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Thème

ORGANIS ATI ON METEOROLOGI QUE MOND I ALE

COMMISSION D'HYDROLOGIE

Sixième session, Madrid, avril- mai 1980

CONFERENCE SCIENTIFIQUE

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11 Expéri ence des membres concernant technique n hydrologie 11 •

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1es! projets de coopération

Titre Observation~ hydrologiqu es dans le bief maritime du fleuve · Zaïre. 1

· Auteurs J.J. PETERS, Ingénieur en Chef- Directeur des Ponts et Chaussées f.f. au Laboratoire de Recherche Hydraulique - Ministère des Travaux Publics.

A. STERLING, Inspecteur Général des Ponts e t Chaussées à l'Administration des Voies Hydraul i ques -Ministère des Travaux Publics. ·

Depuis 1967 l'amélioration de la navigabilité du bief maritime du fleuve Zaïre est l'objet de r ech erches menées aux termes de la coo­pération technique entre la République du Zaïre et le Royaume de Belgi­que. ; Les caractéristiques hydrologiques exceptionnelles de ce grand fleuv~ - le second au monde par son débit liquide moyen et 11 artère vitale 11 de la République du Zaïre - témoignent de la complexité du pro­blème qui impérativement requiert des solutions pratiques fondées sur des lois empiriques et faisant appel à des techniques aussi simples que possible mises en oeuvre par les équipes locales et adaptées à leur degré de formation •

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La Régie des yoies Maritimes du Zaire chargée de l'entretien des passes navigables 'dispose à cet effet de services d'hydrographie, de balisage, de dragage et d'étude •

Le Laboratoire de Recherche Hydraulique de Belgique est, quant à lui, chargé de l'étude de l'amélioration de la navigabilité des pas­se s ; à la fois en modèle réduit, au laboratoire, et lors de missions sur l e fleuve. L'importance des observations hydrologiques indispensables pour mener

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à bien pareille étude est nette. Il s'agit de dégager par un travail sur modèle réduit ou in situ des lois empiriques d'hydraulique fluvia­le permettant de prévoir les évolutions de la région divagante du fleu­ve et donc de réduire les dragages d'entretien.

Trois exemples choisis illustrent les tentatives de transferts de technologie tenant compte du degré de formation des spécialistes et des possibilités locales.

Le premier parle de la mesure rapide de répartitions des débits entre les divers bras de la région divagante du bief maritime. Compte tenu des influences des crues, des marées et des évolutions morphologi­ques, les mesures exécutées en un laps de temps très court, à des moments bien déterminés, se répètent à intervalles réguliers dans une quinzaine de sections réparties sur quelque 50 Km. La méthode de mesure des débits par intégration transversale (méthode du bateau mobile - moy ing boat method) a été retenue pour sa rapidité. Elle a toutefois été ~daptée à l'usage d'un matériel à ~aintenance sim­ple utilisé par des équipes exclusivement zairoises .

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Le second exemple montre comment des mesures de transports de sédiments dont la tec~nique et l'interprétation bont complexes ont été enseignées et sont detenues routinières simultan~ment à celles des dé-bits liquides. J

1 Le troisième exemple relate l'enseignement aux équipes zaïroises

des méthodes de prévision des évolutions morphologiques fondées sur des observations hydrologiques et hydrographiques simples.

La description de ces expériences tend à montrer aussi bien les échecs que les succès. Il eût été intéressant de la comparer aux opi­nions des techniciens zairois.

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