Actualités francophones :
• Autisme : un soutien au Dr Éric Lemonnier
• Les 48 heures de l’autisme, une manifestation qui a 20 ans
• Théâtre au bénéfice de l’Autisme dans la salle du Prieuré
• L'Ange et l'autisme au nom de tous les Angelo
• Un complément alimentaire traiterait une forme d'autisme, selon une étude
• Saint-Just-Saint-Rambert; Les 48 heures de l'autisme
• Une aide à l'école promise à Chloé, atteinte de troubles autistiques
• Pas d'école pour 130 enfants handicapés
• Clément a bien fait sa rentrée avec une AVSI
• « La Contre-allée est une grande famille contre les épreuves du quotidien »
• Transcrire les émotions en sons
• Pour le bonheur d'Ariane
• Dialogue-Autisme donne de l'espoir aux familles
Actualités scientifiques internationales :
• Autism can have large effects, good and bad, on a disabled child's siblings
• Vaccines; Vaccine and autism debate masks real problem
• Family History of Schizophrenia and Bipolar Disorder as Risk Factors for Autism. Archives
of General Psychiatry
• Just another social scene: evidence for decreased attention to negative social scenes in high-
functioning autism. Journal of Autism and Developmental Disorders
• Autonomic Arousal to Direct Gaze Correlates with Social Impairments Among Children
with ASD. Journal of Autism and Developmental Disorders
• Collaborative Problem Solving in Young Typical Development and HFASD. Journal of
Autism and Developmental Disorders
• Differences in autism symptoms between minority and non-minority toddlers. Journal of
Autism and Developmental Disorders
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4 - 10 septembre 2012
• Psychiatric comorbidities in asperger syndrome and high functioning autism: diagnostic
challenges. Annals of General Psychiatry
• Resting-state oscillatory activity in autism spectrum disorders. Journal of Autism and
Developmental Disorders
• The rubber hand illusion reveals proprioceptive and sensorimotor differences in autism
spectrum disorders. Journal of Autism and Developmental Disorders
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Lorient ville
Autisme : un soutien au Dr Éric Lemonnier
194 mots
4 septembre 2012
Ouest France
OUESTF
lorient
Français
© Ouest France 2012.
L'association lanestérienne Je TED à aller à l'école a pour but d'aider à la scolarisation des enfants
autistes et de diriger les familles dans leur recherche d'un diagnostic précoce. Elle lance une pétition de
soutien au Dr Éric Lemonnier, responsable du Centre de ressources autisme (CRA) de Bretagne, basé à
Bohars (29). « Le Dr Éric Lemonnier, pédopsychiatre au CRA de Bretagne, est aujourd'hui menacé dans
l'exercice de ses fonctions, écrit la présidente de Je TED à aller à l'école, Valérie Sochon. C'est
actuellement le seul médecin de Bretagne qui aide à scolariser les enfants autistes et à les diagnostiquer
». A travers cette pétition, adressée au directeur de l'Agence régionale de santé, l'association demande à
ce que le Dr Éric Lemonnier « garde sa liberté d'exercer dans le diagnostic et la prise en charge de
l'autisme en suivant les recommandations de bonne pratiques de l'autisme publiées par la Haute autorité
de santé, le 8 mars 2012 ».
Renseignements auprès de l'association Je TED à aller à l'école, au 06 84 02 95 67.
Document OUESTF0020120904e894001mx
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Saint-Just-Saint-Rambert-ville
Les 48 heures de l’autisme, une manifestation qui a 20 ans
236 mots
5 septembre 2012
Le Progrès
PROGRS
30
Français
© 2012 Le Progrès.
Le but de cette manifestation est de faire connaître et reconnaître l’autisme. En effet, les autistes
manquent de lieux de vie et de structures adaptées pour les apprentissages. Eurecah (Éducation Utile
Régionale pour Enfants Citoyens Atteints de handicap), créé en janvier 1999, reçoit 84 personnes de 3
ans à 30 ans dont 90 % sont porteurs d’autisme et 10 de maladies orphelines.
Les bénéfices des 48 heures de l’autisme : théâtre, cabaret, marche, pétanque, loterie, soupe aux choux,
danses folkloriques, vélo, seront reversés à cette association qui offre du plaisir et des loisirs aux
personnes atteintes d’autisme, les pousse vers le plus d’autonomie possible (sociabilité, propreté, vivre
ensemble) et soulage les familles en souffrance. Le centre est ouvert 5 jours par semaine du mardi au
samedi, de 9 h à 17 h.
Deux personnes diplômées y travaillent à temps complet et une à temps partiel. Une vingtaine de
bénévoles aident au fonctionnement par roulement. Une trentaine de stagiaires interviennent également.
Eurecah a un budget de 90 000 € par an, dont 20 % viennent des subventions du Conseil Général et de
mairies, 30 % des parents. Le reste étant le produit des manifestations…
Les animations des 48 heures de l’autisme se dérouleront vendredi, salle du Prieuré à St Rambert et
samedi et dimanche : Les Giraudières, Bords de Loire.
Document PROGRS0020120905e8950004m
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Saint-Just-Saint-Rambert-ville
Théâtre au bénéfice de l’Autisme dans la salle du Prieuré
143 mots
5 septembre 2012
Le Progrès
PROGRS
30
Français
© 2012 Le Progrès.
La Compagnie L’Œil en Coulisse d’Andrézieux-Bouthéon interprétera vendredi 7 septembre à 20 h 30,
dans la salle du Prieuré de St Rambert, son nouveau spectacle : La Nuit de Valognes, d’Eric Emmanuel
Schmitt mis en scène par Philippe Spader.
Une nuit à Valognes, dans un manoir, Don Juan tombe dans un piège, cinq de ses anciennes conquêtes
complotent pour instruire son procès.
On rit, on est surpris, on est conquis par un retournement de situation qui humanise le grand séducteur ;
une version de Don Juan, classique dans sa forme mais moderne dans le fond où fusent des répliques
cruelles, drôles ou désabusées. La fin d’un mythe ? Musiciens sur scène, costumes XVIIIe, mise en scène
soignée : tout est réuni pour passer une excellente soirée
Document PROGRS0020120905e8950004q
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L'Ange et l 'autisme au nom de tous les Angelo
J.-P. Ch.
486 mots
6 septembre 2012
L'Indépendant
LINDEP
NARBONNE_IN
Français
Copyright 2012 L'Indépendant All Rights Reserved
Nous
avons toujours tous à apprendre quelque chose de l'autre. Plus encore lorsque notre destin croise celui
d'un enfant autiste. C'est
« pour offrir à ces jeunes toutes les chances de trouver leur place dans notre monde » que l'association
L'Ange et l'autisme est née à Narbonne, au début de l'été. Au nom d'Angelo, bientôt 5 ans et entouré de
sa famille. Au nom - aussi - de tous les enfants prisonniers de leur handicap, mais qui ne demandent qu'à
tourner la clé en connivence...
« L'enfant n'est pas au bon endroit »
La maman d'Angelo, Marine Vidal, est ainsi decenues la présidente de l'association. Avec sa mère, ses
proches, elle se bat pour que les choses bougent autour de l'autisme en France.
« Dans notre pays, il faut savoir qu'un enfant sur 150 est aujourd'hui atteint d'autisme. Or, la seule
solution proposée à ces jeunes, et à leurs parents, c'est l'hôpital de jour, ce que nous ressentons comme
une sorte de centre psychiatrique pour enfants avec des éducateurs spécialisés, mais sans réelle prise
en charge. Pour nous, l'enfant n'est pas mis au bon endroit. Les enfants ont un statut de handicapé. Pour
le conserver, ils sont obligés d'aller à l'hôpital de jour. Et sans accord du Centre de ressources de
l'autisme, la méthode ABA à domicile n'est pas possible ».Cette méthode nouvelle, ABA (NDLR : en
traduction, analyse appliquée du comportement) est encore peu utilisée en France, mais ses résultats
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sont très encourageants.
« Le but de l'association est de récolter des fonds pour financer les heures de méthode ABA à domicile
ou chez une formatrice » précise alors
Marine Vidal.« Nous n'avons pas encore tous les codes »
Car la prise en charge individuelle avec la méthode ABA est susceptible de remettre l'enfant dans le
chemin de la vie ordinaire.
« Chaque enfant autiste est différent, les troubles sont différents. Il faudrait effectivement du cas par cas
», complète
Brigitte Chenot, membre de l'association.L'essentiel du travail, avec la méthode ABA, « c'est surtout sur
la communication, car nous n'avons pas encore tous les codes, mais tout passe par là. Nous avons à
apprendre leur monde ».
« L'intérêt du projet d'école à Narbonne »
L'enfance est ainsi l'étape cruciale de l'autisme :
« Les progrès s'effectuent quand les enfants sont petits. D'où l'intérêt du projet d'école à Narbonne ».
Pour agir dès maintenant, pour entretenir l'espoir et pour diffuser largement l'information,
L'Ange et l'autisme orchestrera quelques manifestations durant l'année. Histoire de sensibiliser et de
partager le sourire de tous les Angelo de la terre, en commençant par le sourire d'un petit Angelo
narbonnais, aujourd'hui âgé de 5 ans.
J.-P. Ch.
Document LINDEP0020120906e8960005v
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Un complément alimentaire traiterait une forme d'autisme, selon une étude
341 mots
6 septembre 2012
14:02
Agence France Presse
AFPFR
Français
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Un simple complément alimentaire offre l'espoir de traiter une forme particulière d'autisme couplé à de
l'épilepsie, selon une recherche publiée jeudi dans la revue américaine Science.
Environ 25% des personnes souffrant d'autisme sont aussi épileptiques, un trouble électrique cérébral
caractérisé par des convulsions dont les causes restent largement méconnues.
Ces chercheurs des Universités de Californie à San Diego et de Yale (Connecticut, nord-est) ont
découvert une mutation génétique présente chez des autistes épileptiques qui accélère le métabolisme
de certains acides aminés, créant ainsi une carence.
Cette découverte pourrait aider les médecins à diagnostiquer cette forme particulière d'autisme plus
rapidement, ce qui permettra de commencer un traitement plus tôt.
Selon les auteurs de ces travaux, il serait ainsi potentiellement possible de traiter cette forme d'autisme
avec des compléments alimentaires contenant ces acides aminés dits "à chaîne ramifiée" comme l'ont
aussi montré des expériences sur des souris génétiquement modifiées pour avoir la même mutation
génétique.
"Ce fut très surprenant de découvrir des mutations génétiques affectant le métabolisme qui sont
spécifiques à l'autisme et peuvent potentiellement être traitées", relève le Dr Joseph Gleeson,
professeur de neurosciences à l'Université de Californie à San Diego, principal auteur de l'étude.
"Le fait que le traitement potentiel soit évident et simple est le plus emballant: juste donner aux patients
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affectés les acides aminés dont leur organisme manque", ajoute-t-il.
Le professeur Gleeson et ses collègues ont séquencé une partie du génome d'enfants autistes dans
deux familles souffrant aussi d'épilespsie et ayant une mutation dans le gène qui régule le métabolisme
des acides aminés à chaîne ramifiée.
Ces chercheurs ont également examiné des cultures de cellules souches neuronales provenant de ces
patients et découvert que celles-ci se comportaient normalement en présence des acides aminés à
chaîne ramifiée.
Enfin, chez les souris génétiquement modifiées, leurs symptômes ont disparu en augmentant la prise de
compléments alimentaires contenant ces acides aminés, précisent ces chercheurs.
js/bdx
Document AFPFR00020120906e896005m5
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Saint-Just-Saint-Rambert; Les 48 heures de l 'autisme
107 mots
6 septembre 2012
Le Progrès
PROGRS
9
Français
© 2012 Le Progrès.
Eurecah (Education Utile Régionale pour Enfants Citoyens atteints d'un handicap) et la Fédération
Autisme 42 organisent les 7, 8 et 9 septembre une manifestation au profit des enfants et jeunes autistes.
Au programme : théâtre vendredi à 20 h 30 avec la compagnie l'Oeil en coulisses dans la salle du Prieuré
de Saint-Rambert , samedi marche, pétanque, rock et soirée paella aux Girardières sur les Bords de
Loire. Dimanche : soupe aux choux, danse , clown, magie, groupes folkloriques et loterie.
Promenades en barques, poneys, expositions, vélo seront aussi au menu de ce week-end.
Document PROGRS0020120906e8960007q
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Une aide à l 'école promise à Chloé, atteinte de troubles autistiques
336 mots
6 septembre 2012
La Voix du Nord
VOINOR
Lens-Hénin
Français
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Nord ou avec Factiva, vous avez uniquement la possibilité de consulter le présent document, vous ne
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Interrogé mardi, l'inspecteur d'académie du Pas-de-Calais assurait que la rentrée scolaire était «
techniquement réussie ». À quelques exceptions près. Comme pour Chloé, une petite fille de trois ans qui
a fait sa rentrée dans une école maternelle héninoise. Or, Chloé souffre de troubles autistiques. « Ils ont
été détectés il y a six mois », explique Céline, la maman. Depuis, la fillette est suivie par un orthophoniste
et un éducateur spécialisé. La communication se fait par un livre d'image. « Elle comprend tout ce qu'on
lui dit. » En prévision de son entrée en maternelle, Céline a sollicité une assistance. Le 28 juin, la Maison
départementale des personnes handicapées (MDPH) accordait un auxiliaire de vie scolaire (AVS) durant
deux ans pour prendre en charge l'enfant « sur le temps complet de la scolarisation ». À l'inspection
académique de mettre un personnel à disposition. Rassurée, Céline amène mardi sa fille à l'école mais
là, surprise, pas d'AVS.
« C'est embêtant, car la petite ne sait pas progresser, elle ne parle pas, elle n'est pas autonome, il faut
tout lui apprendre, la guider au quotidien », explique Céline, bien consciente que « la maîtresse ne peut
s'occuper personnellement de Chloé qui a un handicap ». La classe compte 26 élèves. « Je souhaite que
cela soit mis en place au plus vite sinon les troubles vont s'accentuer. »
Douze heures par semaine
Contactée, l'inspection d'académie du Pas-de-Calais assure qu'un AVS a bien été recruté pour prendre
en charge Chloé, à raison de douze heures par semaine, soit chaque matin. S'il n'était pas à son poste
mardi, c'est qu'il restait à finaliser le contrat. Mais sa date d'arrivée n'est pas connue. « L'équipe de suivi
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de la scolarisation va se réunir sur ce cas particulier. Elle pourrait déplacer un AVS d'une autre école le
temps de conclure les formalités administratives. » t C. L. C.
Document VOINOR0020120906e896000ho
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Départementale
Pas d'école pour 130 enfants handicapés
265 mots
7 septembre 2012
Ouest France
OUESTF
lemans
Français
© Ouest France 2012.
Comme chaque année, des enfants handicapés sont privés d'école. L'Adapei réclame un comité de
scolarisation.
La scolarisation des enfants handicapés ? Un refrain qui accompagne chaque rentrée. Cette fois encore,
Pascal Coroller, président de l'Adapei (Association départementale des amis et parents d'enfants
inadaptés) dénonce le manque de places dans les établissements. « Nous étions à 106 l'an dernier, cette
fois, ce sont 130 enfants à qui aucune solution n'a été proposée. Pour l'instant, ils n'ont de place ni dans
les Instituts médico-éducatifs, ni dans les services d'éducation spécialisée et de soins à domicile, ni dans
une école classique. »
En cause toujours, les budgets alloués à l'Agence régionale de santé (ARS), qui décide du nombre de
places dans les établissements spécialisés. « C'est une question de choix, résume Pascal Coroller. On
met 300 millions pour limiter la hausse du prix de l'essence quand à peine 20 millions suffiraient à régler
nos problèmes. »
L'Adapei, comme d'autres associations du département, travaille à proposer des solutions aux familles
concernées, souvent isolées et démunies face à la question. La difficulté est plus aiguë encore pour les
handicaps les plus lourds. « Des enfants autistes se retrouvent en hôpital psychiatrique, quand la famille
ne peut plus assumer seule. »
Si les budgets serrés n'incitent pas à l'optimisme, Pascal Coroller n'entend pas se décourager. Lui et ses
partenaires ont réclamé auprès de l'ARS la tenue d'un comité de scolarisation. Pour l'heure, ils n'ont pas
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obtenu de réponse.
Document OUESTF0020120907e897001nt
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UnePdd
Clément Borgès a bien fait sa rentrée avec une AVSI
275 mots
7 septembre 2012
La Montagne
LAMONT
La Montagne-Issoire; La Montagne-Clermont Limagne; La Montagne-Clermont Metropole; La Montagne-
Riom; La Montagne-Thiers-Ambert; La Montagne-Clermont Volcans
Français
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Clément Borges, autiste de 11 ans, scolarisé à l'école privée Notre Dame des Arts à Riom, a bien obtenu
la présence d'une AVSI à ses côtés et ce dès son premier jour d'école, mardi.
Il s'agit de Vinciane Quintin, 24 ans, par ailleurs intervenante spécialisée autisme auprès d'une autre
enfant à Riom. Une personne parfaitement qualifiée donc, qui assiste Clément dans la classe Clis
(Classe d'inclusion scolaire) de Nadine Terret, entièrement dédiée aux enfants autistes.
Dans notre édition de samedi, nous relations l'inquiétude des parents de Clément informés du fait que
malgré une notification de la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées) de 12 heures
d'Aide à la vie scolaire individuelle plus un temps de repas par semaine, leur enfant n'en bénéficierait pas
cette année. Une situation qui excluait Clément de l'école pour certaines activités (piscine, sorties
extérieure, cantine), l'importance de son handicap nécessitant la présence permanente d'un adulte à ses
côtés.
Informé le lundi 3 septembre, par l'Inspection académique de cette « affectation en urgence », Patrick
Morales se réjouit, « de pouvoir travailler en bonne intelligence avec l'Inspection académique et les
services diocésains. Avec Vinciane Quintin qui a un contrat de 20 heures par semaine, et trois AVS
collectives, les besoins de nos deux Clis (16 enfants) sont raisonnablement couverts. Mais, il faudrait
encore un coup de pouce pour les 4 enfants handicapés scolarisés en classe ordinaire pour lesquels
nous avons 39 heures de notification mais une seule AVS pour 20 heures par semaine ».
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Géraldine Messina [email protected]
Document LAMONT0020120907e897000e4
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Roanne-ville
« La Contre-allée est une grande famil le contre les épreuves du quotidien »
356 mots
7 septembre 2012
Le Progrès
PROGRS
19
Français
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Pour moi, la rentrée scolaire est à chaque fois une épreuve en raison de soucis politiques et
administratifs. Nous ne sommes pas reconnus par les autorités compétentes. Mais nous faisons bien un
travail lié à l’apprentissage des enfants, donc nous sommes bien une école. On remet malheureusement
régulièrement notre travail en question, notre école est constamment en sursis. On nous renvoie sur le
niveau de l’enfant : même en manque de certaines capacités, n’a-t-il pas le droit de passer du temps avec
d’autres enfants ? Ce qui est important pour nous, c’est que les enfants puissent faire une belle rentrée.
Plus on proposera de choses à l’école, plus l’enfant s’épanouira.
L’école possède une capacité d’accueil de cinq enfants. Une nouvelle petite fille va arriver, et une place
est disponible. Chaque enfant possède son propre environnement et est accompagné selon ses
capacités pour aller vers une scolarisation ordinaire.
On ne comprend pas encore ce handicap de l’autisme. Ici, on reste dans ce système de recherche avec
des approches plurielles (éducatives, comportementales). 150 intervenants (dont 15 % du monde
professionnel : orthophonistes, éducateurs spécialisés, AMP, infirmières) travaillent gracieusement avec
nous. Tous les moyens sont bons pour échanger avec l’enfant. Nous allons souvent à l’extérieur, pour
multiplier les environnements (piscine, médiathèque, cinéma, équitation, théâtre) et nous avons même
créé notre propre logiciel pour tablette tactile, Touch. Marie-Hélène Jonnet nous a rejoints pour un stage
AMP jusqu’en février.
Notre initiative touche les gens. Notre école est financée par des dons d’anonymes, de clubs service ou
par des prix d’initiative région. On a un petit budget mais très peu de dépenses. Nos locaux sont prêtés
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par la Ville. Depuis deux ans, nous avons suivi huit enfants et accompagné de nombreuses familles.
Avoir un enfant autiste est un investissement à vie pour les parents. La Contre-allée est une grande
famille, on ne peut l’envisager autrement. Ensemble, on fera avancer ces enfants seulement si on est
proche dans les épreuves du quotidien.
Document PROGRS0020120907e897000em
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Pat
Transcrire les émotions en sons
325 mots
9 septembre 2012
Le Berry Républicain
BERREP
Le Berry Républicain-Cher; La Montagne-Brive; La Montagne-Cantal; La Montagne-Creuse; La
Montagne-Haute-Loire; La Montagne-Issoire; Le Journal du Centre-Nièvre; La Montagne-Clermont
Metropole; La Montagne-Montlucon; La Montagne-Moulins; Le Populaire du Centre-Haute Vienne; La
Montagne-Riom; La Montagne-Thiers-Ambert; La Montagne-Vichy
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Coller l'oreille au système nerveux pour entendre les émotions vagabonder et transcrire leur brouhaha
électrique en un choeur vocal : en Australie, des chercheurs s'inventent en Mozart des neurosciences
avec l'espoir de soulager, un jour, des pathologies affectives.
Dans un laboratoire de la faculté de médecine, Vaughan Macefield, neurophysiologiste à l'University of
Western Sydney, ajuste un fil électrique dans la jambe de son cobaye, Ben Schultz, un acteur de 27 ans.
Au bout de ce fil, un micro enregistre l'activité acoustique du nerf que recrache un petit haut-parleur dans
un coin de la pièce.
Vaughan Macefield scrute des écrans sur lesquels se forment de curieux algorithmes à chaque fois que
Ben Schultz produit une émotion en regardant des images, par exemple violentes ou érotiques. Son
cerveau envoie alors des signaux que le scientifique intercepte : ce sont ces signaux qui seront « mis en
musique » par des artistes.
Ces recherches entrent dans le champ de « l'informatique affective » qui traite des machines capables de
détecter, de comprendre et de répondre aux émotions humaines, souligne le professeur Macefield.
Transcrire les émotions de façon intelligible, les projeter sur un écran ou les transformer en notes de
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musique pourrait permettre de traiter certaines pathologies comme l'autisme. « Il se pourrait qu'en
amplifiant leurs propres émotions, les gens puissent mieux les lire », explique-t-il.
Les instruments enregistrent les sons générés par les nerfs, la pression artérielle, la respiration, la sueur
et le coeur.
Le tout est stocké sur les pistes d'un ordinateur, comme sur la table de mixage d'un studio, et des
logiciels conçus spécifiquement pour l'expérience convertissent les différentes voix en un choeur vibrant
de cloches et de carillons.
À la fin de la session, ils disposeront d'une matière suffisamment riche et complexe pour composer une
« symphonie émotionnelle » exécutée électroniquement.
La première représentation de cette symphonie nerveuse est prévue pour 2013 à Montréal.
Document BERREP0020120909e8990001e
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Chez nos voisins
Pour le bonheur d'Ariane
654 mots
10 septembre 2012
Sud Ouest
SOUEST
GERS
27
Français
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LANDES Jean-Pierre Bernard, originaire de Poyanne et Préchacq, vit depuis quinze ans en Californie où
il a choisi de s'expatrier pour offrir une meilleure prise en charge médicale et scolaire à sa fille autiste
En apparence, tout semble sourire à Jean-Pierre Bernard, 58 ans. Landais originaire, du côté maternel,
de Poyanne et Préchacq, à l'est de Dax, il réside depuis près de quinze ans en Californie, où il préside
aux destinées de BHC Consulting, entreprise spécialisée dans le management, après avoir travaillé dans
le secteur high-tech. Président de la Chambre de commerce franco-américaine de San Francisco en
2003-2004 (dont il est toujours membre du conseil d'administration), le Landais dirige aussi la Ligue Henri
IV, association créée en 1895 par des immigrés du Sud-Ouest.
Derrière cette réussite se cache pourtant une expatriation aux origines douloureuses : « En 1997, un peu
plus de deux ans après sa naissance, notre fille Ariane a progressivement perdu l'usage du langage et
traversé des périodes de souffrance diffuse difficile à localiser. » Jean-Pierre Bernard et son épouse,
originaire des États-Unis, tentent d'identifier le phénomène, consultant notamment le célèbre pédiatre
Aldo Naouri.
Après une foule d'examens sans diagnostic précis, le couple met à profit ses vacances d'été en Californie
pour réaliser de nouveaux tests à l'hôpital pour enfants de l'université de Stanford, ainsi qu'un diagnostic
psychomoteur. « Les examens n'ont pas permis d'identifier de pathologie claire, mais le diagnostic fut
sans appel : notre fille était autiste. Elle correspond à un cas dit "régressif" où l'enfant perd les facultés
de communication et comportementales acquises dans ses premières années. »
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Aidée à plein temps
De retour en France, la famille essaie de mettre en place des soins médicaux et paramédicaux pour
Ariane. En dépit de l'aide apportée à l'hôpital parisien Necker par l'équipe travaillant sur l'approche
génétique de l'autisme, Jean-Pierre Bernard se rend compte que les solutions pour sa fille, notamment
sur le plan scolaire, sont maigres : « Nous sommes arrivés à la conclusion que la seule possibilité pour le
bonheur de notre fille était de nous expatrier dans un pays ayant des programmes de traitement et un
placement scolaire adapté. Ma femme étant américaine, nous avons décidé de nous tourner vers les
États-Unis. La loi américaine donne en effet obligation de proposer un environnement scolaire adapté. »
Peu autonome et considérée comme « non verbale », Ariane est aujourd'hui intégrée en « high school »,
en classe spécialisée. Elle bénéficie d'une aide dédiée à plein-temps. Les deux professeurs responsables
de la classe ont une expertise en techniques de communication et des années d'expérience de
l'enseignement aux enfants autistes et handicapés.
Le mal du pays
Quinze ans après son départ, et même s'il avoue que la France lui manque et qu'il aime « la région de
l'Adour, Dax, les plages et le caractère naturel des Landes qui est encore préservé », Jean-Pierre
Bernard, qui a encore de la famille à Poyanne et Préchacq, ne regrette pas la décision de s'expatrier. «
Je ne revois pas aussi souvent que je le souhaiterais ma famille dans le Sud-Ouest, mais le bien-être de
ma fille passe avant tout. » Même si la France a décidé que 2012 serait l'Année de l'autisme pour
améliorer et développer la prise en charge des enfants, le Landais n'envisage pas de retour au pays dans
l'immédiat : « Ma fille bénéficie d'un environnement bien adapté, mon fils a grandi ici, et j'ai trouvé ma
place professionnellement. Il est juste dommage de constater que la France a tant de retard sur
l'approche de l'autisme. J'aimerais contribuer à faire évoluer les choses et aider la société française à
mieux assimiler les handicapés en leur donnant une place à part entière. »
Stéphane Cugnier
Document SOUEST0020120910e89a000au
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Loiret
Dialogue-Autisme donne de l 'espoir aux famil les
551 mots
10 septembre 2012
La République du Centre
REPCEN
Beauce; LoireSologne; La Montagne-Clermont MetropoleOrleans; PMG
Français
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assemblée Dialogue-Autisme donne
Samedi, l'association Dialogue-autisme a tenu son assemblée générale à Orléans, en présence de
Sylvain Briault, chef de service en génétique au CHRO, et chercheur au CNRS, avec une équipe de
pointe, pour la génétique concernant l'autisme. Celui-ci a donné beaucoup d'espoir aux familles
présentes, quant à un futur médicament concernant l'autisme, probablement pour le courant 2013. C'est
également en septembre 2013 que s'ouvre, à Saran, le Foyer d'accueil médicalisé pour adultes autistes
avec ou sans troubles moteurs associés pour vingt-quatre places, avec un espace Snoezelen. Mais il
reste encore à faire, notamment au niveau de l'éducation. « Nous nous battons pour que les enfants aient
accès à l'école, comme les autres enfants, mais accompagnés d'une auxiliaire à la vie scolaire (AVS) en
fonction des besoins », précise Jacqueline Mansorian-Robert, présidente de Dialogue-autisme.
logement Séminaire sur les expulsions
L'Agence départementale d'information sur le logement (Adil) organise, cet après-midi, au centre régional
de documentation pédagogique, à Orléans, un séminaire dédié au traitement des expulsions locatives à
l'intention des professionnels (de l'immobilier et travailleurs sociaux). Des intervenants de l'Adil, de la
Caisse d'allocations familiales, des huissiers, avocats, magistrats informeront sur toutes les procédures,
depuis les traitements à l'amiable jusqu'à l'intervention de la force publique, en passant par l'assignation
en justice. Renseignements au 02.38.62.47.07.
social Subvention du conseil régional à l'Ehpad de Meung-sur-Loire
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Le conseil régional vient d'attribuer une subvention de 915.000 ? à l'Établissement d'hébergement pour
personnes âgées dépendantes Le Champ-Garnier, à Meung-sur-Loire. Cette aide servira à financer la
reconstruction d'un bâtiment basse consommation de 122 lits d'Ehpad, dont 26 lits pour personnes
atteintes de la maladie d'Alzheimer ou apparentée.
bricy Remise de décorations
Vendredi après-midi, à la base aérienne de Bricy, des décorations ont été remises. Les lieutenants-
colonels Daniel Kolb et Yann Poirier ont été faits chevalier de la Légion d'honneur. La Croix de La Valeur
militaire a été remise au commandant Olivier Delorme, au sergent-chef Régis Carrissant, aux sergents
David De Melo, Nicolas Bouillon, Jonathan Bergin, ainsi qu'aux caporaux-chefs Jérémie Vandenbergh et
Axel Jermidi. Enfin, le sergent-chef François Urbini s'est vu décerner la médaille commémorative Lybie.
Le général Caspar Fille Lambie a rappelé l'arrivée de l'A400m au premier semestre 2013 et la
réactivation de l'escadron de transport Touraine en 2014 pour la prise en compte des six A400M que la
base aérienne devrait compter à cet horizon.
transport L'UNL 45 veut le retour
L'Union nationale lycéenne (UNL) du Loiret fait circuler une pétition afin de demander au conseil général
de remettre en place la gratuité pour les scolaires dans les cars Ulys à la rentrée 2013. Cette pétition
circule depuis deux semaines. « On a déjà recueilli 500 signatures », souligne Léo Reymot, responsable
fédéral de l'UNL 45 qui compte une cinquantaine de militants sur le département. 400 ont été récoltées à
la sortie des lycées. La pétition est aussi en ligne sur internet. On peut trouver le lien en allant sur la page
Facebook UNL Loiret.
Document REPCEN0020120910e89a0000t
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Autism can have large effects, good and bad, on a disabled child's sibl ings
By Ranit Mishori
1,950 mots
4 septembre 2012
Washington Post.com
WPCOM
Anglais
Copyright 2012, The Washington Post Co. All Rights Reserved.
One of the least fun moments I recall from my years of growing up with an autistic brother was when he
bit me on the cheek — just in time for my class photo. I was 12 and he was 11. I went into school with
visible bite marks, and when they sat me in the chair for my solo shot, I told them that the cat had done it.
That's one of the bad stories. As for a good one ... um, to be honest, I have a hard time coming up with
much.
I know that people are warmed by stories of siblings who selflessly shower the disabled child with love,
attention and support. I think that's great, too. And it's for real for some siblings. But for many of us,
relating to a sibling who is on the autism spectrum can be complicated. The challenges to a warm, close
relationship are many. Normal sibling rivalry doesn't work, because it can never be a fair fight.
Here's what siblings often are up against, particularly when a brother or sister has more severe autism:
â—?missing out on typical family outings, such as movies, restaurants and vacations;
â—?being embarrassed to bring friends home;
â—?unpredictable and sometimes violent tantrums and outbursts aimed at you;
â—?being expected to grow up faster than you may want to, because you need to be the "responsible
one";
â—?the sense that you come second to your parents, because so much of their time and energy is
focused on the one with autism.
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These are all fertile ground for building resentment. And then feeling guilty about feeling resentment.
Because, after all, even as youngsters, we do understand that our disabled sibling cannot help being
disabled.
A dearth of research
The feeling that our needs come second is echoed in the small volume of research on how autism affects
siblings. Understandably, most of the scientific focus goes to the child who has the condition. (One in 88
children in the United States has some form of autism, according to the Centers for Disease Control and
Prevention.)
At the same time, it should be remembered that at least twice as many children confront the problems of
having a brother or sister on the spectrum, says Ryan Macks, a child psychologist at Cincinnati's
Children's Hospital and one of the few researchers on sibling impact.
A fair amount of research has been done on how autism impacts the family. Most of it, however, has
focused on how parents are affected.
What intrigued me — both as an autism sibling and as a family physician whose patients include autism
siblings — was the dearth of studies looking specifically at the sibling relationship.
Moreover, the small amount of research tends to center on issues of academic performance, mood
disorders and social performance, and is far from conclusive .
A 2006 review of the research in the Journal of Intellectual and Developmental Disability found that while
some researchers were uncovering "deleterious outcomes," others were finding siblings who were well
adjusted or whose challenges were of "low magnitude and non-significant."
A 2007 Harvard Review of Psychiatry article echoes this, mentioning studies that document "distressing
emotional reactions such as feelings of anxiety, guilt and anger" and "more adjustment problems" as well
as research noting that "some siblings benefit from their experience, others seem not to be affected."
The studies used different methodology, but even so, the inconsistency perhaps should not be surprising.
Just as no two people with autism are alike, no two siblings are alike in how they adapt to their family
situation.
'A big adjustment'
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According to Macks, there are some, like me, who can't help but recall those years as mostly difficult, with
a lingering sense of a childhood that was compromised. But he suggests that such an experience is
neither typical nor inevitable, as some kids weather the challenges with composure, serenity and even the
belief that a sibling's autism was actually a positive factor in their lives.
The data offer only a few hints at what might determine a sibling's response to autism in the family. Some
studies reported that siblings tend to do better in bigger families than smaller; in two-parent families rather
than single-parent; in families where the autistic child's functioning is higher rather than lower. There also
can be better outcomes in families of more financial means.
Additionally, birth order seems to matter. According to Macks, "The majority of the research found that
when you are a younger sibling — younger than the child with autism — it is easier, because that is all
you have ever known." For an older child, the arrival of a sibling with autism can be "a big adjustment to
make."
Charley Moskowitz, a social worker in New York who works in a program designed to help children adjust
to disabled siblings in the home, says that after years of working with such families, it's clear "there is no
such thing as a typical sibling."
In sessions where non-autistic brothers and sisters get together for a day of shared activities, the kids
have a chance to talk about their experience. They can vent, examine their feelings and learn from their
peers — boys and girls from other homes with autism.
Several themes repeat themselves, Moscowitz says. "These children feel extremely responsible," she
says. "They feel neglected, they feel that their home is in turmoil, that nothing will be normal for them."
She adds: "They are the ones who can't have friends over, because their siblings are so out of control
and take over the whole house."
The parents' role
I understand this feeling. Once, when I was a teenager waiting for a boy to pick me up for a date, I locked
my brother up in another room. I am not proud of this, or even comfortable revealing it. But it is an
impulse that I know others have felt.
Rukmini Basu, a 16-year-old from McLean, has those feelings. Her brother Arko, 21, is autistic. "I guess
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when I was younger and friends would come over I'd be somewhat embarrassed about what my friends
would react to when they saw him," she told me. "I would just try to get him out of the way so that they
wouldn't see him."
Being out in public can be just as difficult. One reason for this, Macks says, is that most kids on the
spectrum look like typical kids, with no abnormal physical or facial features to signal that the child is
different. When such a child throws a screaming tantrum, "embarrassment tends to set in" because of
how it looks to passersby, Macks says. "With autism, a lot of the time they look at the parents or the
siblings, and they say, 'Why are you not doing something to control this child?'"
How parents handle the situation — whether it is a temper tantrum in public, other annoying behaviors or
daily behavioral interventions — is extremely important, according to Macks and Moskowitz. "One of the
things we know," Macks says, "is that the mental health of the parent, their coping skills, tends to be the
primary predictor in terms of how the sibling is going to handle the situation."
A sibling's sex also comes into play. Boys tend to have an easier time of it than girls, Mack says, possibly
because boys "are not usually given as many caretaking responsibilities" for handicapped siblings as girls
are.
Basu's mother recognizes this pattern. "She was never a child in my mind," says Sharmila Basu, who
acknowledges that from early on she often told her daughter "to take care of her brother in many social
situations."
The combination of extra responsibilities, daily struggles with a sibling and diminished attention from
parents can lead to anger and anxiety. "These are the main issues the kids are dealing with and that we
really want to look out for," Moskowitz says. She has seen many kids who, consciously or not, don't want
to overburden their parents with their issues, so they keep their emotions tucked inside.
Claire Smith, 18, of Rockville, whose 15-year-old brother is autistic, describes it this way: "I try to make
sure that they don't have to handle me. As much as possible, I try to stay out of trouble. ... I try to not be
the one they have to worry about ... to be responsible and patient and take stuff off their hands whenever
I possibly can."
The good moments
Duty and the burden of responsibility aside, Smith talks about some good moments with her brother. The
key, she says, is being able to keep a sense of humor — to know there are times when laughter can
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replace anger. "A lot of it is really funny," Claire says. "He does a lot of cute stuff."
She recalled a recent incident in which her brother, who is also deaf, was fixated on mopping the porch.
He was outside, signing to himself the instructions he had just received from his father about the chore.
She chose to find his behavior funny instead of embarrassing, and to appreciate the moment. "I don't
think there are any siblings," she says, "who can laugh at their brother having a conversation with himself
and a mop."
Beyond such little moments, researchers — and some siblings themselves — are discovering that the
sibling experience can produce long-term benefits . Some studies report that people who grew up with
autism in the house tend to be more empathetic. "They are often able to handle difficult situations later in
life. They've learned how to handle embarrassing situations in public; they've learned how to handle
negotiations better," Macks says.
In fact, in stable families with "no demographic risk factors" such as a one-parent household or economic
issues, Macks says, "by and large, having a sibling with autism is extensively viewed as a very positive
experience, with limited long-term negative impact."
Basu and Smith agree. "I feel more responsible ... know what it's like to take care of someone to some
degree," Smith says. "I feel I am a little more patient than some of my friends." Adds Basu: "It helped me
become more mature" more quickly.
Despite the challenges — and there are many — neither would change anything if they could. As Smith
puts it: "Wishing him different is wishing him away. And I don't want to wish him away."
This is a point Macks wants to emphasize: "Most siblings of children with autism or any other type of
disability wind up doing just fine." He believes that there is a misconception that having an autistic sibling
sentences a child to "a whole range of intense struggles throughout your life." That is not necessarily true,
he says. "The majority will handle the situation quite well."
As we adjust to absorbing into our community all of the kids with autism and strive to support their unique
educational, vocational and medical needs, I'd say let's not forget the siblings, however well adjusted they
may seem. Their needs must not be overlooked by parents, teachers, therapists, doctors and
researchers.
As for myself — now the generally well-adjusted adult sibling of a 45-year-old autistic man — the
challenges are evolving. I suspect they also evolve for Smith, Basu and many others.
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Mishori is a family physician and faculty member in the Department of Family Medicine at Georgetown
University School of Medicine.
Document WPCOM00020120904e894001bb
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Vaccines; Vaccine and autism debate masks real problem
292 mots
5 septembre 2012
Biotech Week
BIWK
2352
Anglais
(c) Copyright 2012, Biotech Week via NewsRx.com
2012 SEP 5 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Biotech Week -- EAST LANSING,
Mich. - The bitter debate over whether vaccines cause autism is masking real problems with the modern
inoculation schedule and encouraging a growing number of parents to refuse recommended vaccines for
their children, argues a Michigan State University scholar.
In his new book "Vaccine: The Debate in Modern America," Mark Largent writes that extremists for and
against vaccinations have clouded the issues for parents seeking to make the best possible decisions for
their children's health.
On one hand, there is no scientific evidence that vaccinations cause autism, Largent said, adding that
vaccines are "one of the most effective tools in the public health arsenal."
On the other hand, Largent said some shots raise serious concerns among many parents, such as the
vaccines against chickenpox and hepatitis B, which is typically given within the first days of life. Further,
he said pediatricians and health officials have created an all-or-nothing approach to vaccinations that
gives the false impression that all inoculations are equally important.
"It's a signal to parents that the vaccine schedule is an all-or-nothing affair - that you either accept that the
mandated vaccines are all equally valuable and comply with the entire schedule or reject it in its entirety,"
said Largent, associate professor in MSU's James Madison College. "As a result, parents who find some
vaccines unnecessary are encouraged to question the entire vaccine schedule."
Keywords for this news article include: Autism, Vaccines, Neurology, Pediatrics, Vaccination,
Immunization, Biological Products, Michigan State University, Developmental Disabilities.
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NewsRx LLC
Document BIWK000020120831e895001cy
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Mount Sinai Researcher Finds Common Factors in Autism Spectrum Disorders,
Schizophrenia, and Bipolar Disorder
Distributed by Contify.com
348 mots
6 septembre 2012
India Pharma News
ATPHAM
Anglais
Copyright © 2012. Contify.com
New Delhi, Sept. 6 -- A team of researchers have found that schizophrenia or bipolar disorder seen in
parents or siblings was associated with increased risk of autism spectrum disorder (ASD). The study was
published online by Archives of General Psychiatry on Monday, July 2.
Avi Reichenberg, PhD, previously a Visiting Professor and now a new faculty member at the Seaver
Autism Center and the Department of Psychiatry at Mount Sinai School of Medicine, and colleagues,
used population registers from Sweden and Israel to examine whether a family history of schizophrenia,
bipolar disorder, or both, were risk factors for ASD.
"Our findings indicate that ASD, schizophrenia and bipolar disorders share etiologic risk factors,"
commented the authors. "Future research could usefully attempt to discern risk factors common to these
disorders."
Dr Reichenberg said, "These potentially shared etiologic risk factors could be genetic, or could also
represent environmental factors. These findings are also important because if ASD, schizophrenia and
bipolar disorder have some common causes, they may be more similar than we currently understand.
This may change how researchers and clinicians think about these disorders"
Researchers conducted a case-control evaluation of histories of schizophrenia or bipolar disorder in first-
degree relatives of the patients who met the criteria for ASD from three group samples. Two groups were
in Sweden and the third group consisted of recruits to military service in Israel.
The study showed the presence of schizophrenia in parents was associated with an almost three-fold
increased risk for ASD in a Swedish national group sample and a Stockholm County, Sweden, group.
Schizophrenia in a sibling also was associated with an increased risk for ASD in the Swedish national
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group and the Israeli conscription group. Bipolar disorder showed a similar pattern of association but to a
lesser degree.
The Swedish Council for Working Life and Social Research, the Swedish Research Council and the
Beatrice and Samuel A. Seaver Foundation funded this study.
Images, graphs or charts, if any, have been removed
Document ATPHAM0020120907e896000ee
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Autism and Developmental Disorders; New Findings from Mediterranean Institute of
Cognitive Neuroscience in the Area of Autism and Developmental Disorders Described
394 mots
10 septembre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
126
Anglais
© Copyright 2012 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2012 SEP 10 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest -- New
research on Autism and Developmental Disorders is the subject of a report. According to news reporting
from Marseille, France, by NewsRx journalists, research stated, "The adaptive threat-detection advantage
takes the form of a preferential orienting of attention to threatening scenes. In this study, we compared
attention to social scenes in 15 high-functioning individuals with autism (ASD) and matched typically
developing (TD) individuals."
The news correspondents obtained a quote from the research from the Mediterranean Institute of
Cognitive Neuroscience, "Eye-tracking was recorded while participants were presented with pairs of
scenes, either emotional positive-neutral, emotional negative-neutral or neutral-neutral scenes. Early
allocation of attention, the first image fixated in each pair, differed between groups: contrary to TD
individuals who showed the typical threat-detection advantage towards negative images, the ASD group
failed to show a bias toward threat-related scenes. Later processing of stimuli, indicated by the total
fixation to the images during the 3-s presentation, was found unaffected in the ASD group."
According to the news reporters, the researchers concluded: "These results support the hypothesis of an
early atypical allocation of attention towards natural social scenes in ASD, that is compensated in later
stages of visual processing."
For more information on this research see: Just another social scene: evidence for decreased attention to
negative social scenes in high-functioning autism. Journal of Autism and Developmental Disorders,
2012;42(9):1790-8. Journal of Autism and Developmental Disorders can be contacted at: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA. (Springer - www.springer.com; Journal of Autism and
Developmental Disorders - www.springerlink.com/content/0162-3257/)
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Our news journalists report that additional information may be obtained by contacting A. Santos,
Mediterranean Institute of Cognitive Neuroscience, CNRS-INCM, 31, Chemin Joseph Aiguier, 13402,
Marseille cedex 20, France.
Publisher contact information for the Journal of Autism and Developmental Disorders is: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA.
Keywords for this news article include: France, Europe, Marseille, Neurology, Developmental Disabilities,
Autism and Developmental Disorders.
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Autism and Developmental Disorders; Research Data from Tampere University Hospital
Update Understanding of Autism and Developmental Disorders
362 mots
10 septembre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
166
Anglais
© Copyright 2012 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2012 SEP 10 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Research findings on Autism and Developmental Disorders are discussed in a new report. According to
news reporting out of Tampere, Finland, by NewsRx editors, research stated, "The present study
investigated whether autonomic arousal to direct gaze is related to social impairments among children
with autism spectrum disorder (ASD). Arousal was measured through skin conductance responses (SCR)
while the participants (15 children with ASD and 16 control children) viewed a live face of another
person."
Our news journalists obtained a quote from the research from Tampere University Hospital, "Impairments
in social skills was assessed with the Developmental, Dimensional and Diagnostic Interview. The level of
arousal enhancement to direct gaze in comparison to arousal to faces with averted gaze or closed eyes
was positively associated with impairments in social skills (use of language and other social
communication skills and use of gesture and non-verbal play) among children with ASD. There was no
similar association among children without ASD."
According to the news editors, the researchers concluded: "The role of arousal-related factors in
influencing eye contact behaviour in ASD is discussed."
For more information on this research see: Autonomic Arousal to Direct Gaze Correlates with Social
Impairments Among Children with ASD. Journal of Autism and Developmental Disorders,
2012;42(9):1917-27. Journal of Autism and Developmental Disorders can be contacted at: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA. (Springer - www.springer.com; Journal of Autism and
Developmental Disorders - www.springerlink.com/content/0162-3257/)
Our news journalists report that additional information may be obtained by contacting M. Kaartinen, Dept.
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of Child Psychiatry, Tampere University Hospital and University of Tampere, Box 2000, 33521, Tampere,
Finland.
Publisher contact information for the Journal of Autism and Developmental Disorders is: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA.
Keywords for this news article include: Europe, Tampere, Finland, Pediatrics, Autism and Developmental
Disorders.
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Document MHWK000020120907e89a00044
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Autism and Developmental Disorders; Research from Bar-Ilan University in the Area of
Autism and Developmental Disorders Described
343 mots
10 septembre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
169
Anglais
© Copyright 2012 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2012 SEP 10 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Researchers detail new data in Autism and Developmental Disorders. According to news reporting out of
Ramat Gan, Israel, by NewsRx editors, research stated, "Collaborative problem solving (CPS) requires
sharing goals/attention and coordinating actions-all deficient in HFASD. Group differences were examined
in CPS (HFASD/typical), with a friend versus with a non-friend."
Our news journalists obtained a quote from the research from Bar-Ilan University, "Participants included
28 HFASD and 30 typical children aged 3-6 years and their 58 friends and 58 non-friends. Groups were
matched on CA, MA, IQ, and maternal education. The CPS task was placing pairs of blocks to balance
scales. HFASD preschoolers solved the problem slower, showed more irrelevant behaviors, shared less,
and used fewer coordinative gestures than TYP. But they were more responsive and had more fun with
friends versus non-friends. In addition, they solved the problem more efficiently during their second
attempt."
According to the news editors, the researchers concluded: "Implications are discussed, regarding the
social deficit of HFASD."
For more information on this research see: Collaborative Problem Solving in Young Typical Development
and HFASD. Journal of Autism and Developmental Disorders, 2012;42(9):1984-97. Journal of Autism and
Developmental Disorders can be contacted at: Springer, 233 Spring Street, New York, NY 10013, USA.
(Springer - www.springer.com; Journal of Autism and Developmental Disorders -
www.springerlink.com/content/0162-3257/)
Our news journalists report that additional information may be obtained by contacting Y. Kimhi, School of
Education, Bar Ilan University, 52900, Ramat-Gan, Israel.
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Publisher contact information for the Journal of Autism and Developmental Disorders is: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA.
Keywords for this news article include: Asia, Israel, Ramat Gan, Autism and Developmental Disorders.
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Document MHWK000020120907e89a00048
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Autism and Developmental Disorders; Research from Johns Hopkins University School of
Medicine Broadens Understanding of Autism and Developmental Disorders
370 mots
10 septembre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
173
Anglais
© Copyright 2012 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2012 SEP 10 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Current study results on Autism and Developmental Disorders have been published. According to news
reporting originating from Baltimore, Maryland, by NewsRx correspondents, research stated, "Little is
known about whether early symptom presentation differs in toddlers with ASD from ethnic minority versus
non-minority backgrounds. Within a treatment study for toddlers with ASD, we compared 19 minority to 65
Caucasian children and their parents on variables obtained from the Mullen Scales of Early Learning,
Autism Diagnostic Observation Schedule, and Communication and Symbolic Behavior Scales Caregiver
Questionnaire."
Our news editors obtained a quote from the research from the Johns Hopkins University School of
Medicine, "The majority of parents were from the upper classes irrespective of ethnic membership.
Minority children had lower scores in language, communication, and gross motor than non-minority
children."
According to the news editors, the researchers concluded: "Findings indicate that subtle communication
delays may be undetected or presumed unremarkable by parents of minority toddlers, and that more
significant delays are needed to prompt the search for intervention services."
For more information on this research see: Differences in autism symptoms between minority and non-
minority toddlers. Journal of Autism and Developmental Disorders, 2012;42(9):1967-73. Journal of Autism
and Developmental Disorders can be contacted at: Springer, 233 Spring Street, New York, NY 10013,
USA. (Springer - www.springer.com; Journal of Autism and Developmental Disorders -
www.springerlink.com/content/0162-3257/)
The news editors report that additional information may be obtained by contacting S. Tek, Dept. of
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Psychiatry and Behavioral Sciences, Center for Autism and Related Disorders, Kennedy Krieger Institute,
Johns Hopkins University School of Medicine, 3901 Greenspring Ave, Baltimore, MD, 21211, United
States.
Publisher contact information for the Journal of Autism and Developmental Disorders is: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA.
Keywords for this news article include: Maryland, Baltimore, Neurology, United States, North and Central
America, Developmental Disabilities, Autism and Developmental Disorders.
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Document MHWK000020120907e89a0004c
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Health and Medicine; Research on Health and Medicine Published by Scientists at
Department of Neuroscience
332 mots
10 septembre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
182
Anglais
© Copyright 2012 Mental Health Weekly Digest via NewsRx.com
2012 SEP 10 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Investigators discuss new findings in Health and Medicine. According to news originating from Rome,
Italy, by NewsRx correspondents, research stated, " Several psychiatric conditions, both internalizing and
externalizing, have been documented in comorbidity with Asperger Syndrome (AS) and High Functioning
Autism (HFA). In this review we examine the interplay between psychiatric comorbidities and AS/HFA."
Our news journalists obtained a quote from the research from the Department of Neuroscience, "In
particular, we will focus our attention on three main issues. First, we examine which psychiatric disorders
are more frequently associated with AS/HFA. Second, we review which diagnostic tools are currently
available for clinicians to investigate and diagnose the associated psychiatric disorders in individuals with
AS/HFA. Third, we discuss the challenges that clinicians and researchers face in trying to determine
whether the psychiatric symptoms are phenotypic manifestations of AS/HFA or rather they are the
expression of a distinct, though comorbid, disorder. We will also consider the role played by the
environment in the manifestation and interpretation of these symptoms."
According to the news editors, the researchers concluded: "Finally, we will propose some strategies to try
to address these issues, and we will discuss therapeutic implications."
For more information on this research see: Psychiatric comorbidities in asperger syndrome and high
functioning autism: diagnostic challenges. Annals of General Psychiatry, 2012;11(1):16. (BioMed Central -
www.biomedcentral.com/; Annals of General Psychiatry - www.annals-general-psychiatry.com)
The news correspondents report that additional information may be obtained from L. Mazzone, Child
Neuropsychiatry Unit, Dept. of Neuroscience, IRCCS, Children's Hospital, Bambino Gesu, Rome, Italy.
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Keywords for this news article include: Italy, Europe, Autism, Neurology, Psychiatric, Mental Health,
Asperger Syndrome, Health and Medicine, Developmental Disabilities.
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Autism; Researchers from Department of Radiology Provide Details of New Studies and
Findings in the Area of Autism
368 mots
10 septembre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
189
Anglais
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2012 SEP 10 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Investigators publish new report on Autism. According to news originating from Philadelphia,
Pennsylvania, by NewsRx correspondents, research stated, "Neural oscillatory anomalies in autism
spectrum disorders (ASD) suggest an excitatory/inhibitory imbalance; however, the nature and clinical
relevance of these anomalies are unclear. Whole-cortex magnetoencephalography data were collected
while 50 children (27 with ASD, 23 controls) underwent an eyes-closed resting-state exam."
Our news journalists obtained a quote from the research from the Department of Radiology, "A Fast
Fourier Transform was applied and oscillatory activity examined from 1 to 120 Hz at 15 regional sources.
Associations between oscillatory anomalies and symptom severity were probed. Children with ASD
exhibited regionally specific elevations in delta (1-4 Hz), theta (4-8 Hz), alpha (8-12 Hz), and high
frequency (20-120 Hz) power, supporting an imbalance of neural excitation/inhibition as a neurobiological
feature of ASD."
According to the news editors, the researchers concluded: "Increased temporal and parietal alpha power
was associated with greater symptom severity and thus is of particular interest."
For more information on this research see: Resting-state oscillatory activity in autism spectrum disorders.
Journal of Autism and Developmental Disorders, 2012;42(9):1884-94. Journal of Autism and
Developmental Disorders can be contacted at: Springer, 233 Spring Street, New York, NY 10013, USA.
(Springer - www.springer.com; Journal of Autism and Developmental Disorders -
www.springerlink.com/content/0162-3257/)
The news correspondents report that additional information may be obtained from L. Cornew, Lurie
Family Foundations MEG Imaging Center, Dept. of Radiology, Children's Hospital of Philadelphia, 2nd
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Floor Wood Bldg, Room 2115, Mail Stop W02-1010, Philadelphia, PA, 19104-4399, United States.
The publisher's contact information for the Journal of Autism and Developmental Disorders is: Springer,
233 Spring Street, New York, NY 10013, USA.
Keywords for this news article include: Autism, Neurology, Philadelphia, Pennsylvania, United States,
North and Central America, Developmental Disabilities.
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Autism and Developmental Disorders; Researchers from Monash University Publish New
Studies and Findings in the Area of Autism and Developmental Disorders
351 mots
10 septembre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
190
Anglais
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2012 SEP 10 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest -- Fresh
data on Autism and Developmental Disorders are presented in a new report. According to news reporting
out of Melbourne, Australia, by NewsRx editors, research stated, "Autism spectrum disorder (ASD) is
characterised by differences in unimodal and multimodal sensory and proprioceptive processing, with
complex biases towards local over global processing. Many of these elements are implicated in versions
of the rubber hand illusion (RHI), which were therefore studied in high-functioning individuals with ASD
and a typically developing control group."
Our news journalists obtained a quote from the research from Monash University, "Both groups
experienced the illusion. A number of differences were found, related to proprioception and sensorimotor
processes. The ASD group showed reduced sensitivity to visuotactile-proprioceptive discrepancy but
more accurate proprioception. This group also differed on acceleration in subsequent reach trials. Results
are discussed in terms of weak top-down integration and precision-accuracy trade-offs."
According to the news editors, the researchers concluded: "The RHI appears to be a useful tool for
investigating multisensory processing in ASD."
For more information on this research see: The rubber hand illusion reveals proprioceptive and
sensorimotor differences in autism spectrum disorders. Journal of Autism and Developmental Disorders,
2012;42(9):1870-83. Journal of Autism and Developmental Disorders can be contacted at: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA. (Springer - www.springer.com; Journal of Autism and
Developmental Disorders - www.springerlink.com/content/0162-3257/)
Our news journalists report that additional information may be obtained by contacting B. Paton,
Philosophy Department, Monash University, Melbourne, VIC, Australia.
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Publisher contact information for the Journal of Autism and Developmental Disorders is: Springer, 233
Spring Street, New York, NY 10013, USA.
Keywords for this news article include: Melbourne, Neurology, Australia and New Zealand,
Developmental Disabilities, Autism and Developmental Disorders.
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