppiecoUatm'nnée et ejprégistrée ;

D'un procèS;yerbal dressé parM* Beauchamps, notaire à Pônt-&inteT Maxence, lé vingt-trois avril mil neuf cent onze, enregisiré, contenant à la requête de : - ■

Monsieur Georges-Edmond Roge­ret, ouvrier charpentier, et Madame Marie Shnonaet, son- épouse, de lui assistée et autorisée, demeurant em semble à Cramoisy,-

héritiers Rogêri'et d’autre bout le Maraisj moyennant le I de’”fr«iJeJhir(q'';/'rd charges.

Troisièmement. — Monsieur Au­guste Chilot 'dit Vernesse; sus-nom­mé, de :

. ,4Trôisif^eCihquaÿte-d^ ' ares viâMl-einq

chntfares'dé terre; terroir de Pontt ûnt, lien dit laCrax'deHoru ou les ïamparts tenanèduqcôté au fossé-

au-delà dnquéfpluatm^ d’autre côté Madame CaUh;. .d’j t i ^ u t la rontp' départementale numm 23, d’autKi bbut Moésiéur.JoUdon et par.ha.c(hp plusienrs; Pont supte fossécommuf entccMonsieur Rogeret et Madame Calais. Cadastrés.sedtionB,partie des numéros 740,741j'7Sl et 752,moyem nant le prix principal de huit cents /'ràtics, onthe lés m m ^s.

Quatrième Lot.(] Neuf) ares vingtjsehljséniîares de buis, plantés âèpeujniers, terroir de Pontpoint, lieu dit les' Fraîches Ter­res ou la Folié Hdubigand, tenant d’un côté ' Monsieur Lôûis Philippe Dieux','d’autre "Côte les héritie)^ Dé- bressy,d’un bout la voirie'ddvachea, d'autre bout Monsieur Jolidon.Cadas- trés section B numéro'436, moyeU- oant le prix principal de cent soixan­te francs, outre les charges.

Dixième Lot.Treize ares sôixanterdix huitcén-

iaresde terre, terroir de Pontpoint, lieu dit à Montauban, tenant d’un cé- té à Monsieur Vernesse Boquct,d'au- re eôlé à Monsienr Alexandre La-'

vallée, d’iin bout à ja sente, d’autrè bout à Monsieur Jèa'n Poulet. Cadas­trés, section C, numéro 1089, moyen­nant le prix principal ieeent franci, outre les charges.

■i .. . ■ -V -,d '■ ' “Treizième Lof.Trente

in.q'uartuoint, lieu dit an Champ Rouge ou les Sept Arpents, tepant d’un eô'é iMoosiéur EjaHicn R%eret, d’aRiia ’Cdté HoissiewrCaWs.vd'nn fioutd^’ ' hospicès-.de Pput, d’autre bout, plu­sieurs. Cadastrés, sèiÿon B, numéro SLjmilia^oyênnanâleiprix princ^ pal de six cent dix francs,- outre les barges.

(juatrièmement.—: MonsieurEmilé Geofftôy-Ferré, sus-nommé, de : i

Adjudication au profit de : ^Premièrement. — Monsieur Félix-

Jean-Baptiste-Roch BecquereUe, sus- noinm^de: ,

Premiertotv ■. Quatorze ares trenteasinq centiare» de terre, terroir de Pontpoint, lieu dit les Galotots, tenant dlun côtéje-

=¥°WJWcFeroe85e,-Bpqnet,, , fffôneTioté aMonsqeur%oqiwlle« <1 de Rhuis, d'an bônlfé 'ëhèinih Cbe- valeret,^ -et .d'antre, bont Monsieur BecquereUe, de Rhuis. Cadastrés- section B, naméra;49S, moyenuanflF le prix p r ^ c i i ^ l c e ^ t/’ivg^.^oiSMÏe'l®

Deuxième: çols-fAlbertï

'par suite de liquidation judiciaire, e n «M» w o l lot;

U i w l i l a i g o i i

. . iSéinë^t-Oise}» ,

t désiqtSef CN:ttprit.plusami

i ’adj&dtcattonanrà liêU lé'MARDI - 4 « JUHAET: heures du matin, en l’audieuca, frânt

des criées du Tribunal o W jc

D’un exploit du ministère de M*Bouton, huissier à Senlis, en date -des vingt-trois et vingt-quatre jilin mil neuf cent onze, enregistré ; : ■ '

jl apperi qu’à là requête de V" Premièrement. — MoimiearFélix-

Jean-Baptiste-Roch BecquereUe, cultivateur, dcmennai à Rhuis ;. Deuxièmement. — Monsieur Fran-

eoia-Albert ütfctiaûl&Nfr; cultivateur, dementani à Hpra, eqmiBtiBe de Pontpolgti' : .1 ■

TroisièmemenL Monsieur Au- L gustaChiloL dit'.VaMMm, PftiinjiiBL

.clerc d’avoué; dêmènrant a P a rS , Tiafilèvard Rœhoehouart, numéro 7 ;: Quatrièmeaeati- Moti!di!nr.ihnitei!ft GeêtteqirFeiéé, mdtnatmr^emei '

dmfe-Méadit Periomer oaSivateur, demewantà Bhnis;:, . .. ^

Sixièmement. —''Honsiènr'lonu-

Mqqsteur Fran- "N sam-nommé,.

Te,terTofr'dePontr pomt, ll.eu.;diP-ls .Reine des Filles) lehant d’un côté Monsieur Loujâ Gàlaim d’BuirO vCôlé HogueBr Rap-' tisfé Iteiÿrêu*, d'uB-teW Te chemin de la Fcurcbecie,-d’autre bout aux hé{âtiaFS« ÇSateis, traversés par la route départemeutale numéro 23. Cadastrés section C, numéro 799; moyennaqUè prix principal do cent francs, outré lés .charges,

Cinqttièmeilidt.Dix-huil ares nu-ceoliaca ,de iKiia,

terroirdePdhtpoittt, lieu dit Démère HCurs, tenant d’un côté Monsieur EmiliaB.Rogeret, d’mttieicôléà Mon- sieur Berly, degdegx bouts plusieurs.- Jtedastlé«.iaeetionjC, muaMirm 127A

larbe, moyconaut le prix principal lé deux centjriagt-francs, outre les

(diargea,,. . ,...::QliziètsBi'Efl£

'ringUigit éiied^qfr'et un cen­tiares de terre et bois, terroir de Pontpdbit, ' Hen'idit' jtf Fond - de la Fosse, tenant d'un côté à Monsieur: Albert Dumssoir. d'autre côté aux

Monsieur Vernesse-Boquet et Mqq- siear Frédéric Deseolis, d’aHt|ebdùt

e. Cadaslpés seotab “ 34.à 1237, éoyengitot..

éentsjiancs, w . ^ ■■ 's, 6(4

Dix>huitième tôt.Quatre ares environ de bols,-té'<

roir*Rohervgl,lieu dit le Marais

Septième Lot.

vreuse, tenant d’un côté à la sente de Moru, d’autre côté et d’un bout à- Monsieur Billet, et4t’éutre hpnt Mon-i sieur PoidéVin.'Cadaàfrés section C, numéro 1463, 'moyennant le prix prin­cipal ûu cent soixante franesfaatte les charges.' " '■ '. CinquiememeaL— Moosieur-Théo-,

doreEenoit Personne^,iKis-nommèi.

i..i . . Hnitièmi L o t . , :Dix-huit ares de tèrfe, terhoir de

Pontpoint, lieu dit 'à la Solette, tq^ nant d’un côté h la route déptnteô’ mentale, d’autre côté à Mojmieur ]^nTLevjs«séw,,d’sp.\hoiit Moik sieur JUigaateiMah9B,-d’àutts..boiit le cheinin Jlbevaleret. Cadastrés 'sec-' HOUlB, n ^ ^ m e t

ÏTe'piTâ Bfléel(il-de, a p i s cent outre-lès-

,?fe^ÈâéBïr"i% oo»iéür Lonis-i iüb#u Dieux,, ausrsoinmé; dè'r: ^ N a u r i è m e L ot.. ..

) -TOL-Tuiès delif.ite '

auClia^Bitegeou’l ___ .sel, tehaut dun èftTé 'à-Monsieur' Poiderin; ; tt’aultef.léôté à Monsieur PfailipMvDleuzpd’amhootia dtonin Chevaienllet d'aoira houtàiHaBSleor rPauI-Janson- de:®Bfimis. - cadastrés section B, nlmléMler■ éS' et 858 ; moyennantle prixprincipal de mngt- cinq frimes, outre les charge^

Septièmeihèat.- —■ Mohsieiir: Eu- ‘ — • ■" • sUS-UOmmé,

Seizième Lot.Quinze areaqûatre-vingts centiares

et demi de terre, terroir de Roberval, lieu dit au-desSus de Guidon; tenant d’un côté Monsieur Eugène Decorbie, d’antre côté Madame Calais, d’un bont la route, d’aufre -bout lé quin­zième lot; moyennantle piix;priiici- pal de gucUre-magi-dix- francs, o i- ffe les charges ; : " ' ■

Diiièmlerônt;Monsieur ÎAlbert- Jean-^aptiste Berly, sus-nommé, de ;

Dix-sefûième Lot. |Sept ares vingt-cinq centigres de

bois taillis, terroir de Roberval, beu dit aDx'..Taillis de Ja Fosse, i tenant d’un côlé Monsieur Tbéophilé Havy, d’autre côté plusieurs, d un bout le vieux (fitemin, et d’autre bout Mon­sieur riggoU: Cadastrés section E, aumérô 775; moyennant le prix princiiml de trente francs outre les charges.

,] ,U Et vente an profit de :

Albert Decorbie, sus-nommé,^eSixième Lot de l’adjudication

qui précède. •Vingt ares qnatre-vingt-sept cen­

tiare» et demi de terre, terroir de Pontpoint, beu dit le Croc ou lai Reine des filles, tenant, d’un côté Madame Calais, -d’antpe côté Madame jveuve Guérin etMonsieur Jean Poulet, d’un boutià plusieurs, et d’autre bout à Monsieur Edouard Personne ; liraver- sés par la route départementale. Ca­dastrés sectiim C, partie des numéros 995:'998, lOfff, 1013 et 1014; moyen­nant le prix principal de cetü cin­quante francs outre les chargea.

Ayec déçlaratiqn : ,, ;Que la dite notification leim était

fàUe conformément à 'l ’arUclé 2194 ., d%,^Ék^my|l,pour qu’ils aient à

B ares trente-huit centiares' eds le jugement convenablet dé terré, terroir- de Pont- **“.® inscription fi hypothèque légale... ... „ --------- ™’iis aviseraient dans-le délai do

lèiix mois, faufo de tiuoi i.-s ,!l:s imméubleb seraient et fiemeureraieut MfisifivUment purgés et libérés entre, les mains des adjudicataires de toutes hypolhèques.de cette, nature."' Et à Monsteur le I^eufenr de la

République :Que-les précédents propri^aires

outre tes vendeurs étaient : Èmilien-Louis Rogeret ; Jean-Baptisie. Decorbie et dame

Rosine Decorbie, son épouse ;Et que tous ceux du chef desquels

il-pourcait,étre pris des inscriptions puhèque légale n’étant pas con­

nus des adjudicataires ils feraient lhi|re;la. présente jnsertion dans un des jbarnftux.déai^s'pour les an­nonces judiaaires couformément à l’aviédu Conseil d'Stat des neuf mai et premier juin pii huit cent sept.

Pour insertion :S7») (Signé) : MORAND.

A »ï. 5 j - ' ■

.JÉtude de M« HAU6 LN, notaire A Verberie.

non È E E n n à n io R

C eadon ^ d ê' C oin ineree.

Suivant acte reçu'par M'- Maugin, iiotaire-à.Verberie,Jè-dia-neiù' juin nul'neuf cent onze, Monsieur Pierre BOEL, marchand taffleur, a vendu à Monsieur Auguste PONGE, nmilchand âailleut^ jjemmtraut^ à Bellicourlfïîsnej.'liu itoa

tjuatôrziêth'è Lût. ]

de-conam erce Saillerir è t d e

ehapelleiéMzÿi’il exploite à Ver­berie, rue du Marché, cbmprenant la clientèle, te matériel servant à son UiUptnitiiBui)ét lrn:<lrmt.an bail des lieux où il est exploité.

L'entrée en jouissance a été fixée au premier août rail neuf ceut onze.

La, présenté insertion,sera renuu- veléé danslè même Jotiriial, feuHle duaix juillet mil nuuf ceut onze, et c’est à partir dmeette date que courra le délai de dix jours fixé par la loi

,_|pour lès-sppositious.Pour: première insertion :

573 _ , ..MAUGIN.a - Ji ..i—

2mr.«.

Bsmery,

Neuf.ares quafi«;ringt-hait cen- Uafe's" de,'terré ,él .(fois-, terroir de 'Rôbé'fVSP,)Iîén!.ffit'. te F u ^ u è : du Brûlé, fénaut fiun c ô ^ ’Messieims Dieux et FéliX: Peraonre d’antre côté Madame veuve Gqci iii, d'un bdiW au., chemin de .Derrière' Honçj. et

nvouémoyennant le ItritWinbipal de criif « s e i ^ .çiiHj[f-cfiiq^«dor,^^oatl^charges;î n. .. . -.

BmtièaiikebtrJtMungeuriiâan-ri '" " ’ iKle en Sepaiahon de fiiene. dre-Marieïfiietre'ilnitene de Robêr-T " .val. sus Uomj^dfiA . . . . I Par exploit du ministère de M* Le-

■ nonV4mi*si«'A Senlis, en date du- .MVinMd«|%<L«L .. ivingV-deux jMu mit-uMr cent ônze,

] Qnatqrite ares, quatrorvingt-deux la game Armandine Goûtant, épouse

ISmervï, lieu d?t*"MÎdeBsmréteGm-"fln^^TCC**te^êf*Sfe^^^eure- à ‘"nant ' d’un ed|é àpoeÉw ir Baroop-a formé contre ledit sieur

liôté É e s ^ r s BernamJeseph ’ThiéfiDe, sa demande r^'unMout éusédantien debiens,etM'Savary, dflitrtw nt ivsnéîÉiintoTribuoalGivilde Senlis, lÆ Cdas-.dAm^lM^aceHenRiy.DumérôiS,

iliSlf tmlÿen- aété wimuéponrla'dêmaùiletosse ■ "ion., .

Potir rirtAdt'mnriné omafmme par avoué .»0Msàgué; n. .3i u ^ lal-à-Munsieur— H«uvièmeineuU'''fciin»»leurAtexir aw>L,«votté.t. ----- ----

d’autnmôté, dit Alexandre û v tilte , «M-nosDBé. dix-luttjainmdaeorcént'ufiiih; i h o u t ^ 4 u 9 '® r ^ '

Page 4: Ye «lèudi et le Dim ancfie. Meudi et ïe Q lm aeçtÿlbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_06_25_MRC.pdf · 2014. 2. 18. · nde tm bon bon- retier. — Bons i du Journal

I.

i;' i' ■■

-Si. .

r ç : J a . r ; u ; u:>. m

T S i S ù W m i m r m r '

Elude» die W» litencié eu droit, avoufra Senlis,

10, rue Saiat-Hilaire, ^ U* U EN H ER , notaire à Chambtj.

VEN TE SX JR ~U Ç rrA T IO N•* DE •16 P te s de Tem

p P é & B o i ssitiiées terroirs de ChanaWytO'®®^’

RoiMjueroUe», H édooyllle et F ro n v ille (Seiue-et-Oise),

d’une contenance totale de 2 h ec tares 36 area 46 cen tiares

e n 1 6 liOTS-L’adjudication aura 'iSH,'®

CHE 9 J E I t tE T 4 » * '» ;«deux heures de relevée, en m uoe et pai le ministère de M* QUBW- TIER, notaire à Chambly, commis à cet efoi.S'adresser pour les yenseiffnè-

menis ; .A M»<jleorges MORAND, avoue

è Senlis, poursuivant la vente;A »;• S ttîn te-B euve, avoué

Senlis, présent à la vente ;A M 'T lsse ra n t, notaire à Cham­

bly *Et à »î' Q n en tîe r, notaire à Ciiamblv, rédacteur et dépositaire du cahier des charges. ■

! * r

Etude de M* L o u i s E S C A W ,avoué,

7, rue de Tilievert, à Senlis (Oise)

d e ■ Bléits 4»nntoeairS f5c.

D ’UNE M AISONavec Jardin

sise à THiIÆNEüTE-IiE-KOI,dans le Parc de la Kaisanderie,

arrondissement de.Corbeil (Seii»e-et-0i8e).; ,,,,

L’adjudication aura lieu lé’2 7 .H IN \ 9 \ \ , à i m u f heu*es du matin, en l’audience des cftéesl du Tribunal civil de Seniis, au- Palais de Justice. de ladite ville,' rue de la République.S*otdresser pour tous renseigner,

A M* Louis EiSCAVV, avoué, poursuivant à Senlis, 7, rue de Vil-

M' .D herlio , huissier Pont-Sainte-Mai^nceKOife),. ;

Études de M« Loida, ESCAVY,avoué à Sénlïs (Oise), .

et deM< C h a rle s LUBREZ, notaire

à Berlaimea (Mord). •

'IL_______

entrepreneur de battages à CRI ■ (Oise)'.- ■ ■

d e l a n u e - p r o p r i é t éDE

U N E M A IS O Nsise à MONCÈAU-SAINT-WÀ 'r,

arrondissement d’Avesnes (Nord)2» BT

8 Pièces de T erfèsises su fflêniÉi Heu

L’adjudication aura lieu le 2 9 JÜIIH 1 9 1 4 , à d eux h e u r a d e l’aprèï-intdt,, en la salle w m Maille de M oncéam ^df-^^*! ®1 par te ministère de ** notaire à BeiJîûmoht,. h cet eBet commis.S ’adresser pour restseignemeaisA» A M* ESCA’VY, avoué pou^

suivant, h SenUih:7, rue de/'YiUevert (Oise); • ‘

2° A M ' LUBREZ, -notaire a Ber- laimont.(Nord), rédacteutet déposi­taire du cahier des eharges.

Éludes de M* SAINT&BEÜVE,■ avoué à Sentis y ^

Et dè M* PETIT, notaire à Senlis;

AUX ENCHÈRES PHBWÇPp

U N E m a i s o nsis6 à SENlJtS»

roeldn P é r i e r ,

S rf6sige^teireip-da

à la BIGUE,lieu.dit les BUTTE

d e l’ap résd in lA , en 1 étude et. par le ministère de M* Petit, n jr t à m iraénBa, cow w a-^ «et e « ^ S’adresser your les renseigntr

ments .*avouéeSenris,

2* A M** H oraàid et S»T ar|r,.voitéSl» SenUat pré»wt»*-to;Wnr-

3, A iP ^ G a a e ia n i n o ta ^ A B W .- A°’Bt eM* P e ttI , notaire à S e ^ i

,éd« .^arges.-

Étodede M LBiidHiNAir,: notteo k Senfia^

• -* -Vf ,ji. ; . ; 4

A M i ü d i o a ^

le Diaumche 9 JuUUt, 4 3 h9W€$t

& Tnnnlll^, en l’une des salles dé Bit'M^e,

nar le ministère de ,M* DELADNAY,: ;s» ■■■■■(• nOttSWi'’' -'*; ’■ j

2 9 h e e t . 0 1 â re R O S c e n t .• '• r ,.i -fi'l

f r i c h e s , Z e r r e s < f r ^ ^

,de^Jt3RV,WfcLTC.t%ilt ‘

Ar1 lur

de jour lui rieur

i\^^ die:(Wbuta*tuuerckilense aTcriremife

du radius droit En janvier 1^0» ü

nhe*^S-ieT1 ^«iileuse se d S ^ S S iw le pied gauche, M. W .yÈLÇ^ frait atrocement dans les pieds qutu^ 11 mvchaH.jçt ü\ n'Avon it quaVee peine éù lw)îiant.^n mAdeSn du i m fui lîr de WWSïfOTSeBppintel d%:fça soit aux pieds, soit au ,pQigue1 mais plus on soi:ihflàieat:;ia:-;plia

IS

Etadft da-W M g re A S4MWE,commissaire-priseur

.....

ué^ H' se

Ü I M A N C à 'É ; S ^ ^ J N é S H ,

e n l ’H étel d e s V en tes...de S tN ^s,

V E N T E

i maigrissmt ; il p«^i.lL siour. Quand U vint à ma consull ion, le 11 ocIodw

■ ■ ■ ■ terne du radius droit'duvrafft

deux poumons en arrière _-pied gauche tout le métatarse,_ JUé et le --*•*'—■4* T

- de même, au dehors. Après un ------------ ,.

' - "5, squhre de Messine, ^ r i s . ^ ^ g

'a é d r a r "i« i;pnj‘éqmm ftr««t

sa^nt-pps Ta soigner. ;. I, iodé,‘’tànin, «lycerop‘%nin Wcérophosplmte de chaux, guèAt lesrîéidôns; tuber-

iovoquàriïToVSon d*anmoxln«_d_ansen provoquantM ^^5re™ ^jôgé^Tiulaaéfi¥t, osseuse, jiynchîtes c |g ) ^ Tumeurs

E x tin c to n s^ le dii^'aiu^^le matU de

i r ; —

« Æ ® g SSâ f f l r D w ^ o S Î 'on t envovés fmncff à domiçite oonti-o timbres ou Î S d i f t . - ^ dimanche prochain, à celle page, le cas de MllelhiMàrd,

Études de M»ï«e«ANDj egrSé hà Senlis, {

et de SI* M aurice LENOIRst!,huissier à Senlis. j |

Faillite de WU'AbçlJAZKT, j'maicband de beurre et agriculteur

àPlaiUy(Oise).,

avenue du Bouteillier,5l6 et|l8,a t m a n t t a ^

...CONTlJBtJATW.Qi^,DE LA

V E N Ïn a enohMw mHhmspi

A P tJ«L L Yau domiçüe de M. énei. J^ET , I

’ ■ ”■ 3 ' ,raê a’ÉmWirà, ;’, ’ ' jl e D tananche 3 5 Ja tn |. .191^,'

à une KeilS’é ierelev^, par le ministère.de M* LENOïR,

, . huis8ier,K -

E-j ' -.j. p o u r constmciÎQii, ^ T r è s lE > ë U è ‘‘' V v i ^ ;

a v ec ptoUte- M aison,

2 serres chou

DÉSIGNATION SOMMAIREI.

eniblanc, _________ . ,chaises, bureau, b i^thèqim et voj- lomés divéc», n^chipe.à ooiidre. j

-Lits, -sommiers, matelas^ literié, tahloBide nuit, glaces, garnitures cheminée. j

(luisinières, poêles, jardin.

Vins fins, vin-blanc, et rouge, de table. : i

Une automobile Mors, 4 cylindref, 16 chevaux, dduble-phaêton. :

Et une très grande quantité d’objets non spécifiés. i

Conditions ordinaires.nxpressié in en t a n co in p tan t..................

Etude de M* BOUTOTi, huissier & Senlis, J3, pla.ce Henri IV. ■

' ..,J. ! .. i.Vente aux enohères publiques

1- i f ’-'-- DE70.000■ ro n g és. l'/J*. ,■

A 'b -à r b e r 'ysur remplacement de la Briqdeterié,le P in u u içh e 3 g u ^ p t . 1 9 1 4 ,

■ à ù«e, Âeùre èi Üémie»par le ministère de M* BOUTON,

huissier à Senlis. : . ^

A n C o m p tàn f.1 0 O /O e n sn é .- : 543

«,t3A'-'iîLCrtlV.if: -- .’i V l ' d .. . . Sladr8sseB-èU*<BiM)éséi9ix,,*itaire à Chantilly,.QUcA'M..I«iJB9' d l^ , .i6 , avenue du Bojuhper, 3.'

i :,o x î ;b ?k ï

s i s e a ’ P r è c y - é u r - O l s e(rive gauche de l’Oise),

avec -' ’1 2 0 H e é iiM ^ ït.d e T e r r d

e t V r é ~dans.tut-rayon de 1.20Ô.m. à 200 m.

deiagare," et en, bordure de la rivière d’Oise.

Entrée en jouissetnce : ïiovémbre io n pour les Jachères. Novembre 1912 pour le surplus.

H*' Galoy, notaire à Précy ; ’M .l^dir^'géOinètre gtSenlis. 29B

. . . , , : ia a w ,te i îB ï- .■c.;qili -.l'd'.ifirir .M tih â-îcai t iA isusT -M nisu ihonsgeelsu,

& Senlis,. tue 4e Na«tettii,jmmdri>.2.S’adres^:h lp.Petit, notaire;

~ 'irtMK ftn jD ï

A vendre os louer, iPr opiriWé’ midi, ’anse, pour les paroenéet'i|ni< propre A l’indiistrifl np A la miitnra, aeronL Ipuéesp oine annés..de,lee>isise

■•i ’-€9MW0SSreR‘’’‘'->;-'R u e V fà jj^éV ^ |ië ‘- it>arls

(eh /"ace Vï'ialtoir},.. ._ .S E N L IS

.«30Hfira.uiit.Tr

-Voltnreg neàvos,.et ncjpiaaiion’ . en.qiip%àsiri. ' -

Voltupu Us Aux* si do Cominspas.'SpétiaiUé'4ediharrettes-Tonneaux

, et Tonneaux. 415

■tude de ilv^DÉhilnuT, ■otaire . k Senhs.;;Ai-jiAiMii.A’Umeii _______________ ,

laas amaotean, .«ammiino Re .Gha. »a*ti el peuMinLeonyeair X tonte

destination. — S’a i^ae ràjH » QSr. lannay, notaire.

A Vendre ou à louer<P -T’I ' 'i> Ml ’“.*ÿ,ïîr’-!V i e u x - ^ b â t e a u

d e P o n t a r m dcom iposë* i ia b î tâ t io n p

dç; v a s t e s b â t i m e n t s ," 'léeiirïm ' '

e t q u e lq u e s h e e t a r e s"KS*^Étdléégè ÿ 'â ffén a n t, ' conviendrait à élevage

ou éntràlriénient.■“:> ,V .-.'Ib A': ■S’adresser à M. LECCEUR. nroorié-

tafre à Pontarmé. 151

'dë-8BBé,-4A-nne'gppaBde'Bialsôn( Béi^iy';i^hPi(ar6h-,'siffle Bôrd'^é

.P o u r otnisé d è .éàntè, sdM né’sietilë ' téüaht débit "de' tjol^'ôns, rèsiauïhnt;' cbantbi^ garnies, ail oènKé; .dliae j,viÿé ■ pilleuse ,du canton de, Cteil,

) 9 l r e ' ' 'r a a e r 's 'd i i ' r o n d s e t y e n d x e s a m a l s o n e p

ÿadr. aii'Bùréau du lonrual. 392

A ' V E X i r O - F l Eih . o T en toutes’garanties;

C l i e v a i b a i- - ’ô- • 'âgé, 1 m . 58,

se mqnte et s’attelle, seul et à deux, ' cbhvl'endràSt à commerçant.

. B’adresser.è M, MOaUET„& Mont- ISvSqife''. '")"'........... '" ( ‘ 471

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